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priètés de fon écorce & de fon fel. D e la graine de frêne :
nom qu’on lui donne dans les boutiques : qualité de cette
graine. Ufage qu’on en fait en Angleterre. !B ESB
Frêne, de l’écorce de cet arbre. V . 349. b. Suppl. III. 807.
e. Manne tirée du frêne. X . 41. b. &c. JElpecede frêne dont
on tire du fucre en Amérique. X V . 6 17. a.
FR EN IC L E , ( Bernard) un des plus grands arithméticiens
de fon teins. V I . 2 21 .a , b.
F R É Q U E N C E , différentes impreffions que font fur nous
les chofes par leur fréquence ou leur rareté. V . 832. b.
FR ÉQ U E N T A T IF , ( Gramm. ) verbes appellés de ce
nom en latin. Le fupin doit être regardé comme le générateur
unique & immédiat de ces verbes. Dans la dérivation
de fréquentatifs, dont les primitifs font de la première conjugaifon,
l’ufage a autorifé le changement de la vo ye lle a
du fupin générateur terminé en atum. V II . 297. b. Obfer-
vations fur les fréquentatifs dont les verbes primitifs font
de la fécondé conjugaifon ; fur ceux qui viennent des verbes
dont la fécondé perfonne fe termine en gis. D e quelle r
niere les latins p rononçoientle g. L’auteur explique commeiit
les fréquentatifs de ces verbes venoient du fupin, comment
agitare venoit du fupin du verbe ago. Raifon pour laquelle
les verbes de la quatrième conjugaifon forment régulièrement
leurs fréquentatifs. Verbes de la troifieme conjugaifon qui
ont eu deux fréquentatifs. Les verbes vellico , fodico ne
doivent point être regardés comme fréquentatifs , mais
comme diminutifs. Ibid. 298. a. Verbes qui ont à la fois
lin fens fréquentatif & un fens diminutif : obfervation fur
la dénomination qu’on doit leur donner. C ’eft mal-à-propos
que Turnebe & Voflius ont placé dormitare dans la claffe
des verbes defideratifs. Remarques générales. i° . To us les
fréquentatifs font de la première conjugaifon. 20. Ils fuivent
invariablement la nature de leurs primitifs, étant comme
eux ablblus ou relatifs. Des fréquentatifs dans la langue fran-
çoife. Robert-Etienne prétend que nous n’en avons p o in t,
quant à la lignification. Trois efpeces de fréquentatifs en
françois. 1. Les fréquentatifs naturels à la langue: ils font
en général terminés en ailler. Ibid. b. 2. L es fréquentatifs faits à
l ’imitation d elà langue latine terminés en oter. 3. Les fréquentatifs
étrangers dans la langue françoife , & qui ont pris
un air françois par la terminaifon en ter. Réfutation du
fentimem de Robert-Etienne allégué ci-deffus. Ibid. 299. a.
FRERAG E ÔC parage. ( Ancien droit féodal) V I I . 489. b.
FRERE. {Jurifpr.) Trois fortes de frere s; les germains,
les confanguins, les utérins. D ’où procèdent la qualité de
frere naturel & celle de frere légitime. C e qu’on entend par
frere adoptif. Un frere ne peut époufer la veu v e de fon
frere. Un frere peut être libre & l’autre efclave ou ferf.
Avantages du frere aîné dans, le partage des biens nobles.
En pays de droit é c r it , les freres germains fuccedent à
leur frere ou foeur décédés, &c. D e la fucceffion des freres
& foeurs en pays coutumier. Un frere ne peut engager fon
frere ou fa foeur fans leur confentement. Un frere ne petit
agir pour l’autre , pour venger l’injure qui lui a été mite.
Le frere majeur eft tuteur légitime de les freres & foeurs
mineurs ou en démence. En quel c a s, félon les loix romaines
, un frere peut agir contre fon frere. V IL 299. b.
Freres germains, confanguins & utérins : leurs droits de
fucceffion. III. 901. b. 902. a. V . 75. a , b , &c.
