3 3 ^ 1-*
C L O Q U E , maladie qui attaque les feuilles de pêcher.
X V I I . 763. b.
C L O R R E , ( JurifjK) différentes réglés à obferver par
rapport au droit ou à l’obligation dans lefqucls chacun peut
être de clorre fon héritage. III. 347-
Clone un compte; clone un inventaire ; clorre, en terme
de vannier. III. 347. , . ■ .
C L O S , ( Aericult. ) comment un-propriétaire obtient le
droit M B H H B dans les pays pù Ips-terra U H H |
au parcours, Obfervation fur, cette femtuds. Avantage de
la clôture des prés, & de celle des.champs. Suppl* II. 40®, 4.
Néceflité de celle des b o is , fur-tout pendant 311 ils io n tjeu nes.
Les montagnes que l’on fait pâturer > & où l’onne feme
point, devroient suffi être fermées. D ivers înconvéniens qui
réfultent de ce que les terres font privées de clôture; Ibid.
4 £ los , CàdiciÜe clos. III. 586. b. T eftament clos. X V I . 192. b.
C L O S E T S , (Pêche) efpece de hauts parcs: defeription
de ces rets. Efpece de poiilon qu’on prend dans les dofets»
^ C L O T A IR E I , roi de Soiflons. Suppl. H. 398. b. ^
C l o t a ir e I I , dixième roi de France, (H ijl. de F r.) fils
& fucceffeur de Chilperic. Eyénemens remarquables arrivés
fous ce roi. Suppl. II. 469. a. Tableau de fon régné par
M M « , C1 ,
Clotaire IL Comment ce roi fut reconnu pour fils de
.Chilperic. IX. 69. b. XIII. 579. b.
C lo t a ir e I I I , treizième roi de France, fils oc fuccefleur
de Clovis II. I l remet à Cb ilde r ic .il, fon frere, le feeptre
d’Auftrafie, & fe contente de celui de Neuffiie & de Bourgogne.
Précis de fon régné. Suppl. II. 470. a,
C L O T U R E , ( Jurifp. ) deux fignifications de ce mot dans
les monafteres de filles: l’une a rapport aux voe u x , l’autre eft
pour exprimer les murs, portes 8c grilles, 6*c. qu’il n’eft pas
permis aux religieufes de paffer, & dans 1 intérieur defquels
les étrangers ne peuvent entrer. Excepdons à l’une 8t l’autre
défenfe; Les fupérieurs eedéfiaftiques envifitant les monafteres
examinent fi la clôture y eft bien obfervée. 111. 348.«*
C lôture , ( Agric. ) v o y e z C los.
C L O U , defeription. Les clous en fer fe forgent,les autres
fe fondent. Deux fortes de clous en fer , les ordinaires &
les clous d’épingles. III. 348. b.
Des clous ordinaires, Outils du cioutier,-leur defeription.
Maniéré dont les outils du cloutier font difpofés. III. 548. b-,
Q u el eft le fer dont on fe fert poiïr les dous. Travail
des clous , tant de ceux qu’on appelle d’une feule venue ,
que des clous à patte, à crochet, à crampons, à gond, à tête
de champignon. III. 349. a. Lorfque ies clous font achevés,
Ton a une caiffe nommée Taiforriffoire, où Ton range les
clous : difpofition de cette caiffe : maniéré dont on y range
les clous. Efoeces principales de c lous, & leurs ufages. Ibid. b.
Clou, différentes fortes de clous indiqués à l’article Tête.
X V I . 203. b. Clous de ferruriers. X V II . 817. b. La plus petite
efpece de clou. II. 443. b. Clous à fouliers. 494. b. Voyeç
les planches de cloutier, vo l. III.
Clou, ( Arts méch.) avant d’acheter de groffes parties
de clous, il convient de les effayer : car on en fait de métal
fi caffant, que fur cent clous qu’on emploie, il s’en caffera
peut-être plus d’un quart. Compofition de la matière dont
ils doivent être faits. Précaution à prendre pour que les clous
foient fans fouflure. Suppl. IL 47°- a- Qualité que doivent
avoir ceux de fer. Epreuve qu’on en doit faire avant que
de les acheter. Ibid. b.
