Ï O A B U
Pourquoi les Idées deviennent plus difficiles à faifir , *ü||2g
qu’elles font plus abftraites. Difficulté de former des abltra-
èions. Leur utilité lorfqu’elles font exprimées par des termes
généraux. Ibid. Nos abftra&ions ne nous mltruiient point.
V I . i?2. n. Il eft bien important de ne pas réalifer nos abftra&
ions. TV. 747. R eft bon de comparer les etres, oc
de généraüfer leurs rapports ; mais il n’eft pas moins nécef-
faire de ne jamais perdre de vu e les objets reels auxquels
ils fe rapportent, 8c ‘de bien marquer le terme où l’abftra-
a ion doit s’arrêter. Q u el eft ce terme. V L 4$- Comment
les hommes font venus à donner une
lions de leur efprir. 108. *. Suppl. IV . io ox. b. Abus que
les philofophes ont fait de leuts^abftraffions en M f i j m
lmmt une réalité. X V I I . 183. a. C e font les tdees abftraites .
générales qui font mèconnoître l’é vid en ce , 6c qm rayon-
lent le pyrrhonifme. V I . 15 1. b.
A bstraction, opération chymique.xi. <01.<z.
A B STR A IR E , ( Gramm. ) obfervations fur la conjugailon
d e ce verbe. I. 47- b. . ...
A B S T R A IT , Distr a it , ( Synon.) différence entre ces
( MdtUm. J nombres abftraits. Mathématiques
^ A estos\ l 7, terme, (L o g ^ ) I 47 h To us les termes
font ou individuels ou abftraits.. Les ftibllautils de cette
fécondé efpece foinf nommés appellattfe chea le s . grammairiens
' mais en pliilofophie, on nomme abftraits généralement’
tous les termes qui dèfignent quelque idée abftraite,
de quelque nature qu’elle foit. Entre ces termes , les fcho-
lafttques en oht diftingué de: deux forte, : ceux qutls on
proprement nommés, abftraits, q u * ont appellés
concrets — O bfervations fur les termes abftraits. i . un
terme abftrait peut quelquefois être employé comme indir
viduél en y ajoutant quelque mot qm en reftreigne le lens à
un feul individu. Suppl. I . H a°..Des termes mdtvtduels peuven
t de même devenir des termes umvcriels te abftraits.
,o ç>eft ^ l’exiftence des termes abftraits que nous devons
ces fleures poétiques qui c o n fie n t à perfonnifier des idées
purement intelle&uelles. 4°- On ne peut fixer le fens des
termes abftraits , qu’en détaillant les diverfes idees Amples
renfermées dans l'idée abftraite qu’jlsclèfignent. Ibid. 7 ^ a.
A bstrait, (.Gramm. Rhét. Mat hem.) termes abftraits. XVI.
, , , a -O!. !? X V I I . 763. b. 764. a- Verbe abftrait, v o y *
Substantif verbe. Le nom abftrait pour le concret; fleure
de rhétorique. X . 469- A N ombre abftrait;. III. 828. b.
Grandeur abftraite. V i l . 8 « . A Cmq claffes didées abftrai-
tes métaphyflques. Suppl. y. 114. b.
A B S T R A IT E , idée , (Logiq. ) comme il y a deux iortes
d’abftra&ion ( voye^ ce m o t ) / il y a auffi deùx fortes dùdees
abftraites. i° . Idées abftraites individuelles. Leur origine.
Suppl. I. Va- n. Comment elles fe forment dans notre efprit.
Ce s idées réduites à trois claffes , diftinguées en Amples 8c
compofées. Comment nous pouvons augmenter le nombre
des idées abftraites que nous fournit un individu. Ibid. b. a0
Idées abftraites métaphyflques. Il faut y confidérer la corn-
préhenfion 8c l’étendue de l’idée. Ibid. 73. a ; enfuite fon
degré d’abftraftion plus ou moins grand. Ibid. b.
11 fuit de ce qui précédé, que nous pouvons diitinguer
trois fotirces de nos idées ; fa v o ir , les fenfafiom le ; fe i-
timent intime de ce qui fe paffe en nous , 8c la faculté de
former des abftraâions.
