ijz A U T
ouvrages. X V II . 488. a. Fauffe conféquence qu’ on a voulu
tirer tic l’altération ou fuppofttion de plufteurs diplômés ,
contre l’autorité des manuicrits qui nous relient dés anciens
auteurs. IV . 1014. b. Pourquoi les écrits des anciens poètes
& orateurs que nous prononçons m a l, ne laiffent pas de
nous plaire. V . 639. b , c. Éditions des auteurs claffiques
appcllées Variorum. X V I . 847. b.
Auteur, en terme de dro it, en terme de pratique. I. 894. b.
A U TH E N T IC IT É , ( Théolog. ) de l'authenticité des
livres facrés. V . 361. b. — 363. a. de celle des livres de l’ancien
tellamertt en particulier. II. 601 ■ a , b. D e laxonferva-
tion de ces livres, malgré les nombreufes viciffitudes qui au-
roient pu les altérer. VIII. 82. b. 86. a. D e l’authenticité des
livres du nouveau* II. 619. a , b. Réglés de critique , pour
dilcerner les ouvrages apocryphes de ceux dont on doit rc-
connoître l’authenticité. II. 857. b. Marques qui doivent nous
guider dans le difeernement des livres authentiques. 858. a.
Réglé à fuivre pour s’affurer qu’un livre nous eft parvenu
fans altération. Ibid, a , b. L’authenticité des quatre Evangiles
prouvée , de même que la fauffeté de ceux par lefquels plufteurs
hérétiques prétendirent foutenir leurs erreurs. V . 118.
b. Singulier fentiment de Whifton fur une prétendue altération
des livres facrés. XIII. 464. b. 463. a. Des variantes des
livres du nouveau teftament. X V I I . 600. a , b. Livres du nouveau
telîament dont l’authenticité n a pas été univerfellement
reconnue. II. 223. a.
A uthenticité , ( Jurifp. ) diverfes obfervations fur l’authenticité
des actes d’officiers publics. IX. 337. a , b. Sec. De
l’authenticité des anciens titres ou diplômes. IV . 1018. b.—
1024. b.
A U TH E N T IQ U E , ( Gramm. ) chofe d’autorité reçue. Les
gens de qualité autrefois appellés authentiques. Scel authentique
, en ityle de pratique. I. 803. a.
A uthentique , ton, terme de mufique.ï. 895. a.
Authentique, ton. ( Mufiq. ) XII. 678. b. X V I . 404. a , b.
A uthentique , mode ( Mufiq. ) explication de ce mot. En
quoi il différé du plagal. Fugue authentique. Suppl. I. 724. a.
A uthentiques, ( c« droit civil') nom des novelles de
Juftinien : pourquoi ainfi nommées. I- 893. à.
Authentiques, ( Jurifp. ) vôlume des novelles appellé de ce
nom. Authentiques d’Irnerus. XI. 257. a. Quarte de l’authentique
proeterea. XIII. 675. a. Notaire authentique. XI. 240. a.
Tonne authentique. V i l . 178. b. Écriture authentique. V .
370. a , b. Scel authentique. X IV . 749. a.
A U T H E N T IQ U E R , punir une femme convaincue d’a-
dultere. I. 895. a.
. AU T IS S iO D O R E N S IS P A G U S , ( Géogr. du moy. âge. )
l’Auxerrois, le comté, le p a ys , le diocèfe d’Auxerre. Auxerre
chef-lieu de ce pagus érigé en cité particulière. Étendue
de ce canton. Principaux lieux qu’il renfermoit. Anciens
comtes d’Auxerre. SupplA. 724. a. Ouvrages d’où.l’on a tiré
le fonds de cet article. Divers faits inftruélifs fur les principaux
lieux de l’Auxerrois. Ibid. b.
A U T O C É PH A L E S , ( Hifi. & droit eccl. ) évêques chez
les g rec s , qui n’étoient point fournis à la direction des patriarches,
comme les- archevêques de Bulgarie 8c de Ra-
venne. Dans l’origine, tous les métropolitains étoient atuo-
cèphales. Comment ils perdirent ce droit. Eglifes qui le con-
ferverent. Quatre fortes d’autocéphales. I. 893. b.
