3 3 2 C L I 1 L I
bénéfice ; &c. &c. Conditions qui les mettent en poffeffion de
ces bénéfices. Gomment ils les perdent. Privileges accordés
au cle rgé , & qui ne font point reconnus en France. Les
clercs font fujets du roi comme les autres particuliers : con-
féquences qui en rèfultent. Ibid. b.
C L E RM O N T cnÀuvergne. ( Géogr. ) Ses anciens noms.
Evénemens qui la rendent célébré. Évêques de Clermont.
Hommes diftingués dont elle eft la patrie. Etabli(Temens remarquables
dans cette viHe. Fontaine dont les eaux ont la
vertu de pétrifier. SùppL II. 466. a.
■ Clermont en Auvergne. Cour des aides de Clermont. IV . .
o r g. a. Chancelier de l’évêque de Clermont. a i 99. i .
■ Huile minérale qu’on retire près de Clermont. XII. 472. a.
C lermont en Beauyoifls], (Géogr. ) ville fur la Breche.
Comté dont elle eft capitale.. Saint dont le culte y attire un
grand concours de peuple au mois de.'mai. Suppl. II. 466. b.
CLÉRO MAN C I E , efpece de divination : étymologie de
ce mot. O n en t ro t t e ' des traces dans le chapitre premier
du prophète Jonas. III. 530. b. Cléromancie qui étoit pratiquée
dans un temple d’Herciüe à Burâ en Achaïe. Autres
■ oracles conniis fous le nom de forts. Ibid. 531. a.
C L É S ID È S , peintre : anecdote fur un de fes tableaux re-
préfentant la "reine Stntonice. VIII. 75a. a. X II. 258. a.
C L É TH R A . (Bot. ) Caraétere générique de cette plante.
Defcription de la feule efpece connue. Sa culture. Suppl. 11.
-466. b.
C L E V E L AN D , . ( , la duckejfc de) fon commerce avec
.Wycherley. X V . 145. b.
C L IE N T , ( Hiß. anc. ) fervices mutuels que fe rendoient
les patrons 8c les cliens. But de l ’inftitution du droit de patronage.
Comment cette coutume s’étendit. Lazius 8c Budée
rapportent l’origine des fiefs aux patrons 8c cliens de l’ancienne
Rome: ce_ fenriment combattu. III. 531. a.
Client, origine du droit de dientèlle 8c de patronage. IX.
70. b. Patronage clientélaire. X II. 1.86. a. Préfens que les cliens
recevoient de leurs patrons. X V . 481. b. Heure à laquelle
les cliens vifitoient leurs patrons, X V I I . 255. a.
C l ien s , ( Jurifp, ) deux fignifications de ce m o t, Tune
ancienne 8ç l’autre a&uelle. Défenfes faites aux avocats 8c
procureurs par rapport à leurs cliens. III. 531. b.
CL IGN EM EN T , ( Anat. Phyfiol. ) aéfion par laquelle ce
mouvement s’exécute. Raifon des püs qui environnent l’oeil.
Pourquoi l’on cligne les paupières pour regarder un objet
éloigné , au lieu qu’on les dilate pour v o ir un objet de
près. Comment l'on voit la lumière d’une chandelle en
clignant les y eu x ; caufe de cette apparence. III. $31 .b.
Clignement, pourquoi,, lorfqu’on cligne les y eu x en regardant
une chandelle allumée, les rayons parodient alors être
dardés de la partie fupérieure 8c inférieure de la flamme
vers les yeux. X V II . 346. b. Clignotement des paupières.
