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leur maniéré de ueiifer. L’élégaace des formes -proportion-. ,,
née à la pureté 8c à la çhaieur. du climat. Beauté des femmes
chez les Grecs. Ibid.'b, Gaùfes physiques & mprales
■ qui contribuèrent aux progrès .de ,l’art parmi eux. Les Grecs
qui vîvoient fous un ciel 8c fous un gouvernement tempe-
rés , av.oient des idées 8c une langue pittqrelques. Leur
langue fe perfectionna fur-tout parmi les colonies' hxees dans
l’Afie mineure. L e même pays infpira les poëtes, les plu-
lofoDhes, 8c forma les' hiffôriéns. L e trône dès arts oc des
lciences fixé enfuite dans Amènes. Différentes qnal.tes_guer-
î-ieres des peuplés de la Grèce. Effets de la mufique lur les
Arcadieris'. "Ibid. a$6. ( faDes '.fimumeps que. nous ont
laiffés- les G r e c s , dans les teins "ou, ils jouilloient dé leur
liberté. Moyens par lefquels il feroit facile ,de reproduire
chez les Grecs modernes Théroiïme , le génie , les. vertus
& les talèns. Pourquoi la fçülptùre 8c enfuite la* peinture
ont été perfectionnées avant l ’architeCture. Hiftoire de la
peinture chez les Grecs.' Ibid. b. Les meilleurs ftatuaires 8c
les meilleurs peintres de l’école romaine n’ont poini.de.juf-
tes notions du beau idéal. Mais les Grecs s’y font élevés
dans tous les genres. Comment ils acquirent de juftes idées
de la beauté du corps humain. CaraCteres par lefquels ils
diftinguoient les traits propres à chaque divinité. fAi<L 237.
a. Les Grecs étoient perfuadés 'que plus on met de mouvement
8c de contorfion dans les traits 8ç dans les mufcles,
plus on détruit la noblelTe. Profil du vifage clés fiatues grecques.
Leurs différais caraCt.eres de beauté. Ibid. b. Ceux
des pieds 8c de la poitrine. Ouvrages à yonfulter. fur lhif-
toire d e l’art chez les Grecs. Ibid. 258. ». Délicateffe,
grâce 8c précifion qu’on remarqué dans, leurs gravures^ de
cachets. La religion dés G rec s favorable aux. progrès dé 1 art.
D iv e rs arcs utiles ou d’agrément auxquels ils fe font appliqués.
Pourquoi, félon l’abbé Roiifîier, les Grecs chantoient
ju ffe , 8c nous, nous chantons (aux. Ibid. b. .
Grecs modernes. Obfervation. fur' leur extérieur 8c leur
figure. VII I. 346. ». Erudition cu ltiv é e parmi eux depuis
la deftruétion de l’empire d’oçci'dent. V . 9 15 , a , b. Etat
des lettres 8c de la p.hilofophie chez les Grecs , depuis le
huitième fiecle jufqu’à la prife de Conftantinople par les
Tu rcs. VIII. 520. a. Leétures auxquelles ils fe bornent :
leur peu de goût pour les fciënces. 11. 233. b. Arbitres'que
les chrétiens grecs ont dans' chaque ville en Turquie. V.
822. b. Comment les Turcs fe moquent du babil des Grecs.
X. 831. A. Adoption pratiquée,parmi eux. Suppl. I. 173. b.
Enterremens des Grecs modernes. X II. 766. a. Leur ignorance
dans la navigation. XIII. 78. b. Années des Grecs. I.
391. b. l’inoculation reçue, chez eux. VIII. 770. A.
G recs modernes , confidérès par rapport à la religion.
( Hijl. eccl.) Commencement 8c confommatiori du fchifme
des Grecs. Tentatives inutiles pour leur réunion avec l’é-
glife romaine. Il y a cependant parmi eux bon nombre de
catholiques. Patriarches reconnus par les Grecs lchifmati-
ques. Ceu x qui habitent la Grece ne reconnoiffent que le
patriarche de Conftantinople. V II . 9x8. b. Tous leurs patriarches
8c évêques font religieux de l’ordre de S. Baûle
ou de S. Chryfoftome. Habits des prélats 6c religieux grecs.
