2 4 0 C A R
L'évidente de fa démonftration de l’exiftence de Dieu. Comment
il fe défend des accufations calomnieufes de fes ennemis.
Les ouvrages de Defcartes ne tendent nullement ;i
Tathcifine. Ibid. 725. a. Se&ateurs illuftres de ce philosophe. -
La philofophie de Delcartes a eu- beaucoup de peine à être
• •- ^ ce Philofophie Newtonienne qui lui a lue-
» grand-homme. La M i W f B T f f l
lli conféqrttns que lui. Les perfecmions qu il
;nt être la confolatioh de ceux q u i, ayant lé
éprouveront les mêmes traverfes. Ibid. b.
Hiftoire de Defcartes. VIII. 24- Obferva-
lofophe & fur fa philofophie. I. xxv. xtevj.
léré comme le pere de la faine philofophie.
b Suppl. I lï. 317. b. Oppofition entre la
■ Defcartes & celle de Hobbes. VII I. 233 .b .
iloge de c
jas été au
rêes doivi
fur ce phi
rtcS conf
I. 9 4 , < mm de
P I jM j de Defcartes. V . 87. b. 88. «. Q u e l eft le plus
grand fervice qu’il nous a rendu. 88. a. Ouvrages q u il a
donnés fur la géométrie. VII . 631. a. Degré de perfeéribn
•où il a porté l’algebré*. I. 261. * , t . Service q u il a rendu à
la géométrie en lui appliquant l’aigebre. 330. b. Par quel
raifonnement U eft parvenu à appliquer les équations indéterminées
aux courbes. IV. 7o6. ^. Éloge de la métliode de
Defcartes, & de fes principes dans 1 art de raiionner. IX. 638.
■ A. Son ouvrage de dioptrique. IX. 744- <’ ■ Le,ttres H Ë S
cartes au pere Merfenne 3 fur fon tcleicope de réflexion. A V I.
4n. a , b . ,
^Doârine des cartêfiens fur les idées innées. VII I. 734. fl.
Obfervations fur ce raifonnement de Defcartes , je penje ,
donc je fti's >'111 374. b. V I . 260; b. Son fentiment fur
l'immenfité de Dieu.' V III. 575- g Sur la maniéré dont la
providence conferve le monde. IV. 38. a , b. Sur le fiege
de l’ame. I. 34=- *{ S » ïa nature des betes. I. 343. b. ~
343. «. VIII. 793.**. 707. fl. VIT. 17 7 .« . Sa définition du
poflible X III. 170. a. Son fentiment fur la matière , fur
fe en d u é & fur I plein. -V D l f â . g X.
a , b. X V II . 69. b.' 372. a , b: Sentiment des Cartenens ïur le
lieu. IX. 496. a. Leur do&rinc Tur le mouvement. X. 831. «.
824. b. Prefque toutes les loix du mouvement propofées par
t-v .. r r ..rr_ „„„..r. .lime TMAlprifrlf* nnnrinp ffp
continuité. IV . 116. b. ' ' . " ’ .
Des trois élémens de Defcartes. V . 498. a. Sa matière
fubtile. X . 191. a. Obfervatiohs fur fa philofophie corpuf-
culaire. IV . 269. b. Parole de Defcartes fur la formation d’un
monde. III. 831. a. D es tourbillons imaginés par ce philo-
fophe. X V I . 471V a , b. XII. 707. b. 111. 676. b. Son fentiment
fur l’éthér. V I . 31* a , b. Sa théorie de là terre. IV .
799. a. Origine des fontaines , félon fes principes. VII . 83.
a , b. Sentiment des cartêfiens fur lé c ie l, III. 442. b. fur les
cometés. 673. b. D o â r in e des Defcartes fur l’inclinaifon des
orbites des planètes, V I I I , 630. A fu f la lumière, IX. 7 17 . b.
7x8. a. XIII. 323. b. fur les couleurs,IV. 327. b. fur la réfraction
des rayons de lumière, XIII. 892. b. fur l’opacité. XI.
492. b. Caufe de la vifion, félon les cartêfiens. X V i l. -340. a.
