8a A N V
A ntoine , . ( Marc ) fils de l’orateur,
«onnoître. Obfervations fur fon frere Ci
I 46
'raits qui le font
s Antonius. Suppl.
A ntoine L( Marc) le triumvir. Evénemens qui l’ont rendu
célébré. Hiftoire de fa vie. Suppl. I. 463. b.
A ntoine , ( Marc ) le triumvir. Il fait les fouillons de
gymnafiarque dans Athènes. VII. 1016. a. Il fe préfente
en public habillé en luperqué. IX. 747. a. Conduite d’Antoine
après la mort de Céfar. X V I . 67a. a , b. Art avec lequel
ï l fait fon éloge. Suppl. IV . 257. b. U nion d’O i la v e , d’Antoine
& de Lèpide ; hiftoire du fécond triumvirat. X V I . 67y. a , b.
D e fon mariage avec O&avie. Suppl. IV . 87. a. Com-
mencemens de fon amour pour Cleopatre. X V . 918. b.
Séjour qu’il fit à Samos avec elle. X IV . 598. b. Négociations
pour fa réconciliation avec O ila v e . X V . 909. a. Maifon où il
fe retira près d’Alexandrie. X V I . 334. b. Mélancolie où tombèrent
fes foldats après avoir mangé d’une certaine herbe. X.
309. a. Ses efforts inutiles pour prendre & p iller Palmy re,
X I. 799. a. Défaite d’Antoine à A&ium : mort de c e triumvir.
X V I . 677. a. Voyci ce qui eft dit aux articles A uguste
& Cléopâtre.
A ntoine, (S a in t)X. 615. b. Quel étoitfon habit. VILL16. b.
ANTOINE, ( L ’ordre militaire de faïnt ) fon inftitution en
1381 , par Albert de B a vière , comte de Hainaut , de
Hollande & de Zélande. Marque de l’Ordre. Suppl. I .
4 7 A ntoine { L ’ordre milit. de faint ) en Ethiopie. Son inftitution
en 3 7 0 , par Jean, dit le S ain t, empereur d’Ethiopie.
Marque de l’ordre. Suppl. I. 470. b.
A ntoine , '( Le pic de faint- ) ( Géogr. ) haute montagne
du Japon. Suppl. 1. 470. b.
A ntoine, . {Saint) (Géogr.) Suppl. IV . 695. a , b.
A ntoine de Mejfme, peintre. V . 328.b. X. 408. a.
A ntoine de Viennois, ( Religieux de faint-) V I . 647. b.
ANTOINE, (F eu fa in t-) (Médecine) V I. 647. b.
A ntoine, (Herbefaint- ) VIII. 145. b.
A ntoine , ( Canal de faint-) Suppl. II. 184. a.
A N T O L Y C U S , oncle de Jafon, adoré par les Synopiens.
X V . 214- | ,
A N T O N IA , ( Tour d’ ) le monument le plus magnifique
qu’H érode lé grand ait élevé. Sa deferiprion. I. 518. b.
Comment elle fut prife par vingt-deux foldats de Tite. Ibid.
$1$. a.
ANTONIA , judiciaria, loi. IX. 652. a.
AN T O N T D E S , ( Jean ) poète hollandois. Foye{ VANDER-
GOES.
AN TO N IN . Monwnens qui portent le nom des Antonins.
Cirque d’Antonin Caracalla. III. 476. b. X IV . 350. a. Colonne
érigee à l’honneur de M. Aurele - Antonin. III. 652. a ,
b. Itinéraire d’Antonin. VII I. 935. b. X V II . 418. b. Thermes
d’Antonin. X IV . 3 50. b. Retranchement conftruit par Antonin
le pieux , dans la Grande Bretagne. X V I . 824. a.
A N T O N IO , ( Nicolas) de Seville. X V . 134. a.
A N T O N IU S prirnus , ( Marcus) X V I . 351. a , b.
