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aflèmblées des miniftres étoieut appelées confeil des anciens.
Jurifdiélion de ces affemblé'es. I. 441. a.
Anciens établis pour fe rv ir de c-onfeil à Moïfe. IV. 23. a.
Anciens chez les proteftans. Ceux des calviniftes lorsqu’ils
étoient tolérés en France. Ceu x des paroilTes d’Écoflê. I.
441. b.
A nciens, {Belles - leur. ) dans les dialogues de Perrault
intitulés parallèle des anciens & des modernes, l’un des interlocuteurs
prétend que c’eft nous qui fommes les anciens
parce qu e, dans la durée du monde, de même que dans
la vie d’un homme , le dernier âge eft la vieilleffe. Ce
fophifme ingénieux, d’après lequel on a dit plaifanunent ;
le monde eft J i vieux, qu’i l radote, a été pris un peu trop
à la lettre par l’auteur du parallèle. L ’avantage que Fonte-
nelle attribue aux modernes d’être montés fur les épaules
des anciens eft très-réel du côté des connoiffances progref-
iiv e s ; mais en fait de talens., de génie & de go û t , la fuc-
cellion n’eft pas la même. Quand le flambeau du génie eft
é te in t, Sc que le goût s’eft dépravé, quels lents eri'orts rte
faut-il pas à la raifon & au génie même, pour le dégager
de la rouille de l’ignorance ? Suppl. I. 4 16. k.
Q u elle pitié de v o ir dans les dialogues fur les anciens &
•les modernes, oppofer férieufement de médiocres ou de
mauvais ouvrages du ftecle p a ffé , aux ch e fs-d’oeuvre de
l ’antiquité ! — dans quel autre excès ne font pas tombés les
partifans des anciens, par les éloges outrés qu’ils leur ont
prodigués ? Etoit-ce à la grofliéreté pédantefque à venger le
•goût ? avoient-ils peur que les beautés d’Homere 8c de
"Virgile ne fiffent pas oublier leurs défauts ? Ibid. 417. a.
En g én éral, rien de plus imprudemment engagé que cette
fameufe difpute. En oppofant toute l’antiquité au nouveau
régné des le ttres , on embrafloit mille ans d’un cô té , & tout
au plus quatre cens de l’autre. Et que pouvoit-on comparer ?
les orateurs ? Q u ’avoit de commun leur emploi fublime avec
celui de nos avocats ? & tous les grands reflorts de l’éloquence
républicaine ont-ils paffé de la tribune dans la chaire,
où la feule pafiïon qu’on excite e ft' la crainte , quelquefois
la pitié ? Les hiftoires ? mais quelques talens que la nature
eût accordés à ceux de nos tems de ténèbres , de barbarie
& de fe rv itu d e , auroient-ils pu donner au fer le prix de
l’or ? Ibid. b. Les poètes ? mais a-t-on pu prétendre que deux
régnés , celui de Léon X , & celui de Louis X I v puffent
entrer dans la balance avec toute l’antiquité. Q u ’on attende
encore quelques fiecles , & quand les tems feront égaux ,
o n aura droit de comparer les hommes. Par rapport aux
a r t s , il faut convenir que quand les modernes auroient
égalé les anciens en fculpture & en architecture , la gloire
de ces deux arts n’en feroit pas moins toute entière à ceux
q u i , les ayant créés , feront portés à un point d’élégance,
de correCHon , de nobleffe dignes de fervir de modèle.
Quant à la peinture & à la mufique , il faut favoir douter
des prodiges que l’on nous vante , mais ne pas aflurer fur
des preuves-légères que ces arts n’étoient qu’au berceau.
-Ibid. 418. a. Réflexions fur la maniéré dont Perrault a
plaidé là eau fe des modernes contre les anciens. Ibid. b.
Anciens , antiquité, ( Beaux-Arts) on ne fouroit d ifeonvenir
que les Grecs & les Romains ont porté les arts à un degré
de perfection que les modernes n’atteignent que trè s -ra re ment.