A B S T R A IT S , termes ( Logiq. ) I. , g r \
A B SU R D E , ( Géom. ) ufage du principe de réduction
à l’abfurde. V U . 634. a. • -t vtr a
ABSUS ( Botan.) genre de plante. En quoi il diftere de
la caffe 8c du féné. Suppl.'1. 74- ƒ • Description des trois
efpeces d’abfus. Lieux ou elles croiffent : leurs noms : ulages
de la fécondé efpece appellèe telamandu-kola. Ibid. b. Erreur
de Limite lis for ces plantes. Ibid.. 71- a.
A B S Y R T U S , médecin de 1 antiquité. Suppl. IU. 376. b.
A BU , ( Botan. ) efpece de bananier. Suppl. I. 784. a.
A B U B , ( Mufiq. des hébreux.) inftrument de muflque fur
lequel on donne ici diffèrens fenrimens. L e plus probable
e f f de ceux qui veülent que l’abub foit la même efpece de
flûte que les latins appelaient ambabuia. Suppl. I .7 5 . a.
A BUB EKER ou À bu-BECRE , ( Hifl. des calïf. ) premi
ca life , fucceffeur de Mahomet. Principaux traits de fa v
" Ï bubeker , fucceffeur de Mahomet. IX. 865. b. Suppl.
1_A B U D A H E R T , ( Hifl. du mahom. ) fameux carmacien
qui entreprit une expédition contre les mecquois 8c contre
leur temple , dont il enleva la pierre noire , qui enfuite fut
renvo yée à la Mecque par les carmaciens eux-mêmes, 8c
remife dans le lieu qu’elle occupoit auparavant. Suppl. 1. 7 6. b.
A B U L F A L I , ( Botan. ) genre de plante de la famille des
labiées , 8cc. Lieux où elle croît. Ses diffèrens noms. Auteurs
qui en ont parlé. Sa defeription, Suppl, I , 77, a, Ses qualités.
Ibid. b.
A C A
ABULHUSEN -LBNU - T E LM ID , médecin arabe. ,X . BQMHM
A B U L -H U S S E IN -E S S O PH I , philofophe arab e, X IV .
665. b,
ARUIA , ( Botan.) nom brame d’une plante du Malabar.
Lieux où elle croît. Sa defeription. Suppl. I. 77. b. Ses qua,
lités. Remarque fur la maniéré de la claffer. Ibid. 78. a.
ABU-MESLEM , ( Hijl. des arab.) général arabe, Suppl:
I . 78. a. Voye[ MOSLEM.”
A B U M O N , ( Botan. ) genre de plante de la fe&ion des
jacintes, dans la famille ae liliacés. Erreur de Linnæus fur.
cette plaiice. Auteurs qui en ont parlé fous diffèrens noms.
Lieux où elle croît. Sa defeription. Suppl. I. 78. a. Sa culture.
Remarque fur la maniéré de la claffer. Ibid. b.
A BU N A , patriarche d’Ethiopie 8c d’Abyffinie. IX. 134. a , b:
A B U S , ( Gramm. ) abus dans la difeipline 8c dans ’ es
moeurs. Abus de foi-même. Application abufive d’un mot.
1 . 48. æ.
A bus , ( Jurifp.) appel comme d’abus. Maniéré de fe pourvo
ir contre les jugemens 8c autres a&es de fupériorité dé9
eccléflaftiques. Divers moyens qui ont été employés.contré
les entreprifes des eccléflaftiques 8c de la cour de Rome ,
avant de venir à l’appel comme d’abus. I. 48. a. En quel tems
l’appel comme d’abus commença d’être en ufage. Maximes
de jurifprudence fur l ’appel comme d’abus. Ibid, b.
ABUSIFS , droits, (Jurifp.) V . 14a. a.
A B U T IL O N , (Botan.) cara&eres de ce genre de plante«
Ses ufages en médecine. 1. 49. a.
