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Fourmi. (Econom. rujliq. ) Les fourmis nuifent beaucoup
aux arbres fruitiers. Divers moyens employés pour détruire
ces infeéies, ou pour les^ empêcher d’approcher des arbres
qu’ils recherchent. V IL 229. b.
Fourmis, oeufs de, les naturalises ont démontré que ce
qu’on appelle communément de ce nom » font les jeunes
fourmis même emmaillottées dans leur premier état d’accroif-
fement, par une efpece de foie que les fourmis tirent de leur
corps. Premiers développemens de la fourmi. Obfervations
que le dofteur King a faites dans l’intérieur de ces coques.
Soins que les fourmis prennent de ces oeufs. Oifeaux qui
s’en nourriffent. Defcription des vrais oeufs de fourmi. Em-
preffement des fourmis à venir couver les oeufs que la mere
a jettés fur la terre. Auteurs à confulter fur les fourmis. VU.
230. a.
Fourmi. (Chym. Mat. méd.) Analyse chymique des fourmis.
Maladies contre lefquelles les fourmis font employées. V II .
230. b.
Fourmi. ( Mythol.) Les Grecs prétendoient defcendre des
fourmis de la forêt d’Egine. Les Theffaliens honoroient les
fourmis. V II . 230. b.
FOURMILIER , ( Zoolog. ) tamandua guacu du Bréfil.
Defcription de ce quadrupède. Comment il fe nourrit de
fourmis. Pourquoi on l’a nommé urfus formicarius. V II . 230. b.
Fourmilier. Defcription de quatre efpeces de fourmiliers. X.
ic ).b. Voye^ v ol. V I . des planch. Régné animal, pl. 16.
FOURMILIERE. ( Hift. nat. ) Différentes fortes de fourmilières.
VII . 230. b.
Fourmilières ; vapeur dangereufe qui s’en éleve'. Suppl. IV.
463. b.
F ourmilière. ( Econom. rufliq. ) Dommage que caufent
aux prairies feches ces petits monceaux de terre que les
fourmis forment en cône pour leur demeure. Méthode à
pratiquer pour ruiner toutes les fourmilières. Infiniment dont
on fe fert en certains pays pour couper les fourmilières.
V I I . 231. a. '
Fourmiliers , ( Médec. ) maladies des paupières. Defcription
de cette maladie. VII. 231. a. Voye^ V errue des paupières.
FOURMILIERE , (Maréchal.) Suppl. III. 413. a.
FOURMI-LION. ( Hiß. nat. ) Defcription de cet infeéle.
V I I . 231. a. Il ne marche qu’en reculant; il ne v it que d’in-
feétes; mais il ne peut aller chercher fa proie. Artifice avec
lequel il fe la procure. Pourquoi il a été appellé fourmi-lion.
Comment il fe débarraffe des refies de fa proie , lorfqu’il
n’en tire plus rien. Longues abftinences qu’il peut foutenir.
Comment il travaille à fa métamorphofe. C oque dans laquelle
il fe renferme. Ibid. b. Tems qu’il y demeure. Comment fe
fait fa transformation. Comment la demoifelle fort de la
coque. Dépouilles qui y reftent. Elle y dépofe aufli quelquefois
un oeuf avant de forrir. Defcription de cet oeuf. Il eft
infécond , ayant été pondu avant l’accouplement du mâle
avec la femelle. Pourquoi les fourmi-lions font rares. Etat de
la demoifelle en fortant du fourreau. Defcription de ces
demoifelles. Ibid. 232. a.
FOU RMIL LEMENT dans Fair, qu’on apperçoif fur un
poêle & fur un fourneau. (Chym.) Caiife de ce fourmillement.
V I I . 248. 7. a. Inconvénient qui en rélulte pour le cbymifie.
Moyen d’y remédier. Ibid. b.
F O U R M O N T , ( l ’Abbé ) fes foins pour la bibliothèque
du roi. II. 240. a.
FOURMONT. (Etienne) Obfervations fur ce favant. Suppl.
III. 349. a , b. Son explication de la fable des Gorgones. VII .
746. a , b. Eloge de fon livre fur les racines de la langue latine.
