456 C Y N C Y P
de le démontrer par la méthode des indivifibles. V I I I . 685. 1
a. Développement de la théorie de la réfiftance des folides
par d iverfes expériences faites fur un cylindre. X VI. 174. a,b.
Cylindre, ( Pharmac. ) forme que l’on donne aux emplâtres.
IV . 593. a.
Cylindre, ( Blanchiff. de cire) IV . 593. n.
Cylindre, compos a: l i t 758. * , b. Voye^vo 1. V des planches
, article Méchanique. planch. 3.
CYLINDRE, échappement à ,{H o r lo g. ) V . 236. b. X IV .
Ï40. a. D es frottemensdans ces échappemens. V II. 347. b.
Cylindre du moulin à papier. IV . 593. b. Voye{ PAPETERIE.
C Y L IN D R E R , machine à , ( ManufaB. en foie ) vo l. XI.
des planch. Soierie, p l. 134 & 133.
C Y L IN D R IQ U E , miroir. X . 569. b. Pouce cylindrique.
XIII. 187. b.
C Y L IN D R O ID E , l ° . folide qui approche de la figure
d’un cylindre, 6*c. Etymologie du mot. a°. Solide formé par
la révolution d’une hyperbole autour de fon fécond axe.
Propriété du cylindroïde démontrée par M. Parent. IV . 593.
b. Voyez CONOIDE.
C Y L LEN IEN S, monts. X . 682. a , b.
C Y M A I S E , c e qu’on entend par ce mot en architeâure.
C YM B A L E , ( Lutherie) étymologie de ce mot. Infiniment
que les anciens appelloient de ce nom. Divers noms
qu’ils lui ont donnés. Diverfes lignifications qu’a eues parmi
eux le mot de cymbale. IV . 593. b. Defcription & maniéré dont
on fe fervoitde cet infiniment. A qui l’on en a attribué l’invention.
Q u i étoient ceux qui en jouoient. Les cymbales des
Juifs nous font inconnues. Defcription de la cymbale moderne.
Ibid. 594. a.
Cymbale des Hébreux. Suppl. IV ; 982. b.
Cymbale, jeu d’orgue. Elle eft compofée des o âa ve s de
defius des jeux dont les cornets font compofés , &c. La
cymbale n’a proprement qu’une o â a v e , qui fe répété
autant de fois que le clavier en contient. Exemple qui en
fait voir la difpofition. IV . 393. b. Voye{ Jeux d’orgue.
C Y N IQ U E ,. fe â e d’anciens philofophes. Origine du c y -
nifme & du ftoïcifme. Lieu près d’Athenes appelle cyno-
farge : temple qui y fut bâti. Gymnafe établi aux environs
pour les étrangers & les enfans illégitimes. IV . 594. b. Divers
ufages de ce lieu , dans lequel auili Antifihene , fondateur
de la fe â e cynique, s’établit & donna fes premières leçons.
Pourquoi fes difciples continuèrent d’être appellés cyniques.
Bizarrerie de leurs moeurs. Ils ne tardèrent pas de fe répandre
dans toutes les provinces de la Grece. I l n'y avoit que
la publicité qui pût pallier la licence apparente de leur philosophie.
Ufage qu'Antifihene fit des' préceptes du rhéteur
Gorgias & de la doârine de Socrate. Appareil dans lequel il
paroiffoit en public. Parole pleine de lens que lui adrefla
Socrate. Comment il pratiqua fa philofophie. Son commerce
trop difficile ne lui permit pas de conferver des difciples.
C e qu’il exigeoit de ceux qui vouloient entrer dans fon
école. Ibid. 593. a. Pourquoi les cyniques étoient outrés dans
leurs préceptes. C ’eft à tort que leurs détraâeurs les ont
accufés de vanité. Ils avoient éloigné les beaux arts, l’étude
des fciences & toute l’élégance des Athéniens pour ne fe
dévouer qu’à la vertu feule ; & ce fut cet excès de mépris
des arts & de la décence qui fit tomber leur fe â e en diferé-
dit. L’expofé qu’on trouve ici des principales maximes de la
morale d’Antifihene, peut faire voir l ’injuftice de ce diferé-
dit univerfel. Ibid. b. Paroles de ce philofophe qui peuvent
fervir à faire connoître fon caraâere, & qui montrent que
fa vertu étoit chagrine : quelle en étoit la caufe. ibid. 396. a.
Hiftoire & caraâere d s Diogène, difciple d’Antifihene. Ibid. b.