C L IM A C T É R IQ U E , ( année ) période de la v ie dans laquelle
les aftrologues prétendent qu’il fe fait dans le corps
une altération confidérablë, &c. Perte que fit Evélius dans
fon année climaélérique. Etymologie de ce mot. Quelles font
ces années durant la vie. Inventeur de cette opinion. Fondement
de cette opinion, félon Marfile Ficin. Augufte l ’a-
v o it adoptée. On a prétendu aufli que les années climaété-
riques étoient fatales au corps politique. Raifonnement de
Jean Bodin, pour détacher la v ille de Laon du parti de Henri
III ', fondée fur l’influence climaélérique fur le royaume de
France. III. 33 2. a. Auteurs célébrés qui ont écrit fur l’an-,
née climaélérique. 'Ibid, b;
C L IM A T . ( Géogr. ) L’intervalle du premier climat eft de
8 ° 3 0 ', Sc celui du dernier n’a pas plus de 3 '. Raifon de
cette inégalité. Durée des plus grands 8c des plus petitsjours
dans chaque climat d’heures. 111. 332. b. Climats de mois.
Les anciens n’avoient que fept climats. Pour mieux les dif-
tinguer, ils en faifoient paffer le milieu par les lieux les plus
confidérables du vieux continent. A ces fept climats on en
ajouta depuis deux autres. Paralleles d ^ c lim a t s ou demi-
climats. Les modernes ont mis trente climats dans chaque
hémifphere. Les climats diftingués par Abulfeda, en réels Sc
en apparens. Longueur des jours dans chaque climat de mois.
Cercles qui les diftinguent. Ibid. 333. a. Table des climats
de demi-heure. Table des climats ne demi-mois. I l ne faut
pas croire que la température foit la même dans les pays
fitués fous le même climat, ou fous les climats placés des
deux côtés de l’équateur à diftances égales. Ibid. b. Influence
du climat ihr les moeurs , le caraétere 8c lès loix des peuples
, félon l’auteur de l ’efprit des loix. L e fentiment de cet
auteur défendu contre les reproches que lui ont faits quelques
écrivains. Ibid. 3 34. a.
’ premier géographe qui divifa la terre par climats.
,VU. 609. a. Caufe de la- diverlité de chaleur dans les diffé-
rens climats. III. 27. b. Calcul mathématique de l’effet du
foleil fous d^erens climats, donné par M. Hallei. Ibid. La
chaleur de 1 été , 8c le froid de l’hiver , doivent être plus
tort.» dans le climat oppofé au nôtre , toutes chofes d’ailleurs
égales. 29. 1 . 'Obfervatron fur la chaleur d’été de diffère!»
climats. V I . 601. a. XII. 901. b. Quelle eft la mefure ordinaire
de la chaleur 8c du froid dans les climats tempérés. VII .
326. b. Des faifons félon les différens climats. X IV . 328. b.
8cc. Dérangement dans leur température caufé par les vents.
VII . 316. b. Pourquoi les lieux de la terre où l’on doit ôbfer-
v e r en été les plus longs jou rs, font les plus éloignés de
1 équateur. XI. 908. a. Climats de vingt-quatre heures. XII.
900. b. Qualité des climats des différens pays de la terre.
X V I I . 723. b. - 743. a. L ’intervalle qui fe trouve entre le
plus grand chaud 8c le plus grand froid croît à mefure qu’on
s’éloigne de l’équateur. V . 623. a. Peuples des différens climats
diftingués par leurs ombres. XI. 464. M b. 463. a b l
Peuples qui-habitent fous l’équateur. Nature de ce climat. V*
841. b.Div erfité dans les prçduélions de chaque.climat pour"
la nourriture des animaux qui lui font propres. X I. 264. a.
C l im a t , ( Médec. ) ce mot e ft fynonyme à celui de température,
félon le langage des médecins. III. 334. a. D ifférences
entre les peuples, caufées par le climat. On ne fauroït
contefter 1 influence du climat fur le phyfiqup des pallions 1
des goûts, des moeurs. La partie médicinale des obfervations
de l’auteur de l'Efprit des loix fur les climats, mérite l’éloee'
des médecins. Principales queftions de médecine qui fe prête
™6™ fur cette matière. i° . Q u e l e ft'le tempérament, la
taille, la vigueur, 8c les autres qualités corporelles particulières
à chaque climat ? Obfervatioqs relatives à cette question
fur les habitans des climats chauds , froids 8c tempérés
tant hommes que femmes: fur le caraélere de leur amour!
