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avoit dans fa maifon. Balinea, bains, publics. Pourquoi les
bains étoient plus néceffaires anciennement qu’au j ou rd’hui.
Dans la plus haute antiquité, on fe baignoit tout Amplement
dans les rivières. 11 eü probable que les Grecs furent les
premiers qui s’aviferent d’avoir des bains particuliers ; &
les Romains.ne manquèrent pas de les copier en ce p oint,
6c de les furpafler en magnificence. D u prix auquel on étoit
reçu dans les bains. D e l’heure à laquelle les Romains en
faifoient ufage. Suppl. I. 75 1 . b. Détails fur le méchanifme
de ces bains. Explication d’une peinture antique, représentant
quatre chambres de bains, dont on trouve le deflin dans
l ’antiquité expliquée du P. Montfaucon. Bains de fumigation
en ufage autrefois chez les Romains, 8c aujourd’hui chez
lps. Ruflès. Maniéré dont les fauvages du Canada pratiquent
les bains chauds. Les bains communs autrefois dans les villes
6c les châteaux. Leur ufage confeillé par Galien aux gens de
lettres. Ibid. 752. a. Anciennes proceflions du clergé allant au
bain. Autres particularités hiftoriques fur les bains. Ibid. b.
Bains , defeription des bains des Romains : diverfes obfervations
fur ces lieux. X V I . 268. a , b. 269. a , b. Appartemens
appelles {eta dans les bains. X VII . 708. a. Les bains des femme
s , pavés d’argent pur du teins de Séneque. VII I. 659. a.
Repoloirs dans les bains des Romains. X IV . 141. a. Leurs
baignoires. IL 15. b. Ufage du ftrigile dans les bains. X V .
5 4 0 .4 , b. Vafe avec lequel les efclaves jettoient de l’eau
fur ceux qui étoient dans le bain. Suppl. I. 742. a. Diverfes
perfonnes qui y étoient employées. V IL 1018. a , b. VIII.
468. b. 469. a. XXII. 380. b. R obe que prenoient les Romains
au fortir du bain. X V . 764. b. Amufement des bains auxquels
ils fe rendoient vers les trois heures de l’après-midi. X VII .
255. b. 256. a. Chaulons dans les bains. II. 15. b. Bains des
dames romaines avant que d’aller à leur toilette. X V I . 382.
a. Bains fameux près d’H y mere. V II I. 209. a.— Voyeç T hermes.
Appartement de bains modernes. Vol. VIII. des pl. Perruquier,
pl. 9. Bains de Poitevin fur la Seine. Ibid. pl. 10, 1 1 , 12.
Bain de fa/ué ou de propreté, ( Médecine') ce qu’on appelle
bains généraux, 8c bains particuliers 6c pèdiluves. II. 20. a.
Effet des bains chauds d’eau douce, 8c de ceux d’eau froide.
Bains domeftiques que l’on compofe de pluficurs façons,
bains d'eaux minérales, d’eau de riviere , de fleuve ou de
mer ; bains fecs. Explication de l’aélion des bains. Ibid. b.
Plirénétiques guéris par des bains d’eau froide. Ceux de riviere
en été préfervent des maladies de cette faifon. Explication
des effets du bain de me r; des bains de vapeurs.Précautions
à prendre pour tirer quelque fruit de l’ufage du
bain. Ibid. 20. a.
Bain , (Médec.) différentes fortes de bains, diftingués par
la nature du fluide employé, par fes différens degrés de chaleur
, par les parties du corps humain auxquelles ce fluide
cft appliqué, oc par la maniéré dont fe fait cette application.
Suppl. I .7 5 2 . b.
Théorie fur les propriétés & les ufages du bain.
Recherches relatives à cet objet, fur la nature & les facultés
du corps humain. <
i° . Des fibres. 20. Des caufes qui peuvent agir fur leur
propriété réfiflante 8c leurs facultés aélives. Suppl.l. 752. b.