On ne célébré qu’une méife par jo u r, 8c deux les fêtes 8c
dimanches. Bible dont ils fe fervent. Leur doiïrine. Q u elques
unes de leurs pratiques reiigieufes. Ignorance dans
laquelle ils vivent. On compte pauni eux plufieurs. feâffes
chrétiennes répandues en orient, qui ont leurs évêqixes 8c
leurs patriarches. Ibid. 919. a.
G recs , (Hijl. eccléf.) de l’ancienne églife d’orient. V .
420. b. Des anciennes églifes des Grecs. 42x. b. Eglife grecque.
423. a. Hiftoire du fchifme des Grecs. X IV . 766. » ,
b. &c. Conciles où l’on travailla à la réunion des Grecs 8c
des Latins. IX. 3O2. a. Leurs livrés liturgiques. IX. 398. a.
Livre qu’ils nomment éuçplogè. V I . 136. b. Leur liturgie
fur la tranfubftantiation. IX. 397. a. Livre eccléfiaftique
qu’ils nomment fynaxarion. X V . 746.' a. Autre appellée
typique: X V I . 782. a. Recueil des offices en ufage dans l’é-
glife grecque. I. 496’. b. VII I. 3 1 1 . b. Carême dès Grecs.
II. 682. b. Inftrume,nt au bruit■ duquel ils s’affemblent à
l’égiife dans les états "du grand-feigneur. VIII. 23. a. Suppl.
I. 207. a. Lefture des évangiles dans l’églife.grecque. VI.
I18. b. Leur fentiment fur la nature de Dieu , fur fa fpi-
ritualité 8c fur l’incarnation du verbe. VIII. 3-72. b. 373. a.
Moines grecs: X . '617. b. Chrétiens grecs appellés Syriens. xv. 772. b. . . .
G rece , ( Géog. anc. ) anciennement nommée Hellas. V III.
104. b. Murailles confidérables élevées dans la Grece. X.
866. b. D e l’ancienne population de la Grece. XIII. 89. a.
94. b. Voyagé hiftorique des Grecs par Paùfanias. X V .
224. à ',' b. Principaux temples de la Grece. X V I . 63. b.
64. a , b. Des vins de Grece. X V II . 296. b. 301. a.
G rece , ( Géogr. ) divers pays compris aujourd’hui fous
le nom de Grece. Bornes de la Grece moderne. V II . 919.
a. Officiers par lefquels s’exérce le gouvernement politique.
Religion de la Grece. .Langues dja pays. Denrées dont
G R E
il feÇfeiÊ un grand commerce. Produélions de chacune des
principales îles de l’Archipel. - Comparaifon dè la Grece moderne
à l’ancienne. Ibid; b.
G rece A s ia t iq u e , ( Géogr. anc.') En quoi elle .confifte.
Colonies que ces G r e c s . envoyent le - long de la Pro-
pontide 8c même jufq-u’au fond du Pont-Euxin. V II . 919. b.
j Ç r e g e ■ grande, (Géogr; .anc. ) Divers pays qu’elle'com-
prenoir. Le P. B r ie ten - a fait une tabje dont on trouve
ici l’abrégé. Ville que compr'enoifent la Poùille, la Meflapie,
& l’ÇEnotrie. V II . 919. b. Origine ode la dénomination de
grande <Grecc. La Gr.eee italique a été jadis nommée grande
Grece, avec beaucoup de fondement, puifqu’elle .étoit en
réalité plus grande que la véritable Grece. Il eft vrai néanmoins
que ,la grande Grec© diminua infenfiblemenc, à me-
jfure que la république romaine s’aggrandit. Hommes illuftres
.que la. G,i:ece italique; a produits. Ibid? 920. a.
G rec,e PROPRE, ( Géagr. anc. pays qu’elle comprenoit.'
VII . 920. a.-
G R È C O U R T , ( Jean - Baptifte Villa« de ) poëte. X V L
4 9 1 .^ .^
G R E C Q U E , '! ( Reliure) defeription & ufage de l’inf»
trument qui porte ce nom. Reliure à la grecque. V I I .