Leur doélrine fur la dureté des corps, V . 172. «.X IV . 139. «.
fur la fluidité, VI. 891. «. IX. 367. b. 368. a , b. fur la congélation,
III. 864. b. 866. a , b. V II . 679. b. fur l’élafticité, V .
444. a. fur la g rav ité, VII . 873. b.fu r la chûte des corps, I.
■ 61. a. IV . 874. b. fur les vents, X V II . 17. b. fu r la grêle,
V U . 930. «. fur le flux & reflux des eaux de la mer. VI. 903.
«. Hypothefe de Defcartes fur la génération, V II : 364. a. fur
l’accroifiemenr 8c la réproduftion, Suppl. IV . 182. a , b. fur
la puiffancë motrice du corps humain, X. 220. « , b. fur la
caufe du mouvement mufculaire, 8'ço. a. fur les mouvemeiis
de fyftole 8c de diaftole du coeur, V I . 324. «. fur les inflammations.
V III. 7 ri.«.-S a phyfiologie. Suppl. IV . 349- b-
C A R T H A G E , (Géogr, ahc.') aiverfes deftinées de cette
ville . Sa fituation. Il n’en r e lie que quelques velHges. II.
Carthage. Objet de l’établiffement & moyens d’aggrandiffe-
ment de l’ancienne Cartilage. III. 649. b. Cette ville étoit la .
favorite de Juncn. IX. 6a. b. Caïus Gracchus lui donna le
fiirnom d e Junonie. 62. b. Principaux magiftrats de Carthage.
X V . 63 3. b. Hiftoire des guerres puniques. Deftruition de
Carthage. X III. 372. b. 373. a. Figure iymbolique de cette
ville. X V . 733.'«. Livres qui furent trouvés à Carthage. II.
2.31. a: '
Carthage la neuve, v ille d’Efpagne. Q u e l étoit anciennement
fon port. XIII. 130. «.
C A R TH A G EN E en Amérique, ( Géogr. ) pluie qui y tombe
annuellement. Suppl. IV . 418. b. '
r C ARTHAGINO IS. D e la langue que pàrloient les Carthaginois.
XIII. 372. a , b. Rappoit de cette langue avec celle
de Moylê. VIII. 87. b. D e là religion des-Carthaginois-:
l’ufage d’immoler des hommes établi parmi eux. X V II . 242. a.
Fovez à ce fnjet ce qui êft dit du traité de paix que fit avec
eux G e lo n , :roi de Syracufe. X I. 770. a. XIII. 93 : b. XVII.
242. a. D e la cavalerie des Carthaginois dans le tëms de
leurs guerres avec les Romains. V . 920. a , b. 9 21. a. Peines
qu’ils infligeoient à leurs généraux-qui avoient été défaits.
C AR
XIII. 373- b. D u commence des Carthaginois. III . 692. a:
L ’agriculture & le commerce également en honneur chez
eux. XI. 939.-b. Navigation des Carthaginois. X I. 34. A. Leur
commerce fur les cotes occidentales d’A frique : colonies
Carthaginoifes que Hannori y établit. XII. 374. b. 37.3! b.
Minés qu’ils firent valoir en ïbêrie. VIII. 479. a. D es médailles ,
puniques. X. 233. a. 236.«. -"-'vjÉi H
C A R T H A M E , où fiafran bâtard. Defcrijffion de fa fleur.
Propriétés médicinales de la femenee du carthamus flore croceo.
Maniéré 'de s’en fervir. Préparation des tablettes diacarthami.
Proportion de la dofe qu’il en faut prendre félon, les tem-
péramens. IL 726. a. Les purgatifs de cette efpece doivent
être employés avec précaution. Ibid. b. Foyc^ Safran.
Carthame, maniéré dont les teinturiers le préparent pour
leur u fag e , vo l. X. des planch. Teinturier en fo ie , pi-7.
C A R T H É E , v ille de Tille de Zia dans l’Archipel. X V I I .
7x6. «..
C A R TH EU S E R , fon hydrologie. VIII. 374. a.
C A R T IE R , celui qui fait & vend des cartes à jouer.
Obfervations fur ceux de la communauté de Paris,’ & fur
leurs ftatuts. II. 726. b.. . , - ' *
Cartier ,. ( Jacques ) découvre le Canada. Suppl. II.
.166. «. .
C A R T IL A G E ; ( Anat. ) les* cartilages paroiffeht être à
peu près de.même nature que les os. Diverfné dans les
cartilages par rapport à la dureté, & jjar rapport à la figure.
