168 B E T
b. 809. a. D e l’ufage du maïs pour le bétail , 834\ h dés ,
moufles , 969. b; des pommes de terre. Suppl. IV . 492. a , b.
Moyen de nourrir & engraifl'er le bétail avec les marrons.
X. 145. b; avec la feuille de pfeudoaçacia. XIII. 540. a , b.
Efpece de morgeline très-utile pour la nourriture des beftiaux
en hiver. X V . 430. a. D u fourrage pour le bétail. VII.
b. 2489. a , b , c , d , & c. D u pâturage. Voye^ ce mot. Tems
où il eft permis de mener les beftiaux dans les'nouveaux
chaumes. III. 237. a. On doit promener les beftiaux fur les
jachères pendant le printems & la plus grande partie de l’été.
VII . 335. a. Ils ne doivent pas être introduits fur les-pres
artificiels. Suppl I. 329. *. D e l’achat des beftiaux pour es
bouchers. II. 331 .b . — L’ufage de laver le linge dans les
fontaines , très-dangereux pour le bétail. Suppl. iU. 803. a ,
4. 808. b. Danger des étés fecs pour les beftiaux. 806. a.
Précautions à prendre contre les épidémies. 809. b. D e la
mortalité des beftiaux. X. 729. £. Ufage de l’huile de cade dans
leurs maladies. V II . 580. a. Mouche des tumeurs des bêtes
à corne. X V I . 943 . a * b. Sur les maladies du bétail, voye^
Louvet.
Bestiaux , ( Jurifpr.) bail de beftiaux appelle cheptel. III.
293. b. Commande de beftiaux. 686. a , b. C e qu’ordonnent
les loix romaines fur les beftiaux égarés. V . 754. b. Comment
les coutumes en difpofent. Ibid. D u dommage fait
par le bétail. VII. 492. a. IV . 789. a.
B E ST R AM , ( Botan. ) nom brame d’un arbre du Malabar.
Ses autres noms. Sa defcription. Suppl. I. 883. b. Lieux ou
il croit. Sa durée. Ses qualités & üfàges. Remarques fur cet
arbre. Seconde efpece * antidefmd. Ibid. 884. a. Sa defcription.
Erreur de Linnæus. Ibid. b.
BÉTA I L ,. voyeç Bestiaux.
B Ê T E , animal , brute j ( Synon. ) différence entre ces
mots. II. 214. a.
Bête. Réflexions philofopliicfues fur le principe de leurs,
a étions. La perfeétion qu’elles mettent tout-à-coup à leurs
ouvrages , lans la porter jamais au-delà , femble être un
caraétere machinal ; mais l’argument qu’on tire de l’unifor-1
mité de leurs productions, n’èft pàs fi bien fondé. Variété
des nids des hirondelles 8c des travâüx des caftors. O n né
peut penfer qu’elles aient avec Dieu un rapport plus intime
que les autres parties dii monde matériel. Sentiment qui les
gouverne. Elles ont des loix naturelles ; mais elles ne fem- ■
blezit pas les fuivre invariablement. Avantages 8c défavan-
tages de la bête comparée à l’homme. II. 214. b.
. Bête de fer , ( Jurifpr. ) te qu’on appellé de ce nom
en Berry 8c ailleurs. III. 296. a.
Bête , jeu de la', ou de L'homme.. Defcription de ce jeu de
cartes. II. 213 . a.
. Bêtes, de l’ame des bêtes. I. 343. b. Langage des bêtes. I.
352. b. VII I. 798. a. 827. b. D e leur inftinâ. VIII. 793. a ,
b. Sec. D e leurs pallions. 798. b. D u fenriment qu’elles ont
de leur perfonnalité. Suppl. IV . 303. b. D u mouvement prO-
g relïif des bêtes. X. 88.. b. D e la êruauté envers les bêtes.
IV . 318. a , b. Trait d’humanité envers elles. 319. a. Du
dommage caufé par les bêtes. IV . 789. a. VII. 492. a.
Bêtes , ( combats des ) lieux où ils fe faifoient. II. 214. b.
