4°4 C O Q
Coq de bruyere. Comment i l appelle les poules. Defcriptiort
du coq des bois. Lieux où on le trouve. Lieux qu’habite le
coq de bruyère. Ses moeurs. Speélacle fmgulier que préfentent
les amours de cet'oifeau. Suppl. II. 393. b. Description &
moeurs de la poule de bruyère. Cette efpece d’oifeaux peu
nombreufe. Contrées qu’ils fréquentent. Ibid, k
Coq'dé roche. Nom fous lequel les habitàns de Cayenne
connoiffent un oifeau remarquable par fa beauté. Ses différentes
défignatiqns. Sa defeription. Suppl. II. 594. a. Ses
moeurs. Maniéré de Ieclafièr. Ibid. b.
C oq d’Inde,, ( Econ. ru fl.) éloge de cet animal pour la
baffe-cour J Quel doit être celui qu’011 donne aux femelles. IV .
ï8o. a. ‘ Coq d’Inde. Sa defeription. Couleur des oeufs. Ces o ifeaux
cherclient les lieux chauds. Difhculté d’élever les petits. IV.
180. a.
Coq indien. Oifeau fort différent du coq d’Inde. A utres noms
qu’il porte. IV . 180. a. Defeription de trois oifeaux de cette
efpece. Ibid. b.
Coq , herbe du, X . 343. a.
C O Q , tête de , ( Anatorn. ) X V I . 199. a.
Coq , l’ordre du, (Hifl. mod.) en quels tems & occafton cét
ordre fut inftitué. IV . 180. b.
COQ , ( jBlafon) meuble d’armoiries. Coq crêté, becqué ,
barbé , membré. Coq chantant. Signification de ce fymbole.
Les Gaulois le prenoient dans leurs enfeigties militaires. Suppl.
ï 1- 593-^ .
COQ du vaiffeau , ( Marine ) IV . 180. b.
C o q , ( Horlog. ) les coqs à la françoife font meilleurs
que ceux à Fangloife. C e qu’on appelle petit coq dans les
montres françoifes. Son utilité.^Aurre piece dans les montres
françoifes , appellée petit coq d'acier. IV . 180. b.
Coq , dans les p<moules. IV . i 81. 4.
Coq , ( Setrur.) coqs fini pies , doubles & 1triple:5. IV . x 81.4.
C O Q U A L L IN , ou écureuilorangé, {Q_u■ '•) Suppl.ll.
394. b. Sa deu
A/» lr- rlafipi- 7rriptit>n & fes moei1rs. L ieux qu il habite. Maniéré
C O Q U E ,
bid 3
mfinal.) toute: enveloppe ou nid formé par
les infeéles a (livei:s ufages. D ifFérentes fortes de travaux des
infeéles pour :fe former ces enve loppes. Coqiles d’ichneumons.
IV . 1 8 1 .4 . Les coques diftiinguéçs par leurs différentes
figures.
Premier ufage des coques: c’e ftlà qu e les infeélesferenferment
pour y subir leur transformation. C es coques paroiffent
fervir à trois fins , indiquées dans cet article.
Second ufage. Lorfque les infectas en bâtiffent pour y dé-
meuref dansié tems qu'ils font encore infeéles rempans, qu’ils
mangent & qn’ils croiffent.
Troifieme ufage. Quelques infeéles les font fervir d’enveloppe
à leur coiivéè. Ibid. b.
Ccquc. Différentes efpeces de coques de foie que filent les
chenilles. III. ap i. b. 293. a. Chenilles qui font leurs coques
dans la terre. Celles des chenilles qui vivent en fociété. Ibid,
b. Comment les papillons ouvrent leurs coques. X I. 873. a.
Coques de vers à foie. X V . 269. a. Voyelles planches de v er à
fo ie , vol. I. Différentes formes de coques dont quelques chry-
falides font revêtues. V III. 784. a. j
Coque , ( Marine & Corder. ) IV . 182. a.
COQUES & venons, ( Péch. ) forte de coquillage qui renferme
un poiffon. Maniéré d’en faire la pèche ou récolte. Tems
où elle fe fait. IV . 182. <7.
