412 C O R
M. Rouelle a fait faire quelques cornues qui ont été trouvées
excellentes à quelques égards. Les cornues de'Picardie
font propres à toutes les expériences fur les fubftances métalliques
que l’on voudroit traiter à un grand fe u , &c. Autre
vailler.ii appcllé cu'me. En quoi il-différé de la cornue. A-quels
ufages on s’en fert. Manière d'employer , de luter , d Appareiller
, d’échauffer , de préferver d'accident la cornue <le
grais. Des cornues de verre. Ufages qu’on en tire. Ibid 258. e.
Précautions qu’on-doit.prendre pour les empêcher de fe fêler*
Raifons .pour lefquelles on préféré dans bien des cas la cornue
de verre à l’alembic de même matière. D e u x fortes de
cornues de verre “dont on fe fert à Paris. Celles du verre de
lorraine. Ufages auxquels on -les emploie. Celles -de verre
"blanc - leurs ufages. Cornues à VAngloifi. Ibid. b. D e s cornues
de fer fondu. Avantages qu’on en pourroit tirer dans
-plufieurs opérations chymiques. Maniéré dont il faudrait les
faire. Cornue tubulce, foit de terre, foit de verre. Opérations
où elles font utiles. Attention qu’il faut avoir-en s’en fervant.
D e leur nfgge. Ibid, 239. a.
Cornues. D e la terre propre à faire cette forte de vafe. D e
leur fabrication.Suppl. IV . 518.b.Voyelles planch. de chymie,
vol. i l .
C ornue ,• mouche, X. 770. a.
CO R N U TO , •( Ichthy. ) defcriptiori & moeurs rie ce
poiffon des iflcs moluques. Suppl. II. 609. a. Sa claffification.
Ibid. b.
CO R N U TU S , \HlfL rom. ) conful romain qui s’ôte la vie
pour ne pas.plier devant Auguue. Suppl. 1. 703. a.
•C O R O ,, droit que le roi d’Efpagne perçoit fur l’or 8c
l’argent du produit des mines du Cliily 8c du Pérou. IV .
^COROLLAIRE , ( Géom. ) a le même fens que le mot
xonfiquence. Remarque fur l’ufage des mots fcientifiques. On
ne fauroit rendre le langage des fciences trop ftmple 8c trop
populaire. IV . 259. b.
CO R OM AN D E L , ( côte de ) différence de faifon très-
remarquable entre cette côte 8c celle de Malabar. V I I . 522.
b. 623. b. X V II . 727. a. Pluie qui y tombe annuellement.
SuppLYV. 418. b. Obfervations fur les habitans. V II I. 345. b.
Mines de diamant de cette contrée. IV . 938. b. Caftes des
Indiens de Coromandel , voyez C astes. Monnoie du Coromandel
, appellée fanos. Suppl. III. 4. a.
CO RO N A IRES , ( Anatom. ) artères de ce nom. Pourquoi
elles font appellées coronaires. Leur route. A rtere coronaire
Romachique. Sa defeription. Veine du même nom. Ligament
coronaire du rayon. IV . 239. b.
Coronaires , arteres. Suppl. IL 489. a. 491. b. Veines.
'492. a.
C o r o n a ir e , ( Maréch. ) os coronaire du cheval. Suppl.
III. 383. a. 389. h. 390. b. 423. b. Sa fraéhire. 4 1 1 . a.
CO R O N A L , os du f ront, &c. Sa defeription. IV . 239. b.
Voyc{ auffi F r o n ta l .
CoronaL Partie de cet os , nommée arcade furciliere. Suppl.
I .5 3 2 .* .
C O R O N E R , ( Hifl. mod. ) officier en Angleterre. Ses fondions.
D eu x officiers de ce nom dans chaque province. O rigine
du nom coroner. Par qui fe fait leur éleélion. Qualité
qu’on doit avoir pour afjpirer à cette charge. O n connoît
cet office dès l’an 923. Premier coroner du royaume. Coroners
particuliers dans plufieurs diftriéts , & dans certains
colleges. Quelles charges en France répondent à celle de
coroner. IV . 260. a.
