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fions des pièces de -canon des cinq calibres de 24 , de 16 ,
de i2 , d e8 * de 4 , avec les poids de ces pièces. Table des
dimenfions des moulures d’une piece de canon, exprimées
en parties de £bn calibre divifé en irente-fix parties égales.
Ibid. 608. a. Maniéré de faire les moules de canons , de de
les fondre. Ibid. b. Lorfque la piece f e coule inaffive , le
moule fe forme de la même maniéré que s il devait .avoir
un noyau ; on ne fait que fupprimer ce noyau. Table du
prix des façons des pièces de canon en France, à Paris,
D o u a y , Strasbourg, Lyon, Perpignan. Détail des frais dans
lefquels le roi entre par rapport à la fonderie -des canons.
Lorfque la piece eft finie, on perce la lumière. Détails fur
ce qui concerne cette opération. Ibid. 6x1. a. Maniéré dont
fe fait l’épreuve. Ibid. b. Maniéré dont on connoît la profondeur
de la chambre qui fe trouve dans l ’intérieur de la
piecè. Comment on met des grains auxlumieres des pièces.
Comment on met les pièces, en tronçons pour les refondre.
Comment fe font les lavures .pour recueillir les grains, les
fciures 8c autres pièces de métal qui fe trouvent éparfes dans
les lieux où' l’on fo n d , 8c où l ’on alefe les canons. Ibid.612.
a. Tems o ù commença l’ufage des canons à la guerre. Ibid. b.
Canon J e la nouvelle invention-, ou à l ’efpagnote. L’objet de
cette invendon étoit de chaflër ie boulet dans un canon
plus court 8c plus commode. Comment on s’y prenoit pour
ce la. II. 612. b. L ’expérience a pro uvé la réulîite de ce qu’on
s ’ètoit propofé pour ces fortes de pièces. Inconvéniens qui
en'ont cependant fait abandonner l’ufage. Planches qui font
•connoîrre ce canen & fon affût dans tout le détail de fes
parties. Proportions de la piece de huit livres de balle, &
de fon affût roues 8c avant-train, de la nouvelle invention
du capitaine efpagnol. Ib id .ô i ) . a .Sc 614. a , b.
Canon à la fuédoife-, p iece de quatre livres de balle. Dans
Tépreuve-de deux de ces pièces 011 a aiiement tiré dix coups
par minute, 8c elles ne pefent qu’environ 6oq ou 625 livres.
JI. 615.
Canon., noyau du moule des. canons. XI. 267. a. Infiniment
qui fert à examiner fi les pièces n’ont point de chambres
ou de défauts. III. 23 6. b. Maniéré de forer les canons.
J . 255. a ,b . D u calibre des canons. II. 557. b. 558. a. Chambres
fphériques & cylindriques dans les canons. III. 63. b.
Inconvéniens de ces chambres : moyen d’y remédier. Comment
le fond de l ’ame de toutes les pièces eft arrondi. A vantages
de cet arrondiffement.^ 64. a. Les premiers canons
étoient coniques. Inconvéniens de cette forme. III. 879. a.
Lumière du canon. IX. 724. a. Plates-bandes dans une piece
de canon. XII. 738. a. Parties de la piece appellée renfort.
X IV . 108. b. Tourillons du canon. X V I . 474. a. Son affût. I.
163. b. Affût des nouvelles pièces de .campagne. Suppl. I.
’190. b. 8cc. Canon fur le ventre. X V I I . 30. b. Maniéré d’éprouver
les pièces de canon. V . 839. a. O rdonnance du roi,
.portant règlement pour la fonte 8c l’épreuve des pièces de
canon , v o l. V . des pl. article Fonderie des canons, page 2
& 3. Comment on les charge. III. 200. b. Maniéré de les
pointer. XII. 879. a , b. Traînée par laquelle on leur met le
feu. X V I . 529. b. Tirer un canon. Ibid. 343. b. D u recul des
pièces. XIII. 871. a. Piece qui faigne du nez. X IV . 516. 4.
