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Hauteur qu’elle peut avoir. Ufage qu’on en fait en archi-
teélure. Quelle eft la meilleure. Ibid. - iz i. a.
BO N -CH R É T IEN , [Jardin.) efpece de poire. Bon-chrétien
d’été ; defcription de ce fruit : tems où il fe recueille ;
il fe conferve quatre à cinq mois dans la ferre. Bon-chrétien
d'hiver : defcription & qualité. Bon-chrétien d'été mufqué :
les caraéleres. Autre d’h iver aufïï décrit. C e qu’il fout faire
pour avoir ces fruits d’une certaine beauté. II. 321. a.
B O N D , ( Jtan ) critique & commentateur. X V . 334. b.
B O N D E , arbre du royaume de Qu o ya. Ses caraéleres.
Ufage de fon bois & de fes cendres. II. 321. a.
BO ND RÉ E , ( Onûkt. ) oifeau de rapine. Sa defcription.
VoyerBvsZ. II. 321. b.
BO N D U C , ( Botan. ) caraélere générique de*cette plante.
Defcription de cinq efpeces de bonduc. Lieux d’où elles font
Originaire^. Leurs culture, qualités Sc ufages.Suppl. II. 11 . b.
Bonduc, caraéleres de ce genre de plante. Ses ufages en
médecine. II. 321. b.
BO N F A D ÏO , ( Jacques ) hiftoriographe de la république
de Genes. X IV . 576. b.
B O N G A R S , ( Jacques ) obfervàtions fur ce favant Sc fur
fes ouvrages. X I. 652. a.
BO N G ËN , ( Ichthy. ) nom que les Malays donnent à un
poiffon des Moluques. Sa defcription. Suppl. II. 12. a. Lieux
où il vit. Sa claflification. Ibid. b.
B O N G O N , [Ichthy.) petit poiffon des Moluques. Sa
defcription. Lieux où il vit. Sa claflification. Suppl. II. 12. b.
BON-HENRI , plante qui doit fe rapporter au genre
nommé patte-d’oie. Defcription. II. 321. b. Lieux où elle fe
trouve. Liqueurs tirées de la diftillatton de cette plante. C e
qu ’a fourni la malle noire de la cornue calcinée. Ânalyfe de
cette plante. Ses propriétés. Ibid. 322. a.
BO N H E U R , ( Morale ) différence entre bonheur & plaifir.
Le defir du bonheur eft commun à tous les hommes : ils 1e
réunifient tous dans l’idée qu’ils en ont : ils conviennent qu’il
doit au plaifir ce qu’il a de plus piquant & de plus délicieux.
Nous 11e pouvons être heureux dans une pareffeufe indolence.
Mais comme le plaifir ne peut animer tous les inftans de la
v ie , notre bonheur le plus parfait fera un état tranquille,
femé çà 8c là de quelques plaifirs qui en égayent le fond.
IL 3-22. a. T o u t ce que nous recherchons comme fondement
de notre bonheur ne nous fufiîroit point s’il ne nous procu-
roit la fenfation du plaifir. Ainfi les philofophes 8c les hommes
dominés par quelque paffion, établiffent différens fondemens
de bonheur ; mais ne recherchent tous que le plaifir qui en
eft l’efiénce. Ces maximes ne font point contraires à la morale
& à la religion de J. C . Nature du bonheur du chrétien. Une
vertu qui n'accompagneroit pas le plaifir ne pourroit attacher
notre coeur. Mais tous ne font pas confifter le plaifir dans les
mêmes objets. Ibid. b. L’auteur renvoie aux réflexions de
M . de Fontenelle fur le bonheur. Q uoique cet état ne dépende
pas abfolument de nous , nous pouvons cependant L’obtenir
par nous-mêmes, jufqu’à un certain degré. Ibid. 32.3. a.
Bonheur, profpêrité ; différences entre ces mots. IL 323. a.
Bonheur, béatitude , félicité j différences entre ces mots. IL
369. b. Différence entre chance & bonheur. III. 86. a.
Bonheur, différence entre bonheur & félicité, entre un
bonheur & le bonheur, entre le plaifir , le bonheur , la
Ïrofpérité. V I . 463. b. En quoi confine ici-bas notre bonheur.