CO R O N IL L E , (F o r .) noms de cette plante en différentes
langues. Son caraétere générique. Enumération de fept efpeces
renfermées dans ce genre. Leur defeription. Leur culture ,
qualités & ufages. Suppl. II. 610. b.
C O R O S SO L , ( Hifl. nat. Bot. ) defeription de ce fruit très-
commun aux Antilles. IV . 260. a. Origine de fon nom. Defcrip-
tion du coroflblier. Propriété falutaire du corofïbl. Divers
ufages auxquels on l’emploie. Ibid. b.
C O R P , ( IchthyoL ) poiffon de mer. Sa defeription. On l’a
auffi appellé corbeau de mer. IV . 260. b.
C O R PO R A L , terme de Liturgie, linge facré. Son ufage
dans le fervice de la meffe. Par qui il fut introduit. Ufage
qu’on en faifoit autrefois pour éteindre les incendies. IV .
200. b.
C O R P O R A T IO N , corps politique , que l’on appelle ainG
en Angleterre. Nous n’avons point de mot qui lui réponde
riiredement. IV . 260. b. Différentes maniérés par lefquelles
une corporation peut être établie. Différentes fortes de corporations
, foit eccléfiaftiques , foit laïques. Une corporation
eft ou unique ou un conupofé de plufieurs. Ibid. 261. a.
CORPOREL , ( Jurijp. ) choie corporelle. 1IL 373. a. F ief
corporel. V I. 701. a.
CO R P S , ( Mitaph. & Phyfiq. ) définition. D e quoi font
compofés les corps , félon les divers fyftêmes des philofo-
phes. Dureté des particules élémentaires. Comment nous
parvenons à connoître l’exiftence des corps qui nous environnent.
Cette connoiflance , félon le D . Cla rk e , n’eft pas
COR.
fondée fur une démonftration. IV . 261. <*. Raifomrcment fur
lequel il établit la certitude de leur exiftence. C e raifonne-
meut combattu. Leur exiftence attaquée par Berckley. Motifs
qui ont porté l’homme à fuppofer l’exiftence des fubftan-
ces matérielles. Ibid. b. Ces motifs ceffant, nous devons nous
déterminer à refufer le confentement qu’ils nous avoient
arraché : ainfi raifonne B erckley. Leïbnitz ajoute que quand
nous examinons les propriétés des corps , telles que nous
les concevons, ces propriétés paroiffent renfermer contradi-
étion. Difficultés qu’on peut élever , félon ce philofophe
fur la compofition des corps , leur dureté, leur impénétrabilité,
leur mouvement & leur divifibilité. Sur quoi eft fondée
la perfuafion où nous fommes de l’exiftence des corps. Opi-,
nion de B e r ck le y , expofée dans un ouvrage intitulé : Dialo-
gués entre Hilas & Phtlonoüs. Vignette ingénieufe qui fe v o it
à la tête d’un de ces dialogues. Q u el eft le principal argument
de Berckley , fur lequel roule tout cet ouvrage. Rapport de
fon fyftême avec celui de Malebranche. Ibid. 262. a. Difficulté
tirée de la révélation contre les idéaliftes, qui embar-
raffoit beaucoup le P. Malebranche. Antre difficulté que fe-
propofe Berckley , tirée de la création, dont le premier chap.'
de la Genefe nous fait l’hiftoire , 8c qu’il réfout allez mal.'
Réfutation de l’objedtion des idéaliftes, tirée de ce que nous
ne concevons pas l’effence des corps , ni comment ils peuvent
être la caufe de nos fenfations. Preuves tirées de ces
fenfations en faveur de l’exiftence des corps. C e que nous
appelions propriétés des corps , propriétés communes à tous ,
propriétés particulières à quelques-uns. Parmi les premières
on diftingue celles qui font invariables , Ibid. b. 8c celles
qui font fujettes à augmentation 8c diminution. Quelles font
celles qui n’appartiennent qu’à quelques corps. Autres fortes
de propriétés qui tiennent le milieu entre les premières 8c les
dernieres, 8c qui font communes , mais feulement à certains
égards. C e qui montre que nous ne connoiftbns pas la nature
des corps, c’eft que nous ignorons les effets qu’ils doivent
produire les uns fur les autres, jufqu’à ce que l’expérience
nous en ait inftruits. Ibid. 263. a.
