n o C A D C A E
montrer l'heure on y met deux fortes de ftyles» : ftyles droits
& obliques. Le bout du ftyle droit reprétente le centre de.
tous les grands cercles de la Iphere. Le plan du cadran eft
fuppofé éloigné du. centre de la terre d’une quantité égale a
la longueur au-ftyle droit, IL 517. b. Les lignes horaires font
la rencontre des méridiens où le foleil le trouve à chaque
heure avec le plan du cadran. Où fe trouve le centre du
cadran. Cadrans qui n’ont point de centre. Verticale du plan
du cadran. Hauteur du ftyle. Ligne horizontale par rapport
au cadran. Ligne verticale du lieu. Méridienne du cadran Sc
méridienne du lieu. Ligne équinoxiale. L e point où fe rencontre
la fouftilaire & la méridienne eft le centre du cadran.
Ibid, ça8. a. Cadrans horizontaux & verticaux. Cadrans
déclinans j inclinés, 6-c. Plan réclinant. Cadran équinoxial,
fupérieur 8c inférieur. Méthode pour tracer géométriquement
un cadran équinoxial, fupérieur, inférieur & univerfel.
Ibid. b. .
Du cadran horizontal. Méthode pour le tracer géométriquement.
II. 519. a. Comment on doit l’orienter. Méthode
pour décrire un cadran horizontal trigonométriquement.
Ibid. b. ■ ■ , .
Du cadran vertical. Diverfes fortes de. cadrans verticaux.
II. 519. b. Méthodes pour tracer le cadran vertical méridional,
le cadran vertical feptentrional, Ibid. 3 20. a. le cadran v er tical
oriental & l e cadran occidental. Ibid. b. D u cadran
polaire , foit infcrfeur, foit fupérieur. Méthode pour tracer
ces cadrans. Tracer tous les cadrans de la première efpece
fur le même corps irrégulier. Les cadrans de la première
efpece font l’horizontal , & le vertical tracé fur le plan du
méridien ou du premier vertical. Ibid. 521. a. Cadrans fecon-
daires ou de la fécondé efpece , tous ceux qu’on trace fur
des plans qui’ déclinent, inclinent, reclinent, &c. Méthode
pour tracer trigonométriquement un cadran vertical déclinant.
Ibid. b. Décrire géométriquement un cadran vertical qui'
décline du midi à l’orient ou au couchant. Tracer un cadran
vertical déclinant du nord vers l’orient ou l’occident. Ibid.
322.*r. Des <:adrans ùi<:linés. Méthode pout■ tracer un cadran
incliné. Des cadrans reclinans. Méthode pour les tracer.
Ibid. b. On trace aufli par la trigonométrie les cadrans inclinans
-8c reelinans. Co:minent on trouve l’<blévation clu pôle
fur le plan du cadr;111. Des cadrans déinclinès. Méthode
facile de traicer un cridran fur toutes forte•s de plans, par le
moy<
qu’on
ai d’un cadran équinoxial mobile. rIbid. 323. a. Ce-’
1 entend par cadr;ms fans centre. Poui• quelles fituations
8c quels liciix font faits les cadrans horizontaux fans centre,
Scies v-ertic:uix aufli ùins centre. Maniéré de tracer un cadran
horiz.orital ;fans centre. Cadran vertical,, méridional fans_
èrvations fur les cadrans pour les lieux qui ont
la fpltére drbite, 8c pour ceux qui l’ont parallele. Ibid. b. On
renv' : traités-ceunplcts de gnomonique pour les autres
efpec:es de <:adran doiat on n’a point parlé, 8c pour apprendre
icer beaucoup d’;autres choies fur les 1cadrans.
ans noflur7W. i°. Du lunaire. Méthode pour le
traceI Trac:er un cadran lunaire portatif fur un plan qiu peut
: felon l’élévation de l’équateiir. Maniéré de fe
fervir d un c:adran folsire comme s’il étoit hmaire. Ibid. 324. a.
2°. D u cadran aux étoiles. Defcription de ce cadran. Ibid. b.
