
69S
Fern
Fern
F E N
r en viduité. V I . 478. b.
e ufante 6* jouijfante de fes droits. V I . 478- b\
1 dultere, (L a ) Théolog. critiq. motsconfacres pour
defigner celle que Jetas-Cliriil renvoya l'ans la condamner.
L’authenticité de cette hifloire combattue par plufieurs cri tiques
, qui foupçonnent que c ’eft un? interpolation^ d u ,
xte faite par Papias
entimens de divers >
m
m Hu'- “ “ •
Raifons de ce foupçon. VI., 478. h.
■ iriaués fur c ette authenticité. Savant
, utile à confulter. Dive:rs 0mvrages
îéUire i celle de ce traité. Ibial. 479. a.
rvattons fur l'hiftoire de <:ette: femme.
Femme en couche, (Médec.) maniéré de la foigner des
qu’elle eft délivrée. V I . 479- <*• M oy en de prévenir l’inflammation
des parties qui ont fouffert une violente diften-
flon dans l’enfantement. Bandage dont le ventre de la femme
accouchée doit être entouré. Soins à lui dobner au cas qu’elle
ne veuille on ne puiffe pas être nourrice. C e qu’on doit
obferver dans le cas contraire. Régime qu’elle doit fuivre.
Ibid. b. i°. Obfervation par rapport aux vuidanges. Voye^ ce
mot. 20. Secours à donner à l’accouchée lorfque l’hémorrhagie
eft confidérable. f . Remedes contre les fyncopes. 40. Des
fievres inflammatoires des femmes en couche. 5 . D e la
diarrhée qui fuccede à la fuppreffion des vuidanges. 6°. La
conftipation dans les premiers jours ne doit pas effrayer. Ce
qu’on doit faire lorfqu’eile dure. Ibid. 480. a. 70. Remedes
contre les vents & les flatuofttés. 8°. Des tranchées. Leurs
caufes. Remedes à employer. 9®. D e l’enflure du ventre.
io °. D e l’inflammation de la matrice. Ses caufes. Ses fymp-
tômes Sc divers effets. Traitement de cette maladie. Ibid. b.
i i ° . Relâchement, defeente, chûte de la matrice & du fondement.
12°. D es hémorrhoïdes. 13°. D e la tuméfaélion des
s caufée par un accouchement laborieux. 140. Déchi-
écorchure ou contufion des parties naturelles qui
arrive prefque toujours dans le premier accouchement. 15°.
Dilacération de la fourchette, étendue jüfqu’au fondement.
Voyez F o u r ch e t te , L e v r e , V u l v e . i 6°. Fiftule caufée par
la compreffion du col de la v e flie , lorfque la tête de l’enfant
eft reftée au paffage. Ibid. 481. a. i f . Enflure des jambes
& des cuiffes. 180. Dou leu r, tumeur & dureté du fein.
190. D e la paflion hyftérique. Voyez Pa s s io n h y st é r iq u e .
Précautions que doit prendre une femme d’un tempérament
foible, après une couche heureufe. Ouvrages indiqués au
mot Enfantement, par lefquels le le&eur achèvera de s’in-
ftruire fur les diverfes maladies auxquelles les femmes en
couche font fujettes. Le traitement de c e s . maladies appartient
de droit aux médecins, 8c non aux accoucheurs. Ibid. b.
Femme en couche , folemnité qu’obfervoient les fer
grecques quatorze jours apres leurs couches. X V I. 187. b.
Peuples chez lefquels les maris fe mettoient au lit dès que
leurs femmes étoient accouchées. 3x3. b. Pourquoi le lait
vient aux femmes après qu’elles ont accouché. X. 3. a. D e
la maniéré de gouverner les femmes en couche. Suppl. I.
293. b. 294. a. Maladies des femmes en couche. IX. 210. b.
2 1 1 . a b. 212. a , b. D e leurs lochies 8c des maladies de
cet écoulement, voyeç Lo ch ie s . D e la fuppreflxon des lochies.
VII I. 730. b. X V . 680. b. 681. a. Remede contre les gerçures
& ulcérations des mammelons des femmes en couche.
X . 5. b. Ecoulement involontaire d’urine dans certaines couches.
