6 4 A N
<l'amylacée. Cette demiere conftitue -vulgairement Tamydon.
Differentes proportions de ces deux fubftanccs, félon les
différentes efpeces de bleds. L a réparation des deux fubftances
c i l aifée dans le bon bled: elle l’eil moins lorfque par v ctufte,
par -humidité, ou par d’autres caufes, les grains ont été
altérés. La fnbftance amylacée eft la feule dont la nature loit
végétale : la partie glutineufe paroît au contraire fe rapprocher
finguliérement de la nature animale, ou des fucs lymphatiques
ou albumineux. Obfervations & expériences qui le
prouvent. Suppl. ï . a70. a. P roduit de la diftillation de l’amy-
r fnbftance.don. Expériences faites fur cette limitante. D^ e s dtfférens corpr s
d’où l ’on peut tirer la fubffance amylacée. Ibid b.
Arnydon, efpece d’amydon faite avec du lue de -manioc.
II. 744. a. X . 769. a. Colle d’amydon. Suppl. II. 505. b.
AM YG D A L E S , ( Anatomie ) nature & difpofition de ces
glandes. Comme elles font fujettes à s’enflammer , elles occa-
iionnent fouvent le mal de gorge. Maladies des amygdales.
Remedes à ces maladies. I. 386. b.
A M Y N T A S , médaille de ce roi de Macédoine.
A M Y O T , ( Jacques ) précis de fa v ie. Obfervations fui
■ X 3 2 4 . . '
233. é.
AM Y R U T Z È S , philofophe péripatéticien. X V I . 5/4- b.
A N
AN , ( Hijl. aflron. ) Définition générale. La grande année
eft le tems dans lequel les étoiles fixes font leur révolution.
Année de chaque planete. Année proprement d ite , divifée
en civile & agronomique. La vicifBtude des faifons a donné
occafion à. la première inftitution de l’année ; & la première
attention qu’on a e u e , a été de faire que les mêmes parties
de l’année répondirent aux mêmes faifons. L 307. «**■ "“ *-
rentes maniérés de compter les années entre les dntérens
peuples. Les aftronomes font peu d’accord fur la grandeur de
l ’année folaire. Moment où commence l’année aftronomique.
Différence entre Tannée fidéréale & l’année tropique. Ibid,
b. Différence entre l’année civile & l ’année tropique : cette
.différence a donné lieu de foudivifer l’année civile en commune
& biffexrile. Celle-ci fut inventée par Jules-Cefar ;
dans quel but. Pourquoi elle fin nommée biffexule. Autre
réformation de l ’année civile indiquée à l’article GREGORIEN.
Annéi lunaire. Deux efpeces de mois lunaires ; le périodique
& le fynodique. I. 388. a. Année lunaire aftronomique Çt
civile. Différentes fortes d’années civiles que les anciens ont
imaginées. Ancienne année romaine. Correélion de Numa.
Ibid. b. Année Julienne. Année Grégorienne. Ibid. 389. a.
Année égyptienne. Ibid. b. C e qu’étoient les années des patriarches
rapportées dans l’Écriture. - -,
Ancienne année grecque. Année macédonienne. Ibid.
390. a. Année juive , ancienne & moderne. Année fyrienne.
Année perfienne. Ibid. b. Année arabe ou turque , éthiopi-
que , fabbatique chez les anciens Juifs. Année du jubile.
Jour de l ’an. Jour auquel commençoit l’année chez les romains.
Cérémonies de ce jour ufitées parmi eux. Ibid. 391. a. Jour
où commence l’année en Angleterre. Commencement de
l ’année civile & de l’année ecclèfiaftique chez les juifs. C ommencement
de l’année chez les françois , chez les mahomé-
tans , chez les perfans, les chinois -, les brachmanes , les
mexicains , à R om e , 8c chez les grecs.
Les années font encore diftinguées eu égard aux époques
d’où on les compte. Ibid. b.
A n , années planétaires. XII. 703 . a. Différence entre
l ’année fidèréale ( autrement dite anomaliftique R aftrale ,
périodique) & l’année tropique. I.488. a. 778. n. Inftantdu
commencement de l’année dans les tables aflronomiques.