Maniéré de s’en fervir. Autres lignes qu’on trace fur un
cadran, outre celles des heures. L’effentiel d’un hon cadran
eft que les lignes horaires & fur-tout la méridienne foient
fcten tracées, 8c le ftyle bien pofé. Ibid. 525. a.
C a d r a n solaire , ( Gnomonique') explication des principes
fur lefquels font conftruits les cadrans dont parle l’Encyclopédie.
— Nouvelle divifton des cadrans en cadran azi-
mutal 8c méridional. Divifton des méridionaux en horizontal
8l vertical, 8c des verticaux en auftral 8c boréal, orientai,
occidental, &c. Suppl. IL 97. a. Méthode pour tracer un
cadran horizontal. Ibid. b. Méthode pour tracer un cadran
v e r t ic a l, auftral Sc direél. — Rapport qui fe trouve dans la
conftruétion du cadran horizontal 8c de l’azimutal. Ibid. 98. a.
Échelles-qui fie trouvent dans les étuis de mathématiques
d’Ang lete rre , à l’aide defquelles. on conftruit les cadrans
folaires avec exaélitude 8c facilité pour quelque hauteur du
pôle que ce foit. Auteurs auxquels on en attribue l’invention.
Ouvrages où cette méthode eft décrite. Defcription 8c ufage
de ces échelles. Ibid. b. Maniéré de les conftruire. Ibid. 99. a.
Suite d!opérations par lefguelles l’inventeur peut être par-,
venu à leur découvertt.Ibid, ïo o . a. Sorte.d’échelle propofée-
par M. Lambert, qui fert pour toutes les hauteurs du pôle
aufli bien que celles q u ’on vient de décrire. Son ufage pour
la conftmaion du cadran horizontal, 8c du vertical auftral.
Ibid. 101. a . Defcription d’inftrumens qui marquent lés
heures par les hauteurs du foleil. Maniéré de s’en fervir. Ibid. b.
Sefteur qui fert au même ufage. Ibid. 102. a. Avantages de
ce t inftrument.— Autres inftrumens qui indiquent lés heures
par les hauteurs du foleil. Ibid. 103. a. Defcription d’un
nouveau cadran fol aire, qui n’a pas encore été publiée. Ibid. b.
Nouvelle méthode pour conftruire des cadrans folaires,
jfour uuç latitude donnée, fans le feconrs des échelles des
logarithmes. Ibid. 104. a. Autre méthode ftmple 8c facile
pour conftruire toutes fortes de cadrans folaires. Ibid. 105. «.
Méthode 'ftmple 8c facile pour conftruire un cadran hori-,
zontal. Ibid. b. Méthode pour établir les équations.des lieux,
géométriques tracés fur un cadran. Ibid. 106. a. ,,,
Cadran, divers cadrans folaires de l ’antiquité. XIII. 636. b.
637. a. Suppl. III. 240. b. 334. b. Ufage de la bouflole pour
la conftruaion des cadrans. IL 377. b. D e l’inclinaifon du
plan fur lequel on veut tracer un cadran. VII I. 651. a. D e
fa décliriaifon. II. 3 77. b. Moyen de trouver cette, déclinaifon.
IV . 696. b. Maniéré de prendre la réclinaifon d’un plan.;
XIII. 83/L a. Ligne fouftilaire dans les cadrans. X V . 422.a..
Lignes horaires. VII I. 296, b. Centre d’un cadran. II. 824. b.
Inftrument pour les cadrans folaires. Suppl. III. 7 7 1 . a. Inftrument
qui fert à tracer les fignes fur les cadrans. X V I .
639. b. Cadrans horizontaux. V II I. 298. a. Cadrans verticaux.
X V lI . 172. b. Cadrans premiers verticaux. XIII. 189. b.
Cadrans déclinans. IV . 697. a. Cadrans déinclinans. IV . 773.
a. Cadran polaire. XII. 906. b. Cadran à réflexion. X lIL
890. a. à refraétion. 900. a , b. Efpece de cadrans appellés
anneaux folaires. I. 480. b. Cadran azimuthal, voyez A z i -
muth 8c A zimuthal. Defcription 8c ufage d’un inftrument
qui montre l’heure 8c l’élévation du foleil fur l’horizon pour
toute latitude. Suppl. III. 369. a , b. Sur les cadrans, voyez
Gnomon 8c Gnomonique.
