454 C U T
que. Comment Te détermine cette derniere dißance. Tabula
. latitudinarice dp Kepler. IV . 579. a. _
CU R T IU S , ( Marcus) dévouement de ce romain. IV.
921. a. Examen de la vérité du prodige dont il fut fuivi. II.
.860. a. 861. a. ' t
CURTIVS , ( Charles Warner ) anatomifte. Suppl. 1. 414- a.
CU R T I I lacus. X IV. 350.À - . , M B
CU R V IL IG N E , ( ) figures de ce nom. Angle curviligne.
Maniéré de le mefurer. IV . 579.0. •
Curviligne, figure, mÂiere de divifer une figure curviligne
en raifon donnée. VIT. 606. a.
C U R U L E , ( Hiß. anc. ) chaife curule. Magiftrats curu-
Jes.'Comment on portoit au fénat ceux qui avoient exercé
les ma^iftratures curules. Chaife des triomphateurs. Ce,que
.fignifioît la chaife curule fur les.médailles. Statues curiiles.
IV . 579 .a. . • paH '
Curule. Chaife curule. X V . 729. a. Voyez CHAJSE. J eux
curales. VIII. 537. b. Magiflrature curule. IX. 837. a. Statue
curule. X V . 497. i . 50a. «.
. CU R U PA , ( Botan. )• plante de l’Amérique. C e qu’en dit
JM. de la Condamine. IV . 579. a.
CU RU RU-A PE, (Botan. ) ufage médicinal des feuilles de
cet arbre du Rréfil. IV . 579.b.
, ! CU RU TU -PA LA , (Botan. ) arbriffeau du Malabar. Ses
propriétés médicinales. IV . 579. b.
. CU SCO . Qualité du climat de cette v ille du Pérou. XVII .
72 7. a. Temple de Cufco. X V Î . 84. b. Chemin de Cnfco à
Quito. III. 276. b.
C U S CU T E , ( Botan. ) plante parafite. Ses carafteres.
Comment elle fe nourrit des autres plantes. Divers noms
qu’on lui a donnés. IY . 579. b. Diverfes plantes fur lefquel-
les on la trouve. Singularités de la cufcute. Dèfcription de
cette plante 8c dé chacune de fes parties. Ibid. 580. a. Son
caraélere générique. Il n’y a qu’une efpece de cufcute connue.
Tous les pays chauds, froids , tempérés, produifent
la cufcute. La plante que nous.connoiffons fous ce nom , efl
la même que les anciens connoiffoient. O n ne remarque à
la cufcute aucun organe propre à s’attacher aux plantes ,
parce que ces organes ne fe développeroient jamais fans la
rencontre d’une autre plante. Comment ils fe développent,
Ibid. b. 8c comment elle contracte une adhérence avec les
autres plantes. Suçoir de la cufcute. Ses mamelons. Leur dif-
pofition; Caufe de leur fortie .& de leur formation. Remarque
fur l’ufage des mamelons. La cufcute a befoin , pour v ivre ,
d’une plante étrangère. Ibid. 581.4.
Cufcute. Raifm barbu , formé par l’entrelacement de la cufcute.
XIII. 769. a , b.
Cuscute , ( Mat.méd. ) deux fortes de culbutes de boutiques.
La cufcute indigène eft de nulle valeur. On fait peu de
cas aujourd’hui de ces plantes. Compofitions officinales où
elles entrent. IV . 581. b.
CU SP INIEN, ( Jean ) ouvrages de cet auteur. X IV . 780.a.
CU S S Y , colonne d e , ( Ant'iquit. ) Supp. II. 507. b. &c.
CU STO D E S , ( Hiß. anc.) officiers romains de ce nom. IV .
581. b.
C ustode, ( Jurifpr. ) dans certaines églifes eft la même
çhofe que curé. L’ufage de ce terme eft fort ancien. Grand
euftode dans le chapitre de Lyon. Cuftodes de Sainte-Croix.
IV . 581 .b.
C ustode , ( Bourrelier) IV . 581. b.
C U T A N É , (Anatom.) nerf cutané interne. Dèfcription de
ce nerf. N e rf cutané externe. IV . 58 i .b.