Réflexions générales fur le goût des anciens relativement
à l’éloquence & à la poéfie. Suppl. I. 418. b. C ’eft
à ce qu’il y a d’accidentel dans les formes fous lefquelles
le beau peut.fe préfenter, qu’on doit néceffairement foire
attention, lorfqu’il s’agit de juger des anciens. L a forme qu’ils
donnoient à leurs ouvrages de goût s’éloigne pour l’ordinaire
très-fort de la forme qu’on fuit aujourd’hui. C ’eft que
leur but n’étoit pas le même. I l n’y a peut-être point de genre,
foit en poéfie, foit en p ro fe, qui n’ait été dans fa première
origine introduit à l’ufoge de la religion ou de la politique.
Vo ilà ce qui juftifîe l’ufage des choeurs dans les tragédies
anciennes. Voilà ce qui montre comment certains traits qui
dépareroient un ouvrage moderne, répondoient parfaitement
au but principal de l’auteur. Pour juger fainement des ouvrages
de goût des anciens, il fout encore avoir conftamment fous
les y e u x , leurs moeurs, leurs loix & leurs ufoges. Ibid. 419. 4.
C e qui nous fomble décidé en faveur des anciens, c’eft qu’en
général leur goût étoit plus naturel & plus mâle que celui de
la plupart des modernes; qu’à cet égard, leurs ouvrages font
de beaucoup préférables aux nôtres, qu’ils ont été d’une utilité
plus eflentielle 8t plus propre à former des hommes d’état,
de bons citoyens & de braves foldats. Ibid. b. Les anciens
alloient droit à leur but; & comme leurs lo ix , leurs moeurs 8c
la nature du coeur humain étoient fans ceffe fous leurs y e u x , ils
ne pouvoient guere s’égarer. Leurs idées fe tournoient de
bonne heure vers la vie a û iv e , 8c leurs attions tendoient
toujours au grand. Doit-on s’étonner après cela de retrouver
dans tous leurs ouvrages une vigueur mâle, un jugement mûr,
un but marqué , caraéteres qu’on n’apperçoit que bien rarement
dans les ouvrages des modernes ? C ’eft plutôt en grandeur
de fentixnent q.u’en force de g én ie , que les anciens
A N D
; remportent fur nous. Ibid. 420. a. Vo ilà ce que nous devons
admirer dans leurs ouvrages : mais ce feroit pouffer la vénération
pour eux au-delà de fes juftes bornes, que de croire
que la forme même qu’ils leur donnoient, doive être notre
modèle unique. La forme d’un ouvrage eft accidentelle; on
l’abandonne à notre choix : il fuffit qu’elle ne répugne pas au
fujet, 8c que ce fujet foit grand. Ibid. b. .
A nciens, {L ïtt.) on trouve dans les ouvrages des foges
de l’antiquité, les femences de la plupart des découvertes
modernes. XH. 512. a. Défauts cle raifonnemens affez ordi-
. xiaires aux anciens. X V . 364. a. Auteurs à qui nous devons la
refti timon des ouvrages des anciens. IV . 490. a , b. Réflexions
lur 1 admiration exceflïve qu’on a pour les ouvrages Sc les
opinions des anciens. XII. 514. a , b. Raifon pour laquelle la
difpute fur le mérite des anciens 8c des modernes ne fera
jamais terminée. V II . 769. b. Les anciens furpaffés par les
modernes dans les ouvrages philofophiques. V . 918. a. Exagération
dans les éloges qu’011 a donnés à leurs ouvrages.
Suppl. I.463. a. Les talens des artiftes modernes préférés à
ceux des anciens. 594. b. Les artiftes du premier o rdre étoient
auffi rares chez eux que parmi nous. Suppl. III. 3 5 6 . Imperfections
dans leurs ouvrages. Suppl. IV . <93, a.
A ncienne loi. IX. 651. b. F ie f ancien. V I . 699. a.
. A N C IL E , ( Antiq. ) efpece de bouclier de bronze chez les
Romains. Les auteurs font partagés fur l’étymologie de ce
mot. 1. 441. b. Divers fentimens fur la figure de l’ancile. Les
Romains en confervoient douze dans le temple de Mars. Pro-
cefiion des anciles. Ibid. 442. a.