920.. b. :
G R E E NW ICH , ( Géogr.) v ille d’Angleterre, remarquable
par fon obfervatoire 8c fon hôpital, en faveur des matelots.
Ç ’eft à Greenwich que naquit Henri VIII. Caractère
8c hiftoire de ce prince. Elizabeth fa fille naquit- dans
le même' lieu. Obfervations fur fon régné. Paroles remarquables,
qu’elle dit à fon parlement après la difperfion d e là
flotte invincible. V I I . 920. b.
G r e e n w ich , (Obfervatoire de) XI. 323. b. 324. a , b.
32.3. a , b. Defeription du quart de cercle mural de cet obfervatoire.
XIII. 668.. a , b. &c.
G REF FE , (Jurifpr.)--le bureau de ce. nom eft ordinairement
près du tribunal auquel il a rapport. VII . 920. b.
On entend quelquefois par le terme de greffe, l’office de
greffier. Chaque tribunal a au moins un greffe. Obfervations
lur ces offices, tels qu’ils étoient anciennement, 8c tels,
qu’ils .font aujourd’hui.
. Greffe des affirmations. VIL. 9 2 1. a.
Greffé des apprentiffages. V II . 921. a.
Greffe des arbitrages. V I I . 921.17.
Greffe de l’audience. V II . 921. a.
Greffe en chef. VII. 9 2 1. a.
Greffe c iv il, voyeçDÉPÔT.
Greffe des criées ou des décrets. V I I . 921. à.
Greffe criminel, voye[ DÉPÔT.
Greffe des dépôts , voye[ D épôt.
Greffe des domaines des gens de main-morte. V II . 9 1 1 . L
Greffe de.géole. V II. 921. b.
Greffé,des hypotheques. VII . 921. b.
Greffe des infirmations. V I I . 921. b.
Greffé des préfentations. V II. 921. A.
Greffe fanguin. VII . 9 21. A.
Greffe, appelle chez les Romains tabulàrium. X V . 8 11. hi
Le terme de clergie 8c d’écriture autrefois, fynonyme à celui
de greffe. III. 329. A. Communication au. greffe ou par v o ie
de greffe. 731 . a. Diverfes ordonnances des rois de France
au fujet des greffes , écritures 8c tabellionages. V . 370. A.
Clerc du greffe. III. 323. a. Greffe de la chambre des comptes.
789. A. .Greffe des dépôts. IV . 863. a. Greffe des infi-
nuations eccléfiaftiques. VII I. 790. a. Greffe criminel au
parlement de Paris. XII. 17. A.
G reffe; ( Jardin. ) Double lignification de ce mot. C ’eft
avec raifon qu’on a dit que la greffe eft le triomphe de l’art
fur la nature. Divers avantages attachés à cette opération.
V II . 921. A. Explication des différentes méthodes de greffer*
Ibid. 922. ».
Greffe en fente. C ’eft la plus ancienne façon de greffer. O n
en fait ufage fur tous les fruits à pépin. .Sujets lur lefquels
on peut l’appliquer. Saifon propre à faire cette greffe. Comment
on doit choifir la greffe proprement dite , 8c la con-
ferver jufqu’au tems de l’opération. Attirail qu’exige cette
maniéré de greffer. V I I . 922. a. Façon d’y procéder. O n
peut mettre deux greffes fur le même fujet , ou même
quatre, s’il eft gros. La greffe en fente eft moins ufitée que
celle en écuffon , quoiqu’elle pouffe plus vigoureufement.
Ibid. A,; ,, , ' •
Greffe en couronne. Direétions fur cette maniéré de greffer.
Arbres pour lefquels on en fait ufage. V II . 922. A.
Greffe à emporte-piece. En quels cas on s’en fert. Maniéré d’y
procéder. VII . 923.
Greffe en flûte, la plus difficile de toutes les méthodes de
greffer. Tems auquel on la fait. Defeription de cette opération.
V II. 923. a.
Greffe en approche. En quoi elle confifte. VII. 923. a. Cette
méthode réuflu difficilement. On ne s’en fert que pour quel-,
ques arbriffeaux curieux. Ibid. b.