Portées des canons. XIII. 144. a. Du fervice 8c du feu du
canon. X V II . 778. b. Obfervations fur l’utilité des pièces
d e .24, de 1 6 , de 12 , de 8 & de 4 liv. de balle. Suppl. I.
<512. b. Voycç A rtillerie de campagne. D e la jufteffe de
la direction des pièces : celle des pièces courtes moins fùre
que celle des longues. Suppl. I. 617. a , b.. D u canon tiré à
cartouche. 6x8. b. — 620. b. Service d’une piece du calibre
de douze. 622. a , b. 8cc. Armes des pièces, inftrumens nécef-
faires à leur fervice. I . 690. b. Armer un canon. Suppl. I.
c6x. a. Machine qui fert à tranfporter les pièces de canon.
X V I . 661. a. D u nombre & de la qualité de celles qui doivent
accompagner une armée. 323. a , £. Batteries de canon.
II.148 . b. Prix fixé pour mettre chaque piece en batterie,
8c pour fa fubfiftance chaque jour. X V . 383. b. Enclouer un
canon. V . 624. b. .
Demi-canon d’E fpagne, de France. IV . 811. a. Efpece
de petit canon appellé faucon. V I . 430. b. Piece de canon
autrefois appellée facre. X IV . 476. a. Efpece de canon appellé
barce..Suppl. I. 806. a , b. Quelle eft la plus longue
piece de canon en France. Suppl. IV . 6. b. Canons de bois
bronzé , dont on fait quelquefois parade fur les vaiffeaux
marchands. V I . 433. b. Voye[ les planches de l’art militaire
dans le volume I , & pelles de fonderie dans le cinquième.
Canon de campagne ou de bataille, ( Art milit. ) vo ye z pl.
du Suppl, nouvelle Artillerie, pl. 1. Réflexions contre le nouveau
fyftème de taélique qui a donné lieu à la multiplication
démefurèe des pièces ae canon dans lesarmées. Suppl.
II. 202. a. Avantages des p ièces longues fur les courtes de
même calibre. Ibid. b. Table des dimenfions des pièces de
canon de campagne ou de bataille, anciennes 8c nouvelles,
des calibres de 1 2 , 8 ,& 4 livres de balle.. Ibid. 203. <*.Com-
paraifon du poids des pièces anciennes & des nouvelles, montées
fur leurs affurs complets. — Comparaifon du poids de
la piece à la fuédoife', 8c de la nouvelle piece de quatre,
montées fur leurs affûts complets. — L ’auteur examine ici i° .
quelle influence la longueur de fame d’une piece de.canon
peut avoir fur fa portée, ou l’amplitude de là courbe décrite
par le b ou le t; 8c il prouve que la piece courte a le défa-
vantage de porter moins lo in , qu’une piece plus longue de
même calibre. Ibid. 204. a. La théorie fe trouve ici parfaitement
confirmée par l’expérience. Ibid. 203. b. Cependant il
eft un terme à cette longueur , au-delà duquel elle devien-
droit défavantageufe, foit par les frottemens qui feroient
perdre au boulet une'partie de fa v îte ffe , foit parce que
des pieces d’une maffe énorme, ne pourroient être ni tranf-
portées ,n i manoeiivrées.' Jéûf 206. a. 20. L’auteur prouve
qu’une piece coxirte né peut être dirigée avec autant de jufteffe
, qu’une piece longue. — - Et quand les expériences
faites à 'ce fujet auroiënt été encore moins défavorables aux
novateurs, il eft fx difficile d’en faire de décifives, d itM .d e
Valliere , qu’elles feroient généralement des moyens peu surs
pour conftater la bonté de leur fyftême.' Ibid. b ._ C e n’eft
donc qu’aux expériences de guerre à décider du mérite des
nouvelles pieces. — Obfervations fur les difficultés d’atteindre,
un objet qui fe trouveroit hors du but-én-blanc de ces pieces,
Ibid. 207. a. & fur l’ufage dé la hauffe. — « Autres obfervations
fur la vis de pointage qu’on a fubfiitüée aux coins de
mire. — Réflexions fur les expériences faites en 1764 à Strasbourg,
fur les coups tirés à Cartouche ou à mitraille. Ibid. b.