XIII. 747. b.
FOU RN A ISE , déejfe : fête en fon honneur chez les Romains.
V II . 188. b.
F O U R N A L IS T E , ( terme de Potier de terre ) ouvrier qui
fait toutes les greffes pièces comprifes fous le nom général
de fourneau. C ’eft encore un ouvrier qui fait tous les vaiifeaux
de chymie en terre. V I I . 23 2. a. Quels font les ouvrages
que les ouvriers de cette communauté ont droit de faire
Police & ftatuts de cette communauté. Matière dont on fai
les fourneaux & les creufets. Outils des fournaliftes. Comment
fe font les fourneaux & les creufets. Palettes des four-
nalifies. Leurs différens ouvrages. Ibid. b.
FO U RN E AU d’une mine , (Fortifie.) V II . 233. a.
Fourneau fuperficiel, (Fortifient.) ou caijfon. V i l. 233. a.
Fourneau. (Bimblot.) V II . 233. a.
Fourneau à fondre les caraéleres d’ii
F ourneau , (Chapelier) trois forte : fourneaux chez
ces ouvriers. V IL 233. a.
Fourneau. (Cüifine) VII. 233. b.
Fourneau des grandes fonderies, B ronze.
Fourneau des ufines en cuivre. Voyer C uivre.
Fourneau des ufines en fonte. Voye^ Grosses FORGES.
Fourneau des ufines en fer. Voyer GROSSES FORGES.
Fourneau des tailleurs de limes. V II . 233. b.
Fourneau chez les mégifliers. Voye[ CHAMOISEUR.
Fourneau des fondeurs en fable, VII . 233. b. Voyc[SABLES.
F O U '
Fourneau, (Plombier) trois fortes de fourneaux; la
fo ffe , la poêle, le fourneau à étameri VII. 233. b.
Fourneau. (Potier d’étain) VII. 233. b.
Fourneau. (Rafineur de fu c -e) VII. 233 .b.
F ourneau, (fontaine falante ) Voye^ Sel , SALINE.
Fourneau des teinturiers. Foyer T einture.
Fourneau. ( Verrerie)'Voye^ Verreuiè.
Fourneau, (Chym. philojophique) htymologie de ce mot;
Noms correfpondans en latin. L’auteur fe propofe de donner
ici des exemples des différentes efpeces de fourneaux,
que des travaux afîidus & une longue fuite d’expériences
ont perfectionnés.
Des fourneaux à difiiller par afeenfion, ConftruClion de ces
fourneaux , & leurs différentes efpeces. Defcriptions de
divers fourneaux repréfentés dans les planches de C h v n ie
VII . 2_3_3 . a- . -Fc.o--u-r--n--eaa.u. , f. ig. . -b14.... F. or urneau, fig. y6..A Ib.id. b.
Comment s’agencent enfemble les corps des fourneaux qu’on
vient de décrire. Fourneau,fig. 84. Fourneau,^-. 06. Fourn
e a u ,^ ; /23. Ibid. 234. a. Des fourneaux à lampe ƒ/>. 64,
& 65. Ibid. b. Fourneaux à capfule : ils font principalement
de deux efpeces: ou ils fervent par emprunt aux capfules:
ou-ils y font particuliérement defiinés, & ils fe trouvent
alors quelquefois compris fous le nom d'Athanor. V o y ez
fig. 13. Ibid. 234. a. Defcription d’une capfule. Fourneau à
capfule repréfenté fig. 3.3. Les différentes efpeces de bains
ne font que des fourneaux femblables à quelques-uns de
ceux dont on a parlé , mais qui portent des noms différens .
félon l’intermede qui conftitne ce bain. Fourneau deftiné au
bain-marie, fig. 11. Autre fourneau pour le bain-marie fi".
118. Autres bains de différentes fortes. Bain de la limaille.
Ibid. b. Bain de fumier. Bain de fçiure. Bain fec. Fourneaux
de décodions, fig. 12 , 6 9 , 72 , 1.62. Fourneaux à aludcls
ou de fublimation, fig. y , 6 6 , 9 8 , 167. Des anciens four-,
neaux : Geber eft l’auteur le plus ancien qui les ait figurés.