C U T A N É E , (glande) définition. Ces glandes diftinguées
en miliaires & en fébacées. Ruifch ne les adopte point. Boer-
jiaave admet un troifieme genre de glandes cutanées , qu’il
appelle cryptes. Il y a peut-être encore d’autres fortes de glandes
cutanées , qui forment ce mucus qu’on apperçoit dans tous
les endroits Ou la peau fe détache. Ibid. 5 82. a.
C utanée , ( maladie ) diverfes caules des maladies de la
peau. L e tiffu de la peau, fa nature & fes ufeges l’expofent
à plufieurs maladies. Divers noms 8c carafier.es de ces maladies.
Caufes médiates & -éloignées de la formation de cette
férofité âcre qui produit les maladies cutanées. But des
indications curatives. Remedes qui y conviennent. IV . 582. a.
Pourquoi les anciens étoient fort verfés dans l’art de traiter ces
maladies. Suite fur les remedes. Ibid. b. Comme les caufes de
la maladie de la peau varient extrêmement, il eft évident que
la cure doit varier de même. Ibid. 583. a.
Cutanées , maladies, XII. 2 17. a , b , 8cc. Ces maladies fou-
mifes au mouvement de la lime. VIII. 737. a. Des topiques
dans ces maladies. X V I . 4 19. D e leur traitement. Ibid. b. Pommade
pour guérir les dartres, les rubis, & autres difformités
de la peau. II. 502. b. Voye.~ auffi Exanthème, Eruption, Peau.
Y ers cutanés. XVII. 44. a.
CUTHÉENS. Divinité de ces peuples , nommée Nergel.
L e nom de Cuthècns donné aux Samaritains. XI. 102 .b.
CU T S JU PAU , (Botan.) efpece de bananier. Suppl. 1.782.4.
C U T IC U L E , ou épiderme, (Anatom. ) dèfcription de cette
fur-peau. Ecailles cuticuliûr.es. Nombre prodigieux de vaif-
C Y C
féaux excrétoires qui fe trouve dans une feule écaille. L’épiderme
bouche Je paffage à une grande partie, des humeurs
féreufes qui s’évacùeroient autrement par les glandes de la
peau. IV . 583. 4. En quoi confifte , à ce que l ’on cro it, cette
indifpofition que l’on appelle vulgairement un rhume. Caufes
des démangeaifons & des petites pullules & autres impur
retés de la peau. Origine & formation de la cuticule. Son
ufage à l’égard des nerfs. Les chats Scies chiens ne fuent jamais;
on en conclut que leur cuticule ri’a point de pores. Ibid. b.
C uticule , (Anatom.) fa dèfcription & fes ufages. SuppL
II. 666. b. Voyer ÉPIDÉMIE, 8c Suppl. 612. b.
Cuticule , ( Jardin.) première peau delà graine. IV . 583.6.
CU V E , ( Tonnel.) ufage des cu v e s.IV . 583. b.
C uve dairain , (Antiq.facr. ) uftenfile confacré chez les
Juifs au fervice divin. Son ufage. Autre vafe de bronze beaucoup
plus grand , que Salomon fit faire pour conferver l’eau
deftinée à l’ufage des prêtres , 8c qui fut appellé mer d’airain.
Sa dèfcription. Suppl. II. 667. a.
Cuve , en terme de blanchifferie de cire. Dèfcription &
-ufage. IV . 583. b.
Cuve-matiere, ( Brajferie ) en quoi elle différé des autres
cuves. Son ufage. Cuve-mouloire. Cuve-guilloire. IV . 584.4.
. Cuve , chez les cartonniers. C u v e du moulin à papier à
cylindres. Cu v e en terme de raffineur de fucre. Cuves des
teinturiers. Explication de différens termes qui fe rapportent â
ces vaiffeaux. IV . 584.4.
CU V E R T S , efpece de ferfs qu’on appelloit de ce nom. IV .
566. b.
C U V E T T E , ufage de ce terme en bâtiment, fortification
, jardinage, verrerie. Cuvette dans les ardoifieres. IV .
584. b.
CU ZU M , ( Géogr. ) voye^ AxfJM.