Obfervations contre l’ufage des nouvelles cartouches. Ibid.
'208. a , b. Circonfpeflion dont on doit ufer dans les change-
mens qui concernent l’artillerie. — Remarques fur la célérité
de l’exécution, que les novateurs faifoient valoir en faveur
du fyftême propofé en 1736. — C e fyftême entièrement
décrédité fôus le maréchal de Saxe. Ibid. 209. à.
Canon de fufil. L ’exécution d’un ' bon canon demande
des précautions & de l’expérience. Divers défauts auxquels
ces canons font fujets. Inftruélion fur la fabrication des
canons de fufil dans tous fes détails. Sur le choix de la matière.
I I.6 13 . b. Sur la manière de fôüder, de forger & de
forer le canon , Ibid. 616. a. 8e de le dreffer pour le rendre
jufte.. Canon du fufil de grenadier ou de foldat. Ibid. b.
Canon demi-citadelle ou de rempart. Epreuve des canons
tant de rempart que de foldat. Comment le canon tient
au bois. Voye^ aux articles Fufil , Platine , ce qui concerne
le relie de cette arme. Defcription de la fabrique de
S. Etienne en Forés. Autre fabrique à S. Paul en Cornillon.
Fufils à deux coups, & à trois coups. Diverfité dans les
canons par rapport à la forme extérieure. Ibid. 6 17. a.
Canons de ckajj'e. Comment où les forge. Explication de
la manière de fabriquer ceux qu’on appelle canons à ruban,
II. 206. b. 8c canons tordus à l’étoc. Ibid. 210. b. Obfervations
qui font préfumer que les premiers ne font pas meilleurs
que ceux qu’on fabrique à l’ordinaire. Ibid. 211. a. Les
canons tordus à l’étoc doivent avoir lapréférence, lorfqu’ils font
tordus d’un bout à l’autre.— Inconvénient auquel on eft expofé»
lorfqu’on n’en apasfuivi attentivement la fabrication. Ibid. b. ~
Canon de fufil. O ù fe font les meilleurs canons des
petites armes à feu. I. 704. D e la méthode de former dès
maquettes pour fabriquer les canons de fufil. Suppl. III. 12.
à , b , &C. Lame à canon, manière de la travailler pour le
fufil de munition. 701. a. Forage des canons de fufil de munition.
84. a , b. Lorfque le canon a été foré , dreffé &
poli en dedans, qu’il a été mis à fon calibre , blanchi &
dreffé en dehors, il eft queftion de le tarauder , pour y
adapter une culaffe , de le garnir de fes tenons , 8c de percer
fa lumière. Ces opérations font décrites. Suppl. III. 187.
a , b. Chambres dans un canon de fufil. Suppl. II. 314. b.
831. b. Épreuves des canons de fufil. 831. a. Lieu des manu-,
faéhires royales où l’on examine les canons des armes des
troupes. Opérations qui fuivent cet examen. Suppl. IV . 640.
a. La machine à forer les canons eft représentée 3 planches
de Varquebufier, v.ol. I. Machine pour les canneler. Ibid. Alidade
pour cette machine. I. 264. a. D e l’art de bronzer ces
canons. II. 443. a-
Canon à la chaumette. Canon à dé. Canons de Vincennes.
II. 21 x. b..
Canon à là chaùmétte. Suppl. III. 161. b. 162. a.
Canon brifé, canon carabiné. H. 617. b.
Canon rayé, carabiné, ou cannelé. Obfervations fur fa fabrication.
Manière de le charger lorfqu’il eft brifé, Suppl. II. 211 .b. ,
8c lorfqu’il ne l’eft pas. L’ufage de cette forte d’armé extrêmement
eftimé. Théorie du mouvement des balles tirées
avec des canons rayés. Ibid. 212. a. Exactitude à laquelle peuvent
parvenir ceux qui favent manier ces pieces. Ibid. b.
Canon , ( Fondeur de caraEleres) petit, gros, double, triple
canon. Voycç Caractères.
C anon , ( Chauderonnier) explication de la chofe par figures.