Coque , efpece'd’appât qui enivre le poiffon. X IV . 196. a.
COQUE du Levant , ( Botan. ) voye^ COCCULUS.
Coques de graines. Méthode de faire fructifier les efpeces, de
graines domeftiques renfermées dans les coques les plus dures.
.VII. 836. b.
Coquelicot , voyeç Pavot.
CO Q U E LO U R D E . Defeription de ce genre de plante. IV.
^82.
C oQuelourde , ( Mat. méd. ) propriété de cette plante
appliquée extérieurement. IV . 182. a. Ses fleurs entrent dans
l ’eau nyftérique. Jêii/. b.
C O Q U E LU CH E endémique. Saifon de l ’année où elle
paroît. Origine du nom de coqueluche. Différentes années
dans lefquelles elle a régné avec violence. Divers peuples
qui en ont été àttâqùés en certains tems. Caufe foupçonnée
de cette maladie. Trois chofes que doit fe propofer Un bon
médecin pour la guérir. Remedes à employer pour cet effet
i v . 182. b.' ■ ' I ■ ■ ■ ■ ■ wam M
Coqueluche. U fage de l’émétique daïis cette maladie. XVII .
.4^7- av
CO Q U ER E L LE S , ( Blafon ) noifettês dans leurs g9uffes,
jointes enfemble au nombre de trois. Etymologie du mot.
de P ont ailler , ( François-suppi. Jacques & Gafpard ) iv . 502.^
C O Q U E T T E R IE , ( Morale) en quoi confifte b vie d’une
femme coquette. IV . 183.4. ' ' ’ '
Coquetterie. D e la coquetterie chez les femmes. V I . 473.
C O Q
a. Différence entre la coquetterie & la galanterie. XVII .
766. b. D e la parure des femmes coquettes. Suppl. H.
244. b,
C O Q U IL L A G E , ( Icktyol.) différence entre une coquille
& lin coquillage. Les animaux de ce genre font appellés
tejlacées. Dans quelle claffe Ariftote les range. Il les diftingue
en univalves , bivalves & en turbinées. On a fait beaucoup
plus d’obfervations fur la figure des coquilles, que fur celle
des animaux qui y font renfermés. Cependant il feroit plus
néceflaire de connoître l’animal que la coquille. Les animaux
les plus abjeéls n’en font pas moins dignes des recherches du
naturahfte. IV . 183. b. Il eft vrai qu’il eft difficile d’obferver
leur conformation intérieure ; cependant d’habiles obferva-
teurs font déjà parvenus à furmonter ces obftacles. La plus
grande difficulté feroit pour les coquillages qui ne fe trouvent
que dans des pays fort éloignés ; mais tous ceux qui travaillent
pour 1 avancement des fciences, concourent au même but.
Chacun doit s’occuper au moins des produ&ions du pays qu’il
habite. Il refte beaucoup de coquillages de ce pays-ci qui (ont.
a peine connus, Jéi<£ 184. a. a
Coquillage. Il paroît que les coquillages font les premiers
poiffons que les honynes ont connus & mangés. X. 783. b.
Diflribution des coquillages en trois claffes ; les univalves "
les bivalves & les nuiltivalves. 860. a, b. Caufe de confùfion
dans la maniéré de les clafiér. Suppl. II. 73. b. D e leur fexe.
I. 123^. b. Suppl. III. 10. b. 64. a. Pêche de coquillages.
Coquillage, (Mat. méd.) délicateffe des Grecs & des
Romains fur le choix des coquillages confidérés comme mets.
Qualité de ces mets. IV . 184. a.
CO Q U IL L A R D E . Différence entre ce poiffon de mer & le
perce-pierre. XII. 326. b.
C O Q U IL L A R T , ( Guillaume ) poète. Ses ouvrages. X IV . 246. b- ■■ ‘ .