Cadran, dans les horloges. Cadrans des montres. Comment
ils font pofés fur la cage. IL 525. a.
Cadrans d’émail, ( Émaill. ) defcription de l’art de les
faire 8c de les peindre. Suppl. IL 793. a , b. 8cc. ,
Cadran , ( Architecture ) décoration extérieure d’une
horloge. Comment ces décorations doivent être faites. Les
cadrans folaires s’ornent aufli de figures 8c attributs relatifs
au fu je t , 6’c. IL 523. b.
Cadran, inftrument de lapidaire ; defcription avec figures.
L’ufage de cet inftrument fe v o it à l’article Lapidaire. IL 323 . b.
C A D R A T U R E , ouvrage contenu dans l’efpace qui eft
entre le cadran 8c la platine d’une montre ou d’une pendule.
IL 323. b. D e quoi elle eft compofée dans les montres fimples
8c dans les pendules fimples. r ieces contenues dans la eadra-
ture des montres 8c pendules à répétition. O n a fait un grand
nombre de cadratures très-différentes les unes des autres;
mais il n’y en a guere que trois ou quatre qu’on emploie-
ordinairement. La perfection d’une cadrature confifte principalement
dans la jufteffe 8c la fureté de fes effets. C e feroit
un grand" avantage de placer toutes les pièces de la répétition
dans la cadrature. On donne aufli le nom de cadrature aux
pièces dont nous venons de p a r le r , lors même que félon
d’autres méthodes, elles font fituées ailleurs que fous le
cadran. Ibid. 326. a.
Cadrature, roues de la cadrature. X IV . 3 90. a. Obferva*
rions fur la réfiftance qu’oppofent quelques parties de la
cadrature d’une répétition. V I I . 331 .b. Quelques p ièces de la
cadrature: limaçons. IX. 336. b. Cremaillere. IV . 432. a , b.
Surprife. X V . 694. b. Valet. X V I . 817. b. T o u t ou rien.
498. b. Étoile. V l. 67. b. Cadratures d’équation. V . 839. b.
803. a. Sur les cadratures , voyez Répétition, 8c les planch,
d’horlogerie, vol. IV . «
.C A D R E , efpece de cadres d’eftampes appellés paffions.
XII. 133. a. Différentes fortes de cadres de menuiferie. vo l.
V IL des planch. Menuiferie en bâtimens, pl. 2. n°. 3 8c 4.
• CAD R 1TE S , religieux mahométans. Leur fondateur.
Condition fous laquelle ils peuvent quitter leur monaftere
pour fe marier. Leur danfe du vendredi. Réglé par rapport
à leur extérieur. II. 326. b.
C A D U C A IR E , lo i , IX. 634. a.
C A D U C É E , verge ou baguette de Mercure. Origine du
caducée. Le caducée confidéré comme fymbole. 526. b. Pour-,
quoi les ambafladeurs chargés à Rome de traiter de la paix,
portoient en main un caducée. Diverfes propriétés de c e lu i.
de Mercure. Signification du caducée employé comme fym-
; bole fur les médailles. Ibid. 327. a.
Caducée, defcription du caducée de M ercure. XV II . 323. br
L e caducée employé comme figure fymbolique. X V . 720. b.
Caducée ,(B la fo n ) meuble de l’écu. Explication de cette
figure fymbolique & de fes parties. Suppl. IL 106. a.
C A D U C IT E , voyez VIEILLESSE.
CÆC1L IA , loi. IX. 636. b.
C A E L A , ( Botan. ) nom brame d’une plante du Malabar.
Ses différentes défignations. Sa deferiptioni Suppl. IL 106. b.
Lieux où elle croît. Ses qualités & ufage s. Maniéré de la
t claffer. Ibid. 107. a.
CÆ L IA , loi. IX. 636. b.
CÆLIU S AU R E L IA N U S , médecin. X.- 281. b. Analyfc
de fon ouvrage fur l’embonpoint exceflif, confidéré comme
maladie. XII. 300. b. 301 . a.