A N T O N O M A S E , ( Littér. ) figure par laquelle on fubftitue
le nom appellatif au nom propre, ou celui-ci au premier.
Exemples de cette figure. I. <19. a.
AN T R IM , ( Géogr.) province d’Irlande : pavé des géans
dans cette province. XII. 194. a , b , & c. X IV . 770. vol.
des planches , régné minéral, fixieme collection , p lanche 6.
ANTR O POM Ô R PH ISM É , obfervations fur cette forte
d’erreur. X. 17. b. Différence entre l’antropomorphifme
d'un païen & celui d’un chrétien peu éclairé. X V I I . 801.
b. Seftes d’antropomorphiftes. II. 294. a.
A N T R O PO PH A G E S , origine de î’antropophagie. XI. 372.
a. Ufage que ces peuples font de la chair humaine. III. 11 . b.
Antropophages d’Amérique. Suppl. 1. 331. b. Canadiens antropophages
.Suppl. II. 165. b. Celtes antropophages. 285. a , b.
AN STRUSTION S , ( Hift. mod. ) volontaires, qui chez les
Germains fuivoient les rois dans leurs entreprifes. Différentes
dénominations qu’ils ont reçues. Pourquoi les loix faliques
& ripuaires en font peu mention. I. 519. b.
A N T S J A C , (Botan.) nom Javanois d’une efpece de
figuier. Ses différens noms. Defcription , qualités & ufages
de cet arbre. Différence entre cet a rb re , l’aréalu du Malabar
, & un troifieme appellé l’arbre de Pagodes. Suppl. I.
471 -a * b.
A N T U , ( Botan. ) plante des ifles Moluques. Ses autres
noms. Lieux où croît cette plante. Sa defcription , fes qualités
& ufages. Suppl. I. 471 . b. 472. a.
A N T U A , ( Géogr. ) ancienne v ille de Bourgogne. Suppl.
I . ôa i.b.
A N T Y , ( Botan. ) nom Malays d’une efpece de folanum
ou morelle , commune aux ifles Moluques , autour des habitations.
Ses autres noms. Defcription , qualités & ufages de
cette plante. Erreurs de Linnæus. Suppl. I. 472. b.
A N V A L I , (Botan.) no m brame d’une plante des Indes.
Ses différens noms. Lieux où elle croit. Sa defcription. Culture
qu’elle demande. Ses qualités 8c ufages. Erreur de
A O U
Jean Commelin & de Linnæus fur cette plante. Suppl. I.
473. a , b.
A N U B IS , ( M y th.) D ieu des Egyptiens. Cynopopolis
f u t . bâtie en ' fon honneur. Il étoit le même que le Mercure
des Grecs. Mauvaife fin que fit fon culte chez les
Romains. I. 519. b.
A nubis , (Hift. d ’Egypte) frere' d’Ofiris , roi d’Egypte.
Apothéofe d’Anubis. Son culte introduit dans la G rèc e.
Comment 011 le repréfentoit. Infcription qui l’a fait regarder
comme frere d’Apis. Suppl. I. 473. b. 8c 474. a.
Anubis, ftatue de Mercure 8c Anubis joints enfemble. V III.'
i 6 5 "-
A N V E R S , ( Géogr.) commencemerts & progrès du commerce
de cette ville. III. 693. a , b. Siégé d’Anvers par
Alexandre Farnefe. IX. 795. b , 8cc. Prife de cette place.
III. 693. b.
A N U S , (Anat. & Chir.) releveurs de l’anus. X IV . 63.
a. Sphinéler de l’anus. 459. b. Suppl. IV . 823. b. 824. a.
D e l ’imperforation de l’anus. VII I. 589. a. Chûte de l’anus-
III . 404. a. V I I I . 129. a. Gerçures & crevaffes à l’anus.
X IV . 243. a. Accouchement par l’anus. I. 84. a , b. Condylome
à l’anus. III. 844. b. D e la fiftule à l’anus. VI.'
825. b , & c . Infiniment deftiné à dilater l’anus. X V . 448.
b. Ufage du fyringotome dans l’opération de cette fiftule.