C Y
C Y , ( Comm. ) terme de teneurs de livres. D e quelle maniéré
ils s’en fervent. Les gens de finance s’en fervent auffi./
IV . 584. b.
C Y AN É E S , (M y th .) rochers à l’entrée du Pont-Euxia.
C e que firent les Argonautes à ce paffage. IV . 584. b. Voyc{
Symplegades.
C Y A T H E , (H iß . anc.) étymologie de ce mot. C ’étoit
un 'petit gobelet, &c. dont la mefure étoit la douzième partie
'du feptier. Mefure de vin que buvoit Augufte dans un
repas. On donnoit aux parties du feptier les mêmes noms
qu’aux parties de l’as. Obfervations fur l’ufage incommode
du cyathe : invention des taffes inégales pour remédier à
ces inconvéniens. Les Grecs auffi bien que les Romains ont
fait ufage du cyathe 8c des taffes inégales : paffage d’Atlienée
fur ce nijet. Comment on buvoit chez les Romains à fa
maîtreffe ou à fon ami. Paffage d’Horace fur ce fujet. Autres
ufages que les anciens faifoient du cyathe. IV . 585. a. Capacité
du cyathe félon G alien, 8c félon nos médecins d’aujourd’hui.
Ibid. b.
Cyathe, ufage que les Romains faifoient.de ce gobelet.
X V . 034. 4.
C Y B E L E , (M y th .) ce que la fable .nous raconte touchant
cette déeffe. Elle fut envoyée de Peffmunte à Rome
fous la forme d’une pierre brute , 8c introduite par Scipion
Naftca. Prêtres de cette déeffe appellés , galli, curetes, cory-
bantes. Cérémonies qu’ils pratiquoient.Sacrifices qu’on faifoit à
Cybele. D ivers attributs fymboliques de cette déeffe. IV . 585./’.
Cybele, fon amour pour Aty s. Suppl. I. 694. a. Ses Jm-
noms. Elle fut nçmmée Be recynth e , II. -207. b. la mefe
Idéenne. VIII. 474. a. La mere des dieu x, voyeç ce mo t:
8c la mere Placienne. XII. 677. a. On l’a auffi confondue
avec Ve fia 8c la terre. V o y e z ces articles. Cyb ele Chinoife.
XIII. 585. 4. Cyb ele fyrienne. X V . 792. b. Statues & um-,
pies de Cybele.'Sa ftatue ne fut d’abord qu’une fimple pierre.
VIII. 421. 4. 926. 4. A quelle Qccafîon fa ftatue fut apportée
à Rome. X. 301. a. Ce tte ftatue fut tirée de Peflinunte. XIL
452. 4. X V I . 70. 4. Gomment on repréfente.cette déeffe.
X V . 730. 4 , b. Ses temples. X V I . 70, a. Celui qu’elle eut
fur le mont Sipyle. X V . 223. Autre temple de cette déefle
en Syrie. X V . 772. b. Ses prêtres. D e s corybanthes. IV .
288. b. Des curetes. 575. b. .576. a. D a f iy le s , prêtres de
Cybele. IV . 610. 4 , b. Galles. V II . 448. b. Les prêtres de
Cyb ele nommés ménagyrthes. X. 330. a. Mutilations qu’ils
fe faifoient. III. 459. b. Suppl. I. 694. a. Son culte 6* fes
fêtes. Dendrophories pratiquées dans les facrifices. IV . 824.
b. Fêtes en l’honneur de la mere Idéenne. VII I. 494. a. Fêtes
hilarieS*en l’honneur de la mere des dieux. 207. b. Autres
dites lavâtion. IX. 310. a. Effigie d’un lion qu’on portoit
dans les facrifices de Cybele. 559. b. Fêtes de Cyb ele à
Rome. X. .3 81.4. Chant en fon-honneur. Supol. II. 407.4.
C Y C E O N , ( Diète) efpece de potion des anciens. Com-
pofition de deux différens cycéons. Hyppocrate en parle .foii-
vent. IV . 585. b. Autre fens qu’on donnoit quelquefois à
ce mot. Cynjms des Latin;. Ibid. 586. -4.