V . 8-13. b. Années lunifolaires des premiers peuples du
monde. IX. 725. b. 743- , b. X V I . 772. b. - 774. A M oyen
d ’accorder les années lunaires avec les folaires. V . 557. b.
Comment les turcs font cet accord. Ibid. Annee folaire , tropique
8c planétaire. X V . 309. b. L’année folaire trouvée par
les anciens égyptiens, & reçue enfuite par les autres peuples.
X V I . 773. a. Différentes années que les égyptiens ont fuccef-
fivement établies. X V I I . 722. a .X .6 20. b.& c. Année cynique
& année civile de ces peuples. Suppl. III. 737. a. IV .
81 i.b. Années des ifraélites. VII I. 343- ^ X V I .773. L Moyen
de trouver Tannée juive. II. 3 34. b. Années des anciens grecs.
VII I. 207. a. Année o lympique, Suppl. IV . 127. b. des
anciens romains: divifion de Tannée par.Romulus.il. 332.
b. X. 130. b. Changement que fit Numa à Tannée. II. 333. a.
Les années romaines étoient diftinguées par les noms des
confuls. V I. 420. b. Années éthiopiennes. VII I. 33. a , b.
Années des arabes & des mahométans. VII I. 773 .96 . a. X V I .
. 773. b. 732. a. Maniéré de trouver le nombre des années
niahométanes. II. 334. b. D e la maniéré dont les peuples qui
compofoiém la partie orientale de l’empire romain , comp-
toient leurs années vers les premiers fiecles de l’ere chrétienne.
X . 621. a. Années des fiamois. X V . 149. b. 130.4.
Comment on compte les années à Rom e , en-France, en A ngleterre
, à Florence. VIII. 643. u.
A N A
Variations fu r ie tem.s & la faifon 011 les différens peuples
ont commencé leurs années. Les jours caniculaires étoient
le commencement de l’année chez les égyptiens & les éthiopiens.
II. 397. b. Tems où commence Tannée des juifs. X IV .
371. b. Q u e l eft le jour.du commencement de l’année en
Angleterre 8c en cour de Rome. V . 834. b. L année de Ro-
mulus commençoit au premier de Mars. X.^ 130. b. En France
on a commencé l’année à Pâques, jufquen 1364. Ibid. L e
commencement de Tannée fixé par l’ordoimance deRouflillon.
X IV . 414. b. — Voyei JOUR DE l’A n.
Année climatérique. III. 532. a. Année embolifmique. V .
337. a. Année émergente. 364. a. A în é e fabbatique. X IV .
458. a. Année biffextile. II. 264. a , b. Année jubilaire. IX.
1. b. Année facrée dans l’hiftoire grecque. X IV . 477. a. Année
vague dans le calendrier des égyptiens , des perfes, des cappa-
dociens , des arméniens. X V I . 797. b.
A n , ( Jour de P ) particularités fur ce jour expofées. V I IL
893. <*._
â n et Jour. ( Juftflp. ) 1. 392. a.
A N A , Menagiana , Boltzana, &c. Recueils dont le nom e ft
terminé par ana. IL jv.
A N A B A PT IS T E S , (Hifl. anc.) Quels hérétiques des
premiers fiecles ont été les prédéceffeurs des nouveaux anabaptiftes.
Seétês du douzième fiecle qui adoptèrent la mêmes
erreur. I. 392. a. Anabaptiftes proprement dits. Incertitude
fur l’auteur de cette héréfie. Comment Sleidan détermine
l ’origine des anabaptiftes. Leurs erreurs naquirent de l’abus de
la doétrine de Luther. Guerre des payfans de Souabe. Exécution
de Muncer 8c de Pfiffer. Ibid. b. Dernier échec que fouffri-
rent les anabaptiftes, après lequel ils n’oferent plus fe montrer
ouvertement. Argumens par lefquels Calvin 8c d’autres auteurs
les combattirent. Ibid. 393. a. Doftrine 8c moeurs des nouveaux
anabaptiftes. D ivers noms fous lefquels ils font connus.
Ibid. b.
Anabaptifles perfécutés par Charles-Quint. X. 333. a , b.