C A E N , la deuxieme ville de la province de Normandie."
Son château. Ses paroiffes, abbayes & couyens. Hommes,
illuftres dans la littérature que cette ville a produits, Suppl, U, •
107. a.
C A H C A I 21 I
C A E R F U X Y , ( G * j r . ) .ville tfAngleterré dans la jttinci-
pauté de Galles. Son antiquité. Ses foires 8c fon commerce.
Rivières de H territoire! Süppli H, l ç 7„ e .
C A E R -G W E N T , ( Géogr. ) autrefois Ve n t a -Siw r u m .
X V II . 24- A , V , * , A ,
CA ER-LEON , ( Géogr. ) v ille d’Angleterre dans- le comté
de Moumouth. Embelliffemensqu’elle avoit reçus des Romains.
Son état préfent. Suppl. IL 107. b.
C A E RM A R TH EN , (Géogr.) ville d’Angleterre dans la
principauté de Galles. Diverfes obfervations fur cette ville.
Suppl. IL 107Cb. I
CAERM ARTHEN SHIRE,.( Géogr.) province méridionale
de la principauté de Galles. Ses bornes Sc fon étendue. Q u alité
8c produirions-du pays. Sesprincipales villes. Ses paroiffes.
Suppl. IL j 07. b.
CÆSALP1N , ( André ) médecin.-L 669. a , b. Sa méthode
botanique. Suppl. IV . 404. b. *
CÆ S A R , (Hifi.rom. Ven quoi confiftoit ce titre fous les
empereurs. I. 877. a. XV II . 760. 'b. Procureur de Cæfar.-
XIII. 418. b. Titre de nobiliflime donné aux Cæfars. XI.
163. a. — Voye\ CÉ’ÉAR. .
/ Cæsar , (Julius) voyez César. . :
CÆSAR, (Ca iu s) voyez CÉSAR.
C A F É , erreurs débitées fur le café"; ce que difoit là-deflus
M. de Juflieu en 17x3. IL 327. a. L ’Europe a l’obligation de
la culture de cet arbre aux Hollandois, 8c la France au zele
de M. de Reffons. Defcription du cafter d’après celui qui
étoit au jardin du roi. Ibid. b. Ç e qu’on .appelle café en coque
8c café mondé. Le cafier ne peut être rangé fous un genre qui
lui convienne mieux que fous celui du jafmin. Dimenfîons
de celui qui croît dans fon pays natal. Comment 8c quand
il produit fon fruit. Origine du mot café. La femence doit
être ntife en terre toute récente, autrement elle ne pouffe
pas. La plante en Europe doit être confervée dans une ferre
modérément échauffée.; il faut l’arrofcr de tems en teins.
Aucune contrée en Arabie que celle d’Yemen ne fournit le
café. Comment on en raconte la découverte. Ibid. 328. a.
Combien fon ufage s’eft étendu. D e trois maniérés d’en prendre
Yinfufion, quelle eft la meilleure. Choix du café. Vaifi-
feaux pour le rôtir. Marque qu’il eft fuffifamment rôti. On
11e doit en pulvérifer qu’autant qu’on en veut infufer. D e f- ;
cription du moulin à café. Il faut jetter la poudre dans l’eau
bouillante, 8c non dans l’eau froide. La partie huileufe 8c
l’odeur du café doivent être les vraies indications.de fes effets.
Ses propriétés 8c leur caufe expliquées. Q u i font ceux auxquels
il convient où 11e convient pas. Ibid. b. Précautions utiles fur
la maniéré, de prendre cette infùfion. Avantages qu’on ne
peut contefter au café. Utilité du café dans un cas défefperè
que l’auteur rapporte. S’il eft vrai que fon grand ufage rende
inhabile à la génération. Propriétés du café pris en lavement.
Les habitans d’Yemen en débitent annuellement pour plufteurs
millions. Café mariné. Ibid. 3 29. a.
Café, celui de Moka. X. 390. a. C e café tranfporté en
Amérique par les Hollandois. IL 206. a. Plante de café repré-
fentée , vol. V I des planches, régné v é g é ta l, pl. 100. Café
aux pommes de' terre. Suppl. IV . 493 . a.