Exceptions. Pourquoi les filles qui habitent dans Paris font
plutôt formées que celles des provinces méridionales de la
Franc e, ou même celles des campagnes des environs de
Paris. Ibid. b. 20. Q u el eft le régime, la maniéré de v iv re la
plus propre à Chaque climat? D e l’ufage des liqueurs fpiri-
tueufes, aromatiques, a cides, de celui des épiceries , &c. relativement
à la nature du climat. D e s boiffons aqueufes tiedes»
Ibid. 333. a. Régime que doivent.obferver, félon la différence'
des climats, les perfonnes qui ne font pas obligées aux travaux
pénibles. Ufage des boiffons à la gla<?8> dans les climats
chauds. Les excès avec les feinmes très-pernicieux dans les
climats chauds. D e s exercices. D u fommeil. Ibid. b. Régime
par rapport aux pallions ou affeétions de l’ame, félon la nature
du climat. Les obfervarions faites' fur le régime propre aux
climats-, conviennent à -p eu -prè s dans le même fens aux
faifons. 30. Quelles font les maladies particulières aux différens
climats ? 40. Diverfes queftions fur les maladies,&leurs rrai-
temens fclon les climats. D e l’impreffion du climat fur des
hommes qui fe tranfplament. Ibid. 336. a.
Climats , leur influence fur les hommes. Influence des climats
fur la cbnftitution des peuples & fur leur maniéré de panier,
Suppl. III. 233. b. fur les arts qu’ils exercent, 318.b. fur leur
caraétere 8c leurs moeurs. 947. Parallèle des peuples du
nord 8c de ceux du midi. IX. 3 37. b. 338. a. Influences du
climat fur les langues. 243. a. Les habitans des climats chauds
aiment beaucoup plus les alimens de haut goût que ceux des
climats tempérés. VIII. 70. b. Suppl. I. 948. b. L ’homme eft
plus chafte dans les climats froids que dans les méridionaux.’
VHI. 346. a. Les hommes blonds plus communs dans les climats
du nord. /^ .L 'iv ro g n e r ie plus commune dans les pays
froids. IX. 83. b. Climats qui contribuent à l’emboripoint.XI.
300. b. Pourquoi les peuples des pays chauds acquièrent plus
promptement leur grandeur 8c leur force que ceux des pays
froids. XI. 688. b. L a chaleur des climats avance l’âge de
puberté. XIII. 349. b. D e la fenfibiliré par rapport aux climats.
X V . 49. b. Jpfluence du climat fur les loix. V . x. b. note.
Sur la fervitude politique. V . xj. b. note.
Climat. Rapport des excès de chaleur 8c de froid dans les
climats avec la chaleur de l’homme. III. 31. a. Fievre qui
attaque ceux qui voyagent dans les climats chauds. II. 333.
a , b. Régimes convenables félonies différens climats. X IV ;
13. a. L ’ufage du vin 8c des liqueurs fpirimeufes eft beaucoup
plus falutaire dans les climats chauds que dans les p ays
froids. X V I I . 289. a. V I I I . 70. b. Suppl. I. 348. b, Maladie«
dangereufes dans certains climats 8c légères dans d’autres.
X V . 47. b.
C L IM A X , ( Belles-Lettres ) figure de rhétorique. Etymologie
de ce mot. Exemples de cette figure tirés de Cicéron,
IIl.- 33 6. a.
Climax, il eft parlé de cette figure. V I . 770. b.
C l im a x , ( Muflq. ) fignifications de ce m ot employé dans
la mufique. Suppl. II. 466. b.
CL IM EN E , mere d’Homere; fa patrie/ XI. 143. b.
C L IN IQ U E , ( Médecine) médecins 8c médecine cliniques,
Efclaves deftinés chez les Romains à garder les malades. Epi-
gramme de Martial fur un chirurgien qu’il appelle Ùinicus,
Auteur 8c inventeur de la médecine clinique. Succès merveilleux
de la méthode clinique d’Efculape. III. <36' b.
Clinique , auteur de la médecine clinique. VIII. 2 1 1. a.