II. 617. b: ■
Canon , ( Emailleur) il eft défendu de mêler aucune forte
d’émail, 8c retenir canon pour vendre, fi ce n’eft aux mal-. '
très du métier, II. 617. b.
C A N
Canon, {Horlog.) cylindre creux percé de part en part.
Ufaee de. ces canons. IL 617. b. I W M ■ I ,
Canon, {Màneg. ) il fignific, ou la partie qui eft depuis
le genou!j 8c le jarret, jufqu’au boulet. Maladies qui arrivent
au canon des chevaux,: ou une partie du mors du cheval.
Plufieurs fortes de canons. IL. 618. a.
• Canon, partie dit cheval. Suppl. III. 382. a. 383. a. 383. a.
H I • Canon, terme de plombier , de jaugeur, de potier de
faïance, de rubannier : canon à devider. IL 618. a.
CANON, ( Serrurerie ) p iece de la ferrure qui reçoit la tige
de la clé. Canons 4 patte 8c à tournans. IL 618, 4.
Canons pour la trame, 8c pour l’organfin, chez lés ouvriers
en foie. IL 618. b.
Canon, terme de tourneur.
' C A N O N IC A T , différence entre Canonicat 8c prébende.
Canonicat fans prébende. IL 618. b.
' Canonicat. Différence entre prébende 8c canonicat. XIII.
267. a. Vicaires qui deffervent les canonicats que certaines
églifes poffedénî dans une cathédrale. X V I I . 234.a. Voye%
Chanoinie.
C A N O N 1ER. Il n’y a perfonne en France qui ait le fim-
ple titre de canonier dans l’artillerie, quoiquil y en ait eu
autrefois. En quoi confifte l’art du canonier, 8c les inftrumens
dont il fe fert. IL 618. b. La ligne que décrit le boulet
éft une parabole. Les loix particulières qu’on obferve dans
la volée du boule t, 8c les réglés pour atteindre au b u t, fe
trouvent fous l’article Projetlile. Maltus, ingénieur Ang lois,
enfeigna le premier ces réglés en 1634. Avant M. Blon del,
les canoniers ne fe condùifoient par aucune réglé. Galilée
inventéur de ces régies. Ibid,'619. 4.
Canonier. Fondions des canoniers fervant une piece de
24. III. 201. a , b. Pofitions 8c manoeuvres des canoniers
dans le fervice d’une p iece de bataillé , du calibre de'douze.
Suppl. I. 62a. a , b , 8cc. Aiguillette dont ils Te fervent,' 232.
b. Compagnies de canoniers, 60 3 . b. Maître canonier en A n gleterre.
IX. 903.a. Maître canonier dans un vaiffeau. Ibid,
b. Canoniers Turcs. X V I . 417. 3 .. :•
CANONÏERS ou forgeurs de canons {Fabrique des armes)
defcription de leur travail. Charbon dont ils fe fervent. Suppl.
IL 212. 'b.
C A N O N IQ U E , {droit) en quoi confifte ce corps de droit.
L e droit canonique a été fort abrégé par les proteftans. IL
619 -d.
Canonique. Corps de droit canohique.III. 3 7 x. a, b. IV . 266. b.
V . 123. æ. Origine du droit canonique. VII I. 521. a. Purgation
Canonique. V . 837. a. Lettres canoniques. IX. 417. b.
Canonique quarte. XIII. 673. a-
C anoniques, {Livres) ceux du nouveau T eftament qu’on
a conftamment reconnus. Ceux dont on à douté, mais qui
n’ont pas tardé d’être reconnus. Comment le canon des livres
du nouveau Teftament s’eft formé. IL 619. a. Eufebe difiin-
gue trois fortes de livres du nouveau Teftament. Ibid. b.
Canoniques , livres. En quoi l’on faifoit anciennement
confifter la différence entre ces livres 8c lès'apocryphes. I.
529. a. Livres deutéro-canoniques. IV . 923. a ,b . Preuves de
la canonieité des quatre évangiles. V I . 114. b.
