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déeffe ; mais Lépide eut l’honneur de l’exécuter. Les "prêtres
ne manquèrent pas de vanter la gloire de ce temp
& d’exagérer les avantages qu’auroient les dévots qui le tre-
quenteroient. V I . 466. a. Anecdote fur ce fujet. R é g io n s
de S. Auguftin fur le culte de la g g g g Pourquoi le Romains
avoient confacré des temples a la peur & a la paleur
à la fraude , à la difcorde, &c. Comment la têhcité elt re-
préfemée fur les médailles. Ibid. b. ...
F élicité. Différence entre bonheur , béatitude « teli-
cité. II. 169. b. En quoi confifte en ce monde notre félicité.
XII. 143. a- Symbole de la félicité. X V . 728. b. 73 1 . a.
Temple de la félicité. X V I . 7 1 . b. M Ü M B .
F E L IX , felicijfmus, félicitas, ( Luter. ) a qui ces titres
furent appliqués. Entre les différens titres qui fe Lient iur
les monumens antiques, celui de fe lix ou félicitas elt un
des plus fréquens. Sylla fut le premier qui prit le nom d heureux:
C e titre fut attribué au trifte tems prefent, au fiecle
in fortuné , au fénat abattu, au peuple romain affervi. a
Rome malheureufe, à l ’empire coniterné fous Macnn , a
toute la terre gémiffante, aux plus infâmes empereurs. Ibid,
b. T itre de felicijfmus devenu commun dans le bas empire.
Quantité de colonies fe piquèrent de fe dire heureufes fur
leurs monnoies, par adulation pour les princes regnans. Les
p ro vinces, à l’imitation des v ille s, affederent fur leurs monumens
publics de fe proclamer heureufes. On ht graver
fur les médailles de Commode, que le monde etoit heureux
fous fon empire. Baffe adulation des Asiatiques. Ibid. 467.0.
FELIX V , cede la diiare à Nicolas 8c fe retire a Kipaille.
IXF e h x , ( Jacques) phyfiologifte. %>ƒ>/. IV . 361. b.
F ELL , {J ean ) patrie 8c ouvrages de cet auteur. XI.
7 F É LO N IE , ( Jurifp. ) Sens étendu & reftreint de ce
mot. Comment le vaffal fe rend coupable de félonie. VI.
467. a. Le défaveu eft diffèrent, de la félonie. Le crime de
félonie ne fe peut commettre qu’envers le propriétaire du
fie f dominant. La peine ordinaire eft la confifcation. Quel
oft un des plus anciens & mémorables exemples de cet
ufage. Q uelle eft la confifcation des bénéficiers coupables
de félonie. La félonie de l’évêque donne ouverture au droit
de régale. L a confifcation pour félonie n’a pas lieu de plein
droit. Autres peines que peut fubir le vaffal outre la confifcation.
Le feigneur dominant qui ne s’eft pas plaint du
vivant de fon vaffal de la félonie commife envers lu i, eft
cenfè lui avoir remis l’offenfe. Auteurs à confulter. Félonie
du feigneur envers fon vaffal. Ibid. b. Peine attachée à cette
félonie : exemples. Coutumes à confulter. Ibid. 468. a.
Félonie Serment d’abjuration que faifoit en Angleterre
un homme coupable de félonie. I. 27. <1. Commife en cas de
félonie. 704. a. Peine du leigneur coupable de felome envers
fon vaffal Ibid. b.
FE L TR I , ( Géoor.) v ille d e là M a r cheT re vu ane , lous
la république de Venife. Qualité du terrein des environs.
Pièces d’hittoire naturelle qu’on y trouve. Ouvrage à confulter.
Suppl. III. io-. b.
FÊLURE d’un vafe de verre : maniéré de la réparer. V.
7 FEMELLES des animaux, caraéteres qui les diftinguent
des mâles. Suppl. III. 1 1 . a. Leur geftation : voye[ ce mot.