Différentes fe-ftes d’anabaptiftes diftinguées par les noms
fuivans: Ambrofiens. I. 326. b. Collégiens. III. 638. b. C o n -
mans. III. 840. a. Gabriélites. V IL 413. b. Mammillaires. X . 6.
b. Memnonites. X. 333. a , b. Nucls pieds fpirituels. XI. 277. b.
Sabbatairiens. X IV . 437. b. Anabaptiftes de Suiffe, leur doctrine
conforme à celle de S ervet. X V . 120. a.
A N A C A - , ( Ornith. ) efpece de perruche du Brefil. Suppl. I ;
379. b. Sa defeription. Ce t oifeau fe trouve encqre à laGuiane.
Ibid. 380. a.
A N A C A R D E , ( Hifl. nat. ) fruit ou noyau. D iv erfes
efpeces. La plus petite appellée ligas. Defeription de l’arbre
qui la produit. Anacarde moyen. I. 394. a. Ses différens ufa-
ges. Troifieme efpece dite acajou. Où fe trouve Tarbre qui
porte ce fruit. Defeription de cet arbre. Ibid. b. Ufage de
l’acajou 8c de fon fruit. Les habitans du Brefil comptoient leur
âge a vec les noix de cet arbre : ils en ferroient une tous les
ans. Ibid: 395. a.
Anacarde ; ligas , efpece d’anacarde. IX. 313. b.
AN A CE PH A LÉO SE , ( Belles-Lettr. ) récapitulation des
principaux chefs d’un difeours. Comment elle doit fe faire,
Son utilité. I. 393. a. Voyez RÉCAPITULATION.
A N A CH A R S IS le feythe. X IV . 849.
A N A CH IS , ( Myth. ) divinité tutélaire des égyptiens. Ii
395- M '
A N A CH O R E T E , ( Hijl. ) parmi les grecs , il y a grand
nombre d’anachoretes. Autres noms qu’on leur donne. C e u x
de Syrie 8c de Paleftine. Ceux de l’occident. L’ordre de S.
Benoît en a eu beaucoup. Ils ne fubfiftent plus aujourd’hui.
Les anciens ont enrichi leurs monafteres, I. 393 . b.
A N A CH O R E T E S de la Grèce, X. 6x7. b. Mélote dont fe
couvroient les premiers anachorètes. X. 323. b. Voye£ Her-
mite , A scétique , Cénobite.
A N A CH U N D A , ( Botan. ) efpece de folanlun épmeux
du Malabar. Sa defeription. Suppl. I. 380. a. Ses ufages.
Cette plante diftinguée de celle que Pifon appelle juripada..
Ibid. b.
A N A C L A S T IQ U E , (Op tiq .) ou Dioptriquc. C e mot f e
prend auffi adjectivement. Point anaclaftique. Courbes ana»
claftiques. I. 3 9 3. b.
A N A C O C K , ( Botan. ) efpece d’abrus. Suppl. I. 61. a.
A N A C O L U T H E , ( Rhét. ) figure de mots, qui eff une
efpece d’ellipfe. -Etymologie de ce mot. Exemple tiré de V ir gile.
I. 39 6. a. • : .y
A nacoluthe , figure de grammaire. V I . 769. b. VIII»
402. a.
A N A C R É O N T IQ U E , Anacréon de Téo s floriffoit l’an,
du monde 3312. Caraétere de fon efprit 8c de fes poé-
fies. Traduétions d’A nac réon, par madameDacier , 8c par
d’autres. Celle de Gacon. Odes anacréontiques d’Horace ,
8c de M. de la Mothe. M efure des vers qu’employoit Anacréon,
dans fes odes. Celle, des v ers de nos modernes qui l’ont imité..
A nacréontique , carafrere des odes d’Anacréon. XI.
346. b. Suppl. IV . 93. b. Chanfons érotiques , efpece d’odes
anacréontiques*
A N A
anacréontiques. V . 909. a. Odes anacréontiques en françois."
Suppl. IV . 93. b. Obfervations fur le poète Anacréon , 8c fur
fes odes. X lï. 846. a. X V I. 143. a , b. Suppl. IV . 444. b.
