
•le créât eut" de la médecine qu’on "exerce aujourd’hui. Ibid. b.
Afclépiade. Obfervations fur Afclépiade de Phlionte. XII.
32.0. a. La connoiflance de la médecine établie dans la famille
des afelépiades. VII I. 2.11. a.
Afclépiade, dit le rhéteur, remit en crédit à Rome la médecine
qu’Archagathus y avoir introduite cent ans auparavant.
X . 280. a. Obfervations fur ce médecin. XIII. 532. a. Sa
phyliologie. Suppl. IV. 346. b. Il bannit de Rome les remedes
magiques. V. 619. a. Ef'pccc de réfurreétion qu’il opéra. X.
720. b. Sa doctrine fur la faignée. X IV . 501. b.-
Afclépiade , vers , fon rapport avec notre vers alexandrin.
Suppl. Y. 274. b. Suppl. IV. 986.4.
A SC LÉ P IA S , ( Botan. ) ou dompte-venin. V o y e z ce mot.
Espèce de ce genre appellée adakodïcn. Suppl. I. 163. b.
ASCLÉPIO D OR E, peintre célébré de la Grece.XII. 257. a.
ASCÜ D RU TE S , hérétiques du deuxieme fiecle. Leurs
Béréfies.I. 731 .* .
A SCO L IE S , ( Hifl. anc.') fêtes que les payfans de l’A t-
tique célébfoicnt en l’honneur de Bacchus. Defcription que
donne Virgile de la cérémonie de ces fêtes. I. 75 1 . b.
■ A SD R U B A L , fils de Magon , ( Hi/'t. des Carthag. ) célébré
capitaine. Précis de fa vie. Suppl L 631. b. ^
Afdrubal, fils de Gifcon , fon incapacité. Sa fin tragique.
Suppl. I. 632. a.
Afdrub.il furnommé le beau. Amitié que lui témoignoit
le grand Amilcar. Kiftoire de fes exploits militaires Suppl. I.
63 2. a. Sa mort. Ibid. b.
Afdmbal-Barca, fils d’Amilc-ar St frere d’Annibal. Guerres
qu’il fournît Gontre les Romains. Suppl. 1. 63 2. b. Sa mort. Ibid.
033. b.
Afdrubal, général des Carthaginois dans la derniere guerre
punique. Dominé par fon caraélere turbulent 8c farouche ,
il accéléré la ruine de fa patrie par les efforts même qu’il
fait pour la relever. Suppl. I. 633. b. Fin cruelle de fa famille.
Malédiéiions dont fa femme le charge au moment où elle
v a fie précipiter dans les flammes avec fes enfans. Ibid. 634. b.
A S E , auteur du thàlmud de Babylone. IX. 39. a.
A S E K l , ( Hifl. tnod. ') nom des fultanes favorites qui
ont mis au monde un fils. Diftinélions dont ces fultanes
jouiffent. Penfion des afekis. Elles peuvent être regardées
comme autant d’impératrices. D ’ou dépend leur crédit.
Depuis Bajazet premier , les fultans n’époufent point de
femmes , mais ils peuvent entretenir jufqu’à cinq afekis à
la fois. Elles ont eu fouvent part au gouvernement. I. 75 2. a.
A fe k i , favorite du grand-feigneur. XI. 344. b. VII I. 61. b.
A S E L L I , ( Cafpar) anatomifte. Suppl. 1.396 .4. Phyûolo-
gifte. Suppl. IV . 349. b.
A S EM , (Géogr. ) Voyei A cAam .
ASER , ( Géogr. fie r .) erreur à corriger dans cet article
«le l’Encyclopédie. Suppl. 1. 634. b.
A ser, (la. tribu d’ ) contrée de laPaleftine. Suppl. I. 634. 4.
A ser , (Géogr.) petite v ille d’Arabie. Suppl. 1. 634. b.
A SG À R , ( Géogr. ) province d’Afrique au royaume de
Maroc. Son étendue. Ses principales villes. Ses produirions.
Suppl. I. 623 . a.