Bêtes qu’on y émployoit. Ces combats étoient ou des bêtes
entr’elles , ou contre des hommçs. Lieux où elles étoient
renfermées. C e que devenoîent les criminels qui fortoient
vainqueurs. Chrétiens condamnés au fùpplice des bêtes.
Bêtes féroces qu’on apprivoifoit chez les Grecs 8c les Romains
; mais plus encore chez les Grecs. Pompe de Ptolèmée
Philadelplie. Char de l’empereur Efiogabale. tiré par divers
animaux. Ibid. 213. a.
Bêtes , combat des , voye^l. 378. a. III. 228. a. Combats du
pânearpe. X I. 8 xt. a. Combats de taureaux en ufage en Espagne.
X V . 940. b. Combats de bêtes dont le fpeftacïe plaît aux
Anglois. VU . 697. b.
Bêtes, ( chape ) diftribution des bêtes , en fauv es, en
noires , 8c en roulïes oucàrnafiîe'res. II. 213. a.
B E T E L E , plante qui grimpe , 8c qui rampe comme le
lierre. Defcription de fes feuilles 8c de fon fruit. Culture de
cette plante. Comment les Indiens s’en fervent. II. 216. a.
Ufages de pohteffe auxquels l ’habitude de cette plante a donné
lieu. Préférence que nous devrions lui donner fur le tabac.
Ibid. b.
Bétele représenté vol. V I des planch. Régné vég é ta l, pl.
98. Ufage des Indiens d’en manger les feuilles avee l’arek.
, Suppl. I.346. a , b.
B E T E R RÆ feptimanorum , ( Géogr. ) v ille de la Gaule.
Suppl. IV . ïo.- b.
B E TH A G A B R A , Bethograbri ou Bethagabria ( Géogr. facr.)
fituation de cette ville. *Suppl. I. 885. a.
BE THANIE ou Bethabarà, ( Géogr. facr. ) lieu fitué au-
delà du Jourdain où Jean 'baptifoit. Autre bourg de ce nom
près de Jérufalem. Suppl. I. 883. a.
BE THB ESSEN, (Géogr. facr. ) ville de Judée, fituée au
défert de la triba de Juda. Événemens remarquables arrivés
dans ce lieu du tems des Machabêës.. Suppl. L 883. a.
B E U
B E TH D A G Ô N , ( Géogr. facr. ) v ille de ia tribu de Juda
où les Philiftins avoient un temple dé Dagon. Evénemens
malheureux qui leur arrivèrent dans ce heu. Suppl. I.
883. a.\J
B E T H E R (Géogr. facr. ) divers fentimens fur les1 montagnes
de Be the r , dont il eft parlé dans le cantique des cantiques.,
8c fur la v ille de ce nom. Maffacre des Juifs fous
Adrien,- dans une ville nommée Bètlxer. Suppl. ï . 883. b.
BETHLÉEM , ( Notre-Dame de } ordre militaire. Son infti-
tution. Loix de cet ordre. II. 2x6. b.
Bethléem. D u lieu où naquit le Sauveur, 8c où il fut mis
après fa naiffance. IV . 444. b. Obfervations fur le maffacre
des enfans dé Bethléem. IX. 847. b.— 849. b.
BETHLÉEMITES , ( les Freres ) ordre fondé dans les iflee
Canaries. Par qui 8c pourquoi. Habit de ees religieux. IL
2 16. by -
B E TH SA B É E , ( Hijl. des Juifs ) femme d’Urie 8c enfuite
de David. Suppl. I. 883. b.
B E TH S A N , voye^ Sc y t h o p o l is .
B E TH U L IE , ( Hijl. facr. ) fiege de cette v ille par Holo-
pherne. Suppl. III. 443. b. Sa délivrance, voye^ ■ JüDlTEÏ,
OziAS:
B É T IQ U E , la , (Hijl. & Géogr. anc,) province de l’an-v
cienne Efpagne, diftinguée par fes richefles 8c fa fertilité.
Ses principales villes. Suppl. I. 883.'é. Son état fous les Romains.
