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de tels écarts, & de ne pas les rendre exceflifs. Modèles
qui ont été regardés comme les meilleurs de ce genre. Réglés
à obferver dans l’art des grotefques. Ibid. 967- b.
Grotefque. Genre grotefque de Calot. V I . 684,. b. Defcrip-
tion des grotefques antiques par Vitruve. XVII. 800. a.
G R O T IU S , ( Hugues ) fes annales. I. 477- b- 11 eft ac"
cufé d’arianifme. 650. b. Son traité de la guerre & de la
paix. V . 128. a , b.-ryi. b. Son fentimsnt fur linfpiratiôn des
livres facrés. 363. b. Droit divin qu’il admettoir. IX. 659. a.
Eloge de G rotius 8c de (on (yflême du droit naturel. X. 701,
b. Maximes de cet auteur fur l'origine 8c le but.des gouyèr-
nemens. X V II . 861. b. 862. fl.
XtK O T T A F E R R A T A , ( Géogr. ) fameufe abbaye de la
campagne de Rome. Détails fur ce monaftere, qui étoit jadis
le Tufculum de Cicéron. Tableau qu’on y remarquoit.
Mouvement qu’éprouveroit Cicéron, ft revenant au monde
il voyoit l’état préfent de fa maifon de campagne la plus chérie.
VII. 967. fl.
G R O T T E , {B iß . nat.) caufes de la formation des grottes
félon Butiner & la plupart des naturaliftes. Defcription de
la grotte de Baumann, fnuée dans le duché de Brunswick.
Grotte d’Antiparos dans l’Archipel. Stalactites ou albâtre
oriental^qui s’y trouve. La France fournit un grand nombre
de g rottes, aulfi curieufes 8c intéreffantes pour les naturaliftes.
F'oyrçG lacière naturelle. VII. 967. b. La plupart de ces
grottes font fujeties à fe remplir peu à peu , oc finiffent
même par fe boucher entièrement. Les rochers des Alpes
renferment des cavités d’où les habitans de la Suilfe vont
tirer le cryftal de roche. Comment on reconnoît la préfence
de ces cavités contenant du cryftal. Moyens par lefquels on
ouvre alors la montagne. O n a remarqué qu’il fe trouvoit
toujours de l’eau dans ces grottes. Ibid. 968. a.
Grotte, caufes des incruftations qui le forment dans les
grottes. VIII. 658. a. Vents caufés par lesfei mentationsqiii arrivent
dans le grottes fouterreines.XVII. 19. b.Voyes^Caverne.
G R O T T E des Fées, ( Hiß. nat. ) dans le Chablais en Savoie.
D efcription de cet ouvrage fmgulier de la nature. Suppl.
II!. 273. b.
G rotte du chien , ( Gcogr. & B iß . nat. ) caverne d’Italie ,
au royaume de Naples. Sa fttuation. Ses différons noms. Origine
du nom qu’on lui donne ici. Defcription de cette grotte.
VIL 068. a. Effets que produit fur les animaux la vapeur
qui s’élève dans cette grotte à la hauteur d’environ dix pouces.
Moyens de leur rendre la vie. Conjeélures fur la nature
de cette vapeur 8c la maniéré dont elle produit fen effet.
Explication du moyen qui rend la vie aux animaux qui y
ont été expofés. Qualités des particules minérales qui s'élèvent
dans cette grotte. Autres cavernes célébrés par des
exhalaifons mortifères , dont les anciens ont parlé. Quels
font les pays les plus fujets à ces vapeurs pernicieùfes.
Ibid. 969. a. Voyt[ l’article Moufettes , où il eft parlé de la
grotte du chien.
Grotte du chien, correétions à faire à cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. III. 273. b.
Grotte du défert de la tentation, ( Gcogr. ) grotte 8ù l’on
fuppofe fans fondement que Jefug-Chrift fut tenté. Détails’
que le P. Nau nous a donnés fur cette caverne. V II . 969. a.
GKOTTt.deNaples, (Giogr.) V o y e z Pausilipe.V II . 969. a.
