304 C H ï
on l’emploie. Préparations de chicorée, magiftrales & offi-
fcinales. Celles où l’on emploie la racine, tes feuilles , fon
fuc. Syrop de chicorée compofé. III. 327. a. Ufages qu’on
en fait. Comment fe préparent le fu c , l ’eau diftiliée, l’extra
it, le fyrop funple & l e fel lixiviel de chicorée. Le pi-fieu*
lit eft le fuccédanéè ordinaire de la chicorée. Ibid-, 'b.
Chicorée, efpece de cé genre appellée endive. V.6 4 9 . à , b.
Chicorée fauvage, ( Mcdec. Diète ) elle s’adoucit par la
culture, & devient agréable en fatede, &c. III. 3 27. b.
C hicorée, ( Conckyl. ) le coquillage ainfi nommé Vol. V I
des pl. d’hift. nat. pi. 70. n’eft pas une efpece "de buccin,
6c ce nom n’eft pas des mieux appliqués. C ’eft une efpece
de pourp re. Defcription de la coquille. Suppl. H. 397. a. Sa
claffification. Ibid. b.
C H IC O T S , dans la taille des arbres. X V . 836. à, Chicots
des dents , inftrument deftiné à les arracher. X IV .
*41. a
CH IEN , animaux du genre des Chiens : eh quoi ils différent
du genre des chats. 'Caraéleres génériques des chietis,
félon M. Linnæus. III. 327. b. Les chiens font peut-être de tous
les animaux ceux qui ont le plus d’inftinét & de docilité. Leur
férocité naturelle. Fidélité du 'chien. Sonvodorat. Combien il a
tl’inftinél, même pour des chofes hors de fa portée. Sa docilité
& fes gcntilîeffes. Ces bonnes qualités oht rendu les
chiens dignes de la compagnie des hommes. Tems où les
femelles font en chaleur. Durée de leur geftatlon. D e l’ac-
Couplemeut des mâles Sc des femelles. Juiqii’à quel âge les
femelles font fécondes. Ibid. 327. a. Elles portent cinq ou
fix petits à la fo is , &c. Les chiens naiffent les y eu x fermés.
Durée de leur vie. Caraélere auxquels on reconnoît leur
âge. Animaux étrangers à l’efpece avec lefquels on dit qu’ils
fe font accouplés. Toutes les races de chiens n’appartiennent
qu’à une même efpece. Les variétés parmi les chiens
font un objet de mode. Ces animaux diftingués en trois
claffes. Première claffe, chiens à poil ras. Le dogue d'Angleterre
: fa defcription. Le doguin d‘Allemagne : fes caraéleres.
Le doguin de la petite efpece : fa defcription. Le danois de car-
toffe. Cette efpece eft très-recherchée, &c. O n leur coupe
les oreilles, &c. Sa defcription. Ibid. b. Le danois de la petite
efpece, l’arlequin, le roquet, l ’artoïs ou le quatre-vingt, le grand
levrier <i poil ras, le grand levrier à p oil long, le levrier de là
moyenne efpece , k levrier de la petite efpece , le braque Ou chien
couchant, le limier, le baffet. Seconde claffe, chiens à poil long,
l ’épagneul de la grande efpece, de la petite efpece, l ’épagneul
noir ou gredin -, chiens pyrames , le bichon bouffé ou chien lion -,
ibid. 3 29. a. le chien loup p u de Sibérie, U barbet de la grande
efpece, de la petite efpece. Troifieme claffe , chien fans poil.
Le chien turc. Chiens qui n’ont le poil ni ras ni lo n g , appelles
, chiens de forte face : leur utilités Matins ou chiens des
rues. Leur utilité. Ibid. b.
Chien. Précis des idées de M. de Buffon fur les chiens.
X V I . 935. b. — 937. b. Onfervarions fur le cerveau; Suppl.
II. 299. b. D e leurs tefticules. 793. a. Chien qui a fait fa
gueule. Suppl. III. 277. a. Chien monftre. 553. b. Singulier
effet de l ’oaorat d’un chien. Suppl. IV . 102. b. Expériences fur
la régénération des pattes des chiens. 946. a , b. Pratique
ufitée pour empêcher les jeunes chiens de groflir. X I. 688. b.
