ni o i ÏL
riger & expnlfer l'acrimonie irritante : diffoudre la lenteur
& l’évacuer : calmer les fymptômes. Moyens de remplir ces
indications. Ibid. b. C omme la fievre n’eft qu’un moyen dont
la nature fe fertpour fe délivrer d’une caufe qui l’opprime ,
le médecin peut tempérer fa véhémence ; mais il ne doit
jamais troubler fes opérations ( voyei ri-deffous Fie v r e falu-
brc ). Les perfonnes vigoureufes que la fievre emporte, meurent
avec la fievre ; mais ne meurent point, à proprement
parler, des mains de la fievre. Divifion des fievres en continues
& en intermittentes. La diftinétion la plus utile pour
la p ratique, eft celle de fievres qui feguériffoient par coélion,
& de celles qui ne procurent pas de coélion. Manvaifes
diflinélions qui ont été établies pour connoître les fievres.
De-là tant de fievres défignées par des effets ou des fymptômes
qui ne leur font point effentiels , & qui cependant ne
font plus connues aujourd’hui que par ces défignations v i-
cieufes que l’ufage nous oblige ici d’adopter. Ibid. 722. a.
Auteurs recommandables fur la fievre. Commentaires de
Friend. Petit ouvrage du doéleur Glafs. Petit livre de Lom-
mius. Sydenham. Hoffman. Boerhaave. M. Quefnay.
Fievre. Confédérations fur la nature de la fievre. Cette aélion .
de la nature eft un des moyens qu’elle emploie pour rétablir
l’ordre dans l’économie animale. V . 409. b. C ’eft toujours
la fievre ou i’aétion de la v ie rendue plus forte qui
produit la coélion de quelque efpece qu’elle foit. III. 568.
b. Efpece de fievre qui accompagne quelquefois la digeftion.
Ibid. a. Erreur de Sylvius fur la came des fievres. V l . 517.
a. Sentimens de quelques auteurs fur ce fujet : celui de Pâra-
celfe , VII I. 710. b. de Chirac, 7 x 1 . a. de Willisfu r les fievres
putrides. 723. a. Difficulté d’expliquer la caufe des
redoublemens de la fievre. X II. 80. a. Théorie de la fievre ,
foit humorale , foit nerveufe. X V . 43. b. Exemples de fievres
identifiées pour ainfi dire avec la v ie & le tempérament
de l’individu. 44. b. 45. a.
Des fymptômes qui accompagnent la fievre. D e la chaleur
fébrile. III. 32. b. 36. a , b. 37. a. Suppl. II. 309. b. Du
froid de la fievre. III. 36. a. V I. 723. a. D u friffon. VI.
■ 730. b. 731 . a. 734. a , b. D u tremblement. X V I . 584. a.
Excès de chaleur ou de froid dans différentes fievres. X II.
219. b. D e la foif dans les fievres. X V . 306» b. Redoublement
de la plupart des fievres le foir. 307. a. D e la fueur
dans la fievre. 628. a. 629. a , b. 630. b. D e la débilité qui
l’accompagne. IV . 650. a , b. 65 1. a , b. Allongement des.
membres dans le froid de la fievre, V I. 3261 a. D e l’in-
fomnie dans la fièvre. VII I. 791 . b. Fievres dans lefquelles
le fang acquiert une grande fluidité. Suppl. IV . 722;. a.
Fievres qui produifent la putridité. 725. a.
D u traitement de la fievre. Danger de l’arrêter avant la
coélion parfaite de la matière morbifique. V . 409. b. Traitement
des fievres particulières aux enfans. 662. a. D u traitement
des fievres putrides, inflammatoires , malignes. III.
569- a- .
Fievre acritique , ou non critique. Diverfes efpeces de
maladies aiguës accompagnées de fievres non critiques. Cau-
fes de ces fievres. V l . 722. b. Obfervations fur lè prognoftic
•des fievres acritiques. Ibid. 723. a.
Fievre aiguë. Nature & caufes de ces fievres. Leurs fymptômes.