X V II . 206. b. Caufe de la fievre de lait. Suppl. I.
288. a. Maladies de la i t , voyez ce dernier mot. Dépôts laiteux.
Suppl. II. 6 98, &c. Maux auxquels s’expofent les femmes
qui refufent.de nourrir. Suppl. I. 288. a , b. 295. a.
Atonie de matrice, maladie des femmes en couche, 6 7 9 ,
a b. Caufe d’aliénation d’efprit dans une couche. Suppl. II.
700. a. Etat de tous les vêtemens & uftenfdes néceffaires
à une femme en couche. Suppl. III. 718. a.
FEMUR , ( Anatom. ) os de la cuiffe. Sa fituation & fon
mouvement. V I . 481. b. Defcription du fémur. Ibid. 482. a.
Fémur, v o y e z l’article C uisse. IV . 539. b. Articulation du
tibia avec le fémur. VIII. 440. a. Bandage pour la luxation de
l*os de la cuiffe. X V . 361. b. Trochanters du fémur. X V I.
682. b.
FENAISONS , récolte ou façon des foins : v o ye z planches
d’agriculture , vol. I. Fenaifons du fain-foin. X lV . 319. b.
PENDERIES des groffes forges. VII. 164. a. V o y e z auffi
v o l .IV . des pl. Forges , pag. 3b .a , b. &c.
FEN D O IR en terme de cardier j fendoir, outil de vannier
& de tonnelier. Fendoir ou couperet, outil dont fe fervent
poür divifer le bois , les tourneurs & ceux qui font de la
latte, du mérin , de l’échalas de quartier, &c. Comment le
taillandier le fait. V I . '482. a.
FEN DR E, Machine à , (Michan. Horlogerie) outil à l’aide
duquel les horlogers divifent & fendent les dents des roues
des pendules , des montres , &c. Peu.de machines plus néceffaires
dans les arts,8c dont la jufteffe foit auffi effenticlle. VI.
482. b. Ce tte machine vient d’Angleterre. Q u el eft le premier
qui en a fait ufage en France. Premier moyen dont fe
fervoient les aaciens ouvriers qui eurent des roues à fendre.
F E N
Machine qui fut inventée pour divifer exactement les roues,
félon le nombre de dents qu’elles dévoient avoir. Comment
cette machine conduifità l’invention de celle qui fertà fendre.
Ibid. 483. a. L’auteur fe propofe dans cet article de donner
d’abord la defcription de la machine à fendre, la plus parfaite
qui ait été conftruite jufqu’à ce jour , 8c qui eft en
même tems la pins Ample; enfuite de donner la defcription
de celle de Sully. A quoi il ajoute une idée des machines
que l’on a faites pour fendre toute forte de nombres. Enfin
il termine cet article par quelques remarques fur les foins
d’exécution qu’exige une machine à fendre. Defcription de
la machine à fendre , exécutée 8c conftruite par M. H u lo t ,
méchanjcien du roi : détails fur la maniéré de s’en fervir. Ibid,
b. C e que pratique M. Hulot pour fendre des roues épaiffes
dont les dents font fort groffes. Ibid. 484. a. Comment on
fend les roues ordinaires de la pendule. Ibid. 485. a. Moyen
de fendre les roues d’un grand diamètre. Moyen de fendre
les roues de montre. Comment on fend les roues de rencontre
8c rochets d’échappement. Ibid. b. Defcription de la
machine à fendre les roues , inventée par le fleur S u lly , 8c
perfectionnée par M. de laFautriere , confeiller au parlement.
Ibid. 486. a , b. 487. a , b. Avantages qui réfultent de la conf-
truCtion de cette machine. Defcription de la machine à fendre
toute forte de nombres.Ibid. 488. a,b. Autre machine à fendre
toute forte de nombres , dont on peut voir le plan dans le
traité de M. Thiout. Defcription 8c ufage de cette machine.
Moyen que l’auteur fe propofe de faire exécuter pour remédier
aux défauts que l’on apperçoit dans ces dernieres machines.
Ibid. 489. a. Soins qu’exige une machine à fendre
pour être bien exécutée 8c jufte. Ibid. b.