Pourquoi elles ne font point fujettes aux menftrues.X. 338.
a. 339. a. D e leur difpofition à l’accouplemeiif. Suppl. I.
124. b.
F ÉM IN IN , adj.(Gramm. ) voyeç GENRE. C e mot joint
à un fobftantif peut avoir une forme grammaticale mafcu-
line & réveiller en même tems un fens féminin. Rime
féminine, vers féminins : v o ye z R ime. Exemples de quelques
noms mafculins que le peuple de Paris fait du genre
féminin. V I . 468. b.
F EM M E, ( Anthropologie ) auteurs à confulter fur les
différences du fquelette de la femme & de celui de l’homme.
Syftême ingénieux de M. Daubenton fur la différence des
organes de la génération de l’homme 8c de la femme. Il
' croit que toute la différence que l’on peut trouver dans la
grandeur 8c la pofition de certaines parties , dépend de la
matrice qui eft de plus dans les femmes que dans les hommes,
&c. V I . 468. b. Obfervations fur lelquelles il s’appuie.
O n ne peut diftinguer le fexe des foetus femelles de celui
des mâles, jufqu’à l’âge de quatre mois. Galien ne met d’autre
différence entre les parties génitales de l’homme & de
la femme, que celle de lafituation ou du développement.
Auteurs qui ont embraffé l’opinion de Galien. Anatomiftes
qui l’ont rejettée. O n trouve plufieurs femmes changées
en hommes. Voyeç Hermaphrodite. Hippocrate dit qu’une
femme ne devient point ambidextre. Des philofophes platoniciens
ont aufli regardé la femme comme un homme manqué.
Caufes des divers préjugés fur les rapports d’excellence
entre l’homme & la femme. Ibid. 469: a. D es femmes
qui fe font iiluftrées par les lettres. Examen de la
flueftjon, fi l’étude des lety es convient à une tçmme chré;
F EM
tienne. D eu x excès oh l’on eft tombé par rapport aux exercices
convenables aux femmes. Le beau fexe devenu mé-
prifable en Orient. Loi des Bourguignons fur celle qui ren-
v o yo it fon époux. T o u s les poètes grecs ont dit beaucoup
de mal des femmes. Les poètes latins ne leur font pas plus
favorables. Ibid. b. Pourquoi l’on a attribué aux femmes des
arts d’une vertu occulte. Selon Ariftote , ç’eft un plus grand
crime de tuer une femme qu’un homme. Il eft remarquable
qu’on a cru être fouillé par le commerce légitime des femmes.
Opinion des rabins fur la création & la nature de la
femme. Les femmes étoient à plaindre dans la loi juive.
Perfonne n’a plus aimé, ni maltraité les femmes dans fes
ouvrages que Salomon. ■ Douceur de Jefus-Chrift à leur
égard. Ibid. 470. a. Le célibat loué chez les chrétiens &
maudit chez les juifs. Ç e qu’ordonne S. Pierre aux maris à
l’égard des femmes. Auteurs qui ont foutenu l’opinion monf-
trueufe que D ieu eft mâle & femelle en même tems. Les
Manichéens regardent la diftinétion des fexes comme l’ouvrage
du diable. Loix de Mahomet fur les femmes. Obfer-
vation fur la differtation anonyme, où l’on prétend mulieres
hommes non eJJ'e. Ibid. b.
F emme , ( Phyfiolog. ) la nature ne paroît avoir réfervè
la diftinétion des fexes que pour les animaux confidérables.
Les animaux extrêmement fimples , comme les polypes ,,
n’ont aucune apparence de fexe. Des animaux plus com-
polés commencent à portèr le caraétere d’un fe x e ; ils font
généralement femelles. Des fexes des coquillages. Suppl. III.
10. b. Caraéteres qui dans les grands animaux diftinguent le
mâle d’avec la femelle. Différences caraétériftiques de l’homme
& dè la femme. Ibid. 11 . a.
Femme, différence dans les proportions du corps de l’homme
& de celui de la femme. VII I. 260. b. Suppl. II. 545.?.
