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portent aux objets qui tombent fous leurs fens. Extrait de
la lettre fur les avcuglesfià l ’ufage de ceux qui voient. Obfer-’
vations faites fiir un aveugle né que l’auteur a connu. 11
définit le miroir, «ne machine par laquelle les chofes font mifes
en relief hors -d’elles-mêmes. I. 870. h. Ses queftions fmgulieres
fur les machines d'optique. Il définit les yeux,/ /« organe fur -
lequel l ’air fait l ’effet d’un bâton fur la main. Il fait peu de
cas du fens dé la vue , & tire un fecôurs merveilleux des
autres fens. Sa manière de juger de la beauté. Ses o uvrag es,
fes talens; comment il juge de la durée du teins. Ibid. o p i.
a. Quelques-uns de fes lentimens moraux. Obfervations-fùr
le fameux Saunderfon. Comment il faifoit & enfeignoit les
calculs. Ibid. b. Ses élémens d’algebre. Les démonflrations des
propriétés des folides n’étoient qu’un jeu pour lui. Ses leçons
d’optique. Fincffe de l'on difeernement en pluficurs chofes.
Effets des impreffions de l’air fur lui. Réflexions fur Tiré fie,
dont la fable nous a confervé la mémoire. Ibid. 872. a. Obfer-
vations que fait Chefelden, fur quelques aveugles auxquels
il a rendu la .vue. Ibid. b. Comment l’auteur de la lettre
fur les aveugles voudroit qu’on procédât pour connoîtrè
exa&ement ce qui fe paffe dans un homme à qui l’on rend
la vue. O n demande fi un tel homme diftinguera d’abord le
globe du cube fans les toucher ; Ibid. 873. a. ce qui arrive-
TOit à un homme qui n’auroit v u que pendant un jour ou
deux , & qui fe trouveroit confondu chez un peuple d’aveugles.
Cet homme comparé à un croyant qui v ivroit parmi
un peuple d’incrédules. Ibid. b.
Aveugle. Un aveugle a des idées de beauté. II. 18a. a.
Il en a de rapports, d’ord re, de fymmétrie. Ibid. Queftion
difficile à réfoudre, fi les aveugles ont des idées repréfen-
tativ es , où & comment ils lés ont. VII I. 864. b. Il n’eft pas
noffible à un aveugle de juger des couleurs par l’attouchement.
X V . 821. b. Comment un av eugle , à qui la vue eft
rendue tout-à-coup, voit les objets. V I . 44. a. Bo y le fait
mention d’un homme à qui la fubite impreffion de la lumière
fit fentir par tout le corps la plus douce volupté. VII .
760. a. Hiftoire de l’aveugle auquel Chefelden rendit la
vue. X V . 27. a. Exemple d’un fculpteur q u i, devenu aveug
l e , continua d’exercer fon art avecfuccès. 82.1. b. Exemple
d’un autre aveugle en qui le fens du taél avoir acquis une
ilnguliere perfeétion. X V I . 446. b. Obfervation fur Martin
Châtelain, né à Warwick. X V II . 598. a. Obfervations fur
deux aveugles nés. Suppl. IV . 3 y 1. b. Pourquoi, la prûnelle •
des aveugles eft dilatée. 633. a , b. D ’un aveugle qui ne
l’étoit que de nuit. 631. b. Aveugles dont les prunelles fe
rétreciffoient à la lumière. 637. b. Obfervation furM.Pothoft,
mufteien organifte aveugle. 649. a. Aveug le guéri par le
fang de coq, IV . 179. a. Teftament d’un aveugle. X V I .
i ç ) i .a ,b .
Aveugles qui forment au Japon un corps de favans fort
Oonfidérés dans le pays. I. 873. b.
A V EU G LEM EN T , (Mèdec. ) fes caufes. Aveuglemens
périodiques. Certains lieux en Perfe où l'on trouve un grand
nombre d’aveugles. I. 873. b. Plufieurs exemples de chofes
difficiles exécutées par des aveugles. Ibid. 874. a. Voyer
C écité.
Aveuglement , ( Morale) fens moral de ce mot. Son
acception fur le ftyle de l’écriture. Suppl. I . 700. a.