Diogene ne forma aucun, fyftême de morale , & s’en tint à
un petit nombre de principes fondamentaux. Expofé de ces
préceptes. Ibid. 397. a. Quelques-uns de fes bons mots.
Ibid. b. Jugement que Montaigne a porté de ce philofophe.
Cyniques qui ont eu quelque réputation après Diogene.
X eniade , Onéficrite, Phocion, Stilpon de Megare, Monime
de S yracufe , Cratès de Thebes : comment il fe vengea d’un
fouflet. Quelques traits de fa vie. Ibid. 398. a. Calomnie dont
on l’a chargé. Métrocle,Théombrote & Cléomene, Démé-
trius d’A lexandrie, Tim arque de la même ville. Echecle
d’Ephefe, Menedeme le frénétique, Ctéfibius de Ch a lc is ,
Mènippe, compatriote de Diogene : fon genre de v ie : il fe
pendit de défefpoir d’avoir été volé : ainfi finit le cynifme
ancien. Renaiffance du cynifme quelques années avant J. C.
Cette philofophie dégradée par fes nouveaux difciples. Enumération
de quelques-uns d’entr’eux. Ibid. b. Nous ne lavons
que peu de chofe de Mufonius, de Démétrius, d’CEnomaüs ,
de Démonax, de Cre fcence , de Pérégrin, d eSa llu fte , le
dernier des cyniques. Réflexions fur la philofophie cynique.
Ibid. 599. a. # r j -1
Cynique, la fe â e des philofophes cyniques établie premièrement
au Piree. XII. 654. a. Manteau de ces philofophes.
IV . 101 o. a , b. La diftinélion des termes honnêtes & malhonnêtes
rejettéepar les cyniques. IV . 884. A X . 761 . b.
C y n iq u e , fpafme, (Médecine) hifioire de deux familles
dans la province d’O x fo rd , atteintes de cette forte de fpafme."
IV . 399. a. Caufe de cette maladie , félon Freind. Ibid. b.
Voyez Distorsion.
C Y N IR A S , ( Ht fl. anc. ) malédiction qu’il prononça contre
fà bru & fon petit-fils. Suppl. I. 366. a.
C YN O C É PH A L E , ( Zoolog. ) efpece de linges. IV .
399. b.
Cynocéphales , v o y e z fur cette forte de linges. X V . 208.
b , &c.
Cynocéphale , ( Mythol. ) animal fabuleux révéré des
Egyptiens. IV . 399. b. Prétendus hommes à tête de chien.
Ibid. 600. d.
C Y N O G L O S S E , ( Botan. ) propriétés médicinales de cette
racine. Pilules de cynogloffe. Syrop du fuc de .cette plante.
Ses propriétés. Compofition des pilules , félon la pharmacopée
de Paris. Q uelle en eft la dofe. IV . 600. a. Voyez Langue
de chien.
C YN O PH O N T IS , voyeç plus bas Cynophantis, après
Cynofarge.
C YN O R EX IE , voyeç Faim canine.
C Y N O R R H O D O N , voyeç Églantier. Conferve de
cynorrhodon. IV . 43. æ. V . 4 19. a.
C Y N O S A R G E , ( Mythol: ) nom d’H ercule , &c. IV .
600. a.
Cynofarge. Obfervations fur cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. II. 667. .b.
Cynofarge, lieu près d’Athenes. IV . 594. b. Etabliffement
formé dans ce lieu. XI. 937. a.
C YN O SU R E , ( Aflron. ) la petite ourfe. Etymologie dé
ce mot. Etoiles qui compofent cette conftellation. Etym. du
mot feptentrion. IV . 600. b.
C Y P E R U S , genre de plante, auquel plufieurs botaniftes
ont rapporté l’elpece connue feus le nom de papyrus. X I. 879.
a 9 b. Article fur cette plante, au mot Souchet.
C Y PH I , {Mat. méd.) parfum fortifiant. Trochifques appelles
de ce nom'par Mithridate, qui les fit entrer dans la
compofition du Mithridate. Leur compofition. Ufage qu’on
en fait aujourd’hui. IV . 600. b.
C Y PH O N ISM E , ( Hifl. anc. ) ancien tourment auquel les
premiers martyrs ont été fouvent expofés. En quoi il con-
fiftoit. Etym. du mot. C e que quelques-uns ont écrit fur le
xu'çm/ , dont le mot cyphonifme eft dérivé. Fragment d’une
ancienne loi qui fe trouve dans Suidas, où il eft parlé de ce
fupplice. IV . 600. b.