30. Toutes les fondions animales 8c vitales font le produit
du jeu de fibres, 8c elles s’exécutent avec une liberté proportionnée
à leur ton. 40. Organes 8c fondions animales qu’il
faut principalement confidérer, pour apprécier la maniéré
d’agir des bains. 50. D ’où dépend l’aétion plus ou moins forte
des vaifleaux fur la mafle des humeurs, 6°. 8c le plus ou
le moins de fenflbilité des nerfs. 7 0. Structure 8c ufages de
la peau ,lbid. 753. 4.8°. 8c du tiffu cellulaire. 90. Correfjjon-
dance des parties du corps humain. xo°. Caules du plus ou
moins de fluidité 8c d’âcreté des humeurs. D e la proportion
qui doit être entre la mafle humorale 8c les vaifleaux. Maladies
qui réfultent de cette proportion détruite. 1 1°. Effets
de la circulation des humeurs fur leurs qualités propres. 12°.
Organes où s’opère le plus fenfiblement l’élaboration de la
mafle humorale. 130. D e la chaleur animale. Sa calife. Ses
différens degrés. Ses effets. Ibid. b. 140. Caufes des différens
degrés de perfeéiion de l’hématofe, des fecrétions 8c des
excrétions. 1 50. Principe d’adion dans l’être fpirituel uni au
corps humain. 16°. D e la fanté du corps , 8c des caufes qui
peuvent y contribuer. 170. Des effets du feu fur nos organes.
Le s molécules igné e s , en vertu de la loi de -f.éqmltbfe'V
paffent d’un corps qui en contient beaucoup, dans celui où
elles étoient réunies en moindre quantité. Ibid. 754. a. 180.
Leur adion fur la mafle humorale, 190. fur les folides ,
20°. fur les nerfs, 2 10. 8c fur tout le fyftême nerveux. 220.
Paflage des molécules ignées du corps humain dans les corps
ambians. 230. Effets de cette diminution de chaleur animale,
fur les humeurs , Ibid. b. 240. fur les folides , 259. fur les
nerfs , 26°. 8c fur tout le fyftême nerveux. 27°. Réfultat des
obfervations précédentes. 28°. De l ’air 6* de fes propriétés relativement
au corps humain. 290. Sa pefanteur diminuée en rai-
. fon inverfe de fa raréfadion. 30 . Caufes de fon plus ou
moins d’élafticité. Ibid. 755; q. 31°. Effets de l’élafticité de
B A I
l ’air contenu dans les humeurs. 32°. Sa fluidité augmentée
en proportion de fa raréfadion. 330. Comment l’air atmo-
fphérique agit fur- nos corps , 34°. 8c l’air intérieur fur nos
humeurs. 350. Comment il cimente les parties conftituantes
de nos folides, 8c pour régénérer celles que la putridité avoit
altérées. 36°. Des propriétés de l ’eau. D e fa pefanteur, fluidité
, inftpiditê. 37°. D ’où dépend fa faculté de s’unir aux
mucilagineux 8c aux huileux. Ibid. b. 38°. Propriétés qiùelle
acquiert par fon union avec différentes fubftances. 30°: Sa
température proportionnée à la quantité de molécules Ignées
qui lo n t pénétrée. 40°. Propriétés que lui donnent fa pefanteur
8c fa fluidité. 4 10. Effets de la compreflion qu’elle exerce
fu r ie corps humain auquel elle eft appliquée: 420. Ses effets
fu r ie s fibres, le tiffu cellulaire 8c la mafle humorale. 430.
Les mêmes effets augmentés oh diminués par fa température.
44°. Effet de fon union au principe aérien, 450. 8c
aux mucilagineux. Ibid. 756. a. 46°. A d io n de l’eau fur le
corps , - lorsqu'elle fert de véhicule à des huiles éthérées :
470. lorfqu’elle eft mêlée avec des fels. 48°. Efficacité des eaux
minérales, félon la nature particulière des minéraux. 490. To us
ces effets augmentés ou diminués par la température de ces eaux.
Ibid. b. ,50°. Comment on peutfe rendre raifon d elà maniéré
d’agir des différentes efpeces debains, 8c de leur efficacité. 5 1°.
Comment l ’air peut devenir la matière d’un bain médicinal. 5 20.