Ibid, 886. a.
Bétique, commerce des Phéniciens dans ce pays. X V I .
221. a , b. C ’eft dans la Bétique qu’étoit probablement la.
Tharfis dont parle l ’Écriture. 221. a , b. Peuples qui habi-
toient la Bétique. 732. b.
B É T IS , (Géogr.) fleuve d’Efpagne. Lieu de fa fource. Ses
différens noms. Ville nommée Tartejfe, entre fes deux embouchures.
D efcription de fon cours. C e fleuve s’appelle aujourd’hui
Guadalquivir. Suppl. I. 886. a.
Bé tis , fleuve de la Bé tique , aujourd’hui le Guadalquivir.
V II . 973. b.
Bétis , gouvernexxr de Gaza. Cruauté d’Alexandre envers
lui. Suppl. 268.
B E T O IN E , ( Botan. ) caraCteres de ce genre de plante. II.
116. b. Propriétés de cette plahte , de fes différentes parties ,
Sc de fes diverfes préparations. Préparation de l’emplâtre dû
betoine. Ses propriétés. Ibid, a i 7. b.
BéCoine. Emplâtre de betoine. V . 391. b.
B E TO IR E S , ( Écôiiom. rujiiq. ) trous creufés d’ëfpacd
en efpace comme des puits , pour y rec ëvoif lés eaux.
Conftruétion de ceux qui fe font dans les grandes baffes-cours.
II. 217. a.
B E T T E , (Botan.) on diftingue la blanche, la rouge,'
8c la bette-rave. Defcription de chacune. II. 2 17. a. Qua*
lité de la bette-blanche. Ibid. b.
Bette. D eu x ëfpeces de bettes dont bn a tiré du fucr&
X V . 617. b.
B E T T E R TO N , ( Thomas ) afteur 8c auteur anal ois.
X V II . 603 . b. 604. a , b.
BE T Y L E S , pierres fameufes dans l’antiquité, &c. Opinion
de Bochart fur leur origine. Defcription de ces pierres.
Vertus qu’on leur attribuoit. II. 21 y. b. Voyer Pierres. (Idoldt.’)
B E Y E R ID G E , ( Guillaume ) évêque en Angleterre. X V I i .
603. a.
B E V ER L AN D , (Adrien ) fes écritslicentieux. X. 493. a.
.B E V E R L Y j fameux afyle en Angleterre. ï . 794. b.
B E U F , ( Jean le ) chanoine d’Auxerre. Suppl. I. 724. b.
BEU R R E , comment on le fait en Barbarie. Il n’a été connu
que fort tard chez les Grec£ C e que Pline dit de l ’ufage qu’en
faifoient les barbares. Las Romains ne s’en fervôient qu’en
remede. Les Hollandois Pont fait connoître en Afie. II. 17 7.
b. Ufage qu’en faifoient les Efpagnols. Ufage du beurre au
lieu d’huile dans certaines églifes. Livre ae Scockius fur-
l’origine 8c les phénomènes du beurré. Beurré de Suffolk en
Angleterre. Comment on le fait dans les campagnes près do
Paris. Divers degrés de bonté dans le beurre félon les divers
tems de l’année. A quoi le meilleur fe reconnoît. Manier»
de le faler , de le fondre. Le meilleur de France eft celui
de Bretagne. Ibid. 218. a. Sur la maniéré de faire le beurre.
Voye{ les planches de laiterie, vol. I.
Beurre , ( Chymie ) ce mot eft ernployé pour fignifier
plufieurs préparations des chymiftes. Préparation du beurre
d’antimoine. Huile glaciale d’antimoifie. Beurre d’antimoine
reétifié. La quantité du heure d’antimoine qu’on retire eft le
, tiers du mélange qu’on a employé pour le faire. Obfervatior»
fur le récipient qui doit le recevoir. II. 218. b. Dans cettt
opération le beurre d’antimoine diftille plus aifément que
le mercure. L ’efprit de fel marin eft. le diffolvant propre
dé l’antimoine. C e beurre eft la partie métallique du minéral
réduite en confiftance molle. On compte juftju’à .fept maniérés
de le faire. Différence entre celui qu’on fait avec le
.régule 8c celui qu’on fait avec l’antimoine crud. Ufage dé
c e beurre en chirurgie. Ibid. 219. d.