II. 726. b.. Ils ne font' pas fufceptibles de fenfations. Leur
ufage. Ibid: 727. «.
Cartilages , obfervations fur .ces parties du corps. VIII.
361. A. Suppl. IV . .193. «. Comment, ils fe durciffent par
l’âge. XV II . 239. b. Cartilages du cheval. Suppl. III. 383. b.
'C A R T IL A G IN E U X , poijfons , leurs caraaeres. VII I.
-483. a. 1 •• ^ •' - -"i
C A R T ISAN N E , en ternies de boutonnier, de rubanier, & c .
Ornement compOfé d’un fond- de vélin .ou de veau recouv
ert de fo ie , de milanoife, -d’or - ou d’argent, &c. Maniéré
de faire les cartifanîies. A quoi on les emploie. II. 727. «.
C A R T O N , ( Art méch.) defeription de toute la manoeuvre
du cartonnier, dans -les différentes1 elpeces de carton qu’il
fabrique. Voyeç aufti l’article Cartonnier , contenu dans le
vol. II des planches. IL 727. b. D ’où dépendent l’éjjaifleur
& la grandeur de la- feuille de carton. Ibid. 728. b. C e qu’il
faut faire pour avoir des cartons de moulage très-forts. Ibid.
729. b. Cartons bruts pour les relieurs; cartons de moulage
collés ; cartons couverts auxquels le carton dé moulage fert
d’ame. Ibid. 730. a. Cartons de pur collage, tels que ceux
dont on fait les cartes. A qui appartient le commerce des
cartes. Ibid. b.
Carton, gaufrure de carton. V IL 323. A Sculpture en carton.
X IV . 843. « , b. Moule dans lequel on fait prendre au carton
différentes formes. Suppl. II. 652. b.
Carton, terme • d’arclïiteélure. II. 73 1 . a.
Carton, deux Lignifications dé ce mot en peinture. Cartons
de Raphaël que l’on conferve à Hamptoncourt. II. 731. a.
Carton , ( Imprimeur ) maculature bien unie fur laquelle
o n colle des hauffes. Où il fe place. Chaque ouvrage a un carton
particulier. Importance qu’il foit bien fait. II. 73 1 . a.
Carton, terme de libraire & de relieur. Dans quels cas
on eft obligé de mettre des cartons dans les livres. Injufte
.prévention où l’on eft à .Paris contre les livres où l’on, ajoute
ces cartons. II. 731. a.
Carton; •( Rubanier') comment il eft attaché au métier.
Son ufage. IL 73 1 . «.
Carton , dans un plan ou une carte de .géographie. II.
y u .b . • ■
C A R T O U C H E , ( ArchitcEl. ) définition & ufage. II. 731 .a .
Cartouche , dans les décorations des ouvrages de'menuife-
rie. Réglé à obferver dans les compofitions de ce genre.
IL 731. b. . . .
Cartouche, (Peinture'j.boràuxc d’ornemens peints ou
fculptés. Liberté d e ' leur compofition. Pourquoi on les
appelle cartouches. IL 7-31. b. • "• . '» ••
Cartouche en jardinage. IL 731. b.
C artouches, ( Artillerie) comment' elles font compo-
fées. Cartouches à grappes de raifin. Cartouches à moufque-
taires. D ifférence entre la cartouche & la gargouge. II. 7 3 1- b.
Comment les gargouges doivent être faites. Inconvénient dé
les faire de papier ou de toile. Cartouches- de - fer blanc.
Cartouche en forme de p in , celles de fer-blanc valent mieux
fur terre , & coûtent moins de tems à faire. Gomment on
doit charger le canon, lorfqu’ on manque de gargouges 8c
de cartouches. Ibid. 732. a. • ..zii.tip.’X'
. Cartouche, boîte de carton pour les artificiers. Cartouches
de bois J pourquoi ils ne font plus, en ùfage. Ufage des cartouches
de toile; Ch o ix qu’il faut faire des cartons.ppur les
fufées. Maniéré ds -préparer ces cartons. Les càrtouohes les
plus ufités font de figure cylindrique. Procédés à fuivre pou^
former ces fortes de cartouches. IL 732. b. Ouvrage à con-
fulterxfur cette matierç, Ibid. 733; b.