Incertitude fur le tems où il vivoit. Avant cet artifte, l’ignorance
& la inauvaife foi s’étoient toujours enveloppées
du v oile de l’emblème & de l’énigme; Si Geber e ft tombé
dans cet inconvénient quant aux opérations, au moins a-t-il
pu être de quelque utilité par la defcription de fes uften-
files. Defcription qu’il donne du fourneau qu’il deftine aux
aludels. Ibid. 235. a. Fourneau fublimatoire dè la fig. 66.
Fourneau deftiné aux aludels dans lefquels on doit faire la
fublimation de la marcaffite : il eft tiré de G e b e r , voyez,
fig. 98. Fourneau qui donne un grand degré de feu. L e
fourneau que Geber vient de décrire, eft un fourneau de
fufion, quoiqu’il l’applique à fes aludels. Ibid. .b. Edition de
Geber dont on a tiré Ce qu’on vient de donner de lui. Q uatrième
& dernier fourneau fublimatoire ,fig. 167. Comment
les fournaliftes de. Paris préparent leur argille. Pratique des
artiftes pour conftruire des fourneaux. Détails de toutes les
opérations néceffaires pour conduire un fourneau à fa perfection.
Ibid. d. Obfervations fur l’argille de Gentilii. Maniéré
de traiter l’argille & ,d e la cuire pour la conftrnClion desfourneaux.
Des différentes compofitions pour les fourneaux.
Ibid. 236. a. Voyeç Lut & VAISSEAU.
Des fourneaux à difiiller par le côté. Defcription dé celui
qui eft repréfenté fig. i. Ibid. b. Fourneau de diftiilation latérale
marqué fig. y. Maniéré de le conftruire. Ibid. 236. a. On multiplie
ce fourneau, en le conftruifant de maniéré qu’il puiffe
contenir plufieurs cornues. Defcription du plus grand de
tous, celui des diftillateurs de Paris ; on l’appelle la galere.-
Appareil avec lequel les diftillateurs font l’eau-forte, Ibid. ' b.
Le fourneau fig. 67. eft non-feulement un appareil de diftiilation
latérale, mais encore d’une diftiilation où l’on expofe le
corps à difiiller au feu nud, fans l’intermede d’aucun vaiffeau.
ConftruCtion du fourneau, fig. 66. Autre fourneau de diftiilation
latérale ,fig. 69. Ibid. 237. a. Fourneau , fig. 73. F ourneau,
fig. 143. pour difiiller les acides minéraux àfeunud. Fourneau, flHH I HH H H Des fourneaux à difiiller par defeenfion. L ’auteur n’en donne
qu’un feul exemple. Ibid. b.
Des fourneaux à calciner, divifés en propres & en communs.
Fourneau de la première efpece, fig. 17 & 16. Sa defcription
& conftruCtion. Ibid. 23 7. a. On peut mettre au rang
des fourneaux â calciner ceux d’effai.
’ D " four,utaux de fjufion. Fourneau de la fig. 6. Maniéré de
le conftruire. C e fourneau donne un feu d’une v ivacité pirodigieufe
: les; defcriptions qu’on en donne ici font dc: Boerhaave
& de Glauber. Ibid. b. Avantages de cet infti•umenr.
Ibid. 238. a. Précautions à prendre ; écran dont il faut fe f erv
ir en travs;illant à ce fourneau. 11 paraît que Glauber cft
le premier c:lui ait introduit les tuyaux dans les fournieaux de
chymie. De s fourneaux de figure elliptique ou para bol iq;ue.
Ibid. b. Celi îi qui eft marqué fig. 8-10 differe. de celu [\:-
lion de Glaij ber par quelques aceeffoires. Sa defcrii >tion; &
maniéré de ie conftruire. Ses avantages. La fig■ 23 eft u:n grand
fourneau de fufion,en briques, &c. Détails fur cette efpc•ce
de fourneau , & fon ufage. Ibid. a. D e la forge coimpté< mi
les fourpeai•îx dç fufion. D e la caffe: grandeur qui 1lui c<>nvient.