X V . 774. a. Bandage pour contenir l’appareil après l’opération.
783. b. Tente pour les panfemens. X V I . 141. ai
Ufage de la cliaife chirurgicale dans les maladies de l’anus.
Suppl. II. 308. b. 309. a. Confultez fur cette partie l'article
F ondement.
A nus artificiel,. ( Chirur. ) il y a des enfans qui viennent
au monde fans anus, de forte que , pour leur fauver la
v ie , il faut leur en faire un artificiel à' la place où doit
être le naturel. Opération qui fe pratique alors. En quel
cas on ne peut fauver la vie à l’enfant qui n’a point d’anus.'
Circonftances où il eft ^.propos de former un anus artificiel
dans les adultes. Exemple que l’auteur en a rapporté:
très eh détail , à caufe des nouvelles lumières qu’il peut
répandue fur la chirurgie herniaire. Suppl. I. 474. a. Exemples
de renverfemens extraordinaires de l’inteftin par des
anus artificiels formés par des plaies. Remedes apportés
àux différens accidens qui réfultoient de cette maladie. Ibid.
476., b.
A nus , ( Maréchal.) anus de cheval. Suppl. III. 388. a.
Dilatation de l’anus. 4 1 1 . b. D e la fiftule à l’anus. Ibid.
AN X IÉ T É S caufées par certaines fievres. V I . 724. b.
Foyer INQUI ÉTUDE.
A N ZU Q U L AM A , ( Géogr. ) v ille du royaume de Mino
en Afle. Incendie du palais du roi Nobunanga. I. 520. a.
A O
A O D , ( Hift. des Juifs ) fils de G é r a , de la tribu de
Benjamin. I l ote la v ie au roi de Moab qui opprimoit les
Hébreux , & devient juge d’Ifraèl. Suppl. 1. 479. b.
AO R A S IE des dieux, ( Myth. ) les anciens penfoient
que les dieux ne fe montroient aux hommes que par derrière.
Exemples qu’ils en donnent. Etymologie du mo t
aorafie. I . 520. a.
A O R IST E , terme de Grammaire. Etymologie du mot. Il
fe dit d’un tems, & fur-tout d’un prétérit indétermùié. Réglé
à fuivre fur l’ufage de ce tems. I. 320. a.
A O R S I , (Géogr.) anciens peuples de l’A fie occidentale,
aujourd’hui les Coféques. Différentes colonies de Scythe»
qui ont eu le même nom. Suppl. I. 479. b.
A O R T E , ( Anat. ) ou la grande artere. Etymologie du
mot. Elle s’élève du ventricule gauche du coeur & fe partage
dans toutes les parties du corps. Aorte afeendante &
defeendante. Branches que produit l’aorte. Oflifications des
enveloppes de l’aorte à la fortie du coeur. I. 520. b.-
A orte , ( Anat. ) djverfes obfervations fur l’aorte du
foetus & de l’adulte, fur celle de l’homme & des animaux.
Suppl. I. 479- b.
Aorte, defcription de ce vaiffeau. VI-II. 2 7t. 4 , b. A
quel terme on diftingue dans le foetus les trois racines de
l’aorte. Suppl. I. 130. a. Quelques obfervations fur fe9
membranes. 603. a. Valvules fygmoïdes'à la naiffance da
l’aorte. X V . 183. b. Vîteffe avec laquelle--le fang eft
pouffé dans l’aorte. III. 597. b. Oflïfication tier ce vaiffeau.
Suppl. IV . 193. b. Pourquoi il paroît applati dans un cadavre
en certains endroits. Suppl. I. 602. a. Jeux de la nature
fur ce vaiffeau. X V I . 800. b.
A orte du Cheval. ( Maréch. ) Suppl. III. 390. b. 391. a.