. iij. XII. 143. a. V . 652. a. Définition du bonheur félon
Epicure. X VII . 4^8. a , b. V . 783. b. Bonheur 8c- malheur
confiderés comme une fuite d’une certaine fatalité. VI. 428.
a , b. Il doit y avoir divers degrés de bonheur entre les
êtres intelligens. IX . 917. b. Le bonheur en eft raifon inverfe
de nos dépendances. Suppl. IL 698. b. L’art de connoître la
réalité eft le feul art d’arriver au bonheur. 931. b. Le crime
ne peut procurer le bonheur. II. 243. a , b. Bonheur imaginaire.
VIII. 560. a. D u defir du bonheur. III. 206. a. IV .
$86. a , b. Chercher fon bonheur n’eft point une vertu :
comment ce defir peut devenir vertueux. I. 374. a , b. Nous
foinmes forcés pour être heureux, ou de changer continuellement
de place , ou d’outrer les fenfatio.ns du-même ^enre.
VII I. 276. b. M o y en de fe procurer le bonheur. IV . §86. b.
Sur le bonheur,voyeç Heureux.
BO NH OM M E , (J ea n ) anatomifte. Suppl. I.401 .
BO N IFA C E VIII. Obfervàtions fur ce pape. V IL 638. <1.
Affaires de ce pape avec l’empereur Albert. Suppl. I. 23 x .b.
BO N IO LI , [ Camille) phyfiologifte. Suppl. IV . 362. b.
B O N IT E , poiffon commun dans la mer atlantique. Def-
. cription. Qualité de fa chair ; comment on le pêche. IL
3- 3- M
u v i u i v i i , poinon __ ___ »......... .
douce; fa chair eft graffe 8c bonne. IL 323. b.
B O N N E , [Géogr.) v ille d’Afrique. Suppl. III. 429.a.
BO N N E DÉESbE, D ryade , femme de Faune, roi d’Ital
oui la fit mourir 8c lui éleva enfuite des autels. Sa chafte
Son culte. Les Grecs lui facrifioient aufli. Comment Çlod
profana fes myfteres. La deeffe Fauna étoit gum la ter
Pourquoi les dieux des païens faifoient fouveiit un don!
B O N
perfohnage. II. 323. b. On v int peu-à-peu à divinifèr le s
inventeurs des cultes 8c à les confondre avec les divinités
même qu’ils avoient accréditées. Ainfi la même divmité fut ’
honorée en différens lieux fous différens noms. Ainfi Fauna
fut confondue avec la terre dont elle avoit introduit le culte*
Pourquoi on l’appella Bonne-déeffe. Ibid. 3 24. a.
t Bonne-DêeJJ'e , pureté avec laquelle fes myfteres étoient
célébrés .à Rome. X IV . 87. b. Ces myfteres profanés par
Claudius. X. 923. b.
BO N N E FO N S , [Jean) poète latin. Suppl. I. 803. a.
B O N N E T , l’époque de l'ufage des bonnets 8c des chapeaux
en France le rapporte à l’an 1449. M. le Gendre en fait
remonter 1 o rigine plus haut. Différence qu’on mettoit entre
les bonnets. 8c les mortiers. L e bonnet étoit encore l’habillement
du clergé 8c des gradués. IL 324. a. Invention da
bonnet quarré. Q u el étoit le but de donner le bonnet dans
les univerfités. Bonnets des chinois. C e que défigne le bonnet
quarré. Cérémonie qui s’appelle prendre le bonnet. Les bonnets
quarrés furent en ufage parmi le clergé Anglois avant qu’ils
le fuffent en France. Le bonnet jaune eft la marque des Juifs
en Italie ; autrefois le verd étoit en France celui des banqueroutiers.
Bonnet de carton que portent ceux que l’inqui-
ution condamne au fupplice. La couronne des barons 8c de
quelques princes n’eft qu’un bonnet orné. Ibid. b. Comment
le fait, dans Puniverfité de Paris la cérémonie de la prife de
bonnet. Ibid. 323. a.
Bonnets des anciens orientaux appellés tiares. X V I . 312. b.
313. <z. 8c Cidaris. III. 440. b. Bonnet des flammes. I. 246. a.
