9 8 A
Arabes Nabatèes. Ses démêlés avec les Juifs. Suppl. 1 y o . a.
A rétas I I , autrement Énée , fucceffeur d’Aretas 1. Précis
de fon régné-. Suppl. I. g g | a. •
A R Ê T E , (Ick thy .) partie du corps des portions. L 635. b.
A R Ê T E , terme employé dans la coupe des pierres. I.
635, i ' H H ■ , 1
A rête , terme de chapelier , de diamantaire, de planeur.
1 .6 3 6. a. , , _
A R Ê T E S , ( Maréc/i. ) maladie du cheval. Son traitement.
Ü W a. v
Arêtes, v o y e z fur cette maladie des chevaux, v . 212. a.
A R E T É E /médecin. X. *79- i Sî}
4 1 2. b. Suppl. IV . 346. b. Sa doftrme fur la faiçnée. X IV .
3°ARÉ TH U SE {Myth.) fontaine d elà prefqu’ifle d’Ortygie.
Métamorphose de la nymphe Aréthufe enfontaine.-Prétendu
jnêlangl des eaux de l’Alph é e, fleuve du Péloponnefe avec
celle de l’Arétliufe en Sicile. 1.' 636. a.
Aréthufe article fur cette fontaine. Suppl. IV . 191. b. Sur
quoi eft fondée la fable des amours de cette fontaine avec.
fA ip id e . 1 . *97- 8 6j. 1 x v , ,767, b. I
A rÉTHUSE , (Géogr. ) quatre fontames de ce nom. Suppl.
>. b.
A R É T IN , ( Guy ) d’Arezzo , inventeur d p notes de mu-
* flaue X I 249. u. Additions qu’il fit à l’ancien fyftême. X V .
781 a Sa maniéré de folfier. Suppl. IV . 805. b. Inconvénient
de fa méthode. V i l . 458- les Planch- vo1*V lL
article Musique , planch. 5 bis.
■ A R G A L U S , ( B iß . de Lacêdém, ) fucceffeur d Anucles au
’ trône de Sparte. Suppl. I. 550. b.
A R G A N E T E , ( A n milk, des anc.) forte de balifte. Voye^
planch. 10 de l’art militaire. Supplément.
A R G A T A , chevalier de l ( Hiß. rnod. ) ou chevalier du de-
' vidoir. I. 6 3 6 .1 • . ' !
A RG ÉEN S , {Hifl. anc.) reprefentations d hommes que les
veftales jettoient dans le T ibre. Obfervations fur cette cérémonie
& fur fon origine.!. 636.b. v
A R G EM A , ( Chir. ) ulcéré du globe de 1 oeil. C e qu il y
a de fâcheux dans ces maladies. Maniéré de les traiter. 1.
3 A R G E N T , ( Met ail. ) état dans lequel ÔR le trouve dans
les mines. Argent en cheveux, en filets, en végétation , en
feuilles, en lames. Mines ou l’argent eft renferme dans la
pierre. Diverfes couleurs que ce métal reçoit dans d autres ■
W M Celle. M B appelle „.ine l i l— B B i
trouvent dans la généralité de Pans & Ille de Trance ,
& dans d’autres provinces de ce royaume. I. 637. b. Delcnp-
tion de la mine d’argent de Salfebéryt en S u èd e , & de
tout ce qu’elle renferme de merveilleux. Details fur les
mines du Potofi en Amérique. Malignité des vapeurs qui
s’en exhalent. Combien elles font funeftes aux ouvriers. Ibid.
630. a. O n ne trouve les mines d’argent les plus riches, que
E H les endrois froids de l’Amérique ; telle .itoit fur-tout
autrefois la température du Potofi. Co rv é e a laquelle lont
obligés les Indiens, pour le travail des mines. Autres mines
découvertes depuis quelques années en Amérique. 11 y a , a
ce qu’on d it , en Saxe & dans le pays d’Hm o v re beaucoup
â e mines'd’argent. Mines d’argent corné. Oui. 640. a. Mines
d’argent rougi. Mines Blanches Sf. g r ifo . Comment on tire
l’argent du minerai qui le contient. Ibid. b. Le titre de 1 argent
le plus pur eft de douze deniers. Comment on s’y
prend pour monter le titre de l’argent en le rafinant. L argent
en chymie s’appelle luna. Comment fe fait la teinture
d’argent. Ibid, 641. a. Vertus qu’on lui attribue en médecine
Converfion de l’argent en cryftal. Pierre infernale d’argent.
