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53. a. Combien il importeroit d’abolir efficacement les profits
excefufs de ceux qui manient les finances. IX. 100. b.
Office de financé. XI. 417. b. D e la vénalité des charges
de finance. X V I . 910. b. D és généraux des finances. VII.
556. b. Intendant des finances. VII I. 8 12. a. Receveurs généraux.
ceux qui exerçoient cet emploi parmi les Romains.
XIII. 701 . a. Ceu x qui l’exercent parmi nous. 845. b. burin-
tendans. X V . 690. a. Supplément de finances. 673. £. C e qu’on
entend, en terme de finance, par traité extraordinaire. X V I .
Financ e , caraftere de, ( Imprim. ) ce caraétere eft fait
fur deux corps différens. Details fur ce fujet. V I . 814. b.
Finance. Nouveau caraélere de finance. II. 665.
F IN A N C IE R , ( Politïq.) homme qui manie les deniers
du r o i , qui eft dans les fermes , dans lès affaires de S. M.
Le philofophe peut vo ir dans cet homme la poflibilité d’un
citoyen utile à fa patrie. D ivers afpedts fous lefquels un
financier peut être confidéré. V I. 814. b. Talens & qualités
de l’efprit & d u coe u r , que l’adminiftration du financier exige.
Devoirs des financiers confidérés dans les différentes parties
qu’ils peuvent avoir à remplir. Injufte anathème lancé dans
l’éfprit des loix contre les financiers , confondus indiftinéle-
ment dans les injurieufes dénominations de traitons & de
publicains. Ibid| 815. a. Eftime & reconnoiffance que méritent
la capacité , le défintéreffement , la vertu du financier
vrai citoyen. Si l’on a vu dans cet état des pèrfonnes qui
méritoient qu’on répandît fur elles l’amertume des plus juftes
reproches, n’a-t-on jamais vu en défaut dans le militaire, le
courage ; dans le miniftere , les grandes vues 3 dans la ma-
giftrature, le favoir & l’intégrité i Obfervation de l’un des
éditeurs'fur cette matière. Ibid. b.
Financier, v o y e z Ferme, Fermier, Publicain, Subfide, Traitant.
Obfervarions fur l’article précédent. X V . 577. b. Le
financier c itoyen. VII. 820. a. XIII. 846. a.
FINESSE , ( Gramm. ) elle exprime quelque chofe de délicat
& de fini. V I . 8x3. b. C e mot a du rapport avec finir;
de-lâ viennent les fineffes de l’art. La fineffe fe dit des chofes
déliées & de la légéreté de la main-d’oeuvre. Quand on v eut
par ce mot exprimer un défaut, on ajoute le mot trop. Fineffe
dans le fens figuré. Fineffe dans la conduite. La fineffe n’eft
pas tout-à-fait la fubtUité. Fineffe dans les ouvrages d’efprit.
Répartie très-fine d’un premier préfident à un chancelier.
Différence entre la fineffe dans la converfation & les écrits, &
la délicateffe. Ibid. 816. a.- _
Finesse. ( P kilof. Morale ) Différence entre la fineffe &
la pénétration. Exemples de l’une & de l’autre. V I . 816. a.
La finêffe ne peut fuivre la pénétration : quelquefois a u fli,
elle lui échappe. Un homme profond eft impénétrable à un
homme fin ; mais l’homme profond eft quelquefois furpris
par l’homme fin. La délicateffe eft la fineffe du fentiment qui
ne réfléchit point. Si la délicateffe eft jointe à beaucoup de
fenfibilité , elle reffemble plus à la fagacité qu’à la fineffe. En
quoi ces deux dernieres different l’une de l’autre. Rapports
& différences entre la rule & la fineffe. D e l’aftuce con-
fidérée dans fes rapports avec la fineffe. D e la perfidie.
Ibid. b.a. S
. Fineffe ,adreffe, foupleffe , rufe , artifice.Différences dans la
Lignification de ces mots. I. 146. a. La fineffe voifine de la
duplicitç. 469- b. . .. ..... .
Finesse. ( Belles-leu. ) Différence entre fineffe & délicateffe.