C l in iq u e s , ( Hifl■ eccl.) ceux qui avoient été baptifés
dans leur Ut. Plufieurs dans les premiers fiedes différoient
leur
C L
lêu f baptême jufqu’à l’aftiele dé la niôrt. Les pérès s’élev è rent
contre cet abus. L e concile de Néocéfaréé cité fur ce
^ C L lN Ô lH Ê , - ( Anat. ) les quatre apdphÿfès de l’Os
fphénoïde. Ètyin. de ce mot. III. 337; a.
r C L IN OM A Q U E j philofôphè dé là féftc Mégariqiie. X .
C l i n q u a n t , comment oli lé mét dans les galons 8c
fubans. Î1L 337- «• ...............
C L IO , ( Myth. ) la première des mufeS. Maniéré dé la
ïeptéfentéh SûppL II. 467. a , b.
C L IQ U E T , ( Horlog. ) ufage dé cetté pièce. V . 623. b.
C L IQ U E T IS , ( Médec. ) efpece dé craquement des os dans
éertaines maladies : fa calife : maladies que le craquement des
os accompagne. Caufe du craquement des doigts lorfqu’on
les tire avec forcé. D e la gué'rifôfl dii cliquetis des os. III.
537. b. Voyc^ Crépitation.
CL ISSA. Erreur dans cet article dé l’Encyclopédie. SupplM.
4 C L IT O M A Q U E , deux hommes dé cô nom, l’un philofo-
phe académicien. X il. 732. a , 8c l’autre athlete. X V I . 240. b.
C L 1T O M N E , fleuve d’Italie, trait d’hiftoire fur cé fleuve.
V I . 874. a. Oracle de Clitomne. X L 338. a. Surnom dè
Jupiter. Suppl. III. 32. b.
C L IT O P H O N , géographe. X IV . 2ij6. a.
C L ITO R IS , (Anat. ) Etymologie du mot. Defcription de
Cette partie. Én quoi peut confifter la eircofleifion dés femmes.
Pourquoi l’on a regardé Certaines femmes comme hermaphrodites.
Cuiffes du clitoris. III. 338. a. Voyez ÉreCteur
du clitoris. _ ^
Clitoris, branches ou cuiffes du clitoris. II. 394. b. Corps
caverneux du clitoris. 787. a. Gland du clitoris. VII. 700. b.
Mufcles éjaculateurs du clitoris. V . 439. b. E reélion du clitoris.
C L O A Q U E , (Hifl. apc. b Archit.) étymologie du mot.
Tarquin l’ancien commença ie premier cette forte d’ouvragé
qui fut porté à fa perfeélion fous les empereurs. Origine de
la-déefle Cloacine. Les Romains mêloient une forte ae fentiment
religieux à leur attachement pour la v ille de Rome.
L ’exemple., l’émulation, l’amour de la patrie, &c. produifi-
fèhfi cés édifices fuperbes qu’on admirera toujours. . . . . .
Defcripribri des cloaques bâtis fous la v ille de Rome. C e qu’en
dit Caffiodore. C e que dit Pline des aqueducs conftruits par
Agrippa. IIÏ. 338. b. Autres ouvrages dont ce favori d’Âu-
gufte décora Rome. A qui appartenoit ie foin & l’infpeftion
des cloaques. Émulation d’Appius & de Flaminius à embellir
Rome , excitée, félon M. dé Voltaire, par le fimple mémoire
d’un citoyen obfcur , communiqué au conful Âppius. Ibid.
,53çS. a.
Cloaques, aqueducs fouterreins de Rome ; leur defcription.
I. 564: b. Différence entre égout & cloaque. V . 431. b.
C L O C H E , étymologie du mot. Antiquité de l’ufage des
cloches. Divers peuples anciens qui en ont connu l’ufage.
Auteurs anciens qui en ont parlé. Ufage auxquels on em-
ployoitTes elochès. III. 339- a. Par qui l’ufage en a été introduit
parmi les Chrétiens. Il fut aboli par lés Turcs à Conf-
tantinople. Comment o n y fuppléa. O n ne fait rien fur l’origine
de la fonderie des grofles cloches. L ’ufage n’en eft pas antérieur
au fixieme ficelé. Bénédiélion des cloches. Baptême
des clbches. Defcription des parties de la cloche ; proportions
qu’elles doiveht avoir pour rendre la cloche fônore. Ibid. b.