ASHiMOLE , obfervations fur cet homme célébré & fur
fes ouvrages. IX. 586.by ;
A S IA R Q U E S , ( Hifl. anc. ) prêtres dans certaines villes
d’Afie ; autorité de leur prêtrife. Service que rendirent à
faim Paul ceux d’Ephefe. Aél. X IX . ffr. 3 1 .1. 73 2. b.
Afarque , miniftre de la religion à Sardes. X IV ..633. b.
A S IA T IQ U E S , ( Philofophie des ) ignorance & fuperfti-
tion des chrétiens d’A f ie , la plupart neltoriens. Divifion des
mahométans en deux feétes, celle d’Aboubecre & celle
d'Ali. Philofophie des foufis Perfans , appelles cabaltûes ,
qui eft aufli celle des pen dets , gentils des Indes. I. 73 2. b.
Ouvrage en vers perfans où clic fe trouve expliquée.
Cette doitrine vient de celle de Zoroaflre. Supcrftition des
Tartr.res, Leurs prêtres ou lamas. Grand-prêtre , appelle
grand- lama , des Indiens. Ibid. 733. a. Doélrine des bra-
mins. D u philofophe Budda ou Xeki3 , célébré chez les
Indiens. Principaux dogmes de la doélrine exotérique de
Xekia. Ibid. b. Principaux dogmes de fa doélrine intérieure
ou fecrete. Ibid. 734. a. Secte fameufe chez les Japonnois
■ à laquelle cette doélrine a donné naiffance. Ce que les caba-
liftes ou Juifs modernes ont tiré de cette doélrine de Xekia.
Recherches fur la patrie de ce philofophe , qui probablement
n’eft point né dans les Inaes. Ibid. b. Raifons fur lef-
■ quelles Kempfer prétend qu’il étoit Africa in, élevé dans
■ les myftcres des Egyptiens. Ibid: 733. a.
A siatiques;, ( Géogr. ) faute à corriger dans l’Encyclopédie.
Suppl. I. 63 5 . a. .
Afiaùques, defcription des peuples d’A fie. VIII. 343. a ,
b. 346. a. Lubricité des femmes en quelques endroits de
l’Afie. XII. 161. b. Pourquoi les Afiatiques. ont toujours
con ferv ê un invincible penchant pour la fable & le myflere.
VII I. Si,-b. Pourquoi ces peuples n’ont jamais eu d’ouvrage
Bien fa i t , prefqu’en aucun genre. VII. jC i. b. Voyez la fuite
à l’article O r ien ta u x St Indiens,
ASIE , defcription géographique de cette partie du monde.'
I . 733. a. Obfervation fur les peuples de ce vafle continent.
Ibid. b.
A sie fcptentrionale , ( Géogr. ) recherches fur l’étendue des
parties feptentrionales de l’A fie. Variation des géographes
fur ce fujet. Suppl. I. 633. a. Premières connoiffances que
nous en ont données les Ruffes. Celles qu’en acquirent les
Anglois & les Hollandois en cherchant un paffage par le
nord-eft. Ibid. b. Recherches de l’auteur pour la détermination
du cap le plus feptentrional de l’A fie , appellé ici Cap-
Tabin. La nouvelle Zemble nommée par les anciens S cythes,
iflè de Tarant a. Ibid. 636. a. Premières courfes des Ruffes
fur la nier Glaciale au nord de l’Afie. Découverte qu’ils font
de la riviere Anadyr. Afïociation nommée promyfchleni _
formée par quelques Ruffes pour le progrès des découvertes
dans ces régions. Relation de leurs voyages par Defchnew ,
l ’un des afîociés. Ibid. b. Defcription qu’ils donnèrent du
grand cap au nord-eft de l’A fie. Grand banc de fable à l’embouchure
de l’Anadyr. Ibid. 637. a. Travaux entrepris fous
Pierre-le-Grand , pour de nouvelles découvertes. Relation
que fait A tlaffow du cap Anadyrskoi , ifle vis à-vis de l’Ana-
dyr. Pays des Tfchouktski. Ibid. b. Pays renfermé entra
l’Anadyr & le Kolyma. Continuation de la defcription de
l’ifle fituée vis-à-vis. V oy ag e deBeering entrepris par l’ordre
de Pierre-le-Grand. Ibid. 638. a. Celui de Scheftakow en
1727 , & dePaw lu sk i, depuis la mort de Scheftakow. Ibid. b.