Quelques obfervations fur la méthode curative ,
V I . 723. a. Fôyer F ie v r e ar d en te , M a l a d ie Aig u e .
Fievre algide-. Caufes dé cette fievre. Indications à remplir
dans fon traitement. V I . 723. a.
Fievre ardente y caufus. Caufes pathognomoniques. V I . 723.
a. Auteurs à confulter. Symptômes. Ses caufes. Son cours 8c
fe s effets. Prognoftics. Ibid. b. Symptômes de la fievre ardente
qui dégénéré en colliquation. Caufe immédiate. Cure.
Obfervations de pratique. Ibid. 724. a.
Fievre ardente : tempéramens qui y font particuliérement
fujets. V II . 323. a.
Fievre afode. Caufes. Prognoffics. Cure. 724. b.
Fievre bilieufe. Les anciens appelloient bilieufe la fièvre
ardente ; mais les modernes ont fagement diftingiré eès deux
fievres. Signes de la fievre bilieufe. Caufes. V I . 724. b. Prognoftics.
Quelle eft la plus heureufe tournure que cette
fievre puiffe prendre. Des vomiffemens dans cette maladie.
Cure. Ibid. 723. a. Obfervations de pratique. Quels font
les climats, les faifons ,& les circonftances où ces fievres
régnent le plus ordinairement. Ibid. b.
Fievre bilieufe : ufage des acides dans ces fièvres. XIV.
9° 3- > . .
Fievre cacochymique. Caufes. Symptômes. Indication à
remplir. V I. 723. b. Voyeç C a c o c h ym ie .
Fievre catharreufe. Symptômes. V I . 723. b. Caufes. Prognoftics.
Cure. Ibid. 726. a. Obfervation de pratique. Ibid:
b. Voye{ C a th a r r e .
■ Fievre cathartique ou diarrhetique. Caufes. Ses effets. Cüre.
V I . 726i b. Obfervation de pratique.’ Ibid. 727. b. Voyt\[
D ia r rh é e .
Fievre chronique : V I . 727. b. voye[ FlEVRE LENTE.
Fievre colliquative, V L 727. b. Voyt£ COLLIQUATION,
F I E
Ses Agnès. Ses effets. Ses caufes. Cüre. Ibid. 728. a.
Fievre colliquative putride. V I. 728. a. Voyë{ SŸNdQÜE
PUTRIDE.
Fievre comateufe. Réflexions fur fes Caufes. V I . 728. ai
Cure. Obfervations pratiques. Ibid. b. Voyc^ Coma.
Fievre compliquée. Erreurs dans lefquelles les médecins
tombent quelquefois par rapport aux fievres compliquées.
V I. 726. b. Dans les affrétions morbifiques complicjuéès ,
qui parodient avec la fievre , ce n’eft pas ordinairement
elle qui eft la plus dangereufe , ni qui préfente les indications
les plus preffantes à remplir. Complications qui ont
lieu à la fuite de la morfure d’üïiè vipere : èn pareil cas ,
ce n’eft pas la fievre , quoique fouvent très-vive , qùi doit
être l’objet de l’attention du médecin. Conduite qu’il doit
tenir lorfque la fievre eft compliquée avec dès affrétions
très-dangereufes. Ibid. 729. a.
Fievre continente. V I . 729. a.
Fievre continue. Elle reçoit quantité dè noms d’après fa
durée , fes complications , & les fymptôihés qui l ’accompagnent.
On n’envifage ici que la d ire de-la fievre continue
prife en général. Ses caufes & fes fignes ont été expofés aü
mot Fievre. Cure. V I . 729. a. Obfervations dè pratique ;
ces fievres peuvent fe divifer en fievres critiqués , 8c en
fievres non-critiques. Quelles font celles qui parviennent
difficilement à la coélion. Ufage que quelques médecins
font du quinquina pour ces fievres. Q u elle éft la plus légère
fievre continue ; comment on la guérit. Caufes de la fievre
continue dans les gens foiblès, âgés , cacochymes, &c.
