
8o4 G A L
Galénifme. Travaux & fyftême de Galien. X. a6 i. a. O bfervations
fur fa vie & fes ouvrages, 271. fl , é. 284. a , b.
Ses ouvrages anatomiques. I. 413. «. IV . 1047. ^ Suppl. I.
394. a. Sur l’hygiene. V I . 387. b. Régime qu’il fuivoit par
rapport aux fruits. 747. a. Doctrine de Galien fur l’aurologie,
VII I. 730. b. fur l’économie animale, XI. 363. b. .fur le pouls,
XIII. 206. a. 207. f l , b. - 215. fl- fur la faignée. X IV . 502. fl.
Son fentiment fur le fiege de l’ame. Suppl. II. 140. b. D e ton
fyftême phyftologique. Suppl. IV . 103. b. 347. a , b. Ses difci-
ples dêfignéspar le nom d’humorifles.VIII. 3 53. fl.Leur doânne
fu r la chaleur animale, III. 33. b. fur les crifes, IV . 4 71.0. &e.
fur l’humide, VII Ï. 351. b. fur ce qu’ils appellent intempérie.
807. a. I I
GALEOPSIS. ( Botan. ) Caraéleres de ce genre de plante.
Son odeur 8c fon goût. Principes qu’elle renferme. Principales
efpèces de galéôpfis , employées en médecine. VII. 437. a.
Voyez O rtie.
G A L ÉO T E S , {H iß . une.) devins de Sicile Sc d’Afrique.
Prédiétion des galéotes fur D enys I , tyran de Syracufe. Cette
prédiétion démontrée Muffe; Etat malheureux de Denys durant
toute fa v ie. VII . 437. b.
G A LERE , ( Hiß. une. ) voyez VAISSEAUX des anciens.
Galeres appellées aphraEles 8c cataphraéles. 1. <525. a: II. 766.
b. Galeres à deux rangs de rames. II. 259. b. Galeres facrées.
X I. 59. a , b. G aleres à trois rangs de rames. X V I . 661. a. Ob-
fervations fur les galères des anciens & des modernes. 300. a.
D e s galeres des anciens en particulier. 803.a 3b. Rameurs dans
ces galeres, voyez Rameur.
Galere, ( Marine') fortedebâtiment. Sa defeription. VII .
'437. b. Les galeres faifoient autrefois un corps féparé dans
la marine ; mais aujourd’hui il lui eft réuni. Parmi les galeres
, on diftinguoit la réale 8c la patrone. Diverfes puiffances
qui ont des galeres fur la Méditerranée. La France eft la
feule qui en fait paffer dans l’Océan.
Etat d'armement d'une galere. Arboratures. M anoeuvres de la
meftre. Ibid. 438. a. Manoeuvres du trinquet. Taille & poulies
de meftre. Ibid. b. Tailles & poulies de trinquet. Voiles de
meftre. Voiles de trinquet. Cordages pour garnir les voiles
de meftre. Cordages pour garnir les voiles de trinquet. Ibid.
439. a. Ancres , gumes , gumenettes , & autres caps pour
l ’ormieg. Cordages du timon & pour lever l’échelle. Tantes
& tandelets. Cordages pour garnir les tantes 8c tandelets.
Pallemente & ce qui en dépend. Ibid. b. Cordages pour ladite
pallemente. Uftenfiles de l’argoufm. Pavois, bandiers & flammes.
C anons, armes 8c munitions de guerre. Cordages pour
les canons. Ibid. 440. a. Uftenfiles- de cuifme 8c compagne.
Ibid. b.
Galere. ( Marine milit. ) Utilité des galeres dans la marine militaire.