Méthode à fuivre pour les trouver. Ibid. 340. a. Nature du
fon d’une cloche. EÎémens fur lefquels on peut le déterminer.
Ibid. b. Les fons de deux cloches de même matière 8c de
figures femblables feront entr’eux réciproquement comme les
racines cubiques de leurs poids. La pratique des fondeurs
démontrée fau t iv e , en ce qu’ils n’obfervent pas dans la
divifion de leur brochette ou rég lé , les rapports harmoniques
connus entre les tons de l’octave. Table à conftruire au
moyen de laquelle on pourroit donner à une cloche tel fon
déterminé. Compas dont les fondeurs fe fervent pour prendre
le diamètre a’une cloche. Ibid. 341. a. Inftruétions lur la
maniéré de former le moule. Ibid. b. Compofition du métal :
fa fonte : maniéré dont il eft conduit dans le moule. Comment
on réglé la quantité de métal qu’on met dans le fourneau.
Ibid. 342. b. Rapport que le .battant doit avoir avec la
cloche. Defcription du battant. Defcription du mouton auquel
on pend la cloche. Maijiere de monter la cloche , 8c de la
fixer dans le mouton. Ibid. 343.a. Enfuire on arme la cloche
de fon" battant. Leviers qu’on adapte au mouton. Beffroi dans
lequel on place les cloenes. Ibid. b.
Cloche. Métal dont on fait les cloches. I. 237. b. Cerveau
d’une cloche. IL 863. a. Modèle en cire que font les fondeurs.
III. 474. b. Compas dont ils fe fervent. 739. a. Pont de la
cloche. XIII. 74. b. - Voyez Fondeur , Fonderie , 8c les
planches q'üi fe rapportent à l’art du fondeur de clochès ,
vol. V . Battant de cloche repréfenté, vol. IX des pl. taillande
rie, p i 8. -
C l o ch e , (Phyfiq.) du fon des'cloches pendant les orages.
Tome I,
C L O 333
X V I . 413. à. Vibrations & ofcillations d’ünë cloche; X V IL
830. a.
Cloche j (Jurifpr.) droits du fottdeür fur les cloches
oui ne font pas payées. III. 543. b. A qui appartient le droit
de faire fonner les cloches dans lès 'cathédrales. L’émôiiimenr
de la fônnerie dans lés paroiffés, appartient de drblt commun
à la fabrique. Ordre de fonner à l’inftant que les bénéficiers
viennent de décéder. Lès riionafteres ne doivent point
avoir de cloche qui empêché d’entendre celle de l’eglifé
principale. A qui appartientl’éntretien des cloches; Ibid. 344. a.
C loche, (Médëc.) ampoulé pleine dé férofité , bct
Comment ces ampoules teftérit'gonflées, fans laiffer échapper
par les trous la férofité. Gomment les cloches fe guériflèntfc
III. 344. a.
Cloché. Comment les cloches reftent gonflées fans laiffeb
la férofité extravafée échapper par les trous, qui doivent
être aggrandis par l’ëxtéfifioft dé l’épiderme foulevée. V»
79Ö. at
C loche, ( Marine) machine dans laquelle un honime eft
enfermé, 8c au moyen de laquelle il peut refter quelque tems
fous l’eau. Dèfcription de çëfte machine. IIÏ. 344. a. Situation
de l’homme dans la cloche. Maniéré dé s’en fervir. Etat où
1 homme fè trouve fous l ’èau. Durée du téms qu’il y peut
demeurer. Signal qu’il donne pour être retiré. Comment il
fe procure un changement de place. Comment on faifit les
fardeaux qui font au fond dé l’èau. Ibid. b. Voyez Plonger,
C loche, (Jardin.) deux fortes de cloches ; leur ufagé,
III. 344. b. Voyez les planches de jardinage , vol. I.
Cloche, en terme d’orfèvrerie. III. 344. b.
