936 H U M
■ répandent fur la peau. Suppl. IV . 264. a , b. Effets de la circulation
des humeurs fur leurs qualités propres.' Suppl. I.
7 53 . b. D e l’a&ion du feu fur nos humeurs. 754. b. Effets
que produit fur elles la diminution dé la chaleur animale.
Ibid. Effets de l’élafticité de l’air qu’elles renferment. 755.
b. Comment l’air intérieur agit fur elles. Ibid. Effets de l’eau
fur les humeurs. 756. a. Des vices des humeurs. Humeur morbifique
: voyc^ ce mot. Les vices qui peuvent affeéter lé foie
influent fur toutes les humérus. VI. 36. a. Vices dès humeurs,
caufes de plufieurs maladies dans les enfans. V . 638.
b. Acreté dans les humeurs. I. 113. a , b. 114. a. Caufe
de leur plus ou moins de fluidité 8c d’àcreté. Suppl. I. 733.
b. Diminution & âcreté des humeurs dans la vieilleffe. Suppl.
IV . 74. b. Abondance des parties terreufes dans les humeurs
des vieillards. 73. a. Humeurs aduftes. I. 133. b. Allcalef-
cence des humeurs. 275. a. Leur coagulation. III. 334. b.
Colliquation, 641 , a , b. concrétion, 829. b. congeftiôn, 867.
a. corruption, iV . 278. b. crudité, 3 20. a , b. décompofition,
699. b. V III. 636. a., b. &c. Dérivation. IV . 868.*. Dérivation
des humeurs dans les inteftins. 947- b. Qualité écumeufe des
humeurs. V . 378. b. Leur effufion par les vaiffeaux rompus,
4x3. a. leur épàifliffement. 744. a , b. Humeurs froides , V .
373. a , b.. Inflammation des humeurs, VII I. 708. b. &c. leur
rancidité, XIII. 787. b. 788. a. leur révulfion, X IV . 240.
a. ténacité , X V I . 122. b. vifeofité. X V II . 338. Z>. 339. a.
H um e u r s , vices ou maladie des ( Médecin. ) D e la pléthore
d’humeurs ou intempérie humide. Il s’agit principalement
ici de la pléthore fanguine. Cette maladie diftinguée
en plufieurs efpeces , fa v o ir, la pléthore à la maffe; Suppl.
III. 464. a. la pléthore au diamètre, qui vient de la capacité
diminuée des vaiffeaux, la quantité de fang n’étant pas
diminuée à proportion ; 8c enfin, la pléthore au volume qui
v ient du volume.augmenté d’un fang raréfié, quoiqu’ilne loit
point du tout furabondant. Caufes de ces différentes plénitudes.
D e la pléthore aux forces, dont les anciens ont fait
mention. Pléthore enchymique 8c cacochymique. Pléthore
avec commotion. Ibid. b. La difette du bon fang n’a guerelieu
que lorfqu’il arrive une évacuation fubite 8c conlidérable,
& ne peut durer long-tems, fans que la quantité foit viciée.
I l s’y joint encore le v ice que, produit l’abffinence. L’embonpoint
peut auffi avoir lieu ici. Il marque un excès de
graille faine, répandue dans les parties; excès qui gène les
fonétions. Caufes de l’embonpoint qui accompagne ou remplace
la pléthore. Tempéramens qui y font fujets. D e la
maigreur: fes caufes, parmi lefqnelles on compte particuliérement
l’acrimonie des humeurs. Rapport réciproque 8c conf-
tant qui doit être entre les humeurs 8c leurs vaiffeaux , entre
les parties contenues 8c contenantes. Ibid. 463. a. Le rapport
détruit donne lieu à une claffe de maladies, appellées
erreurs de. lieu, dont les principales efpêces font les erreurs
des humeurs circulantes, celles des humeurs féparées. Ibid.
b. Celles des humeurs épanchées, l’erreur de la matière nutritive
, Ibid. 466. a. 8c enfin l’erreur des fluides fecrétoriés.