A N C IL L O N , {D a v id& Charles) pere Sc fils.X. 473.
A N C O B E R , ( Géogr. ) royaume d’Afrique fur la côte d’O r.
Obfervations fur ce pays. Suppl. I. 420. b.
A N C O L IE , ( Botan. ) c a ra ftero de ce genre de plante. Ses
propriétés 8c ufoges en médecine. I. 442. a.
A N C O N E , {Marche d‘ ) en quel tems les papes obtinrent
ce pays. X L 836. a.
A ncône, (A n at.). épithete de quatre mufcles qui vont
s’attacher à l’apophyfe ancon. I. 442. a. Defcription de ces
mufcles. Ibid. b. Voye^ Brachial.
A N C R A G E , voye^ Mouillage.
A N C R E , in finiment de marine. Sa defcription. I. 442. b.
Diverfes fortes d’ancres en ufage dans les vaiffeaux. Celles
des anciens. Ibid. 443. a.
Extrait de la piece de M. J. Bernoulli, fur la meilleure figuré
des ancres. I. 443. a.
Extrait du mémoire de M. Tréfoguet, fur la meilleure maniéré
de forger les ancres. Ibid. b. Defcription de la machine qui
meut le martinet, & du jeu de cette machine. Ibid. '444; b.
Explication de toutes les épithetes jointes au mot ancre, 8c de*
toutes les phrafes où ce mot eft employé. Comment doit
être rangée une flotte qui mouille dans un port ou dans une
rade où il y a déjà beaucoup de vaiffeaux. Ibid. 443. b.
Ancre. Figure d’ancre, vo l. V II . des planch. Marine, pl. II.
Ancre d’aftourche. I. 162. b. Suppl. I. 1S8. a. Boffoirs pour
foutenir l’ancre. IL 339.b. Efpece de marque deftinée à indiquer
l’endroit où l ’ancre eft mouillée, lorfque le cable s’eft
rompu. II. 335. a.Jas d’ancre. V I I I . 463 .b. Patte d’une ancre.
XII. 187. b. 188. a. Petites ancres appellees grappins. V II . 860.
b. Ancre des Chinois. X V . 329. b. X V I . 806. a. Ancre à la
veille. X V I . 873. <*. E njabler une ancre. V . 689: h. Brider
1 ancre. II. 4x8. a. Mouiller une fécondé ancre , voye?
A ffourcher. Force des ancres. Treize planches fur ce fuiet
dans le vol. V U . 1 *
A ncre, {Blafôn) noms de fes différentes parties. Signification
de ce fymbole. Suppl. I. 420. b.
Ancre, figure fymbolique. X V . 729. b.
A ncre, { Horlog.) échappement à ancre. V . 234. b. XTV.
140. b.
A ncre , {Serrur.) defcription de la piece qui porte ce nom.
1 . 446. à.
A ncre, {Maréchalle d ' ) accufotion formée contr’elle.
X V . 372. a. Saréponfeau confeiller Courtin. X IV . i-iS. a.
A N CU S M A R T IU S , {Hift. rom.) quatrième roi de Rome.
Tableau de fon régné. Suppl. I. 420. b.
Ancus Martius, roi de R om e , hiftoirc de fon régné. X IV .
326. a.
A N C Y R E , ( Géogr. ) v ille d’A fie. X VI. 3. a. Difpofition du
concile d’Ancy re fur le célibat des prêtres. II. 804. b.
A N D A G U E L A F S , (Géogr.) v ille du Pérou. Pont fameux
bâti près de ce lieu. XIII. 72. b.
A N D A N T E , le fécond des quatre principaux' degrés de
mouvement établis dans la mufique italienne. Son diminutif
andantino.I.446. b.
A N D E B , ou A intab , ( Géogr. ) v ille de la Turquie
d’A f ie , au gouvernement d’A lep. Sa defcription. Suppl. 1. 421. a.
A N D E C O L L , obfervations fur l’or d’A ndecoll, près de
Coquimbo. IX. 313.a.