C Y PR E , voyei C h y p r e . Délices de cette ifle. XI. 846.
a. Cypre fe vantoit d’être la patrie d’Homere. X V . 243. a.
CY PR ÈS , ( Botan. ) caraâere de ce genre de plante.
Lieux où il croît. Deux efpeces de c y p r è s , appellées l’une
cyprès femelle , l’autre cyprès mâle ; qualifications impropres
, &c. Ces deux efpeces ne fe. reproduifent pas conftam-
ment les mêmes. On prétend qu’en femant la graine de
l’une ou de l’autre , il en vient des deux fortes. IV . 601.' a.
Defcription de ces deux efpeces. Ufages qu’on peut faire
dans les jardins du cyprès pyramidal. Fauffe opinion qu'on
en a conçue. Terrein qui convient à ces arbres; D e la maniéré
de les multiplier & de les cultiver. Attentions qu’il
faut avoir en les tranfplantant & en les taillant. Ibid. b. A c -
croiffement de ces arbres. O n ne peut les multiplier pour
le profit dans nos contrées , parce que les grands froids les
font périr. D e leur feuilles & de leur verdure; A quel âgé
ils donnent du fruit. Tems de leur maturité. En quel tems
on doit tirer la graine des pommes pour la femer. Qualités
du bois de cyprès. Ibid. 602. On amire que des portes de
l’ancienne églife de S. Pierre de Rom e , faites de ce b o is ,
ont duré onze cens ans. C ’eft fans fondement qu’on a écrit
que les fourmis s’attachoient à cet arbre. On aflùre qu’il purifie
l’air. T rois autres efpeces de cyprès.
Le cyprès de Portugal. Obfervations fur cet arbre. Le
cyprès de Virginie. Sa defcription, tirée dé Catesby. Ibid. b.
Qualité & ufage de fon bois. Ce t arbre eft aquatique, recherché
des oifeaux, fur-tout du perroquet, qui y fait fon nid. D e
la maniéré de le multiplier. Vigueur de cet arbre. Effais de
l’auteur pour conferver les jeunes plants.
Le cyprès d’Amérique, ou le cedre blanc. Lieux où il fe
trouve. Sa defcription. Ibid. 603. a. Sa culture. Ibid. b.
Cyprès. Caraâere générique de cet arbre. Suppl. II. 667. b.
Enumération de fes efpeces. Ibid. 668. a. Pourquoi les arbres
toujours verds, font depuis long-temsen diferédit en'F rance.
Qualités & mérite de ces arbres qui doivent engager à les
cultiver. Defcription , culture , qualités Scufages des différentes
efpeces de cyprès. Contrées & climats dont ces arbres
font Originaires. Ibid. b.
Cyprès. Celui qu’on appelle petit cyprès. VII . 311. b.
CYPRÈS , {Mat. méd.) propriétés médicinales des fruits
du cyprès. Maladies dans lefquelles on les emploie. M anière
de les adminiftrer en remede. Noms que leur donnent les
pharmacologiftes. Compofitions pharmaceutiques, où ce fruit
entre. IV . 603. b.
C y p r è s , {Mythol. ) fymbole de la trifteffe. IV . 603. b.
Cyprès „
C Y R
• Cyprès , on le mettoit autour dû bûcher dans les funérailles.
X V I I .525-* . '
C Y P R lA N , ( Abraham ) anatomifte. Suppl. 1. 404. a.
CY PR IEN , {Sa in t) éditions de fes oeuvres. Ses erreurs.
Obfervations fur fon ftyle. XII. 341. b. Sa doârine fur le
baptême dés hérétiques. XIII. 839. b. Ufage qu’il faifoit du
fort. X V . 380. b. Il perfectionna la tachygraphie de Séneque.
816. a.
C Y P R U S , ( Botan. ) le cyprus des anciens eft l’alcana des
modernes. Suppl.I. 237.b.
CY PSELIDES. D u coffre des cypfélides. V . 891. b.
C Y PS E LU S , ( Hifl. anc. ) citoyen de Corinthe, fe ménagea
, avec tant de dextérité , l’affeâion du peuple , qu’il fut
revêtu du pouvoir fuprême, fans employer la rufe & la v io lence.
Il la fit enfuite paffer à fon fils Périandre. Diverfes
révolutions qu’éprouva le gouvernement de Corinthe. Suppl.
II. 672. b.
C YRBES ou A xones , {Hifl. anc.) noms donnés aux loix
de Solon. Lieux où l’ort en gardoit l’original. Maniéré dont
elles étoient écrites. IV . 603. b.