C Y C
C Y C IN N IS , danfe des Grecs. Son inventeur. Carafiere
dé cette darife. IV . 586/4.
■ C Y C L A D E , habillement de femme , ou l’étoffe même
dont il étoit fait. Cyclades , ifles de l ’Archipel. IV. 586. 4.
Cyclades. Hiftoire de M e dp Paros & des autres Cy clades.
X IL 78 .4 , b. Les autres principales font A ndres, Delo s,
M y cone , N a x e , Scyros , T in e , Serpho , &c. Voyeç leurs
articles particuliers.
‘ C Y CL AM ËN ou pain de pourceau , (Botan.) pourquoi
cette plante reçoit ce dernier nom. Sa dèfcription. Deux
èlpeces de cyclamen , l’un printannier, l’autre automnal.
O ïl en détalle des cayeux en les coupant de .la mere,. &
©^recouvre ces plaies de térébenthine, &c. IV . 586. a.
C Y C LE . (Chronol.) Origine des cycles. I v . 586. a. Ils
Comprennent plufieurs révolutions du même aftre , après lef-
quelles l’aftre fe retrouve au même point du ciel d’où il étoit
parti. C y c le de la lune qui eft de 19 ans , appellé auffi
période Méthonienne , ou nombre d’or. Ulage de ce
nombre d’or ; pourquoi il fut appellé de ce nom.'Explication
de la maniéré dont les nombres de ce cy c le répon-
doient aux jours du calendrier ou auroient dû y répondre.
Ibid. b. Comment on auroit pu déterminer avec plus
de précifion les jours de la nouvelle lune. Jours caves &
jours pleins, les uns de ving t-neuf jo u rs , les antres de
3 0 , qu’il a fiillu faire alterner pour répondre' à la durée
d’une révolution lunaire, en oblervant d’ajouter encore un
jour entier au b o u t1 de 32 lunaifons , pour tenir compte
des fraéliôri's. Si le nombre du cy cle lunaire eft donné-, on
aura par le moyen du calendrier eccléfiaftique les jours
des nouvelles lunes pendant l’année. Erreur qui fe trou-
Voif dans l’ancienne manière de compter le cy cle lunaire ,
qui conduit à une différence d’un jour au bout de 300 ans.
Différence entre le cy cle lunaire 8t la période ou faros
thaldaïque. Ibid. 587. a. Ufage du cy c le de 19 ans dans
l ’ancien calendrier pour faire trouver les fêtes mobiles. Son
ufage dans le nouveau calendrier fe borne à faire trouver
les épaétes. Différence entre les Orientaux 8c les Occidentaux
dans la maniéré dont ils commencèrent à compter leur
cycle. Moyen employé pour faire évanouir cette différence.
Erreur qu i's ’eft introduite par laps de temps dans le compte
des nouvelles lunes. Nouvelles, lunes eccléfiaftiques en A ngleterre.
Maniéré de trouver le cy c le lunaire pour une
année quelconque. Ibid. b. Les imperfections du cy cle lunaire
obligèrent Grégoire X III de lui fubftituer les’ epaftes.
Ibid. 588. 4.
Cycle , ( Hiß. du calend. ) Cy cle s que les premiers peuples
ont fuivis pour corriger les imperfections de leur calendrier.
X V I . 773. 4. C y c le luni-folaire de Jules-Céfar : def-
cription d’un monument où fe trouve l’explication de ce
cy cle. X V I I . 667. b. C y c le de douze ans chez les Catayens
& les Turcs. V II . 655. a. C y c le caniculaire. III. 388. 4.
Cycle lunaire. Mois intercalaires ou furajoutés pour former
le cy c le lunaire. V . 557. a. Le cy cle nommé cnneadcca'têride,
692. 4. méthonique. X . 462. b. XII. 361. a , b. C y c le des
ëpaCtes , V . 7 4 11 b. 8c nombre d’or. X L 204. b. ,
. Cycle des indiflions. Incertitude fur le commencement 8c
l ’ufage de ce cycle. IVIoyen de trouver ce cyclepour une année
propofée. IV. 588. a. Voyeç Indiction.