Effets d’un bain d’air froid. 53". Ceux d’un air dont la chaleur
eft augmentée. 54°. A ir chargé de liqueurs fpiritueufes, d’acides,
de vapeurs aqueufes, ou qui fe trouve dans l’état de fixité.
5 50. Le bain aqueux Ample agira comme le bain d’air , non-
feulement par les qualités propres de l’e a u , mais encore
par fes qualités accidentelles. Ibid. 757. 4. 56°. Effets des
bains partiels d’eau pure , foit t ied e , foit chaude, foit fraîche
, foit froide. 57°. D es douches 8c Amples afperAons d’eau
pure. 5 8°. Des bains entiers 8c partiels, faits avec une eau
chargée du principe aérien. 59°. Des bains mucilagineux,
Ibid. b. 6o°. Effets des bains d’eaux minérales. 61 °. D e s propriétés
des bains de mer. 62°. Réflexions fur l ’ufage des bains
en g énéral, Ibid. 758. a. 8c fur leur utilité. D e celle des
bains froids en particulier. D e l’établiffement de bains publics.
Ibid. b.
Bain de fanté. Sentiment de Locke fur l’ufage journalier des
bains à l’eau froide. V . 195.4. Danger des bains froids quand
on eft échauffé. VII. 328. b. Des bains d’eaux thermales. X.
537. o jp . Lieux appellés therma-mr les anciens, où il y avoit
des bains d’eaux thermales. X V I . 267. a. Bains de Thermie.
270.4. Terme où la chaleur d’un bain n’eft plus fupporrable.
III. 32. b. Incommodités qu’on éprouve dans une eau thermale
trop chaude. Suppl. II. 309. b. Etuves dans les bains.
V I . 97. b. Bains de vapeurs, voyeç ce dernier mot. Machine
inventée à Paris pour adminiftrer les bains médicinaux fans
fortir de chez foi. V . 82. a. Des demi-bains. VII I. 788. b.
Obfervations fur les bains 8c demi-bains d’huile dans certaines
maladies. XI. 453. b. Des bains de pieds. XII. 237. b. 556. b.
Exemple d’un bain de pieds qui guérit tout-à-coup une v iolente
douleur de tête. X IV . 509. a. Des bains de vapeurs,
V I I . 3 66. b. D e l ’ufage des bains chauds, des bains de vapeurs,
8c des bains de pieds. X V I I . 197. b. Des bains de fable ; leurs
ufages. XIII. 537. b. 538. 4. X IV . 464. 4. V o y e z quelques
appareils de bain, vol. III des planches, article Chymie, pl.
6 , 9 8c iQ. _
Bain , ( Chym. ) chaleur modérée par un intermede entre
le feu 8c la matière fur laquelle on opéré. Bain de me r, ou
par corruption bain-marie. 1. 21. a. Bain de vapeur. Chaleur
de l’eau bouillante dans les moindres 8c plus grandes hauteurs
du baromètre, 8c fur les montagnes. Sa plus grande
chaleur eft au premier inftant qu’elle commence à bouillir.
Bains de fable ou de cendre. Bains vaporeux. Métal en bain.
Autres ufages du mot bain. II. 21 .b.
Ba in, fourneaux pour les différentes fortes de bains. V I I .
234. d.
Bain-marie, quels font les cas où l’on doit avoir recours
au bain-marie pour l’évaporation. V I . 131. 4. Obfervations
fur les diftillations au bain-marie. V I . 928. a , b. Comment
on doit ménager au bain-marie le principe odorant des médi-
camens. XI. 353 .b . Bains-maries faits d’un grand chauderon,
au milieu duquel paffe une tour de fonte qui contient le fe u ,
comme une tour d’athanor. VII. 248. 4. d. Bain-marie, ou
diploma des anciens, repréfenté v ol. III des planches, article
Chymie, planch. 9. Bain-marie à plufieurs cucurbites, Ibid.
pl. î^.bis.
Bains pour les chevaux. V . 209. a , b.