CAN O N ISÂ T IO N /C e mot femble être d’une origine moins
ancienne que la chofe même. C e qu’étoit ' la canonifation
dans les commencemens, 8c comment on y attacha fuccefll-
vement de nouveaux honneurs. Difcipline de la primitive
églife, pour recueillir a vec foin les aêles des martyrs. IL 619. b.
auxquels elle accordôit quand elle le jugeoit à propos, un
culte public. Ibid. 620. a. Chaque évêque avoit le droit d’en
rifer de même dans fon diôcèfe......Et quand l’églife de Rome
approuvoit ce cu lte , il devenoit commun à toutes les églifes
particulières. Le droit de canonifation commun aux é vê ques
fut réfervé enfuite. au pape feul. Incertitude fur le
tems où ce changement arriva. Ouvrages de Benoît X IV qui
prouvent qu’il ne peut rien s’introduire de faux dans les procès
verbaux, pour là Canonifation des faints. Le P. Mabillon
diftingue deux efpeces de canonifation, l’une générale, l’autre
particulière. Ibid. b.
. Canonifation, en quoi elle différé de la béatification. IL
169. 4. Affemblées dans lefquelles on traite de la canonifation
des faints. Suppl. IV . 631. b. Statut par lequel l’ordre de Ci-
teaux réfoluc de ne plus faire canonifer de fes religieux. Suppl.
IL 443. b. . '
C A N O P E , dieu des Egypti ens. Comment i l obtint la
prééminence fur les dieux des Chaldéens. IL 620.. a.
Canope, ‘ {Myth.) amiral dé la flotté d’Ofiris'j 8c qui
accompagna ce prince dans la conquête des Indes,-,-f- Son
apothéofe. — Quelques-uns prétendent que les Egyptiens,
l.’adoroient comme le dieu dés eaux. Comment il eu repré-
fenté dans les anciens monuniens., IL 213. "b.
. Canope. .Yoyca! fur ce dieu. X V . 73.$' a.. Ornement dë
tête qu’où lui donne. XVI. 202. a.
Canope, {Géogr.) v ille de la baffe Egypte. Origine dé
fon nom. Les anciens s’accorderif à' nous peindre cefte*villé
C A N *2.7
comme un féjour très-dangereux pour les bonnes moeurs, 8c
ou la diffolution étoit portée au dernier excès. Vénération
qu’on avoit pour fon temple de.Serapis. Fêtes qu’on y célé-
broit en l’honneur de ce dieu. Canope a ’ été le fiege d’un
évêque. Suppl. IL 213. b. Elle fut la patrie de Claudius.
Obfervation fur la maifon de campagne d’Adrien , où cet
empereur avoit fait repréfenter Canope. Ibid. 214. a.
Canope, v ille d’Egypte. Oracle de Sérapis qu’on y con-
fultoit. XI. 339 . b .
C A N O T de fauvages. Petits bateaux faits d’écorce d’arbre
: ils les nomment pirogues. Les françois du Canada qu’on
appelle coureurs de bois 8c traiteurs , s’en fervent auffi.
Comment fe font ces navigations en canots. Defcription de
ceux des Indiens (8c des Caraïbes. IL 620. b. Canots qu’on
vo it ènMofcovie fur le lac de W olda. Ceu x dont fe fe rv e n t ,
lés Nègres de Guinée., Comment ils les creufent 8c les con-
ftruifent. Canots des fauvages de la terre de fe u , 3c des environs
de Magellan. Ceux des fauvages du détroit de Davis.
Ibid. 621. a. ;
' Canot, voyei Pirogue 8c B ARQUE.’Arbres dont les fau- '
vages d’Amérique font leurs canots. IL 89. b. XVII . 670. b.
Nècèflité où ils font quelquefois de fe charger de leurs canots.
IX. 699. b. Affemblage de deux ou trois canots dont fe fervent
les Nègres de la côte dë Coromandel. IL 623.1*. Canots du
Malabar. Suppl. J. 77p. b. -
C A N S C H Y , {Botan.) arbre du Japon , dont les habitans
fe fervent pour faire le papier. Manière dont ils s’y prén- '
nent. IL 621. b.
Can schy, {Botan.) arbre du Malabar. Ses différentes
désignations. Sa defcription. Sa culture. Suppl. IL 214. a. Ses
qualités 8c ufages. Maniéré de le claffer. Ibid. b.