CO Q U IL L E . C e qu’on doit entendre par ce mot. IV . 184.
a. Pourquoi la coquille a toujours été plus recherchée & confédérée
que 1 animal meme. Les coquilles font une des matières
les plus abondantes que nous cohnôiffions. Elles font
de toutes les parties de Tanimal la plus durable. La plupart
de celles qui ont exifte des le commencement du monde ,
exiftent encore : cette matière Te multiplie même chaque,
jour. Différens lieux , différentes difpofitions dans lefquelles
on les trouve. Ibid. b. Il y a lieu de croire que la marne & la
craie, la pierre & le marbre ne font compofés que de frag-
mens de coquilles. Leur matière eft fort analogue à la pierre.
Eljes changent de nature fans changer de forme. Coquilles
foffiles, coquilles pétrifiées. Ariftote les divife en unival-
v es , bivalves & turbinées. Daniel Major eft le premier qui
les ait divifées en claffes, genres , efpeces. Diftinélion qu’il
fait de teftacées improprement dits & vivans * & de tefta-
cées improprement dits & morts. Comment il divife les coquillages.
Autre diftribution des coquilles en trois claffes.
Eloge de l’ouvrage de Lifter fur les coquilles , & de la méthode
félon laquelle il les diftribue. Ibid. b. Extrait de cette
méthode , par laquelle les coquilles font divifées en trois
claffes ; favo ir, celles de terre, celles d’eau douce , & celles'
de mer. Subdivifion des deux dernieres.
Coquilles de terre. Buccins. Leur defeription. Ibid. b. Cara- '
éleres par lefquels Lifter a déterminé les genres des buccins
dé terre. Idée générale des caraéleres fpécifiques qui
diflinguent la plupart des turbinées ou buccins. Ils font tirés
de la forme des coquilles & de leurs couleurs. C e qir’on
remarque pour les fo rme s , & enfuite pour les couleurs.
Ibid. a. Il a fallu fouvent employer plufieurs noms, plüfieurs
épithetes , &c. pour diftinguer:une coquille de toutes celles
qui ne lui font pas parfaitement femblables. D ’autres ont
fubftitué à ces phrafes des noms plus ufités , tirés des chofes
auxquelles les coquilles ont le plus de reffemblance. Imperfe-
étion de cette maniéré de nomenclature. Limaçons. Limaçons
applatis. Diftinélions entre ces derniers.
Coquilles d'eau douce. Elles font ou univalves ou bivalves.
Des coquilles univalves. Buccins , limaçons , limaçons applatis.
Ibid. b. Patelles. Nérites.
Bivalves d’eàu douce. Defeription de ces coquilles, & de
la maniéré dont celles s’unifient. Moules: deux efpeces. Lès
caraéleres par lefquels on diflingue les bivalves font tirés de la
forme & de la couleur. Ibid. 187. 4. Remarques qu’on fait à ces
deux égards. Pétoncles.
Coquilles de mer. Bivalves dont les pièces font inégales, qui
font les peignes. Origine du nom qu’on leur a donné. Leur
divifion en deux claffes. Leur defeription. Les huîtres divifés
en deux genres. Ibid. b. Les fpondyles ; origine de ce nom.
Diverfes efpeces. On compte fept genres de coquilles bivalves
de mer , dont les deux pièces font égales & femblables.;
fa v o ir, les meres perles , aufïi appellées peignes-: elles font
divifées en trois genres. Efpeces du premier genre. L e fécond
n’en a qu’une appellée vitres chinoifes. Defeription du troifieme
genre. Les pétoncles , • qui fe divifent en quatre genres
principaux. Ibid.. 188. a. Dcfcriptions & foudivifions de ces.
genres.
C O R
genres. Les moules. Defeription & divifion en deux genres.
Les piimes-marines. Defeription : lieux où elles font communes.
Ufages qu’on en fait. Autres noms qu’on leur donne. On
les divife en deux genres. Les tellïnes ou ténilles. .En quoi
elles different des moules. Ibid. b. Leur divifion en deux genres.
Les folenes ou manches de couteaux. Autres noms qu’on
leur donne. Leur defeription. Les cames. Différentes maniérés
dont on les nomme.