A U G A N S , ( les ) ( Géogr.) peuples de l’A fie dans l’In-
douftan. Obfervation fur leur caraélere & leu r tempérament.
Suppl. I. 700. b.
A U G É E , ( Hift. anc. Myth. ) fils d’Aléus , roi de Tégée.
Ses aventures. Suppl. I . 700. b.
A U G E , celle d’une écurie. V . 380. b. Supplice des auges.
X IV . 74a .b .
A uges , fupplice des, ( Jurifp. crimin. ) que les Orientaux
ïnfligeoient aux grands fcélérats. Defcription de ce fupplice.
Suppl. I. 700. b.
A U G E L O T S , ou A ngelOts , ( dans les falines') defcription,
de ces inftrumens, 8c leur ufage. I. 874. b.
A U G IA S ,(H ift. Myth. ) fils du foleil,roi d’Elide , contemporain
d’Hercule. C e que la fable raconte fur ce prince. Suppl.
I. 701. a.
A U G IL E S , ou A ngilites , f Hiß. & Géogr. anc. ) peuples
d’A frique qui habitoient la contrée qui féparoit les Gara-
mantes des Troglodites, leur religion, leurs moeurs & leur
gouvernement. Suppl. I. j o i . a.
A U GM E N T , ( Grammaire ) augment fyllabique, 6c aug-
ment temporel. I. 873. a.
A ugment de d o t, ( Jurifp. ) il eft ordinairement réglé par
le contrat de mariage, 6c dépend abfolument de la volonté
des parties. A défaut de q u o i, les ufages des lieux y fup-
pléent 8c le déterminent. I. 873. a. Jufqu’où peut aller celui
qu’un v eu f qui a des enfans du premier lit fait à fa fécondé
femme. Expofé de tout ce que les loix ont prononcé fur les
divers cas relatifs à Vaugment. Ibid. b.
Augment de dot ; origine de cet ufage. V . 49. b. 68. b.
T u te lcà l’augment. X VI. 763. b. Différence entre l’augment
de dot 8c le douaire. V . 68. bK
A U G M E N T A T IO N , calculs concernant l’augmentation
des bénéfices, faite par la reine A n n e , pour l’entretien des
pauvres eccléfiaftiques. I. 873.b.
Augmentation. Cour d’augmentation des revenus du roi
en Angleterre, érigée fous Henri V I I I , 6c fupprimée par la
reine Marie. 1. 876. a.
AU GM E N T E R , aggrahdim ( Synon. ) différence-entre ces
mots. I. 876. a.
Augmenter , croître, différences entre ces mots. 1. 876. a.
A ugmenter, ajouter, ( Sunon.) I. 223. a.
A U G S B O U R G , voye^ AUSBOURG.
A U G S T , (Géogr.) Augujla Rauracorum, village de Slliffe
dans le canton de Baflè. Monumens d’antiquité qu’on y
trouve. Suppl. I. 701 , a.
Augfl, obfervations fur cette v ille ancienne. Suppl. IV .
578. a , b. 831 . b. Sa deftruétion contribua à l’aggrandiffement
de Bafle. Suppl. I. 823.«.
A U G U IE R , ( François) fculpteur, X IV . 829. b. Michel
Auguie r, auffi fculpteur. Ibid.
A U G U R A L , bâton. II. 144. a. IX. 399. a.
A U G U R E S , nom de dignité chez les Romains. Nombre
des augures. Leur fecret. E tymologie du mot augure. I. 876. a.
Augure, le droit d’entrer dans le college des augures, ré-
fervé aux feuls patriciens. IX. 634. a. Différences entre la
qualité d’augure chez les Grecs 6c chez les Romains. X IV .
86. b. Repas qu’on donnoit lorfqu’on étoit promu à la charge
d’augure. 128..«. Eleélion des augures par les tribus. X V I .
623. £. Augure qui avoir foin des poulets facrés. XIII. 363.
a. Robe des augures appellée trabèe. X V I . 302. a. Marque
fymbolique des augures. X V . 729. a. Livre des augures. IX.
604. a.
Les augures confultés pour les affemblées du peuple romain.