Corps. La queftion de l’exiftence des corps examinée à l’article
Egoïfle. V . 431. b. Des pores des corps. XIII. 132. b.
8cc. D e la quantité de matière dans un corps. 634. //. 812. a.
Connoiflance que nous avons de l’effence du corps. X V . 384.
b. Nous n’en connoiftbns que la furface, encore très-imparfaitement.
III. 831. a. Une Gmple terre fixe eft la bafe de
tout corps. X V I . 183. a. Compofition des corps. Suppl. II.
333. b. Adhérence des parties des corps. I. 132. a. D es
principes des co rps , voye^C o r pu scu l e , Élém ent , Prin*
Cip e . Des qualités & affections des corps. Comment nous v enons
à connoître leurs propriétés. I. v . Préface. Affrétions
des corps. I. 138. a. Des facultés des corps félon les anciens.
V I . 362. a. D e la recherche de leurs qualités générales. Suppl.
IV. 321. a, b. Connoiflance que nous avons des qualités primitives
8c des qualités fecondaires des corps. III. 893. b. 894.
a. Les affrétions des principes de la compofition des corps ',
font effentiellement diverfes de celles des corps aggrégés
ou des mafles. 410. b. Notions qui fervent à diftinguer dans -
un corps ce qui appartient à la mafle de ce qui appartient
à la partie intégrante. 4 1 1 . b. Les qualités fenftbles des corps
peuvent ne pas appartenir à leurs parties intégrantes. 412. a.
D elà deux fortes de qualités, les extérieures 8c les internes.
Ibid. b. Deux corps peuvent avoir les qualités extérieures
femblables, fans fe reffembler intérieurement. Ibid. L es diffé-
rens degrés de cohéfton dans les corps conftituent leurs
différentes formes 8c propriétés. III. 606. b. Atmofphere que
Boyle attribue aux corps conftftans. IV . 47. a. Qualités cosmiques
des co rp s , félon le même. IV . 292. a, b. Qualités
générales des corps , félon Newton. XIII. 631. b. D e
la continuité dans les corps. IV . 116. a. D e leur denfiré.
833. a , b. D e leur dureté. V . 17 1. b. D e leur élafti-
cité. 447. u, b. D e leur impénétrabilité , de leur inertie ,
bc. V o y e z ces articles particuliers. Opinion philofophique
qui attribue à tous les corps une vie comme leur étant
effentielle , mais fans aucun Sentiment ni connoiflance.'
VIII. 391. at b. Clarifications. Les corps des trois règnes
peuvent être diftingués en Amples, mixtes, compofés 8c
furcompofés. III. 418. b. C e qui fait félon plufieurs philo-
fophes la différence Spécifique entre les corps, c’eft la diverfe
configuration 8c Situation des parties. 830. b. V I . 748. b.
Cinq efpeces de corps , félon Ariftote. I. 639. Corps
mixtes. X . 383. b. 388. a. Corps Similaires. X V . 201. a. Clane
des corps appellés muqueux en Chymie. X. 863. b. Des
changemens que les corps fubiffent. Ces changemens réduits à
trois claffes. III. 410. b. D e leur raréfaélion par le feu. V I .
399. b. Certains corps que le feu condenfe. 600. a. Augmentation
du poids des corps par le feu. Ibid. Les corps considérés
comme agens phyfiques. III. 413. a, b.
C o r p s , ( Géom.) Signifie la même chofe que folide. IV :
263. a. Comment on fe forme l’idée des corps géométriques.
En quoi ils different des corps phyfiques. Définition de l’étendue
géométrique. Corps réguliers, au nombre de cinq. Ibid. b.
Corps
C O R C O R 4 1 ;
Corps réguliers. Maniéré de mefurer la furface 8c lafolidité
des ciiiq corps r é g * « - Proponioil de H Qshere & d e s cinq
• „s réguliers qui y font jnfcrits. X IV .41. b.