Frere adoptif. V I I . 299. b.
Frere, beau- V II . 299. b.
Frere conjoint des deux côtés. V IÏ . 299. b.
Frere confanguin. V I I . 299. b
Frere, demi- v i l . 299. b.
Freres germains. V i l . 300. a.
Frere de lait. V IL 300. a.
Frere légitime. V II . 300. a.
Frere naturel. V IL 30O. a.
Frere patruel. V IL 3bol a.
Frere utérin. Ouvrages à confulter. V IL 300. a.
Freres, ( Droit nat.) devoirs des freres entr’eux. I. 370.
b. XVII . 790. a. Relâchement des liens de fraternité dans les
pays de luxe. Ibid.
Frere , ( Hifl. ) le nom de frere donné dans plufieurs
occafions comme une marque d’union & d’amitié. V II . 300. a.
Freres convers, laïcs retirés dans des monafteres : leur
emploi. Quels etoient ceux qu’on nommoit convers dans les
premiers tems. Signification qu’on donna à ce nom dans le
onzième fiecle. Inftituteur de cette efpece de religieux. Les
chartreux les nommoient freres barbus. Pourquoi les laïcs ne
pouvoient être clercs. — V IL 30b. a, Voyc^ C onvjers.
Freres extérieurs où lais. V II . 300. a.
Freres externes, VII. 300. b.
Freres lais. C e font proprement les domeftiques de ceux
qu on nomme moines du chceur ou pères. Inflituteur des freres
lais. On prétend que cette diflinétion eft venue de l’ignorance
des laïcs; mais il y a plus d’apparence qu’elle n’eft qu’un
ehet de la vanité humaine. L’inflitution des freres lais a été
F R E
pour les religieux une grande caufe de relâchement & de
divifion. Auteurs à confulter. VII . 300. b. ^ .
Freres lais. IX. 173. b. Leur inftitutiori. Mauvais effets de
cette diftinétion entre les religieux. XI. 599. b.
Freres mineurs* V I I . 300. b.
Freres fervans. V I I . 300. b.
Freres Spirituels. V I I . 300. b.
Freres, terme confacré à certaines congrégations religieufes,
& à certaines fociétés laïques & obfcures : telles font celles
dont il eft parlé dans les articles fuivans. V IL 30b. b. •
Freres cordonniers. Origine de cette fociété. V IL 300. b. En
quoi confifte leur inftitut. Privileges de cette fociété. Les gens
dévoués au célibat ont toujours été protégés & fàvorifés avec
une prédilection également contraire à la juftice & à l’économie
nationale. Ibid. 301. a.
Freres tailleurs, compagnons tailleurs mis en fociété , &c.
VII. 301. a.
Freres d’armes , {Hifl. mod. ) affociation entre deux chevaliers:
le mot de frere étoit anciennement un terme d’amitié.
X V I I . 790. a. Il étoit fur-tout commun entré gentilshommes
qui avoient fervi enfemble. Ibid. b. Echange d’armes
que faifoient les deux chevaliers, & engagement qu’ils
prenoient en devenant freres d’armes : marques & effets de
leur intimité d’union. Ibid. V o y e z Fraternité d’armes.
F reres d e l à c h a r it é , ( Hifl.eccl.j ordre religieuxinfti-
tué dans le feizieme fie c le , & confacré aux pauvres malades.
D e tels religieux font les plu$ dignes d’être protégés par le
gouvernement. Leur occupation eft la feule même qui convienne
à des religieux. Us ne devroient être deftinés ni aux
fondions du miniftere évangélique, ni à l’inftruétion de la
jeuneffe. V I I . 301. a. fi ce n’eft dans les matières d’érudition.
C ’eft mal-à-propos que les religieux prennent à la lettre l’ordre
de J. C . d’abandonner pour lui notre pere , notre mere,
notre famille, nos biens, nos amis. Ibid. b.
Frere. C e nom étoit donné à des empereurs collègues.