Après avoir rapporté jufqù’ici ce que les Ruffes nous apprennent
, l’auteur ajoute ce que nous tenons d’autres relations
plus anciennes. Relation de M. "VVitfen fur le cap Tabin -
St fur les glaces qu’il reçoit du nôrd. Comment les premières
cartes de l’empire de Ruftie repréfentoient les côtes orientales
de la Sibérie. Ibid. 639. a. Autre relation du grand
cap de glace. L ’opinion de ceux qui croient l’A fie contiguë
à l’Amérique , combattue par la relation d’un officier iué-
dois. Blés nommées Aleyu t, vers le 64e degré. Commerce
de pelleterie établi entre leurs habitans St les compagnies du
Kamtfchatka & du Kolyma. Rapport fuccint des pofitions
des contrées afiatiques {lu nord St nord-eft, telles qu’elles
fe trouvent fur différentes cartes .géographiques. Ibid. b.
D ’après les recherches précédentes , l’auteur a dreffé deux
cartes du nord-eft de l’Afie , qui fe trouvent parmi les
planches de géographie du Supplément cartes, n°. II. & n°.
III. Dans la première , l’auteur ne voulant pas choquer la
prévention alfez généralement enracinée fur l’exiftence du
cap Tabin , lui donne une place fous le nom de cap Scha-
taginskoi ave’c la grande ifle à fon eft. Dans la fé cond é ,
l’auteur préfente la defcription des mêmes lie u x , félon fes
véritables idées. On trouve ici quelques détails fur cette
fécondé carte , appuyés des relations rapportées ci-deffus.
Table figurée contenant la divifion générale de l’A fie. Ibid.
641.0.
A sie, qualité des climats d’A f ie , fitués fous la zone torride.’
XVII . 726. b. vers le nord.’VII . 313. b. 8c fous la zone tempérée.
X V II . 733. a , b. D u détroit qui la fépare de l’Amérique
, voye^ Amérique. Du paffage par le nord de l’A fie.
Suppl. IV . 230. a , b. Fleuves d’A fie. V I. 870. b. Obfervation
de Quint-Curce fur les montagnes & les fleuves de cette
partie du monde. VII. 93. b. Obfervations hiftoriques fur
les royaumes. X IV . 421. b. 8c fur les religions qu’on y pro-
feffe. V II . 979. b. Les rois d’A fie faifoient porter du feü devant
eux & à la tête de leurs troupes. V I . 637. b. Figure fymbolique
de l’A fie. X V . 732. o.
Afie mineure. Il paroît que prefque tous les peuples de
l’A fie mineure formoient , dans l’origine , une même nation
avec les Pélafges. V IL 912. a , b. Partie confldérable de ce
pays , appellée Grece afiatique. 919. b.
A S IL L E , infeéte que quelques auteurs ont confondu avec
le taon. Il tourmente beaucoup les boeufs. M. Linnæus diftin-
gue l'afille , Yaftrus & le taon , en trois genres d’une même
claffe , & il rapporte treize efpeces au genre de l’afille. I.733.4 .
A S JO G AM , ( Botan. ) plante du Malabar. Ses autres
noms. Defcription de cette plante. Sa culture. Ses qualités
& ufages. Remarques fur la maniéré de la claffer. Suppl. L
646. a , b.
A SK EM -K A LE S I, ( Géogr. ) autrefois Jaffus. VII I. 468. a.
A S L A C H , obfervations lur les ouvrages de ce philofophe.
X. 742. b.
■ ASMONÉENS , ( Ere des ) V . 901. b.
A SM U N D , ( Hifl. de Suède ) roi de Suede , périt en
•voulant venger la mort de fon pere & de fon fils. Suppl. I.
646. b.
' A smund II , éloge de ce prince. Travaux qu’il entreprit
pour le bonheur de les fujets. Suppl. 1. 646. b.
A smund I I I , agitations de fon régné. Suppl. I. 647. a.
