
44$ C U C
X V . 400. a. des vitriols. X V I I . 365. b. Mouvement néceffaire
au fluide , dans lequel doit fe former la cryftallifation. VII.
681. b. Sur la cryftallifation des fe ls , voyeç vol. III. des
planch. article Chymie , pl. 16 & 17. Sur les cryftallifations
naturelles, voyer vo l. V I . des planch. Régne minéral. '
C R Y S T A L LO G R A PH IE , ( Hijl. nat. ) defcription des
cryftaux ou des corps naturels , que fa régularité de leur
forme- a fait comprendre fous ce nom. Ouvrages fur ce fujet.
Diftrîbution. des cryftaux en différentes clafles. Suppl. IV .
663. a. Éloge de î’effai de cryftallographie , que M . de Romé
de l’Ifte a donné en 1772: Ibid. b. 1
CR Y STA L LOM AN C IE , ( Divinat. ) art de deviner
par le moyen d’une glace ou d’un miroir. Cette pratique
diflinguée de la catoptromancie. Étymologie du mot. IV .
529. b.
C S
CSEPEL , ( Géogr. ) ifle du royaume de H ongrie, formée
par le Danube. Sa delcription. Suppl. II. 663. b.
C T
C T E S IA S , hiftorien & médecin , né à Gnide. Ses ouvrages.
VII . 724. a.
CT ESIBIUS, philofophe cynique. IV . 598. b.
CT E S ILA S , fculpteur ancien. X IV . 8 i8 .i .
C T E S ILO Q U E . Obfervations fur ce peintre & fur fes
ouvrages. XII. 258. b.
C U
C U B A , f Myih. ) divinité qu’on invoquoit pour faire
dormir les enfans. Il eft difficile que ceux qui ont beaucoup
de dieux, aient beaucoup de religion. IV . 329, é.
C u b a , ( Géogr. ) port de cette ifle nommé Xagua. XV II .
648. a.
C U B A N E , (Botan. ) efpece de plante. Suppl. II. 317. b.
CU B A TU R E , ( Gèom. ) cubation d’un folide. A r t de
mefurer l’efpace que comprend un folide. En quoi conûfte
la folution de ce problème. Difficultés qu’il renferme. IV.
529. b. V o y e z Solide.
CU B E , ( Géom. ) étym. & définition de ce mot. Mouvem
e n t par lequel on peut concevoir la formation du cube.
Maniéré de conftruire le développement du cube , c’eft-à-
dire » une figure plane , dont les parties étant pliées, forment
la furfàee d’un cube. Moyen de déterminer la furtace Sc la
folidiré d’un cube. IV . 330. a.
Cube. Problème de la duplication du cube. V . 168. b. Maniéré
de détermier Un cube qui tienne telle quantité de poudre
à canon qu’on voudra. III: 64. b.
Cube , adj. L a racine eft au quarré comme le "quarré eft
au cube. Théorie de la compofition des nombres cubes. IV.
330. a. Racine cube. En quoi confifte l’extraélion de cette
racine. Ibid. b.
Cube , nombre , XI. 203. a , b. Pouce cube. XIII. 186. b.
Quarré cube. Quarré du cube. 663. a. T o ife cube. X V I
383. b.
Cube du cube. TV. 330. b.
CU BEB E , ( Botan. ) fruit qui vient de Java. Sa defcription.
Propriétés des cubebes en médecine. Maladies dans lef-
quelles on les emploie. D ofe qu’il en faut prendre. Maniéré
de les préparer en remede. Préparations dans lefquelles ces
fruits entrent. IV . 331. a.
C U B IQ U E , équation cubique , conftruétion , réfolution.
«les équations cubiques, racines cubiques. P remière fécondé
parabole cubique. IV . 331. a.
Cubique, racine, XIII. 749. a.
C U B IT ou Coudée , ( Comrn.) mefure pour les longueurs
en ufage en Angleterre. Mefures au-deffous & au-deflùs dit
cubit. IV . 331. a.
C U B IT A L , ( Anatom. ) mufcle cubital externe & interne.