323. a. Bonnet de dignité parmi les modernes, appellê
barrette. IL 94. b. Efpece de bonnet ou calotte. 364. a , b.
B onnet , [Médec. ) bonnets pour fortifier le cerveau. IL
564. b. IV . 332. b. Contre les afteélions froides du cerveau.
X IV . 473. b.
Bonnet de Neptune, Champignon de' met. XI. 99* a.
Bonnet verd , marque d’infamie à laquelle étoient condamnés
ceux qui avoient fait celfion en juftice.II. 323. a
Bonnet verd, eeflionnaires qui étoient obligés autrefois de
le porter. Us font condamnés à Luques à porter le bonnet
jaune. IL 868. b.
B onnet de p r ê t r e , [Jardin.) efpece de citrouille. Qua*
lité nuifible de fon fruit. Ufage qu’en font les païens. Ses-
propriétés , appliqué extérieurement. IL 323. a.
Bonnets, figures fymboliques. X V . 729. a. 731. a.
B o n n e t , [Charles) de Geneve. Eloge de ce phyficien;1
V I. 37. b. Diftribution des feuilles félon cet auteur. 653. a.
Ses ouvrages. Suppl. I. 4 1 1. a. Sa théorie fur la caufe mécha-
nique des lenfations. Suppl. III. 36. a , b. Son fyftême fur l’or-
ganifation. Suppl. IV . 183. a. Sa doétrine phyfiologifte.^ 39. b.
BONN ETERIE , manufacture de bonnets, &c. IL 323.a.
Voyeç les planches du bonnetier, vol. II. Préparation des
lames. La première attention du bonnetier doit être de fe
mettre à couvert de la friponerie du cardeur 8c du fileur*
Defcription du dévidoir par le moyen duquel le bonnetier
eftimera la fineffe du filage. Pour s’affurer dé la fidélité de
l’ouvrier fur la quantité de la laine , il 11’a qu’à la pefer en la
recevant. Le bonnetier reçoit la laine filée , 8c. la diftribue
à des faifeurs de bas au métier 8c à des tricoteufes. Mais
avant que ces ouvrages puiffent fe v en d re , ils ont à paffer
chez- lui par un grand nombre d’opérations. L a première eft
la foule. Defcription de la fouloire , Ibid, b, 8c de la maniéré-
de fouler. Ibid. 326. a. Le but de la foule eft de dégraiffer
8c de rendre l’ouvrage plus fort 8c plus ferré. La féconde
operation eft Gelle de la forme. La troifieme confifte à racou-
trer les marchandifes. La quatrième eft le draper. La cinquième
eft la tonte. Ibid. b. L a lixieme eft la teinture. La feptieme
eft de raprêter. La huitième eft de preffer ou de catir les
marchandifes. Ibid. 327. a.
De la bonneterie de Paris. Précautions-prifes pour empêcher
qu’elle ne perde de fon crédit par, de mauvais ouvrages diftri-
bués fur ion compte. Ibid. a.
Corps des bonnetiers de Paris, fon rang 8c fes droits. C e
que les bonnetiers entendent par bas de caftor 8c autres ouvrages
défignés fous ce nom. Les bonnetiers étoient autrefois
appellés Aulmuciers - mitoniers. Conditions pour être reçu
dans ce corps. Armoiries 8c confrairie des. bonnetiers. Pré-
pofés du corps; leurs fondions, éleélions, &c. Arrêt du
confeil en 1 7 16 , pour terminer les démêlés qui s’étoient
elevés dans ce corps. Ibid. b. Confeil utile d’un aveugle à
un maître bonnetier, pour fe fournir dans fon métier de
l’ëau à peu de frais. Le corps des -bonnetiers eft eoinpofé de
trois autres, dont la réunion s’eft faite fucceflivement. Ibid,
328. a. •
Bonneterie. E fpece de bonnets dont la fabrication appartiens
aux bourfiers, voyeç les planches de cet art dans le v ol. IL
BONN ETJE, ( Ichtchy. ) defcription de cepoiffon delà m er
d’Amboinejqualités de fa chair. Sa claflification. Suppl. IL 12,b.
B O N N E T T E , [Marine ) petites voiles nommées bonnettes*
Bonnettes maillées. Bonnettes en étui. II. 328. b.