C A N S T A D T , v ille d’Allemagne : oflëmens fofliles qu’on
y a trouvés. XI. 686. b.
C A N T A B ÏL E , ( Mufiq. ) Quels font les chants auxquels
on donne cette épithete. IL 214. b.
CANTABRES,anc iens peuples d’Efpagne. Ils étoient très-
belliqueux, 8c une liberté durable fut le prix de leur courage.
IL 62’ï . b.
Cantabres. D e la langue de ces peuples. IX. 267. b. 268. a.
C A N T A C U Z E N E , Jean, ( Hifi. du bas emp.) Hiftoire d e ,
la v ie de cet homme, q u i, ayant été choifi par Andronic
le jêune pour être le tuteur,de fon fils, Jean Paléologue,
en d evint l’oppreffeur, 8c lui ènleva l’empire. Suppl. II- 2x4. b.
C A N T A R A , ( Géogr. ) rivière de Sicile. Soii ancien nom.
Suppl. I. 142. b.
C A N T A R O , poids dont on fe fert en Italie 8c ailleurs.,
Plufieurs fortes de cantaros, évalués poids de Paris, d’Am-
fterdam, de Strasbourg, 8c de Befançon. IL 621. b.
Cantaro, poids de Tille de Chypre. IL 621. b.
Cantaro, mefure de continence dont on fe fert à Cochin.
IL 621. b.
C A N T A T E , petit poëme fait pour être mis en mufique.
Nature de ce.poëme. IL 621. b.
Cantates de Rouffeau. Suppl. III. 826. b.
C A N T H A R A , ( Hifi. des Juifs) grand-prêtre des Juifs. II.
C a n t h a r i d e , ( InfeÜol. ) genre d’infeéte dont • on
diftingue plufieurs efpeces. Dans quelle claffe Linnæus le
met. Defcription qu’il en donne. Cantharides grandes 8c
petites. Celles qu’on èftime comme remedes.il y en a beaucoup
dans les pays chauds. IL 622. a. Effains de cantharides
volantes. Vermifleau dont elles naiffent. Danger de l’ufage
des cantharides en poudre, foit appliquées extérieurement,
foit pfifes intérieurement, foit pour en avoir feulement
manié de feches. Ordonnance de Boerhaave contre ce poi-
fon. Leur ufage dans les véficatoires , contre ' le rachitis,
8c lorfqu’il s’agit de réfoudre des concrétions muqueufes.
Ibid. b.
Cantharides , repréfentées vol. V I dès plànch. Régné animal
, pl. 77. Préparation des mouches cantharides propre à
exciter l’appétit vénérien. VIII. 3^9. a. D e leur ufage. Suppl.
I. 483. é. D es véficatoires avec cantharides. X V II . 2P.Ô. £. 20.2.
b. Signes de l’empoifonnementcaùfé par les cantharides. Suppl.
IV . 464.«.
C A N T IJA R U S , fculpteur ancien. X IV . 818. b. C ’eft aüfîi
le nom qu’on donnoit à la coupe dont Bacchus fe fervoit
pour boire. XVII . 760. b.
C A N TH E N O , ( Ichthy. ) poiffon de mer. En quoi il d iffère
du fargo 8c du fparaillon. Defcription de ç è ' poiffon.
Pourquoi il eft appellé canthàrus. Où il fe trouve; IL 622. b.
Qualité de fa chair. Ibid. 623. à.
C A N TH U S , ).Aryitom. ) Angle de l’oeil. Grand '8c petit
càntlius. IL '623. à.
C A .N T I , ( Botan.) nom brame d’un arbriffeau du Malabar.
Ses différentes dénominations. Defcription. Suppl. IL 213. a.-
•Culture, qualités 8c ufagës. Manière de le claffér. Ibid. b.
C A N T jA N G , {Injedol.) efpece de crabe dés Moluques.'
Sa defcription. Suppl. IL 213. b. 8c fes moeurs. Ibid. 2x6. a.
' ' C A N T IM A R O N S j deux ou trois canots joints ènfemblc