C A F F E R , (Ichthy. ) voyez BontE-Caffer.
C A F F IL A , troupe de marchands ou de voyageurs qui
s’affemblent pour traver fer les vaftes états du M ogol. Caffilas
ou caravanes qui traverfentles déferts d’A friq u e , 8c ce qu’on
appelle la mer de fable. Durée de ce voyage. Ports 8c flottes
appellés Caffilas chez les Portugais. IL 329. h.
CAFRES. Du roidesCafres Chococas. 111. 392. b. Opinion
des Cafres fur l ’enfer 8c le paradis. V . 667. a. Cafres fonquas.
X V . 362. a.
C A G E , defcription des cages à oifeaux. IL. 329; b. Application
de ce moti à plufteurs choies d’ufage en divers métiers.
Ibid. 330. fl.' *
Cages, repréfentées v o l. III des planches , article Chajfe,
planch. 13. Cages à prendre des oifeaux de proie. Ibid. pl. 20
©C 21.
Cage , ( Horlogerie) defcription des cages de pendules 8c
de montres. C e qu’il faut pour qu’une cage foit bien montée.
IL 330. a. Cages des horloges de clochers. Voyez Horloge.
Cage de montre , voyez Embistage.
C A G N A R D , fourneau h l’ufage des ciriers. Defcription
avec figures. Ufages. IL 330. b.
C A G N E , petit bâtiment hollandois, vol. V II . des planch.
Marine,. pl. 14.
C A G O T S ou Capots , familles defeendues des Vifigoths,
qui refterent en Béarn 8c en Gafcogne après leur déroute
générale. Il leur eft défendu en Béarn de fe mêler avec les
autres habitans. Autres fignes du profond mépris qu’on a
pour eux. Étymologie de leur nom. Ils ont été appellés chiens
8c réputés ladres , parce que leurs ancêtres étoient Ariens.
Voyez. CAQUEUX.
C À G U E , (Marine) petit bâtiment hollandois , dont on
donne ici la defcription à laide ^ s figures. U. 331. fl.-
CAHIER. (Jurifpr.) Q u e l l e * ! la première foisioù les
états affembîés en France fe font fervis du terme de cahier
pour exprimer leurs demandes. V I. 24. a. Comment les trois
ordres du royaume préfentoient leurs cahiers. 21. b. F ie f de
cahier. V I . 700. b.
CAHUCHU ou Cahoutchou , ( Hifl. dès Drog. ) réfme
d’Amérique; fes divers ufages. XV II . 760. b.
C A H Y S , mefure de grains dont on fe fert en quelques
endroits d’Efpagne. Il finit douze anegras pour un cahys , 8c
douze almudas pour l’anegra , &c. IL 3-31. a. L e cahys eft
en ufage pour les marchandées feches. Poids de l’almuda.
Ibid. b.
C A I A , nom que prenoit la nouvelle mariée chez les
Romains. IL 338. a. X. 114. a.
C A JAN UM A , montagne du Pérou où l’on recueille le
meilleur quinquina. XIII. 7 1 7 . b.
Ç A IC S ou Saiques , petites barques. O n donne aufli ce
nom à d’aiitres bâtimens dont on fe fert fur le D an u be , 8c à
d’autres employés fur là mer Noire. IL 331. a. ;"
C A JE T AN , voyez Gaiete , ville du royaume de Naples.
C A jet an , (Conjlantin) religieux: fes ouvrages. X V I .
643. a..
C A IL L E , (Ornith.) defcription de cet oifeau de naffaee.' mÊSÈ . / 1 6
Caille, (R o id e ) defcription de cet oifeau. Sa chair eft
excellente à manger. Voyez Râ le de genet.
Caille de Bengale : defcription de cet oifeau. Chaffe de la
caille. Defcription d e là chaffe de la caille au halier. IL 332, a.
Comment on apprête les cailles. Ibid. b.
Caille. Maniéré de tiraffêr les cailles. X V I . 340. b. Siflet
qui imite le cri des cailles. IV . 390. b.