A utocéphale , églife ainfi nommée. XII. 173. b.
A U T O -D A -F É , defeription de cette cérémonie. VIII.
773. a. I. 116. b.
A U T O M A T E , ( Méchan. ) étym. de ce mot. Outre leFlû-
teu r , M. de Vaucanfon a expol'é d’autres automates ; fa-
v o i r , 10. un canard. I. 896. a ; 20. un joueur dé tambourin :
defeription des merveilles de ces deux machines. I. 896. b.
A utomate , celui qu’avoit fait Albert le grand. Defeription
du fîûteur automate de M. de Vaucanfon. I. 448. b.
Automates faits fur les mêmes principes que les carillons de
pendules. II. 683. b.
A U T O M A T IA , ( Mythol. ) cette déeffe eft la même que
la Fortune. Suppl. ï . 723. b.
A U T OM N É , ( Aftron. ) étym.' de ce mot. Diverfes nations
ont compté les années par les automnes. Les Germains
n’avoient nulle- idée de cette faifon. Mauvaife qualité de l’automne
pour la fanté. I. 897. b.
A utomne, obfervations fur le genre de ce.mot. II. iiji a-.
Fleurs de cette faifon. IV. 704. a. V I . 838. a. Agrémens des
bofqucts en automne. Suppl. II. 23. b. Caufes du froid de
Vautomne. VII. 316. b. Précautions à prendre én cette faifon
pour la fanté. XI. 219. b. X IV . 13. a. Maladies dé cette faifon.
XIII. 88. a. Fièvres intermittentes. V I. 73 3. a. Enchifrene-
ment. V . 622. b. Nourriture propre à rétablir les convr.lefcens
des maladies d’automne. III. 240. b. — Voye^ SaISON.
Automne. ( Myth. Poéfie ) Comment les- ancièns reprêfen-
toient l’automne. X IV. 330. a. Defeription poétique de cette
faifon. X V I I . 739. a , b.
A U T O N O M IE , forte de gouvernement anarchique. Où il
a eu lieu . I. 890.4.
A U T
A U T O P S IE , ( Hifi. anc. ) é t y m . de ce mot. -Etat dé
Tarne où Ton avoit un commerce intime avec les dieüx. Celle
que les profélytes rec ev aientd e s prêtres dans les myfteres
d’Eleufts & de Samothrace. I. 897. b.
A U T O R ISA T IO N , ( Jurifp. ) elle n’a été introduite
qu’en faveur du mineur. I. 897. A ’ '
A U T O R IT É , pouvoir , puiffance, empire,- (-Syrien. ) -différence
entre ces mots. I. 898. a.
. A utorité , empire , pouvoir , puiffance ( Synon. ) V .
<»82. a.
Autorité politique , elle n’eft point fondée fur la nature.
-Mais feulement, 1 °. fur la violence : elle n’eft alors qu’une
ufurpation , à moins qu’elle ne continue du confentemenr de
ceux qu’on a fournis ; 2". fur un traité mutuel, néceffaire-
ment accompagné de conditions. I. 898. a. La pujffance légitime
a donc des bornes : une puiffance injufte ne peut
venir de Dieu. Sens du paffage ; oninis potefias à Deo ordi~
nata efi. Le prince tient de fes fujets même l’autorité qu’il a
fur eu x , & cette autorité eft bornée par les loix de la nature
8c de l’état. Ibid. b. Le gouvernement , quoique -héréditaire
dans une famille, eft un bien public, appartenant effen-
tiellement au peuple. Limitations de teins félon lelquelles le
dépôt de l’autorité eft accordé à un feul ou à plufteurs. La
nation eft en droit dfe maintenir envers 8c contre tous le
contrat qu’elle a fait. Il n’y a que des efclaves dont Tefprit
feroit auffi borné que leur coeur feroit bas qui puiffent penfer
autrement. Ibid. 899. a. L’obfervation des loix , la coftfervation
de la liberté 8c l’amour de la patrie, font les fources fécondes
de toutes belles aélions. Paffage des mémoires de
Sully où fe trouvent exprimés les principes de Henri I V ,
qui vont- à l’appui de ceux qui viennent d’être établis. Ibid,
b. Autre exemple de ce grand monarque, où brillent en
même tems la douceur 8c la fermeté. Exhortation à la fou-
miffion que les fujets doivent à leur fouverain. Ibid. 900. a.