Cartouche,
CAS
•- CÀRT-oycHE ,- ) Artific, ) gros Cartouche appellè -prit à
feu XIII. 173. b. Des cartouches. VII . 387. a , b. l)n
canon tiré à cartouche. Suppl. I. 618. b. — 620. b. D e l ’u-
fage des-nouvelles carrbuches. IL- 208. a, II. r
C A R T U L A 1RES mod.) papiers terriers des églifes
ou des inoriafteres. Pourquoi Ton foupçonne quélqviefois
l ’authenticité des aétes qui y foiît compris. II. 733. b.
Cartulaïres. Des cartulaires ou papiers terriers des églifes
8c des monafteres.TV. 1024: a, Juge cartulaire. IX. ix . b.
C A R U A , ( Bot an. ) efpece dé canellè du Malâbar. Ses
différentes dêlignations. Defeription de cet arbre. Suppl. II.
244. b. Sa culture. Ses qualités & ufages. Rapports entre
cette canelle 8c celle de l’i'fle de Ce ylan. Deuxieme efpece,
kurundu ou canclla. Ses différentes défigiiàtions. Ibid, ifs ; . a.
Différence entre le canellier & lé carna. Sa culture. Ses
qualités & ufages. Obfervations fur l’écorccment de cet arbre.
Troifieme, nikadimala. Différens noms de cette aùffè efpece
du canellier. Caraifteres qui la diftinguent de la canelle proprement
dite. Ibid. b. Remarques. Quatrième, katdàphûud-,
autre efpece de canellier. Ses différens noms. Defeription,
culture, qualités Se ufàgés de cét arbrè. Ibid. 236. a. O bfef-
vations fur dix autres éfpeces de canelle. Claffification de
toutes les plantes de ce genre. Ibid. b.
C A R U .C C I , ( Giacomo ) voye£ PôNTORME.
C A R V I , ( Bot. ) caraéleres de c e génre de plante. Propriétés
de Celui des boutiques. Ses préparations officinales.
Ufage de fon huile pour la furdité. IL 733. b.
Ca r v i , ( Mattere médic. ) Ses ufâges en médecine. IV .
567. a.
C A R U S , (Médec.) efpece de maladie léthargique. Différence
entre le carus 8c le coma. Différence entre la léthargie
8c -le carus; En quoi il différé de l’apoplexie, de l’épilepue,
de la fy.ncope, de la fuffocation hyftérique. II. 733. b. Voyeç
A ssoupissement.
Carus, {Hifi. rom. ) Hiftoire abrégée de cet empereur
romain. Caraftere dé les deux fils Carinus 8c Numerien,
revêtus du titre de Céfar de fon v iv an t , 8c conjointement
affociés à l’empire après fa mort. Suppl. IL 237. a.
C arus, (M . Aurelius) empereur. XI. 21. b.
C A RW A R , ( Géogr. ) v ille d’A fie fur la côte du Malabar.
Sa fituation. Produit de fes environs. Obfervations fur
les boeufs de ce pays. Religion des habitâns. Suppl. IL 257. a.
C A R Y A T ID E S , {Archit.') ftatues de femmes fans bras,
placées pour o rnemens, &c. Origine de cette forte d’ornement.’
II. 734.
Caryatides , ( Archit. ) Fauffe définition qu’on en donne
dans TEncyelôpédïe. Suppl. II. 237. a. Statues de ce nom
dans l’architeêturè ancienne 8c moderne. Ibid. b. Foye{ les pl.
d’Arehit. & .d ’Antiq. du Supplément.
Caryatides, origine de l’ordré caryatique. XIII. 13 1. a. D e
cet ordre. XI. 6 t r ; a. Figures caryatides, appellées aujourd’hui
termes. X V I . 1 39. a.
C A R Y B D E , mouvement des eaux du C arybde.VII. 73 1 . b.
Sur G arybde & S cy lla , voye^ ce dernier iîiot & Charybde.
C A R Ÿ O C O S T IN , ( Pharm. ) maniéré dont fe compofe
cet éleftuaire. A quels tempéramens il convient! Dans "quels
cas on s’en fert. Origine de fon 1 lôm. H. 734. à.
Cariocofiin , éle&uaire. Sa compofition. IV. 299. b.