III. 680. à , b. 681. a. Lieux OÙ les augures, confidé-
roient le v o l des oifeaux. X V I . 187. b. Fonélions des augures
dans la fondation d’un temple. 63. a. Déclaration d’un
augure fur ce qu’il avoit obfervé dans les aufpices. XI. 284.
b. Déclaration d’un augure appellée obnonciation. 308. a. -
A u g u r e s , (Hift. anc. ) defcription de la maniéré dont ils
exerçoient leur miniftere. Suppl. I. 701.
A U G U R IU M , fcience augurale. Son origine. Il paroîtpar
les livres faints qu’elle étoit--connue des Égyptiens 6c des
autres Orientaux même avant Moïfe.1. 876. b. Voy. A u s p ic e ;
Augurium, origine de la fcience des augures. IV . 1072.
b. XI. 371. b. Attachement des Étrufques aux augures. Suppl.
II. 899. b. Paroles de mauvais augure. XII. 76. b. V I . 208.
a , b. Augure par le chant ou le cri des oifeaux. III. 319. b.
XI. 638. b. Augure tiré de la maniéré dont la viélime alloit
vers l’autel. X V II . 243, a , b. A ugure par le v o l des oifeaux.
XI. 638. b. Comment les anciens exprimoient un, mauvais
augure qui détruifoit l’effet du premier. V I . 208. b. Réflexions
phiiofophiques fur la divination par les augures. X IV .
' 338. b. Voye^ l’article PRÉSAGE.
A U G U STA U X ,7«e»r , VII I. 337.b.
A U G U S T E , ( Hijl. rom.) Caius-Oêlavius-Auguflus.Suppl. 1.'
701 .a. Son origine. Céfar forme le projet de l’affocier à fes
I deftinées. Ibid. b. O é la v e , après la mort de C é fa r , fe déclare
fon héritier, 6c s’affure l’afteéïion de la garnifon de Brindes.
Son entrée dans Rome. Son entrevue avec Antoine. Ibid,'
702. a. Il met en vente fon propre patrimoine, ainfi que
les biens de fa mere 8c de fon beau-pere, pour acquérir’
les legs que Céfar avoit faits au peuple, Méfintelligence
entre Oélave 8c Antome. Ibid. b. Leur apparente réconciliation.
Ils s’apprêtent l’un 6c l’autre à foutenir leurs prétentions
les armes à la main. Ibid. 703. a. L e fénat donne à
Oélave le titre de propréteur, 6c lui permet d’être conful
dix ans avant l’âge fixé par les loix. Antoine, gouverneur
des Gaules, eft déclaré ennemi de la patrie. Ibid. b. Il eft
vaincu aux environs de Modene, par les armées réunies
d’Oétave 6c de Brutus. L e conful Vibius 6c la conduite du
fénat déterminent Oélave à fe concilier avec Antoine. Ibid.
. 704. a. Le fénat lui refùfe la dignité de conful, qu’il avoic
fait demander par fes députés. La nouvelle de Ion approche
de Rome répand l£|terreur dans le fénat. Ibid. b. Hommages
qu’il reçoit en entrant dans la ville. Il eft nommé
conful par les comices. Il obtient du fénat un décret qui
ordonne le procès de tous ceux qui avoient trempé dans le
meurtre de Céfar. Entrevue d’Oélave avec Antoine 8c Lé-
pide.Ibid. 703.a. Conditions du fameux triumvirat qu’ils formèrent.
Récompenfes promifes aux légions qu’ils dévoient
employer à fatisfaire leur vengeance. Profeription. Ibid. b.
Les triumvirs entrent dans Rome. T axes levées pour les frais
de la guerre. Déclarations que font les triumvirs au fénat.
Traits de cruauté de la part d’Oélave. Ibid. 706. a. Il conçoit
le projet de dépouiller fes collègues. Ibid. b. Nouvel accommodement
qu’il conclut avec A nto ine , 8c enfuite avec le
fils de Pompée. Il enleve peu dé tems après la Sicile à ce
dernier. Lépide abdique le triumvirat, 6c rentre dans l’ob-
feurité. Honneur extraordinaire qu’Oélave reçoit du fénat.
Ibid, 707. a. Comment il gagne le cceur des Romains. Il fe
A U G A U M 13.9
fiait déférer le tribunarà perpétuité , 8c rend Antoine odieux
au peuple. Ibid. b. Bataille d’Àéïium. -Oélave foumet l’Égypte.