Ba in , (Chevaliers du) ordre militaire en A ngleterre, borné
d’abord à quatre, enfuite augmenté à quarante-dcnt chevaliers.
Leur devife. Leur coutume de fe baigner avant de
recevoir les éperons d’or. Circonstances dans lefquelles on
conféré cet ordre. Occafton de fon inftitution. C e t ordre
commença de renaître fous George premier. II. 22. a.
Bain , ( chevaliers du ) III. 313 .a .
. Bain, ( ordre du ) voyez planch. 34 de blafon, vol. II. det
planches,
BAL
B A B A ' , ! « * * ) ™ - ' 8» * ,, ; i ï
B A IR AM , (Hifl. mod. ) grande fete annuelle des mano- .
métans. U- 22. a. C ’eft la pâque des Turcs. Grand 8c petit
bairam. Jour où il commence. Comment les Turcs célèbrent
cette fête. Contrafte entre la célébration du ramadham 8c
celle du bairam. Les Turcs tuent l’agneau pafchal en mémoire
du facrifice d’Abraham. II. 22. b.
B A ISE-MAIN, ( Hiß. ) marque d’honneur ou de refp ed ,
répandue par toute la ter re , 8c partagée entre la religion 8c
la fociété. Faux dieux qu’on faluoit en baifant la main. Les
officiers dans l’églife donnent leur main à baifer aux autres
miniftres qui les lervent à l’autel. Ufage des baife-mains dans
la fociété, dès les tems les plus anciens, 8c chez les Romains.
II. 22. b. Coutume de baifer la main du prince. Baife-mains
en ufage chez les Negres 8c au Mexique, du tems de Fernand
Cortez. Baife-main, offrande qu’on donne aux curés.
Ibid. 23. 4.
B A ISEM EN T des pieds. XII. 558. a.
B A IS E R , ( Géomctr. ) ce qu’on entend quand on dit que
deux courbes fe baifent. I. 23. a.
Baifer. Baifer que fe donnoient chez les Romains les futurs
époux, après avoir été accordés. XI. 680. b. Baifer de paix en
ufage dans le chriftianifine, 681. a. particuliérement chez les
premiers chrétiens. X V . 12 1 .4 . Comment il fe donnoit dans la
liturgie gallicane. XI. 770. b. Baifer tendrement, expreffion
correfpondantc en latin. X V . 56 1.4 . Caufc phyftque du plaifir
du baifer 8c de certains effets qu’il produit. IV . 33.4.
BAISSER, abaiffer, ( Synon, ) différence entre ces mots.
II. 23. 4.
B A ISSOIRS, réfervoirs d’eau dans les falines. Defeription
de ces réfervoirs ou magafins. II. 23. b.
B A IV E , (Hifl.mod.) faux dieu des Lapons, dont ils n’ont
aucune figure particulière. Thor 8c Baive ne. font qu’une
même divinité adorée fous différens afpeds. II. 23. b.
Ba iv e , (M y th .) les dieux T h o r 8c Baive des Lapons,
diftingués par quelques auteurs. Suppl. I. 758. b.
B A K E L E Y S , (H ifl. nat.Econ. dornefl. ) efpece de boeufs à
bo ffe , ou bifons. Education que leur donnent les Hottentots.
Ufages qu’ils en tirent. Suppl. 1. 758. b.
B A K E R , (Thomas) X V . 335. 4.
Baker, (Henri) anatomifte. Suppl. I. 410. a. Phyfiolo-
eifte. Suppl. IV . 359. a.
B A K K E R , (J ea n ) X V I I . 4 1 1. 4.
B A L , origine des bals. IV . 625. b. Comment on les com-
mençoit autrefois. II. 397. a.
B Â L A , (Bo ta n .) efpece de bananier. Suppl. I. 782. b.
783. 4.
BALAAM, ( Hifl. facr. ) obfcrvation fur ce prophète.
Suppl. II. 104.4.
B A L A D IN S , 8c dan feu rs de corde chez les Romains. XIII.
259. 4 , b. Baladins d’Etrurie. V I I I . 230. b. Baladin, voyez
Farceur , Histrion , Mime.