A but ilon, efpeces d’abutilon nommées auguri. Suppl. ï , ‘
432. b. Beloére. Ibid. 863. a , b.
A B Y D E , ( Géogr. ) v ille de Phrygie. Ses fondateurs. C ’eft-
là que Xerxès jetta un pont de batteaux pour paffer en
Europe. Les habitans de cette v ille réputés m enteurs 8c charlatans.
Ils s’enfeveliffent fous leurs ruines plutôt que de fe
rendre à Philippe ,»roi de Macédoine. Suppl. I. 78. b. Voyeç
fur c e fe vénement, Ibid. 14 1. a.
A b yd e , ville d’É g yp te, la plus grande du pays après
Thébes. Sa fttuation. Comment elle devint célébré. Autre
v ille de ce nom en Égypte. Suppl. I. 78. b. Voyeç A b o u t i GE,
A byde , ( Géogr. anc.) ancienne v ille d’Ég ypte , aujourd’hui
Fiitm. Monumens trouvés dans cette ville. .VI. 832. a. A u tr e
v ille de ce nom en Afie. X V . 128. a , b.
A B Y S S IN S , ( Géogr.) l’empereur des abyffins, défigné
par le titre de Négus, X L 8 t. a. 8c par celui de Prejlre-Jean.
XIII. 332. b. Ses armes, planche X V I du blafon, vol. IL
Réfldence des empereurs abyffins. V I I. 7 39. a. Principal
miniftre de là cour du roi d’Abyflinie. XIII. 742. b. Sort du
prêtrç univerfel ou chitomé de l’Abyffinie. XI. 378. a. Pouvo
ir exceffif que les prêtres exerçoient dans ce pays. 85. a.
Formalités du mariage de l’Empereur. VII I. 93 3. La circo n-
cifion eft un figne de nobleffe pour-les femmes d’Abyffmie.
III. 462. a. Obfervations fur l’extérieur 8c la figure des abyffins.
VIII. 346. b. Maniéré dont ils bâtiffent, IX. 804. a. dont ils,
fe faluent. X IV . 589. b. Efpece de grain qui fait la principal©,
nourriture des abyffins. X V I . 4. a. Magiftrats civils qui rendent
la juftice en Abyffinie. XV II . 377. a. Affoibliffement du
royaume d’Abyffinie par les Galles. V II . 449. b. Carafteres
abyffins, voye{ vol. I I des planches, article Garatftre, planché
V I . Voyei A byssinie.
A C
A C A C A H O A T L I , ( Ornith.) nom méxicain qui veut dire
oifeau aquatique à voix rauque. Sa defeription. Autres obfervations
fur l’hiftoire naturelle de cet oifeaü. Remarque fu s
l’efpece à laquelle il appartient. Suppl. I. 79. a. '
A C A C A L O T I , ( Ornith. ) ou corbeau aquatique. S i d e P
cription. Suppl. I. 79. a. Autres obfervations fur l’hiftoire naturelle
de cet oifeau. Remarque fur l’efpece à laquelle il appart
tient. Ibid. b. ' V
A C A C IA , ( Science numifrnat.) forte de petit fac ou rouleau;
long 8c étroit, que les confuls 8c les empereurs ont à la maii*
dans quelques médailles. I. 49. a..
A c a c ia , {Botan.) caraéferes de ce genre de plante. D e P
cription; de Tacacia commun. I. 49. <*. r
Acacia, nom ancien que les grecs ont toujours donné 3?
l’arbre qui porte la .gomme arabique, 8c que l’on donne dans
nos pays à deux autres fortes d’arbre qui n’ont rien de commun
avec le gommier d’Arab ie , finon d’être épineux 8c de
porter quelquefois de la gomme. L e premier de ces arbres eft
originaire de l’Amérique feptentrionale. Sa defeription. Remarque
fur le nom de, pfeudo-acacia que lui donne T o ume -
fort. Suppl. I. 79. b. Le fécond arbre eft le prunellier ou prui
nier fauvage. Suc qu’on tire de fon fruit fous le nom d'acacia
no (Iras , ou germanica. V o y e z fa defcription.au mot Prunellier
Ditf- des Sciences , 8cc. Autres plantés épineufes aux-,
quelles on a transféré le nom d'acacia. D u véritable acacia^
connu des grecs fous ce nom. Trois efpeces de ce genre.*
Première efpece, gommier r o u g e , nebneb. Ses diffèrens
A C A
noms. Auteurs qui en ont parlé. Ibid. 80. a. Lieux où il 'croît.