C Y R E N A ÏQ U E , fcBe , ( Hifl. de la Philofophie ) diverfes
fe â e s oppofées, qui naquirent de l’école de Socrate. Origine
& fondation de la fe â e Cyrénaïque. Caraâere de la philofophie
d’Ariftipe fon fondateur. Soupçons qu’on répandit fur
fes moeurs. Son commerce a v e c la courtifanne Laïs. Son féjour
à la cour de Denys. IV . 604. a. Ariftipeaccufé d’avoir manqué
à Socrate, à Diogene , à Platon. Sageffe de fa conduite auprès"
de Denys. Il cultiva particuliérement la m orale, & faifoit
cas des mathématiques. Il eftima finguliérement la dialeâi-
que. Ses principes philofophiques. Ibid. b. Suite de fon hiftoire.
Ses difciples. Hégefias , furnommé le Pifithanate. En quoi
fa doârine différoit de celle d’Ariftipe. Anniceris : fa do-
ârine. Théodore l’athée , principaux événemens de fa vie.
Ibid. 603. a. Principes qu’on lui attribue. Evemere le Cyrénaïque.
Bion le berifthenite : diverfes fe âe s auxquelles il a
participé. Son caraâere. Calomnies dont il fut l’objet. La
fe â e cyrénaïqué ne dura pas long-tems. Q u elle en eft la
raifon. Ibid. b.
. CYRÉNAÏQUE, ( Géogr. anc. ) contrée d’Afrique ; qui fut
aufli nommée Pentapole à caufe de fes cinq principales villes.
Rocher merveilleux dans cette contrée , félon Pomponius
Mêla. Suppl. II. 672. b. Obfervation fur la fécondité & les
produâions de ce p a y s , félon le rapport d’Hérodote. Ibid.
673. 4.
Cyrénaïque , Pentapole, ( Géogr. ) XII. 313.4. Partie de
la L ybie. Suppl. III. 816. b.
C Y R E N E , ( Géogr.) v ille d’A friq u e , capitale de la C y r é naïque.
Son originé. Ses révolutions. Noms arabes de cette
ville. Juifs & chrétiens de Cyrene. Nombre des villes & v illages
qui étoient dans fes environs. Philofophes dont elle fut la
patrie. Réponfe de Platon aux Cyrénéens qui lui avoient
envo yé demander des loix. Suppl. II. 673. a.
Cyrene, v ille de Lybie: Suppl. III. 816. b. Veftiges de 1,’an-
cienne Cyrene. VII I. 4 77. b. Monnoies de cette v ille dans le
cabinet du roi. X. 233. b. Ses habitans facrifioient au dieu
chaffe-mouche. 1. 97.4. Suppl. I. 866. a.
C Y R IA D E , {Hifl. de l ’empir. Rom. ) premier des trente
tyrans qui envahirent l’empire fous le régné de Valérien & de
Gallien. Principaux événemens de fa vie. Suppl. II. 673 .4.
C Y R IC E N E S , ( Hifl. anc. ) falles de feftin chez les anciens
Grecs. D ’où elles tirèrent leur nom. IV . 606. a.
Cyricenes, fautes à corriger dans cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. II. 673. b.
C Y R IL L E , ( Saint) deux patriarches de ce nom : examen
de leurs ouvrages. XII. 342. b.
C Y R O P É D IE , quels font les Indiens dont il eft parlé dans
cet ouvrage. VII I. 661. a.
C Y R U S le'grand, {Hifl. anc.) Obfervations fur fon hiftoire.
V I I I . 222. 4. Le nom de meflie donné à ce roi. X. 402.
a. Comment il vainquit les Saces. I. 397. a. X IV . 472. 'a. Sa
y iâo ire de Thymbrée. X V I . 309. a. Traitement qu’il fit à
Gréfus. X IV . 634. b. Poftes qu’il établit dans fon empire. IV .
391. b. XIII. 170. b. Son goût pour la chaffe. X V I . 9 x7. a.
C yr u s , ( Hifl. anc. ) fils de Darius. Hiftoire de la v ie de
C Z I
II & & & rtvotte é o nm fon frer'ë A r t i i in j l s . Suppli,
C y r u s . Sa révolte contre fon frere; Suppl I f00/ ,
C T S IQ U E , » d é t é des Phildteres à C y V e ? 9i i l bi
Prytanes & prytanée de cette ville. XIIÏ. 336* a. 337 Æj
Fêtes qu’on y célébroit en l’honneur de Neptüne.XV. 041;
4. 944. b.