II n’e ftpas fans exemple que les galeres ont pris des vaif-
feaux. Elles peuvent fervir à faire paffer, malgré un grand nombre
de vaiffeaux de guerre , tous les convois de munition de
guerre & de b ouche, pour la fubftftance d’une armée. Ufages
auxquels on peut les employer , lorfqu’on veut faire une
defeente , ou lorfqu’il s’agit de s’oppoler à une defeente de
l ’ennemi. Utilité qu’on en peut tirer dans le fiege d’une
place maritime, Suppl. III. 169. a. pour l’attaque 8t pour la
défenfe. Exemples des importans fervices qu’elles ont rendus
dans plufieurs occafions. Ibid. b. Il n’y a que les galeres qui
puiffent détruire les chebecs barbarefques. Détails 8c obfer-
vations qui le démontrent. Ibid. 170. fl, b. Services que rendirent
deux galeres du roi dans le bombardement de la v ille
de Tripoli en 1728. L'expédition de T a b arca, en 1742 ,
n’auroit vraisemblablement pas échoué , fi les quatre galeres
, qui en dévoient être , s’y fuffent trouvées. Ibid. 17 1. a.
Combien les galeres font néceffaires pour affurer le commerce
le long des côtes de Provence & de Languedoc. Les
galeres font les feuls bâtimens qu’on pourroit oppofer aux
puiffances barbarefques , s’il falloit tout-à-coup exercer des
hoftilités contr’elles. Obfervations fur la manoeuvre de cette
forte de bâtiment. Ses difficultés. Le vrai moyen d’acquérir
de l’habileté dans cette manoeuvre, c’eft d’en faire un fréquent
exercice. Ibid. b.
Galere. Bancs des galeres. II. 53. a. Galere eapitane. 632. a.
Général des galeres. V II . 3 3 3. b. Deffein 8c détail d’une galere
à la rame, nommée la réale. V o l. V I I . des planch. Marine,
planch. 2.
Galere. ( Jurifpr. ) Comparaifon de la peine des galeres
à celle des criminels , q u i, chez les Romains, étoient condamnés
ad metalla, aux mines. Elle a plus de rapport à la
condamnation ad opus publicum. Quelques auteurs ont cru
que la peine des galeres étoit connue des Romains ; mais
cette opinion eft fans fondement. On poûrroit plutôt croire
qu’elle avoit été ufitée chez les Grecs. Charles IV fut le
premier roi en France qui eut des galeres. Première ordonnance
qui fait mention de la peine des galeres : elle eft de
Charles I X , 8c de l’an 1364. V II . 440. b. Arrêts de 13 32 8c de
1 3 3 3 , qui montrent que la peine des galeres étoit déjà ufitée
alors. En Efpagne , les juges d’églife ne condamnent jamais
le s clercs aux galeres, En France , les eccléfiaftiques ont inu-
G A L
tllément tâché d’obtenir le pouvoir de condamner les clercs
aux galeres. To us juges féculiers peuvent prononcer cette
condamnation. Après la peine de la mort naturelle, 8c celle
de la queftion, à la réferve des preuves en leur entier , la
plus rigoureufe eft celle des galeres perpétuelles. Comment
cette peine eft confidérée, lorfqu’elle n’eft que pour un tems
limité. Peines qui doivent précéder celle des galeres , félon
une déclaration de l’an 1724. Peine de mort Contre ceux
?u i , condamnés aux galeres, auroient mutilé -leurs membres.
eine contre les femqies , équivalente à celle des galeres.
Difpofition de l’ordonnance de Blois , fur ceux qui font condamnés
aux galeres. D e s lettres de rappel des galeres. Ibid.
441. fl. Voyez Chaîne, Galérien, Rappel de galere.
Galere. Chaîne pour ceux qui font condamnés aux galeres
III. 6.b. Rappel des galeres. XIII. 793 .a .
Galere , ( Chyrn. Philofoph. ) efpece de fourneau. V IL
441. b. Voyez FOURNEAU.
Galere , ( Luth. ) forte de - rabot. Defeription 8c ufage.
V I I . 441. b.
G ALERIE , ( Archit. & Hifl. ) étymologie de ce mot. D é corations
des galeries. Defeription de la galerie de Verrès ;
le fpeétacle qu’en donne Cicéron entre dans un des objets
; les plus importans de l’Encyclopédie , la connoiffance' des
: ouvrages de l’antiquité. Statue de Jupiter furnommé
! V IL 441. b. La Diane deSégefte: détails fur cette ftatue. D eux
; ftatues de Cérès : un Mcrcure-qui avoit appartenu aux T y n -
: daritains. Un Apollon des Agrigentins fait par le ftatuaire
Myron. Un Hercule de la même main. Un Cupidon de
Praxitèle. Les Canéphores en bronze, ouvrage de Polyclete.