C A S , ( Gramm. ) Origine du mt>t. L e nominatif tombant
en d’autres terminaifons , forme les autres cas. Les mots
terminaifons, dcfittence, font le g en re ; cas eft l’efpece. Les
noms hébreux n’ont point de cas. II. 734. a. Les grecs n’en
ont que'cinq.” Les latins en ont fiX. D u nominatif, appeilé
aufti cas direSl. Du génitif. D u datif. D^ Taccüfâtïf. D u Vocatif.
D e l’ablatif. Chaque cas a plufieurs ufages ; mais les dénominations
fe tirent de l’ufage le plus fréquent. C e qu’on entend
par décliner 8c conjuguer. Ibid, b. Noms indéclinables.
L ’enfemble des mots de la phrafe fait connoître leurs relations
avec les autres mots. Exemple qu’on en donne. Il n’y
a ni cas ni déclinaifôn dans les langues où les noms gardent
toujours la même termihaifon. Q u el eft l’ufage des cas. Ils
ne font en ufage que dans les langues où les mots font
tranfpofés. Comment ils font utiles dans ces langues. Ibid.
733. a. Exemples qui en montrent • l’utilité. Ils deviennent
inutiles dans une langüé oùla fyfttaxe ne fouffre que de légères
inverfions aifées à appercevoir. Ibid. b. Un latin qui acquer-
i‘oit Tiiuelligence des mots françois , & nullement celle de
notre lÿntaXe ne comprendreit rien à cette propofitiôn,
Augufiè vainquit Antoine. La langue arménienne a dix cas, la
langue arabe n’en a que trois. Pourquoi l’on compté fix Cas
en latin, quoiqu’il y en ait quelques-uns dont les terminai-
fons font les mêmes. Les rapports qui ne font pas indiqués
par des c a s, font fupplées par des prépofitions qui équivalent
à des cas". Ibid. b.
Cas. Pourquoi "inventés : d’où font tirés les noms qu’on
leur donne. I. 91. b. Obfervations fur les cas. X. 734. «.
Cas" direàs & cas obliques. XI. 212. à. 306. a. Cas appelles
perfonnels. X II. 4-52. b. R acine des cas obliques. V II . 383. b.
Deftination'de' chacun des cas en latin. X IV . xo. b. XVII .
Tome I,
C A S ^41
47. a. Des cas de l’in-finitif. VII I. 703. b. Comment f é s cas
font indiqués en hébreu. I. 7.22. a , b. Cas "datlS là'langue
grecque. IbUt. b. IV . 639. «,^ b. '& c. La langue arménienne
a dix cas:, ces cas pourroient être.encore en plus grand nombre
dans une langue. IV . 639. f . En augmentait le nombre
des cas dans une langue, on -en banniroit l’ùfage des prépofitions.
XIII. 301. b. La langue françoife 'n’a ni déclinations
■ ni cas.--1. 92. b. 723. b. Comment nous i'naiqtïûri'sf ié s rapports
que les. latins indiquoient, foit par leurs .c^S, " foit par
leurs prépofitions. I. 724. à. Pourquoi nos1 grammairiens fe
font accoutumés à attribuer des cas à la langue françoife.
IV . 641. «. Notre langue qui n’kdmet point dé caS 'dans les
noms, en admet dans lés pronoms. XIII. 431. 'a., ‘b.
C as irrédudiblc du troifieme degré, ( Ànalyfie') cêlüi où une
équation dü troifieme degré a fes trois racines fé é lle s , inégales
8c incommenfurables. Détails qui montrent que fi oh
réfout l’équation par la méthode ordinaire, la racine quoique
réelle , fe préfente fous une forme qui renferme des
quantités imaginaires, & qü’oh n’a jamais pu rcdüirè Cette
expreffion à une forme réelle. IL 736. a. Comment il fe
peut faire que cette racine fe préfente fous une forme qui
contienne des imaginaires. Comment M. Nicole a réfolu cette
difficulté. 7Ai</. b. Cette racine du Cas irr'èduélible fe trouvé
aifément par la géométrie. Voye^ Construction. C e t inconvénient
eh algèbre vient de la méthode "qu’on a employée
jufqu’ici pour réfoudre les équations du trbifieme degré. En
quoi cônfifte l’im perfeftioh de cette méthode. Cas particuliers
où. l ’on pourroit afiigner cette valeur algébrique. II.