C Y S T -H E P A T IQ ü E , conduit, ( Anatom, ) auteurs qui en
ont parlé les premiers. D n’a pas encore été découvert dans
1 homme. IV . 606. a. V)yeq HÉPATICYSTIQUE.
C Y S T IQ U E , ( Anatom. ) arteres & veines cyftiques. Re-
medes cyftiques. Canal cyftique. IV . 606. a. ■
m m . m . 844. u. s u f f i . 1 « f e I b. suppi. i a
o°- a- Bue cyftique, voye^ Bile & Fiel.
X l v ^ é ’ Uconiques > L * 97- III. 334- a. IV . 666. b:
C A T H A R E , à fept cordes des anciens. VIII. 178 a b ' J ^ T i7'phormine‘-Surrl-Iv- "• A»' & •
C Y TH E R È E , è u te à corriger dans cet article de l’Encv-
clopedie. Suppl. IL 674. a. 3 '
C Y T I S E , ( Botan. ) caraâere de ce genre de plante IV '
606 .4. r
, Cytise-Genet , ( Botan. ) variétés de fes efpeces. O n
n en vo it aucun dans les pays du Nord. Les uns cependant
réliitent aux plus grands froids ; les autres ont befoin de
lorangerie en hiver , &c. Variétés dans la couleur des fleurs;
Peu d utilité de ces arbriffeaux.
L e plus beau & le plus utiie-eft le ftu x ébenter ou evrifè
des Alpes. Diverfes obfervations fur cet arbre. Variétés dans
les cytifes des Alpes. IV . Ô06. i . L e cyrife des jardins défigné
lous la phrafe de cytife à feuilles liffes arrondies, dont le
pédicule eft très-court. D iv erfes obfervations.fur cette plante.
L e cytife verd foncé. Sa defcription & fa culture. L e cy tife
Velu. Le cytife rampant. C e font là les efpeces de cytife les
phis robuftes & les plus intéreffantes. Autres efpeces. L e
cytile des Canaries. L e cytife épineux, ibid. 607. a. L e cytife
de Montpellier. L e cytife à feuilles blanchâtres & à gouffes
longues. Cy tife v elu à fleurs jaunes pourprées; cytife v e r d -
cytife de Portugal ; cytife à feuilles argentées ; cytife du
L e v an t , à grandes feuilles blanchâtres en-deffous. C y tife d’A frique
, d’Amérique, à fruit blanc. Cytife-indigo ; cytife à
feuilles ovales ; cytife de Sibérie. Ibid. b.
Cytife. Noms de cette plante en différentes langues. Son
caraâere generique. Enumération de feize efpeces renfermées
dans ce genre. Leur defcription, culture, qualités & ufages.
Lieux ou elles croiffeht. Suppl. II. 674. a.
Cytife. Différentes efpeces. Celle qu’on nomme labumum.:
XI. 149. a. Genet-cytife. VII . 377. b. Cy tifes du Japon,
dits jedogaua-tfutfufi, VII I. 307. b. Scto-ken ou fatfuki. X V I ;
386. b. j j *
IH 608*0' ^ B ^ ) ProPriété qu’on attribue à fes feuilles*
C Y Z IC È N E S , {Hifl. anc. ) voyeq CYRICENES,
C Z
C Z A R , {Hifl. mod.) on prononce dans le pays tzar oii
laar. Etym. du mót q 4r. Premier prince qui a pris ce titre;
Nom que ces princes portoient auparavant. Comment le titre
d empereur leur fut accordé par la cour de Vienne. IV
608. a.
Cp r . Obfervations fur ce titre. X IV . 443 . b. Etymologie
de ce mot. Premier prince oui prit le titre de irur & d e
fow 'h u l. C e titre changé par Pierre I , en celui d’empereur;
, . 729- a . b. L empereur de Conftantinople lui conféra
le titre de grand-maitré de' fa mâifon , ou iu f i f a , comme
une marque de faveur. IV . 631. . . Mariages des anciens
czars. X IV . 444. i . C e prince eft le feul cabaretier de fes
états. Revenus que lui procurent les cabarets. II 47c b.
Dîme qu’il leve fur fes fujets. IV . 1090. 4 , b. Gardes-du-
corps du czar. Suppl. III. 186. b. Ses armes , planch. i< du
b lafon, vol. II. 1
C Z IR N IT Z , ( Géogr. ) lac de ce nom, voye^ C ir k n it z *