Coquilles de mer de trois pièces. Pholades, divifées en deux
genres.
Coquilles de mer de cinq piec.es. Conques anatiferes. E tym. de
ce nom. Elles n’ont qu’un genre. Celles qu’on appelle pouffe-
piés. Leur defeription.
Coquilles de mer de dou^e pièces. Glands de mer. Univalves
de mer.Lépas ou patelles, divifés en quatre genres. T u yau x
de mer ou dentalles. Ibid. 189. a. Vermiffeaux de mer. Arro-
foir ou pinceau de mer. Nautiles. Mouvemens de ce poiffon.
Les nautiles fe divifent en deux genres. Limaçons. Etym. de
ce nom. Neu f genres de limaçons. Nérites. Étym. de ce nom.
C e qui les diftingue des limaçons. Leur divifion en fix genres.
Ibid. b. Oreilles de mer. Sabots divifés en fept genres. Porcelaines
divifées en douze genres. Ibid. 190. a.
Rouleaux & cornets. Huit genres de rouleaux & fix de
cornets , nommés le grand amiral. Buccins , vingt-quatre
genres, Ibid. b. Diftribution des coquilles, félon la méthode
de M. Tournefort. Ouvrage de Rumphius , où fe trouve
auffi une diftribution des Coquilles. Ibid. 191. a. Méthode qu’a
îiiivie Langius dans fa diftribution. Celle deHebenftreit. Mér
th6de donnée par M. Breyn. Ibid. b. Celle de M. Linnæus.
Ce lle de M. Gualtieri. Ibid. 192. a. Celle qu’a donnée l’auteur
de l’hiftoire naturelle , éclaircie dans deux de fes principales
parties, la lithologie & la conchyliologie.
Remarque générale fur les méthodes qu’on vient d’indiquer.
C ’eft fur les principes d’Ariftote qu’elles ont été établies. L ’ouvrage
en ce genre qui contiendra le plus grand nombre de
figures, fera toujours préféré. Ibid. b.
Coquille. Hypothefe fur la formation des coquilles. X. 360.
b. Noyau d’une coquille. X I. 267. a. Ailes & oreilles. 622. a.
Queue. XIII. 706. a. Rides de certaines coquilles. X IV . 286.
a. Robe d’une coquille. 3x0. a. Volutes. X V II . 461. b. Zones.
743. a. Coquilles turbinées. X V I . 750. a. Coquilles ombiliquées.
X V I I . 378. a. Terre formée de fragmens de coquilles.
IV . 3x3. b. Amas formés de coquilles , appellés falunieres.
V I . 389. a, b. Des coquilles & autres corps marins répandus
en divers lieux fur la furface du globe , & formant differentes
couches dans fon intérieur , voye^ l’article Déluge. Carrières
aux environs de Paris uniquement compofées dê coquilles
Les coquilles regardées comme principe des pierres calcaires.
Difpofition des couches des coquilles foffiles. Les coquilles
de nos pays ne font point des mers de nos climats. Plufieurs
dont les analogues vivans nous font inconnus. V II . 2x0. a.
O ù fe trouve le plus de coquilles foffiles. 623. a. Coquilles
foffiles , nommées gryphites. 974. b. Autres dites ojlreopeflini-
les , XI. 694. b. & térébratulites. X V I . 133. a. Coquilles qui
fervent de monnoie chez les Negres , IX. 623. b. chez les
Sauvages de Virginie, XII. 214, b. au royaume de Congo ,
X V I I . 7x4. b. dans plufieurs contrées de l’A fie & de l’A frique.
IV . 241. b. Coquilles fluviatiles & de m e r, repréfentées
vol. V L des plancb. régné animal, pl. 65. — 74. Coquilles
foffiles repréfentées dans le même volume , regn. minér. ph
I. — 14.
C oquille , ( Mat. méd. ) nature générale de toutes les
coquilles. Celles dont on fait ufage en pharmacie. IV . 192. b.
C oquille, (Anatom.) voyefSuppl. IV . 101. a,b.