Arte re cubitale. IV . 3 31. a.
Cubitale , artere t Suppl.U. 49. a. N e r f cubital. Suppl. IV
42. b.
CU B ITU S , ( Anatom. ) os du bras. Sa defcription. IV .
531. b.
Cubitus. Apophyfe antérieure du cubitus. IV . 260. a. Apo-
phyfe poftérieure. XI. 448. b. Expériences fur la ténacité
de cet os. Suppl. IV . 931 . b , &c. Defcription du cubitus
des grenouilles & des crapauds. 941. b , &c. Singulière maladie
de l’os cubitus d’un enfant. XII. 363. a. Régénération du
cubitus dans un homme. Suppl. IV . 944. b.
CU BO ÏD E , os cuboïde, ( Anatom.') os du tarfe , que quelques
uns appellent multiforme. Sa fituation. Sa defcription. IV
53
arbrf aromatique d’Amérique. X V lI . 633. b.
1 £ , ■ ’ * -fruit des deux Irides I dc l’E g yp te , de
la N ub ie, &c Sz defcription. IV . 331. A. Arbre qui le produit,
nommé cucioferapalma fade. C e qui le diftingue du palmier!
La tunique du bézoard dont parle Pomet , q’eft autre chofe
G U I
que ce fruit cuçi. Comment M. Geoffroy fit la découverte
de cette tromperie avec MM. Vaillant 8c de Juffieu. Ibid
53£
C U C U L L E , ( Hifl. eccl. ) voyez Coule.
CU CU PHE & demi-cucuplie , ( Pharm. ) bonnet__qu’on
applique fur la tête pour fortifier le cerveau. Il eft peu d’ufage
aujourd’hui. Compofition de la poudre dont on le. garnifTon
r v . 332. é..
Cucuphcs. Leur utilité. XV II . 197. æ, b.
„ C U C U R B IT E ,. ( Chymie ) vaiffeau chymique , partie de
1 alembic. A quel ufage font deftinées les cucurbires de cuivre.
Soin qu’il faut prendre de les faire étaiiier. Ufage de celles
quon fait en étain. Pourquoi l’on ne fe fert pas des cucur-
bites de verre aufli fouvent qu’on le fouhaiteroit. A quel
ufage on les emploie. IV . 332. b. Ufage des cucurbites de
terre. Les cucurbites des potiers de Paris font fort mauvaises.
On fe fert cependant des petites à fublimer le fel fédatif
du borax. Différentes fortes de fublimations , pour lefquelles
font employées les cucurbites de terre. Ufage général des
cucurbites. Ibid. 333. a.
C U D W O R T H , (Rodolphe ) obfervations fur cet auteur
& fur fes ouvrages X V . 333. b. Argumens dont il a
appuyé 1 hypothefe des natures plaftiqùes. XII. 729. a , b , &c.
CU E IL L A G E , (Verrerie) définition. C e qu’on appelle
couvrir le cueillage. IV . 533. a. En quel cas on dit que le
cueillage eft bon. Ibid. b.
C U E IL L E T T E , ( Comni. de mer) charger un vaiffeau à
cueillette. IV . 333. b.
Cueillette , ( Jardin. ) tems où l’on cueille les fruits lorf-
qu’ils fe détachent de l’arbre. Comment on reconnoît la
maturité. Pourquoi l’on doit prévenir la maturité des fruits
dété. Tems où Io n doit cueillir lès poires d’automne, les
pommes, le bon chrétien d’hiver. IV . 333'. b.
CU EIL LEU R, {Verrerie) fes fondions. C e qu’il doit
favoir pour devenir boflier. IV . 333. £
CU E IL L IR , ( Ferrer.) prendre la matière dans le pot avec,
une felle ou canne de fer creufée dans toute fa longueur.
Comment fe fait cette opération. IV . 334. a.
CU G N È R E S , ( Pierre de ) fa difimte avec Pierre Bertrandi
touchant les entreprifes de la jurifdidion eccléfiaftique fur la
féculiere. IX. 77. a.
C U JA S , obfervations fur cet adjedif latin. X IV . 60. b.