A oste ou Hoste , ( Géogr.) autrefois petite v ille , aujourd’hui
village de Viennois, aux confins de la Savoie. Frag-
mens qu’on y trouve de monumens antiques. Suppl. 1. 480. a,
A O V A R A , ( Botan. ) fruit des Indes. Sa defcription. Sa.
propriété en médecine. I. 521. a.
 O U S T , ce mois 8c celui de juillet font le s feuls qui
aient confervé les noms que les empereurs leur ont do»-
A P E A P
nés. Signes dans Jefquéls le foleil paffe en ce mois. Si.
température. Fête que les Anglois cél’ébroient le premier de
ce mois, appellée lammas-day. I. 521. a.
Aouft, édit d’aouft. V . 391. a. Travaux du laboureur dans
ce'mois. I. 187. a. Mois du calendrier romain. S u p p l II,
12 1 . b.
A O U S T E , fondation de cette ville. X IV . 339 .b .
A P*
A P A C A R O , (B o ta n .) nom brame d’un arbriffeau toujours
verd. .Ses différens noms. Defcription, qualités &
-ufages. Maniéré de le daller. Suppl. I. 480. a , b.
A P A G O G IQ U E , démonftration. IV . 823. a.
• A PA LA CH E S ou A palachites, ( Géogr. & Hift. ) peuples
de l’Amérique feptentrionale. Principales hâtions qu’on
diftingue entr’eux. V ille capitale , féjour du roi. Autrer
villes remarquables. Extérieur de ces peuples , leurs moeur:
& ufages. Suppl. I. 480. b.
A P A L A CH IT E S , peuples de l’Amérique feptentrionale.
,vm . 347. b.
A P AM É , ( Hift. d’Egypte) v eu v e de Magus , ufurpateui
de la Cyrénaïque. Ses aventures depuis la mort de fon
lhari. Suppl. I. 481. a.
APAM É E , v ille de la-Bythinie , premièrement nommée
Myrlée. X. 9x4. b. Et aujourd’hui Montagnac. 679. b. Bibliothèque
d’Apamée. II. 230. b.
A P A N , ( Conchyl. ) efpece de coquillage du genre du
jambonneau. Lieux où on le trouve. Defcription de la
coquille & de l’animal qui l’habite. Comment les negres en
font la pêche. Qualité de fa chair. Suppl. I. 481. a , b.
A P A N A G E , ( Hift. mod. ) origine de cè mot. C e qü’é-
toient les apanages dans leur inftitutiOn. Celui des puînés
d’Angleterre. Ce. droit étoit inconnu en France fous les
deux premières races. Comment il fut établi. Apanage des
féconds fils de France. I. 521. b. L e domaine de l ’héritier
préfomptif de la couronne, s’appelle improprement apanage.
Autre ufage de ce mot. Obfervation de Paul-Emile fur
l’origine de ce droit. Ibid. 5 22. a. .
Apanage. En quel tems fut introduit en France la coutume
des apanages. V . 653. b. Aliénation du domaine pour
les apanages. V . 24. b. Les apanages aujourd’hui reverfibles
à la couronne. 677. b. Juftice d’apanage. IX. 93. a. Chancellerie
pour l’apanage des fils de France. III. 100. a. Scel
des apanages. X IV . 749. a. Garde des fceaux des apanages.
VH - 505. a , b.
APANAGERj échiquier dés apanagers. V . 259. b.
A PA RIN E vulgaire , ( Botan. ) voyeç Grateron.
A P A R T , ( Littér. ) terme affeéfé à la poéfie dramatique.
Critique de cet ufage: I. 522. a.
A P A R T E ,(Belles-lettr.) la vraifemblanCe des à parte eft
fondée fiir cêtte füppofition, que le fpeélateur h’eft préfent
qu’en efprit à la repréfentation théâtrale. Anecdote affez
connue , qui prouve que les à parte font quelquefois dans
la vraifemblance, même dans la nature. D ans Pà parte l ’aéteur
ne doit jamais paroître s’adreffer au fpeélateur 8c lui parler
confidemment. Suppl. I. 481. b.