Cloche, poids appellé de ce nom. XII. 839. a.
C L O C H E R , (Archit:) Defer iption des clochers. Leurs
différentes formes. Clocher qu’on appelle de fond. DifpOfi-,
tion finguliere du clocher dè JPife. III. 343. a:
Clocher, aiguille de clocher. I. 263. a. Clochers des Per-
fans, appellés alcorans. I. 231. b. Ceu x des Tu rcs appellés
minarets. X. 321. a.
C locher , ( Jurifp. ) Par qui doit être réparé lé clocher
d’une églife paroiffiale. Ghangemens qu’il eft permis dé faire
aux clochers conftruits avec dés fléchés dé pierre , & d’une
trop grande élévation; III. 343. a.
C L O D IA , loi. IX. 636. a. Vo ie clodiennë. X V I I . 420. a.
C L O D IO N ou Clogion , deuxieme roi dé F rance, (Hifl.
de France) fOrnommé le chevelu. Précis de fon régne. Suppl,
II. 467. a. Ses enfans. Ibid. b.
C L O D O M IR I , ( Hifl. de France) roi d’Orléans. Suppl. II,
398. a , b.
C L O F IE , oifeau dont les negres regardent le chant comme
de mauvais augure. III. 343. b.
C LO ISO N , ce qu’on appelle cloifons pleines, cloifons
c reufes , cloifons de menuiferie. Cloifons dé maçonnerie;
Cloifons de charpente, voyez les planches de charpenterie,
vol. II. planch. 3. & 6.
Cloifon , différentes efpeees de cloifons en charpenterie*
XIII. 33. À •
Cloifon, terme de fontainier. III. 343. b.
Cloifons, dans lès écuries. III. 343. b.
Cloifons, qui fervent à féparer les chambres dans les navires.
Explication avec figures. III. 343. b.
Cloifon, en terme dé ferrurier; III. 343. b.
Cloison, (A n a t.) nom de différentes parties qui font
l’office de mur mitoyen entre deux autres. Enumération de
diverfes cloifons anatomiques. HI. 346. a.
Cloison du palais, ( Anat. ) Defcription de cette mein«
brane par M. Littré. III. 346. a. Ses divers ufages. Ibid. b.
CLOISON d’Angers, ou Clouaifon, (Jurifp'. ) III. 346. b.
C L O IT R E , (A r ch it.) defcription du bâtiment. III. 346. b.
D eu x cloîtres remarquables de Chartreux, l’un à Rom e,
l’autre à Paris. III. 347. b.
Cloître, (H ifl. eccl.) fens de ce mot. La plupart des
cloîtres ont été nort-feulement des maifons de piété , mais
auffi des écoles. Privileges accordés à quelques-uns de ces
cloîtres : ils fer voient auffi de prifon,. Voyez Couvent,
MONASTERE, CLAUSTRAL. .
Cloître, ( Comm. ) comptoir que quelques villes d’A lle magne
ont à Berg. Hiftoire de ce bâtiment. Comment les
négocians qui l’occupent ont affeélé la vie de moines. III. 347.*?.
C LO N IS SE , (Conchyl.) efpece de canne ainfi nommée
à Marfeillé. Ses différentes dénominations. Defcription de
fa coquille. Suppl. H. 467. b. Ses variétés. Animal qu’elle renferme.
Ibid. 468. a. Lieux où ce coquillage fe trouve. Sa fi-
tuation dans les fables. Ufage que lés Negres en tirent. Sa
claffification. Ibid, b.
C LO P IN E L , (Jean) fa patrie, ouvrage de cet homme
de lettres. X. 300. b. XI. 888. b. XII. 914. a. I l en eft parlé
fous le nom de Jean de Meun.
C L O P O R T E , (Hifl. nat.) Defcription de ces infeéles.
III. 347. a. Maladies dans lesquelles ils font recommandés.
Avis- de Junckér fur leur ufage. Maniéré d’en ufer 8c de
les préparer. Ibid, b,
P P p p