Exemples. Cette coutume fe.pratiquoit de tout tems entre
des rois de divers royaumes : elle avoit lieu entre les empereurs
romains & les rois de Perfe.- V II . 301. b.
Freres blancs , feéte qui parut en Pruffe dans le quatorzième
fiecle. Pourquoi ils prirent ce nom. Révélations dont ils fe
vantoient. Leur feéte s’éteignit d’elle-même. V I I . 301. b.
Freres bohémiens, nom que prirent dans le quinzième fiecle
certainsHulfites,quifeféparerent desCalixtins. Q uels furent
leurs chefs. Doétrine qu’ils profeffoient. Pourquoi ils' furent
chaffès d’Allemagne. V I I . 301. b.
Freres Polonois ; Sociniêns, Antitrinitaires, &c. Pourquoi
ils prirent le nom de freres Polonois. Us furent chaffés de
Pologne en iééo.BibliothequedesfreresPolonois. V II . 302.«.
Freres servans, {.Hifl. mod.) ce font ceux .de l’ordre
de Malthe qui font dans la derniere des trois claffes de l’ordre.
Q u el fut l’auteur de la diftribution de cet ordre en trois
claffes. Comment fe fit cette diftribution. VII. 302.' à.
FRERE T , ( Nicolas) fes recherches fur les antiquités
chinbifes. IV . 981. b. Son fentiment fur l’époque où les Grecs
connurent l’équitation. V . 887. a , b.
Frere. {Jean le ) Suppl. III. 7 1 1 . b.
FR E SAN G E , ( Jurifpr.) droit de porc dû en certains lieux
aux officiers des eaux & forêts. Etymologie de ce mot. A nciens
monumens où il en eft parlé. C e droit fe changeoit
fouvent en argent ou autres efpeces. Obfervations de M . de
Lauriere fur ce droit. V I I . 302. a.
F R E S C A T I , ou Frasca ti, ( Géogr. ) Tufculum, petite
v ille d’Italie, à 12 milles de R om e , avec un évêché. Ses
maifons de plaifance. Defcription de l’hermitage que le cardinal
Paffionéi avoit fait dans ce lieu , mais qui a été démoli en
1767 après la mort violente de ce cardinal. Suppl. III. 147. a.
FR E SN O I , ( Charles Alphonfe du) peintre. V . 320. b.
FR E SQ U E , {Pe in t.) ce qu’on entend par peindre à frefque.
Comment les Italiens expriment cette façon de peindre.
Détails fur les opérations néceffaires pour cette forte de
peinture. Examen raifonné de l’endroit où l’on veut l’exécir-
ter. Préparations qu’on doit faire fur le mur. V II . 302, b.
L’artifte eft obligé de peindre au premier coup avec les couleurs
propres au travail. Avantages & inconvéniens de ce
genre de peinture; i° . l’efquiffe terminée de la compofition
qu’on veut peindre. Ibid. 303. a. Avantages de cette forte
d’efquiffe. On ne peut dans la peinture à frefque commencer
une partie du tableau, fans être obligé de la terminer
dans fa journée. 2 °..L’ufage des cartons. C e qu’on entend
par le mot carton : en quoi confifte cet ufage. Ibid. b. Couleurs
indiquées par plufieurs bons auteurs, comme lés plus
convenables pour peindre à frefque. L e blanc de diaux :
maniéré de le préparer. Poudre faite avec du marbre blanc
pilé. Le blanc de chaux préférable à cette poudre. Autre
blanc, celui de coquilles d’oeufs. Maniéré de le préparer. Le
cinnabre. Ibid. 304. a. Comment on le rend propre à la peinture
à frefque. L e vitriol brûlé. La terre rouge. L ’ôchre.
L e jaune de Naples. L e verd de Vérone. La terre d’ombre.