Ibid. 442. a. La Sapho de bronze de Silanion. La ftatue du
joueur de lyre d’Àfpende. Plufieurs petites viéïoires. Un
grand vafe d’argent en forme dè cruche , ornoit une magnifique
table de bois de cjtre. Autre vafe qui n’ètoit qu’une
feule pierre précieufe. Divers vafes facrés dont les Siciliens
fe fervoient pour le culte des dieux domeftiques. Diverfes
autres raretés de cette galerie qui ne font qu’indiquées. O uvriers
que Verrès avoit entretenus dans Syracufe , foit pour
deffiner les vafes d’o r , foit pour ajouter à leurs ornemens.
Ibid. b. Tapifferies de cette galerie. Vingt-fept portraits des
anciens rois de Sicile. La porte de la galerie très-richement
hiftoriée. Deux grandes ftatues à côté de la porte. Luftres
8c candélabre m erveilleux. Quelque magnifique que fyt cettô
galerie, ce n’étoit ni la feu le , ni vraifemblablement la plus
belle qu’il y eût à Rome. Moyens iniques par lefquels les
Romains fe procurôient les chofes les plus précieufes. Ibid*
443- a-
Galerie. Grande galerie du palais ducal à Florence. V L
877. a. Efpece de galerie appellée meniane, dans l’ancienne
architeâure romaine. X. 333. b. Galeries de la maifon de
campagne que Pline le jeune avoit en Tofcane. XIII. 130,,;
b. X V L 303. f l, b. Voyez PORTIQUE.
G alerie , ( Fortifie.) petite allée de charpente pour p a f fer
un foffé. Comment font faits les côtés de la galerie. Ufage
qu’on faifoit autrefois des galeries. V I I . 443. b.
Galerie, conduit d’une mine. Les afliègeans 8c les afliégéfi
pouffent des galeries pour évejiter réciproquement leurs mi'>
nés. V II . 443. b.
Galeries que font les mineurs pour aller jufques fous les en*
droits que l’on veut faire fauter. X. 332. a , b.
Galeries d’écoute. V II. 443 » b.
Galerie, ( Minéralog. ) Voyez Mines.
Galerie afeendante 8c defeendante. V II . 638. b. X. 323. a 3
b. Galerie ou percement. XII. 327. a. Comment les mineur«
donnent de l’air à une galerie. X V I . 393. a. Différentes
maniérés d’étançonner les galeries, vol. V I des planches.
Régné minéral, feptieme co lle â ion , planche 4 , profil d’une
galerie. Ibid. Article Métallurgie. T riangles à réfoudre pour
déterminer la direélion d’une galerie. Ibid.
Galerie, ( Marine) but de la conftruâion des balcons
qui portent ce nom. Défenfe de bâtir des galeries aux
vaiffeaux de cinquante canons. Celles des vaiffeaux anglois 8c
des vaiffeaux hollandois. Galerie du fond de cale ; fon
ufage : défenfe d’aller aux galeries qui joignent les fontes
V IL 443. b.
Galerie, terme de riviere. VII. 443. b.
Galerie , ( Peinture ) fuite de compofitions dont les galeries
font quelquefois ornées. VII. 443. b. Parmi les diffé-
rens rapports qu’ont entr’elles la poéfie 8c la peinture, 8c
qui feront développés au mot Genre, l’auteur obferve ici celui
qui fe trouve entre une galerie décorée par un célébré
artifte, 8c les poëmes compofés de plufieurs parties , qui
fufceptibles d’une beauté particulière , ont encore une jufte
convenance avec l’ouvrage entier. C ’eft à de tels ouvrages
qu’on reconnoît le caraélere de divinité, par lequel ce qu’on
appelle Génie a mérité 8c méritera toujours l’hommage des
hommes. Les ouvrages de l’efpece de ceux qu’on nomme
galerie, font les moyens les plus propres à_ entretenir les progrès
de la peinture 8c à les étendre. Sujets utiles que les
1 princes 8c les particuliers pourroient faire exécuter en galeries
G A L
ïie s ou dans Une fuite de tableaux. Ibid. 444.' à. L ’ùfagô des
galeries eft encore d’y raffembler des tableaux de différens
artiftes anciens 8c modernes. Intelligence avec laquelle ces
colleélions doivent être faites, 8c difpofées pour que chaque
compofition foit dans la place la plus favorable. Ibid. b.