Clou, ce que les lapidaires appellent clou dans leur métier.
Sens de ce mot chez les marbriers & fculpteurs, chez
les bas-liffiers. III. 330. a.
Des clous d’épingles. Defeription de l’attelier & des outils
de ce cloutier. III. 53o. a. V o y e z les planches vol. III. C e
qu’on entend par clous d’épingle. Opération de l'ouvrier qui
les fait. Ibid. b. Diverfes acceptions du mot clou. Ibid. 331 .a.
Clo u , ( Hift. anc.) ufage qu’en faifoient les premiers
Romains & les Etruriens pour leurs annales. Clou myftérieux
que le premier magiftrat attachoit le jour des ides de feptem-
bre. III. 331. a. Divers emplois du clou myftérieux dans les
tems de calamités, & pour corriger l’efprit des femmes
Romaines. Premier magiftrat créé pour la fonftion de placer
le clou. Ibid. b.
C lou, (Médec.) maladie de l’oeil. Defeription de cette
maladie. Elle eft incurable. III. 3 51. b.
Clou, différence entre ce que les chirurgiens appellent
c lous, furoncles, antrax & charbon. X V I I . 791 . a. Voyeç
chacun de ces articles.
Clou de rue, (Maréch.) obfervations fur la maniéré de
traiter cette maladie. V . 626.a , b. Suppl. III. 404. b. Cure
du clou de me fimple: celle du clou de rue grave & compliqué.
V. 627. a. Ferrure contre les clous de r u e , & contre
les chicots. V I . 334. b. Clou qui ferre la veine. Suppl. III. 403.17.
CLO\JDf (Saint-)Suppl,iy, 697. b. Galerie çle Saint-Cloud.
V . 320. b.
C O A
C L O U É , ( Blafon) Suppl. II. 471- b. Voye£ vo l. I l de*
planches y Blafon, pl. 5.
C LO V IS le grand, cinquième roi de France, ( Hift. de
France) hiftoire de fon régné. Suppl. II. 471. b: Anecdote
fur ce prince au fujet de l’arme ancienne appellée francifque<.
VII . 284. b. .Vrai nom de ce roi. Suppl. II. 302. ai
C l ô v iS I Ï , douzième roi de F ranc e, fils & fucceffeur de
Dagobert I. Suppl. IL 472. b. Voyeç Sig e b e r t II. Article fui-
ce roi. Suppl. IV . 789. b. Conduite de Pepiii & d’Eg a, fous
fon régné. 284. b.
C l o v i s I I I , feïzieffie roi de France, fils & fucceffeur de
Thierri II. D urée de fon régné. Suppl. II. 472. b.
C lou s de la pajfion, ( Blafon) XII. 153. a.
C lous de vernis , ( Médec. ) maladie connue à la Chine;
Suppl. I. 831. ai
C L O U T IE R , deux fortes ; les cloutiers d’épingles, & les
cloutiers. Obfervations fur la communauté de c eu x -c i, &
fur quelques-uns de leursftatuts. III. 332.a.
C L O U R A , oifëau mal con nu, qui fe trouve à la Chin e,
&c. Comment on l’emploie à la pêche. III. 332. b.
C L Ü N Y , (Hift. e ccléf) fondation de l’abbaye de Cluny.
Perfonnages illuftres qui en font fortis. Elle fut unie fous là
proteftion immédiate dü S. Siégé. Conteftation qui en réfulta:
Cette abbaye ternie en commende par un abbé nommé par
le troi. Ancienneté de cette congrégation. La maifon chef-
d’ordre étoit autrefois d’une ^étendue immenfe. Malheurs
qu’elle a foufferts. III. 332. b.