Le noir de Venife. Le noir de charbon. L ’émail. L’outremer,
F R I
îk d . b. Couleurs nuïfibles à la frefque: couleurs qui lui font
propres. Couleurs délicates qui demandent des précautions;
Comment on préparé & l’on difpofe toutes ces couleurs au
moment où l’on veut peindre. Une précaution éffentielle eft
d’éprouver les mélanges & les teintes que l’on veut faire.
Comment' on s affure de l’accord des couleurs. Divers moyens
dont On doit fe précautionner. Ibid. 303. a.
F resqu e, { P eint. Antiq. ) comment on peut rendre les fref-
cjues moins altérables par la pluie. D es frefques trouvés à
Herculanum. Suppl. III. 147. Frefques fciés fur le mur. Ibid. b.
Frefque, obfervations fur les frefques des anciens. Suppl.
v A ^ \ a' ge,lre de Peintu.re rétabli à Rome du tems
d Augufte. XII. 274. a. Inconvéniens & avantages de la peinture
à frefque. 278. a. Maniéré égratignée, eipece de frefque.
V . 43 2-, b. D e s peintures à frefque trouvées à Herculanum.
V lI I . 152. a, b. Suppl. III. 351. b. 332. a.
F R E T ou Fretage, ( Comm. ) louage d’un navire. V IL
303. a.
ƒ>«, droit qu’un maître de navire fe réferve lorfqu’il
donne fon vaiffeau à fret. IL 219. b. Comment fe fait l’évaluation
du fret. V . 632. «i. IX. 403. b. Comment fe fait l’évaluation
du tonneau pour le prix du fret. X V I . 410. a. b.
Fret, droit qtfeles vaiffeaux étrangers paient aux bureaux ,
des fermes du roi. Quelles font les nations étrangères dont
les vaiffeaux font délivrés de ce droit. V II . 303. b. -
Fret, équipement de navire. V IL 303. b. . *
F R E T E , ( Blafon) meuble d’armoiries. D e l’étymologie
de ce mot. Ecù frété. Croix frétée. Suppl. III. i 47. b.
Frété, {Blafon) efpece de frétés appellées treillis.XVI.
5 7®* a‘
F T E R , affréter, { Marine) différente lignification de ces
mots. Suppl. I. 190. a.
F R E T E V A L , ( Géogr. ) village près de Blois * où l’arriere-
garde de Philippe-Augiiftë fut défaite en 1194. Son fceau &
les archives furent enlevés par les Anglois. Réflexion fur cet
événement. Suppl. III, 147. b.
F R EU D EN TH A L , ( Géogr. ) château, ville & feigneurie
de la Haute-Siléfie. Obfervations fur ce fujet. Suppl. III.
147. b.
FR EU X ,. {Qrnithol.) defcription de cet o ifeau,qui ref-
lemble prefque entièrement à la corneille. En quoi l’un
d' " 5' e_4 ? l'autre. Alimens dont le freux fe nourrit. V II.303. b.
F R E Y A , o u FriggA, ( Hifl. anc. Mythol.) une des divinités
des anciens Saxons. Comment on la repréfentoit. On
prétend que c’eft dé Freya que vient le Freytag des Alle-
mands , & que cette divinité répond à la Vénus des Latins.
Réflexions de Fauteur fur ce fujet. V II . 306. a.
F R E Y B E R G , en Mifnie : jafpe très-finguîier qui fe trouve
près de cette ville. VII I. 467. a.
F R E Y E R , {FJifl. du nord) roi du nord, qui fut placé
au rang des dieux. Origine du nom freytag donné au vendredi
par les Allemands. Suppl. III. i 48. a.
F R E Y G R A V E S , ( Hifl. mod. 6* Droit poli tin. ) V o y e z
V rygraves. 1
F R E YM O N IU S , ( Volfgang) fon ouvrage fur le digefte.
IV . 997. b:
FREZIER, exagérations de cet écrivain. IX. 313. a.
FR IBO U R G ,* {Géogr.) capitale du Brifgaw en Souabe.
Dtverfes obfervations fur cette ville. Sa fituation. Cette ville
eft la patrie du moine Schw artz , & de J. Thomas Freiguts.