Galerie. Efpeces de poëmes dramatiques pittorefques qu’on
pourroit traiter dans les tableaux des galeries de peinture. VII.
%9 *.a ,b .
Galeries , ( terme de fonderie ) V I I . 444. b.
G alerie , ( Jardin. ) V II . 444. b.
Galeries d'eau. Exemple d’une telle galerie à Sceaux. VII .
444- b.
Ga l e r ie , {Jeu de Paume) partie du bâtiment. VII .
■ 444. b.
G A LER IEN , {Jurifpr.) effets de la condamnation aux
galeres. Des fraudeurs 8c contrebandiers condamnés aux gale
re s , faute de paiement 8c par converfion d’amende. Sa-
geffe de l’inftitution de la peine des galeres. Les galériens
ne furent d’abord "appliqués qu’au fervice de la mer, mais
ils font aujourd’hui employés aux divers travaux des ports.
Comment ils font tenus dans ceux de Breft 8ç de Mar-
feille. Nature de leurs travaux. O n permet aux forçats d’établir
des barraques, d’y travailler de leurs métiers, &c.
Comblent ils peuvent s’exempter de faire leur tour de fatigue
au travail de l’arfenal. Travaux des chiourmes en cas
d’armement. Exercices des forçats au défaut d’armement.
Travaux dont les chiourmes font difpenfées. VII. 443. a.
Diftinélion qu’on doit faire de deux fortes de forçats. Ibid. b.
Voyez Fo rçat.
G A L E R N E , vent de , {Jardin. ) X V I I . 23. b.
G A L E T , ( Hifl. nat. ) caillou de mer 8c de riviere.
Caufe du poli qu’on obferve dans ces cailloux. Montagnes
qui en font remplies. Galets revêtus d’une efpece d’écorce
différente du refte de leur fubftance. Il paroît que c’eft - là
leu r état naturel. Galets dans lefquels on trouve des cryftaux.
V I I . 443. b.
G A L E T A S , chambre en, { Archit. ) III. 46. b.
G A L IE N , veine de, { Anatom. ) defeription de ce vaiffean.
V I I . 443. é.
Galien, voyez Galénisme.
G A L IC E , ( Géogr. ) province d’Efpagne. Ses bornes. VII.
443. b. Qualité du climat. Sa capitale. Sesmines. Divers avantages
qu’on pourroit tirer du produit 8c de la fituation de
cette province , 8c qu’on néglige. En quel tems la Galice fut
érigée en royaume. Ibid. 446. a.
Galice. D iverfes obfervations fur cette province. Suppl. III.
^G A LILÉE, mer d e ,. ( Géogr.facr. ) X. 369. fl. Nom moderne
de la Galilée. Suppl. I. 846. a.
Galilée , haut & fouverain empire de , {Jurifpr.) V .
383. b.
Galilée , philofophie de, {.Hifl. de laphilof. ) éloges qui
ont été faits de ce philofophe 8c de fes ouvrages, dans la préface
des mémoires de l’académie de Dijon , Suppl. III. 172.
a. 8c par plufieurs favans diftingués. Parallèle de Galilée 8c
de François Bacon par D avid Hume. Hiftoire de fa v ie ,
de fes travaux philofophiques 8c de fes découvertes. C e fut
lu i qui imagina le premier l’application du pendule à l’horloge.
Ibid. b. Ses expériences fur la chûte des corps pefans.