Defcription, caufes 8c fuites de ces maladies. Les humeurs
de notre corps ont deux mouvemens ; 1 un inteftin, qui appartient
à leurs molécules , l’autre p rogreflif qui appartient à
toute la maffe. L’un 8c l’autre font néceffaires pour la fanté ;
mais il faut qu’ils foient dans un degré modéré. : parce que
les excès , défauts ou dérangemens quelconques qui leur arr
iv en t, font toujours fuivis de la perte de la fanté. Des
caufes qui peuvent altérer le mouvement inteftin. L’autre
mouvement peut être vicié par augmentation, par diminution
d e fa vélocité 8c par une direétion contre nature. Caufes de ces
altérations. Ibid. b.
Humeur , ( Morale) on donne ce nom aux différens états
de Famé , qui paroiffent plus l’effet du tempérament, que
de la raifion 8c de la fituation. Efpece de chagrin auquel on
donne le nom d’humeur. VIII. 331. æ. Remedes contre l’hu meur.
Ibid. b.
Humeur , bonne , caraélére de la bonne humeur. Ses
effets. Caufes qui peuvent la détruire. Moyens dé la produire
en nous. V IIÏ. 3 3 i . b.
Humeur , ( Mégifjîer) faire prendre de l’humeur aux peaux.
.VIII. 3 3 1 .* / : -
HUMIDE. ( Phyftq. ) Q u el eft lé premier corps 1 xttmide félon
les anciens. VIII. 331. b.
Humide. ( Médec. ) Doéïrine des Galéniftes fur l’humide.
V I I I . 331.*.
Humide , voie, ( Chymie) procéder à la diffolution d’un fu-
je t chymique parla voie humide. VII I. 332 .a . ‘ ....
Humide, voie. X V II . 422. a. Calcination par voie humide.
II. 343. a. départ par voie humide! IV . 851. a , b. VIII.
9 H | 1 1 ■ 1 1 ■ 'w1’ I
HVMlDfcradical, (Médec.) terme fort employé par les anciens.
VIII. 3 3 2. a.
H UM ID IT É , définition qu’Ariftote en donne. Celle des
Péripatéticiens. C e lle des modernes: L’humidité confidérée
o u comme appartenant au. corps-fluide , ou comme apparte*
uant au corps iolide auquel le fluide s’attache. L ’humidité u’eft
H U N
qu’ une efpece de mode relatif. L e vif-argent eft humide pour
certains corps, 8c ne l’oft: pas pour d’autres. Il en eft ainli de
l’eau. VIII. 3 3 2. a. La texture feule des corps peut faire auffi
qu’un fluide devienne humide. L'air eft un fluide très-fujet à l’humidité.
VII I. 3 3 r'.b.
Humidité /fluidité, différence. V I . 890. b. Liquide 8c humide
ne1 font pas non plus la même choie. 7*/</.,Machines qui mefu-
rent les divers degrés d’humidité de Fair. VIII. 388. a , b , 8c?.
Suppl. III. 479. b. Changemens que la féchereffe 8c l’humidité
produifent dans Fatmofphere. I. 23 3. *. Tous les fels fe mêlent
plus aifément 8c agiffent avec plus de force dans un air humide.
Ibid. D anger de l'humidité pour la fanté. I. 236. a. V . 193. a.
Ses effets fur les fibres animales 8c végétales. I. 233. b. Ses
effets fur certaines drogues. 233. b. Utilité d’un air humide
dans certaines opérations chymiques. Ibid. Caufe de l’humidité
qui s’attache à un verre plein d’une liqueur glacée. V I . 283. b.
L’humidité néceffaire à la germination. X V I . 934. a. Liqueur
qui attire puiffamment l’humidité de Fair. IX. 363. *.
Humidité , (Médec. ) qualité galénique. VIII. 332 .b.
H UM ILA , princeffe de la nation des Goths. IX. 302. a.
HUMILIÉS, l ’ordre des, (Hift.monafl.) hiftoire d e c e to r -
dre. VIII. 3 32. b.
H UM IL IT É , ( Morale) forte de timidité naturelle ouac-
quife , qui nous détermine fouvent à accorder aux autres
une prééminence que nous méritons. Réflexions qui la font
naître. VII I. 332. b. L ’orgueil eft l’oppofé de l’humilité.