Chaux d’argent. Lune cornée. Là maniéré de feparer
1 argent d’avec la mine , eft la meme pour en feparer lo r.
L ’argent eft après l’o r , le métal le plus fixe. Expériences qui
le prouvent. L’argent eft après l’or , le plus duftile des mé-
taux. Ibid. b.
Argent. Analogie entre le plomb & l’argent. XII. 773.0.
Différentes mines d’argent. IX. 737. b. Celles de l’Attique.
Suppl. I. 691. a. Mines d’argent arfénicaïes. 580. a. Mine de
la province de Cardigan en Angleterre. Suppl. II. 236. b.
Mines de Kongsberg en Norwege. Suppl. 111. 689. a. Maffes
d ’argent appellees pignes en Amérique. XII. 614. b. Mines
d’argent appellées mulato, négrillo 8c paco , en Amérique.
V o y e z ces mots. Minés d’Afrique. Suppl. I. 194- fl. D u minerai
le plus riche du Chili 8c du Pérou. XII. 7^9- a- Mme
d’argent rouge. X. 541. a. Vo l. V I des planch. Cryftallifa-
tions mathém. planch. 3. Mine cuivreufe qui contient beaucoup
d’argent. Suppl. HI. 2. a. Mines d’argent en A lface. I.
2.99. a , b.Très d’Ilkufch en Pologne. VII I. a. A Joo-
chims-Thal en Bohême. 866. a. L’argent ne le trouve qu accidentellement
dans la mine du cobalt. III. 557- Argent
minéralifé avec le foufre. X. 3 4 1 .0 .— D u traiteqient de la
mine. X . 43 3. b. Vol. V I . des planch. article Métallurgie. Effai
par lequel on peut s’aflurer de la quantité d’argent contenue
dans une mine. IX. 738. b. Maniere.de traiter en grand les
À R G
.mines d’argent. Ibid. Ufage.du mercure dans -ces opérations.'
X. 374. a. M oy en dont on fe fert dans pliifieurs ,pays pour
tirer l’argent de fon minerai. I. 314. b. Matte de plomb 8c d’argent.
X. 207. <1. D u traitement des mines de cuivré qui contiennent
de l’argent. 433.4. IV . 344. fl, b. Opération de {èpa-
rer l’o r de l’argent. 381. a , b. — Affinage de l ’argent. 1. 160. a.
Des cémentations pour purifié^ i ’argent. II. 8 x i .a fb .— Alliage
de l’argent avec d’autres métaux. I. 283. b. Comment on
exprime fes degrés d’alliage. 286. fl. - La calcination de 1 argent
ne paroît pas abfolument impraticable. II. 343. b. Du
raffinage de ce métal. V . 993. fl. Remarque fur l’indiliolubilité
de l’argent par l’eau régale. XIII. 91 1. b. L ’or & l’argent fe
diffolvent l’un l’autre. V I . 915. b'. — Des effais de l’argent;
ces effais demandent b.eaucoiip plus d’attention & de foin que
ceux d’or. XI. 3 26. b. Voye^ fur cette opération l ’article Essai*
V . 983. fl, b. D u titre de l’argent. X V I . 361. b. L’argent fin ne
peut fe trouver exactement au titre de douze deniers. X I. 3'26.
b. Lumière que donne l’argent en bain, quand il perd la fluidité.
V . 268. b. Argent en barres. Suppl. I . 814. a. Moyen de
faire de la poudre d’argent. XV II . 100. b. M aniéré de le blan*
chir. II. 272. b. 274. b. X V . 392. a. Variations dansla yaleur 8c
l’abondance de l’argent. X. 643. a , b. 646. a. L’argent avant
que d’être en monnoie avoir une valeur dépendante des
ufages auxquels il étoit employé. Comment 8c par quelle
raifon ce métal a été employé à faire de la monnoie. X. 646.
b. D e la proportion entre l’or 8c l’argent : quelle elle étoit
anciennement. X. 631. « , b. L e fouverainne doit pas la fixer.