Grotte .de Notre-Dame de la Balme, ( Géogr. & Hiß. nat. )
grotte de France dans le Dauphiné. Faunes relations de Cette
grotte qui fe trouvent dans la vie de François I. par Méze-
ray. VII . 969. a. Voyeç Merveilles du Dauphiné.
Grotte de Quingey , ( Géogr. 6* Hiß. nat. ) grotte de
Franche-Comté. Defcription de ce lieu. Confeil à ceux qui
voudront le vifiter. V II . 969. b. — Voye[ Suppl. IV . 560. a , b.
Grotte de la Sybille, grotte d’ Italie dont l’entrée s’af-
faiffe 8c fe bouche tous les jours. VII. 969. b. Voyeç Suppl.
II. 666. a.
Grotte de la Thébaïde, carrières creufées dans la montagne
du Levant du Nil.— Voye^ Numia 8c T hébaïde.
Grotte , defcription que donne M. de Tournefort d’une
grotte dans l’ifle de M ilo , revêtue d’alun fublimé, 8c d’une
autre dont le fond étoit rempli de foufre enflammé. I. 308.
b. Gröttes fameufes voifines du village d’A r e y en Bour-
Sogne. 6 1 2. a , b. Grotte de Beaumann dans le comté de
lankenburg. II. 163. b. Grotte à cinq lieues deBefançon;
merveilleux qu’on en a raconté. 212. b. Grotte d’Antiparos.
785. b. Conduit fouterrein en forme de grotte dans le nouveau.
Mexique, long de 200 lieues. III. 843. Grottes de
Cranfac en Rouergue. IV . 433. b. G rotte de Hartzbourg. VIII.
60. a. Deux fameufes grottes dans la terre de Labour en Italie
IX. 147. a. Grotte aux environ du lac de Czirkniz. 925.
b. Grottes des folitaires d’Orient. X . 13. a. Grotte dans le
duché de Wirtemberg près de la ville de Pfulingen. X L 67.
/>, Grotte fameufe en Angleterre dans la province de Som-
msrfer. 491. b. Grottes dans le comté de Derby. X II. 543.
b. Grotte de Retelftein en Stirie. X IV . 199. b. Grotte de
Schatzfeld , dans le duché dè Brimswick-Lunebourg. 760.
a. Grottes dans la montagne de la Soufrière dans rifle de la
G R U
Guadaloupe. X V . 403. a. Grottes appellées par les anciens
Romains Spiracula ou Charonetz fcrobes.477. a. Grottes en
Egypte appe.lés fyringes par les anciens. 773. b. Grotte de.
Ribar. Suppl. IV . 648. a. Grotte dans le voifmage de Scliarz-
féld. 733. a.
Grotte artificielle, (Hifl. des arts ) ornemens 8c décorations
qu’on emploie dans ces bâtimens ruftiq'ues. Un des
plus beaux ouvrages de ce genre étoit la grotte de Verfail-
lés. VII . 969. b.
Grottes artificielles revêtues de lierre. X I. 493. a. Grottes
artificielles nommées Lympheea. 773. b. Celles que les-
anciens appelaient Nymphées. XI. 293. b.
GRO U ou Grouette, matière pierreufe fur la fuperficie
des terres. Néceffité de la percer bien avant dans l’endroit
où l’on veut planter un arbre. VII. 969. b.
G O U G R O U , ( Botan. ) efpece de palmier d’Amérique.
Defcription de cet arbre 8c de fon fruit. Ufages qu’en font
les Negres 8c les Sauvages. Qualité du chou qui provient
de cet arbre. V II . 969. b. Lieux où il fe trouve en plus
grande abondance. Ibid. 970. a. Voye^ GRIGRI.
G R O U N E R , fon hiftoire naturelle des glacières de Suiffe.
Suppl. III. 227. b.
G R O U P P E , {Peint.') les avantages qui réfultent dé cette
union dans les ouvrages de la peinture , tiennent d’une part
an principe d’unité ; d’une autre, ils ont rapport à l ’harmonie.!