Efpece de flatterie qui n’eft qu’une fauffe humilité. Différence
entre l’humilité 8c la modeftie. Ibid. 333. a. Voyc^ Humble.
Humilité. Réflexion qui tend à humilier l’homme fur facon-
dition p réfente. I. 342. *. Raifon de ne pas tirer vanité de fes
bonnes qualités. X V lI . 233. b.
H U M O R A L , ( Médec. ) principe de la diftiaélion des maladies
en humorales 8c nerveufes. X V . 436. b. Fievres humorales.
V I . 734. b. X V . 4^. b.
HUM OR ISTES , ( Littérat. ) membres d’une académie de
Rome. Fondateur de cette académie. Sadevife. Obfeques de
M .P eire fc, célébrées dans cette académie. VIII. 3 3 3 . a.
Humoristes , ( Médec. Y médecins de la feéle galénique.
L eu rd o a r in e.V III .3 3 2 .fl. -
Humorifles , leur doârine touchant la matière morbifique.
X. 193 . a , * .
H U M O U R , ( Morale') mot anglois qui défigne une plai-
fanterie originale, 8c d’un tour fingulier. Ca ra aere des plai-
fànteries de Swift. Celle par laquelle il empêcha le gouvernement
anglois d’ôter aux Irlandais les dernieres reffources de
leur commerce. VII I. 333. a. Saplaifanterie fur Patridge faifeur
d’almanach. Les mémoires du chevalier de Grammont font
auffi pleins d’humour. Ibid. b.
H U N A U LD ( François-Jofleph) anatomifte. Suppl. I.
4° 7- .
H U N D IN G ., roi de Suede : fon attachement pour Had-
ding , roi de Danemarck. Suppl. III. 286. a.
HUNE. ( Marine ) Il y a une hune à chaque m â t , qui porte
le nom dît mât où elle eft poféè. Divers ufages des hunes.
VII I. 333. b. D e la grandeur 8c des proportions dès hunes.
On les couvre de peau de mouton, &c. Lorfqu’il s’agit d’un
combatony place de menues armes. Hunes de perroquet. Ibid.
^ ^Hune. Barre de hune. II. 91 . b. Cadene des hunes. 313.' b.
Cercles de hune. 837. a. Clé ,d e fond de mât, clé de mât de
hune. HE 319. fl. Courbâtons de hune. IV . 377. b. Voye[ les
planches de marine.
H U N G ERU S , ( Wolfgang) jurifconfulte allemand. X V I I .
w m a -
HU NIERS, (Marine) voiles qui fe mettent aux mâts de
hune. Quelquefois on entend par ce mot le mât de hune :
voyeç cés mots. A v o ir les huniers à mi-mât, avoir les
huniers dehors, mettre le vent fur les huniers , hiffer 8c
. âinener les huniers , amener les huniers fur le ton. V I IL
f f îÈW M „ k
H U N N IU S , ( (Egidius ) théologien. X V II . 646. a. .
H U N S , (Hifl. ) peuple nombreux de laT art’arie occidentale.
Leur empire fondé 1200 ans avant Jefus-Chrift. Leur
hiftoire n’eft connue que depuis 209 ans avant l’ere chrétienne.
Précis de cette hiftoire. VIII. 334: a. Exploits
d’Attila. Defcription des Huns. Leur maniéré de vivre.
Comment..ils combattoient. Leur caraélere odieux. Ibid. b.
Huns, leur patrie, VIII. 284.*. leur irruption en Orient.
V I . 689,5.
H U N T ou Haut, ( Géogr.) province de la Baffe-Hongrie.
Ses productions. Son étendue. Suppl. III. 467. a.
H U NT ER , ( Guillaume ) anatomifte , Suppl. I. 4 1 1 . a. 8c
phyftologifte. Suppl. IV . 360. a. Ses injeétions. Suppl. III.
602; a.
H U N T IN G T O N ou Hundington, ( Géogr.) ville d’Angleterre
, dans laquelle naquit Cromwell en x 3 30. VIII. 334.
b. Portrait de Cromwell par M. de Voltaire, rfofpérité de
l’Angleterre fous cet ufurpateur. Succeffeur qu’il fe donna.