C l u n y , ( Géogr. Hift. eccléf.) ville du Mâconois. Abbaye
fondée dans ce lieu. Son églife. Papes que cette abbaye a
donnés à Téglife. Suppl. II. 472. b. Evénemens qui îa rendent
remarquable. Nombreux monafteres qui ont été fous fa dépendance.
Ses premiers abbés. Commerce de fa ville. Ibid.
473- a- . . . . . . . H . ■ RRHi Cluny, réunion de plufieurs monafteres fous l’abbé de
C lu n y , au dixième fiecle. X. 639. a. Obfervations fur la
maifon de C lu n y , & fes privilèges. Ibid. b. D e l’ordre de
Cluny. XI. 399. a. Définiteurs élus dans cet ordre. IV . 745. a.
Obfervations fur quelques perfonnes de cette maifon. SuppL
II. 344. 4;
C L U Y D , vallée de. X V I . 823. b.
CL Y S SUS , (. Chymie ) fignxficatioti générale de ce mots
On l’applique plus particuliérement au produit volatil des
détonations du nitre avec différentes fubftances ; ainfi Ton
dit clyffus d’antimoine, de foufre , de tartre , &c: Maniéré
de les préparer. Explication de leur’ nature aux mots Détonation
, Nitre. L e clyffus d’antimoine employé aiitrefoisi
comme médicament, a perdu aujourd’hui fa célébrité. O n
a aufii nomrrté clyffus ; les vapeurs qui fe détachent des
menftrues agiffans avec effervelcence. Abforption de l’air
par Taélion de ces clyffus dans certaines effervefcences.
Pierre végétale , appellée auffi clyffus. D I. 333. a. O n
peut regarder comme un clyffus de cette efpece , le potus
medicatus de Boerhaave. Clyffus fynonyme à quinteffence.
Ibid. b.
Clyffus fimple d’antimoine , & clyffus ccmpofé. V I I .
66. b. Appareil pour attrapper les clyffus de poudre à canon,
d’antimoine , de charbon , &c. Voye% vo l. III. des planch.-
article Chymie, pl. 11 .
CL Y S T E R E , lavement, remede. L e mot lavement mis au
rang des mots déshonnêtes. Remede eft équivoque , mais par-,
là même honnête. Comment les Chinois appellent les lave-
mens. III. 333. b.
Clyflere. Catholicon, pour les clyfteres, II. 778. b. Voyej
L a v em ent .
C M
CMIELNISKI Bogdan , ( Hifl. des-Cofaq.) hefman ou
ch e f des Cofaques. H naquit dans l’obfcurité , ^ 8c^ fon élévation
fut la récompenfe de fes fervices. Principaux traits de
la vie de cet homme célébré , qui fit la guerre à la Polo*
gne fous le régné d’Uladiflas V I I & de Cafimir V , & qui
mit cette république à deux doigts de fa perte. Suppl. II.
473. — 473. a. Débauches 8c excès auxquels il fe livroit
dans les intervalles que lui laiffoient fes expéditions. Ibid. b.
C N
CNEPH , ( Myth. } l’être fuprême dans le lyflêmc des
Egyptiens. Origine des chofes félon ce fyftême. Comment
on reprèfentoit ce dieu. Suppl. II. 475. b.
C N ID E , voyc{ G nide.
C O
C O , particule prépofitive en françois. XII. 101. a.
CO A G T IF . Les loix de Téglife n’ont que force dire-
ftive au lieu que celles de l’état ont force coaétive. IIL
5S4- «•
C O B
Coààif Jurifdifiion coaétive. IX. 74. b. Pouvoir coaélif.
^ C O A D JU T EU R , ( Hiß. eccl. ) l ’adjoint d’Un officier
èccléfiaftique. Ancienneté _ des coadjutoreries. Elles font une
maniéré de défigner le fucceffeur. En quels cas le roi de
France donne un coadjuteur aux prélats. Coadjuteurs élus
.par bulles du pape. III. 334. a. Des coadjuteurs des évêques.