Coquille , (Hijl. ancienne. ) infiniment de mufique. IV .
*93; à.
Coquille , ( Archit. ) divers ufages de ce mot. IV .
19l- ; ' ■■ 'V ' .V
C oquilles à boulet, ( Artïller. ) IV . 193. a.
C oquille , outil de diamantaire. IV . 193.4.
C oquille , ( Peintre éventaillifte) IV . 193.4.
C oquille. , ( Charron) IV . 19 3 .a.
C oquille , ( Jardin. IV . 193. a.
Coquille, fruits à, V II . 336. a.
C oquille, (Itnprim.) IV . 193.4.
COQUILLE, (March.de modes ) IV . 193. b.
C oquille , f Ruban.) IV . 193. b.
Coquille , (Blafon ) meuble d’armoirie. Suppl. II. 393.4.
Coquilles de S. Jacques. Coquilles de S. Michel. Signification
de ce fymbole. Ibid. b.
CO Q U IM B O , ville d’Amérique. Voye^ Serena.
C O R , ( Chir.) durillon qui fe forme aux doigts des pieds.
Caufe des cors. Comment on les guérit. IV . 193,. b.
Cor, caufe de ce mal: moyens de le guérir. V . 172.^.173.4.,
efpece de cor appellé oignon. XI. 433. b.
Cor , ( Ckauder. C/mJfe. ) Inftrument. IV . 193., b. Defcrip-
tious de diverfes fortes de cors: maniéré d’en jouer. Rapports
qu il doit y avoir entre ces inftrumens, lorfqu’on fait des
concerts à plufieurs cors. C o r , cornet de vacher. Cors avec Tonte I,
C O R 405
lefquels les prêtres des Hébreux annonçoient lé jubilé. Étyth,
du mot jubilé. Ibid. 194.4,
C or. (Mufiq. inftr. des anciens.) Voy. pl. I. de lutH. SüppL
& l’art. Trompette.
Cor. D u cor des anciens} Suppl. III. 764.-4. Suppl. IV . 670. b.
C o r de chaffe du royaume de Loango. 679. a.
C or. ( Luth. ) Un compofiteur doit connoîtfe l’étên'due
commode d’un cor de chaflè, & les tons qu’en peut tirér
tout homme qui en donne, fans être fiipérienr. D e l’étendiïe
• dé eet inftrument, & des tons qu’il donne. Échelle du cor.
Suppl. II. 393. b. Erreur à ce fujet dans la pl. 22. de lutherie.
F. vol. des planches où l’on trouve une table dii rapport de
l’étendue de la vo ix & des inftrumens de mufique comparés
.au clavecin. Comme les tons que le cor de chaffe fournit
commodément, appartiennent au mode majeur d ’ut, & à fes
relatifs majeurs de Jol & de fa, on ne peut pas employer le
.cor dans les autres modes. Gomment on remédie à cet inconvénient.
D e la maniéré de noter les parties de cor. Ibid. 396'. a.
Cor-de-CHASSE, (Blafon. ) meubles d’armoiries. Différentes
dénominations qu’il reçoit félon la maniéré de le repré-
fenter. Suppl. II. 396. a.
Cor, particule prépofitive en françois. XII. icii. a.
C O R A C O B R A C H IA L , ( Anat. ) mufcle du bras. Sa def-
crip.tion. IV . 194. a,
C O R A C O ÏD E , ( Anat. ) apophyfe de l’omoplate. Étym.'
du mot. Sa fituation 8c fon ufage. IV . 194.4.
CO R A IL . ( Hifl. nat. InfcElolog. ) M. Peÿffonel a troùvé
le premier que cette prétendue plante marine appartient1 au
régné animal. C e qu’il appelle orties corallines. Autres préterf-
dues plantes qu’il a trouvées appartenir au régné animal. C e
qui fuit eft tiré d’un ouvrage de M. Donati. Étym. du mpt
corail. Divers fentimens fur la nature de cette fubftancè.