647. b. Proportion entre ces deux métaux dans les pays de commerce.
III. 129. b. Confultez encore fur l’argent l ’article Lune.
A rgent , ( Econ. polit. Comm. ) on défigne par ce mot
toutes les efpeces de lignes de la richeffe, courans dans le
commerce. Valeur de l’argent çonfidéré comme ligne. L e
prince a le droit de la fixer. ï . 341. b. U ne grande quantité d’or
& d’argent eft toujours favorable , lorlqu’on les regarde
comme marchandife 3 mais il n’en eft pas de même lorfqu’on
les regarde comme lignes. Combien les Efpagnols s’abuferent
lorfqu’ils fondèrent leur opulence fur les mines de l’Amérique.
M. de Montefquieu cité fur ce fujet. Ibid. 642. a. C e qui
rél'ultera néceffairement de la trop grande abondance de l’or
8c de l’argent dans le commerce. Cette trop grande abondance
qui anéantiroit l’ulage déTargent dans le commerce, eft encore
extrêmement éloignée. Ibid. i.Défenfes de déformer ou altérer
l’argent monnoyé en France. Libre entrée 8c fortie de cet
argent. Définitions du mot argent joint à diverfes épithetes
qui indiquent fes différens rapports, caraâeres 8c ufages*
Ibid. 643. fl. J
A rgent, ( Econom. polit. Finan. Comm.') étymologie du
mot pecunia. IX. 177. fl. Voye^ les articles Intérêt , Especes
8c Monnoie.
A rgent , ( Blafon) maniéré de le repréfenter. Vertus dont-
il eft le fymbole. Suppl. I. 331.4.
Argent, en blafon. Voye%_ aulli Suppl. III. 916. b.
A R G E N T A N , ( Géogr. ) v ille d e là balle Normandie. Sa
fituation. S ieges de juftice qui y font établis. Eglifes 8c fondations
réligieufes qu’on y trouve. Ses manufactures. Titre
qu’elle porte. Suppl. I...S 31. a.
A R G EN T E R , l’argenture fur les métaux différé totalement
de l ’argenture fur les autres matières.
Maniérés d’argenter fur fe r ou fur cuivre. I. 643. b. Qj>.
renvoie à l’article Dorure l’argenture des métaux , fur bois ,
fur toile , Scc. Comment on défargente une pièce. Ibid.*
644. b.
Argenter. Papier argenté. XI. 861. b. Argenture à froid d’une
piece de laiton. IX- 741. a , b.
A R G E N T E U IL , ( Géogr. ) gros bourg à deux lieues de
Paris. Sa population. Son commerce. Carrières de plâtre dans
les environs. Seigneurs d’Argenteuil. Autre bourg de c e nom
en Bourgogne. Suppl. I. 5 5,1. a.
A R G EN T IER S , chez les Athéniens 8c chez les Romains.
233 -a., b. - H H I ' A
A R G EN T IN E , ( Botan. ) plante qui doit etre rapportée
au genre des pentaphylloides. Sa defeription. Lieux où elle
fe trouve. Analyfe de cette plante. Ses ufages en médecine.
I. 643. a. — Voye[ Pentaphylloides.
Argentine , théâtre ainfi nommé à Rome. Plan , coupe 8c
élévation de cet édifice. X. vol. des pi. article Théâtres.
A R G EN T O N , bourg fur la côte de Bretagne. É cueil vis-
à-vis de ce bourg. V I I . 222. b.
A R G EN T R É , ( Bertrand d' ) favant du feizieme fiecle.
X V I I . 3 6 1 .A ’ '
A R G E N T UM muficum, ( Métall. ) I. 889. b.
A R G IL E , ( Hijl. nat. ) caraéteres de cette terre. Ufages
auxquels elle fert communément. Diverfes,couleurs-d’argille.