A smund I V , furnommé Kolbreuner précis de fon regnë.’
Loi finguliere qu’il établit contre ceux qui avoient fait tort à
quelqu’un. Suppl. I. 647. a.
Asmund V , furnommé Slemme , frere du précédent. Précis
de fon régné. Suppl. 1. 647. a.
AS P
À SN A , ( Géogr. ) obfervation fur cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. 1. 647. a. , ■ ,
ASNEN , lac de S uede, Ou fe trouve une efpece de mine
de fer. IX. 386.
A S O P E , ( Géogr. ) erreurs à corriger dans cet article de
l’Encyclopédie. Suppl. I. 647. a.
A sope , princes & fleuves de ce nom. X V . 213, b.
A S O PH , ( Géogr. ) fituation & ancien nom de cette ville.
Son commerce. I. 736- u.
AsO PH, cette ville autrefois appellée Tandis. X V . 881 .b.
Mer cl’Afoph. X. 369. a. XI. 804. a , b. X V II . 683. b.
A S O R , ( Géogr. ) obfervation fur cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. 1. 647, b.
A S PA L A TH , ( Botan. ) gros buiffon ligneux & épineux ,
qui croit le long du Danube , à Nifaro 8c à Rhodes. Caractères
de cette plante. Son ufage. Ses qualités en médecine.
D ’où elle nous vient. I. 736. a. Reffemblance de fon huile
effentielle à celle de la rofe. Les anciens l’appellôient rhodium
lignum. Ibid. b.
ASPASIE , Jiiftoire de cette fameufe courtifanne. X.
503. a. ;. ' ‘ ,
A S P E C T , ( AJlronomie & Ærologie ) cinq afpeéls félon
les anciens. Leurs influences. Ceux que les modernes ont
ajoutés. Grandeur des angles que chaque afpeét renferme. 1.
736. b. Ils fe comptent par les degrés de longitude des planètes.
O n divife les afpeéls en partiles & platiqucs. Ibid.
Afpeét des planètes. III. 831. a. Différentes fortes d’afpeéts.
IL 239. b. XII. 103. b. X IV . 946. b. Les afpeéls finiftres des
planètes regardés par les alehymiftes comme caufes cle maladies.
VIII. 73 1 . b. Pelles attribuées à certains afpeéls. VIII.
737. b. Propriétés & influences de différens afpeéls. Ibid.
A spect , air, ( Beaux-Arts ) l’afpeél réfulte de l’enfemble
de la forme extérieure , & il différé du caraélere- qui naît des
parties du détail. — Il ne s’agit ici que de la figure humaine,
en tant que fon afpeél eft un des objets de l’art. T o u t artifte
qui faura exprimer correélement dans l’air d’une perfonne ,
le caraélere de l’ame , ou Amplement un de fes états paffa-
«ers ', eft sûr d’obtenir nos fuffrages. C ’eft par l’afpeét extérieur
' que nous nous fentons prévenus pour ou* contre
certaines perfonnes , certaines aétions , certains fentimens.
Ainfi l’artifte qui poffédera bien cette partie de fon art ,
fera le maître de nos fentimens. Suppl. I. 647. b. Difpofi-
tions naturelles, d’où dépend ce talent. Moyen de le per-
feélionner. Le poëte épique doit exceller dans l’art d’exprimer
l ’afpeél, & c’en peut-être le plus difficile de fon art. L’art de
varier à fon gré l’extérieur, eft de la plus grande confidération
pour l ’orateur; Ibid. 648. a.
Afpeél, bâtiment qui prèfente un bel afpeél. Maifort fituée
dans un bel afpeél. I. 737. a.
Afpeél, point d’afpeél, lieu où l’on jouit le mieux de la vue
d’un bâtiment. XII. 873. b ï ï - Voyci^ V ue.
Afpeél ou Solage. Voye^ Exposition. Il y en a quatre
ffifférens , celui du le v a n t , du couchant, du midi & du nord.
Avantages & défavantages dé chacun. Comment on peut
jouir de deux en même tems. Avantages d’une bonne expo-
fition pour la fanté & les végétaux , particuliérement pour
les orangers, les myrtes, & autres arbres à fleurs. Différentes
expofitions que demandent les arbres fruitiers. I. 757. a.