Beurre, roaû.tyeschymiques, appellées de ce lïôm. X IV ;
922«!
B I A
IX. 363. A , &c. V I . 8. a. ffantt-
924. b. Beurre d® - ■
moine. I. 308. b. X IV . 40. b. _
Beurre, ( Phr "
___ ) préparations en confiftance d’ondu
beurre de cacao. O n peut préparer
de meme
219. a.
Beurre de cacao. II. 301. b.
B E U V A N T E > droit qu’un maître de barque ou de navire
fe réferve lorfqu’il donne fon vaiffeau a fret. Comment ce
droit fe réglé. IL 219. b J
BEUV E , prêtre natif de Voinville. Suppl. III. 846. a.
BEX-VIEUX. Salines de B ex-vieux dans le canton de
Berne. X IV . 333. a , b. bc . ■ ,
B E Y ou Beg , gouverneur *d’un pays ou d une v ille dans
l’empire des Turcs. C e que fignifie le titre de fangiakbeg.
Divifion des provinces en fept fangiackis dont chacune
qualifie ïin bey. Par qui les beys font commandes. B e y
de Tunis. Chaque province du royaume d Alger eit gou-
yernée par un bey. II. 2 1 9 .4. ' ^ - Tvr .
B ey s, gouverneurs généraux du d e y d Alger, i v . 923. ».
B E Z A , ( Myth.) divinité d’A byd e qui rendoit fes oracles
par billets cachetés. Perquifitions qu’occafionnerent ces billets
fous l’empereur Confiance. II. 220. a. H H H „ , .
B E Z A A N , ( Ichthy.) petit poiffon des Moluques. Sa def-
cription. M M ,
B E ZAN T forte de monnoie frappee a Bifance fous les
empereurs chrétiens. Qualité tle l'or du bezant. Quand ils
ont été reçus en France. Ufage qu’on en faifoit.au couronnement
des rois. Evaluation decettemonn o ie .il. 220. a.
Bezant, ( Blafan) — Voyc{ Besan.
BEZE , ( Géogr.) pays de Beze. I. Suppl. I. 691. Abbaye
CB e z e , ^Théodore de ) fa v ie 8c fes ouvrages. X V I I . 226.
b. Il avoit été prieur de Lonjumeau. Suppl. III. 776- a-
B E Z E S T A N , lieux,où les marchands de Turquie_ont
leurs boutiques. Ceux d’Andrinople font très-beaux. D e fcription
de ceux de Conftantinople. III. 220. b. , '
B E Z E T T A , crépon ou linon très-fin, teint avec la cochenille.
D ’où viennent les meilleurs. Ufage qu’on en fait. II. 220. b.
BEZIERS, ( Géogr.) anciens noms de cette ville. Ses révolutions.
Sa population. Hommes illuftres dont elle eft la patrie.
Suppl. I. 886. b.
Be[iere. Fontaine remarquable dans le diocefe de Beziers.
V I I . 100 b. Cour royale de Beziers. IV . 333. b. Béziers
ancienne. Suppl. IV . xo. b.
B E ZO A R D , ( Hijl. nat. ) pierre, qui fe trouve dans certains
animaux. Bézoards orientaux, & occidentaux. Caractères
8c qualités de ces pierres. C e qu’elles renferment, il.
220. b. -Comment on prétend diftinguer les bézoards factices.
Comment on diftingue les bons. Q uels animaux por-
tent les bézoards. Les bézoards diftingués en cinq dalles.
Ibid. 221. a.
Bc\oard. O n prétend que les bézoards orièntàux viennent
d’une chevre. III. 321. b. Bézoards végétaux tirés de l’arek.
Suppl. I. 348. a. Fauffe tunique de bézoard dont a parlé
Pomet. IV . 332. a. Efpece de bézoard, appellé hyfiricite.