Abondance de cette terre. Elle forme , félon M. de Bunpn,
une des principales couches du globe terreftre. Comment fie
font formées les argilles, félon cet auteur. 1. 643 .b. Le fable peut,'
avec le tems , produire l’argille ; 8c celle-ci, en fe divifant,
acquiert les propriétés d’un véritable limon. Preuves de cette
théorie. L’argille peut devenir du caillou 8c du véritable
A R G
V e ife , 8c le verre 8c le caillou redevenir argille. Aid.^646.
fl. Obfervations qui prouvent céttë derniere affertion par
'rapport au caillou. C e qui arrive au caillou arrivé au fable.
Comment le verre fe décompofe pour devenir argille. Par
tout ce qui précédé , il eft évident que les g laifes, les arrilles
8c les fabîès ont été formés par des feories 8c des écumes vitrifiées
du globe -terreftre. Ibid, b.
Argille. Comment les fables ont pu former les aTgilles. II.
333. b. Expérience qui prquve que le fab le , 8c même le
caillou 8c le verre exiftebt dans l’argille. Ibid. Tranfmiitation
du verre v fable ou caillou en argille. 534. a. L ’argille 8c
le caillou font les deux termes .des matières virrifiables.
Ibid. b. Expérience par laquelle on tire du fer de l’argillë.
V I . 493-. b. Effets du feu fur l ’argille 8c les terres argilleufés.
X V I I . 364. a. Suppl- I I ./0 . a. Suppl. IV . 317. b. -Caraâeres
8c nature de l’argille : fon ulage dans les verreries en glaces.
I i 6. a , b. Sorte de terrein que l’argille peut fertililèr. X.
*|E5 <*• T erres argilleufes d’Angleterre^jle'urs.qualités 8c prop
riétés. IV . 36Ï.P. 362. a. d e l’argille de G entilli. V I I . 3,3,6.4.
Argille marneufe. Suppl. III. 831- à. 834. a. Préparation de
l’argille pour les fourneaux. 23 3: b. Sur l’argille, voye^ l’article
G laise.
ARGINEUSES , (.Géogr.,) ifles de ce irOm, à la vu e def-
' Quelles les Athéniens vainquirent les Lacédémoniens. Suppl. I.
l i ü B
A R G O , ( Myth. ) vaiffeaü qui tranfporta en Colchide ,
l’élite.de.la jeuneffe grecque. Les critiques font partagés fur
l’origine de ce nom. O vide appelle ce navire facram argum ■
I l eft àuffi nommé loquax. A qui il fut cohfacré..SOn changement
en conftellation. Forme de ce bâtiment. Les Argonautes
le portèrent fur leurs épaules, depuis le Danube jufqu’à la
mer Adriatique. Pourquoi i’011 a feintque cê vaiffeaü rendoit
' des oracles. I. 647. a. mmÊSSÊÊ
A rgo , ( Aflron. ) conftellation. ï . 647. b.
A rgo -, navire d’ , XI. 39. a. Étoiles de cette conftellation
qui ont difbaru. V I . 63- b.
A R G O L l , ( André ) fes ouvrages. X V . 831. b.
A R G O L ID E , Argos qu Argides , ( Géogr.) royaume du
Péloponnefe. Ses bornes. Ses principales villes. Révolutions
de ce royaume. Son étatpréfent. Suppl. I. 3 3 i . A
) A R G O N A U T E S , ( Myth. ) leur nombre. Les principaux
, d’entr’eux. Leur voyage. Tems de leur expédition. Divers
fentimens fur l’objet de ce v o y a g e , 8c fur ce qu’on doit entendre
par la toifon d’or que les A rgonautes allèrent enlever en
Colchide. I. 647. b>
A rgonautes , hiftoire de leur expédition. Suppl, III. 506.
b. Deux de leurs compagnons nommés Acaftè. Suppl. L 104.
a. 8cAdmete, 170. a. Conftruéleur de leur navire* 333* a. D u
tçms de leur expédition. Suppl. IV . 190. a. Culte qu’ils ren-
dirent aux divinités marines avant leur expédition. X. 363. a.
Lieu d ou ils partirent. X V II . 433. b. Les Argonautes dirigés
par Minerve. X. 343. a. C e qui leur arriva près des roches
Cyanées. IV . 384; b. Prétendu voya ge qu’on leur attribue.