Sa defeription. Ibid. b. Ses qualités Ibid. 81. & ufages. Propriétés
de la gomme qu’il fournit. Efpece de fuc qu’on tire
de fes gouffes. Ibid. b. D ivers ufages auxquels les anciens employaient
la gomme jaunâtre ou.purpurinè de l ’acacia, fon bois
& les gouffes. Paffages tirés de Theophrafte , Pline 8c Diof-
co n d e fu r cet arbre. Extrait de ce que les auteurs modernes
ont écrit fur ce même arbre. Ibid. 82. Analyfe 8c ufage
médicinal de fon fuc. Ce t arbre ne produit point de gomme
dans la baffe-Égypte. Ibid. b. Il ne doit pas être confondu
a v e c le gommier b lanc , le fant & Je cnrdem gui font trois
efpeces differentes de l’acacia doiit oii parle ici. L e nom de
mimofa nilotica , • que Linnæus lui donne, n’eft pas exaft.
' Deuxieme efpece , gommier roug e, gonakc, arbre du Sénégal.
Lieux ou il croît. Sa defeription, Ibid. 83. a. fes qualités
& ufages. Troifieme e fpece, fiung. L ieux où croît cet arbre.
Sa defeription, fes qualités 8c ufages. Ibid. b. Les deux efpeces
Suivantes forment un genre différent de l’acacia, qui rècon-
noîtra pour ch e f le gommier blanc, dont le fuc fait prefque
la feule nourriture des arabes, pendant leurs voyages dans les
déferts de l’Afrique. Quatrième e fpe c e , gommier blanc,
verek. C e t arbre inconnu aux Européens juiqu’à l’an 1748.
Comment M. Adanfon en fit la découverte. Ibid. 84. a. Sa
defeription, Ibid. b. fes qualités. Ibid. 85. a. Suc gommeux
qui en découle. Ufages de cette gomme. Maniéré dont les
maures en font la récolte. Forêts de gommiers au Sénégal.
Ibid. b. Principaux lieux où l’on fait la traite de la gomme dans
c e pays. Ibid. 86. a. Quelle eft à-peu-près la quantité de
gomme que chaque forêt produit. Détails fur ce commerce.
iïid . b. Quantité de gomme qui fe v end annuellement au Sénégal.
Depuis que les françois fe font établis dans cette contrée
, le p rix de cette marchandife a beaucoup diminué, & à
tait difparoître celle qui venoit d’Arabie. Celle-ci ne différé
en rien de celle dont il eft traité dans cet article. PalTage de
P lin e , où il eft parlé du gommier blanc. Erreur de Linnæus
fu r deux efpeces d’acacia qu’il rapporte à cette plante. Cinquième
efpece, ded; arbre du Sénégal. Ibid. 87 . a. Sa d’eferip-
îio n , fes ufages. Refpeft fuperftitieux des' negres p ou r 'c e t
arbre. L ’auteur parle ici de deux plantes décrites, l’une par
P lin e , l’autre par Rauwo lf, 8c qui ont un tel rapport avec le
,çled du Sénégal, quelles pourroient bienn’être que la même
.efpece, connue fous diffèrens noms. Ibid. 88. a.
Acacia, defeription de l’acacia d’où l’on tire la gommé
arabique. I. 570. b. Efpece d’acacia épineux d’où l’on tire le
cachou. II. 506. b. Pfeudo-acacia ou faux-acacia. XIII. 540. a,b.
Suppl. IV . 052. b. 8cc. Erreur à corriger dans ce qui a été dit
#lu fu c appellè acacia nôfiras , dans l’article de l’acacia concernant
l’hiftoire .des drogues. XIII. 530. b. Efpece d’acacia
nommé abaremo-temo. Suppl. I. îo . a.