Autorité politique, obfervation fur cet article de 1-Encyclo-
pédie. III. xvj.
Autorité, ( Thèolog. ) divers fentimens fur l’autorité dè
l’écriture. V . 367. b. Autorité de l’églife pour l’interprétation
des écritures, prouvée.- V-. 368. a, b. 369. a , b. D e la maniéré
d’établir cette autorité. V II . 10. b. 8cc. Autorité des conciles^
III. 816. a , £.817. a , b. '
AUTORITÉ dans les difeours 6* dans les écrits : droit qu’ort
a d’être cru dans ce qu’on dif. Sur quoi cette autorité eft
fondée. L’autorité n’a de force que dans les faits, dans les
matières de religion 8c dans Thiftoire. I. 900. b. Elle doit fer-
v ir à nous appuyer 8c non pas à nous conduire ; ceux qui fe
conduifent dans leurs études par l’autorité feule reffembleiif
à des avengles qui marchent fous la conduite d’autrui, à des
enfans dont les jambes ne s’affermiffent p o in t, ou des mai
lades qui ne fortent point de l’état de convalefcence. Ibidî
90t. a.
Autorité d’une tradition hiftorique. X V I . 309. b. II. 832. b.
A utorité , ( Philo f i ) pourquoi les hommes ont toujours
ft aifément plié fous le joug de l’autorité. Obftacle que cette
foumiffion a toujours apporté au progrès de la philofophiel
XII. 314. a , b.
A U T O U R , ( Ornith.') oifeau de proie. Sa defeription. A nimaux
dont il fait pâture. Les fauconniers en diftinguent cinq
fortes. I. 901. a.
Autour, demi-autour : autour femelle. 810. b.
Autour, écorce que les épiciers tirent du Levant. Sa defeription.
1.90 t. b.
A U T R E , obfervation grammaticale fur cet adjeôif. NUL'
454- ,
A U T R E F O IS , ja d is , ( Synon. ) VIII. 432. b.
A U T R ICH E . Cercle de ce nom. IV . 70. a. Suppl. I. 310.’
b. Fondateur de la maifon d’Autriche. VII I. 18. A Diplômes
qui nous font connoître l’origine de cette maifon. IV . 1019. a.
Quelle eft fon antiquité. Ibid. Caraétere qui fut particulier
pendant plus de deux ftecles , aux perforiries' de la maifon
d’Autriche. Suppl. III. 63. b. Précautions prifes pour que la
dignité impériale ne devînt pas héréditaire dans cette maifon.
V . 373. b. D e l’archiduc d’Autriche. I. 614: b: Chancelier
de l’archiduc. III. 91. a. Maniéré de faire la guerre des Au-»
trichiens. Suppl. I. 6 1 1, b.
A U T R U C H E , ( O-mitk. ) très-grand oifeau. Pourquoi on
l’appelle en latin flruthio-camelus. Defeription de cet oifeau.:
I. 901. b. Lieux où fé trouvent les autruches. Leur nourriture.
Matières trouvées dans leur ventricule. Elles meurenr
iQrfqu’elles. ont avalé beaucoup de fer ou de cuivre. Leurs1
oeufs. Qualité médicinale dè la membrane intérieure de leur
e'ftomac, & de leur graiffe. Ufage de leurs plumes. Ibid."
902. a. :
Autruche. Deux fortes de poils d’âutniche : leur üfage. V.-
1-73. b. Laine d’antrücfté. IX. 198. a.' Des plumés de cet
oifeau. XII. 8bô. b. Doigts du pied de l’autruche. 337. a.:
Pourquoi les autruches avalent le fer. XVII. 32. b. Oifeau.
du Breftl de la clafle des âûtruchcs. XI. 129. b. Au tru ch e
décrite-. VT .vol: des pl,Règne animal, pl. XXX.