Ses voyages en Afie. Triomphe.dont il eft honoré à-fon
retour. Il reçoit le titre d’empereur-., Ibid. ,708. b. Il confiilte
Agrippa 6c Mécènes fur l’abdication de l’empire , 8c fuit
l’avis de ce dernier.il ajoute à fa dignité de tribun perpétuel,
celle de conful. Comment il affermit fon autorité. Les noms
glorieux de pere de la patrie S d’aügufle lui font déférés. Ibid.
709. a. I l propofe, tous les dix ans au fénat de confentir à
fa retraite. Il fe choifit un fucceffeur. Derniers momens de
fa vie. Ibid. b .,
A uguste , empereur; hiftoire de fon triumvirat 8c de
fon régné. X V I . 672. b.fièiÿfiSi. a. Comment le médecin
Artorius lui fauva la vie à la bataille de Philippe. X. 280. a.
Préfage qui lui annonçoit la viéloire à la bataille d’Aélium.
XI. 483. b. Defcription de fon triomphe après les viéloires
d’Aélium Sc d’Alexandrie. X V I . 634. b. 633. a. Conduite
par laquelle il accoutuma les Romains à la fervitude. IV .
937. b. Pouvoir qu’il s’attribua comme prince du fénat. XIII.
372. b. Partage qu’il fit de l’adminiftration de l’empire entre
lu i , le fénat 6c le peuple. 409. b. Pouvoir légiflatif qui lui
fut déféré. V . 138. b. Clé de la conduite d’O élave. XII. 480.
a. Hiftoire de l’empire d’Augufte. X IV . 334. a , b. Réponfe
de l’oracle fur fon mariage avec Livie. XI. 333. a.
Soins qu’il prit de la police de Rome. XII. 907. b. 908. a.
La juftice réformée par cet empereur. IX. 9 1 .« , b: Etabliffe-
ment despoftes par Àugufte. XIII. i j i . a. Il mit en vigueur
les lupercales. IX. 746. b. Combat doniié fur l’eau pendant
fon régné. XI. 6p. b. Maufplée qu’Augufte fit élever pour
lui 8c- les fiens. X. 2 1 1. a. XIV- 332. b.
Culte dé cet empereur. X V . 139. a. Il voulut qu’on le
joignît dans la confécration des temples de la déeffc Rome.
X IV . 333. a. Augufte mis au rang des dieux Lares; IX. 293.
• a. Libations que le fénat ordonna pour lui. 438. b.-
Caraélere d’Augufte. X V I . 672. b. 8cc. Son indulgence.
VII I. 691. b. Sa lâcheté 8c fa cruauté. IV . 318. a. Son indignation
de ce que le peuple n’affiftoit à fes harangues qu’en
Sîtite toge brune. X V I . 370. a. Son goût pour la peinture.
II. 274. a. Il recherchoit avec foin la clarté dans fes expref-
fions. I. 29. a. Sa maniéré de dormir en été. VII I. 13. b.
Décennales du régné. d’Augufte. X V I I . . 237. a. Palais
d’Augufte. XI. 773. b. Place de Rome qui porte le nom de
cet empereur. XII. 674. a. Son cachet. X V . 734. a. Symbole
d’A p g u f e .y j s - 'j . . . - i®
A uguste, adj. (Hijl. anc.) nom de dignité donné aux
empereurs R omains, 8c auquel participoïent les impératrices.
Colonies des Gaules honorées de ce nom par Augufte. Le
titre de Céfar étoit donné aux fucceffeurs défignés des
empereurs. Les nations'm odernes ont auffi donné le titre
d’Augiifte à leurs fouverains. I. 877. a.
A uguste, papier augufte, ( Hift. anc.) I. 877I a.
A uguste, prénom de villes ou coloniès romaines. IX.
33. a. T itre que le fénat de Rome donnoit non-feulement
à l’empereur, mais à fa femme 8c à fes filles. VII I. 388. b.
Statues auguftes. X V . 302. b. Le titre d ’augufte donné à
l’empereur d’Allemagne. V. 377. a.
A U G U S T IN , (Sain t) obfervations fur fa v ie , fes ouvrages
6c fes fentimens. XII. 343. a , b. 346. a. Lettre dans laquelle
il montre l’extrême différence, qu’il y a entre défendre un
coupable 8c intercéder pour lui. VII I. 813. b. Sa doélrine fur
la fpiritualité de Dieu. 373 . b. Sur la prédeftination. XIII.