A N A C T E S , (Myth. ) noms de quelques dieux qu’on pré-
tendoit être nés dans Athènes. Nom d’honneur affefré aux
fils 8c aux freres des rois de Ch ypre. I. 396. b.
A N A D A R A , ( Conchyl. ) coquillage b iv a lv e , du genre de
ceux qu’on appelle arche de Noé. Lieux où il fe trouve. Sa defeription.
Auteurs à confùlter. Suppl. I. 3 80. b.
A N A D IP LO S E , ( Gramm.) figure. Exemples.I. 396. b.
A n a d ip l o s e , figure de difrion. V . 744. b.
A N A D Y O M E N E , ( Hiß. anc. ) tableau de Vénus peint par
Apelle. 1. 397. a. . , i l
ANADYOMENE , ( Hiß. de l ’art antiq. Peint. Sculpt: ) tableau
d’Apelle repréfentant Vénus Anadyomene. Signification de
cette épithete. Naiffance de cette déeffe. Traduction de quatre
épigrammes fur ce tableau , tirées de l ’anthologie. Suppl. I.
381. a. Réflexions relatives à la peinture que dut naturellement
produire la contemplation de ce chef-d’oeuvre. Les
aétions 8c les difpofitions véritablement agréables en peinture ,
doivent être fimples 8c néceffaires ; alors elles plaifent fans
frapper. La pofition dont Apelle a fait choix pour exprimer
fa Vénus formant de la mer , eft le plus grand exemple de ces
grâces produites par la jufteffe 8c la fimplicité. L e fculpteur
qui’ travailla fa figure de bronze antique , dont on trouve la
repréfentation, £planch. I. des Antiquités. Suppl.) à faifi le
même caraétere 8c la même expreflion. Ibid. b. Éloge dii
tableau d’Apelle. Plus on étudie les anciens , plus on eft
frappé du mérite 8c de la fupériorité des Grecs. Éloge du
mémoire de M. de C aylus fiir la V énus Anadyomene d’Apelle.
Parallele de c e tableau avec celui du Titien , qui repréfente
Vénus effuyant fes ch e v eu x , feule , 8c dans l’eau jufqu’au
deffous de la ceinture. Bronze antique regardé par M. le comte
de Caylus comme une imitation du tableau d’Apellê. Ibid.
382. a.
Anadyomene, furnom de Vénus. XV II . 36. a. Tableau de
Vénu s Anadyomene. Ibid. b.
A N A D Y R , ( Géogr.) riviere d e l’A fie , au nord-eft. Suppl.
I. 636. b. 637. a , b. 638. a.
A N A D Y R S K O I , Cap , ( Géogr. ) Suppl. I. 637. b.
A N Æ T IS , ( Myth.) déeffe adorée jadis par les Lydiens ,
les Arméniens Sc les Perfes. C e qui concernoit fon culte 8c
fa fête. Cette fête fut inftituée en mémoire de la maniéré
finguliere dont Cy rus vainquit les Saces , peuples de Scythie.
Statue de la déeffe. Débris de cette ftatue. I. 397. a.
A nætis , Anaitis 8c Anitis , dont on a fait un fécond article
dans l’Encyclopédie, font la même déeffe ; favoir Diane.
Elle eft encore nommée Nanée, ou Diane d’Elimaïs. Suppl. I
382. b.
A naetis. V?ye£ Nanée. XI. 12. b. 8c D iane Persique.
XII. 429. b. Sa fête célébrée àBabylone. X IV . 4 71 . b. Son temple.
X V I . 67. a.
A N A G N IE & A gnanie , font la même ville d’Italie
dont il étoit inutile de faire deux articles dans l’Encyclopédie!
Suppl. I. 382. b.
A N A G O G IE S , fêtes de Vénus célébrées à E ry c e en Sicile.
n -7l 9\a-
^ N A G O d Q U E J en s , ( Critiq. facr.) X V . 21. b. 29. <z. V .
A N A G R AM M E , ( BelUs-lettr. ) étymologie de ce mot.
D iv e rs anagrammes cités. I. 397. b. Réglés de l’anagramme.