B A L A D O IR E S , danfes: leur origine. IV . 627. b. Anathème
prononcé contre ces danles. 624. b.
B A L A F O , (Luth. ) infiniment des N egres. Sa defeription.
Son ufage. Suppl. I. 758. b. Voyez pl- I de Luth, dans le Suppl.
B A L A G A T E , ou Balagaiste, ( Géogr.) province de
l’empire du Mogol. Revenu que l’empereur en tire. Ses
productions. Moutons remarquables qu’on y voit. Suppl. I.
759.4. •
B A L A I , ( Chirurg. ) brofles ou vergettes de l’eftomac. A
quel ufage on s’en fert. II. 24. a. Comment on l’emploie.
Grand éloge qu’en font quelques médecins étrangers. Exemple
d’un homme qui s’en fervoit fur lui-même pour gagner fa
v ie. Ibid. b.
B A L A N C E , (Méchaniq.) l’une des fix puifiances Amples
en méchanique. Balance ancienne ou romaine. Balance moderne.
II. 24. b. Théorie de la balance. Ibid. 25.a.
Balance de M . R oberval. IL 26. b.
Balance, fléau de la balance. V I . 849. a. Points de fufpen-
fion de la balance 8c des poids. X V . 700. b. Aiguille de la
balance. I. 209. b. Détails fur les balances d’eflai. V . 984. b.
Petite balance appellée trébuchet. X V I . 575. a. — D e la balance
romaine. XII. 450. b. X IV . 341. a. Defeription de cette
balance, par Vitruve. X V . 494. a. Voyez auffi vol. V des
planches, article Méchanique, planch. III. Pourquoi les balances
courtes font moins exades que celles dont le fléau eft
lo n g , 8c les romaines moins que les balances communes.
V i f 344. b. Le point d’appui eft moins chargé dans la balance
romaine que dans la balance ordinaire. I. 560. a. Balances
appellées pefon à reffort 8c pefon à tiers-point. XII. 451. a.
Article de littérature 8c d’antiquité romaine fur les balances,
au mot Statera. V o y e z auflx les planches du balancier,
vol. II.
Balance hydroflatique , par laquelle on trouve la pefanteur
fpécifique des corps liquides 8c folides : fa grande utilité.
Théorème fur lequel eft fondé l’ufage de cèt in finiment.
Maniéré de s’en fervir. IL 26. b. On peut par fon m o y en ,
i° . connoître la pefanteur fpécifique d’une liqueur; 2“. com-
B A L 139
parer les pefanteurs Spécifiques de deux liqueurs ; 3.0. , comparer
les gravités Spécifiques de deux folides ; 40. comparer
la gravité fpécifique d’un corps Solide avec celle d’une liqueur.
Balance hydroflatique du dodeur H o o k , qui peut fervir à
examiner la pureté de l’eau. Les expériences de plufieurs
favans qui fe font donné la peine de rédiger en table les
pefanteurs d’un grand nombre de matières , tant Solides que
liquides, ne peuvent nous fervir de réglé que comme des
à-peu-près. Quand on veut favoir au jufte la pefanteur Spécifique
de quelque co rp s , il faut le mettre lui-même à
l ’épreuve. Ibid. 27. a. On donne cependant ici une table
dreflée par M. Muflchembrock, des pefanteurs Spécifiques de
plufieurs matières comparées à celle de l’eau commune ou de
p lu ie , dans une température moyenne. Ibid. b.
Balance hydroflatique , vo l. V des p lanches, article Hydrof-
tatique, pl. 3. D e fon ufage. Suppl. III. 473. b. Table des
pefanteurs fpécifiques des principaux corps connus. XII. 446.
a , b. 447. a ,b . Table des pefanteurs fpécifiques • de différentes
liqueurs en été 8c en hiver. 448. 4. Voyez AREOMETRE .&
Pese-liqueur.
Balance commune, balance fine ou- trébuchet, balance?
fourde, balance d’e flai, balance du chandelier. II. 28. a.
Balance hygrométrique. VII I. 388. b.
Balance pour pefer les laines filées. Suppl. III. 699. b.