A S P E R , (Ichthy. ) petit poiffon du Rhône. Sa defcription.
ï . 737. <7. Qualité de fa chair. Il paffe pour avoir .la vertu
d’attirer le poiffon. Ibid. b. '
A SPE R G E , caraéteres de ce genre de plante. Culture des
afperges. Préparation des afperges. A fperges confîtes, au ju s ,
en petits pois, en ragoût. 1. 737. b. Afperges à l’huile. Q ualités
& ufages de l’afperge ordinaire en médecine. D e l’afperge
fauvage. Ibid. b.
A sperges , ( Jardin. Botan; ) noms de cette planté en
différentes langues. Ses earaéleres génériques. Enumération
<le dix efpeces différentes. Suppl. I. 648. a. Différence .confldérable
entre l’efpece commune qui fe cultive dans nos
jardins , & la même agrefte. Direétion fur la culture dè cette
plante. Ibid. b. Defcription des autres efpeces. Leur culture.
Lieux dloù elles font originaires. Ibid. 631. a.
ASPERSION , ( Théolog. ) ce terme eft principalement
confacré aux cérémonies ae religion. D u baptême par afpér-
fion & par immerfion. Afperfions & ablutions des prêtres
païens. I. 738. a.
ASPH AD ELOD IENS , ( Hifl. & Géogr. anc. ) tribu des
Lydiens nomades., dont on croit que les Bédouins font d escendus.
Caraélere , moeurs & ufages de ces peuples. Suppl. I.
6.32. b.
ASPF IA LT E, bitume folidc. Caraéleres de celui de Judée.
C ’eft dans le lieu d’où on le tire , qu’étoiènt Soclome &
Gomorrhe , &c. Puits de bitume qui fe trouvoient en grand
nombre dans cette contrée avant la.deftruélion de ces villes.
Obfervations fur la nature du lac Afphaltique & fon bitume,
ï . 738. b. Noms que les Arabes & les Égyptiens ont donnés
au bitume de Judée, Çaraéterçs ajytquçl.s 09, le diftingup
A S S 11 s
du piffafphalte^fk de la poix noire de Stockholm. Mémoire
à confillter pour connoître l’afphalte de nos contrées , 8c
fur-tout celui d line mine d’AUàcc. Mine d’afphalte dans fe
pays de Neufchatcl, dans le Val-Travers. Ufage qu’on en
a fait p our unir enfemble des pièces d’ornement d’architecture,
I .73 9 . careriér des vaiffeaux. Il eft difficile dé le
féparer des parties de pierre à chaux, auxquelles il eft uni.
La mine d’A lface a été découverte par fa fontaine minérale
nommée Backelbroun. Grandes propriétés des eaux de
cette fontaine , dont on donne ici la defcription. Ibid-, d
Travaux de M. de la Sabloiiiere, pour tirer l’afphalte de fa
mine. Defcription de cette mine. Si on y continue le travail *
on efpere d’y trouver Une mine de cuivre & argëht fort
riche. Ibid. 760. a. Huile de pétrole qui fe tire du rocher*
Maniéré de tirer de cetté mine une forte d’oing n o ir , boit
pour graiffer les rouages. Utilité de l’huile rouge 8c de l’huile
blanche en médecine. Ibid. b. •
A sphalte, (Ma t. mcdïc. ) bitume de Judée. Subftance
qu on lui fubftitue'dans les boutiquës, à caufe de fa rareté. Ses
propriétés 8c ufages. Suppl. I. 632. b.
Afphalte, bitume de Judée. IX. 4. <7,
A S PH A L T ID E , lac de Judée. Villes qui étôient fituées
dans fes environs. Pourquoi il eft aufli appelle Mer mortes
Ses autres noms.'On dit que rien netomboit au fond de fes
eaux. Torrens qu’il reçoit. Son étendue. 1. 760. b,
Afphallide , la c , yoyt^ Mer morte. X. 366. b. Comment-
il eft probable que ce lac ait été formé. IX. 130. A Salure de
ce lac. X IV . 384. b. Son évaporation. VII. 88. b. 89. a , b.