Ses funérailles. Hiftoricns qui ont écrit fa v ie . Son éloge funèbre
H U Y 937
bre par Waller. TraduéUon de cet éloge par M. de Voltaire.
VII I, 3 ce:
HU PE , lupcgci(Ornitkol. ) defcription de cetoifeau. VIII.
3’33 ■
H U R A , ( Botan.exot.) arbriffeau d’Amérique. Ses cara&e-
res 8c fa defcription. Explofion violente de fon fruit lorfqn’on
le laiffe mûrir fur la plante. Propriété médicinale de fes femen-
ces. Ufage de l’écorce du fruit. V I I I . 333. *.
H U R E , ( Blaflon ) tête de fanglier, voye^vo 1. II des planchas
, blafon , pl. 3. Hure défendue , hure allumée : hure ,
tête deTanmoii ou de brochet. Suppl. III. 467. b.
HURONS , lac des , ( Géogr. ) fon étendue. Déferts de fes
environs. VII I. 336. a. • ‘
Hurons , les, ( Géogr. ) qualité dit pays qu’ils habitent.
Caraélere de leur langue. Chaque' tribiv 8e bourgade de
Hurons porte le nom d-un animal. Q u e l eft celui-que la nation
fe donne. Comment fe regle la-fueceflion à la fouveraineté
chez lesf Hurons. Les femmes ont la principale autorité'dans le
gouvernement. VIII. 3 56. fl. '
Hurans. Obfervations fur- ces peuples. Suppl. II. 164. fl.
Leur hiftoire. 166: ai b:Leur fête des morts. V I . 3yt:b. Leurs
opinions fur le premier être 8c le commencement dit monde.
X . 485, ■
HUS , ( Jean ) voyeç HuSSITES.
H U S C A N A O U IM EN T , ( Hifl. mod. Superflu. ) efpece d’initiation
ou de cérémonie que les fauvages de Virginie
pratiquent fur les jeunes gens de leur pays ,'lorfqu’ils font
parvenus à l’âge de quinze ans. En quoi confifte cette pénible
épreuve , dans laquelle plufieurs jeunes gens meurent. VIII.
336. a. Q u e l en le bue;Ibid. b. .
HU SO , (Hifl. nat.) .grand poiffondu Danube. Sa defcription.
Qualité de fa chair. Ufage qu’on en fait en Rulfie. Ses
noms en latin 8c en allemand. VIII. 336. b.
HU S SA RD S , le s,- ( Art rnilit. ) efpece de milice à cheval
en Hongrie 8c en Pologne. Ils font connus dans les troupes
de France. Leurs armes. Leur maniéré de combattre.
En quoi ils font.!fur-tout redoutables. Defcription de leurs
'fe ile s. VII I. 336. b. Leurs trompettes 8c leurs étendarts.
Leur maniéré de camper. Ils ont peu d’équipage. Leur
difcipline. «Chârimens ufités parmi eux. Ufage de cette
milice. Habillement des huftaras. Celui de leurs officiers./*/«/.
Hujfards. Efcadrons de huflards, V . 927. a. leur habillement
, VIII. 7. b. leur équipement , 8. a. leur armement,
Ibid. b. leur beface. 10. a. Epée dont fe fervent les huflards
de l’empereur. X L 824. b. Huflards turcs. I. 38. a , IV .
784. b.
HUSSITE. .( Hifl. eccl. mod. ) Doétrine des huffites.
Q u els écoient leurs chefs. Comment la mort de Jean Hus
& de' Jérôme fut vengée. VII I. 337. a. Hiftoire de Jean
Ziska. Combien Sigifmond paya chèrement la violation
du fauf-cOnduit qu’i l avoit donné aux chefs d eslmflnes. Ibid.b.
HuJJîtes, leurs inftances contre le retranchement de la
coupe mal fondées ; condefcendance dont on ufa envers
eux. III. 732. a. Seéle d’huflites appelles freres bohémiens.
V I I . 301. b. Anciens huffites appellés Taborites. X V .