A U T R U I ,
A X E
A U T R U I , ce iriot n’eft pomt un pronom, mais un nom.
XIII. 453. a.
A U T Ü N , ( Géogr. ) une des plus anciennes & des plus
opulentes villes des Gaules. Ses anciens noms. Révolutions
qu’elle a effuyées. Monumens d’antiquité qu’on y remarque.
Cathédrale de S. Lazare. Collégiale de Notre-Dame. Perfon-
nages diftingués, auxquels Autun a donné naiffance.Auteurs qui
en ont écrit Thiftoire. Commerce de cette ville. Suppl. 1. 728. a.
A utun, autrefois BibraCTE. Suppl. I. 887. a , b. Premier
magiftrat de cette v ille .X V I I . 263.a. Poflefïion de l’é vêque,
du chapitre 8c des comtes d’Autun dans le pays de Beaune.
Suppl. I. 86 x. a , b.
A U T U N O IS , (Géogr.) voye^ A u g v s t o d u n e n s i s p a g u s .
Carrières de marbre de l’Autunois. Suppl. III. 842. b , Scc.
A U V E R G N E , ( Géogr. ) defeription géographique de cette
province. Son commerce. Ses manufaétures , 6’c. I. 902. b.
A uvergne, ancienne capitale des Auvergnats. V i l . 643.
a. Obfervations d’iiiftoire naturelle faites en quelques endroits
de cette province. V I. vol. des planch.. régné minéral ,
fixieme collection, pl. VII. & V II I. Pierres de cette province
qui font une véritable lave. IX. 3 12 .a. Communautés d’A u ve r gne
, qu’on peut regarder comme les m oraves de la France. X.
704. b. 703. a. Dauphiné d’Auvergne. XV II . 4 1 1 .« . D es coutumes
de cette province. IV . 4 13. a. 4x6. b. Chancelier d’A u vergne.
III. 9 1 .4 , b. Grands jours d’Auvergne. VII I. 894. a.
A uvergne, ( Jeu de l ’homme d’ ) expofttion des réglés de
ce jeu. 1. 902. b.
AW A H -K A T T O E , ( Ichthy. ) efpece de poiffon, ainft
nommé par les Hollandois. Suppl. I. 6. b.
A U X E L L E , en Alface. Mines du banc d’Auxelle. I. 300. b.
AUX ERR E , ( Géogr. ) ancienne ville du duché de-Bour-
gogne. Ses anciens noms. Evêques diftingués qu’elle a eus.
Cérémonie qui fe pratiquoit autrefois à l’entrée de l’évêque.
Sa cathédrale. Canonicat attaché à l’aîné de la maifon de
Chatellux. Gomment il en prend poffeffion.,Tombeaux de
plufteurs grands hommes dans l’abbaye de S. Germain. Savans
diftingués dont cette v ille eft la patrie. Suppl. 1. 726. b.
A uxerre. Cou r fpirituelle de l ’évêque d’Auxerre. IV . 373.
a. Sur TAuxerrois, voyer A u t j s s io d o r e n s is p a g u s .
A U X E S IA , ( Myth. ) culte particulier que les Eginetes &
les Epidauriens rendent à Auxefie & à Lamie. Origine de ce
culte. Suppl. I. 727. a. Voye£ Hérodote , liv. 5.
A U X É S IA 6* L a m ia . Hiftoire de ces divinités grecques.
X V I . 683. b.
A U X I , forte dè laine. IX. 198. 4.
AUXILIAIR E , (Gramm.) verbes auxiliaires. Tems Amples
, tems compofés & doublement compofés, dont plufteurs
font fimples en latin, fur-tout à Taélif. I. 903. a. Le françois,
l ’efpagnol, l’italien , l’allemand , n’ont point de tems Amples
au paffif. Quels font les tems compofés des verbes paffifs
des latins. On n’a point donné le nom d’auxiliaire au verbe qui
les compofe. Nous avons plufteurs verbes qui l'emblercient
mériter le nom à’auxiliaires, & auxquels cependant on ne
Ta pas donné. Pourquoi on Ta donné aux verbes être 8c avoir.