737- a- La racine étant ihcommenfurable dans le càs irré-
duétible, Tcxpreffion réelle de cette racine, quand on la trouvèrent
, n’empêcheroit pas" de recourir aux approximations.
Voye1 A pproximation.
Nouvelles remarques fur les équations du troifieme degré. Pour
les réfoudre d’une maniéré complétte, il faudroit inventer
une méthode qui fît trouver à la lois les trois racines. Obfér-
vations fur la méthode dont On fe fert pour trouver ces
racines. Explication des difficultés que cette méthode femble
offrir. Ibid, bi
Cas. ( terme de Palais ) Ç as royaux : cas prévôtaux /privilégiés
, eccléfiaftiqùes. II. 738. b.
Cas de confidence , ( Morale ) définition. O n examine fi
ceux qui ■ attaqueht les dogmes d’une religion, font aufti
mauvais citoyerts que ceux qui en attaqueht la morale. Il;
738. b. C ’eft ici fur-tout que l’équité veut qu’on diftinguè
bien la pérfonne de l’Opinion , & l’auteur de l’ouvrage. Ca-
fuiftes indulgens pour les autres, & aufterès pour eux-mê-
mes. Ibid. 739. «.
C a s réjervés. {Difcipline eetléfiafiique) Cas réfervés'aùpape,"
fuivant le rituel de Paris." Cas réfervés à l’é fêque . C es réfer1
varions • different fu iv anf fufage des diocefes. Leur utilité.
Inftiturion du prêtre" pénitencier. A l’article de la mort
tout p rêtre peut abfoudre. Cas réfervés aux fupériéurs dans
les couvens. II. 739'. a. .
C A S A S A N T A dans i’églife de Lorefte : fa defeription.
C A S A N , ( Géogr. ) ville & royaume d’Afié. Productions
& commerce du rôyàume. IL 739. A.
Cafiartf obfen'arions fut"cè royaume. X IV . 443.«.
C A S A Q U E , étymologie de ce mot. II. 739. A.
Cafaque militaire appellée fiagum. VII I. 13. A. Cafaquegau-
loife._16.iA.',
C A S A S , {Barthelcmi de las) de Séville. X V . 13 4. a. Obfer-
vation'S fur fon traité de la déftruâion des Indes. Suppl. I.
3 32. A. Ses efforts généreux pour adoucir le fort" dés infortunés
Mejcicains. Suppl. III. 923"."Al"1
C A S A T S C H IA -O R D A , ( Tartàres de la ) X V . 920. A.
C A S C A D E . ( Hydraul.) Cafcadë na'tùrè'llé'1 bu catarafte;
Exemples. Cafcade artificielle ; Exemples. Grande & petite
cafcade. II. 739. A.
Cafitàde, canal en cafcade. IL 383. A. D e "la diftribution
"des eaux pour des cafcades & buffets. IV . 1063. A. Caf-
cades de Tivoli. X V I . 362. A. Celles du Velîno. 879. a. Càf-
cade dite fianbach, dans le canton de Berne, vol. V I . des pl.
Régné minéral, glaciers , pl. 2. Foye% CATARACTES.
.Cascade , ( Algeb. ) méthode des cafcades pour résoudre
les équations, par M. Rolle. II. 739. A. Méthode par laquelle
on approche des racines d’une équation, en rèfolvant des
équations qui vont toujours en baiffant d’un degré. Elle pa-
roît avoir beaucoup de rapport à celle de M. Rolle. Expo-
fition & démonftration de cette méthode. Ses inconvéniens,
II. 74b. «.
CÂ SCA RIL LE ou C hacril , ( Bot an. ) defeription dé cette
écorce. En quoi elle différé du Quinquina. II. 74b. a. Avantages
qu’elle a flir lui. Divers ufages auxquels ônr’Ta appliquée.
Dans quels cas on fe fert de la fubftancë (oü de la
teinture. Ses avantages fur l’ipecacuanha. Ibid, b: :
C A S C H G A R , {Géogr:') pays d’Afie. Defeription géographique
de ce royaume. Ses produirions. H. 740. A.
C A S E , ou CaJJe d’imprimerie, efpece de table en deux
p p p