A P A T H IE , celle des Stoïciens. Ce. que les premiers chrétiens
entendoient par ce mot. Apadiie du quiétifine. I.
A PA T IS T E S , (Académie d es) Suppl. I. 89. b.
A PA TU R IE S , ( Myth. ) fête en l’honneur de Bacchus.
Son origine. I. 322. a. Comment on la célébroit. Quelques
auteurs ont mal-à-propos confondu les apaturies avec les
faturnales. Ibid. b.
Apaturies, cérémonie qui fe pratiquoit le troifieme jour
de cette fête. i v . , 7 S. m . ■
A P A T U R IU S , talens de ce peintre grec. VH. 253. a.
'4i 7'b .
APE L LE , diverfes obfervations fur ce peintre & fur fës
ouvrages. X II. 23.3. b. Son tableau de Vénus anadyomene.
X V I I . 3<3. b. I. 397. a. Suppl. I. 381. a , b. Son tabl eau de
la calomnie. II. 364. a. Obfervation fur fa réponfe à un
cordonnier. X V . 19. b. Tableau qu’Apelle & Protogene
travaillèrent enfemble. XH. 264. a.
APELLITES , hérétiques du fécond fieéle. Leur ch e f ,
leurs erreurs. I. 322. b.
Apellitcs , leur erreur fur l’afcenflon de Jefus-Chrift. I.
749. b. Faux évangiles d’Apellès. V I. 1 17 . a.
APENNINS monts , diftinélion que les Romains éfa-
bliffoient entre les arbres de l’orient & de l’occident de
l ’Apennin. VIII. 701. a.
A PE P SIE, terme de l’ancienne médecine. HI. 364. b.
A P É R IT IF S , ( Médec. ) remedes qui rendent le cours
des liqueurs plus libre. O n doit mettre dàns cette claffe les
émolliens & les relâchans. Comment fe produit leur effet.
Les apéritifs conviennent dans tous les cas d’obftruétion.
Les évacuans peuvent être appelles de ce nom, de quelque
83
nature quils foient. Les cinq racines apéritiyes. Sirop des
cinq racines. 1 . 323. a. 1 1
R B B 9 Ü * “ - " # 9 - “Mcrvarions fur ce qui eft dit
, dans ^ lcy c*°Pct*ie qu e« tire des racines apimiv.s . une «m
W N h M M M M f r i " U M W { .g a.
Apéritif, apozême, I. «42. « . ^ 4
A PE R T E , loi. IX. 652. a.
■ APo X ,’ am m ïb on n e t facerdotah Etymologie de ce
mot -& de celui de Flamines qui étoit le nom des prêtres
qui le portoxent. I. 323. <*. ■
A PH A C IT E , ( Myth. ) furnom de Vénus. Signes auxquels
on connoiffoit fi la Déeffe agréoit ou rejettoit les
offrandes quon lui apportoit. I. 323. b.
$4^ ph“ ciu » defcription de l’oracle de Vénus aphacite. X L
ÀPHÉLIE (Aftron. ) la plus grande diftance d’une pla-
B 9 fTle;1; , S° n p°PP° f é 1 périhélie. Mouvement de
Proportions de ce mouvement avec la
en c^ e n f f - p anetes " " B C e c e r n e n t n’eft pas
M e r c L P & X mMm COlr i ' ^ e m e n t des aphélies de
f t r m M E félon Newton : Ueu de l’aphélie
de chaque planete , félon K epler, pour l’année 1700. Leurs
— eus annuels, félon le même, & felonde la Hire.