F O U
vient. Détails fur le foufM . Ibid. b. II faut encore dans un
laboratoire philofophique un foufflet monté fur un chaflîs afin
de 1 appliquer aux fourneaux où il eft néceffaire. Au lieud’un
foufflet, on peut faire ufage d’une éolipyle. A u défaut de
eet infiniment on peut employer tout vaiffeau qui en approchera.
Cependant le foufflet double mérite la préférence La
fis- 37- n repréfente le petit fourneau de fufion fait en
terre des fournaliftes de Paris. Ibid. 239. a. Sa defcription.
Manière d en faire ufage. Autres fourneaux portatifs à v en t,
des mêmes fournaliftes. On ne les indique ici que pour en
diffuader 1 ufage. La fig. 36 repréfente un petit fourneau
quatre portatif pour les effais. Defcription & ufage. Effai de
™oee., 0lLc e ’ de mine de cuivré Mnte à une roche de fufion
dithci ^ C om m en t on fond à ce fourneau une mine de fer, 6>c.
Ibid. b. Fourneau de fufion de tô le, varié pour la facilité de
i appliquer à differentes opérations.^Voyez fig. 26-27 Détails
H i ^ H H H B S S c e 'F o rm as, é tm k .
Ibid. a. Baffin ou catin de réception/ M atière appellée braf-
que dont qn fe fert pour faire le catin. Brafque pefante &
brafque légère. Manière de les préparer ; leur ufage. Ibid. b.
Les effets de Ja chaleur & du froid ne fe communiquent
jamais avec plus de difficulté qu’au travers des-corps foli-
des qw font rares, Caverneux & fpongieux. Comment on
empêche une matière èn fufion de fè refroidir promptement.
V ,ge du mélange du pouffier de charbon à Fantille. Suite
de la Conftrtraion du baffin. L e fourneau fig. 26. eft principalement
deftiné aux fufions : on les y peut faire avec des
v ai fléaux , 011 même fans cé feccurs. Détails fur là maniéré
de faire ulage de ce fourneau. 240. a. Si l’on veut foii-
dre a feu iwë des mines de cu iv ré , de plomb, d’étain, de
f e r ,o u reçlmre leurs chaux ou feories, on fe fervira de cen-
d r ie r ,^ . y2 Details fur ces Opérations. Ibid. b. Fourneau de
fifflon qu a donné Béclier, 7./. Fourneau qui mérite attention
par fa fingulanté : details que donne fur ce fujet M. de
Kramer.de Vienne. Propriété, de ce fourneau. Matière dont
o n le ^it- ^a conilruffion. Ibid. a. La fig. 38 repréfente un
fourneau de fufion qui produit des effets inconnus jufqu’ici :
VVeA die ^ ' Potr' '5a ^eïenption. Maniéré d’en faire ufage.
m m h La m . 3% 44- trouve aüffi fa place avec les fourneaux
de fufion. Details fur fa conftruélion. Ibid. 241. a. Manière
-ont 2? ,^.en fert- m Ê b- Avantages que lui attribue M. Cramer.
Vaiffeaux q iu l emploie .pour fon ufage. A u défaut de
ce fourneau., M. Cramer s’eft fe rv i avec àffez de fuccès de
Ion athanor. Gomment il s’eïi fervoit. Ibid. a. '
n Des fiurneaux d’effai. Proportions que les fournaliftes de
Paris donnent à ceux qu’ils font en terre. Comment ôri fait
des fourneaux d effai for le champ. Ibid. b. Fourneau d’effai
fans grille j qui eft Celui de Fachs,j%. y j . Fourneaux d’Agri-
cola. Ge que dit Stahl fur les fourneaux .d’effai à l ’angloife
fig- 41-49- Fourneau dès éiiiaillèiirs. Pourquoi il eft fans’
grille. Ufage du foùrneau ,fig. 30-33. décrit à l’article Effai.
Ibid. 242. a. Circonftances auxquelles il faut faire attention
pour en conduire le feu avec éxaélitude. Ibid b
Des fourneaux d’affinage cm de raffinage. Defcription du
fourneau repréfenté fig.^ 17-18. tiré de Schlutter, dont on fe
fort en Saxe , en Boheme, en Hongrie, &c. Fourneau dont
Schlutter fe dit 1 inventeur, fig. 19-21. Sa defcription. Ibid. a.