Suppl. 1.347. a } b. Explication de la fable des Argonautes,
félon les chymiftes. III. 421. Suppl. III. 306. g Explication de
celle de la toifon d’o r , qui fut l’Objet de leur expédition. X V I.
383. />. Poème d’Orphée fur ies Argonautes. Suppl. IV . i8-r. b.
Voyc{ JÀSÔN.
À R G O N A U T IQ U E , ( Hifl. Litt. & Crit.) nom d’un poème
épique d’Apollonius de Rhodes. Obfervations fur cet ouvrage.
Son éloge. L’expédition des Argonautes , chantée par divers
poètes romains. Suppl. I. 3 51.
A R G O N E , ( Dom Bona venture à!*") Suppl. III. 167. a.
A R G O S , ( Géogr,Hifl. anc. ) v ille du Péloponnefe »aujourd’hui
Naupatia. Ses anciens noms. Citadelle qui la déferjdoit.
Hiftoire des rois d’Argos, Obfervations fur les Argiens. Suppl.
I. 331. £. & 3 32. a , b.
A rgos , royaume d’ , X IV . 42O. a. Son fondateur; Suppl.
III. 369. b. Droit dès Héraclides fur cé royaume. VII I. 146.
b. Temple 8c culte de Junon chez les Argiens. VIII. 137. b.
IX. 6°. a. X V I . 73. b. Fête en fon honneur. X V I. 406. b. 4x1.
a- fc t e célébrée à Argos en l’honneur des femmes de cette
ville. VIII. 339! b.
A r g o s , {Géogr.) v ille d’Afrique en Abyffinie. Suppl. I.
■ ARGOTS , dans la taille des arbres. X V . 836. b;
A R G O U L E T S , ( Art. milit. ) efpece de hufiards de l’ancienne
milice françoife. Leurs armes. Ufages auxquels ils
étoient employés. Suppl. I. 3 3 2.
Argoülets , ancien corps de troupe militaire. I l, 781. b. >
A R G O U X , ( Gabriel) jiirificonlulte. X V II . 368; b.
A R G U E , machine à l’ufage des tireurs d’or. Defeription
oc ufage. I. 648'. a. ' \ :
Argue, tête d’ , XVI. 264. b. Defeription de i’argüe. X*
Vol. des pl. article Tireur d'or, pl. ï 8c 2.
AR GU IN , golfe d' , V II . 733. a. ‘
A R G UM EN T , {Rhét.) comment on divife les argumens*
A R I * 5 9 m m m m ÊM m i nue lWatpni- ■aeurS' ^ rgumens intrinfeques ou artificiels ,
B j j W P tlre 1 °îl lle Propre perfonne , ou de celle
de fes auditeurs, ou du fonds même du fujet. Argumens naturels
ou extrmfeques que l’orateur trouve puur ënfi dire tout
fàits, ..comme les lô ix , les arrêts, 8cc.
Autre diftinRioad a rgumens, relatlvé aux trois gènres de
îhétorique. I. 648. b. Divers autres ufages du mót argument en
littérature, en logique , en aftronomie. Ibid. 649. a.°
Argumens, lieux'communs d’oii ils fe tirent. IX. 400- a
A rgument {Aflron .) c’cft en général, la 1 de
laquelle dépend une équation, une inégalité , une circonR
tance quelconque du mouvement d’une planete. Quatorze
inégalités-du mouvémênt de la iüne. Argument deïapreiniefé B H i BQ * 1
llee lens de la radon. X V I I . 7I7m0. b. ' . a perverti
A R G U N , {Géogr ) obfervations fur cette rivïere de la
Tartane orientale. Suppl. I. 333.4. •
ARGUS. ( Myth. ) fils de Phrixus, conftruit le n aviré argo *
ôcc. Suppl. I. 333. a. - « »
■ B àQ c là iSA p is , rot
a Argos. Les Grecs l.ui -confacrerent des autels après fa mort-,
Suppl. 1. 333. a. . 1
A rgus , furee roi d’Argos, voyez Suppl.L m . à,
A rgus , ( Hifl. nat. ) on a donné cé nbm, 1 °. à des papillons
diurnes 3 2 a certains coquillages 3 30, à un ferpent de
Guinée. Suppl. I. 333. a , b.