Cure de cette fievre. Autre obfervations de pratique. O u vrage
le plus digne d’être étudié fur cette matière,
Ibid-, b. -
Fievre continue rémittente. V I . 729. b.
Fievre critique. Ce s fievres diftinguées en trois fortes. V I .
729. b. Quelles font celles qui font véritablement & régulièrement
critiques. Ibid. 730. a.
Fievre dépuratoire. T rois fortes de fievres défignées fous ce
nom; V I . 730>a.
Fievre diarrhétique. V I . 73 o. a. Voye£ FlEYRE CATHARTIQUE.
Fievre dyffentérique. Caufe prochaine. Signes. Prognoffics.
Cure. V I . 730. a. Obfervation : cette fievre eft une des
plus fréquentes & des plus-cruelles épidémies des camps.
Auteur à confulter fur les maladies d'années. Principaux
moyens d’en arrêter le progrès dans lés armées. Ibid. b.
Fievre endémique. V I . 730. b. Voyc{ ENDÉMIES. Auteurs &
confulter. Ibid. b.
Fievre éphémère. VI.- 73 0 . b. Voye\[ EPHEMERE.
Fievre éphémère britannique. V I . 730. b. Voyez SuetTE.
Fievre épiale : affeélion morbifique qui confifte dans le
friffon, lequel perfifte avec le fehiiment de chaleur. Sa caufe.
Senfation de chaleur qu’il ne faut pas confondre avec la
chaleur même de la fievre. V I. 730. b. Caufe du froid qui
accompagne cette fievre. Indication à remplir : moyens à
employer. Ibid. 7 3 1. a.
Fievre épidémique. Auteurs à confulter. V I . 731 . a.
Fievre éréfypélateüfe. Caufe prochaine de l ’érèfypele. Caufes
de cette fievre. Effets. Cure. V l . 7 31. a. P rognoftic de l’éréfy-
pele qui produit cette fievre. Ibid. b.
Fievre erratique ! dans quelles circonftances ces fievres
paroiffent. Méthode curative. Fièvre erratique, qui furvient
aux femmes par la fuppreffion du flux menftruel. En quoi
confifte fa cure. V I . 7 3 1. b.
Fievre erratique : différence entre cette efpece de fievre &
celle qu’on nortime typique. X V I . ‘782. a , b.
Fievre étique. V I. 73 1 . b. Voye[ FlEVRE HECTIQUE.
Fievre exanthémateufe. Voye[ Ex an th èm e . Caufes. Diverfes
efpeces de fievres exanthémateufes. Prognoffics.
V I . 731. b. Cure. Obfervations de pratique lur l’ufage
des remedes échauffans ; Ibid. 732. a. fur les remedes
diaphorétiques & fudorifiques dans les éruptions cutanées.
Ibid. b.
Fievre heflique. Signes. V l . 73 2. b. Caufe prochaine. Pro-
gnoftics. Méthode curative. Ibid. 733. a. Obfervations^
Ibid. b.
Fievre hémitritée. V I . 73 3. b. Voye\ HÉMlTRITÉÉ.
Fievre homoione. V I. 733. b. Foy«J>ÎATIONNAiRE.
Fievre hongroife. V I. 733. b.
Fievredhôpital. Symptômes. V I . 733. b. Durée & terinïî
naifon de cette fievre. Prognoffics. Cure. Ibid. 734. a.
Fievre horrifique. Caufe prochaine. V I . 734. a. Cure. Ob<
férvations de pratique. Ibid. b.
Fievre humorale. Caùfè de cette fievre dans urie matière
âcre qui circule avec les humeurs. Le premier, effet de cet
hétérogène eft d’exciter avec la fievre un fpafme qui domine
lur elle , 8c qui en fufpénd prefque tous les phénomènes.
Importance d’obférvér ce Ipaft ne. V I. 734. b. J f f i
cation curative dans de telles fievres. Ibid. 733. a.