_ A c a c ia , (Hift. des drog.) fuc épaiffi, gommeux, &e.
Lieu x d ou on nous l’apporte. Defeription de l’arbre qui le
produit. Analyfe chymique de ce fuc. Ses ufages. I. 49. b.
A C A D ÉM IC IE N , académifle , ( Synon. ) différences entre
ces mots. I. 49. b.
A C A D ÉM IC IEN S , (Hifl. de la Philof. ) fefte de philofo-
phes qui fui voient la do&rine de Socrate 8c de Platon, quant
a 1 meertitude de nos connoiffances 8c à l’incompréhenfibilité
ssjlSBp S j " ,ncf entre les académiciens 8c les platoniciens,
exutoire des principaux académiciens. En auoiconffiloient le
doute de Socrate oc celui de Platon. Philofophie d’Arcéfilas/
fondateur de la nouvelle académie. I . 50. a. Celle de Carnéade,
auteur de la troifieme académie. Doctrines de ces
deux derniers philofoplies, comparées entr’elles. Ibid. b. Plii-
lofophie de Pliilo n, fondateur de la quatrième académie.
Antiochus , fondateur de la cinquième, fit paffer dans l’académie
les dogmes des ftoïciens. Quelques-uns ont regardé
toutes ces feéles, quoique partagées en diverfes écoles,
comme ne formant qu’une feule académie. Cependant, fi
nous y regardons de plus près, nous verrons qu’il faut né-
.ceflairement diftinguer l’ancienne, qui fut celle de Socrate 8c
d e Platon ; & la nouv elle, qui fut celle d’Arcéfilas, de Carnéade
& de Pliilon. I. ç i . a.
Académiciens, académiciens honoraires. V III. 291. b. Aca-
«uciens libres. 292. a. Noms que prirent les membres d’une
lociéte académique, fondée par Charlemagne. T itre que prit
vmarles IX , dans une académie qu’il avoit formée. Ibid. Éloge
de quelques académiciens qui ont voué leurs travaux à fu t ilité
publique. V . 7^0. a.
A C A D ÉM IE , jardin ou maifon fituée dans le Céramique
lin des fauxbourgs d’Athenes. Origine du mot académie.C e t
a ly le des beaux-arts fut embelli par C im o n ,I . c i . a. & détruit
par Sylla. Maifon de campagne de C ic é ro n , appellèe académie
L e m ot academie fe prend auffi pour la fefte des académiciens.
U n compte ordinairement trois académies : la première fondée
par Platon, la fécondé par Arcéfilas, 8c la troifieme par Carnéade.
Do&rine de l’ancienne académie. Cette do&rine *
mitigée par la nouvelle. Ibid. b.
Académie de^Platon. Fondation de l’académie. Ornemens de
ce Ueu, XII. 745. bA Sucçeffeprs de PJaton. Hjftoire de l’aça-
A C A rr
p t ? ™ rCnUei^ -^ e la m° y enne & de la nouvelle. Voyer
Pla to n isme . Différence entre les nyrrhoniens 8c les académiciens
de la nouvelle académie. X IV . 7 c7 . a . b. Petites academies
ou les gens de lettres s’affembloient. V I. ■ xxe. b.
v a s y ^ f t i q u e . Q uelle devroit être la grandeur de
1 édifice. Chefs d’académie: leurs devoirs à remplir. V l Z f
Statues qu on mettoit dans les gymnafes & les académies. VÏll'.
17 1. b. Projet de Pluvinel pour l’établiffement d’académies
gymnaftiques. V I. 247. b.