B onnette lardée, ( Marine ) opération}, des calfateurs pour
fermer
b o n
fermer les voies d’eau. Defcription de cette opération. IL
5 VoNOSIAQUES & Bonoficns, [H ifl. cccl. ) voyez Bona-
fiens Bonoficns. . R
BONOSIENS, ( Hift. cccl. ) feéte que Bonofe renouvella
au quatrième fiecle. Ses erreurs , les mêmes que celles de
Photin. Différence que l’églife met entre les Photiniens 8c
lesBonofiens.il. 328. b. Voye^ BONASIENS. .
BONS , ( Pierre-André ) anecdote fur ce chevalier, né à
Marfeille. Suppl. IL 804. a. --
BO N S -CO R P S , ( Hift. mod. ) nom d’une milice- levée par
François I I , duc de Bretagne. A quelle occafiop elle fut
levée. IL 328. b.
BO NS SEN S, définition. IL 328.^. Le bon fens fuppofe
de l’expérience. Différence entre un homme de fens 8c un
‘homme de bon fens. — Voye^ Sens. X V . 33. b.
BONS-HOMMES , religieux en Angleterre. On donna eh
France ce nom aux Minimes. Les Albigeois le prenoient aufli.
IL 329. a. • ...
' BO N T É , [Morale) première regle_ de la bonté: Ne
point faire à autrui, ce que nous ne voudrions pas qu on nous
f i t . Lorfque la paflion vous porte à quelque violence contre
un autre homme, jettez les y eu x fur l u i , pour y voir 1 empreinte
de la main d iv in e, 8c votre reffemblance. Seconde
-réglé de bonté : Faites du bien aux autres. La générofité recommandée:
éloge de cette vertu. IL 329. a. La charité fimple
a moins d’étendue que la générofité : elle eft de devoir étroit
dans toutes fes parties. Ibid. b.
Bonté , ( Métaphyfiq. ) voyeç Bon. Comment la bonté
acquiert le caraélere de beauté. Suppl. I. 837. a.
Bonté, [Belles-Lettres. Philofophie) quand la bonté n’eft
relative qu’a l’intention , ce mot n’eft pris que dans un
fens impropre, & bon fe trouve quelquefois le fynor.yme de
mauvais. Les moyens font bons , c’eft-à-dire, bien choifis;
l’intention eft mauvaife. Suppl. IL 12. b. D e mêm e, par
rapport à l’agrément 8c à l’utilité , une chofe eft bonne ou
mauvaife , félon les goûts, les intérêts , les fantaifies , les
caprices. La bonté , dans un fens plus é tro it, eft la faculté
de produire un effet defirable ; 8c une c ju fe eft plus ou
moins généralement bonne, à mefure que fon effet eft plus
• ou moins généralement à defirer. — Un être n’eft bon en lui-
même , que dans fes rapports avec lui-même, 8c qu’autant
qu’il eft tel que fon bonheur l’exige. - Les parties'm atérielles
•de l’imivers ne font bonnes que dans leur rapport avec fes
parties intelligentes 8c fenfibles. - Dans les arts, Cela feul
eft réellement bon , qui caufe ; un plaifir falutaire , ou du
moins innocent, à l’homme , dont l’organe eft doué d’une
fenfibilité jufte 8c fine. - Genre de bonté qui caraélérife les
beaux-arts. Ibid. 13. b. - Bonté poétique. C e qui produit l’effet
immédiat que le poète fe propofe , eft poétiquement bon ;
8c toutes les réglés de l’art fe réduifent à bien choifir 8c à
bien employer les moyens propres à cette fin. — Bonté
mo ra le , qui doit fe concilier avec la bonté poétique. Elle
confifte dans l’utilité attachée à l’imitation.' - Des vices qu’il
n’eft pas permis d’expofer fur le théâtre. Ibid. b.
Bonte des moeurs, ( Belles-lettres ) Suppl. III. 930. a , b.
BO N T E -C A F F É R , ( Ichthy. ) petit poiffon d’Amboine.
Figures qui en ont été données. Sa defcription. Suppl. IL 13. b.
■ Lieux où il vit. Ses qualités 8c ufages. Maniéré de le claffer.
Ibid. 14. a.