Cujas , (Jacques ) jurifconfulte. X V I . 432. a.
CU IL L ER , defcription des inftrumens, machinés, outils
de ce nom, qui font d’ufage en bâtiment, en chirurgie. IV .
334. a. Parmi les ciriers, les ferblantiers, les bimblotiers
les fondeurs de cara&eres d’imprimerie -, les fondeurs en
fab le , dans le monnoyage, chez les plorobiers Scies potiers
d’étain. Ibid. b.
Cuillers , (Herbe au x) VIII. 146. b.
CU IN E , vaiffeau dont on fe fert eh Chymie. IV . 238. a.
CU IR jojfile , ( Minéral.1 efpece d’amiante fort légère.
Deux variétés de cette fubftance ; le cuir foffUe groffier, &
le fin , qu’on nommé aufli papier foflile. IV . 333. a. *
Cuir, (Tanneur) cuir c o r ro y é , verd ou cru d , fa lé , fe c
à poils, tanné ,plaqué , cendré ou paffé en coudrement IV
535- f- I
Cuir, defcription des opérations de tanner le cuir. X V .
889. a , b , 8cc. Celles de le co r ro y er .IV . 273. a , b , 8cc.
Carré de cuir. II. 699. a. Fleur 8c chair dans les cuirs. III.
12. a. 71. a. V L 860. a. Cuir grainé, ou chagrin. III. 3. a.
Cuir fort. IV . 333. b.
Cuir doré, efpece de tapifferie de cuir, &c. Lieux où ces
tapifferies fe fabriquent. Plufieurs prétendent que les premières
qui ont paru venoient d’Efpagrie. IV . 335. b.
Cuir. Dorer fur cuir. V . 34. b. 39. b. ' *
Cuir de poule. IV . 333. b. '
Cuir de Hongrie, ( Hongroieur) il. n’y a pas long-tems
qu’on connoît en France la maniéré de le préparer. On prétend
que ce fut Henri IV qui en établit la première manufacture.
Maniéré de fabriquer les cuirs de Hongrie. I V . ’
f3<j. é. Inftrumens dont fe fervent les hongroieurs dans leur
travail. IV . 336. a. Foye^ les planches , volume VII.
Cuirs de balles, (terme d ’imprim. ) peaux de moutons préparées
pour l’ufage des imprimeurs. Leur ufage. IV . 336. a-.
Cu ir , (Monnoié de) comment ces monnoies étoient
fabriquées. IV . 536. a. On en trouve dans les cabinets des
curieux. Il y en eut de fabriquées fous Louis IX. Ibid. b.
Cuir, monnoie de cuir. X. 648. a , b. Livres en cuir. IX.
603. a. Moulins à cuir. X. 8 îy . a.
Cuir à rafoir. Ufage de ces cuirs. On en fait à quatre
faces. IV . 336. b.
CU IR A S SÉ , ( Art rnilit. ) cuiraffe qui étoit repréfentée
dans le fameux tableau de Polygnote de la prife .deTroyes.
Trois fortes de cuiraffes connues chez les G recs 8c chez les
Romains. Commentétoit faite la cuiraffe d’Alexandre , celle de
Galba. Cuiraffe de lin. Cuiraffe de cuir • les chefs des
Sârmates s’en fervoieht quelquefois. Le fer étoit la matière
la plus ordinaire des cuiraffes. Pourquoi les Perfes appelloient
C U I
Soient cïibanarios les foldats <|u‘ les portoïent. ÏV . 336. b.
O n les changea bientôt pour des cuiraffes compofées de
lames , & enfuite on fe fervit de la cotte-de-maille ou hau-
kergeon. On mettoit la cotte - d’armes fur lafccuiraffe. Le
droit de porter la cuiraffe étoit un titre d’honneur. Officiers
«ui la portent aujourd’hui. Officiers qui portent un plaftron
de fer. Ibid, y 7. a.
Cuiraffe des Romains. I. 687. a. III. 331. a. Celle des premiers
François. I. 687. b. Fabrique des corps de cuiraffe à
Befançon. I. 609. b.