Defeription de cette végétation marine. IV . 194. b. Examen
de la fubftance du corail. Infefte par lequel elle eft fujette à
être rongée. Defeription de fon organifation intérieure. Autre
infeêle qui traverfe le corail en ligne droite. Lés marbrés les
plus durs ne font pas exempts des atteintes de ces infeéles, au
fond de la mer. Cannelures du corail. Cette matière expofée
à un feu violent fe réduit en une cendre très-fine. Examen de
cette cendre .au microfcope. Ibid. 193. 4. Corps cellulaire qui
environne la furface du corail : globules dont la fubftance du
corail eft compofée. Sur le corps réticulaire s’étend une écorcè
molle & d’une couleur un peu plus, claire que celle dé la fubftance
intérieure. Vaiffeaux qu’on y découvre. Cellules qui
font l’habitation des polypes. Ibid. b. Defeription du polypé
& de fa coquille. OEufs de polypes obfervés. Comment fe
fait l’accroiffement du corail. Ibid. 196. a. ■
Corail. ( Conchyl.) La plupart des modernes' attribuent
à M. Peÿffonel la découverte dés animaux du cora il, parce-»
qu’il écrivit à M. de Reaumur en 1723 , avoir obfervé 'du
mouvement dans les prétendues fleurs de eette' pfodüâiôn
marine. Mais ee mouvement avoit été appèrçü & même
défigné comme un mouvement animal, dès l’année• 16 9 9 ,
par Impérati & le Comte Marigli lui-même. Remarque de
M. de Réaumur fur i’obfervation de Peyflbn'él.-• Celui qui a
affirmé le premier que le corail étoit formé par ces animaux,
& qui en a donné les preuves les plus convaincantes, c’èft
M, Bernard de Juffieu. Détails Tur ce fujet. Suppl. II. 306. b
Corail rouge repréfenté VI. vol. des pl. hifl. nat.pl. 87. D e la
végétation du corail. Lieux où 011 le pêche. Lieux où fe trouve
le plus gros & le plus haut. Ibid. 397. a.
Corail articulé rouge, ( Conchyl. ) voye^ VI.? vol: des'pl.
hifl, nat. pl. 86. En quoi il différé du commun/ Sa defci'iption.
Lieux où on le trouve. Suppl. II. 397. a.
CORAIL articulé blanc, (Conchyl.) voyeç VI. vol; des pl.
hifl. nat.pl. 86. Sa defeription. Lieux où on le troùve.^ Suppl. IL
597-A '
CORAIL blanc, ( Conchyl.) voye^ VL voU des pl. hifl. nat'.
pl. 87. Sa defeription. Lieux où on le trouve. Suppl. II. 397. b.
Corail, recherches fur fa nature. XII. 721 .b. 722.4. Efpece
de corail.appellée fungites. V IL 373. b. Autre dite lùppurite.
VII I. 219.4. Subftance appellée improprement corail noir. IX.
388. b. Corail pétrifié nommé kèratophyte. ii<q.b. Corail blanc,
ou corail oculé. V I . vol. des p lanches, régné animal, pl. 87.
Corail rouge , ibïd. Efpece de corail qui fe trouve àu fein de
la terre. IX. 3 89. a. R ochers dans la mer Rouge appellés rochers
de corail. X IV . 404. b.
Corail. (Mat. mèdic.) L e corail eft un abforbânt terreux.
Corail préparé, maniéré de le faire. Sel de coraih Magifter©
de corail : fes propriétés : celles du fel. Les différentes teintures'
de corail font des préparations abfolument inutiles. IV . 196. b.
Syrop de corail de Q uercetan : vertus qu’il lui attribue. Prépa*.
rations dans lefquelles on-fait entrer le corail, Ibid. 19 7.4 .
Corail. ( Mythol. ) IV . 197. a.
Corail de jardin, ( Botan. ) piment, poivre de Guinée.'
Sa defeription. Li^ux où il c roît.— Voye^ Piment, Poivre. IV .
^Corail de jardin. ( Dicte 6* Mat. médic.) XII. 628. a.
CQ R A IS CH IT E , (Hifl.mod.) adminiftrateur du temple
K - K k k k
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