Corps. ( Phyfiq' ) Corps élaftiqucs, mo us, d u r s , fluides.
^Corps / l ’oppofé de l’ame dans lés animaux. IV . 263. b.
C orps, ( Econ.anim. ) partie de notre être étendue fui-
vant trois dimenfions , be. compofée de folides 8c de fluides.
Variétés dans les corps des h ommes, prouvées par les divers
effets des remedes ; ces variétés ne font pas telles qu’il y
ait une différence fenfible dans la nature des parties qui les
compofent. L’homme 8c le boeuf ont à peu près le même
fa n g . iV . 263. b. Bagliis avoit ob/ervé très-peu de différence
entre la b ile de l’homme 8c celle du mouton. Les plantes ont
toutes un fuc qui leur eft propre ,8ctout-à-fait différent des fucs
<nii les ont nourries ; comine notre corps de cent mille lues
riifférens, fait un chyle doux qui lui eft propre. Diftnbution
générale du corps humain en parties internes 8c externes,
antérieures 8c poftérieures, fupérieures 8c inferieures. Le
corps divifé auffi en plufieurs régions. L e mot corps employé
auffi en anatomie pour défigner quelques parties. Le corps
humain confidéré par rapport à différentes fo r io n s média-
niques qui s’exécutent en lui. Ibid. 2 6 4 - . .
C orps humain , {Anat. ) fa divifion générale. Limites du
thorax 8c de l’abdomen. Régions de l’abdomen. Parties de
l ’abdomen en général. Suppl.II. 6x2. * .L a cuticule : la peau:
la membrane graiffeufe : la membrane charnue : membnuie
commune des mufcles : des parties de l’abdomen appellées
contenantes propres. Ibid. b. D u nuifcle oblique defeendant,
qui forme le premier anneau. D u mufcle oblique afeen-
riant, qui forme le fécond anneau. D u mufcle droit. Du
mufcle pyramidal. D u mufcle tranfverfal qui forme le troi-
fieme anneau. D u mufcle crematere. D u péritoine. Des
parties contenues dans l’abdomen. Ibid. 613- a- D e 1 eftomac.^
D e s menus boyaux. Des gros boyaux 8c du .cæcum. Ibid.'
b. D u méfentere. D es veines laftées : des réfervoirs du clryle
8c des canaux thorachiques. Des matières fécales. D e l’épiploon.
D u foie 8c de la véficule du fiel. D e la greffe artere,
de la v eine cave ; des arteres 8c des veines émulgentes. Ibid.
C i 4. a. Des reins 8c des, vertèbres. D e la veflie 8c des vaif-
feaux ombilicaux. D es parties génitales de l’homme en génér
a l Des vaiffeaux préparans 8c de l’épidy.dime. Des tefticules
8c du ferotum. Ibid. b. Des parties qui fervent à l ’éjaculation
de la femence. D e la verge. Des vaiffeaux préparons
& des ligamens de la matrice. D es vaiffeaux éjaculatoires
de la matrice 8c de fes ligamens ronds. Ibid. 615. a. Suite
des parties génitales de la femme- Ihid. b.
Corps humain , fa divifion générale- X- 323- a- X IV . 16.
b. Expofition anatomique de tpjùfes fes parties. I. 416. a,
— 437. a. VII I. 261. b. — 274. a. Leur dépendance mutuelle.
XI. 318. b. D e la fympathie .entre différentes parties
du corps. X V . 736. a, b, bc. Obfervations générales fur
leurs proportions. XIII. .469. a , b, 6cc. Proportion de fes
principales parties dans le foetus 8c dans l’homme fait. Suppl.
I. 126. b. Des proportions 8c de la , conformation de fes d ifférentes
parties. Suppl. II. 344. b. Différences entre le corps
de l’homme 8c celui de la femme indépendamment des parties
fexuelles. Suppl. III. x i . a. D u fquelette du corps humain.
X V . 482. b. 483. a. Comparaifon de diverfes parties du corps
de,l’homme aux parues analogues de différens anùnaux. VII I.