CU IR A S S IER , (ick thy .) efpece de poiffon, voye{ Lori-
CARIA.
C U IR E , en terme d e cuifine , en terme de doreur. IV .
;ï 37- *
Cuire des cheveux, ( Perruq.) IV . 337. a.
Cuire , ( Rafineur de fucre ) pétrifier le fucre en clairée.
Comment fe fait carte opération. IV . 337. a.
CUIRE le verre , ( Peinture fur verre ) IV . 337. a.
CU IS E A U X ou Cuir eaux, ( Géogr. ) v ille de la B reffecha-
lonnoife. Fondations faites dans ce lieu. Ses révolutionSi
Homme de lettres dont elle eft la patrie. Suppl. II. 664. a.
C U IS IN E , ( Art méchany,) fcience de la gueule , félon
Montaigne , Gaftrologie , félon M. de la Mothe le v a y e f.
Nourriture des premiers hommes. Comment cette nourriture
devint infenfiblement un objet de fenfualité. La déli-
cateffe des tables connue premièrement en Afie , communiquée
enfuite aux Grecs. Progrès de cette fenfualité chez
les Romains. Portrait qu’en fait Séneque. IV . 337. b. Les
cuifiniers chez les Romains étoient des gens importans ,
recherchés , confidérès , &c. Salaire exhorbitant qu’on a
payé a quelques-uns. Jufqu’à quel point ils avoient porté
l ’aft de la cuifine. D u tems d’Augufte , les Siciliens fur-
pafferent tous les autres dans cet art. Talent fmgulier
d’Apicius en ce genre. C e font les Italiens qui ont fait
connoître la bonne chere aux François. Difcours fur cette
fcience de gueule que fit à Montaigne un de ces artiftes.
Ibid. 338. -a. Les François furpafferent bientôt leurs maîtres
& les firent oublier. La cuifine eft aâuellement une é tude,
»ne fcience des plus pénibles, fur laquelle on voit paroître
de nombreux traités : cependant nous devons à cet art
beaucoup de préparations. utiles 8c qui méritent l’examen
des phyiiciens. Là confervation des-alimens eft un point très-
important. En quoi confifte la méthode pour y parvenir.
Invention des gelées & des tablettes de viandes. Ibid. b.
Autres moyens d e eonferver les viandes tirées des animau
x, & a’autres alimens. A r t de rendre les alimens des
deux régnés plus faciles a digerer. Les ragoûts qu’a inventés
le luxe , font plutôt des efpeces de poifons que des alimens
utiles 8c .propres à la confervation de la fanté’. Théorie philo
lo g ique fur cette matière. Ibid. 339. a.
C uisine. ( Hifl. Antïq. ) Cuifines avec des potages 8c des
fourneaux qu’on a ■ découvertes dans Herculanum. Le suflen-
fij.es qu’on y a trouvés étoient de bronze, épais, 8c éta-
més en argent fin. Énumération de ces uftenfiles. Ouvrages
à confulter fur la maniéré dont les anciens' faifoient la cuifine.
Suppl. II. 664. b.
Cuisine. ( Hijl. mod. ) Diverfes obfervations fur la cui- J
fine françôife. Suppl. II. 664. b. Idée morale du luxe de la table
que le fameux Callot nous a donnée dans fori eftampe de
la tentation de S. Antoine. Ibid. 663. a.
Cuifine , livre d’Apicips de re culinaria. VII I. 344. a. Inftrumens
de cuifine trouvés dans Herculanum. Suppl. III. '333
b. Batterie de cuifine. Suppl. I. 830. <z, b. Des uftenfiles dé
cuifine en cu iv re , 8c en f e r , voyer ces mots.
Cuisine. { Açchïtett. ) O ù 8c comment les cuifines doivent
être bâties. C e qu’elles doivent contenir. IV . 339. b. *
Cuisine, ( Art milit.) trous que font les foldats à "la
queue du camp. IV . 3 39. b.
Cuisine. (Marine) Dimenfions de la cuifine d’un vaiffeau
Comment elle doit être conftruite. Place qu’elle doit occuper!