\ 'Greffe en éçuffon, Ejoge de ççu« méthode , la plus expédiû
v e ,
G R E
jfive, la plüs étendue, la plus fimple 8c la plus sûre de toutes
les méthodes de greffes. En quel tems on peut gfèffer en
jéeuffon. Circonftances dans lefquelles cette opération fe pratique.
Ecuffon à la pouffe. Ecuffon à oeil dormant. Détails
fur cette façon de greffer. VII. 923. A. Autres maniérés que la
trop grande incertitude de leur fuccès a fait négliger. Diverfes
utilités de la greffe. Ibid. 924. a. Merveilleux effets que les
anciens attribuoient, fans fondement, à la greffe. Les chan-
gemens que l’on peut opérer par le moyen de la greffe , font
plus bornés qu’on ne penfe. Il fa u t , entre l’arbre que l’on
veu t faire fervir de fu je t , 8c celui que l’on veut y g reffer,
1111 rapport qui n’eft pas toujours indiqué sûrement par la
reffemblance de la fleur 8c du fruit. 7Aid. A.
G reffe. ( Hijl. nat. & Jardih. ) N i M o ïfe , ni Héfiode, ni
Homere , ne parlent de cette importante opération du jardinage.
Hiftoire hypothétique de l’invention de la greffe ,8c
de fés différentes efpeçes. Suppl. III; 238. A. Des caiifes qui
ont produit des variétés dans les différentes efpeces d’arbres
ou de plantes. Ibid. 239. a. La greffe confidérée comme moyen
propre à établir la véritable parenté des végétaux. Cette
parenté ne peut s’établir avec certitude fur les analogies qui
frappent nos yeux. Exemple qui montre que certaines plante
s , qui n’ont aucune reffemblance extérieure , fe greffent
l ’une fur l ’autre avec fuccès. L’analyfe chyinique peut être
regardée comme un autre moyen de découvrir l’affinité des
plantes. Ibid. A. Efpece d’arbre qui fe refufe à fa propre
greffe. Exemple qui prouve que les feves de deux différentes
efpeces peuvent quelquefois fe mêler pour fe dévorer 8c
tuer la plante. D e s greffes du mûrier blanc fur le mûrier
noir. Quoique la reffemblance entre les parties fexuelles 8c
«ntre celles de la fruâification de différais arbres -, n’affurè
pas toujours le fuccès de la greffe , elle indique cependant
les effais qu’on doit tenter. Elle fert à propager les variétés
eftimables qu’a fait naître un accouplement fortuit, ou l'irrégulier
concours d’autres caufes. Elle avance l’âgé de la
maturité de l’arbre. Ibid. 260. a. Elle perfectionne les fruits
& avance leur précocité , ou retarde le tems de leur Cueillette.
Réglés à obferver pour que cette amélioration ait lieu.
Q u e l eft à-peu-près le feul avantage que l’on doive attendre
de la greffe d’un arbre fur lui-même. Mauvais effets dé la
greffe répétée fur un même fujet. Ibid. b. Il n’eft point vrai
■ que la greffe en approche ne foit d’auèune utilité , ni que les
arbres qui la portent , bornés dans leur végétation , atteignent
vite le terme de leur croiffance. Cela n’arrive que
îorfqu’elle eft mal exécutée. Quatre différentes fitùations
dans lefquelles elle fe fait. L’ente préférable à l’écuffon en
Bien des cas. Ibid. 261. a. Précautions effentielles à fa rèuffite.
A u tre efpece de greffe en fente , dont on a vu de très-bons
effets. Avantages de la greffe en flûte. Expériences à tenter
pour perfectionner l’art de la greffe. Ibid. b. D e l’art de v a r
ie r , fuivant les efpeces, la maniéré ordinaire d’écuffonner.
Ibid. 262. a.
Greffe. Obfervations fur la greffe des arbres. Suppl. I. 321.
b. 322. a. Des arbres en pépiniere.5 a»/»/.IV. 295.a. Bourrelet
qui fe forme au-deffoüs d’une greffe. II. 371. a. Efpece de
cire dont on fe fert dans la greffe des arbres.. X. 634. A. Greffe
•des arbres en pépinière. XII. 321. A. &c. Des boffes qui nail-
fent autour des greffes. 724. A. Fruits finguliers qu’on
obtient jîar plufieurs greffes fur le même arbre. X IV . 3 3. a.