V II . 306. à. 6
Fribourg, {Géogr.) ville èn Suiffe. Tems de fa fondation.
Celui où elle fut reçue au nombre des cantons. Son
gouvernement. Sa fituation. Auteurs à confulter. VII. 306. a.
F R IC E N T I , ( Géogr. ) obfervations fur cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. III. 148. a.
F R ICH E , terres laiffées en friche dans le royaume de
France. V I .^332. b .'
F R IC T IO N , ( Chirur.) E lle eft au rang des exercices néceffaires
à la fanté : c’eft une des fix chofes non naturelles. Q u elles
font les perfonnes auxquelles les frifrions feroient utiles.
Trois efpeces de friétions, félon Ambroife Paré; la forte
la douce, la modérée. Divers cas dans lefquels là forte eft
d une grande utilité. Le degré de force qui établit la d’ffé-
rence des trois efpeces de frifriôns eft relatif au tempérament,
a la maladie, à l’âge. Friétions confeillées par de très-
grands maures pour la cure de la léthargie, de l’apoplexie,
6 pour rappeller à la v ie le s noyés. V IL 306. b. Effets de
la Irtction douce & légère. En quels cas elle convient. Utilité
de la friélion modérée, circonftahces dans lefquelles on
la recommande. Attentions qu’exigent les frittions pour être
. adminiftrées fagement. D ivers remedes au bon effet defquels
les friétions modérées préparent. VII . 307. a. Leur utilité
dans la cure de l ’anchylofe, dans les fievres continues où les
malades ont prefque toujours les extrémités froides. Friétions
ordonnées par Ambroife Paré dans le cas d’une fraéture de
1 os de la cuiffe caufée par un coup 'de feu. Il eft convenab
le , avant de changer de linge dans les fueurs, de fe faire
modérément : ces friétions préviennent la laffitude.
F R I 787
Frtéhon. D e l ufage dfesfriétîons. X V II . 198. a, b. 199 a Elles
ejoient employées chez les Grecs pour les athlètes. IX .
75°; * » b. Belles cures opérées par les friétions. III. 776. b-,
Friétions propres à réchauffer fans douleur les parties froi-
H i 33r- a- Fumigations reçues par friélion. 367.
Friétions mercurielles capables. d’exciter la falivatiom VIIL
360. a , b. Explication de leur effet. X V . 48. a-.
friélion, mouvement que le chirurgien fait dans l’opératiort
de “ .‘ lignée pour pouffer le fang vers la ligature; V i l . 207. b*
Friélion mercurielle. V o y e z V eROLE.
r n I R P n Rlcl‘ard ) théologien. X IV . 744. a , b.
FRIDER ICKS-H AL L , ou Friderickftadt, en Nofvegei
( Géogr.) Q in te s XII tué au fiége de cette ville en 1718.
V II . 307. b. '
F R t o E R IC H S T A D T , ( à ô sg ville maritime da No r.
wege. i-orce fie ccrce place. Son oririne. Sumi ][I
F R ID E R lC IA , ou h id cM f id J , f ( g Ä villa i f b t
nemarck, dans le nord.Jutland. Sa defcription. Ses révolutions.
Droits qui s’y perçoivent. Suppl. III. t .R a
F R ID E R iC K S T A b T , ville de land. V IL ,07. l.
F R ID EW A L D , (.Géogr.) cliâtéau & bailliage d’Àliema-
gne dans lé’ cercle du haut Rhin. Obfervations fur l’un &
m m a m n s a I Ancienne v ille ■ même m m
dans la Weftplialie, & dans le comté de Savn Ib ïi b
FR1D LE F I. (Hifl. d, Dnnm.) roi deolianemaréfc oui
régnoit à-peu-pres foutante ans avant J. C . Hiftoire abrégée
de fon regne. Suppl. III. 148. b. 6
Fridlef 1a. fils de Frothon III. roi de Danemarck. T a bleau
de fon regnet Suppl. III. 148. b.
r . FrïDlef I I , roi de Danemarck. Service qu’il rendit à
Haldan I , roi de Suede. Suppl. III. 287. à.