IV - 539- b. * “
CUISINIER Communauté des maîtres queux-cuifiniers-
PPrTTTCcWeSr% & traiteurs de la ville de Paris. XIII. 708. a.
t U lM , . (Anatom.) Parties qui compofent la cuiffe. Os
«le la cuiffe ou fémur. Autres parties anatomiques auxquelles
on a donné Je nom de cuiffe. I V 3 39 b
— M H H B ■ *7+ Os de 1 cuiffe I fémur.
V L 481. i . Parues relatives à la cuiffe. IV . ta a . „ Mufcle
droit améneur de la cuiffe. V . n 5. „ . M„ fe ie dit faj-cia
W V I . 415. b. Mufcles extenfeurs. ou feffierst B Ü B
Mulcle pynforme ou iliaque externe. VIII. t e 2 é XIII-'
602. a. Mufcles quadrijumeaux. XIII. 643. a. Quarré de lé
cuiffe. 663. *. Mufcle tnceps. X V I . 63 3 .1 . Fait très-curieux
qui montre que le lait peut fortir par la cuiffe. X. 4. b. Suppl.
II. 700. a. Excoriation des cuiffes des enfans. V I. 228 . a l
Attention que les chirurgiens doivent faire , lorfqu’il's ont "des
incifions à faire à la cuiffe. IV . 420. Friftions ordonnées
par Ambroife Paré dans le cas d’une fraéturc de l’os de
la ciuue caufée par un coup de feu. V I I , 307. b%
Tome Ix 1
G U I 449
) I v ' »> • *• ^ svp1- m . h
■ Cuiffes, effort dans les. V . 410. b.
H B B B n B qui a Coûté des pots
dans le fond du four, &c. IV . 339. éi • 1
CU ISSON , différentes acceptions de ce mot. IV . 340. fc.
Cmffon, en terme de confiferie : diverfes fortes de cuiflbm
Cuiflon au caramel. Cuiffon à caffé. Cuiffon de fucre à lifféi
Cuiflon à perlé. Cuiffon à la plume. Cuiffon à foufflé IV ,
340. a.
CU IT E en terme de pharmacie j en terme de rafinerie
de fucre. IV . 340. a.
’ , ( Boiun ) efpece de bambou. Suppl. I. yyx.a.
CU IVR E I MluUurf. 5 6 qualité f o n o r f S o / p L s
relativementà l ’or & àl'argent. Difficulté de .le fondre,
Couleur q u ,l donne 11. flamme. Effet d’un feu violent &
continué fur le cuivre. Chaux de cuivre. S a v eu r, odeur-,
rouiUe de ce métal. Effet des diffolvans fur le cuivre Ex‘
■ M « <*. B en fiifion; caufée par le contiéf de Fini,
nuaite. La nature ne, nous préfente que rarement & en
petite quantité le cuivre fous-fa véritable forme. En quels
pays f o tfouvent-des mines de ce métal. Le cuivre ,eff. de
'T a ce*ui dont H mines offrent lé plus de va»
netés. Différentes efpeces de mines de cuivre connues: i° . le
cuivre natif; »•. le c itiv re précipité;. 3°. le-verd de montagne
ou chtyfocole v e r te ; IV , 540.b. 4°. le b leu de montagne
ou c h r^ X o lé bleue ; s“, la mine de cüiVre azurée ; 6’ ° la
mine dé cuivre yitreufe ; 7°. Ja mtne de cuivre grife ;. 8°, la
minc-de cuivre hépatique ; 9 ° ,la mine de cuivre:blanche ;
10 . la pyrite cuiv reufe, ou mine jaune de cuiv re ; n ° - les
™lr] fs J Clliv re figurées : elles, fe trouvent toujours dans
de 1 ardoife. En quel lieu ôn en v o it ; 120. la mine de cuiv
re terreufe. A quoi on reconnoît la préfence du cuivre de
Cï j f mine' L’ocre de Goflar paroît être de cette nature : pro-
cédés par lefquels on en tire le cuivre. Ibid.. 341. a. Autres
iubftances minérales parmi lefquelles fe trouvent des parues
emvreufes. Difficultés dé tirer le cuivre de fa mine-.