Cycle folâtre. Pourquoi il eft appellé folaire. Changement
que produifit dans ce cy cle la réformation du calendrier
Ious Grégoire XIII. M oy en de trouver ce cy cle pour une
année propofée. Explication néceffaire pour bie;i entendre
la diftribution des lettres dominicales dans le cycle folaire.
IV . 588. 4. Table qui feit vo ir quelle eft la lettre dominicale
qui répond à chacune, des années du cy cle folaire
dans le calendrier julien. Changemens que fit à cette table
le pape Grégoire en réformant le calendrier. Ibid. b. Table
du cy cle folaire depuis l’année grégorienne 1700, jufqu’à
1 année 1800. Moy en défaire une table générale pour tous
les cycles folaires. Obfèrvations fur la table perpétuelle des
lettres dominicales qu’on trouve/ dans la chronologie de
Ibld- 589- 4- L e mot cy cle eft non-feulement applique
a tous les nombres en général qui compofent la période
mais a chaque nombre en particulier. Ibid. b. Voyez D ominicale
, Lettre.
Cycle pafchal : quelle eft la période de ce nom. IV . 589. b.
C e cycle a été appellé annus magnus , cyelus rnagnus . pé-
node victorienne. Enfuite on l’a appellé période Dyonificn'ne.
Différence entre le cy cle lunaire 8c celui de 19 ans remarquée
dans l’ouvrage intitulé : art de vérifier les dates. C e
qu’on entend par Ta période julienne. Ibid. 590. a.
" ' ÇfHe pafchal de S. Hyppolite. X V I I . 768. 4 b.
C y c l e épique, ( Mythal. ) X V I. 275.4.
. C Y C L IQ U E , poème. XII. 812. b.
C Y C LO ID A L . ( Géorn. ) Efpace cycloidal. C e t efpace eft
triple du cercle générateur : l’elpace renfermé entre le demi-
cercle 8c la demi-cycloïde eft égal aii cercle générateur : dé-
monllrationsÆV. 590. a.
C Y C L O ID E , ( Géorn. ) dèfcription de cette courbe. Ses
C V 4 5 5-
diverfes propriétés. IV . 590; 4. Cyclôïde allongée. Cycloïde
accourcie. D e 1 inventeur de la cyclôïde. Depuis foninven-
t io n , tous les mathématiciens fe font exercés1 à en chercher
les diverfes propriétés, ,Quelles font les plus remarquables.
La cjrdotde eft k ltgne la plus courte que parcourrait „p
corps tombant obliquement a l’horizon. Ibid. b. Découvertes
de divers grands mathématiciens pour la quadrature de la
cyclôïde. Tant qu’un corps pefant qui ofcille autour d’un
centre fe mouvra dans une c y c lô ïd e , les tems de fes ofcil-
fetions feront égaux entr’eux ; découverte de M. HuyohènS.
Comment• M. de Fontenelle effaie d é faire concevoir’cette
propriété de la cyclqïde. C ’eft cette propriété qui a fait
imaginer 1 horloge à pendule. Ouvrage de M. H uyghens frt-
i W P p ? v r a « à confulter pour s’inftrùire M
de la cyclôïde. D iv e rs géomètres qui ont eu part aux clé-
couvertes des propriétés de cette ciurbe. « 591. Ap-
Intention' L
M. Huyghens. L expérience 6®^ théorS§bnt démontré l é
don. T o u s les fevans de l EuriSpW(éfterem: atBc fié si cette
invention plus de trente années , malgré les irrégularités des
pendules a cycjoide. Comment M. Sully le u r deffilla les
yeu x. En quels- cas cette courbe peut encore convenir aux
pendules des horloges. M.éthode preferité par M. HàVcliem,
pour former cette courbe. Ibid. b. '
Cyclôïde. Théorie d’où M. de Maupertuis a déduit les
dimenfions de la cyclôïde. V . 787. b. Quadrature de cette
courbe. XIII. 641; a. Ses propriétés. Elle eft la courbe de la
plus vite defeente : demonftration de cette proposition • d t
qui cette propriété a été découverte. II. 392 4 Tauto'
chronifniç d e la,ty clo ïde . -XV. 946. a. A p p lS io n faire de
la cyclôïde aux pendules. VIII. 304. a , b. XII. 2oc. b
Invention du pendule cyclôïde par M. Hooke. X V I I 61 1 b
C Y C L O P É E , ( Hifi.anc.) diînfe pantomime des andens
IV . 592. 4.