Suppl. II. 690. a. Traits de fineffe épigrammatique. Suppl.
I. 464. b, -■
Finesse (Manege) terme employé dans le même fens
que,celui de fenfibilité : employé encore pour défigner la
légéreté de la taille d’un cheval. Fineffe relativement au cavalier.
VI.: 816, b. ■
FINI. (Gramm.) Significations de ce mot confidéré comme
participe , confidéré comme adjeâif. O n divife les modes des
verbes en mode infinitif & en modes finis. C e qu’on entend
par fens fini.. V I . 817. a.
F in i, finie-: déterminé, borné , limité. Les partifans des
idées innées difent que nous ne connoiffons le fini que par
l’idée innée que nous avons de l’infini. Paffages de quelques-
uns de ces philofophes. Plus on réfléchit fur cette étrange
liypothefe ', plus on la trouve contraire à l’expérience &
aux lumières du bon fens. V I. 817. a. Aufli S. Paul , au lieu
.de nous dire que l’idée innée de l’infini nous fait connoitre
les créatures, nous é lev e au contraire des créatures à l’être
infini. Rom. I.20. C ’eûpar les idées particulières que nous nous
élevons aux idées générales. D e ce principe bien développé,
peut naître un jour une bonne logique. Ibid, b.
Fini. Examen de la définition que Spinofa donne du fini
& de l’infini. X V . 470. b. Si l’univers eft fini ou infini. X V II .
404. b.
Fini. ( Philo f & Géométr. ) Grandeur f in ie , nombre fin i,
progreflion finie. Nous n’avons d’idées djftinéles Qc directes
que des grandeurs finies. La dénomination même d’infini
prouve que l’idée que nous en avons, n’eft point direéte ,
& qu’elle eft purement négative. Réflexions fur le fentiment
F I S
de ces philofophes qui ont prétendu que nous ne concevions
le fini que par l’infini. M. Muffchenbroeck entreprend de p rouv
e r que le fini peut être égal à l'infini; il d evoit dire feulement
qu’un efpace fini en tour fens , peut être égal à un efpace
infini en un fens ; vérité démontrée dans une infinité de cas.
V I . 8 17. b.
F IN IG U ER R A , graveur. V II . 868. a.
F IN IR , ceffer, difeontinuer, ( Sÿnon'.) II. 868.a , b.
F in ir , (Pe in t.) d eu x Lignifications de c e m o t. V I . 818. a.
F i n i r , (Batteur tfor) V I . 818. a.
Finir, en terme d’ouvrier en métaux , en ternie d’éventail«
lifte , d’orfevre en grofferie-. V I . 818. a.
F in ir . ( Orfev. Bijout. ) En quoi confifte un beau finiffage.'
Talens qu’il fuppofe dans l’ouvrier. V I . 8r8. a.
F in ir , ( Planeur ) V I . 818. a.
F IN IS. ( Lang, latin. ) D u genre de ce mot latin. V I I .
59a. b. • ;-W f
FINISSEUR. ( Horlog. ) C e qu’on entend par un mouvement
en blanc. C e qui relie à faire au finiffeur.Talens qu’exige
cette partie de l’exécution des montres & des pendules. V I .
F IN ITEU R , cercle, ( Aftronbm.) Pourquoi l’horizon eft
appellé de ce nom. Cette dénomination ne convient cependant
ni à l’horizon rationnel, ni à l’horizon fenfible. Maniéré
de déterminer le vrai cercle finiteur. V I . 818. b.
F IN L AN D E. ( Géogr. ) Obfèrvations géographiques &
phyfiques fur cette province de Suede. V I. 818. b.
FINOIS. Leur extérieur. V I I I . 346. a. Maffacre fait fous le
régné d’Eric X I , de ceux de ces peuples qui refuferent d’em-
braffer le chriftianifme. Suppl. II. 865. b.
F IONIE , ( Géogr. ) ifle de Danemarck. Suppl. III. 46.'
a.Sa grandeur, fa fertilité & fes produirions. Agrémens de fes
campagnes. Defcription de fes bailliages. Ses ports & principaux
lieux d’abordage. Ibid. b.