A N D E O L , Saint- , {Géogr. ) Suppl. IV . 694. b.
A N D E R SO N , obfervations for la defcription que cet auteur
a donnée de l’Irlande. VIII. 9 16. a.
A N D
A N D E S , le s, {Gcogr.) chaîne de montagnes au Pérou ,
la plus grande qu’il y ait auwoncle. Sa longueur. Hauteur de
ces montagnes. Effets qui en réfultent.. Volcans dans cette
chaîne. Suppl. I. 421.
Andes, Cordelieres des andes, montagnes du Pérou. IV .
214. a , b. X. 673. b. Voye^ CORDELIERES.
 N D IM A L L E R I , ( Botan.) efpece de jalap. Ses autres
noms. Lieux où croît cette plante. Sa defcription. Suppl. I.
42 x. b. Ses qualités & ufoges. Trois efpeces d’andimalleri.
Erreur de Linnæus. Ibid. 422. a.
A N D IR A , ou A ngelyn , ( Botan. ) arbre du Brefil. üfoge
de fon noyau en médecine. I. 447. a.
A N D IR A -G U A C U , ( Hift. nat. ) efpece de chauve-fouris.
Sa defcription. I. 447. a.
A N D JU R I , ( Botan. ) arbre des ifles Moluques. Ses autres
noms. Defcription, Suppl. I. 422. a , qualités 8c ufoges de
cette plante. __ Ibid. b. Deuxieme efpece, hanet. Lieux où cet
arbre croît. Sa defcription, fes qualités 8c ufoges. Troifieme
efpe ce , kann. Ibid. 423. a. L ieux où elle croît. Sa defcription ,
fes qualités 8c ufoges. Quatrième efpece, ulit-helawan. D e f cription
, qualités 8ç ulàges de cet arbriffeau. Maniéré de
dalle r l’andjuri. Ibid. b.
A N D O V E R , {Géogr.) v ille d’Ang lete rre , dans le Southampton.
Foires qui fe tiennent awxrès. Suppl. I. 423. b.
A N D O U IL L L , comment fe font celles de co chon , 8c
■ celles de veau. I. 447. b.
Andouilles de tabac, maniéré de les foire. I. 447. b.
A N D O U IL L E R , terme de v én erie, voye[ B o is de cerf.
A N D R A , ou A rdra , ( Géogr. ) fleuve , royaume 8c v ille
d’Afrioue en Guinée. Erreur à corriger dans l’Encyclopédie.
Suppl. I. 423. b.
A N D R A N O D O R E , {Hift. de Syracufe) gendre d’Hiéron,
afpire après lui à la tyrannie. Les Syracufoins le maffacrent
a v e c fa femme 8c fes enfons. Suppl. I. 424. a.
A N D R É , ( faint ) apôtre. Obfervations fur les aftes ou
pièces concernant fon martyre. XIII. 343. a.
A ndré, {fain t-) {Géogr.) v ille d’Ecoffe. Parallele de ce
qu’elle étoit autrefois 8c de ce qu’elle eft à préfent. Suppl. I.
424. a.
A ndré , ( l ’ordre de faint ) en Ruflie. Son inftitution. Marque
de l ’ordre. Suppl. 1. 424. a.
A ndré , ( l ’ordre de faint ) du Chardon 8c de la Rue. Ordre
militaire en Ecoffe. Son inftitution. Suppl. I. 424. a. Grand-
maître de l’ordre. Chevaliers. Marque. Ibid. b.
A ndré , ( ordre de faint ) en Ecoffe. X I. 603. a. Parlement
de la S. A ndré. X II. 63. a.
A ndré, {Jean) ne mahométan 8c converti au chriftia-
nifme. X V I I . 630. b.
A n d r é , ( Jacques) théologien luthérien. X V I I . 646. a.
A n d r é , ( le maréchal de faint-) obfervations fur un pref-
fentiment qu’il eut avant la bataille de Dreux. XIII. 322. b.
A n d r é , (le P .) jéfuite. Son effai fur le beau. II. 173. a , b.