F endre , (Machineà) Fendre les roues de montres arbrées.
V I . 490. b. V o y e z Machine à fendre les roues- de rencontre 6*
F E N D U , (P o in t) Brodeur au métier: divers points inégaux
dont cet ouvrage fe fait. Détail fur la maniéré de le travailler.
V I . 490. b.
Fendu en p a l , ( B la fon ) Croix fendue en pal. V I .
490, b.
FEN ELON , ( François de Salignac de la Mothe ) Ses ouvrages
: obfervations fur fon Télémaque : égards des Anglois
pour M. de Fenelon , lorfqu’ils firent la guerre dans fon dio-
cefe : fon épitaphe. XII. 358. a i b. Du ftyle de Télémaque;
Suppl. 111. 305. b. 309. a. Défaut de chaleur 8c de pathétique
dans cet ouvrage. 953. b. Son éloge. Suppl. IV . 438. b. Part
que M. de Fenelon eut dans les affaires du quiétifme. XIII.
709. b. jio .i'b. ^ ,
F EN E STR A G E , ( Jurifp. ) En quoi confifte ce droit dans
le pays d’Aunis. Autre droit du même nom à Chartres. V Iî
490. b.
FE N Ê T R E , (A rchit.) Voyez C roisée , Jo u r , V ue.
Fenêtres appellées abajours. I. 7. a. Fenêtre de faux-jour,
444. b. Fermeture de fenêtre, .dite efpagtjolette. V . 954. a.
Fiches pour la fermeture des fenêtres. V I . 677. b. D es vitres
de fenêtre. X V II . 361. a , b. Projet d’une taxe fur le nombre
des fenêtres. X V . 581. b.
Fe n ê tr e , (A n tiq .) Fenêtres des maifons d’Herculanum.
Suppl. II. 11. a. Forme 8c difpofition des fenêtres de bâtir
mens repréfentés dans les tableaux trouvés dans ce lieu. Fenêtres
des Chinois. Obfervations fur la largeur 8c la hauteur
qui conviendroient à nos fenêtres. Des frontons élevés en
faillies au-deffus. Comment les perfonnes qui étudient doivent
ménager la lumière dans leurs chambres ou cabinets.
Utilité des rideaux verts. D e la grandeur des fenêtres de
cuifines, écuries, greniers, &c. La folidité des maifons exi-
geroit que l’on fît beaucoup d’ouvertures dans le haut 8c peu
dans le bas ; 8c l’on fait précifément le contraire. On ne
devroit faire que de Amples fenêtres, à la place de vaftes
arcs de boutiques. Ibid. b. Ouvertures dans les greniers qui
garantiffem les blés des charanfons- Utilité de l’air du nord
pour la confervation des vins , des viandes 8c des fruits. D e
la forme des fenêtres des anciens Romains. On voit dans les
tableaux d’Herculanum , que les anciens connoiffoient l’ufage
de garnir les fenêtres en jaloufies. Ibid. 12. a.
F enêtres d’He r cu l a n um , (A n tiq .) Suppl.III. 352. a.
F e n ê t r e , (Phyfiq.) Pourquoi en hiver les fenêtres fe
couvrent de glace en-dedans, 8c non pas en dehors. V L
490- b-
Fenêtre : Recherches fur la caufe de cette efpece de givre
figuré qu’on apperçoit en hiver fur les vitres des fenêtres.
V II . 676. a , b.
F enêtre , ( Anatom. ) deux cavités de l’os pierreux, placées
dans le fond de la caiffe du tambour. Defcription. V I.
490. b.
Fenêtre o v a le , fa defcription 8c fon ufage.Suppl. IV . 178.
b. 210. a. Fenêtre ronde , fa defcription 8c fon ufage. 179.
a. 210. a.
Fen ê tr e , (Horlog.) V I. 490. b.
F E N O U IL , (Botan.) CaraCtere de ce genre de plante.'
Diverfes efpeces de fenouil. Fenouil commun : fa defcription«'
Fenouil doux : en quoi il différé du précédent. V I. 491. a.
Fenouil d’Italie. Son ufage. Ibid. b.
Fenouil, éipecc de fenouil marin appellé perce-pierre. XII.