810. b.
H U T C H E SO N , ( François ) fon fentiment fur le beau. II.
170. b. I .
H U T T E R U S , ( Elie ) favant allemand. X V II . 374. b.
H U T Z O C H IT L , ( Botan. ) defcription de cet arbre
du Mexique.. Efpeces de baumes qu’il donne par inci-
f io n , 8c en faifant bouillir fes branches dans l’eau. VIII.
337. b.
H U V A C A S , (Hifl.mod.) c’eft ainft que les Efpagnols
nomment les tréfors cachés par les anciens habitans de l’Amérique
, lors de la conquête de ce pays. Diverfes obfervations
fur ce fiajét. V II I. 3 38. a.
H W A LH U N D E , ( Hifl. nat. ) nom donné par les N o r v é giens
à un animal aquatique 8c monftrueux. Signification de
fon nom. V II I. 338. a.
H U Y , ( Géogr. ) ville des Pays-Bas, capitale du Condros.
Evénemens qui la rendent remarquable. Ordre des religieux
croifiers dont on voit un couvent dans cette ville. Révolutions
qu’elle a effuyées. Suppl. 111. 467. b.
HUYGHENS. ( Chrétien ) Obfervations fur ce favant ,
V I I I . 24. a. fa découverte de l’anneau de Saturne, I. 480.
a , b. fes çonnoiffances aftronomiques , 791. a. fa théorie
fur .l’applatiflèment de la terre. V I . 732. b. 736. b. 737. a.
Suppl. YV. 879. b. Il paroît avoir connu le premier la loi
de la confervation des forces v iv e s , VII. 113. a. fes découvertes
en horlogerie., V I I I . 303. b. 304. a. XII. 294.
a. 295. b. 298. b. Application qu’il a faite de la cycloïde
au pendule des horloges, IV . 391. a , b. fon fyftême fur
la lumière, IX. 718. b. Part de mefurer le diamètre des
planètes trouvé par cet aftronome. 744. a. T élefcopede H uyg-
hens. X V I . 4i.fl.
Hu y g h e n s , ( Gommare ) do&eur né h L y re . Suppl. III.
762. a,
Tçtne /,
H Y D
H Y
H Y A C IN T H E , ( Lithol. ) caraftcres de cette pierre pré"
cieufe. Ses différentes efpeces relativement à la couleur.
•VIII. 358. a . En quoi les hyacinthes d’un jaune clair different
des topafes 8c des chryfolites. Boëce de Boot penfe
que l’efcarboucle des anciens n’étoit qu’une hyacinthe. Sons
quelle formé les hyacinthes fe trouvent. Lieux d’où elles
v ien n en t.il n’y a que la dureté qui puiffe les faire diftin-
guer de plufieurs autres pierres. Defcription des faufles hyacinthes
qui viennent d’Eipagne, de Saxe 8c d’A u ve rgn e , 8c
qu’il ne faut point confondre avec celles dont nous parlons.
Q u elle étoit l’hyacinthe des anciens. Des prétendues vertus
médicinales de l’hyaeiiithe. Ibid. b.
Hyacinthe , (\ConfcElion d’ ) III. .846, b. 847. a.
Hyacinthe , ( Botan. ) voye1 Jacinte.
Hya cinthe, ( My'th. ) fa mort. IV. 1043. b. Suppl. I:
362. b.
H Y A C IN TH IE S , fêtes que les Lacédémoniens célé-
broient en l’honneur,d'Apollon auprès du tombeau d’Hya«
cinthe.' Amour de ce'».dieit>.'fOur- ce jeune-ptfàïce: V i l î .
338. b. Comment ces. fêtes écoient célébrées. Ibid. 339. d.
H Y A D E S , ( Aflrtin.)' fépe.étoiles q u i, félon les anciens;
amenoient la pluie. Origine de leur nom. Fiérions des poètes
fur les hyades. VII I. 3 39. a.
H Y A L O ID E , (Hifl. nat.) étymologie du mot. Efpece de
pierre précieufe dont' les anciens ont parlé. Ufage qu’on
en- faifoit. Sentiment de M. Hill fur cette pierre. VII I.