Rang de ceux des archevêques-’fcoadjuteurs donnés aux curés
i?norans. Efpece de coadjuteurs abolie en France. Ouvrages
a confulter. Ibid. b,. •
Coadjuteur. Obfervatipns fur quelques faits rapportés dans
cet article de l’Encyclopédie. Suppl. II. 476. a.
Coadjuteur donné à l’évêque. IV . 144. b.
C O AG IS , voyei Fa c t eu r . V I . 339. b.
C O A G U L A T IO N , ( Phyfiq. & Chymie ) coagulations improprement
dites. Eipeces de coagulations auxquelles cette
dénomination a été confacrée. III'. 334. b. Recherches fur les
caiifes des coagulations, dont l’auteur de cet article a diftingué
trois efpeees. Ibid. 333. a.
Coagulation. Câufe de là coagulation de divers liquides. I.
849. a. 833. b. Les acides coagulent les liqueurs animales. I.
09. a. xoô. a. La chaleur coagule les corps muqueux. III.
266..b. Degré de froid capable de coaguler le fang. V I I . 3 27.
b- Détails fur la coagulation du lait. ÏX. 200. a. Précipite de
Van-Helmont, qui donne lés apparences d’iine coagulation;
X. 4 t a - .* - : , l | . . . • .
C O A G U L E R , cailler. D ifférence entre ces mots. II. 333 .a.
CÖ A G Ü LUM , (Chir.) la partie rouge du fang. Le fang
divifé en deux parties daijs une palette ; favoir , la partie
rouge & la lymphatique. Pourquoi. le coagulum eft d’un
rouge plus v i f à la fu rface , & plus foncé au fond. Gaufes
des coënès qui paroiffent quelquefois fu r ie fapgqu’on a tiré.
L e coagulum lavé dans de T eau tiede, fe fépare eii deux
parties , bc . III. 333 . a.
Coagulum. Suppl. IV . 72 1. a. Çaufes des différentes couleurs
qui fe trouvent quelquefois fur la fuperficie du coagulum. III.
.^92.j> ., . . ,
C O A IT A , ( Quadrup. ) nom que les hàbitans du Brefil
‘donnent à une forte de finge reprefenté vol. IV . des planch.
Hift. nat. pl. 22. Différentes défignations de cet animal. Sa
defeription & fes mcéurs. Suppl. II. 476.’ a. Ses facultés.
Sa nourriture. Qualités de fa chair. Maniéré de le claffer.
Ibid. b. t ,
C O A S E , ( Quadrup. ) nom fous lequèl M. de ,Buffon à
décrit & fait graver un animal envoyé à M. l’abbé A u b r y ,
fous, le nom de pékan , enfant du diable , bu chat fauvage
de Virginie. Ses autres noms. Defeription du coafe dont parle
M. de Buffon , & du quasje de Surinam , gravé par Seba.
Suppl. II. 476. b. O n voit par ces deferiptions que ces animaux
font très-différens, & qu’on ne doit pas les confondre. Ibid.
•477. a. *
C O A T I , ( 'Hift. nat. ) cé nom donné à plufieurs efpeees de
quadrupèdes du Brefil. Defeription du coati-mondi, donnée
par M. Perrault. D eu x .autres animaux apportés au même na-
turalifte , fous le nom de cbati-mondi, mais fort différens du
premier. III. 333. b. Quatrième animal donné à M . Perrault,
fous le nom de coati. Ibid. 3 54. à. .
C O B A L T , cobolt ou kobold, ( Minéral.) caraélere de ce
demi-métal. Raifons de M. Brondt, chymifte fuédois , pour
placer, cette fubftance au rang des demi-métaux. Métaux avec
lefquels il s’u nit, & ceux avec lefquels il ne s’unit point.
Diverfes ëfpéces de mines dont on tire le cobalt. La miné
de cobalt cendrée, la mine dé cobalt fpéculaire ; la mine de
cobalt vitreufe, III. 336. a. la mine de cobalt cryftallifée ,
les fleurs de cobalt , la mine de cobalt terreufe. Diverfes
autres mines où Ton rencontre fréquemment du cobalt. Les
ouvriers ‘des mines d’Allemagne ont fouvent confondu les
mines de cobalt avec celles d’arfenic. Comment on dégage
a’arfeni'c des mines de cobalt. Détails de cette opération.