Son ufage. Application du fourneau anglois à l’affinage. Obfer-
vation fur l’origine du fourneau anglois. Ibid. b. La f i " 22
S H B H B B » vent 4 l’argent dans un
telt fous un moufle. On conftruit plufieurs de ces fourneaux
le long d’un mur fur un fo y er commun. Comment
on les difpofe.
Des fourneaux de verrerie. D « athanor s. Ibid. 243. a. D e fcription
de l’athanpr, fig. 36-60. Maniéré de le conftruire.
Ibid. b. Détails fur fon ufage. Ibid. b. Obfervations for le
régime du feu dans ce fourneau. Ibid. 244. a. Utilité dont
être à un effayeur. Defcription de Fathanor. fig. 6.
Ibid. b. Invention d’une forte de tour dans les athanors ,
dont le charbon tombe dans le fo y er des fourneaux qui lui
font Joints. Moyen d’avoir dans l’athanôr de charas un fou
égal pendant vmgt-quatre heures. Différentes formes qu’on
donne h la tour de Fathanor. Moyen de convertir le dôme
c e la tour en un appareil u tile , en mettant une terrine à fa
place. Ufage de quatre regiftres aux quatre coins de l ’atha-
vor Ibid. a. Grille horizontale qi'ii doit fe trouver dans la tour
de 1 athanor, outre la grille du foy er: quand i l y a deux fourneaux
, & qu’il 11’y a qu’une tou r, il faut néceffairement une
plaque à lune & à l ’autre, &c. Figuré conique de la tour
c e 1 athanor. M: Cramer eft le premier qui a remédié aux
athanors anciens. Obfervations fur Fathanor de M. Cramer.
Athanors de Gellert & de Ludolf. Ibid. b. On peut cônfi-
dérer les fourneaux à lampe comme des athanor«.
j Des fourneaux polychrefies. Il y a des auteur, qui préten- I
dent qu’avec un pareil fourneau , on peut fe dilpenfer de I
tout autre, pourvu qu’on n’ait pas plufieurs opérations à I
faire à la fois. Examen de ces prétentions. Ibid. 24^. <7. Il J
faut entendre par fourneau polychrefte celui qui peut four- I
nir à plufieurs opérations difparates. Obfe'rvations fur ceux I
F O U 777
peut difiiller a la fois de trois façoiii;' Defcription de ce ■BH v- ■ H H H H i
Bec"r1e ? e| " ptl0ç ■ B H Hd%Hfburn H.f“ «I..*W• DiveMrs détaiilsÜ fur lies
operations auxquels on peut 1 employer. Ibid. 246. a b Le four-
neau de fufion de M. Cramer , fig. 26 & l i v . qui a é té ’
■ fuUinnrio" BHHSlffiHi r a H m H ■ & ™ Divers
chreftes q// ; / 1 v ®^ercés a , trouver des fourneaux p oly-■où F on exnofe j F1our.neau>c —décoftion pr■opreHmentS dit |e,
HH. wÊËÊBm 9 P ™ ! « m BU ■ B B H Q fùblimatioiïs de W D B i wmËËiÊÊÊSm
dc ces deux fourneaux. Autres four-
"unn ffoouutut^Mu ro^u VIo n ?fin"e dfeu xd, üoipt êPn“tù oauPsP delcl erm êpmoley cghernefrtee. ■ HH Cependant Ce font de tels-foumèaux q5i ont
I 9 H 9 H 9 H I H f i™ ' fo n t le fourneaux
I H H H B ° " H donne ici qu’un exemple ,
H h B S H D RoquetalUade , connu’ fous le nonv dé
Kupejcijja. Efpece de fourneau appellé philofophique par ceux
philüfophale. Defcription d ii.fo ur-
A W fÊ Ê K oe m l bld' b- & *uiv- L e fourneau de lampe
^ aPPe,lle f ° “ ™eau fecret des philofophes. Auteurs à confulter
*Ur les fourneaux philofophiques. En quoi notre four-
n e au ,_ /^ .,, différé de celùi de la Roquetaillade. Ibid.