Différence entre les os des femmes 8c ceux des hommes.
X V . 483. a , b. D e la beauté des femmes, voye^ B e au té .
Pourquoi les femmes font plus fujettes que les hommes à
certaines dépravations d’appétit. V . 736. a. Pourquoi elles
font plus foibles que le,s hommes, elles ont la voue grêle, &
elles font fans barbe. V I . 159; b. 160. a , b. 161. a. Les.fauf-
fes couches rendent certaines femmes fécondes. 451. b. Les
femmes plus précoces que. les hommes. Suppl. I. 201. a. Age
auquel leur tempérament commence à prendre de l’ardeur.
V IL 380. b. Il eft rare qu’elles aient ce qu’on appelle dû tempérament.
Ibid. Les femmes en général vieilliffent plus que
les hommes, VII I. 260. b. D e l’âge oh elles commence'nt à
être propres au mariage. X. 1 1 7 . b. Effets des plaifirs du
mariage fur elle s , 118. b. Des femmes qui ont fait beaucoup
d’enfans. 119. a. Caraétere du pouls des femmes. XIII.
230. b. Pourquoi les femmes deviennent puberes plutôt que
les mâles. 549. b. Régime propre aux femmes. X IV . 13. a.
D e leur fenfibilît?. X V . 47. a.
F emme , ( Droit nat. ) uxor. Principal but & principaux
devoirs de la fociété du mariage. L e droit pofitif des nations
policées, le slo ix 8c les coutumes de l’Europe donnent l’autorité
dans cette fociété au mâle. Le code Frédéric favorable
à cet ufage. Raifons qu’on peut oppofer a ce pouvoir
marital. V I . 471 . a. On a v u chez les nations le s p lusc iv i-
lifées, des mariages qui foumettent le mari à l’empire ■ de la
femme. L’exemple de l’Angleterre & de la Mofcovie fait
voir que les femmes peuvent réuflir dans le gouvernement
modéré 8c dans le defpotique. Symbole en ufage chez les-
Lacédémoniens , pour marquer l’égalité de pouvoir entre
l’homme & la femme. La femme en Egypte avoit par con-
trat de mariage autorité fur le mari. Ibid. b. .
■ Femme, moyen fingulier par lequel les femmes chez les
Romains prottvoient à leur mari leur fidélité. II. 290. b. Etat
des femmes dans les gouvernemens defpotiques. IV . 887. b.
V . xj. annote. La femme infidelle plus coupable que le mari.
VII I. 701. b. Les femmes à Rome ne pouvoient être contraintes
par les liéteurs à fe retirer devant les magiftrats.
IX. 487. a. Puiffance du mari fur fa femme. X. 101. b. 102.
a , b. Etat de dépendance oh étoient les femmes chez les
Romains, 8c où elles font parmi nous. XIII. 538. b. Leur
état chez les Arabes. Suppl. I. 503. b. 508. a.
Femme, ( Morale ) ce nom feul touche l’ame, mais il ne
l’éleve pas toujours. Toutes les femmes voudront que l’écrivain
qui doit parler d’elles foit un peintre infidèle, &
que le portrait foit reffemblant. Attributs diftinétifs des
femmes par rapport aux qualités du corps. Leurs difpofitions
naturelles modifiées en mille maniérés par l’éducation. Les
femmes n’ont guere que des caraéteres mixtes, intermediaires
ou variables. To ut parle en e lle s , mais un langage équivoque.
Elles apperçoivent plus v ite,p eu v en t voir aulh-bien,
& regardent moins long-teins. Jeuneffe & v ie illefle, vice oC
vertu des femmes. Pourquoi elles font vindicatives. V L
47a. a. Pourquoi elles, ne font pas difereres. Il y a moins
d’union entre elles qu’entre les hommes. Avantages mutuels
qui font l’égalité des, deux fexes. D e l’éducation des femmes.