B O N T E -H A A N , ( Ichthy. ) nam hollandois donné à un
-poiffon des Moluques. Sa defcription. Lieux qu’il fréquente.
Sa claffifipation. Suppl. IL 14. a.
BO N T E -H O EN , ( Ichthy. ) poiffon d’un genre particulier.
Sa defcription. Suppl. IL 14. a. Lieu où on le trouve. Ses qualités
8c ufages. Ibid. b.
BO N T É -JA G E R , ( Ichthy. ) nom hollandois d’un poiffon
des Moluques. Auteurs qui en ont donné la figure. Sa deferip-
•tion. lie u x où on le trouve. Ses qualités 8c ufages. Suppl. II.
14. b.
BO N T E-SPRIN G E R, (Ichthy.) poiffon des Moluques. Sa
•defcription. Suppl. IL 14. b. Lieux où il vit.Ses moeurs. Maniéré
de le claffer. Ibid. 13. a.
■ BO NT E-VISCH , [Ichthy.) efpece d’acarauna des Moluques.
Sa defcription. Lieux qu’il fréquente. Suppl. IL 13. a'.
B O N U S E V E N T U S , dieu des laboureurs. Médailles qui
le repréfentent. Ancienne infeription qui porte bono eventui,
8cc. Statues de ce dieu. IL 329. b.
B o n u s 'E v e n t u s , [M y th .) erreur à corriger dans cet
article de l’Encyclopédie. Suppl. IL 13. a.
BONZES , philofophes Japonois. Leurs univerfités. Leur
habileté dans la difpute. Leurs moeurs. Ils reconnoiffent pour
ch e f un certain Combadaxi, dont ils attendent le retour dans
des millions d’années. Prêtres qui portent aufli le nom de
Bonnes. IL 3 29. b. Un empereur fit détruire les monafteres
des bonzes , parce que ces gens ne travaillent point. Ibid.
33°- b.
Bonzes. Des bonzes ou du daïro du Japon. IV . 612. b.
613 • a- Les bonzes font lUie dépendance ou une branche de
Tome I.
B O R *s5
la fe&e des famanéens. X IV . 391. a , b. Culte de F o é , auquel
les bonzes fe confacrent. V I. 460. b. Bonzes militaires dans
le Japon. XI. 76. b. Différentes .fe&ès ou claffes de boilzes ,
diftirigüées par les noms de Xamabugis, XV II . 648. b; Xenxus,
634. b ; Xôdoxius. 636. b. Bonzes chinois : lieux de leurs
'demeurés. X V I . 82. b.
B O O T S -H A A C K , ( Ichthy. ) poiffoii des Moluques. Sà
defcription. Suppl. 11. 13. a. Ses moeurs, qualités '8c ufages.
Seconde efpece : harpago. Caraéleres qui le diftinguent du
boots-hàâck. Sa claflification. Ibid. b.
BO R AN D IEN S , peuples dii Nord. VIII. 344. i>.
1 B O R A X , ( Hift. nat. ) fubftance fo flile , affez reffemblante
à-l’alun. Defcription de ce fél. Son goût 8c fon odeur. Manière
de le diffoudre. Les anciens J.e conlondoient avec le nitre. I l
y a plufieiirs fiecles qu’il eft connu des Arabes, Quelques
auteurs l’appellent chryfocolla. C ’eft mal-à-propos qu’on l ’a
confondu avec le nitre. II. 330. a. Borax criid ou groflier.
Pays où il fe trouve. Il y en a de deux fortes de cette qualité.
I l fe purifie en Europe , 8c continent. Ignorance où l’on
eft fur fa formation. Comment quelqües-uns ont cru que le
borax fe faifoit. Maniéré dont on le fait en Égypte , félon
Agricola. Avant de s’en fe rv i r , il faut obferver s’il n’a point
été falfifié avec de l’alun. C e qui lui arrive , lorfqu’on le met
fur le feu. C e qu’on doit faire avant de s’en fervir pour la
fonte des métaux. Ibid. b. Propriété qu’il a de réunir les parties
métalliques, féparées les unes .des autres par quelque'impureté.