( Hifl. Littér. ) fociété littéraire parmi les mo-
nradém;^ ei î îr e , académie Sc univerfité. Première
'' pf r Charlemagne. Chaque académicien pre-
no t le nom de celui des ancilns auteiirs, ou de quelque
amre perfonnage célébré qui lui plaifoit davantage
■ B H 1 H B W ™ & en ü m M
O u e l devoit1 ? . H B des ^ B ^ l I- xxxüj.
ven t entreprendre
beaucoun >> W ï ï iïB i> a - 1 „ r,ures qui contribueroient
Beaucoup afoedner 1 exécution d’tmeEncyclopédie Y S ic
9°. ...D u wÊÊÊm
M y i 5 8: H f e « » « B E I dans les académies
littéraires. VI. 475. i . Vices attachés à l'inffitution de nos
5 ÏÏ empêchent le progrès des fciences. X IV . 7L
c 1 , errabI,ffemÊnt des.acadéinies a commencé à Florence.
p B H V ' 4 H académie chez lcsEdnens. SuppL
en — i Aeedêmtes des Juifs. HHj Ju if s . Académies
Mm U m B U B A iig le ten -e .« ; fe font occupées d’agricnl-
. 1BBBBHBIH f n Im .S y i .a i fOC,s°n étéS BWMB d’aSriculturer qui régné pa!-mi les mem-
B H H SÊ X V I - 6r - l - que fon fon-
, .. “T“ 1 Ie propofer. SnppJI. jn , . ... ,. ^
de fesmembresi Continuanon des. médailles de l'hiftoire du
Médit ?8 de,la c î démie fo i* M. de — K
l a M “ luemoire de fon établiffement. Service u neM .
pat le roi à-cette académie. Ouvrages ctu’elle'a publiés Prix
uterture qtfehe diftrfoue chaque aiinée1 Sa de vifo i / “
1 y a plus d égalité dans cette académie que dans celle? des B | BHBBS HBS academie. VIII. 779 X ^ - ■ A o d c tm e de belles-lettres,; établie; it Marfcillc. X.
H B S 9 B E n d e cette académie. I. ; 4. ».
régleniént° iiéitfe' ‘*::l e e a r - ilté s . Prtnctpaux articles du
S S c;:t.i:gea tctalemc:). la
qu’elle a t b V O 1 * ” “ ' A D iv e rs autres changemens
M f l B H B i ° ™ S C 3 “ elIe diaqtie année. Secré-
S * y Ue a B fondation. Je deux p f f i qu'élle difttibtle
4 “ •'uanvement tous lès ans. Sa d evife. Lieu de fes aflemblèes.
B H H B du royaume. I. , s. „. Réponfe de M..de
PerDèmdle1? dUC d u f * ’ lui qffroit >a . préfidence
* * »cMmnoires de
g A llemagne. Académies d’Italie, f l t a l ie feule a plus d’aca’
■ M H B I enfemble. Auteur qui en
adonne Ihiftqire. Vingt-cinq académies:dansjafeule ville de
Milan. Cmq cens cimpjmte-,autres dans lé relie de FItahe.
N01ns.de quelques-unes. ïbid Académies ou ecoles. en
AngJeterre. Ibid. b. Société royale de Londres. X IV . 4 1 7 ,
j ’ 259. b. Réglement de cette fociété fur l’éle&ion
des étrangers. Suppl. IV . 804. b. Celle de Montpellier. X V
r 6° > % £ Cadémie de Soiffons• 3 | Académie de l i
Arnica. IV ç22. a,b. Académié royale de Suède,.dont l’uni,
que objet fe rapporte à des vues économiques..'V . 7c o *
Académie Étrufque. V I . 85. b. Académie des Jeux Floraux’
V L 876. M Société des Incatenati à Vérone. VII I. 644 b
Inffitut tle Boulogne 8°o a.'Société littéraire des Arcadiens.*'
L 6 °2 L Academie des fciences & belles-lettres de Châlons.
65 i 3 I ° ‘ b% Académie r° y ale de la Rochelle.- Ibid. IV .
Académie de Chirurgie. Voyeç CHIRURGIE.
Li ™ t m( î m m Ê f i W Ê m Ê f t Je I m Son ' Wftoire;
Lieu de fes aflemblees. Penfion qui lui fut accordée en 1662
Comment elle eft compofée. I. 0 . b. École publique qu’elle
txgnt. Prix diftribués a fes eleyes. Autres académies de pein»