Balance d’e ffai, ( Econom. Cornm. ) machine dont les
Hollandois. 8c les habiles négoc'ians de bled fe fervent pour
le commerce des grains. L e poids du bled fait connoître fa
qualité. Pefanteur d’un fetier de bled de la tê te , mefure de
Paris. Défavantage des bleds humides. Avantage des bleds
fecs. La farine de çes derniers préférable à celle des1 bleds
^humides. Suppl. I. 759 .4. Defeription de la balance des grains.
'Rapport des poids à la mefure. Ibid. b. Opération de l’effai.
Obfervations fur l’ufage de cette balance. Ibid. 760. a. Ses
avantages pour les grains. Ibid. b.
Balance, (Aflron.) ligne du zodiaque 8c conflellation.'
IL 28. a.
Balance, moyen de connoître cette conflellation dans le
ciel. Suppl. IL 567. b.
Balance, (My th.) fymbole de l’équité. IL 28. a.
Balance, figure fymbolique. X V . 731. b.
Balance de commerce, égalité entre la valeur des mar-
chandifes achetées des étrangers 8c la valeur des produirions
du pays , rranfportées chez d’antres nations. N éceflité de cette
balance. Diverfes méthodes pour acquérir la connoiffance
néceflaire ' pour l’établir. i° . Prendre une exade notion du
produit que rapportent à proportion les marchandifcs exportées
8c les marchandifes importées. Difficulté d’acquérir cette
notion. Incertitude de cette méthode. 20. Obferv cr le cours
du change. Cette méthode eft encore imparfaite. 30. La troi-
fieme méthode fe prend de l’accroifl'emcnt ou de la diminution
de notre commerce 8c de nos navires en général. II. 28. b.
4°. Obfc rv er l’augmentation 8c la diminution de notre a rgent,
foit monnoyé, foit en lingots. Ibid. 29. b.
Balance du commerce. III. 131. a. 698.4. Balance du commerce
de la France 8c de la Hollande. V . 969. h. D e la fortie
des efpeces hors d’un p a y s , pour acquitter la balance de ce
qu’on doit dans le commerce. X. 194. b.
Balance, clôture de l’inventaire d’un marchand. IL 29. 4;
Balance, déclaration que font les maîtres des vaifleaux
des effets dont ils font chargés. IL 29. a.
B A L A N C É , terme de danfe. C ’eft un pas fort gracieux
que l’on place dans toute forte d’airs ; fort ufité dans les
menuets. IL 29. a.
B A L A N C IE R , ouvrier qui fait les inftrumens dont 011 fe
fert pour pefer les marchandifes. Réglemens 8c obfervations
fur tout ce qui concerne la communauté des balanciers. II.
2-9- b-
Balancier, outils dont il fe fert. XI. 718. b. Voyez les planches
du balancier , vo l. II.
Balancier, dans les grofles forges. Defeription de cette
maclfuie. IL 29. b.
Balancier , ( Horlog.) raifon de la forme qu’on lui donne.'
Différentes méthodes dont on a fait ufage dans l ’application
du balancier aux horloges, avant que l ’addition du reffort
fpiral l’eut porté au degré de perfeéiion où fl eft parvenu fur
la fin du dernier fiecle. IL 30. a. D e la matière du balancier.
Raifons de la préférence qu’on doit donner à ceux d’acier
fur ceux de laiton. D e la forme du balancier. Sa circonférence
dévroit être une efpece d’anneau cylindrique. Ibid. b.
Balancier, obfervations fur les tigerons des balanciers;
moyen trouvé pour conferver de l’huile à fes pivots. X V I .
327.4. V irole du balancier qui fert à m ettre la montre d’échappement.
XVII . 330. 4 , b. Nombre des vibrations du balancier
dans une heure. II. 148. a. Étendue du branle du balancier
dans une montre ordinaire. 397. b. Avantages du pendule
fur le balancier. XII. 299. a. L a théorie du balancier expliquée
aux articles régulateur, échappement, arc de levée , arc de
fupplément.
Balancier, defeription du balancier de compas ou «1e boufr