L ’auteur développe ici la première de ces .idées. Sur la fécondé
, voyez Harmonie. La néceffité où nous formnes de
n’appercevoir qu’un feul objet à la fois , nous oblige d’établir
ce principe d’unité auquel nous fommes aftreints. L’u-
fage de former des grouppes eft donc pris dans la nature.
D e l’art de groupper dans le genre héroïque de la peinture.
V IL 970. a. Deux efpeces de grouppes ; ceux de lumières
8c ceux de figures. Réglés à fuivre à ces deux égards.
D e la quantité de grouppes qu’on doit admettre dans une
compofition. {Peint.) Ibid. b. FoyeçPASSION.
G rOUPPE, comment les grouppes d’objets qui entrent dans
la compofition d’un tableau, 8c chaque figuré du grouppé
d oiventcon trafter.lv. 122. a. Grouppes célébrés des anciens.
Grouppe de le Gros à Rome. X V I I . 800. a.
Grouppe , ( Mufiq. ) fignification de ce mot employé
par l’abbé Broffard. Grouppe afeendant, grouppe dépendant.
V II . 970. b.
G R O U P P E , ( Mufiq. ) addition à cet article de l ’Encyclopédie.
Suppl. III. 274. a.
G R U A G E , (Jurifpr.) maniéré de vendre 8c exploiter les
bois, terme de coutumes-----Gruage eft auffi un droit qui
appartient à certains officiers. Exemples. VII . 971 . a.— Voye^
Grurie.
G R U A U , farine d’avoine ou d’orge : aliment qu’on en
fait. V II . 971. a.
G ruau, voye^ Meunier. Gruau d’avoine. Suppl. IV . 412.
Gruau appellé femoule. 774. a , b.
Gruau , ( Midi. ) machine qui a fle mênfe ufage que la
grue. Pièces dont elle eft compofée. V II . 971. a.
Gruau , in finiment de charpentier. V . 682. b. X II. 639. a.
G RU BEN H AGU EN , ( Géogr. ) principauté d’Allemagne
dans le cercle de la baffe Saxe. Ses bornes 8c fon étendue.
Sa capitale'. Ses rivières. Origine de fon nom. Produélions du
pays. Son rang à la diete. Sa taxe en mois romains. Princes
qui la poffedent. Religion des habitans. Suppl. III. 274. a.
G R U E , ( Ornith.) Defcription de cet oileau. Il eft paffa-
ger. Sa chair eft affez bonne. Il vit de femences 8c d’herbes.
V IL 971 . a.
Grue , efpece de grue appellée par les Hollandois feur-
vogel. X IV . 844. fl. Autre des ifles Philippines nommé tipul.
X V I . 339. fl. Produâion de la vo ix des grues. X V II . 432. b.
Grue repréfentée V I . vol. des planch. Régné animal, pl. 43.
Grue, (Bla fon ) maniéré de repréfenter cet oifeau dans
l’écu. Signification de ce fymbole. Suppl. III. 274. a.
Grue, conftellation. VII. 971 . b.
Grue , {Afiron. ) conftellation méridionale. Afcenfion droite
8c déclinaifon de fa principale étoile. Suppl. III. 274. a.
Grue, ( Méch. ) M. Perrault prétend que la grue eft le
corbeau des anciens. Defcription de la grue. VII . 971. u,
Pour connoître l’effet de cette machine , voyc{ Poulie ,
T reuil, 8c A xe dans le tambour.
Grue, machine à l'uftge des charpentiers. XIII. 69. b.
Chaifc de grue. III. 18. b. Roue de grue. X IV . 389. b.
Grüe , ( danfe de la ) ballet des anciens. Son inventeur.
Ufage qu’on en faifoit fur le théâtre. Origine du nom qu’on
lui donna. V i l . 971 . b. Voyeç Ba l le t .
G rue , danfe de la , obfervation fur cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. III. 274. b.
Grue , bec de, voyez Bec.
G RUM EAU , ( Médec. ) Ufage qu’Hippocrate fait de cette
expreffion. Concrétion des humeurs fous forme dé grumeau.
Grumeaux de lait. V I I . 971 . b.