A ndré I I , roi de Hongrie; ce qu’il fit pour foire le ve r
l ’interdit mis en 1232, fur fon royaume. V II I. 816. b.
André de la croix, emplâtre qui porte ce nom. V . 389. a.
A N D R E A S , médecin. X. .279. a.
A N D R E IN I , ( Ifabelle ) célébré comédienne de Padoue.
XI. 741. b . ' -
A N D R IN O P LE , boftangi-bachi d’Andrinople. H. 340. a.
A N D R O , {G é o g r .) ifle de Turquie en Europe, dans
l ’Archipel. Sa population. Son principal bourg. Ses productions.
Ruùies de l’ancienne ville d’Andro. Suppl. I. 424. b.
A N D R O G Y N E , ( Hift. nat. ) animal q u i, par une conformation
monftrueufe, paroît réunir en foi les deux fexes.
Defcription de ce défaut'de conformation. I l paroît par les
obfervations des naturaliftes, qu’il n ’y a point de parfait andro-
gyne. C e malheur ne donne point le droit de priver ceux
en qui la nature le fait rencontrer, des privilèges dus à tout
citoyen. Suppl. I. 424. b. On ne doit pas même interdire le
mariage à un androgyne qui y feroit fervir le fexe dominant
chez lui. Ibid. 423. a.
A ndrogynes , hommes de la foble qui avoient les deux
fe xe s , deux têtes, quatre bras 8c deux pieds. Etymologie du
mot. Quelques rabbins ont cru qu’Adam avoit été créé andro- i
gyne. Fables de Platon fur l’origine des androgynes. D ’où
cette idée peut avoir été empruntée. Ufage qu’en font les
poètes P°ur expliquer la caufo de ce penchant qui entraîne un
fexe vers l’autre. I. 448. a.
A N D R O ÏD E , {Méchan.) automate qui par certains refforts
foit des fondions extérieurement femblables à celles de
l ’homme. Etymologie du mot. Celui qu’avoit foit Albert-le-
grand. Fluteur automate de M . Vaucanfon. Defcription extérieure
8c intérieure de cette machine, 8c de la maniéré dont
fe produit l’effet qu’on s’eft propofé en la compofant. 1 .448. b.
44 9 » 4^o. R éflexion fur le merveilleux méehanifme de cet
androïde. I. 431. à.
A N D R OM A CH U S , médecin. X. 279. a.
A N D R OM ED E , monument qu’on a cru trouver à Joppé
de l’expofition dç cette femme à un monftre marin. VIII. 881. b.
71
boréale, Suppl. I,
conftellation dans
fille d’Aé tion, roi
A N E
^ANDROMEDE, (^ » » .X co n fte llR îiQ ,
“ nflcllari
M M M i M i i l M I I i a i e JA itio n
de Thebes en Ciheie. Ses aventures. Suppl. I. , ’
A N D R O N IC U S , philofophe péripatéticien. X lV . 23 3 «
A ndronicus, comédien qui introduifit la comédie'à
Rome , XII. 734. b. 842. b. de même que l’ufage de partager
entre deux adeurs-le chant 8c legefte. 833. b. ObfervatFon
fur fes meces 8c fon aéhon. IV . 686. b.
B l h' mer E° éc- Rl,ilIes cette lue. A l . 777. b. de Paléopolis dans
S ’ ( D B ) ™ res noms de cette plante.
fa ip r t ? X IV . 5 0 . * * ” “ Hecquet, fur 1a
i J f f î î. 3 hm° ,re MtUrélIe & der™ P “ on de cet
' ’ “ B f g I H de B animal. X V IL B l * h
Vers auxquels les ânes font fujets. III. 303. b. * ’
A ne fauvage, l’efpece en eft différente de rell« n* ^
domeftiquiL Ufage qu’on fait de f i peau. I. 4 3 2 . I Les dëfo
cnptions qu on a de cet animal font imparfaites. Ibid. b.
II 380 j j auva&e * e*Pece indiquée fous le nom de camphur.