Q u i en fut l’inventeur chez les modernes, 8c qui font ceux
qui s’y font exercés. Deux maniérés de faire des anagrammes.
D eu x anagrammes heureufement trouvées. Celles qu’on
appelle mathématiques , les numérales, ou chronogrammes
Ibid. 398.a.
Anagramme, on s’eft fervi de ce jeu d’efprit pour amener
ou 1 eloge ou la fatyre de la perfonne dont le nom donnoit
1 anagramme. Efpece d’anagramme exécutée par des danfeurs
en 1 honneur de Staniflas , q u i, dans la fuite , devint roi de
Pologne. Suppl. I. 382. b.
Anagramme, la fcience des anagrammes dépend de celle
des combinaifons. m . 664. b. X l f 388. <2. L ’abus de l’ana-
^ i ni’m8e regardé comme une des fources de la mythologie.
A N A G Y R IS , (Botan.) genre de plante. Ses différens noms,
caractère générique. Defeription de Tunique efpece de ce
genre qui nous foit connue. Lieux où croît cette plante. Sa
M M Ornière de la multiplier. Suppl. I. 383.
A N A G Y R U S , ( Géogr. & Myth. ) bourg de L
dote fur le dieu appellé Anagyrus. 1 .398. b.
ANALEMM E , ( Aflron. ) efpece de planifphere. Ufage de
cette machine. 1. 398. b. O n appelle auffi analïmme, le trilône
» ut,le à ceux qui tracent des cadrans. Ibid 308 «
A N A L E P T IQ U E S , ( A K f c ) « e d a d i O b f e à f i i î
les torces. Comment ils agiffent. Dans quels cas ils font falu-
twres. Q uand on doit s’en abftenir. Indication des principaux
tirés des v ég é taux, des animaux , Sc autres fubftances I
399. a.
Tome I,
A N A 6 5
l’Attique. A nec-
AN A LE P T IQ U E S . Voye^ Recouvrement des forces, 8c
Restauratif. ’
A N A LO G IE , étymo|ogie dll mot.
I B B i Définition. H H B fondés û,r l'analogie.
(le 1 analogie n eft pas une rede de certituîe :
mais eue torme louvent une grande probabilité. En matière
de foi on 11e doit point raifonner par analogie. C e que c’eft
que 1 analogie en grammaire. Ibid. 400. a. Ufage de ce mot en
mathématique 8c en médecine. Ibid. b.
Analogie. V o y e z Induction. D e quel principe fe déduit la
jufreUe des conclufions que nous tirons de l’analogie. Utilité
de cette voie ■ connoiftinces. III. b. C ’eft en joignant
1 analogie au témoignage des iens , que nous nous affluons
de la vérité des cliofes;; X V . a7 . «. 6 e l'u fage de ['analogie
en plrefinue. V I. m . b Suppl. IV . j ï î . g 7U . * , i f i e
fon ufage en matière grammaticale. IV . 6 4 . ,é. E lle peut fervir
adiffetfre’ X V D ^ Ce“ e 1 “ ’on * *
m ê tNeALo e “ ’ M f f i W par l'analogie du ffyle en lui-
B H B K H B f f l i «■ > 8( de couleur. X e ton le
B B K B B .& ,à . après p H bas peum
M M E M i l * B B E H B 9 «P.de la haute poéfie.
Le plus difficile a faifir & a obferver a vec jufteffe, eft celui
du familier noble: C eft pourquoi uii ouvrage dans ce genre
ne peut être bien é c r it , dans notre langue , qu’à Paris, Sec.
C e lt encore moins, par la diverftté des tons , que par l’in-
c^ " | ! ï ï & fa ja t ta tio n continuelle de leurs limites , qu’il
eft diffiede d obferver en écrivant, une parfiite analogie de
% l e . Am e fo re quune angtie fe p olit, & que le goûts’é |u re ,
les divers ftyles s’affotbliffent , & leur cercle fe rétrécir!