359* a-
H Y B L A , ( Géogr. ) trois villes de ce nom en Sicile. Quelle
eft celle dont les anciens ont vanté le miel; Suppl. I Il. 467.*;
Voye^ Hibla.
- H Y B O U C O U H U , ( Botan. ) efpece de fruit d’Amérique;
Ufages auxquels on l’emploie. VIII. 3 39. a. \
H Y C C A R A , (Géogr. anc.) ancienne'ville de Sicile. Cette
v ille détruite par Nicias, général des Athéniens. Hiftoire de
Lais qui naquit à Hyccara. VII I. 339. *.
H Ÿ D A S P E , ( Géogr. anc. ) fleuve des Indes. Epùhcte que
lui donne Horace. Son cours. F leu ve du même nom dont parle'
Virgile , 8c qu’il m et en Médie. VII I. 339. b.
H Y D A T ID E , ( Médec. ) tumeur fous la paupière, félon
Galien. Maniéré de la traiter. Tumeurs véftculaires que les
médecins appellent aujourd’hui de ce nom. V II I. 339", b. Ces’
tumeurs fe préfentent rarement à lafurface du corps; ce font
les v ifeeres qui en four le plus fufceptibles. Caufes des hyda-
tides. O n ne peut indiquer de traitement particulier pour celles
qui ont leur fiege dans quelque vifeere. Comment on peut ten--
ter de les difliper, quand elles paroiffent fur la furface du corps,
Ibid. 3 60. a.
Hydatides, qui accompagnent l’hydropifie enkiftée du bas-
ventre. Suppl. 1. 629. a.
Hydatides, (Anatom.) on a auffi appellé de ce nom les
faux oeufs des ovaires! XL 698. a.
H YD E , ( Edouard) comte de Clarendon. X V I I . 6x9.*.
H y d e , ( Thomas ) profeffeur d’A rabe à Oxford. XV»
144- a .
H Y D R A G O G U E , voyc{ Purgatif.
H Y D R A N G E A , ( Botan. ) cara&ere de ce genre de"
plante. Defcription 8c culture delà feule efpece connue. Suppl.
III.468. a.
H YD R A R G Y R O S E , ( Chirurg. ) -fciélion mercurielle ,
capable d’exciter la falivation. C e qu’on doit penfer de
la falivation dans les maladies vénériennes. V I I I . 360. a.
Méthodes employées pour éviter l'incommodité de cette excrétion.
Ibid. b.
| H YD R A U L ICO -PN EUM A T IQ U E , ( Méchan. ) machine
qui éleve l’eau par le moyen du reffort de l’air.
Lès machines qui élevent l’eau par le moyen du fe u ., peuven
t auflï être regardées comme hydraulico-pneumariques,
VII I. 360. *.
H YD R A U L IQ U E , étymologie de ce mot. Objets de
cette fcience. Différence entre l’hydraulique 8c l’-hydro-
dynamique ; VII I. 360. b. entre Fhydroftatique 8c l’hydraulique!
Principaux auteurs qui ont cultivé 8c perfeéèionné-
cette fcience ; 8c ceux qui ont .traité des machines hydrauliques.
Ibid. 361. a.
Hydrauliques, machines. Moteurs employés pour les faire
jouer. Machines hydrauliques appellées élémentaires. VII I.
3 6 1. fl. Defcriptions de la machine de Marly, Ibid. b. de là pompe
deNympliembourg, delà machine hydraulique appliquée au
pont Notre-Dame à Paris, Ibid. 362. b. & fuiv. du moulin à
vent de M eudon., Ibid. 364. a. de la pompe de réfer-voir de
l’égout mue par quatre chevaux. Ibid.. b. D e *la pompe à
feu établie à Londres , Ibid. 363. fl. de la nouvelle machine
de M. D upuis, Ibid. b. de la pompe à b ras, Ibid. 366; b. &
de la pompe pour les incendies. Ibid. 367. a.
Hydraulique. De s machines. Defcription .d’une machine
pour élever l ’eau par le moyen du feu. V I. 602. a. De f-
E E E E E e e e . e e c