124. a. 3 26. a.
F enouil , ( Jardin. ) Le fenouil commun 8c le doux font
cultivés dans nos jardins. Le poiffon enveloppé dans fes
feuilles devient plus ferme 8c plus favourenx. Ufage du fenouil
en falade. Culture du fenouil commun. Qualités de celui
d’Italie : ufage qu’en font les Italiens. Ouvrage à confulter fur
fa culture. V I . 491. b.
Feno uil , (Pharm. Mat. médic.) ufage de fa racine. Eau
diftillée de fenouil : voyez H uile essentielle, Ea u distillée.
On fait fécher les racines 8c les femences de fenouil. Ufage
des femences. Maniéré de les prendre en remede. V I . 491. b.
Ufage du fenouil pour les maladies des yeux. Eau de fenouil
propre à diffiper les coliques venteufes & à aider la digeftion.
Diverfes propriétés de la racine de fenouil. Ibid. 392. a.
FEN TES PERPEN DICU LAIRES, ( Géogr. Phyfiq. ) Divers
endroits où elles fe trouvent. C e n’eft que par accident qu’elles
font obliques. Leur origine. Ces fentes obfervées dans le s
rochers. V I . 492. a. Pourquoi elles, s’y trouvent quelquefois
polêes obliquement. Principales obfervations rapportées fur
ce fujet dans l'hïfioire naturelle de M. de Buffon. Ibid. b.
•Fentes qui interrompent les couches1 du globe. VIII. 623.
b. Fentes obfervées dans les glaciers. 692. b. Suppl. III.
228. b.
Fente, fignifications de ce mo t, en anatomie, en chirurgie,
en hydraulique , en terme de cornetfer. V I. 492. b.
F EN U -G R E C , ( Botan. ) Caractère de ce genre de plante.
D e fept gfpeces de cette plante reconnues par B oerhaave, on
ne décrit ici que la principale, nommée fanum grcecum. V I .
493- «•
F enu-GREC, (Pharm. Mat. médis.) On n’emploie que fa
femence. En quels cas on la recommande extérieurement.
Maniéré de la préparer. Son ufage en lavemens. Utilité du
mucilage de cette graine dans les ophthalmies. Son odeur porte
facilement à la tête. Diverfes préparations officinales dans lef-
quelles cette femence eft employée. V I . 493. a.
F É O D A L , gouvernement. Son origine & fa nature. V I.
688. b. — 698. a. La valeur militaire fut toujours la bafe du
{yftême politique fous ce gouvernement. XI. 756. a. Oppref-
fion du peuple fous le gouvernement féodal. X IV . 144. a.
D e s impôts fous ce gouvernement. X V I I . 867. a. Avantages
que fa deftruCtion a procurés à la France. V II . 849. b. Combien
il fut fu.nefte à l’agriculture. Suppl. I . 215. à , b.
F é o d a l , ( Jurifp. ) héritage féodal. Seigneur féodal. Droit
féodal. V I . 493., a. Retrait féodal. Saifie féodale. Ibid. b. •
Féodal, commife féodale. III. 703. b. Homme féodal. VII I.
280. b. Juftice féodale. IX. 94. b. Noblefle féodale. XI. 176.
b. Office féodal. 4 17: a. Retrait féodal. X IV . 209. b. Saifie
féodale. 327. a , b. Succeffion féodale. X V . 399. a.
F É O D A L IT É , aCtes de féodalité que reçoit la chambre
des comptes. III. 784. b.
FÉO D É fergent. X V . 90. a.
F É O D E R , (Cornm.) mefure des liquides en Allemagne.
Parties de féoder. Variations de cette mefure félon les diffé-
rens lieux où elle eft en ufage. V I . 493. b.
F E R , ( Minéral. Métall. 6* Chymie) CaraCteres de ce métal.
Divers pays de l’Europe , où fe trouvent des mines de fer.
Celles de Suede plus eftiinées que toutes les autres. V I. 493.
b. Principales mines de fer. 1. L e fer natif. L’exiftence de
cette forte de mine conftatée par les morceaux qui en ont été
apportés du Sénégal. 2. L a mine de fer cryftallifée. 3. La
mine de fer blanche. Celle d’A lva re en Dauphiné. Comment
on la diftingue du fpath. 4. La mine de fer noirâtre. La
mine de fer d’un gris de cendre. 6. La mine de fer bleue.