Les chiens ne fuent jamais. IV . 383. b. Effet de la mufi-
que fur quelques chiens. X. 905. a. D e la maniéré de dref-
fer les chiens à la chaffe. 478. b. 479. a. Foyer suffi v o l III.
des planches, article Chaffe, page 21. a , b , & c.Éne rve r ou
éyérer les chiens. X V I . 932. a , b. Effets des y eu x d’un
chien couchant fur la perdrix. IX. 943. a. Différentes manières
de parler au chien à la chaffe. X V II . 3. b. Foyer fur-
tout v o l.I I I . des planches, article Chaffe, pag. 1 , b. 3 , a ,
b , & c . Chiens nommés adirés. I. 139. b. Chiens baubis. II.
16 1 . b. Chiens épagneuls. V . 743. b. Chiens fages, X IV .
493. b. Chiens limiers. Leur ufage à la chaffe. X V I. 916. a.
D e s chiens courans : leurs différentes efpeces : l ’art de les
multiplier, de les é le v e r, de les dreffe r ,d e les gouverner à
la chaffe & après cet exercice, &c. 920. a , b. — 937. b.
Diffeétions de chiens par Drelincourt. II. 397. b.
Chiens , ( Econ. rufliq. ) diftribution des chiens relativement
à leurs ufages. Chiens de baffe-cour. Chiens de chaffe :
les baffets , leur ufage à la chaffe. III. 329. b. Les braques ,
leurs qualités & ufage. Les chiens couchans, leurs qualités
& . ufage. Les épagneuls , à quelle chaffe on les emploie ,
leurs qualités. Les barbets ; les limiers 3 les dogues ; les mâtins
; les lé vriers , diverfes épithetespar lefqueUes on diftin-
gue ceux-ci ; les chiens courans : on a quelque égard au poil
pour les chiens de chaffe : forme que doivent avoir les chiens
courans. C e qu’on doit obfervef pour avoir de bons chiens.
Ibid. 330. a. Comment on les dreffe à la chaffe. Attention
par rapport au chenil. Education du chien couchant. Diffé-
rens noms que leur ont fait donner leurs allures & leurs défauts.
Ibid. b. Maladies des chiens. Chien de berger. Les Grecs
& les Romains dreffoient leurs chiens avec beaucoup de
foin. Chien confédéré relativement aux cultes du paeanifme.
Peuple d’Ethiopie gouverné par un chien. Chien de Xaa-
C H ï
• r r , ---- --— .......... potiwnHcs puur ter animal :
celui de Henri III. Hôpitaux pour les chiens chez les inaho-
métans. Chien qui parloit. Ibid. 331. a.
Chiens -, ( H if . Littérdt. ) ftatue d’un chien gardée foi*
gneufement dans l’ancienne Rome. X V . 304. a. Les chiens
regardés autrefois en Ethiopie comme le fymbole de la divis
é . XI. 376. b. Le chien , figure fymbôlique. X V . 733. b.
Chiens dé garde chez les Romains. XIII. 133. b. Attachement
des mahométans pour les chiens. X V I . 936-, a.
C h ie n s , ( Juhfp. ) loix & arrêts concernant cet obiet.
l u . 331. a. ï
■ C hien , ( Mât. méd. ) application du petit chien ouvert
dans certaines maladies. Propriétés de la graiffe du chien.
111. 331. a. Ufage des gants 8c bas de fa peau. Préparation
de la crdtte de chien ou album grcecum. Propriétés qUe plufieurs
auteurs_lm ont attribuées. Dans quel cas on s’eri fert aujour-
dhm. Preparanon de 1 huile appellée huile de petits chiens»
Maladies pour lefquelles on la recommande. Ibid. b. Ufaee
quon feu des petits chiens dans les maladies des femmes.
ibtd, 332. a.
Chim, ( ccmhercc) ülkge qile les foureurs font lie là peau.
111. 332. a. r
Chiens , ijlc des. VII I. 922. à.
Chien j grotte du. V i l . 968. à , h.
, » Î i 'î * mcr • S S E » ce Poi*>n. On le ÉiiSdie àms
la Méditerranée : on lui donne en Provence & en L a n™ ,
doc le nom d'aiguiliat. Peau du chien de mer, tlfagé ou’on
en fait. III. 332-. a. ■— Foyeç Syrius, Procion.