FRIEDB ERG , {Géogr.) ville libre & impériale d’A lle magne
dans le cercle du haut Rhin. Sa place à la diete 8c
dans les affeinblées du cercle dont elle eft membre. C e qu’elle
paie pour les^ mois romains & pour fa chambre impériale.
Caufes qui l’ont fait décheoir de fon opulence. Suppl. IIL
Friedberg, v ille d’Allemagne en haute Saxe. Sa fituation;
-Villes compriïes dans le cercle du même nom auquel elle
appartient. Suppl. III. 14p. a.
Friedberg, comté d’Allemagne dans le cercle de Souabe.
Seigneurs auxquels il appartient. Ville du même nom
dans l'a haute Bavière. Suppl. III. 149. a.
F R IE N D , {J ean ) phyfiologifte. Suppl. IV . 334.b*
ou Phrigane, {In/eélol.) infeéte aquatile tetrop-
tere. Defcription & hiftoire naturelle de cet animal. SuppU
III. 149. a. Ouvrage à confulter. Ibid. b.
F R IG ID IT É , {Jurifpr*) état d’un homme impuiflant : fon
mariage eft nul. Trois caufes de frigidité, l’une qui provient
de naiffance, 1 autre de cas fortuit, la troifieme de maléfice«
La fécondé caufe fi elle eft furvenue depuis le mariage , ne
peut lui donner atteinte. Sur la troifieme, v o y e z Aiguillette,
Ligature, Maléfice, Noucment d’aiguillette, lmpuijfance. Auteurs
à confulter. V IL 308. a*
Frigidité, remedes contre ce défaut. Suppl. I. 482. a , b.
F R IG O R IF IQ U E , {Phyfiq.) l’exiftence des parties frigorifiques
réelles foutenue par les Gaffendiftes. Quelques phi*
lofophes n’en admettent point d’autres que les fels nitreux.
Cailles du froid, félon le doéteur Clarke. Pourquoi, félon
le même le froid empêche la corruption. V I I . 308. a.
Frigorifiques particules , par lefquelles ©n a expliqué la
congélation. III. 864. b. 863. b. Réflexions fur cette hypo-
theie. V II . 314. a. 679. b.
F R IM A T , voye^ Givre,
F R IO U L , ( Géogr.) province de l’état de Venife. Ses bornes
& fon etendue. Ses principales rivières. Sa capitale. A u teurs
à confulter. VII, 308. b.
Frioul, {Géogr.) obfervations fur cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. III. 149. b.
Frioul y mine de mercure dans cette province. VIII»
304. b.
FRIPIER, ( Comm.) obfervations fur l’état & la police de
cette communauté à Paris. VII. 308. b.
FRISCH L1N , ( Nicodeme) poète. X V II . 646. a.
FRIL CH E-N ÀF F , le, { Géogr. ) golfe de la mer Baltique
fur les cotes de Pruffe. Defcription de cette eipece de lac»
Rivières qui s’y jettent. Prefqu’ifle longue 8c étroite qui
fépare la plus. longue portion de ce golfe d’avéc la mer.
Son origine. Sa population. Suppl. III. 149. b.
FR ISE , {Marine) ornement de fculpture. V i l . 308. b.
Frise , { Archit.) Métopes & triglyphes. de la frife dorique»
X. 47 0 . a. X V I . 039. b. Voye^ ENTABLEMENT.
Frife, cheval de, III. 308. b. Cheval de frife , figure lym-
bolique. X V . 729. b.
FHfe, fignifications de cê mot en lutherie. VII. 309, a.
F rise , {Comm.) étoffe de laine qui fe fabrique principalement
à Colchefter. Ordonnance relative à la fabrication de
cette forte d’étoffe. V II . 309,. a.
Frife , ratine groffiere. T o ile forte & ferme. VII . 309. a.