FIRMAMENT. (Afironom. ) Afironom. ancienne. Huitième
c ie l: il fignifie quelquefois dans ¥ écriture-région de l’air. Il
paroît que ceux qui ont donné ce nom à la huitième fphere ,
l’ont crue de matière folide. C ’étoit un des axiomes de la phi-
lofophie ancienne,que les d eu x dévoient être folides.Origine'
des d eu x de cryftal. C e qu’on entend aujourd’hui par le firmament.
Apparences qui nous trompent fur la fituation des
étoiles. Caufe de la couleur bleue du firmament. Auteurs à
confulter fur ce fujet. C e que quelques théologiens entendent
parle firmament. V I . 819. a.
Firmament, voye[ C ie l . Pourquoi le firmament paroît bleu.
I. 912. £.11. 281. b. Sens du mot hébreu que les feptante ont
traduit par mp.uua , firmamentum. III. 442. a.
FIRMILIEN. Sa doéirine fur le baptême de hérétiques;
Xin. 839. b.
FISC , tréfor public , ( Synon. ) Différence qu’on établiffoit
à Rome entre l’un & l’autre. Origine du mot fife. Les Romains
ont enfuite confondu ces deux mots , & nous avons
fuivi leur exemple. D u mot fife , on a fait confifquer. Fréquentes
confifcations fous les empereurs. Nous ne v o yon s
heureufement rien de femblable dans les hiftoriens modernes.
C e que dit là-deffus M. de Montefquieu. L e fife des pontifes
s’appelloit area, &c. V I . 819. b.
F is c . ( Hift. anc. ) Avo cais du fife. V I I . 600. b. Tribunal
qui jugeoit des différends au fujet du fife. XIII. 410. fl.
F i s c , ( Jurifpr.) domaine du prince ou d’un feigneur particulier.
Etymologie du mot. D u tems de la république romaine
, il n’y avoit qu’un fife. Changement arrivé à cet
égard fous les empereurs. La confifcation inconnue dans l’âge
d’or de la république.’Premières confifcations faites par Sylla.
Trajan loué par Pline fur fa modération à cet égard. Loi de
l’empereur Conftantin par rapport à ceux qui aevoient au
fife. V I . 819. b. Sur les femmes qui fe remarioient dans l’année
de leur deuil, il ordonna que les chofes dont ille sp r iv o it,
iroient à leurs héritiers naturels & non au fife. Il ne vouloir
pas profiter des chofes naufràgiées. Empereurs qui fe relâchèrent
des droits du fife par rapport aux confifcations. Juftinien
abolit ce droit. Droits & privilèges dont le fife jouiffoit chez
les Romains. Ibid. 820. a. En F rance, il n’y a qu’un fife public,
celui du prince. Les feigneurs féodaux & juniciers ont aufli
droit de fife. L’églife n’a point de fife , elle n e peut employer
les amendes auxquelles elle condamne, qu’à des oeuvres
pieufes. Principes de jurifprndence qu’on fuit en France par.
rapport au fife. Traités à confulter. Ibid. b.
Fife , fuccejjion du , X V . 398. b.
F ife , dans les anciens auteurs, fignifie fouvent f ie f ou béni»,
fice. V I . 820. h.
F ISCA L . (Jurifpr.) Avo cat & procureur fifcal. Terres
fifcales. V I . 821. a. N
Fifcal. Avo cat fifcal. I. 152. a. Juge fifcal. IX. 12. b.
JulHce fifcale. 94. b. P rocureur fifcal. XIII. 419- a- SerffifeaL
X V . 83. b.
FISCALIN . (Jurifpr.) Officiers fifealins. Fiefs fifealins. Les
vaffaux étoient autrefois appellés fifealins. Ouvrages à coh-
fulter, ,YI. 821. a, K
FISCH URfi;
F I S 737
F ISCH U R È , ( Pèche) V o l. VH !, des planches, Pèche, pï. 4.
F ISM E S , (Géogr.) petite v ille de Champagne, remarquable
par deux conciles ; patrie de mademoilélle le Couvreur.