260. a. Ouvrages qui ont pour objet des correfpondances
de différentes parties du corps humain. V I . 139. b. Recherches
fur la nature 8c les facultés du corps humain , relativement
à l’effet des bains fur lui. Suppl. I. 732. b. 733. a ,
£."734. a. Les anciens d ivifoient les parties du corps en fper-
matiques 8c en fanguines. X V . 430. a. Son accroiffemjtjt 8c
fon développement. I. 87. a , b, 8cc. Suppl. I. 123. b. 136.
a. D e fon décroiffement. IV . 727. a. D e s fluides ou humeurs
qui lui font propres. V I I I . 349. b, 8cc. Des vaiffeaux qui
le compofent. X V I . 802. a, b. D e s folides, X V . 321. a,
b. Les fluides plus abondans que les folides. X ï. 286. b. Difli-
pation des uns 8c des autres. Ibid. Principe de la cohéfion
ries particules terreufes du corps humain. 287. a. Flexibilité
rie fes parties. V I . 874. b. L’élafticité dans toutes les parties
du corps paroît en raifon inver fe de leur flexibilité. 663. b.
Comment toutes ces parties tendent à d evenir toujours plus
folides. 668. b. Tableau général de l’économie animale ,
telle qu’elle s’exerce dans le corps humain. X V . 433 .b . A r ticle
fur l’économie animale 8c fur les loix félon lefquelles
fes fondions s’opèrent dans notre corps. XI. 360. a, b.
3 66. b. S’ il peut renaître de nouvelles parties dans le corps
humain. I. 89. b. Voye{ Régénération , Réproduçtion.
Efpece de levier que la nature a employé le plus fréquemment
dans notre corps. IX. 446. b. L e corps comparé à
une machine hydraulique. X. 220. a. Réflexions fur l’application
que quelques perfonqes ont faite des principes rie la
méchanique au corps humain. 224. a. D e fes mouvemens,
foit extérieurs, foitfntérieurs. X. 841. a. Chaleur du corps
dans l’état de famé. U I. 31. a , b. 38. b. Effets de l’air fur
notre corps. I. 233. a. Celui de la grande chaleur 8c du
grand froid. Ibid. b. D e l’a&ion du corps fur l ’aine 8c de
famé fur le corps. I. 342. b. IL 787. b. Matières médicales
que fournit le corps v iv ant, 8c celles qu’on tire du cadavre.
VII I. 274. b. Divinités auxquelles chaque portion particuliere
du corps humain étoit confacrée. X. 323.a.
C o r p s , ( Anat. ) Defeription des différentes parties du
corps humain, nommées corps bordé , petite partie de la
fubftance médullaire du cerveau : corps cannelés, éminences
remarquables dans le cerveau. Corps d'hyghmore , corps blanchâtre
, fitué à la partie fupérieure du tefticule. Corps olivâtres
, éminences blanchâtres dans le cerveau : corps pyra-
rnydaux , éminences médullaires de la m oelle allongée. Suppl.
Iï. 6 1 1 . b.
C o r p s humain, ( Deffein ) de fes articulations, voyc^ ce
mot. Ses proportions en peinture 8c en fculpture. XIII. 460.
b. V I. 336. b. Suppl. II. 344. b , 8cc. Connoiflance que le
peintre doit avoir de l’anatomie du corps humain. V . 714. a.
V I. 774. b. —-’ 78o. bl
C o r p s .^ Métaphyf. ) D e la dépendance mutuelle de l’am«
8c du corps. Suppl. IL 913. a.
C o r p s . ( Hifl. des infek. ') Diverfités dans la figure extérieure
du corps des infeftes. Petites pointes qui tiennent
lieu de pieds à quelques-uns. Autres variétés dans les corps
des infeéles, employées par la nature pour les prémunir
contre le danger ou leur fervir d’ornement. D e la partie
poftérieure du corps des infeéles : variétés dans cette partie.
Des parties de la génération dans le mâle ; conduit qui fe
trouve dans les femelles par lequel elles dépofent leurs oeufs.