I l inventa le compas de proportion 8c le thermomètre. D é tails
fur fon invention des lunettes d’approche 8c du télefeope.
Ibid. 173.-fl.Découvertesaftronomiques auxquelles cet infiniment
le conduifit. Ses obfervations fur la lune, les étoiles, les
fàtellites de jupiter, lesphafes de vénus. Ses dialogues fur le
fyftême du monde. Ibid. b. L’hypothefe copernicienne démontrée
par ce philofophe. Taches découvertes fur le foleil.
Ouvrage dans lequel Galilée rétablit la doélrine'hydroftatique
d’Archimede. Autre ouvrage intitulé faggiatore ou le fondeur.
Ses écrits-8c fes découvertes fur les méchaniques. Ibid. 174.
a. Sur les loix du mouvement 8c fur la baliftique. Obfervations
fur la part qu’il a eue à l’invention de la méthode des in-
divifibles. Ibid. b. Suite des remarques de l’auteur touchant fes
dialogues fur la méchanique. Il eft le premier qui ait appliqué
la géométrie à la connoiffance des eaux courantes ; des principes
de Galilée fur la defeente des corps par une courbe. C e
philofophe juftifiépar Kraft fur ce qu’il a prétendu que la ligne
courbe parabolique dans laquelle les corps lancés fe meuvent
eft la même à laquelle fe conforme une chaîne fufpendue par
fes extrémités. Ibid. 173. a. Remarques fur une autre propofi-
tion de fes ouvrages, qu’une corde horizontale, tournant fur
deux pivots 8c confidérée comme ne pefant rien, tendue avec
deux très-gros poids aux extrémités, pliera dans le milieu, fi
on y attache un autre poids quelque petit qu’il foit. Obfervations
touchant la doftrine de Galilée fur la caufe de l’élévation
de l’eau dans les tubes, fur celle du flux 8c reflux de la mer, 8c
fur la nature des cometes. Ibid. b. Vraie appréciation de ce philofophe.
Ibid.S y 6 . a.
Galilée , {Hifl. de la philofophie) article fur ce philofophe.
V I . 8 77. b. Perfécution que fa philofophie lui a fait fouffrir.
Tome I,
G A L 803
if"* m f X IV . 600. a. Ses connoiffances aftronOmiques. L
'M m **es découvertes 8c fa doftrine fur la chûte des corpsw
IV . 874. b. XII. 444.a , b. Ses Obfervations aftronomiques,
IX. 744. a. On lui doit eh grande partie la fcience du mouve-
ment. X. 83 3. a. Il fit le premier utage du pendule. XÜ. 294. ak
298. b. Sa théorie fur la réfiftance des folides. X IV . 174. a b.
Ses télefeopes, X V I . 37. b. 3 8. a , b. )y .a ,b .
G A L ILE EN S , ( Théolog. ) feéie parmi les juifs. Q ui étoit
leur chef. Prétexte de leur fédition. Leurs dogmes. Pourquoi
J. C. 8c fes apôtres étoient foupçonnés d’être galiléens.
V l | 5e tendu à notre feigneur, pour connoître s’il étoit galiléen.
G A L IM A TH IA S , ( Bell. lett. ) plaifantc étymologie de
ce mot. V II . 446. a. J b
c ^ I N S E C T E . {Hifl. nat.) Différence entre les galin-
feétes 8c les progalinfeaes. Quelle eft la groffeur de ceux
de la plus grande efpece. VII . 446. a. Obfervations faites fur
les femelles, leur fituation îriimobilej leur accouplement
avec le ma le , leur ponte , 8c la maniéré dont elles protègent
leurs petits jufqu’après leur mort. Ouvrage à confulter
fur ce fujet. Les galinfeaes fe noürriffent dii fuc de la plante
fur laquelle elles font fixées. Après qu’elles ont pondu, il ne
refte d’elles que leur ventre attaché à leur dos. D u v et fur
lequel ces oeufs fe trouvent pofés. Comment ce duvet
quelîe maniéré les galinfeaes font fécondées.
Grande différence entre les mâles 8c les femelles de
cette efpece. Vivacité des petits lorfqu’ils foi-tent des oeufs.