Brgus, terme de fleurifte. Suppl. I. 3 33. b.
^ A !U ;Y l.:i;.\S , nuoemés Ty-rier.isi X V l.
’ A r â r R A S m > E S , ( Hifi. anc. ) roldats macédoniens
Jtftngnés (B” Alexandre. Ils fitifoient le fécond, corps de
fon armée Oppofition dnïennment de Q Cnrce a c d u l de
f i f i ’î ■ f“ r . " « “ te Je cçs tronpes. L 649. Les ■
cl Alexandre taejterent à l’e n v i'î . après fa m o rt , d’emager ■
dans leur p a r ti, les Argyrafpides. Ibid. b.
1 ^ RH J, mo,lta8ned’Afrique en Barbarie. Ses
habitans. Produfhons du fol. Suppl. I. 333.b.
,, A R Î^ > ( Mufiq. ) ‘ terme de poéfie 8c de.mufique. But de
lan a . D e fa compofitton poétique. Deux parties quelle ren-
ferme. D e la theorie muficale de l’aria. Comment fes deux
parties doivent être chantées. Des répétitions des morceaux
de lentiment. Répétition de la .première partie -, pu da-capo.
Q u el en_ eft le motif. Un trop févere affujettiftément aux
regies q u a établies l’ufage , annonce la médiocrité du talent
de l artifte. U n compofiteur habile s’en affranchit , dès que la
nature du fujet l’exige. Ouvrage que le chanteur doit confultér.
Keglps de goui; qu’il doit principalement obferver. Suppl I
354 8c 333. a, ^ , s
^ » p a f f io n s p r o p r e s à être exprimées dansTaria.i’^ / . III,
A ria , {Géogn) lieux auxquels les anciens Grecs donfie-
rem ce nom. Ville du Japon ,r'âinfi nommée. Suppl. I. 55e a.
Aria , contrée de l’ancienne A f ie , à l’orient de la Perfe "
8c au nord-pueft de l’Inde. Il y avoit un lac , un fleuve 8c une
’ v ille de même nom. Suppl. L 555. a.
A R IA D N E , ou A riane , ( Myth; ) fille de Minos. Ses
aventures-. Pièces de théâtre auxquelles cette fable a donné
lieu. Suppl. I. 553. a , b.
ARIANISM É , {Hifl. cccl. ) fon origine. Sentimens d’AriuSi
Comment il les répandit. Progrès de l’arianifme , malgré la
vigueur avec laquelle il fut pourfüivi. I. 649. b. Cependantles
Ariens , malgré leur nombre , virent bientôt la plus grande
partie des évêques retourner à la for catholique. Gomment
S. Grégoire .de Nazianze répond aux Ariens, qui reprdchoient
aux Ortliodoxes leur petit nombre*
L’arianifme fut enfin abattu foiis le grand Tliéodofe. Il hé
s’éteignit en Efpagne 8c en Afrique qu’environ l’an 660.
Erafme 8c Servet femblent avoir voulu le rétablir. Après la
mort de celui-ci, oïl v it paroître à G eneve un nouveau fyftê-
mé d’ârianifmé , I. 650. a , ,qui p.iffa enfuite en Pologne , 8c
dégénéra én focinianifme* On acciife .GrQtius de l’avoir favo-
rife. L ’ariânifme n’eft toléré darts aucun pays chrétien. O n le
profeffe ouvertement en Turquie. Nulle héféfie n’a été défendue
8c combattue avec plüs de vigueur. Ibid. b.
Anqnifme, les erreurs de rarianifme condamnées parles
Cönciles. X VÏL 53. fl. Doélrine des Ariens. IV . ï p i . a.
A R IB E R T , fils de.ciotaire I I , ( Hifl. de’France) roi d’une
partie de l’Aquitaine. Obfervations fur fés enfans. Suppl, h
Î 5v f ’
A R IC , roi de Suede, frere 8c collègue d’Eric IV; Suppl. IL
865. 4.
A R IC A , v ille d’Amérique. Son commerce. 1. 650. b.
. A r-iça. , ( Qépgr. ) pprt 8c v ille de l’Amérique méridionale;
Hiftoire de eetté ville. Sa ruine en 1605. Son état