Il environné les métaux en foiite d’une efpece de
verre mince 8c délié ; il difpenfe de faire beaucoup de f e u }
8c ne fe mêle point aux métaux. O n doit enduire de borax
les creufets deftinés à fondre les métaux précieux. Autres
fels qu’on lui joint pour la fonte de l’or. Mémoires à con-
fulter fur le borax. Ses ufages en médecine. O n le met au
nombre des côfmétiques. Préparation de la poudre de Füller»
Ibid. 3 31. a.
Borax , [Hift. nat. & Chym. ) origine de ce fel. Procédés
-par lefquels on le le procure. Suppl. IL 13. b. Foffes à borax
dans les Indes. Lieux où s’en porte le produit. Caraéleres
du borax natif. Obfervation d’où l’on a conclu que le borax
exifte dans plufieurs mines de cuivre. Commerce de ce fei
en Afie. Ses cryftallifations différentes qu’on pourroit obtenir
par les procédés de l’art. Effet de la diflolution du borax brut.
Ibid. 16. a. Maniéré de la faire. Il paroît, par ces opérations ,
que cette fubftance n’eft point un fel faétice ; mais il y a lieu
de croire qü’oii peut l’imiter. Fauffes préparations du borax
qui fê trouvent dans quelques auteurs. Trois efpeces de borax
connues dans le commerce. Maniéré de le purifier. Borax
en rocher de la Chine. Borax purifié de Hollande. Expériences
faites pour s’affurer fi cette forte de fel contient du cuivre.
Ibid, x 7. a. Réfumé de quelques autres, qui ont été faites
pour parvenir à découvrir fes principes conftituans. Ibid. 18. a.
V e r re tiré de la terre du borax. Expériences fur ce verre.
Ibid. b.
Borax. D e la manière d’extraire du borax le fe l fédatif. X IV ;
923. a , b. Préparation de borax propre à exciter l’appétit
vénérien. VII. 379. a. L e borax confidéré comme propre à
rendre les métaux plus fufibles. V I . 916. a. 920. a. V i l . 393.
b. Ufage du borax pour fouder l’or oc l ’argent, V I . 920. a j
pour dépouiller un alliage d’or 8c d’argent du cuivre qu’il cou-,
tient. Ibid. b.
B O R C A R I , ( Hift. des Goths ) il délivre les Goths de la
tyrannie de Gennar, époufe fa veu v e ; 8c de cette alliance-,
naquit H aldin, qui monta fur le trône de Danemarck. Suppl.
IL 18. b.
B O R C H , ( Olaiis) anatomifte. Suppl.I . 398. a. Phyfiolo»
gifle. Ibid. IV . 363. a.
BO R D , ruban , galon. O n fait à Amiens quantité de bords
de laine ; on en compte de trois fortes. IL 3 3 2. a.
Bord , ( Marine ) livre de bord. IX. 617. b. Quart dé
tribord 8c de bas-bord. XIII. 671 . b. Garçons de bord. V IL 48a.«. . WtÊ R RRRBR ■ RR|I
B O R D A G E , bordages , franc-bord, franc-bordage, [ Marine )
largeur des planches du frartc-bordage. Bordage de l ’arcaffe;
Conftruétion des bordages. II. 3 3 2. b:
Bordage de fond. Les conflniéleurs ne conviennent pas
égalemenf de ce qu’on doit entendre par là. D ivers fens qu’ils
donnent à ce mot. IL 332. b.
Bordage des fleurs , planches qui font la fondéut du vaiffeau
dans les côtes. Utilité de cette forme. IL 332. b.
Bordage d’entre les préceintes ou couples. D eu x pièces de
bordage qu’on met entre chaque préceinte. IL 332,b . Largeur
qu’on leur donne. Autres obfervàtions fur les dimenfions de
ces pièces. Ibid. 333. a.
Bordage. Chauffer un bordage. III. 236. b. Second bordage;
appellé doublage. V . 73. b. Bordage de fond. V I I . 413. b.
Partie du bordage , appellê hanche. V I I I . 37. b. Voye£ les
planches de marine.
B O R D É , ( B la fo n ) ufage de ce terme. Suppl. II. 19, a,
BORDÉ , corps bordés, [ Anat. ) Suppl. II, 19. a.
/Bordés, corps. Suppl, II. 6 1 1. b,
A a *