C Y C LO P E S , ce que raconte la fable fur ces peuples IV
59*-*- . . . . . .. » : ‘
! Cyclopes, febricateurs de Ta foudre. V IL 2x5, 4. Corps dé
cyclopes qu’on a prétendu avoir trouvés dans certaines cavernes.
537. é. Dèfcription du travail des cyclopes par
Dryden. VIII. 569. b. r / r
Cy c l o p e s . ( / c/ix * U m t. A a a . ) Agneau cyclope. Siippt
III. 552. a. Hommes cyclopes. 553. 4. cr
C Y D IA S de C ytnos , peintre grec. XII. 2 5 8. é.
C Y D N U S , riviere de Cilicie , femeufe par la maladie
d Alexandre caufée par le bain qu’il prit dans cette riviere 8c
enfuite par la mort de l’empereur Frédéric I en 1x80 IV-
59^
. Cydnus, (Geogr.) fleuve de Cilicie. Danger que courut
Alexandre en voulant s’y baigner: Suppl. II. 667. a. Frédéric
Barberouffe fit la même épreuve de fes eaux 8c en mourut.
Ibid, b-.
Cydnus , il eft fait mention de la maladie d’Alexandre dont
on vient de parler. VII. 3 28. b. Suppl. 1. 267. 4.
C Y G N E , ( Ornith.) dèfcription de cetoifeàu. IV . 592. a.
Durée de fe v ie , fa nourriture, fa ponte. Cygnes feuvages.'
Ufage du duvet du cygne. Ibid. b.
Cygne , ftruélure admirable de fe trachée artere. X V I.
505. 4. D u chant de cet oifeau. X V II . 432. a.
C y g n e , (Mat.médec.) propriétés 8c ufage de fe graiffe.
Ufage d elà peau du cygne. IV . 592. b.
C y g n e , (Aftron.) conftellation.IV/592.b.
Cygne, comment on connoît cette conftellation dans le ciel.
Suppl. II. 567. 4. Changeantes du cygne. Suppl. II. 018 b
319.4. 896.4 , b. Suppl. IV . 9 16.4 . 3 ' :
C y g n e , ( B la fo n ) oifeau qui fe trouve en quelque écir.
Cy gn e becqué, membré. Signification de ce fymbole SuddL
IL 667. b. ™
C y g n e , ( l ’ordre du ) fon origine. C ollier de l’ordre.Suppl.
H. 667. b. Vove^ vol. I l des pl. Bla fon, pl. 26:
C y g n e , (M y th o l.) oifeau confacré à Apollon, &c. IV.
592. b.
C Y L IN D R E , comment on peut le fuppofer engendré'.
Maniéré de mefurer la furfece entière d’un cylindre , 8c là
folidité. IV . 592. b. Un cône eft le tiers d’un cylindre dé
même bafe 8c de même hauteur. Rapport du cylindre à
la fphere. Tous les cylindres, cônes , &c. font entr’eux
en- raifon compofée de leurs hauteurs : &c. D ivers autres
rapports des cylindres entr’eux 8c de leurs parties entr’elles!
T rou v e r un cercle égal à la furfece convexe d’un cylindre
droit. L e diamètre d’une fphere 8c la hauteur d’un cylinî
dre qui lui doit être égal étant donnés., trouver le diamètre
du cylindre. Trouv e r le développement d’un cylindre!
Quand le cylindre eft oblique , la détermination de fe fur-'
face courbe dépend de la reélification dé Pellipfe. Ibid. 593.
' Cylindre. A x e du cylindre. 1. 904. b. Trouver le centre de
gravité dans le prifrne 8c le cylindre. IL 825. "b. Rapport
du cône au cylindre. III. 845. b. Une fphere eft les deutf
tiers du cylindre circonfçrit ; obfervations fur la manière