H n D y a de plus important à
Expliquer au fujet de 1 aphelie des planètes, eft la maniéré
cl en déterminer la pofition & le mouvement par des .obfer-
vations aftronomiques. Explication de la méthode de Kepler
qia iLÜri0,t de a nature v u mouvement elliptique. Première
méthode pour trouver l’apogée du foieil. Seconde méthode
pour les planètes, troifieme méthode employée par l’auteur
pour déterminer l'aphélie de Mercure & dé Vénus Oua-
meme méthode. Table de l’aphélie des planètes pour fan-
nee 1730 , & de fon mouvement pour cent ans. Ouvraves
a confuîter. Suppl. I. 482. a , b & 483. a. - *
, i.P hélie > ™yeZ A psides. Moyen de trouver la diftance'
du ]l^ TY,rai de la planete à fon aphélie. V . 8 e j . a '
R E E ^ S B B B g Ètymoloei»
au îhot. Exemples de cette figure. I. «24. a. ^
A PH O N IE , (M éd e c ) privation de la voix. Caufes de
cette maladie. Obfervation de cette caufe dans un mélan-*
cholique frappé d aphonie. La paralyfie de la langue qui.
précédé ou qui fuit l’apoplexie ou l’hémiplégie, eft accom-
pagnee daphome Accidens qui peuvent l’occafionner. Ce lle
employer ^ eUe qU'°n p6Ut ^uérir- Remedes qu’ii faut
U,fa§e i w S S 877. a. 8c de la véronique
dans cette maladie. X V I I . 91. a. Prognoftics tirés de l’aphonie
dans certaines maladies. 433- a ,b. Traitement de cet accident*
Jt>id. b. 436. a.
A PH ORISM E, ( Médec.) chaque aphorifme d’Hippocrate
eft le refultat deplufieurs obfervations. XI. 320. a. Critique
de ceux d eBoerhaave. 313, a-. "
A PH R A Ç T E S , ( Hift. anc. ) navires des anciens à un rang
e rames, ainfi àppellésparce qu’ils 11’étoient point coHyerts.
Leur conftruffion. Autres vaiffeaux de ce nom qui étoient
couverts. Paffage de Tite-L iv e , d’où l’on peut conclure en
^uoi confiftoit la différence des aphraftes 8c des cataphraiftes*
Aphraftes, voyer C a tAPHRACTES. H. 766. bi
34g ^R O D IS É Ê j (Alexandre) fa phyfiologie. Suppl. IV*
A PH R O D IS IA Q U E S , (Mat. mèd.) différence entre ces
f emedes 8c ceux que les anciens appelloient fpermatopoiélica*
oubftances auxquellés les auteurs de Matière médicale attribuent
fans fondement la v ertu aphrodifiaque. Remedes aphro-
duiaques employés à l’extérieur. Seconde claffe d’aphrodi-
iiaqües qui paroiffent les fpermatopées des aribièns. Derniere
reflour'ce qu’on propofe dans l’extrême frigidité. Suppl. L 483*
Aphrodifiaques, propriétés & ufages de ces remedes. VII I.
634. b. Ceux qu’emploient les Indiens. Suppl. 1 .792. a-, Remedes
ôppofés aux aphrodifiaques. 430. b.
A PH R O D IT E S , ( Géogr. ) il eft incertain s’il y a en Afrique
deux villes de ce nom ou une feule. On peut dire au
moins qUe les géographes ne font pas d’accord rnr leur pofi-
fion. Suppl. 1. 483. b.
A PH T A R TO D O C E T E S , (Hift. eccl. ) hérétiques. E ty mologie
de ce mot. Leurs erreurs. I. 326. a.
A PH T E S , (Médec. ) petits ulcérés qüi occupent l’intérieut*
de la bouche. Parties qui peuvent en être attaquées. I. 323. a±
Caufe de ces accidens. Caraéleres auxquels on juge de l,euf
malignité. Les enfans & les vieillards y font plus lujets. Cir-
conftancés qui fe joignent aux aphtes qui attaquent les adultes.
Remedes. Ibid. b.
Aphtes, prognoftic fur les aphtes des enfans. V. ë 6 i. ai
Curation de cette maladie. Ibid. 662. b. Gargarifiiie déterfif
pour les aph&s putrides. V II . 313. a.
A phtes , ( Maréch. ) maladie du çheyal. Suppl, IIL 4 1 1, b.