Chien de mer, pêche de ce poiffon. VII . 46. a. Différentes
efpeces dé cé genre : l’émiffoile. V . 368. a. L e forrat, X V .
374. a. Le fqualus. 48a. b.
Chien , efpece de fourmi. V IL 228 b
Chien , dent de. ( Botan. ) IV . 840. b.
Chien, ( Afiron. ) le grand 8c le petit. D eu x conftellations»
111. 33 i . b.
Chiens de étag e , les lévriers, conftellaùon horéale . introduite
par Hevelius. Raiïbii de cette dénomination. Etoîl-s
que renferme cette conftellafioB, Longitude & latitude de
la principale que M. Halley appelloit le coeur de Charles IL
Suppl. H. 307. b.
Chien , ( Blafon ) fa repréfentatibri dans les ârmoiries : fi*
gnmeation de cette figure fymbôlique. Suppl. II. 307. b.
Chiens couplés. Suppl. IL 641. b»
C hien-fou , ( Comm. ) drogue médicinale qui vient de là
Chine. Son commerce. Suppl. I I . 397. b.
CHIENS d avoine , ou quienne avoine, (Jurifp, ) redevance
feigneuriale , commune en Artois 8c dans le Boulenois, qui
^ ^BS ^a^)tans au foigneur du lieu. En quoi elle
confifte. C e qu’on trouve fur cette redevance dans les re-
pitres de la chambre dés comptes de Lille. Conteftation
au fujet de la folidité d’une de ces redevances due par le s
habitans du hameau de Quindal. III. 322. b.
Chiens , ( Paft de ) charge que les feigneurs impofoient
a leurs tenanciers de nourrir leurs chiens de chaffe. Où il
en eft parlé. Ouvrage à confulter. 111. 332. b.
CHIEN , ( Arquebuf ) III. 333. a.
Chien , partie du métier de l’étoffe de foie. III. 333. ai
Chien , in finiment de tonnelier. III. 333. a.
CH IEN D E N T , caraélere des fleurs de ce genre de plante;
Chiendent ordinaire & chiendent pié de p ou le , les feuls employés
en médecine. Propriété de la racine. T ifanne de chiendent.
Ufages de la racine. III. 333. a.
Chiendent, efpece de chiendent du Japon. X. 6 4 1 .b .
Chiendent , ( Fergetier) comment ils le dépouillent de
fon écorce. Ils en diftinguent deux efpeces , &c. III. 333. a.
CH IE R I , v ille du Piémont, voye^ QuiERS.
x CH IE T I , v ille du royaume de Naples , autrefois Teate;
CH IETSE V I S C H , ( Ichthy. ) c’eft-à-dite toile peinte. P o iffon
des Moluques. Sa defcription. Suppl. II. 397, b. Maniera
de le claffer. Ibid. 398. a.
C H IE V R E , gouverneur des Pays-Bas : comment il éleva
Charles-Quint. VII . 798. a.
K CH IF FONN IER, gens qui Commercent de vieux chiffons;
L’exportation des chiffons eft défendue. Autres matières
qu’on pourroit employer en papier. Soin de la police pouf
que les chiffonniers n’infeâent ni l ’air ni les eaux.
CH IFFRE , ( Arithm. ) chiffres arabes, les feuls en ufa^s
en Europe. Origine du mot chiffre. On doit regarder l’invention
des chiffres comme une des plus utiles , & qui faic
le plus d’honneur à l’efprit humain. En quoi confifte le mérite
de cette invention. III. 333. b. - ■
Chiffre. Pour aller aux progfeffioriS lés plus étendues du
Calcul, nous rie pouvons nous paffer de chiffres. III. -«6. a.
Obfervations fur l'invention des chiffres. XI. 248. a. Chiffres
arithmétiques des Juifs. I. 254. b. Chiffres arabes , Comment
ils nous font parvenus. I. 566. a. Chiffres principalement en
tifagp aujourd’hui , l’arabe 8t le romain : chiffres g rec s , hébraïques
: caraéleres appelles chiffres de compte, I I / 647.