G R U M E N T U M , {Géogr.) correétions à faire à cet article
dé l’Encyclopédie. Suppl. III. 274. b.
y GRU N B E R G ,
G U A
G R U N B E R G , {Géogr.) i° . ville d’Allemagne dans le
cercle du .haut Rhin ; 2°. ville de la Siléfie Pruffienne. D é tails
fur l’une 8c fur l’autre. Suppl. III. 274. b.
G RU NIN G EN , ( Géogr. ) Bailliage du canton de Zurich
en Suiffe. Son étendue. Ses révolutions. Lieux remarquables
dans ce bailliage. Suppl. III. 274. b.
G R U R IE , {Jurifpr.) 1. Jurifdiétion qui connoît en premier
reffort des conteftations en matière d’eaux 8c forêts.
2. Grurie, droit qui fe perçoit pour le roi fur les bois d’autrui
: divers autres noms par lefquels ce droit eft défigné.
Divers fentimens fur l’étymologie de ce mot. VII . 972. a.
La grurie dans le premier fens eft un attribut de la haute-
juftice. C e 11e fut que depuis l’ufage des inféodations, que
la grurie fut démembrée de plufieurs hautes-juftices , pour
en former un fie f féparé. En Champagne la grurie étoit
encore féparée de la haute-juftice en l’an 13 17. La g a ine
de la forêt de la Cuifl'e , eft un fie f héréditaire dans la i
perfonne du feigneur du H aroy. Prérogatives de cè fief. Loi de I
Louis 8c de C lotaire, en laquelle il eft parlé du droit de grurie.
Ordonnance de Philippe-le-Bel, qui parle du ferment des
gruyers. Les gruriesavoient dès-lorsl’infpeétion furies eaux
8c forêts. En 13 34, les gruries royales furent érigées en titres
d’office, 8cc. Ibid. b. Il n’y avoit anciennement de grurie
feigneuriale que dans les terres des feigneurs qui avoient une
conceffion particulière du droit de grurie. En. 1707 , le roi
créa une grurie dans chaque juftice des feigneurs eccléfiafti-
ques 8c laïques. Les officiers de ces gruries furent en 1708,
reunis aux juftices des feigneurs moyennant finance. D if-
pofition d’une déclaration du 8 janvier 1723 , dont le but
étoit de ne pas laiffer les gruyers des feigneurs feuls maîtres
de la pourfuite de toutes fortes de délits indiftinélemcnt. Des
bois tenus en grurie. Droits que le roi en retire. Ibid. b. 973.
fl. Ces droits 11e peuvent être engagés ni affermés. Ordonnancé
à confulter fur les diverfes réglés qu’on obferve pour
les bois tenus en grurie. Appel des gruries royales 8c des
gruries feigneuriales. Auteur^i confulter fur cette matière.
Ibid. b.
Grurie ; exercice de ce droit. V IL 971 . a. Différence
entre grairie 8c grurie. 837. a.
GRUTTER, {Jurifpr) ancienneté de l’inftitution des gruyers.
Dîfferens noms qu’on leur donne. Ordonnance de l’an 1318
Sc fentenee de 13 6 3 , dans lefquelles il en eft parlé. D é -
fenfe faite aux gruyers en 13 4 6 ,14028c 1313. Gruyers royaux
g luy ers feigneuriaux. Création des premiers en titre d’offi-
ùe. Ordonnances qui preferivent de donner caution lors de leur
réception. Leurs offices déclarés héréditaires en 13 83 .VII. 973.
b. Création 8c fuppreffion des gruyers alternatifs , triennaux
8c quatriennaux. En 1 7 0 7 , création d’un gruyer dans chaque
juftice des feigneurs. Ces offices réunis en 1708 aux
juftices des feigneurs. Devoirs 8c fonétions des gruyers fui-
vant l’ordonnance des eaux 8c forêts. D e l’appel des g ruyers
royaux. To us feigneurs hauts-jufticiers ont droit de grurie.
Réglement de Charles V . 8c lettres de Charles VI.
qui montrent que le droit de grurie avoit été déjà accordé
à des feigneurs. Il paroît aufii qu’au deffus de ces gruyers
feigneuriaux, il y avoit un gruyer général fur toute la province.