Fievre humorale : théorie de ce genre de fievre, X V .
43- h.
F I E
* Pievri inflammatoire. V l . 733. a. Voye^ FlEVRE ÀIGÜE,
Fie v r e ard ente , In f l am m a t io n .
• Fievre intermittente. Ses diftinélions en différentes claffes.
Diftinélion des fievres du printèms & de l’automne. Cours
& caraéteres de la fievre intermittente. Ses effets. V I . 73 3.
a. Caufe prochaine des fievres intermittentes! Cure. Ibid. b.
Obfervations ;à faire pour traiter chaque fièvre d’une maniéré
qui lui foit propre. Fievres intermittentes dont il faut
abandonner le traitement au régime , au tèms , à la nature.
Utilité de la fievre bénigne intermittente. Ibid. 736'. a. En
quels Cas elle demande le fecours de l’art. Il faut obferver
fi cette fievre éft pure ou fymptômatique. Ibid. b.
Fievre intermittente : traitement fingulier de cette maladie.
XII. 484. a.
Fievre intefinale : fes fymptômes & fa cure. VII I. 482.
a , b.
Fievre de lait. IX. 2 1 1 . a , b.
Fievre lente. Différence de la fievre lente , & de la fievre
heflique. Signes de la fievre lente. Ses caufes. Prognoftics.
V I . 73 6. b. Cure. Efpece particulière de fievre lente à laquelle
font fujets les enfans. Symptômes. Caufe. Méthode
curative. Auteur à confulter fur la fievre lente. Ibid. 737. a.
Fievre lipyrie. V I . 737. a.
Fievre lipyrie. IX . 562. b. Obfervations fur les fenfations
qu’elle fait éprouver. V I . 737. a. V I I . 3 23. a.
Fievre locale. III. 37, a.
Fievre maligne. Voyeç MALIGNE.
Fievre miliaire. Voye\ M il ia ir e .
Fievrepeflilentielle : quelle en eft la caufe. Caraélere des fievres
peftilentielles. V I . 737. a. Symptômes. Q u e l doit être
le principal objet du médecin dans la cure de cette fievre.
Auteurs à confulter. Ibid. b. V o y e z Pestilentiel.
Fievre péthéchiale. V I . 737. b. Voye{ PÉTÉCHIALE & PÉTÉCHIES.
' •
Fievre que les anciens appelloient phricodes. XII. 331. a.
Fievre pourprée, v o y e z Po u r p r e .
Fievre putride. Voye{ FlEVRE COLLIQUATIVE. Obfervation
de pratique. V I . 737 . b.
Fievre putride. Comment la hature doit être aidée dans ces
fievres. III. 569. a. En quoi elles cô'nfîftent. V I I . 722. b.
723. a. Météorifnie obfèrvé dans certaines fièvres putrides.
X . 444. b. 443. a. Boiffèn d’ufagè en Angleterre dans ces
fievres. X I lL 169. £. Fievre fynoqiie putride. X V . 760. a ,
b. Fievres qui Caufent la putridité. Suppl. IV . 723. a.
Fievre quarte. Voyé^ Q u a ÈTE.
Fievre qutitidi'enne. Voye\' Q uo t id ien n e .
Fievre rémittente. Obfervations fur cés fievres. V I . 737. b.
Méthode curative. Ibid. 738. a.
Fievre filubre : deux èfpecès , cèllès qüi font Amplement
dépuratoires, & cèllès qui fè goériffent à jour prefix par
coélion o n par évacuation purulente. Il y a des fievres fa-
lubrès ou falutaîres, relativement à elles-mêmes & à leurs
effets avântageüx. La fievre eft faliitaire par elle-même dans
les maux inaccëffibles aux fecrèts de la médecine. Les
maladies produites par les obftruflions & les vifeofités des '
humeurs fe guériffent heureufemènt par le fecours de la
fievre. L e médecin doit donc , non-feulement foncenir une
fievre falutaire, mais l’allumer quand elle eft trop lente.
v i . 738.,,. :
Fievre fcarlatine : cours & durée des tachés qui l’accompagnent.