D e la maniéré de greffer la vigne. XVII . 270. A. Voyerà
leurs articles, ce qui concerne la greffe des différentes efpeces
d’arbres.
GREFFIER. ( Jurifpr. ) La fonCtion de greffier étoit plus
honorable chez les Grecs que chez les Romains. Condition
fervile des greffiers ou notaires chez ces derniers , jufqu’au
tems d’Arcadius & Honorius. Enfuite la fonCtion de greffier
fut mife au nombre des offices municipaux. Les prèfidens 8c
autres gouverneurs des provinces fe fervoient de leurs clercs,
domefliqiies , pour ■ greffiers, &c. Changement que firent à
cet égard Arcadius 8c Honorius. VII . 924. A; L ’office ou
cohorte d’un gouverneur écoit.compofé de quatre fortes de
miniftres, dont les greffiers réunifient aujourd’hui toutes lés
fondions. Ces miniftres étoient appellés exceptores , regen-
darii , cancellarii 8c aduarii. En France, les juges fe fervoient
anciennement de leurs clercs pour greffiers ) cè qiie défendit
enfuite Philippe-le-Bei. Ces clercs étoient d’abord amovib
l e s , ad nutum judicis. Dans les cours d’églife , il n’y avoit
point de greffier en titre d ’office. Philippe-le-Bel révoqua
les aliénations qui avoient été faites en faveur de plufieurs
perfonnes de ces notairies. Charles IV ordonna que les
greffes feroient donnés à ferme. Divers noms fous lefquels
les greffiers étoient défignés. D es anciens greffiers au parlement.
Ibid. 923. a. Les greffes donnés à ferme. C e t ufage
aboli en 1360. Il y avoit en 1361 , trois greffiers au parlement.
Ces greffiers compris dans la lifte des notaires du
roi. Comment fe payoienc les gages des greffiers. En quel
tems les notaires des autres tribunaux prirent le nom dé greffiers.
D e l’iifase .(le donner les greffes royaux à ferme. En
1 580 , Henri ï l l réunit les greffes à fon domaine. Les greffiers
Tome /,
G r é 869
du parlement ^ furent créés en charge dès 1 3 7 7 ; m;lis Celâ
ne fur exécuté qu’èn 1673. HH. A. Commis-greffiers établis
en titre d’office en 1377. Le même édit leur attribue la
moitié des émolumens qu’avoient lés greffiers en chef. Ibid.
926. a.
Greffer d'appeaux. VII . 926. a.
des baptêmes, mariages & fépultures. But de leur éta-
bhüement en 1691. Defcriptions de I’édi.t qui iès établiffoir.
oiuppreffion de ces greffiers en 1716; VII . 926. a.
Greffiers des bâtimens ou des experts , ou de l'écritûire. Créa--
tion du premier office de cette efpece en 1363. V î t . 926. a.
Diverfes créations & fuppreftîons de, ces offices. Ibid. A.
Greffiers des chancelleries. Création de quatre de ces offices erï
16 7 4 , pour la grande chancellerie. En 16 92 , le roi en créa de
femblables près les cours fupérieures. Il y en a huit en la chan-
cellerie du palais à .Paris. V i l . 926. A.
Greffier a? chef. Dans quelques tribunaux , ii y a Un greffe
fier en ch e f pour le civil & un pour le criminel, &c. V IL
926' A.
Greffiers du premier chirurgien du roi. Ètabliffement de ceS
greffiers. Ils furent fupprjmés dans les provinces du royaume
en 1692. En 1723 , le premiér chirurgièn a été rétabli dans le
droit de nommer des lieutenans & greffiers dans toutes les
villes où il y a archêveché évêché. Exécution de cet édit
en 1736. VII . 926. A. Q u el eft le dépôt de9 regiftres dé
chaque communauté de chirurgiens 8c des barbiers-pernH
cjuiers. Privilèges de ceux qui font nommés pour remplir la
fonction de greffier dans ies communautés de chirurgiens. Ibid.