C H I
■ a b Préceptes fur la manierede lire les chiffrés dârtsï’àraftfrié-
tiqué vulgaire , & fur la manière de mettre eti chiffrés un
nombre propofé. X L 28 a. n , b. Pourquoi nôtis avons dix
caraéleres d’arithmétique différeris. IV . 6 ï i . à.
Chiffre , Câràâere énigmatique compofé de plufieurs lètffes
initiales du nbm de la perfonne qui s’en fert. III. 3 34; à.
Chiffrés , caraéleres inconnus dont on fe ferï pour ecrifê
des lettres qui Contiennent quelque fe c ret , &c. Art particu-
lier qu’011 en a fkit. Auteur qui prétend que lé# Lacédémoniens
en ont été les inventeurs. C e qu’étoierit letïrs feÿtalés *
ufage qu’ils en faifoient. Auteurs qui ont écrit fur cette matière.
Chiffré à fimple clé y chiffre à double Clé» Autre maniéré
plus fimple , c’eft de convenir de quelquê.livfé de pareille
& même édition , & trois chiffres font la clé. III. 33 4.-
a. L’un pour la page, l’autre pour la ligne , & le troifteme
pour' le mot. Ibids b.
C h iffre , ( Mufeq. 5 dè l’accompagnement fans clüffre.
Suppl. I. 116; b. 117. a , b.
Chiffré , écriture feefete : art d’en trouver la clé. IV . 666.
b. — Foye^ fur ce fujet ÉCRITURE SECRÉTE , PoLYGRA-
PHIE , StÉGANOGRAPHIE.
Chiffre ,.ou marque des marchands.III, 334. bï
CHIFFRER. Chiffrer en mufiqne. On s’eft attaché , autant
qu’on a Cru le pouvoir , à caraéïérifer chaque accord par un
fé al chiffre , de forte que c e chiffre peut fuffire pour indiquer
l’efpece de l’accord , & par conféqnent tous les foriS
qui doivent le compofer. L e chiffré qui indique chaque accord
, eft ordinairement celui qui répond au nom de l’accord.
Il y a des accords qui portent ua double nom , & on
les exprime aufli par un double chiffre ; quelquefois même
on en met trois , &c. Il y a plufieurs accords qui fe chiffrant
ftiverfertient en différens pays , ou dans le même pays par
différens auteurs. Table générale de tous les chiffres de l’accompagnement.
Ibid, b. Ufage qui n’eft p lus fùivi de coûvrir
d’un trait toutes les notes, de baffe qui' paffenc fous u n même"
accord. Aujourd’h u iq u a n d o n foutient le même accord fur
quatre différentes notes de baffe * c é font quatre chiffres
différens qu’on leur fait porter. O n chiffre tout y jufqu’aux
accords les plus évidens. Le s chiffres ne devroient fervir qu’àf
déterminer le choix de Fharfflonie dans les cas douteux. D u
refte c’eft trèsbien fait d’avoir des baffes chiffrées exprès
pour les écoliers. Défauts que M. Rameau a trouvés dans
les chiffres établis. C e s défauts viennent d’avoir vou lu rapporter
les chiffres aux notes-arbitraires de la baffe-continue',,
au lieu de les avoir appliqués immédiatement à l’harmonie
fondamentale. Ibid. 336. b. M. Rameau propofé d’autres
chiffres beaucoup plus fimples, qui rendent1 l’accompagnement
tout-à-fait- indépendant dé la baffe-continue. Explication
des chiffres inventés par cet auteur ,. par lefquels un
petit nombre de fignes fiiffit pour exprimer toute bonne harmonie
poflible. Inconvéniens de cette méthode. Ibid. 337. a.
Pourquoi elle n’a pas prévalu. Ibid. b.
CH IG N O L LE , . ( Boutonn.') éfpece de dévidoir à trois
a ile s , &c. Pourquoi l’on méfure les matières qui doivent
faire des treffes; III. 3.37. b.
CH IGN O N du cou Y ( Anatom. ) partie poftérieure du
cou. Elle eft três-fenfiblè. La méthode de retronfl’ér les chev
eu x qui la couvrent eft nuiftble à la fan té , & peut caufer
des rhumes de cerveau; Suppl. IL 398. b.