Vers de M . de V oltair e touchant fôn tombeau. V I.821 .fl.
FISSIPEDES , animaux, XIII. 646. a , b.
FISSURE , ( Chirurg.) fraéture longitudinale d’un o s , bu
folution de continuité d ’un os^ feulement fêlé o u fendu.
Q uels font les cas dans lefquels , félon M. Petit > la fiffure
peut avoir lieu pour les os des extrémités. Elle eft très-
difficile à reconnoître. A ccidens qu’elle peut produire. Moyen
qu’on peut mettre en ufage pour prévenir ces accidens bu
les combattre. V I . 821. a. D e l’amputation du membre.
Fiffures du crâne. C e qu’on appelle contre-fiffure ou contrecoup
, voyeç ces mots. Les perfonnes âgées font plus fujet-
tes aux fiffures. Procédé par lequel on s’affure que la fiffure
exifte. Une fiffure du crâne eft plus dangereufe qu’unSfraélu-
re. D e l’opération du trépan pour les fraaures du crâne.Ibid. b.
Fiffures du crâne. IV . 433«. à.
F IS T U L E , ( Chirurg.) origine de ce nom. Il y a desfiftules
fans callofités , & il y en a dont la callofité n ’eft qu’un accident
confécutif. V I . 821. b. Les fiflules attaquent toutes les
parties du corps. Caufes des fiftules. Les lignes de l’écoulement
d’un fluide- à travers les parties dont la continuité
divifée le laiffe échapper , font fenfibles par la feule infpe-
étion. Indication, curative : moyen de la remplir. Fifiule lacry-
male. C aufe de cette maladie. Comment on la p révient, lorf-
qu’il n 'y a encore qu’une fimple dilatation du fac lacrymal
par la rétention dés larmes. L ’obftruélion du conduit nafal
n’eft point la maladie principale, mais feulement l’accident
de l ’ulcération du fac lacrymal. Indication à fuivre ponr
cet état. Comment M. A n e l la rempliffoit. Moyen dont fe
fervoit M. Petit pour déboucher le canal nafal obflrué ou
fermé par des tubercules ca lleu x, ou par des cicatrices. Ibid.
822. a. Pratique des chirurgiens avant'M. Petit. Guérifons
produites par la nature feule dans le cas de carie de l’os
unguis. Inconvéniens auxquels expofoit l’ancienne pratique.
D e quelle maniéré quelques-unS pratiquent encore la perforation.
Opération qu’il faut faire pour déboucher le canal.
Ufage d’une bougie dans le conduit nafal. Ibid. b. Obferva-
tions fur l’ufage de la cannelure d’or que quelques chirurgiens
mettent dans le canal, & fur la précaution de faire
des injeétions pendant l’ufage de la bougie. Appareil de l’opération
de M. Petit. D e la méthode de traiter les maladies
des voies .lacrymales , en fondant le conduit des larmes par
le nez , ‘ & en y plaçant à demeure un fyp h on , par lequel
on fait les injeétions convenables. Mémoire de M. de la
Foreft fur cette méthode. Elle fut déjà connue de M. Bian-
ch i, en Ï716. Cette queftion traitée par M. Morgagni. Obfer-
vations contre l’ufage de la fonde. Ibidi 823. a. En quel cas
cette méthode eft recevable.
Fifiule lacrymale. Elle peut être caufée par l’abcès anchy-
lops. I. 441. a. C e qu’on doit obferver fur la commiffure des
paupières dans l’opération de cette fiftule. III. 7x2. fl.Défenfif
qu’appliquoient les anciens après cette opération. IV . 741 . £.
Des injeétions dans lé cas de cette forte de fiftule. VIII. 730.
b. Bandage pour la fiftule lacrymale. X. 667. a.
De la fifiule falivaire. Exemples de telles fiftules. Ecoulement
de lafa liv e à la fuite des plaies des joues. Comment il
fut guéri par Aquapendente. Obfervation fur la maniéré dont
Munnicks à guéri la fiftule falivaire. Guérifon opérée par M .