I l ne faut juger de la nature des mo ts , que relativement au
fervice qu’ils rendent dans la langue où ils font en ufage ,
& non par. rapport à quelqu’autre langue , dont ils font
l’équivalent. Ibid. b. Nos grammaires pourroient fe paffer
du mot d’auxiliaire. C e n’eft qu’en conféquence d’une forte
d’analogie , que nos grammairiens ont voulu établir entre
le françois 8c le latin , qu’ils ont inventé le mot de verbe auxiliaire.
Les réglés d’une langue 11e doivent fe tirer que de cette
langue même. Ibid. 904. a.
Auxiliaire. Diftinélion des verbes auxiliaires en naturel 8c
ufuel. X V I . 102. b. 107. a. Conjugaifon des auxiliaires françois.
Suppl. III. 126. a. D e l’ufage de ces verbes dans les
conjugaifons. XII. 97. a , b , Scc. Verbes françois, qui font
ufage des deux auxiliaires être 8c avoir. XI. 121. a.
Auxiliaires , troupes , ( Art milit. ) troupes auxiliaires
chez les Romains. V I . 306. a. Suppl. IV . 669. a. Leur levée.
v 73- a- Comment on les divifoit. Ibid. b. Inconvéniens qui
militent d’un trop grand nombre de troupes auxiliaires.
X V I . 713. a. Proportion à fuivre entre ces troupes 8c les
nationales. Ibid, a , b.
A UXO IS , autrefois A l e s e n s is p a g u s . ObfeïVationsTur
quelques anciens monumens d’un village de' l’Auxois. XIII.
664. a , b. M ont-Auxois. Suppl, I. 282. g.. Carrières de marbre
de TAuxois. Suppl. HI..842. T , 8cc.
A U X O N N E , ( Géogr. ) ,y ille de Bourgogne. Le v ée de-
pierre au bout du pont qui y eft co n d u it fin- la Saône. Siégé
dAuxonne en 1327. En quel tems cette' v ille fut fortifiée.
Auteur qui en a donné Thiftoire. La famille L e Camus originaire
d’Auxonne. Suppl. I. 727. a.
A U Z O U T , (Adrien) de Rouen. Suppl. IV: 683. a.
A X
AXE. A x e du monde, I. 903. a. de la terre , d’une planete.
Axes des cercles de la fphere. A x e en méchanique. A x e
A Y M 133
d ofcillation. Axe en géométrie. A x e d’un c e r c le , ou d’une
fphere , d’un cylindre , d’un cône , Ibid: b. d’une feétion
conique, d’une ellipfe. A x e conjugué d’une e llip fe , d’une
hyperbole. A x e de la parabole, axe d’une courbe en général
axe des abfciffcs , axe des ordonnées. Méthode pour favoir
les points où la courbe coupe Taxe des abfciffes. Ibid.903.4.
A x e en optique, axe d’une lentille ou d’un verre , axe d’incidence
, axe de réfraétion , axe magnétique. A x e dans U
tambour , ou eflieu dans le tour. Propofttions fur Teffieu dans
le tour. Ibid. b.
A xe du zodiaque. I. 906. 4.
A xe d ro it , en architecture. A x e fpiral. I. 906. a.
A xe , en anatomie. I. 906. a.
Axe de la terre. D e Tinclinaifon 8c obliquité de cet axe fur
l’écliptique. Effets de cette obliquité. V I I l. 630. b. IX. 480.
4. XL 308. a. Impreffions qu’ont dû faire fur notre globe les
changement de cette inclinaifon. X V I . 17 1 . a. Parallélifme
de cet axe. IX. 480. 4. XI. 907. b , 8cc. X V I . 169. b. Sa déviation.
Suppl.. II. 708. b. Libration de Taxe. IX. 480. a. Son
mouvement de nutation. XI. 286. a. Mouvement d’iinê planete
fur fon axe. Voye^ Rotation. 1
Axe. R efeéle de Taxe cl’une courbe. X IV . 167. b. A xe conjugué
de Ttllipfe. III. 883. b. Transformation des axes. X V I .