L ’éloge de l’efprit ou du caraétere d’une femme eft prefque
toujours une preuve de fa laideur. Abus que les deux fexes
F -E M F E IVi 697
ont' fait réciproquement de leurs avantages. Ibid, b, Politique
& morale des femmes. C e menfonge perpétuel
appelle coquetterie , femble être dans les femmes un caraétere
primitif: il eft femblable au feu .facré, qui ne s’éteint jamais.
Plus les femmes ont perfeétionné l’art de faire defirer ce
qu’elles ne veulent point accorder, plus les hommes ont
multiplié les moyens d’en obtenir la poffeffion. Il y a un
fe u , qui caché plus ou moins long-tems, s’allume à notre
irïfçu , s’étend d’amant plus, qu’ôn;fait plus d’efforts pour l’éteindre
, & qui enfin s’éteint malgré nous. Ibid. 473. a. Etat
de Chloé dans )e monde après fon mariage : fa conduite envers
fés amans. Comme un foible enfant qu’elle protégé , Cliloé
prend l’amour fur fes genoux, badine avec forn arc, fe joue
avec fes traits, coupé l’extrémité de fes ailes, lui lie les mains
avec des fleurs; & déjà prife elle-mcme dans des liens qu’elle
ne voit pas, fe croit encore en liberté. A peine Cliloé a-t-elle
prononcé le mot fatal à fa lib erté, qu’elle fait de fon amant
l’objet de toutes fes v u e s , le but de toutes fes aétions, l’arbitre
de toute fa vie. Pour la plupart des hommes, l’amour
eft une fauffe jourflance q u i, précédée d’un defir incertain ,
eft immédiatement fuivie d’un dégoût marqué qu’accompagne
encore trop fouvent la haiiie ou le mépris. Quand la fource
des plaifirs eft dans le coe u r , l’amour ne tarit point. Ibid. b.
Chloé abandonnée par fon amant. Son défefpoir fe change
infenfiblement en une langueur qui fr.it de tous fes jours un
tiffu d’enriuis. Cependant elle confent à fe diftraire, elle finit
par fe confoler. Elle fait un nouveau choix qui ne fera guere
plus heureux que le premier. Elle appartenoit à l’amour , la
voilà qui appartient au plaifir. Q u ’importe que fon amant
y foit trompé , s’il eft heureux^! Chloé fait donner à la
volupté toutes les apparences du fentiment, à la complaifance
tous les charmes de la volupté. Elle fait également diffimuler
des defirs & feindre des fentimens, compofer des ris & vèrfer
des larmes. Ibid. 474. a. Elle fe perfuade enfin qu’il n’y a
qu’un engagement folide qui perde une femme: elle fe conduit
en conlèquence. L e feul moyen de la rendre confiante
feroit peut-être de lui pardonner d’être infidelle. Plus que
galante, elle croit cependant n’être que coquette. Elle fe dit
fans préjugés, parce qu’elle eft fans principes. Tant qu’elle
aura de la beauté ou des grâces, les defirs des hommes, la
jaloufie des femmes lui tiendront lieu de confidération. Mais
enfin le ridicule plus cruel que le deshonneur , l’exile de la
fociété. Alternative qui fe préfente à elle pour unique ref-
fource , 1e bel-efprit ou la dévotion. L’une' 8c l’autre alternative
n’eft pas toujours facile àembraffer. Ibid. b. Portrait de la
femme aimable & vraiment eftimable. Portrait de la femme
folidement heureufe. Ibid. 473. a.
Femme, de la chauffure haute des femmes, III. 260. b.
Ufage que les Romains faifoient d’un clou myftérieux pour
corriger l’efprit de leurs femmes. 551. b. Caraétere moral des
femmes. Suppl. III. 9148. a. 932. a. Femme coquette. IV .
183. a. On n’aim,e point à rencontrer dans une femme les
qualités caraétériftiques de l’homme, ni dans un homme celles
de la femme. V . 404. a. Eloge de la femme forte par Salomon.