Peut-être les langues anciennes avoient elles des tons auffi
yar.es que la notte ; mais la gêne laquelle les anciens
éto eut fournis., par rapport à l ’analogie , n’eft pas fenfiile
jo u r nous. A i i . Efpece d’analogie entre l ’expreflion & la
H H lorfquau moyen des termes imitatifs, on peint
morne & le co o „ s , on en peint le caraftere idéal ou fenft-
bie.. Analogie dhabmide , celle que des impveffions répétées
ont établies; entre les figues de nos idées, & nos idées elles-
memes. Ibid. j t o . a. L'analogie des mots emr’eux n’eft p is
toujours une radon de les appliquer, à des Idées analogties
en» elles . 1 ufage a cet egard n’eft: pas conféquent. Dans
certaines circonftances , il n eft pas ayantageuxVemployer
le mot p ropre ou d habitude ; mais il finit ufer des termes
metaphdriquesnu de circonlocution. Le cas p a r ticu lie r li le
mot propre a 1 avantage & ne peu, être fuppléé , c’eft dans
les chofes de fentnnent. Affoibliffement que iouffre la penfée
ou e fentiment exprimé dans une langue e!trangere.Ouelleen
elt la raifoh. ƒ&</.<& 0 X 1
A n a l o g u e , ( Gninuu) les langues diftinguées en sn ilo -
fVmi l l . Sffis.3e.' iV. IrXe .faPis 8t.n,Are>S.éi..: a j 3 i , a64 . j . f” . „ .leXs Vpr!e m,6ièt reas.
Termes analogues. X V I . 1 56. b. | ' ^0 I ' *
A N A L Y S E ; ( Mutk. Ü W H ) méthode de réfondre
les problèmes mathématiques , en les réduifant à des éoua-
tions Son uni,te. I. 400. b E lle fe divife en ahalyfe des quantités
finies & celle des mfimes: Anciens auteurs tl’ânalvfe
Principadx auteurs fur l’amdyfe des infinis, Obfervations
lur 1 analyfe démontrée du P. Reyneau. Ibid. 401. <z.
Anulyfi (pMathimat. ) de la méthode des anciens. I)éfi-.
mtion que Papous donne de 1 atialyfe. Son but eft de décou-
M f l B S ’ ° “ rde • 7 “ » » 1« m»ÿ=" d’exécuter .cè q S m
seftpropoié : amfi on la diffingue en théorétique & problé"
manque. Suppl.1.385, u. Les anctens n’avoient rien quireffem-
blat a notre calcul : ils prattquoient leur analyfe ï force de
tete. Gomment ils en avoien't dimïüiîé la difficulté. C e oui
nous refte des écrits analytiques des anciens. Parallèle de
leur méthode analytique av e c celle des modernes! Ibid b
Avantages de nos calculs. O n en tireroit un plus grand'
parti, ■ 1. 1 on fiufott plus d’ufage de quelques théorème! que
les anciens nous ont laiffés. Tels font fur-tout ceux qui é n t
contenus dans le livre des Z W d ’Euclide. Obfervations fur
la nature ce ces data Les propofitiocs qu’on, trouve dans
ce livre j le r v e n t d’abord à frire voir quelles conditions,
d un problème font fuperflues, parce qu’elles font néceffai-
rement renfermées dans les autres. Enfuite les mêmes pro-
pofitions font utiles à réfoudre plufieurs problèmes Géométriques,
fans beaucoup de difficulté. Exemple de cette fécondé
utifité Solution des problèmes 4 - 10 , de l’arithmétique uni-
verfelle de Newton, par la propofirion 67 de ce livre. Ibid
380. a.
Analyfe ,• hiftoire de l’analyfe. I. 260 Fn „
fiftoit celle des anciens. I. 677. b IV i o i i h ° n~
eon tre Talgebre 8c l’analyfe é entre i analyie en gVeolfmfee!'etir?icee.
& lanalyfe en logtqtm. V IL 6 3 7 ,4 Application d e l ’analyfê
à la géoméme. I. „ 0 . i 677. b. V II . 637. a. S é y ic e L e ,
■ H * " » f r ™ K » W B Ë B Ê S l I. H A van- .
t.ges des calculs algébriques appliqués à la géométrie. I. 677. A
Application de J a n a ly » & de la géopiétrie à la phyfique, L