•ASPHODELE , ( Botan. ) genre de plantes. Sa defcription.
Ses propriétés.'!. 760. b.
ASPHUXIE , ( Médec.f diminution dn pouls, telle qu©
l’homme eft comme mort. Caufes de cet accident. 1. 761. a.
A SPIC , (Hifl. nat.) ferpent très-connu des anciens. Idée
qu’ils en donnent. D i ver fes étymologies qu’on a données die
mot afpic. On a donné ce nom à un ferpent affez commua
aux environs de Paris. I. 761 . a. Sa defcription. On a éprouvé'
qu’il n’a pas de venin , de même que plufieurs autres fer-
pens de ce pays-ci. Cependant plufieurs auteurs font d’ un
fentiment Contraire. Remedes contre la plquiue de l’afpic
Ibid. b.
A s p ic , ( Botàn. Mat. médic.) petite lavande. Les fleurs
font la feule partie de cette plante ufitée en médecine. Leur
analyfe chymique. Propriétés & ufages de l’huile d’afpic.Suppl.
I. 632. b. ' '
A S P IL CU E T A , ( Martin ) X V I . 838, <z.
A SPIR AN T à la Maitrife dans les fix corps des marchands
de Paris. Conditions auxquelles il peut eerc reçu marchand.
Réglemens généraux & particuliers par rapport aux afpirans.
I. 76 1 . b.
A S PIR A T IO N , ( Hydraulique ) pourquoi ôn n’afpire l’eau
dans les pompes qu’à 2ô,Oü 26 pieds de haut, quoiqu’elle
puifïb monter jufqu’à 32. I. 36t. a.
Afpiratioh de l’eau dans les plantes. X V I . 959.-A. Dans les
pompes. I. 228. b.
Aspiration , ( Gramm. ) celle de la lettre h. VIII. ï. a , b:
&c.Signe deftiné à marquer l’afpiration dans la langue grecque.
V . 972; a. D e l’afpiration de la lettre 9 chez les Grecs 8c
chez les Latins. V I . 341. a. D e celle qui eft marquée dans
certaines langues par ch. Suppl. II. 302. a.
A spiration , ( Muflq. ) agrément principalement en ufage
pour le clavecin. Suppl. 1. 633. a. •
ASPIRÉE , Lettre , remarques fur l’/i afpirée. Diverfés
prononciations de chaque p a y s , felôn la combinaifon particulière
des organes de la parole. L’effort que nous faifons
pour prononcer un mot d’une langue étrangère , nous écarte
fouvent de la vraie prononciation. D e là le changement que
les Latins ent fait à certains mots g rec s , en les tranfportant
dans leur langue. 1 . 762. b.
ASPLE , ( Manuf en foie ) tambour femblable à celui
d’un dévidoir , dont fe fervent les ouvriers en foie. Sa defcription.
Obfervations fur le méchanifme de cet infiniment,
& fur certains défauts à y corriger. I. 762. b.
Àfple bu afpe, réglement de Piémont fur i’alple de filature
& l’afple de tors. Defcription de ces inftfiiniens. D.menfions
du fécond. Moins l’afpe de tors aura cle diamètre, plus la
foie fera torfe. Inconvéniens qui rendent le tors variable.
Moyen d’y remédier. Perfection que’M. Vaucanfon a donnée
à l’afpe, voyez H. derniere feuille après L errata, 8c la III. planch.
de foierie. XI. vol. des planch. .
ASPRESLE , (Botan. ) plante aquatique. Comment on
fe fert de fa tige pour polir le bois & même le fer. I.
'763. a.
ASS A , ( Mat. médic. ) afla dulcis & ajfa fattida. Caractères
de celle-ci. Ceux auxquels on diftingue la meilleure.
Les anciens faifoient ufage de ce fuc dans leurs cuifines.
Quel étoit celui qu’ils tiroient de la Cyrénaïque. On a dif-
puté long-tems pour favoir fi l’affa foetida étoit le filphlum,
le lafer 6c le fuc Cyrénaïque des anciens. Preuves que ces fucs
ne font pas différens les uns des autres, Defcription du