Ledran , d’un abcès dans la glande parotide. Ibid. b. Moyen
de guérir l’écoulement de la falive, lorfqu’il vient de la glande
parotide. Moyen d’opérer la guérifon du canal falivaire. M é thode
de M. le R o y . Comment M. Monro , profeffçur de
chirurgie à Edimbourg , guérit un ulcéré de même nature.
Méthode plus fimple , plus douce & plus naturelle , imaginée
par l’auteur. Ses expériences & obfèrvations. Ibid. 824. a.
Pratique obfervée par M. Morand , qui confirme la doéirine
de l’auteur.
Des fiflules urinaires. Leurs caufes. Néceflué de l’extraélion
de la pierre. Des moyens de guérir ces fiftules. Opération
de C a b ro l, chirurgien de Montpellier , par laquelle il guérit
une fille qui rendoit fes urines par l’ombilic ; voye^ à l’article
Boutonnière , la cure d’une fiftule urinaire , commune à
la veflie & à l’urethre. Ibid.-b.
Fiflules-urinaires.- F iftule caufée par la compreffion du col
de la veflie dans certains accoiichemens. VI. 481. a.
\De la fifiule au périnée. Ses caufes. Sa guérifon lorfqu’elle
n’eft entretenue q u ép ar des.chairs calleufes , enfuite des
mauvais panfeinens faits au périnée , après l’opération de la
pierre. Caufe la plus fréquente de ces fiftules. Autres parties
où fe font encore les fiftules urinaires. Point eflentiel pour
leur guérifon, rétablir lé conduit naturel dans fes fonélions,
ou bien faire une incifion au périnée , pour porter une can-
nule dans la veflie. Alors toutes les fiftules qui n’étoient
entretenues que par le paffage de l’urine , fe guériront d’elles-
inêmes. Ibid. 82.5. a. On a même vu le conduit artificiel, s’o blitérer
enfin par l’abfence de la cannule, & les urines reprendre
leur cours naturel.
Tome I.
F I X
T yU ifU f tt 'm K , guérit par M. Périr. II. 38<S. b.
H H D H H yH H B E H f f t « » <to mm caufle» par l ’oii-
verture de la veficule dû fiel adhérente au péritoine. Cure de
ces fiftules.
• Second genre de fiftule : celles qui font formées par la préfence
dun corps étranger. Il n y *a .pas d’autre indication que de.
faire l’extraétion de ce cofps. Moyen de la remplir. Talens
que ces différentes fiftules exigent du chirurgien.
! Troifieme genre de fiftules , celles qui font produites par
des chairs fongueufes , dures & calleufes , que le féjour du
pus a rendu telles , &c. Extirpatioïi des callofités.
De la fiftule à l'anus. Sa caufe eft un abcès dans le tiffu graif-
ieux qui avoifine l’inteftin reélum. Caufes de cet abcès. Ibid. b.
La différence des fiftules à.l’anüs.fe tire de leur ancienneté,
de leur etendue, de leur complication & de leurs iffues.
f iltufês complettes & incortiplettes. Signes diagnoftiques de
celles-ci. D ou fe tire le prognoftic de cette maladie. Traitement
préparatoire qu’exige la cure. Ibid. 826. à. Maniéré de
faire l’opération félon les différens cas. Ibid. b. Partfement dé
la plaie. Moyen d’arrêter l’hémorrhagie , lorfqü’un vaiffeâu a
été ouvert dans l’opération. Levée du premier appareil; fuite
des panfemens. Ibid. 827. a. Réflexions fur le traitement des
abcès confidérables qui fe forment à la marge de l’anus , foit
que la fiftule lès ait produits', ou qu’ils la précèdent. Ibid. b.
Fiftule â l ’anus , caufée par un éclat d’os arrêté dans cetté
partie. VII . 78. b. Ÿoyeç A nus.
Fiftule de la poitrine. XII. 893. à.