927. •
Greffiers-commis. Tems de leilr création dans les cours fou-
veraines 8c autres jurifdiétions royales. Titre qu’ils avoient
autrefois. C élui qu’ils ont aujourd’hui. Autres officiers nommés
commis du greffe: VII. 927. a.
- Greffiers-commis, praticiens qu’un juge nomme pour faire
quelque afte particulier , &c. VII . 927. a.
Greffiers des criées. V II . 927. a.
Greffier criminel. Etabliffement de ces fortes de greffiers;
VII . 927. a:
Greffier en chef ati criminel du parlement. V II . 927. a.
Greffiers des dépris. Leur création en 16 27 , 8c fuppreffion en
1692. V i l . 927. a:
Greffiers des inflruElions. V II . 927. A.
. Greffiers des inventaires. Création de ces officiers en 1,622 &
1639 > pour certaines.provinces. Leur fuppreffion en 1702;
Ces offices ont été unis à ceux des juftices royales & à ceux
des notaires; V U . 927; b:
Greffiers des notifications. À quelle bccaiion ces offices furent
créés en 1387. Diverfes créations 8c fuppréffions de ces
offices; On les a depuis appellés greffiers des infinuations. V II ,
92f : i
Greffiers en peau. V II . 928. à:
Greffier plumitif. VII. 928. a. .
Greffiers des Jubdélégatïons. V II . 92$. à'.
Greffiers des tailles ou des paroiffes. Leur ètabliffement ërt
1313. Diverfes créations 8c fiipprëffions de ces offices. V I I .
928 a.
Greffier. Connexité entre les fondions de notaire 8c de
greffien. XI. 233. A. G reffier de l’épargne chez les anciens Romains.
X IV . 813. a , b. Greffier nommé cancellarius. II. 387.
A. Greffier des Chartres III. 22 t. A. Clerc greffier ou fëcré-
taire. 323. a. Greffier de la chambre des comptes. 789. A.
Greffier en chef dans le grand cbnfeil dû roi. IV . 10. A.
Greffier, du cbnfeii du 1 . Greffier-,
A. Greffier-confervateur des hypotheques. 33. a , A. Contrôlé
des greffiers. 130. A. Greffier en ch e f de la cour des aides.
364. A. Greffier de la cour des aides. 365. a , A. Greffier
garde-fac. V i l . 493. A. Notaire-greffier. XI. 244. a. Greffiers
civils 8c criminels du parlement. XII. 11 . A.— 13. a. t 6 .a. —
î8. a. Greffier du parlement, autrefois dit clerc des arrêts. III.
3 24. a. Clercs oü greffiers des comniiffaires du foi ou du parlement;
ïbfd. a,b. Greffier des préfentatibns. X II. 18. a. Plumitif
des greffiers. 801. A. — Voye£ C l erc & T a b e ü io n ;
G R E G E O IS , feu: V I. 646. a , b:
G RÉG O IRE I , (Sain t) ou le Grand. XII. 346. A. Il refufa
le titre d’évêque univerfel. X I. 383. A..XVII. 406.A.
G r égo ir e VII. Obfervations lur fon pontificat. X V . 247.
a , A. Sur ies derniers jourS.de ce pape. X IV . 341. A. Ses maximes
fur l'autorité royale. VII . 223. a , , A. X V I . 91. a. Lèâ
interdits communs fous fon pontificat. VII. 816. a: Interdit
qu’il lança fur la Pologne. Suppl. IL 7. A. Querellés touchant
les ii: iveftitures. VIII. 864. , A. Affaires de Henri IV i
empereur , 8c de G régoire. Ibid. 8c Suppl. III. 327. a , b. Bo-
leflas I I , roi de Pologne, excommunié par ce pape. XII. 931.
GREGOIRE X. Obfervations fur ce pape. X II. 688. b.
G r ég o ir e XI. Obfervations fur ce pape; IX. 647. a:
G régo ir e de Nafian^C, ( Saint ) XI. 66. a. X II. 343 .ài
G régo ire de Nyffe j ( Saint ) XI. 294. A. XII. 343. Aj
G régo ir e de Tours , (S a in t) X IV . 293. A. Ufage qu’ij
faifoit du fort. X V . 377. a, 379. ».
L L L L L 11111