Ibid. b.
G A L IO N S , ( Marine ) grands vaiffeaux dont les Efpagnols
fe fervent pour le voyage des Indes occidentales. Anciens
galions^ de France. En quoi confiftent les voyages des ga-
lions d’Efpagne. C e qu’on entend par galioniftes 8c flottilles.'
VII. 447. a.
G A L IO T E , {Marine) petit bâtiment de charge ou qui
fert à porter des ordres. Galiotes à bombes, principalement
en ufage en France. Détails touchant la galiote 8c fon équipage.
Galiotes hollandoifes. Devis d’une galiote hollandoife
de 83 pieds de long de l’étrave à l ’étambord, 21 pieds dé
bau, 8c 11 pieds de creux. VII . 447. a. Galiotes appellées
bots. Autre forte de petits vaiffeaux hollandois , qui ont là
forme de galiotes par le bas , 8c celle de pinaffes par le haut,
avec un demi-pont. Galiotes deftinées pour fervir d’yachts
d’a v is , 8c non pour porter des cargaifons. Ibid. b. Galiotes
pour la pêche. Suite des détails néceffaires pour conftruire
une galiote telle que celle dont on a donné le devis ci-
deffus. Nombre d’hommes dont les galiotes font montées.
Ibid. 448. a.
G A L IP O T , voyez P o ix . Galipot d’Amérique. V IL
736. b.
G A L IT E , ( Géogr.) addition à cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. III. 176. a.
G A L L , Saint, {Géogr.) v ille de Suiffe; fes alliances ;
époque de fa réformation ; fa fituation. Joachim Vadianus *
littérateur, né dans cette ville. Origine de l’abbaye de S. G all.
VII . 448. a .
Gall , ( Saint ) ordre de chevalerie inftitué dans l’abbayô
de S. G all. XI. 716. b. Suppl. IV . 212. a.
G A L L A IQ U E , ( Hifl. nat. ) voyez GALAIQUE.
G A L L A N D , {Antoine) favant dans la langue arabe. X .
■ 682. b. Suppl. IV . 667. fl.
G A L LÆ U S , ( Théodore) antiquaire:ouvrage qu’il a publié.
X V . 632. b.
G A L L A R G U E , village près de Nîmes où l’on prépare le
tournefol ou héliotropium. X V I . 48p. fl. 481. f l , b. 483. b ..
GALLE. ( Phyfiq. Botan. ) Noix de galle. III. 286. b. VT,
433. b. 192. a , b. Son origine. Suppl. III. 966. a. Chênes portant
galles. II. 287. a , b. Ufage médicinal de ces galles. III.
288. b. G alle de la germandrée. V II. 643. b. Ufage de la noix
de galle en teinture. X V I. 23. b. Galle d’épine d’A lep 8c d’A lexandrie.
X V I . 11. a.
G A L L E N A , ville ancienne de la Grande Bretagne. X V IL
383- fl-
Galles , ( Littér. ) prêtres de Cybele. Origine de leur
nom. Divers pays où fe répandit l’inftitution de ces prêtresi
Defeription que donne Lucien de la cérémonie qu’ils faifoient
en Syrie pour recevoir de nouveaux galles dans leur
fôciété. Leurs funérailles. Leur maniéré de facrifier. V IL
448. b. Plutarque étoit fur-tout irrité de ce qu’ils avoient fait
tomber les vrais oracles du trépié. Il y avoit deux galles
à Rome pour le -fervice de Cyb ele , un homihe 8c une
femme. Cet ordrede prêtres avoit le privilège de mendier en
certains jours. D e l’archigalle leur chef. Auteur à confulter.
Ibid. 449. fl.
Galles, ces prêtres portoient le nom d’agyrtes. I. 192. ai
Leur chef. 613. fl.
Galles , ( Pays de ) principauté d’Angletérre, l’une des
trois parties de la divifion que les Romains avoient faite dé
la Grande Bretagne. Les Gallois font les naturels de la Grande
Bretagne retirés dans cette province lors de l’invafion des
S S S S s s s s ç