Chignon ,. ( Perruqi, )» perruques de femmes appellées
chignons. XII. 413 . b.
C H IL D , (Lofas* )i fes réflexions fur les compagnies' de
commerce. III. 741 . a , b.
CH ILD EB ERT , üîxiemé roi de France, Thicrri I. Clodomirî.
Clotaire I. Divifion du royaume de France entre ces quatre
frere s , fils de Clovis. Childebert fut- roi de Paris , Thierri
de Metz , Clodomir d’O rléans, Clotaire de Soiffons. Principaux
événemens de leur régné. Suppl. Iï. 398*. a.
C hildebert III r dix-feptieme roi de F ranc e, frere &
fucceffeur de Clovis III. Précis de fon régné. Suppl. IL ■ n 1 CH ILD ERIC I,.quatrième roi de France , fils & fuccef-
feur de Mérouée. Tableau de fon régné. Suppl. II. 400. a.
Childeric I , monumens précieux trouvés dans fon tombeau.
V I . 864. b.
Childeric I I , quatorzième roi de France , ou d’Auftra-
fie , fils de Clovis I I , & fucceffeur de Sigebert. Defcription
de fon régné. Suppl. II. 400. b.
Childeric I I , affaffiné par Bodillon. Suppl. III. 766. a.
Symboles trouvés dans fon tombeau. V I ; 864. b.
Childeric I I I , vingt-unieme roi de- France , ou de'
Neuftrie & de Bourgogne. Sa dépofitions Suppl, II. 406. b.
CH ILIASTE S , ( Théol. y millénaires : leur opinion. Q u e l
eft celui qu’on en croit Fauteur; doéteurs qui-l’ont embraffé'e.
Leur fentiment' arétè rejetté par l’églife; depuis le 5-* fiecle.
Deux fortes de chiliaftes. III; 3 37. b.
Chiliaf cs. Régné de mille ans enfeignè par Gérinthe; II;
844- b.
CHILIOGONE, ( Gcornét. ) figure plane- & régulière de
Tome /,
C I 3 0 ;
rtiiflê 'cÔféS , &c. La fömiiVè dé toiis fes angles eft égale i
iÿ$6 angles droits : dêmônftVatîoh, III. 3?» y
CH IL L IN GW O R TH . ( Guillaume). Obfervations fur ce
théologien & fur fes Ouvragés. XI. 728. a.
CH E LM IN Ä RD , ou fc/iélminard , les plus belles & les
pîiîsmagnifiqiîé's ruines qui nous retient dé rantiquité. C e font
cellés éti p'àftie dü fameux palais de Perfepolis, &c. Defcription
que les voyageurs nous en' ont donnée. C e monument
fert dé retraite â û î bêtes farôücriès & aiix oifeaux de proie»
Voyage qu’entreprit le Brun pour lés Voir. III. 328. a.
C H IL Ö N , l’un des fept fages. V IL 909. b. Anecdote à
fdh fufet, VIH. 33t. b.
Chiffon j atliieté. IX, 760. À XII. 174. b,
CHILPERIC , fils & fucceffeur de C lo v is , ( t i i f . de Fr. )
durée dë föh' régne. Suppl. IL 401. a.
C hilperic II , dix-neùviemé roi de France y fucceffeuf
de Dagöb'èft I I I , fils de Childeric II. Abrégé de fou regne»
“ ffoföX Suppl H. 238. b,
C H IL Y , ( le ) pays dé l’Amèriqu'e , fa longueur , fes productions
: fëS habitans : gouvernement des Indiens. Ports du
C h ily , d’où fe fait lé commerce. Commerce dé Baidivia
avec Linîa» Celui de là Conception & dé Valparaifon. ÏIL I
Chily , du climat dé cé pays. X V II . 723. b. D e fes habitans.
VII I. 347. Æ. Minés d’o r du Gliily. XI. 522» a.
CH IM BO R A ÇO , l’une des plus groffes montagnes du
mo nde, & Vrâifemblablemerit la plus haute. S i fituation :
on la v o it à plus dé 60 lieues de diftance. S a hauteur» Obfer-
Vations de MM. Bouguër & de la Condaminc fur la déviation
du fil d’un pendule auprès de cette montagne. Il y a
beaucoup d’apparence qu’èllé é ti remplie de grandes cavités.