IV . 624. b. Toutes les femelles n’ont pas un pareil canal, le
tuyau ne fert pas toujours de canal aux oeufs, 8c fe trouve
dans les mâles de quelques efpeces aquatiques. Ibid. 263. a.
C o r p s étranger, ( Chirurg. ) on les partage en deux claffes ;
ceux q ui fe font formés au-dedans rie nous , ceux qui font
venus du dehors. Les premiers font de deux fortes ; ou ils
fe font formés d’eux-mêmes, ou ils ne font devenus corps
étrangers que pour avoir féjourné trop long-tems dans le
corps. Les féconds font entrés, ou en faifant une divifion
ou fans faire de divifion. On doit mettre au rang des corps
étrangers l’air qui peut caufer des tumeurs : divers exemples.
To us les corps étrangers doivent être tirés, dès qu’il
eft poflible de le faire. IV . 263. a. Différentes maniérés de
les tirer relatives à leurs differentes efpeces. Connoiflance
qu’on doit acquérir ayant que de procéder à l’extraélion;
Préparations néceffaires au fuccès de l’opération. D e l’ex-
traétion de ceux qui font entrés par une ouverture naturelle
, de ceux qu’on ne peut tirer fans faire une divifion:
ïnftrumens dont on fe fert pour ces opérations. Connoif-
fances, talens 8c génie que ces opérations exigent dans
celui qui les entreprend. Ibid. b. Obfervation fort curieufe ,
rapportée dans Dion is , qui montre la fécondité de reffoùr-,
ces que doit avoir le chirurgien dans des cas femblables.
Les médicamens attraélifs rejettés par l’auteur de cet article.
Ibid. 266. a.
Corps étrangers. Fiftules caufées par la préfence d’un corps
étranger. V I . 823. b. ïnftrumens pour tirer ceux qui font
engagés dans une plaie. I. 298. a. II. 184. b. Opération
pour tirer ceux qui font engagés dans la trachée artere, IL
43 3. a, b. dans le larynx ou ï ’oefophage. Ibid. 8c XI. 403.
a , b. Deux efpeces rie corps étrangers : de leur extrattion.
X V I. 743. b. 744. a. Différentes opérations qu’ils exigent :
elles font expliquées aux articles B r o n ch o tom ie , Entér
o t o m ie , E x er e se , G a s t r o t o m ie , Inc is io n . Corps
étrangers évacués par l’urine. X V I I . 313 .a.
CORPS fonore, ( Mufiq. ) dans un infiniment. O n ne doit
donner ce nom qu’à la partie de l’inftrument qui fonne elle-
même 8c fans laquelle il n’y auroit point de fon. Suppl. II.
612. a. •
C o r p s de voix , {Mufiq.) degré de force de la voix. D ifférence
entre le corps 8cl’étendue d e là v o ix .Suppl. IL 612.4:'
C o r p s . ( Littéral. .) Corps des canons ; corps du droit
civil.1 IV . 266. a. Corps des poëtes grecs 8c des poètes latins.
Ibid. b. ' I I
C o r p s de J. C. {Religieux du) ordre inffatué au commencement
du quatorzième fiede. Origine qu’on lui attribue.
Changemens arrivés dans cet ordre. IV . 266. b.
Corps politique, comparé à un corps orgamfe 8c vivant
tel que celui le l'homme. V . 338. u .C ’efl un être moral qui
à une volonté. Ibid. En quoi confifte la vraie union dans un
corps politique, XV II . 3§J. b. Sur les corps politiques, vey'i
Et a t s , Sociétés , Éco nom ie p o l it iq u e .
C o r p s , {Jurifp.) IV . 266.b.
Corps & communautés. Autorité néceflaire pour former un
corps ou communauté. Pourquoi il ne peut s’en former que
par lettres-patentes du prince duement enrégiftrées. IV . 266. b.
Corps de ville y leur origine. III. 723. a. Obfervations fur
ce fujet. XV II . 280. a. . o • -i i v Corps de droit ; deux fortes, le canonique 8c le civil. 1 v ,
266. b.
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