VII I. 421. b. Bézoard qu’on retire d’un animal d’Afriqu e,
nommé impalanca. 383. b. Bézoard appellé pierre de moin-
baza. X . 633. a. A u t r e , dit oeuf de vache. X I. 406. a.
Bézoard , dit onagre. 472. b. Bézoard tiré d’une efpece de
finge de rifle de Bornéo. Ibid. Bézoard du cerf. X V I . 947*
a , b. Efpece de bézoard qui fe forme dans le véficule du
f ie l , dans l’eftomac & les inteftins de quelques chevaux.
VII I. 2x6. a. Suppl. III. 393. b. Tranchées qu’il lui caufe.
Suppl. III. 421. b. Nullité des remedes tirés des bézoards
vrais 8c faétices. Suppl. IV . 463. b.
Bé^ard-minèral. Defcription de cette pierre : lieux où on
la trouve. II. 221. a.
Bézoard-Minéral , ( Chymie ) préparation d’antimoine :
comment elle fe fait. C ’eft un très-grand fudorifique. II.
221. b.
Bézoard minéral. I. 309. a. M aniéré de le préparer. X IV.40. b.
Bé[ourd martial, comment on le prépare. C ’eft un excellent
remede pour la jauniffe , les liypochondres , &c. IL
221. b.
Bé^urd folaire ,• bénard lunaire j bénard jovial ou d’étain.
Defcription de ces préparations chymiques. II. 221. b.
BEZOLE , ( Ichthy. ) poiffon du lac de Laufanne. Sa defcription.
Qualité de fa chair. II. 221 .b.
B I
B IA F A R A , ( Géogr. ) correftion à faire dans cet article
de l’Encyclopédie. Suppl. 1. 886. b.
B IA IS , ( Jardinage ) fauver un biais ; comment on le
fauve dans les pièces couv ertes, 8c dans les lieux découverts.
Divers moyens de cacheter les biais, ou de les rendre
tolérables. II. 222. a.
Tome I.
B I ß 169
BIAIS, ( Manège) diverfes exprefliöns de l’a r t , ôü Ce mol
eft employé. Mettre le cheval en biais. C e qu’il faut faire
pour a ller en biais; H. 222-. a-,
B IA N C H I , (Jean-Bapti(le) anatomifte: Suppl. I-. 403. b\
Sa doélrine fur la faignée. X IV . 303. a.
B IA N CH IN I , ( François) article fur cet auteur. XVII . 891
a. Son ouvrage & fes découvertes fur la planete vénus.
VII I. 189. b. X V IL 3 3» a , bi Defcription qu’il a donnée
d’un monument où le trouve l’explication du cy cle de Jules-
Céfar. XV II . 7671 k Sa differtation fur le cy cle de faint
I-Iyppolite. 768. b. Defcription de la méridienne qu’il conf-
truifit à Rome. Suppl. III. 239. b>
BLAS , Tun des fept fages de la Grece. V II . 910. a. X III.
l lA T H A N A T E S , faicidcs. Livre du doyen d e faint Paul
de Londres : in titulé , bïothanatus. II. 222. b.
B Iß A U C , ( Guillaume ) prédicateur. X V I . 318-. b.
B IB B Y , (Botan. ) arbre d’Amérique dont il fort beaucoup
de jus. Defcription dé cet arbre. Les Indiens le brûlent
pour en avoir le fruit; Defcription 8c ufage de ce fruin
Lorfque cet arbre eft jeune , ils y font une incifion dont
ils tirent une liqueur , qui leur fert dé bôiffon. II. 222. b-.
B IB1E N A , (François) pliyfiologifte. Suppl. IV . 364. a.
B IB L A N D E R , ( Théodore ) profeffeur de théologie à
Zurich.1 X V I I . 746. b.