Caufe de cettè maladie. Moyen de giiérifon. V I .
738. b. •
Pievre fcorbutiqùe. Sès fignes. Cure. V I . 738. b. Voye\[
Sc o r b u t .
Fievre feptimanë : comment elle fe termine. Durée de
Ces fievres. V I. 738. b.
Fievre fpafmodiquè. Caufe prochaine. Effets. Prognoftics.
Ctire. V I . 73 9. q . , .
Fievre fporadique. Auteurs à confulter. V I . 739. a.
Fievre flatiônhàire. Voye{ FlEVRE HOMOTONE & STATIONNAI
RE.
Fievre flercoràle. C è qu’on doit entendre par les matières
ftercorales : caufes de cette fievre. Son caraélerfe. Ses
fignes. Ses cafifes. Sa cure. V I . 739; b.
Fievre fubintrante.'Wl. 739, b.
Fievre fiidatofie. Cailfes. Effets. Cure. Obfervations de
p'ratiquë. V I . 740. à.
Fievre fympathiqûc. V I . 740. a.
Fievre fymptômatique. Caufes. Signes. V I . 740. a. Cure.
Ibid. b. V o y e z Sym p t o m a t iq u e .
Fievre fyhcopale. Méthode curative, feloil fes différentes
caufés. V I. 740. b.
Fièvres fynoqués. X V . 739. b'. 760 .a , b.
Fievre tierce. Voye^ TIERCE.
Fievre tritxopkie, tritoeoph'es. Voye{ T r iTÆOPHIE.
Fievre tropique : origine au nom donné à cette forte de fièvre.
V I . 740, b. Pourquoi les crifes font moinà violentes dans
lès fievres tropiques, que danâ les fievres aiguës. Ces fortes
de fievres chroniques doivent être diftinguées des fievres
F I G 72?
h’c&iqlrës. Caufes des fievres dont la durée pafte quaràntè
jours. Ibid. y^i. a.
Fievre typique. Différence entre cette fievre & la fievré
erratique. X V I . 782. a , b.
F ie v r e . ( Mythol. ) Pourquoi les Romains l’honorerent.
D iv e rs temples qu’elle avoit à Rome. On apportbit dans
ces temples les remedes contre la fievre , avant de les donner
aux malades. Réflexion fur cet ufage. Formule d’unè
priere ou d’un voeu qui lui a été fait. Les Romains avoient
reçu cette divinité des G recs. V I . 74 1 . a-,
F ie v r e , ( Manege. Maréchal. ) Fievres diftinguées en
fecoudaires ou fymptomatiques, & en abfoluès, idiopathiques
ou effentielles. Celles-ci font in termittentes Ou continues.
Obfervations fur deux auteurs ; MM. de -la Guérinierè
& Ruini qui ont traité des fievres intermittentes. D és fievres
continues ; diftinguées en fimples & en compoféès ï
fondement dè cettè diftinftion. D e toutes les fieVres continues
, l'éphémere eft la plus fimple. Fievre éphémère
étendue , ou fynoque fimple. V I. 741. b. Les fièvres conti-.