7 . La mine de fer fpéculaire. 8. L’hématite ou fanguine. 9.
L ’aimant, io . Lamine de fer fablonneufe.Ibid. 494. a. fr? La
mine de fer limoneufe. 12. L ’ochre. Ouvrages à confulter fur
ces mines de fer. Les mines d’acier ne doivent être confidérées
que comme des mines de fer qui donnent de l’acier dès la
première fufion. Parmi les mines de fe r , les unes font atti-
rablês par l’aimant, les autres ne le font pas. On a lieu de
croire que cette propriété dépend du phlogiftique. Divifion
des mines de fer félon leur couleur. Q uelle eft la meilleure
maniéré, fuivant M. Henckel, de faire l’effai d’une mine de
fer. Il n’y a prefque point de terres ou de pierres dans lef-
quelles il ne le trouve une portion de fer plus ou moins grande.
Ibid. b. Subftances 8c matières dans lefquelles il fe trouve
fur-tout d’une façon fenfible. Q uelles‘font les mines d’autres
métaux auxquelles il fe trouve fur-tout uni. Confeils aux
adeptes qui voudroient chercher l’or dans le fer. Dans quelles
difpofitions les mines de fer fe trouvent dans la terre. Les trav
aux par lefquels on fait paffer les mines pour en tirer le
f e r , font décrits au mot Forge. Diverfités dans ce tra va il, félon
la nature de la mine : ouvrage à confulter fur ce fujet. Ibid.
495* “ ■ Fer de gueufe, celui qui vient de la première fonte j
comment on lui donne la duélilité & la pureté qui lui- convient.
Principe à obferver pour convertir le fer en acier, Q u el
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eft le charbon dé terre qu’on peut employer dans le traitement
des mmes de far. Expérience par laquelle Bêcher tira
du fer de l argdle. On a trouvé que toutes les fubftances
v égétales, donnent, apres avoir été réduites en cendres
une certaine quantité d’une matière attirable par l’aimant!
Fameufe qüeftion de M. Geoffroy ; favoir s’il eft poffiblc de"
trouver des cendres de plantes fans fer , 8c fi le far qu’on
trouve dans ces cendres , y exiftoit réellement avant qu’elles
euffent été brûlées, ou fi ce métal n’y avoit été formé que par
1 incinération du végétal. Difputes fur ce fujet. Ibid. b. Comment
le fer peut être aifément porté dans les végétaux. Il y
a heu de croire que le fer eft le principe de leurs différentes
couleurs. Les expériences prouvent auffi que le fer eft répandu
dans le régné animal : comment il y eft répandu. Expérience
par laquelle M. Menghini a cherché à calculer la quantité
de fer contenue dans le fang. Réflexions de M. Gefner
fur ce mélangé du far avec le fan-. Principes dont le fer eft
compofé. Caufe d e là rou.lle du fer. Ibid. 496. Comment
1 eau agit fur le fer. Différens effets du far allié avec les autres
fubftances métalliques. Expériences de M. Brandt fur ce fuiet.
Effets de la fufion du fer avec l’or ; du fer avec l’argent - du
B | H avec .le .plomb ; amalgamé
de ter oc de régulé d antimoine ; fufion du far avec l’arfenic
8c le flux noir. Union du régule du cobalt avec le fer ; du
far avec le bifmuth. L e fer 8c le zinc ne s’uniffent point. Le fer
feul expofé à la flamme fe réduit en une chaux ou fafran de
mars. Diffolinion du far dans l’acide nitreux. Diffolution du
fer dans l’acide du fel marin ; dans l’acidé vitriolique. Ibid. b.
Le fer mis dans l’état de chaux métallique n’eft plus foluble ,
ni dans l’acide nitreux , ni dans l’acide végétal. L’effet du
mélange de limaille de far 8c de nitre dans un creufet rougi.