BIBLE. Divifion de la bible ën deux parties. Livres dé
l’ancien teftament, livres du. nouveau -, félon le concile dé
Trente. Livres de l’ancien teftament dont la canonLcité n’à
pas été généralement admife. Langues 8c caraêleres dans
lefquels ces livres ont été écrits. L a verfion la plus ancienne
eft celle des Septante. Livres du nouveau teftament de l’au-
thentiçité defquels on a douté. En quelle langue le nouveau
teftament a été écrit. II. 223. a. O n diftingue les bibles
félon la langue dans laquelle elles font écrites. Ibid\ b.
Bibles hébraïques; i° . les manuferites : quelles font lés meilleures
: leur antiquité : bibliothèques où l’on en trouve;
20. les imprimées. Quelles font les plus anciennes, les meilleures.
Bibles imprimées à Venife par Bomberg. Celle de
B u x to r f, le pere , imprimée à Balle. Autres éditions dé
la bible hébraïque., de Robert-Etienne , d’A n v e r s , d’Amf-
terdam , de Venife. II. 223. b. D e toutes les éditions , les
plus" belles font celles de Jofeph-Athanias, ju if d’Amfterdam.
Editions de Claudius * de Jablonski 8c d’Opitius : défec-
tuofités 8c avantages de ces bibles; Petite bible in-16 de
Robert-Etienne , contrefaite à Géneve. Autres éditions en
petit format fans points, fort eftimées des juifs.. Ibid. 224. a-.
Bibles grecques. On peut les réduire à trois ou quatre claffes
principales. 1°. celle de Complute ou d’A lcale de Henarès;
II. 224. a. 20. celle de Venife j 30. celle de R ome j 40. celle
d’Oxford. Ibid. b.
Bibles latines. On peut les réduire à trois claffes ; t °. l’ancienne
vulgate3 20. lavulgate moderne. IL 224. b. 30. N ouvelles
verrions latines faites fur l’hébreu dans le feizieme
fiecle. Ibid. 225. a.
Bibles orientales. La verfion famaritaine; une verfion arabe,
du Pentateuque, qui n’a point été imprimée. L ’Jiiftoire de
Jo fu é, mais différente du livre de Joiué que nous recon-
noiffons. II. 223. a.
Bibles chaldéenncs, ou les targums d’Onkelos fur le Pentateuque
, 8c de Jonathan fur tous les livres que les Juifs appellent
prophètes. Les autres paraphrafes chaldeennes font la plupart
remplies de fables. IL 223; b-.
Bibles fyriaques. Edition du nouveau teftament en carac^
teres fyriaques. Edition’ des pfeaumes en cette languei
Quant à l’ancien teftament, les Syriens ont deux fortes de
verrions. II. 223. b.
Bibles arabes. Celles à l’ufage des Juifs. Verfion arabe du
pfeautier, de toute récriture dans les polyglottes de Paris 8c de
Londres , de l’ancien teftament imprimé à Rome en 1671.-
Les bibles arabes de l'Europe ne font pas to u t - à - fa i t les
mêmes que celles de l’Orient. Pentateuque arabe d’Erpenius;
Les quatre évangeliftes en arabe. Rome 1391 IL
223. b.
Bibles cophtes -, ou des chrétiens d’Egypte ; elles üe fonf
qu’en manuferit dans les grandes bibliothèques. II. 226. a.
Bibles éthiopiennes , arméniennes , perfannes. II. 226. a.
Bibles gothiques. Auteur de cette verfion j à laquelle'
manquoient les livres des rois. On n en a plus que les quatre
évangeliftes. II.. 226 . <7..
Bibles mofeovites. Cette verfion eft en langue fclavonne,
dont la moicovite eft un dialeéle. Ouvrages à confulter pour
acquérir une plus ample connoifl'ance des norabreufes éditions’
8c verrions de la bible. II. 226. a.
Bible. Soin que les Hébreux prenoient de leurs livres facrés.-
II. 228. b. D e la pon&uation des bibles hébraïques. XII. 870.
a , b. Voyeç Ponctuation. Obfervaiions fu r ie ftyie de 1*
bible. VIII. 89. a , b. 90. a , b. Uniformité de la langue en
laquelle les livres de l’ancien teftament ont été écrits. V I IL
$3. -a , b. D ’où vient cette unifprmité dé génie 8c d©