nues envifagées ; i° . par rapport à leur violence ; 20. par
rapport à leiir qualité & leur confiance ; 30. par rapport à
leurs caufes ; 40. par rapport à leurs fymptômes. Détails
des différentes caufes des fievres continues de toute éfpece„
Caufes des autres fievres fymptomatiques, qui peuvent être
placées au rang des fievres aigues. Ibid. 742. a. Signes généraux
des fievres. Les fignes tirés de l’examen du pouls
ne manquent pas toujours abfolüment dans robfervation
des maladies des chevaux. Obfervations faites par l’auteur
fur les pulfations de l’artere du larmier ; fur le hdnibre des
battemens & fur leur progreffion dans les divers âges :
obfervations faites fur les jümens 3 qui prouvent que dans
les femelles des animaux , le pouls eft plus lèht que dans
les mâles. Les Opérations de la nature font à-peu-près les
mêmes dans le corps de l’homme & de l’animal. Pourquoi
les pulfations font-plus lentes dans les grands animaux que
dans les petits. Ibid. b. Autres moyens d’appercevoir les
pulfations des arteres dans les chevaux qui fébricitënt. C e pendant
ces pulfations font toujours inacceflibles ati taél. Signes
particuliers à la fievre éphémère. Ceu x qüi font propres
à la fievre éphémère étendue. Syinptômes' de
la fievre putride. Ibid. 743. a. Ceux de là fièvre pefti-
lentielle. Celui dé la fievre lente. Prognoftics dès fievres
putrides , lentes 3 éphémère:». Traitement de la fiev
re éphémère. Ibid. b. Traitément de la fievre ardente;
Celui de la fièVre peftilentiéile. Ibid. 744. a. Voyeç Suppl. IL
418. a.
FIFE , ( Géogr. ) province »méridionale d’Ecoffe. D i verfes
ôbfervàtiôns géographiques fiir cette prdvince. V I .
744. b._
FIFRE. ( Luth. ) Deux efpeces de fifres. Defcription de
cet inftruriierit. Sa tablature. Moyen d’articuler les fons du
fifre, Il n’y a prefque plus de fiftes aujourd’hui en France
que dans les compagnies de Suiffes. Terns où ils ont apporté
cet infiniment en France. V I . 744. b.
F if r e ; ( Antiq. ) Bas relief où l’amour eft reprêfenté jouant
du fifre. Suppl. III. 38. b.
F IG E A C , ( Géogr.) origine de cette ville. Obfervations
fur fori abbaye ; & fur la cérémonie pratiquée lorfque l’abbé y
fait f;i première entrée. Révolutions de cette v ille dans le
16 8c ! 7 me fiecles. Suppl. III. 38. b.
F IG U E , ( Conchyliol. ) efpece de coquille. X V I . 409. b.
FlGÜE, (Lang, franc.) origine de cette expreflion, faire
la figue. V I . 417. b.
FIGUIER. ( Botàn. ) Caraéleres de ce gèriré de plante.
Comment Miller 8t Boerhaave le caraflérifent. Du nombre
des efpeces de figuiers communs. On ne parle ici que du
figuier domeftique, & du figuier fauvàgë ordinaire. D e fcription
dii figuier comihun cultivé. Ses noms en grec &
en latin. V I . 743'. a. Difpofitibn & foririé des differentes
fleurs de figtiiér, félon M. Linnæus, Caraéteres & propriétés
du fuc dè figuier tiré par incifion. Il entré dans la dalle des
écritures fympathiqnes, qui ne font Vifiblès qii’en les échauffant.
Ibid. b. Le figuier eft très-côibnnin darfs lès régions
chaudes. C u ltu re, jîrdgrès, récoltés du figtiiér. Auteurs qui
orifc travaillé à la perfection de fa culture. Quelles font les
contrées & provinces bù toutes’ fortes de figues peuvent
réuffir. Figuier fauVàgè. Ses noms en grec & èn latin. Sès
früits fervent à la caprification dont les ahciètfS ont tant
parlé. Auteurs anciens qui ont parlé de la caprification. Ibid.
746. a. V o y e z ce mot.
Figuier. Fécondité dès figuiers de l’Archipel. Gomment les
payfans de ces îles en font mûrir les fruits. II. 638. b. Comment
ils lés confervcnt : leur qualité médiocre compenfee
par leur abondante. 639. a. Les Athéniens étbiènt de glands
margeurs de figues. X V . 7 1 1 . b.
F ig u ie r . ( Agriculture ) Difficulté de lè cultiver èn plein
air dans nds contrées. Pourquoi il eft rare de voir des figuiers
d’une belle tige. Ses racines,, qualité de fon bois : fon écorcè ;
fes feuilles, fon fruit, Facilité de fa culture. Ses deux réédité«
i