P ouvoir des gruyers feigneuriaux. D e l’appel de leurs
femences. Ibid. 974. a. Voyez Sergent -Ma ît r e .
G R U Y E R E S , Comté de , ( Géogr. ) c ’étoit anciennement
un comté çonfidérable en Suiffe. O bfervations fur les anciens
comtés de ce nom, 8c particuliérement fur Michel de G ruyères
, dernier de ces comtes. Suppl. III. 273. æ.
Gruyères, fromage de ce nom. V I. vol. des planch. à la
G R YM O IR E , ( Divinat. ) art magique d’évoquer les âmes
des morts. Dans plufieurs provinces,le peuple eftperfuadé de
la réalité, de;/cet-art. V IL 974. b.
G R Y PH IT E , {Hifl. nat. ) coquille foffile dont l’analogue
vivant nous eft inconnu. Sa defcription. Wallerius en diftin-
gue trois efpeces. V II . 974. b.
V *- v °l- des planch. coquilles foffiles, pl. <.
G RYPHIUS , {Sébafiien ) imprimeur. VIII. 627. a X IV
2 J9. fl.
G U
G U A , ( / Abbé de) extrait de fon mémoire fur l’algebre. I.
vt? t ‘ © , ^es diflertations fur les équations algébriques.
AUI. 74«. b. 749. h.
G U A C A , ( Géogr.) province de l’Amérique méridionale.
Fameux chemin des mcas que l’on commence à yo ir dans
cette province. Hôtelleries dont ce chemin eft garni par in-
1 M B M y prend des voyageurs. VII. 974. j j
G U A D A , ( Bot. ) efpece de bambou. Suppl. I. 7 7 i . b.
G U A D A L A JA R Â , v ille d’Efpagne dans la n ouvelle Caftil-
le. Diverfes obfervations fur cette ville. Elle eft la patrie de
Gomez de Cindad-Réal. ( Alvarès ) Ouvrage de ce poète,
v i l . 973. fl. r
G - da l a JARAj {Géogr. ) province de l’Amérique fepten-
G U A 877
trionale dans la nouvelle Efjjagne. Defcription 8c fertilité de
ce" eT Province. Ses villes les plus confidérables. VII. 07? a
G U A D A L O U P E , v ille d’Efpagne. Obfervations Fur fon
couvent d Hieronymites. V II . 973. a.
Guadaloupe, ( la ) l’une des ifles Antilles. Sa defcription.
VII. 973. a. 1
Guadaloupe, (Géogr. ) une des Antilles. Son étendue.
V a , fl111 la coupe. Rochers au centre de l’ifle. Defcription
de la montagne appellée la Soulphriere. Hiftoire de l’établiffe-
ment des Européens dans cette ifle. Suppl. III. 273. a. Etat
de la colonie en 1700 8c en 1733. La Guadeloupe conquife
par ies Anglois, & enfuite reftituée à fes anciens poffeffeurs.
Pentes ifles de fa dépendance. Ibid. b.
Guadaloupe, montagne ou foufriere de cette ifle:
grotte de cette montagne. X V . 402. b. 4o-î a
G U A D A L Q U IV IR (/ e ) cours de ce fleuve. V I I . 973;
a. Propriété-que les Efpagnols attribuent à fes eaux. Signi-
ficanon du mot Guadalquivtr. Changemens arrivés à ce fleuve
qUM ?A ™ a x?AdeS, a,n? ens- 9 975- Voyez BÉTis.
G U A D IA N A y ( l e ) obfervations fur le cours de cette
riviere. Gompofition du nom Guadiana. Pourquoi on a cru
que cette riviere fe perdoit fous terre. Obfervation d’un bel
efpnt du fiecle fur les fleuves d’Efpagne. V II . q7< b
G U A IA C A N A , ( Botan. ) voye[ Guiacana , Plaque-
MINIER. -
GU AIN IER ( Bot.) arbre de Judée. Son caraftere générique.
Suppl. III. 273. b. Defcription , culture , qualités 8c
ufages des deux efpeces connues. Lieuxjpù elles croiffent.