Généralités fur la M f id n des'fourneaux. On a divifé le s
fourneaux , non d’après Fàélion combinée de l’air & du fe u ,
; " lai^ d a P1r,es ^ corps auxquels on veut appliquer le feu»
Raifons dune telle divifion. Pourquoi Fauteur n’a point
parlé des fourneaux de cémentation. Ibid, b Négligence
d eschymift es qui ont écrit avant G é b e r , en ce qu’iis ont
• négligé de parler des uftenfiles qu’ils employoient pour leurs
operations. Enumération des fix fourneaux effentiels à un
laboratoire, & que la plupart des auteurs s’accordent à regarder
comme fuffifans. Ibid. 248. 1. Méthodes de quelques
auteurs dans la divifion dès fourneaux : ces méthodes regardées
comme infuffifântes, & fujettes à plufieurs inconvé-
mens. Ibid. b. Diverfes obfèrvations fur les registres. Ibid. 248' 2.
■ • C ’eft phr lès Ventres & le foupirail ,
Si?” ' 'S 1? ces difïèfens dé^rés. Md . i . Degrés, dé feu tliftin-
gues par lè7 stic.cm? Ceu x que Vanhelmorjt a- djftijtsués.
. D ivers moyens par léfqüels dit a é k lù é ÏSj'fdé^ is d tfféu.
Ibid. 24». 2. a. Gradation qu’on peut établir entre'les feux les
plus violens. .
De l aliment du feu. Ibid. b. Concours de l’air néceffaire
pour embrafèinent. D u choix à faire dans le charbon. Les
charbons doivent être tenus dans un lieu fec. Qualité du
chàrhoil de ferre. Ce llç de la tourte. D e l’ufage dit bois.
Emploi de l’huile & dé l’efprit de vin pour entrétenir le
feu. Ibid. 248. 3. a.
GénéralitésJur le jeu de l ’air 6* du f e u , & fur fon aliment
dans Us fourneaux. Fourneaux qu’on échauffe avec le bois:
Moyens d’éviter les inconvéniens de la fumée. Ibid. b. La
flamme du grand fourneau anglois ne reflemble point à la
flamme ordinaire. A quelle caufe on doit attribuer cette dif-
r!r! I1C^ Suite des obfervations fur la fumée dés fourneaux.
Ibid. a. Delcnption du poêle fans fumée de M. Dalefme. Ibid. b.
Opérations dans lefquellé's il feroit utile d’employer une
flammé qui nauroit que tres-peu ou point du tout de fumée,
fourneau qui feroit le plus approchant du poêle fans fumée.
Comment on pourrait lui donner cette propriété. Matière
noire & feche qui s’attache à la partie fupérieure des fourneaux
dans le four des fournaliftes. Des moyens d’établir
des poêles domeftiques fans fumée. Odeur de foie defoufre
& quelquefois de foufre brûlant qu’on fent quand on ailume
les fourneau*-Jbid. 248.4. a. Moyen de les allumer lentement.
Pourquoi Fàclion du feu dans cette maniéré d’allumer fe
communique de haut en bas. Ibid. b. Diverfes obTervations
fur le fe u , les moyens de l’entretenir & de le gouverner.
Obfervations fur l’ufage des fourneaux de métal & des fourneaux
de terre par rapport à la maniéré dont les uns & les
autres confervent la chaleur. Méchanifme par lequel le
charbon brûle dans le foyer d’un athanor. Ibid. <7. Bains-
marie faits d’un grand chauderon, au milieu duquel paffe
une tour de fonte qui contient le feu comme une tour d’a-
thaiior. Oh eft en ufage en Pharmacie . de fécher les plan-
t e s , oc de tenir feches certaines drogues avec un athanor
f Ui.aVr C un a Italienne. Ibid. b. Defcription du poêle
à 1 italienne. Ses avantages lur le poêle ordinaire. Ibid. 248. «.
a. Ses avantages fur les athanors dont les apothicaires fe
fervent pour • leurs étuves. Principes qui ont dirigé les
L L L L 11111