Fistule , (Maneg. Marich.) ulcéré profond , dont les
bords font durs & calleux , & dont l’entrée eft étroite ,
tandis que le fond en eft évafé. V I . 827. b. Fiftule fimple ,
compofée , compliquée. Moyens d’en reconnoître la nature:,
• e n ^es Quelles font les parties o ù elles fe mariifefterit
particuliérement. Caraâeres & circonftahces qui les
rendent plus ou moins fiineftes. Objet priricipal qu’on doit
fe propofer dans leur traitement. Q u el eft celui des*fiftules
fimples & recentes. C e qu’on doit faire fi les callofités font
confidérables. Traitement des fiftules compliquées de carie;
Ibid. 828. a. Celui des fiftules compofées , dont la dureté &
les finuofités ne préfentent rien d’extraordinaire. Soins accef-
foires que le maréchal doit prendre durant la maladie de
ranimai. Ibid. b.
Fiftule à la faignée du col. Suppl. III. 4 1 1 . b. Fiftule aux
bourfes. Ibid.
Fiftule à Vanus. Négligence des auteurs à l’égard de cette
maladie qu’ils n’ont point affez cherché à connoître. Caufes de
fulcere fmueux & calleux qui vient à l’anus. V I . 828. b. Fiftule
fimple & incomplette. Fiftule borgne & externe. Fiftule borgne
& interne. Fiftule complette. F iftule compofée. Q uels font
les moyens de s’affurer de ces différences. Q u el eft le cas d’une
fiftule incurable. Comment on prépare l’animal à l’opérationi
Différentes maniérés de procéder, félon la diverfité des-cas.
Ibid. 829. a. Soins qui doivent fuivre l’opération. Ibid. b. Foyer
Suppl. III. 4 1 1 . b. - v
Fiftule lacrymale, ulcéré calleux & finueux , dont le fiegè
eft à l’angle interne de l’oeil. Quelle peut être la caufe du
filence que les>auteurs ont toujours gardé fur cette maladie.
Détails qui montrent la poflibilité de la fiftule-lacrymale dans
1 animal , & qui font voir la marche & les progrès de cettfe
maladie. V I . 830. a. Les fignes de cette fiftiile ne font point
aufli fenfibles dans, le cheval que dans l’homme. Symptômes
auxquels néanmoins on peut la reconnoître. Caufes de cette
maladie. Ibid. b. Moyen de s’affurer de fes différens degrés.
Ibiff. 831 . a. Panferaenr qui doit fuivre l ’opération. Suitè des
foins jufqu’à l’entiere guérifon. Ibid. b. Voyeç Suppl. III. 414. b.
Fistules ou Canaux , (Anatomie des plantes) V I. 831. A
Fistule ou petite flûte. ( Luth. ) Les principaux inftru-
mens à vent des anciensétoient la tibia & la Mule. Defcription
de la fiftule. V I . 831. b.
F ISTULEUX. ( Chirurg. ) Sinus fiftuleitx qu’on doit dilater.
V II . 603. a. D eu x vues générales pour lefquèlles ori
entretient une ouverture dilatée. Ibid. Comment Scultet
guérit les finus fiftuleux. X V . 221. a. Ulcéré fiftuleux; XVII .
371- a-
F IT Z , vieux mot françois , qui fignifie fils. On l’ajoute
ordinairement au nom des fils naturels des rois d’Angleterre.
En Irlande, plufieurs familles portent c e titre devant le nom
de leur famille. Les Mofcovites ont employé de même le m ot
wits, après le nom de leur pere. V I . 531. £.
F IU M , ( Géogr. ) v ille d’Afrique dans la m oyenne Egypte,
Détails fur la province de ce nom. Monumens remarquables
qui fe trouvoient dans f ancienne Abydos, que l’on croit être
la même que Fium. V I. 832. a.
FIUME , (Géogr.) v ille appartenante à la maifon d’Autriche
, dans la' Liburnie , fur un golfe de la mer Adriatique.
Son gouvernement , fa fituation. Defcription de cette ville.
Sa longitude & fa latitude. Suppl. III, 46. b. ,
F IX A T IO N & F ix é . ( Chym.) Quelles font les fubftances
qu’on fixe par compofition. Quelles font celles qui font
fixées par dépouillement ou décompofition. Prétendue fixa-
A A A A a a a a a