Cailles , (Myth.) Latone changée en caille. Les Phéniciens
facrifioient la caille à Hercule. IL 332. b.
C aille , ( M. l ’abbé de la ) ObfervationS fur cet aftronome;
Suppl. IV . 696. a , b. Sa mefure d’un degré du méridien ,
prife-au cap de Bonne-Efpérance. V I. 733. a , b. Ses leçons
élémentaires d’aftronomie. Suppl.A. 664. a , b. Ses éphémé-
, rides. 663. fl. Son catalogue d’étoiles. Suppl. IL 269. b. Ses
obfervations de quelques inégalités de Syrius. 893. b. Voyez
à l’article T ables, les.tables aîtronomiquesqu’il a conftruites.
C A IL L E BO T IS , ( Marine ) efpece de treillis qui fert k-
donner de l’air à l’entre-deux des ponts, 8c à faire exhaler la
fumée du canon. Defcription du caillebotis ; dimenfîons du
g rand, du p etit, &c. IL 332. b.
C A IL L E L A I T , Gallium, ( Botan.) caraél eres de ce genre
de plante. IL 332. b. Origùie de fon nom. On s’en fert contre
l’épilepfie 6c. les hémorrhagies. Comment on en doit faire l’in-
fufion. Voyer Gallium.
CA IL L EM EN T de la it , ( Médec. ) accident affez ordinaire
aux femmes qui ne veulent pas nourrir. IX. 212. a , b J
C A IL L E R , coaguler : différence entre ces mots. Signification
de ce mot en chymie.II. 333. a.
Cailler le lait : différentes prefures employées à cet ufage.'
XIII. 323: b. ■ ■ - -
C A IL L E T T E , -partie de veau où fe trouve la prefure.
Les animaux ruminans ont quatre eftomacs; la panfe , le
réfeau , le feu ille t, la caillette. IL 53 3. a.
C A IL LO T S du fang. ( Médec. ) Suppl. IV . 721. b. 722. al
C A IL LO U , -matière vitrifiable produite par l’argille. Comment
fe trouvent les cailloux à l’intérieur 8c à l’extérieur
de là ferre. I. Le caillou confidéré relativement à l ’hifloire
naturelle. II. 333. a. Formation dès cailloux , félon M. de
Buffon. Comment les fables-ont pu devenir terre , 8c former
les glaifes 8c les argilles, qui en fe divifant acquièrent
les propriétés d’un véritable limon- C e qui prouve que le
fable, oc même le caillou 8c la terre exiftent dans TargUle,
c’eft que le feu lui rend fa première forme ; favoir , celle
du caillou ; 8c un degré de plus de chaleur la fera couler
8c la convertira en verre. L e verre paroît être la véritable
terre élémentaire, 8c tous des mixtes un verre déguifé; la
pierre ordinaire 8c les coquilles font les feules fubftances
qui n’ont pu fe vitrifier. Ibid. b. Si le feu fait changer
promptement de farine à toute autre fubftance en les vitrif
i a n t le- verre lui-même, fable , ou caillou, fe change naturellement
en argille. On obferve ordinairement dans les
cailloux deux couleurs différentes, une partie noire 8c une
: partie, blanche. M. de Buffon regarde la partie blanche
comme altérée , 8c tendante à reprendre les propriétés de
l’argille 8c du bol. Expériencè qui le prouve. La même
décompofitiôn qui arrive au caillou , arrive au fable. Ibid.
334. a. L e talc eft le. terme moyen entre le caillou tranf-
parent 8c l ’argille. L’argille 8c le caillou font les deux termes
des matières vitrifiables. La marne 8c la pierre le font aufli
des matières calcinables. Ces deux claffes de matières ne fe
réunifient en une par aucun agent connu. Ordre 8c diftri-
bution des matières qui fe trouvent dans une colline com-
•pofée de matières vitrifiables. L’eau en coulant par les fentes
de ces matières fe charge de leurs parties les'plus fines 8c
en forme plufteurs concrétions différentes , les talcs , les
amiiuués §c plufteurs autres matières, &c. Ibid, b. Le caillcqr