A ne fêtes des ânes qu’on célébroit autrefois à Rouen. V I
373. b bur quel fondement les païens prétendoient que le 's
juift adoroxent un ân e , ou une tête d’ân e , ou un dieu H
486 * ^ PICS dane- L 439: b- V I . 116. a. VII I. 302. b. X L WÊÊ • BB1 he*= B B vm- n 109. a , b. A V I . 762. b. Sas d’âne. XH.
A ne , pas d- (J to t t) forte dé mords. X II. m , A Sorte de
reffort dont les horlogers font ufage. Ibid. b.
A n e , outil fur lequel on évuide les dents d’un peigne.
Explication de cet inftrument. L’âne eft aufli à l'ufo g edes
ouvriers en marqueterie. Defcription par figure I h R wÈÈÈÊÈËm V 1 1 ment furnatllrel & métaphyfique. Quelques
plulofophes penfent que l’anéantiffement eft une c o n ïW n c e
III 2 ’ i 6 ^ 3 PUrG inaâion de Dieu Pur la créature. I.
^ A N E C D O T E S , ( H ift.an c .* . mod.) les Grecs donnoient
ce nom aiuc chofes q uonfa ifoit connoître pour la première
fois au public. Acception de ce mot parmi nous. Livre de
r rocope, intitulé Anecdotes. 1. 43 2. b. Anecdotes de la maifon
de Florence, par Varillas. Autre fens de ce mot. Anecdotes
grecques , trefor d anecdotes. Ibid. 433 .a .
A N É E n r a a mrfure de grains. Celle de L y o n , de
Maçon, de Marfeille. I. 433. a. J
AN ÉM OM È TR E {Phyfiq. ) machme qiü fert à eftimer
la force du vent. Defcription de trois dflférens anémomètres.
1. 453- a-
3.1 '£nf nometre‘ X V I 1 - 2 I - a- Anémomètre fonnunt. Suppl, H
A N ÉM O N E , ( Bot. ) defcription. Différentes eïpeces d’anémones.
Culture de cette plante. Ses propriétés en médecine,!
A n ÈM O S CO P E , {Phyfiq. ) machine qui aide à prédire
, enangemens du vent. Celui qu’on fait des boyaux d’un
chat. Ce lu i des anciens. Anémofcope de Otto de Guericke
i -453- b- ''
ANES , {Aftron. ) deux étoiles de ce nom dans la conftel-
lation du cancer. Suppl: I. 423. b.
ANESSE , obfervations fur le lait d’ânefle. IX. 201 a
Ufoges médicinaux de ce lait. 206. b. Maniéré de nourrir
laneffe. 207. a. *
A N E T , {Botan. ) genre de plante à fleurs en ro fe , &c.
Facilité de la cultiver. Son odeur. Analy fe desfommités de
cette fleur. Ses ufoges en médecine. Préparations d’anct.
Effet de fon huile. Ufogè de fes graines 8c fleurs. I. 434, à'.
A net , {Epicuréifm. modem. ) école d’anet & du temple à
Paris. V . 783. b.
A N É V R Y SM E , {Chir.) tumeur faite de fong par la dilatation
ou l’ouverture d’une artere. A né vryfme vrai. Ses
caufes. I. 434. a. Il eft plus ou moins dangereux,' félon fon
volume 8c la partie où il eft fitué.
Anévryfme faux. Ses caufes. Sa cure. IBid. b. Opération
de l’anévryfme vrai. Ibid. 433. a. Opération de l’anévryfme
faux. Ibid. b. Anévryfme enkifté. Son traitement. Ibid. 436. a.
Tumeur anévryfmale. Comment elle fe forme. Ibid, b Traitement
& opération de cette tumeur. Ibid. 437 .’e. Reniirque
eflentielle de M. Foubert fur l’opération de. l ’aiiévryfine
enkifté. Ibid. b. J
Anévryfme, danger de la ligature de l’anévryfme du bras.
Remede qui en difpenfe & guérit parfoitenïent. I. 72 1 . a.
Aiguille pour l’opération de l’anévryfme. 203. b. Caufe de la
gangrené dans l’anévryfme faux. VII. 469. b.