274V«. 276. b. irj’j . a. 874. b. Sur l’ame. I. 330. b. Sur le
beau. II. 170. a. Sur la maniéré d’entendre 8c d’interpréter
récriture. VI- 7 6 3 .« . Quelques erreurs de ce pere dans
l ’interprétation de l’écriture. V I . 763. a , b. 764, b. Ses raifons
contre l’exiftence des antipodes. I. 314. a. Ses principes de
tolérance. VIO . 130. a , b. 844. à. Pourquo ion lui a donné
le nom de doéleur de la grâce. VII. 802. b. Raifon qui l’âvoit
retenu long-tems dans le maniçhéifme. VII I. 5,73. b. Sa
doélrine fur les.fubftânces fpirituelles. Ibid.
A ugustin , titre que Janfenitis a donné à fon ouvrage.
I. 877. a. Sujets traités dans ce livre. Ibid. b.
A ugustin , ( Saint ) caraélere d’imprimerie. IL 663.
A ugustins, (Hift. eccl.) ordres-religieux. Hennîtes de S.
Augufiin raffetnblés par Alexandre IV en ia^d.JCet ordre
divife en plus defoixante branches. Hermites dé S. Auguftin
en France. Auguftins déchauffés. IL ne faut pas confondre
ces religieux avec les chanoines réguliers Oui' profeffent ld
réglé de S. Augûftin. I. 877. é. . .
Auguftini , leur origine. VIII; 173. b. Leur divifîon en
plufieurs congrégations. 1 7 4 Les Auguftins prétendent
avoir donné naiffance aux tiers-ordres. X V I . 323.-3.rAuguftins
déchaufl’é s , défignés à Paris par le nom de Petits-peres. XII.
: r
À U G U S T IN I , ( Antonio) archevêque de' Tarragône. Son
ouvrage fur le digefte. IV . 997. b;: Sa paffion poiir les jnonu- •
mens antiques. X. 229. bf-). , ;
. A U G U ST IN IEN S , ( Hift. • 'ectÿ. ) théologiens qul foutiennent
que la grâce eft efficace de la nature, abfoluînèht 8c
Tome I.
ftiorâlèmént. Expofé de leur fyftême en ’quinzè articles. I.
.878. a. Diftinétion des Auguftiniens en rigides 8c relâchés.
Ibid. b. :U , , . : - > 0
Auguftiniens, leur doélrine fur la grâce. VII . 801. b. X V .
634. b. Sur la fcience des conditionnels attribuée à Dieu.
X IV . 791 . a. Sur la prédeftination. XIII. 275. a , b. Sur la
réprobation; X IV . 149; a.
A U G U S TO D U N E N S IS P A G U S , (Géogr. du moy. âge)
l’AutunOis, le comté ou l’évêché d’Autun en partie. Obfeir-
vations fur les anciens comtes d’Autun. Etendue qu’ävöit ce
Pagus. Bailliages qui fe font enfuite formés dans ce pays.
Anciens lieux de l’Autunois dont il eft parlé dan» quelques
chartes, titres ou autres pièces de ce genre. Evénemens
qui ont rendu quelques-uns de ces lieux remarquables. Fondations
de quelques prieurés, abbayes, &c. dans l’AfhtunoiS.
Suppl. I. 710. a y b.
A U G U S TOM A G U S , v ille de la Gaule bekique. X V .
198. b.
A V IC E N N E S , médecin. X. 281. />. Hiftoire de fa vie.
X IV . 663. b. 666. «.Son traité fur l’hygienne. VII I. 387. b.
Sa doélrine fur la faignée. X IV . 303. a.
A V IE N U S , ( R u f us Feftus ) - fes fables. V I . 333. £.
A V IG N O N , fu r ’ l’ancienne Avignon. Suppl. IV . n . a.
Cömment le comté d’A vignon eft parvenu au pape. XI.
836. a , b. Du légat du pape à Avignon. IX. 343. a , b. 346.
a , b. Droit dé p révention dont il jouit. XIII. 343. b. Partage
de l’églife d’occident durant le fci.ifme d’Avignon. XI. 297.
b. D u pont d’Avignon. Suppl. IV . 303. a.