746. b. Foibles des femmes. V II . 27. b. Pourquoi les
femmes laides ont très-foùvent des grâces 8c font de grandes
pallions, au lieu qu’il eft rare qu’ôn puiffe en dire de
même des belles. 763. b. Pourquoi les grâces font plus particuliérement
attachées aux femmes qu’aux hommes. 766. a.
Comment un homme galant les flatte. Suppl. III. 48. a. Importance
de l’éducation des femmes. VII I. 278. a. Femmes
impérieufes. 393. a. D e la décence dans les femmes. 667. h.
Pourquoi les gymnofophiftes des Indes craignoient leur commerce.
673. a. C e qu’on entend par jolie femme. 872. b.
Les femmes des anciens peuples du Nord les excitoient aux
grandes chofes, & elles étoient renommées pour leur chaf-
teté & leur fidélité. 919. a. Lubricité des femmes en quelques
pays d’Afie. X ll. i6i./>. Parallèle entre la femme prude
& la femme fage. XIIÎ. 328. a. Combien la pudeur convient
aux femmes. 333. a. Des femmes qui fe font iiluftrées.
<>30. b. Exactitude profodique que les femmes du grand monde
favent pbferver en parlant. 636. b. C ’eft le fort des femmes
d’être fenfibles aux perfuafions des miniftres de la religion,
8c de perfuader les hommes. X IV . 444. a. D u goût des
femmes pour la parure. XV II . 89. a , b. 221. a , b. Différence
dans leur parure félon leurs différens teints. Suppl. II.
244. a , b. Plaifirs & occupations qui leur conviennent. XVII .
739- a • "
F emme, ( Jurifpr. ) La condition des femmes en général
eft différente de celle des hommes. Citiiis pubefeunt, citiùs
fenefeunt. Les femmes à caufe de leur délicatefle, &c. font
exclues de plufieurs fondions, &c. V I . 473. a. Cependant
il en eft qu’elles peuvent exercer dans l’état ecclénaftique.
Dans certaines monarchies, les femmes ne fuccedent point
à la. couronne. Elles ne font pas admifes aux emplois militaires
ni aux ordres de chevalerie, fi’c. ni aux charges publiques.
Elles ne font plus comme autrefois l’office de pair.
Autrefois en France les femmes pouvoient être juges 8c
arbitres. Elles peuvent néanmoins faire en certains cas la
Tome I.
fonclion d’experts. Ç ’étoit autrefois une fèmme qui faifoit la
fonétion dé Souirèau pour les femmes. On ne peut les nommer
tutrices que de leurs enfans. Elles font exemptes de
tailles 8c impofitions. Mais elles ne font point exemptes des
corvées ou autres charges, foit réelles ou perfonnelles. Ev aluation
de la corvée d’une femme 8c de celle d’un homme.
Exemples de quelques femmes admifes dans les académies
littéraires. ACtes pour lefquels dn ne peut les prendre pour
témoins. On les peut entendre en dépofition , tant en
matière civile que criminelle. Ibid. b. Il dépend de la prudence
du juge d’ajouter plus ou moins de foi aux dépofmons
des femmes, félon leur qualité 8c d’autres circonftances. On
ne reçoit point de femmes dans les corps Sc communautés
d’hommes. Certains commerces 8c métiers annexés aux femmes.
En quels cas les femmes font contraignables par corps
pour dettes civiles. Loix fur le luxe des femmes. Des régie-
mens pour la .fépulture des femmes. Ibid. 476. a.
Femme commune en biens, 8c femme non commune. H L
726. b. Des condamnations de dépens obtenues contre une ’
femme en puiffance de mari. IV . 858. b. D o t de la femme.
V . 62. b. &c. Douaire de la femme. 68. a, b , &c. Edit des
femmes, 392. Etat d’une femme. VI. 28. a. Magiftrats
d’Athenes qui avoient infpeétion fur les femmes. V II . 1022.
b. Biens de la femme diftinguês en dotaux 8c paraphernaux,
XI. 919. a , b. Senatus-confulte par lequel les femmes ne
peuvent s’obliger valablement pour d’autres. X V . 10. a.