Maniéré de faire le faffré , finalte ou azur. Ibid. b. L’expor-
tàtion du cobalt crud défendue en Saxe. L ’argent ne fe trouve
qu’accidentellenient dans la mine du cobalt. Maniéré d’éprou-
Vér fi une mine fournira du beau bleu. Diverfes contrées ou
l ’on trouve des mines de cobalt. Danger de leuï exploitation.
Gnome foutérrein auquel les mineurs allemands donnent le
hom de cobalt. Ibid. 3 37. <z.
Cobalt arfenicàl. Suppl. I. 380. a. Comment on peut tirer
du cobalt Tarfeiiiç blanc & jaune. I. 713 . a. Suppl. I. 383. a.
Union & reffemblancè du bifmuth au cobalt. II. 263. a.
Union du régule du cobalt avec le fer. V l . 496. b. R édu&ion
du cobalt. 917. b. Nouvelles expériences fur le cobalt. Réful-
tats de ces expériences. X IV . 490. b.— 491. b. Matière qui fe
tièpofe aii fond des creùfets , où Ton a fait vitrifier le cobalt
avec la fritte de verre. X V . 449- b\ Travail du cobalt, décrit
vol. V I. des planch. artic. Métallurgie, Cobalt.
* CO B E L LA , ( Ophiolog. ) nom que les Hollandais donnent
à uii petit ferpent de l’Amérique. Ses différens noms.
Sa defeription. Obfervation fur la maniéré de la claffer.
Suppl. IL 477. a,
C O C
CO B LEN T Z . Écho remarquable près de fcettC ville. V",
263; b. ,
CO B L IN , ( Ichthy.) poiffon des ifles Moluques. Sa defeription.
Lieux.où on le pêche. Sa daffificatioh; Suppl. II. 477.^.
C O R R A -C A P E L L A , ( Ophiolog. ) ferpent auffi peu connu
qu’il eft fouvent cité dans les dictionnaires. Origine du nom
portugais qui lui eft ici donné. Son caraétere générique-.
Premiere efoece , heretimandel. Lieu où elle fe trouve. Sa
defeription & fes moeurs. Suppl. II. 477. b. 2e e foec e, cabclo.
Defeription & moeurs de cette forte de ferpent. efpece y
diadema. Sa defeription. 4e efpece , confpicillum. Defeription
& moeurs. Ibid. 478. « .3 e efo ec e , cobra de capello. Defeription.
6e efpece , naja. Defeription & moeurs. 7 e efpece.
Defeription 8c moeurs. 8e Defeription 8c moeurs. Ibid. b. 9*
efpèce. Defeription 8c moeurs. Remarques fur ces neu f efpe-,
ces.- Leur claffification. Ibid. 479. a.
C O C A , (Botan.) arbriffeau du P é ro u , dont les fruits
focs fervent de petite monnoie , 8c les feuilles font les délices
des Péruviens. Defeription de c.ette plante 8c de fo n
fruit. Elle n’eft connue par aucune defeription dé botanifte.
C e que les voyageurs ont dit du produit de fon commerce.
III. 337. k
C O C A G N E , ( Botan. ) nom dés pains formés de la guedè
ou v o u e d e , dont on tire la coiffeur bleue appellée paftel.
Pays de cocagne. Suppl. II. 479. a.
CO C G E IEN S , fefrateiirs de Jean C o x , né à Breme en
1603. C e qu’il croyoit de la v enue de l’antechrift 8c de la,
fécondé venue de J. C . ÏII. 3 37. b. -
C O C C H I , ( Antoine ) notice des tablettes de Florence par
ce doéleur. X V . 807. b.
CO C C U LU S , ( Botan. ) efpèce de cocculiis nommé
cit-amerdu. Suppl. II. 444. a , b. .