La tradition porté qu’elle fut autrefois un volcan. Etymologie
de fon nom. Càrguai-ràco , volcan écroulé en 1698 ,
&c. eft un p'rolöngeihènt de Ghiriiboraço, vers le nord. Sa
hauteur. lu . 338. b.
Çhimbo’rdço , remarques fur cette montagne. IV . 214. b.
Déviation de la perpendicùlaire d’un fil à plomb auprès de
cette montagne. I. 856. a. Sa hauteur au-deffus de la mer»
Suppl. ÏIL 2 17. a. 936» b.
CH IM -C I , philofophe Chinois. III. 343» b.
CH IM ERE, ( MythoL ) monftre fabuleux, <S>c. Fondement
de cette fable. Autres explications , l ’une de M. Freret ,
l’autre de l’abbé Plûche. HI. 338. b. — Foye^ aufli Suppl, 1 . 8 39»
b. 86b.' à.
CH IN D A SU IN TE , roi des Vifigo ths , ( H i f . d’Ëfpag. )
principaux événemens dé fon regne, Suppl. IL 401. a.
C H IN E , ( la ) fes bornes. Son étendue. Sa population»
Ses rivières & canaux. Inclination des Chinois pour les arts Sc
les feiences. Découvertés qu’ils ont faites avant nous. D e
leur gouvernement. Les peuples y font idolâtres , la polyga-i
mie y eft en ufage. En quoi confifte leur commerce. III» ffifi
Chine, noms donnés à la Chine. X V . 296. a Pays de la
Chine appellé anciennement le pays dès Séres ou la Sérique»
82. à , b. 98. b. Il paroit qu’iiné grande partie de là Gliine
étroit' mer autrefois. XI. 336. a. D u climat de ce pays. X V I I .
73 3. b. Montagnes de la Chiné. X . 677. a. Muraille qui la
répare de la Tartarie. X. 866. a. Peuples nommés Miao-Ffes ,
répandus dans quelques provinces’ de la Chine» X» 484. b.
D u canal royal dè la Chiné. Suppl. II. 182. a. Des canaux
de ce pays. 184. a. L’agriculture perfeéïionnèe par le moyen
de ces canaux. 183. b. Ponts de la Chine. XIII. 72» a , b.
Poftés établies dans cet empire. 172. a. Origine des ftatues
gigantefques qu’on voit dans ce pays. Suppl.TÏI. 191. b. Conquêtes
des Tartarés dans la Chine. X V . 923.. a , b. Obfer-
vation fur une imeription qui porte que le cnriftianifme fut
prêché à la Chine l’an 631 de Jefus-Cnrift^ X V . 182. b. Encre
de la Chine. V . a. Soies de la Chine. X V . 278. a , b. Armes
de l’empereur , voyér pl. 16 du blafon y v o l. IL
C hine-kaboe , ( Ichthy. ) efpece de poiffon. Suppl I.
306. b:
CH INER , ( Manuf. en foie ) ce qu’on en tend par-là. III»'
339. a. L e chiner eft une des manoeuvres les plus délicates
qi/ort ait imaginées dans les arts. Différence des étoffes chinées
& des étoffes faites à la tire. Notion générale du travail
des "étoffes figurées qui fert à en faite connoître la longueur
& la difficulté. Comment la recherche des moyens d’abrégef
le tems & de diminuer les frais de l’étofle à fleurs a fait
rencontrer le chiner. Ibid. b. On ne chine ordinairement que
les étoffes unies & minces. Pourquoi l’on n’a pas eu dans le
ebinér des velours tout le fuccès qu’on s’étoit promis. Les
taffetas font les étoffes qu’on chine ordinairement : On ne
chine' pas les fatins. Méthode à fuivre pour chiner une étoffe
à"une" feule couleur avec le fond. Ibid. b. Pratique à fuivre.
pouç chiner, un velours. C e qu’il faut faire , lorfqu’il y a
plufieurs couleurs à un deffin. La meilleure étoffe chinée,
fera' celle qui aura le moins de couleurs différentes , & la
plus belle celle où les couleurs feront mieux afforties , 8c
ou les contours des deflins feront le mieux déterminés.
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