X V I . 880. b. Sort des biens d’une femme qui avoit commerce,
avec un efclave. 399. b. Loix fur les obligations que peuvent
contraéler les femmes pour autrui ou pour leurs maris.
X V I . U i . a , b .
Femme amoureufe , exemples qui prouvent que les femmes
publiques étoient ainfi nommées autrefois. V I. 476. a.
Femme authentiquée, celle qui pour adultéré a été condamnée
aux peines portées par l’authentique , fed hodic. Difpofitions
de cette loi. V I . 476. a.
Femme autorifée. V I . 476. a.
Femme commune en biens, Femme non commune, diffère ne«
entre une femme féparée de biens 8c une femme non commune.
V I . 476. b.
Femme de corps. V I . 476. b.
Femme cottïere ou coutumière. V I . 476. b,
Femma. délaiffée. V I. 476., b.
Femme divorcée. VI. 476. b.
Femme douairière. V I . 476. b.
Femme douairée. V I . 476. b.
Femme franche. V I. 476. b.
Femme jouiffante de fe s droits. V I . 476. b.
Femme lige. V I . 476. b.
Femme mariée. Inftitution divine du mariage. V I. 476. b.
Puiffance du mari fur la femme depuis le péché. Suivant les
loix anciennes 8c nouvelles, la femme mariée eft foumife à.
fon mari. En quoi confifte ce pouvoir marital. D u droit de
correélion. Préfentement en France, un mari ne peut guere
impunément châtier fa femme. Quels font les principaux effets
de la puiffance du mari 8c de la dépendance de la femme.
Elle peut tefter fans autorifation. Peine de l ’adultere commis
par la femme. Chez les Romains une femme mariée qui fe
livroit à un e fclave, devenoit elle-même efclave. Une femme
dont le mari eft abfent, ne doit pas fe remarier .qu’il n’y ait
certitude de la mort de fon mari. Loi de Pologne plus adoucie.
La pluralité des femmes autrefois tolérée chez les Juifs. Comment
elle avoit lieu chez les Romains 8c dans les G aules. Ibid,
477. a. D e la communauté des femmes qui eut lieu à Rome
dans un tems. D u nom des femmes mariées. La femme fuit la
condition du mari. Sens de cette maxime, que le domicile de
la femme eft celui du mari. La femme eft obligée de fuivre fon
mari par-tout OÙ il juge à propos.d’aller : .exceptions du code
Frédéric. Trois fortes de biens que les femmes mariées
avoient chez les Romains. Ibid. b. Donation à caufe de noces
que la femme reprenoit fur les biens de fon mari prédécédé.
Les anciens Francs achetoient leurs femmes. Sous les deux
premières races, les maris ne recevoient point de dot de leurs
femmes. Diftinétion fur les biens de la femme, tirée de la loi
fuivant laquelle elle a été mariée. • Les loix 8c coutumes de
chaque pays font différentes fur les droits qu’elles accordent
aux femmes mariées : en quoi elles s’accordent. Des divers
avantages accordés aux- femmes par les loix, pour les faire
fubfifter après lé décès du mari. Comment on ju g e fi lajirefcription
a coui u contre une femme mariée 8c en puiffance
du‘ mari. Ibid. 478. a. Voyeç ci-deffus l’article F emm e ,
( Droit nat. ) .
Femme en puiffance de mari. V I . 478. b.
Femmes publiques, appellées alicaires par les Romains, I.
264. a. 8c ambubaies. 226. b. Voye^ C o u r t isan n e .
Femme reliÜe. VI. 478. b.
Femme remariée. V I . 478. b.
Femme répudiée. V I . 478. b.
Femme féparée. Cinq différentes maniérés félon lefquclles
une femme peut être féparée de fon mari. VI. 478. b.
O O O O 0 0 0 o
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