A V l L A , (Hift. nat.) fruit des Indes. Sa defcription. Son
amalide eft eilimée un contrepoifon, 8c un remede dans les
•humeurs malignes. I. 878. b.
A V IR O N , fufée d’ ( Marine ) V II . 391. b.
A V I S , fentiment, opinion, (Synonym.) différence entre
ces mots. I. 879. a.
A v i s , avertiffement, confeil, différence entre ces mots.
I. 879. «;
A v i s , différence entre a v is , avertiffement 8c confeil. IV .
1. a. E n tre .av is, fentiment 8c opinion. X V . 37. b. Un avis
n ’eft pas obligatoire, 8c celui qui le donne, n’eft pas rtfpon-
fable des fuites. Exceptions. IV . 1. a. D e s avis donnés aux
princes. V I. 847. a.
A v i s , (Commerce) lettres d’a v is .I . 879.«.
A v i s , ( Ordre d’ ) ordre militaire en Portugal. Son origine.
Progrès 8c révolutions de cet ordre. Son habit 8c fes armes-.
I. 879. b.
A V I S O N , ( Géogr.) haute montagne des Vofges , près de
la v ille de Bruyères. Defcription d’une fête finguliere qui s’y
célébré annuellement le premier dimanche de carême. Suppl.
I. .711 . a.
A V IT U S , (Hift. du Bas-Empire) forti d’une famille patricienne
, de la cité d’Au ve rgne , é levé à l’empire par Théodorics
Principaux événemens de fa vie. Suppl. 1. 7 1 1 . b.
A V IV E S , (Maréch.) glandes fnuées entre les oreilles 8c
le gofier du ch e v a l, comme les parotides chez les hommes.
Enflure de ces glandes. Il eft douteux qu’elles deviennent
douloureufes. Remedes pour les avives. I. 880. a.
AULAIRE,, (M .d e S .) fon in-promptu fur madame la
ducheffe du Maine. VII I. 631. a.
A U L E T E , ('Hift. d ’Egypte) roi d’Egypte. Précis de fon
regne. Suppl. I. 712. b. Voyeç Ptolôm ée. C e prince rétabli
fu r ie trône par Gabinius. Suppl. III. 163. b.
A U L IQ U È , ( Hift. mod.) officiers de l’empereur qui
compofent une cour fupérieure. I. 880. à. Confeil aulique.
Contradiélions fréquentes entre cette cour 8c la chambre
impériale de Spire. Autorité de ces cours. Objets qui font
du reffort du confeil aulique. Il ceffe à la mort de l ’empereur,
Ibid: b. -
Aulique, confeil. IV . 3. b. Différence entre ce confeil 8c la
chambre impériale. III. 33. «.
AU LM U L C IE R S , mïtonters, ancien nom qu’où donnoit
aux bonnetiers. II. 327. ~b.
A U LN E , (B o ta n .) earaéleres de ce genre d’arbre. Sa
culture. I. 880. b. Ufage de fon bois. Qualités médicinales
de fon éco rce , de fes feuilles, 8c de fon fruit. Ibid. 881. a.
Aulne. Difterens noms de cet arbre. Ses earaéleres
génériques. Reproche fait aux botaniftes qui, trompés par
de légères variétés, ont multiplié mal-à-propos dans piufieurs
genres de p lantes, les efpeces qu’ils renferment. L e Botanifte
doit être cultivateur. Il eft utile auffi que le cultivateur
connoiffe exaélemént les différentes nomenclatures des
plantes. Suppl. I. 713. a. Diverfes confidéràtions qui rendent
importante la culture de l’aulne. Ufage qu’on en tire. Maniéré
de le.cultiver 8c de le multiplier. Ibid. b. Caraéleres qui
diftinguent les deux différentes efpeces d’aùlne indiquées dans
cet article;- Ibid. 714. b’.
AUM O N E , les eccléfiaftiques ne fubfiftôient autrefois
qiie d’aumônes. Comment fe divifoient les aumônes depuis
les apôtres jufqu’à Conftaûtih. Julien ordonne à un prêtre-
( du paganifme dîinftrüire1 le peuple à l’aumônè. Les colleéles