C O C C U S , voyc{ K ermès d u n o r d .
C O C C Y G IE N , (Ânatom.) mufcle coccygien antérieur j
rnufcle poftérieur. III. 3 38. a.
C O C C Y X . Defeription de cet os: Sa fituation'. Cartilages
qui lient les différentes parties du coccyx, Difpofition d *
co c cyx dans les femmes. Paire de mufcles propres au coccyx«
Obfervation d’un co c cyx long de 13 à 14 pouces. Prétendus
hommes à queues, dont quelques voyageurs ont parlé, III.
358. a. qui ne font que de gros finges nommés cercopithecu
Mauvaife pratique de quelques fages-femmes de pouffer le
co c cyx en arriéré dans l’accouchement. Véritable caufe qui
met ôbftacle au paffkge de l’enfant par l’engagement de la
tête. Maniéré de réduire le co c cyx luxé. M. P etit remarque
que le dérangement du co c cyx n’eft p o in t, à proprement
parler, une luxation. Caüfe de la luxation du co c cyx en-
dedans. Ibid. b.
Coccyx. Fauffes vertebres qui compofent cet os. X V lt,"
17 1. b. C o c cy gien ne , artere. Suppl. III. 483. b.
CO CH E . Coches d’eau , coches de terre. III. 338. b. Premiere
inftitution de ces coches. Infpefteur des coches, fupprini6
par Henri IV . Police de ces voitures; Ibid. 339, a.
COCHE , ( Art méchan.) voyeç. H o ch e ;
C O CH É E S , ( P harm. ) maniéré de préparer lès pilules
cochées majeures de Rhaffs , 8c les pilules cocliées mineures.
Les unes 8c les autres font des hydragogues très-violens. III.
559* a- < • ...................
CO CH EM A R ; (Médec.) efpece d’oppreffion accompagnée
dé frayeur , qu’on éprouve durant le fommeil. Etym;1
du mot. Autres noms donnés à cette maladie. Suppl. II. 479. a.
Ses fymptômes. Ses caufes. Cochemar pléthorique. Comment
on le prévient. Ibid. b. Cochemar ftomachique. Ses caufes
8c foii traitement. Exemples de cochemars caufés par un
hydrocéphale , 8c par une hydropifie de poitrine. Cochemar
vermineux qui attaque les enfans. Ibid. 480. a. Cochemar
tèrtiariaire. Exemple fingulier de cette efpece. L e cochemar
èft ordinaire aux hypocondriaques , 8c aux mélancoliques.
Maniéré de le traiter dans ce cas. Exemples de cochemars
qui ne préfentent pas de trilles fantômes à i’efprit. Prognoftics
for le cochemar. Infpeélion anatomique des perfonnes mortes
de cette maladie. Ibid: b. Avis fur la maniéré de la traiter.
Ibid. 481. a.
CO CH E N E ; (Bo ta n.) ou forbier des ôifeleiirs , forbier
fauvage. Ses différentes défignations. Garaéleres qui le diftin-
guent dii cormier. Lieux où il croît. Ses ufages, Claffification
de ces plantes. Suppl. IL 481. a.
COCHENILLE. Celle qu’on nous apporte d’Amérique;
Coiffeur de celle qui eft la plus recherchée. Il n’eft plus
douteux qü’elle ne foit un infe&e defféché. III. 339. à.
Plantes fhr lefquelles on la recueille. Comment les Indiens
du Mexique fe procurent des récoltes de cochenille. D i-
veries récoltes qii’ori eh fait chaque année. Ibid. b. Pourquoi
& comment les Indiens font périr les cochenilles , dès qu’ils
les ont recueillies: Les différentes façons de les faire mourir
influait fiir leur coiffeur. D eu x fortes de cochenilles ; l’imè
cultivée & l ’autre fauvage. Provinces où Ton en recueille le
plus. Il en entre chaque, année en Europe environ 880009 liyj
III. 36b; a,