Trois efpeces de mines de cuivre diftinguées par les Sué-
dois. Quelquefois les parties hétérogènes fe trouvent dans
lam in e en très-grande abondance, ce qui n’empêche pas
de la travailler. Maniéré de traiter la mine de cuivre. En
quoi confifte le triage de la mine. Détail de ce triage; Ibid b.
D e là calcination ou du g rillage»/^. 342. a. D e là fonderie!
u u travail de la matte ou pierre de cuivre. Ibid. b. Du raffinage
de cuivre. Ibid. 343. é. D u travail d e là mine de tu i-
î?®.- - & cuivre 9 plomb 8c argent. Ibid. 344. b
Uuhte de la litharge 8c de la coupelle dans l ’opération dont
11 s agit ici. Attention qu’il faut avoir en employant l’une 8c
1 autre. Uid. 343. a. Ouvrages à confulter pour s ’inftruire à
rond fur cette matière. C e qu’on appelle cuivre de rolette*
bubftances métalliques avec lefquelles le cuivre s’unit pat-
la fufion. Chaux métallique nommée as uftum , faffran de
v en us , écaille de c u iv re , formée par le cuivre même. Ses
uiages. Comment on peut la réduire en cuivre. Propriété '
de cette chaux. Phénomènes qui accompagnent les diffolm
tiofls.iie cuivre opérées par différentes fortes de diffolvans.
Diffohuion du cuivre par l’acide vitriolique : par l’acidè
nitreux. Ibid. b. Par l’efprit du fel marin : par l’acide du vinaig
r e ; le cuivre mis en diffolution dans un-acide quelconr
que peut être précipité dans fa forme naturelle par le m o yen
du fer ; fauffe tranfmutation qui en réfulte. Aélion des-alkalis
fixes'fur le cuivre. Rien n’eft plus propre à indiquer la p résence
du cuivre que l’alkali volatil. Phénomène qui prouvé
que pour que la diffolution du cuivre fe faffe dans Talkali
v o latil, il faut le contaél de l ’air. Le cuivre diffous par uft
acide peut être précipité ou non précipité à volonté par les
alkalis fixes & volatils. Ibid. 546. a. Preuve de la grande
divifibilité de la matiet'e, tirée de la diffolution du cuivré
dans l’alkali volatil. Amalgamation du cuivre avec le mercure.
Plufieurs prétendent que le cuivre contient une portion arfe-
nicale & faline. Effets qui montrent que le cuivre èft un
poifon très - dangereux. Cependant quelques médecins en
ont" vanté l’ufage médicinal dans certains cas ; ufage très:-
fufpeél 8c qu’on doit bannir de la pharmacie. Ufage extérieur
des préparations cuivreufes. Ufages du cuivre dans les arts
8c métiers. Pourquoi on l’allie à l ’or 8c à Targent dans, la
monnoie. Ibid. b. Danger de s’en fervir pour des uftenfiles
de cuifine. L ’étamage ne met point toujours fen sûreté. Autre
abus non ' moins daugereux , c’eft Tufage que font quelques
apothicaires de mortiers de bronze. L ’ufage du cuivre p rolcrit
en Suedede tous les hôpitaux. Ibid. 347. a.
Cuivre , mines de cuivre. Celles qu’on appelle cendres PeYtes.
II. 813..Û. Mines près de Herngrund dans la haute - Hongrie.
VIII. 183-. b. Détails fur celles de Côperberg en Suède.-
IX. 13.3. b. 1 36. a. Cuivre minéralifé. avec Tarfenic ou lô
foufre. X. 341. a.. Mines de.cuivre aux environs de New-
zol dans la haute-Hongrie. XI. 125. .^ Autres près de Sterling
en Ecoffe. XV-. 314. a. Mine de cuivre grife , appellée
Fahlertç. Suppl. III. a. a. Mine de cuivre près de Falun en
X X xxx
p