O11 peut enlever à du fer fon phlogiftiqu&pour le faire paffer
dans d’autre far. Mélange du foufre avec le far. Chaux martiale
triturée avec du fel ammoniac. Divers fais qui diffolvent
le fer à l’aide de la fufion, 8c forment des fais avec lui. Le fer
réduit' en chaux métallique, entre aifément en fufion avec les
matières vitrifiables. Les chaux martiales mêlées avec des
matières vitrifiables demandent un feu moins fort pour leur
vitrification que pour leur réduftion ; le contraire arrive dans
les autres métaux. La m"ine
de fa r grillé e 8c la pierre à chaux
ne peuvent fe changer 1
:n verre , trait*-es féparément : mais
par le mélange, elles fe
vitrifien t fort stifément. Ibid. 497. a.
L’arfenic donne au fer la P.p
ropriét:è d’êtr e caffant, quand il eft
fro id , 8c d’entrer aifément en fufion. M oy en de prévenir
l’union du fer 8c de l’arfenic. L’acide du foufre produit fur
le fer deux effets contraires à ceux que nous venons de vo ir
que produit Tarfenic. Effets du miroir ardent fur le far. Effet
du mélange de la limaille de fer , du foufre 8c de l’eau. D ’où
viennent les étincelles excitées par le frottement du far contre
im caillou. Le far a plus de difpofition à s’unir avec le foufre
que les autres métaux. Ibid. b.
F e r , qualité du f e r , tel que la nature nous le préfente. I.
100. b. Fer de fonte 8c fer forgé. Ibid. 8c 101. a. Caufe de la"
rouille du fer. I. 234. a. X IV . 406. b. Bitume qui fe trouve
dans ce métal : principe du bleu que le far produit. II. 284. a.
Fer qui fe trouve dans les cendres tant animales que végétales.
813. b. Exiftence du fer dans le fang. Suppl. IV . 725. b.
Quelques-uns lui attribuent la caufe de la rougeur dû lan».
Ibid. 8c 731. b. Fer contenu dans l’argillè. VII . 998. b. °
Des différentes mutes de fer. Ces mines diftinguées en deux
efpeces par la différente qualité du foufre qu’elles contiennent.
I. 101. a. Difficulté de diftingue r les mines de fer de celles
d’acier. 102. b. Mines de far trouvées en 173*7 dans les
Vofges. 103. b. D e la recherche des mines de far 8c de leur
difpofition: VII. 13 6. b. 6>c. L e fer pur ne fe trouve pas dans
la terre. X V I. 581. a. Mine de fer d’où l’on tire l’émeril. V .
564. a. Mine de fer dite galene. VII . 43 5. a. Autre dite hématite.
VII I. 110. a , b. Mine de fer en petites jnaffes fembla-
bles à des lentilles. IX. 386. a. Fer minéralifé avec l’arfenic
ou le foufre. X. 541. a. Efpece de mine de fer appelléé pois
martiaux. XII. 885. a. Mine de fer fpathique. X V . 441. a.
Mine de far arfénicale. 482. a. Mine de far appellée tungfteen.
745. b. Fleurs de fer. V I. 858. b. Produit des mines de fer
d’Eybenftock. Suppl. II. 932. a. Mines de far cryftalli- ;
fées. V I. vol. des planches, cryftallifations mathématiques,
planche 2.
D u travail de ces mines. Difficulté de travailler la mine de
far. X. 433. b. Maniéré de tirer le fer de fa mine. 994. a. Maniéré
de tirer les mines de f e r , diftinguées en cinq efpeces.
VII . 138. b. &c. Fondant pour la fonte du fer. 7 1 . a. D u mélange
de l’arbue 8c de la caftine avec le fer des mines. 143 b.
Maniéré de fondre une mine. 239. b. Comment fe réduit la
mine de fe r , lorfque le régule en eft fragile, lorfqu’elle eft
accompagnée de pierres réfraétaires. V I . 917. a. Obfervations
fur l’accident de la mife hors dans la fonte de la mine.
VIII. 312. b. 313. a. C e qu’on entend par ballotter dans les
fonderies de far. II. 48. ./». Sur le travail de la mine de fer ,
voyez G rosses F o r g e s . V i l . 135. a , b.— 168. 8c l’article
F o rges du vo l. IV . des planches.