Ibid. 276. a. Voyeç GAINIER.
G U A IR A N E , \ Géogr. ) province du Paraguai. Obfervations
fur le climat, la qualité du terroir, les produélions du
p a y s , lés animaux qu’on y tro u v e , 8cc. Fleuves qui l’arro-
fent. Etendue de cette province. Armes dont les guairains fe
fervent. O n les dit antropophages. Poffeflions des Efpagnols.
V i l. 976. fl. ' C B ,
G U A L A T A , (Géogr. ) royaume de Nigritie. Ses bornes,'
1 “ ef , H blté Par les Peuples qui mènent une vie très-mi-
lerable. Ses produélions. Ville fans murailles nommée H o -
den qui fe trouve dans ce pays. Diftinéïion de cette place.
V i l. 976. a . r
G U A L A T A , faute à corriger à cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. III. 276. b.
, ( Galeajfo ) hiftoriographe de l’empereur;
X V 11. 263. fl. •
G U A L T E R , (Rodolphe) théologien réformé. X V I I . 746. b.
G U A L T E R IA . (Botan.) Caraétere générique de cette
plante. Defcription de cet arbufte. Lieux où il croît. Sa culture.
Propriété médicinale de fa racine’ Suppl. III. 276 b
G U A L T E R T O , (Philippe-Antoine, ) cardinal. V I <41 ’a
G U A L T IE R I , fa diftribution des coquilles. IV . ‘192. À
G U A M , ou Guan ou Gaahan. ( Géogr.) l’une dès ifles
Marianes ou des Larrons. Elle dépend des Efpagnols. Elle eft
un lieu de rafraîchiffement pour leurs vaiffeaux. Terroir de
Guam ; fes produélions en fruits ; vent réglé qui régné dans
cette ifle ; obfervation fur les naturels du pays. V IL 976. b.
G U A M , ou Guan , ( Géogr.) la plus méridionale des ifles
Marianes. Sa grandeur. Sa diftance de l’ifle Sarpana. Suppl.
G U AM A N G A , ( Géogr.) ville du Pérou. Q u el eft fon
commerce. V IL 976 b.
G U A N A H A N I , Ifle de ( Géogr. ) ifle de S. Sauveur, la
première terre que Colomb découvrit le jour que les Efpagnols
avoient deffein de le tu er, fatigués de ne rien trouv
er. VII . 976. b.
G U AN A P I , (Géogr.) Volcan des Indes orientales. L e canal
entre cette montagne 8c Néra , comblé par ce volcan
dans le dernier fiecle. VII. 976. b.
G U A N A Y A , (Géogr.) ifle de l’Amérique. Nom que lui
donna Chriftophe Colomb. Tranfport que les Efpagnols y
font des marchandifes. V I I . 976. b.
G U A N Ç A V E L IC A , ou .Guancabelica , (Géogr.) petite
v ille du Pérou. C ’eft auprès de cette ville qu’eft J» grande
minière de mercure , qui fert à purifier l’or 8c l’argent dé
toute l’Amérique méridionale. Defcription de cètte mine. Les
particuliers y font travailler à leurs frais, 8c le roi d’Efpagne
leur paie le mercure à un prix fixé. On en tire tous lès
ans pour un million de livres. Tranfport qu’on en fait. Combien
ce travail eft nuifible à ceux qui le font. Qualité de la
terre qui contient le v i f argent. Maniéré de la travailler pour
en tirer le mercure. V II . 997. a.
G Ü ÀN IG U E L LE S , philofophes du Malabar. IX . 922. b;
G U A P E R U A , (Ichthy.) Efpeces de guaperua nommées
beer-yifeh. Suppl. I. 844. b. Cafu cafu. Suppl. II. 268. a.
G U A R C O , ( Géogr.) vallée du Pérou. Fortereffe que
les incas avoient fur fon côteau. Ses ruines fout encore con-
iioicre quelle en a été la magnificence. Ancienne population
de cette vallée. VII. 977. b.
G U A R D A FU I , ( Géogr. ) Faute à corriger dans cet article
de l’Encyclopédie. Suppl, III, 277. a.
N N N N N n n n n n