346. b IV . 379. .7. 381 . b. — A x e dans le-tambour. X V I . 462!
b. — A x e de Taimanf. I. 213. a.
A X IL L A IR E , ( Anatomie ) fe dit des parties fituées fous
l’aiffelle. A rte re , v eine , nerf axillaires. 1. 906. b.
A xillaires , glandes, VIII. 270. b. Artere 8c veine axillaires.
Ibid.
A X ÏM , (Géog
I. 146. a.
r. ) royaume d’A frique. Sa capitale. Suppl.
AX IOM E . La connoiffance que nous avons des axiomes
eft intuitive ; quelques-uns l’ont crue innée. Pourquoi Tefprit
donne fon confentemenr à ces axiomes , dès la première vue.
C e qu’on entend , quand on dit qu’ils font le fondement de
toute autre connoiffance. I. 906. b. Diftinélion entre ce qu’on
appelle premiers principes 8c les ax.omes. Les axiomes ne font
pas les premières vérités connues à Tefprit, Ibid. 907. «. ni par
conféqucnt les principes 8c les fondemens de toutes nos autres
connoiffances. Les axiomes n’ont aucun avantage fur une
infinité de propofttions particulières. Ibid. b. Utilité des
axiomes.
i° . Us ne peuvent fervir à confirmer des propofttions particulières
évidentes par elles-mêmes.’
20. Ils n’ont jamais été les fondemens d’aucune fcience.
30. Us ne contribuent en rien à faire de nouvelles décou-
vertes. I.. 908. 4. Mais, i° . ils peuvent fervir dans la méthode
qu’on emploie ordinairement pour enfeigner les fciences
jufqu’au terme où elles ont été pouffées , mais ils ne peuvent
fervir pour porter plus avant les fciences.
20. Us font propres à foulager la mémoire, 8c à abréger les
difputes , en indiquant fommairement les vérités dont on
convient de part 8c d’autre. Ibid. b. Comment Tefprit v ient à fe
perfuader que les propofttions plus particulières empruntent
leur vérité 8c leur évidence de leur conformité , avec ces
propofttions générales. C e que ftignifiè ce qu’on dit communément
, i l faut avoir des principes: Ibid. 909. 4.
Axiome. Des axiomes en géométrie. I. viij. Différence entre
un axiome 8c une demande. X. 803. b. U eft à propos de
fupprimer les axiomes des élémens de géométrie. VII. 633.
b. Des axiomes dans la méthode fynthétique. X V . 762. b. Les
axiomes, fondement des fciences. XI. 233. a. Voye-' fur les
axiomes, Principes , premiers, XIII. 373. b.
A X IO T É E , ( Hifi. anc. ) femme de Nicoclès , roi de
Paphos. On voit en elle un exemple mémorable de la ten-
dreffe conjugale , 8c de l’horreur de l’efclavage. Suppl. I.
A X ON E S , ( Hifi. anc.) voyer CYRBES.
A X U M , ( Géogr. ) cette v ille d’Abyffmie eft la même que
Cuzum. Suppl. I. 727. b.
A Y
A Y A L L A , ( Botan.) arbre des ifles Moluques.Ses autres
nÔms.'Defçription , qualités ufsges de cet arbre. Maniéré
de le d aller. -Efpece différente de celle qui vient d’être décrite.
SuppLI. 728. a.
A Y E SH A , ( Hifi. du Mahomet. ) appellée la rnerc des fideles,
s’oppofe aux prétentions d’Hali pour le califat. Suppl. I.
.288. 4. - ‘
A YEU L. Obfervation fur la maniéré dont les aïeux 8c
aïeules fùccedent à leurs petits-enfans. I. 909. b.
A Y L A R U , ( Botan.) efpece d’arbre. Suppl. II. 339. A
A YM A R T , ( Jacques) voyeç BAGUETTE DIVINATOIRE.
A YM EN , ( Monfieur ) fa differtation fur les crifes. IV .
484. 4 , b.
A YM ER IC de Belvefer, poète provençal. XII. 841. 4.
A YM E T T E N , ( Botan. ) genre de plante, qui doit êü-e
L 1