A B O
A blatif absolu. Réflexions fur ces ablatifs. V II . 647. b.
:c. L es mêmes réflexions rétra&èes par l’auteur. X V I I . 47. a.
 B L A Y , ( Géogr. ) contrée de la grande Tartarie. Suppl.
' A B LE ! (Ichthy. ) defcription de ce poiffontie riviere. On
en tire la matière appeUée ejfence d’orient. , qui fert a colorer
'les fauffes perles. Defcription de la maniéré de la taire. Les
particules de matière qui viennent des écailles font fenfibles
dans cette liq u eu r , au moyen du microfcope ou même de
la loupe. Apparences qu’elles offrent. Autres parties du poif-
fo n ou fe trouve cette madere brillante. Conjeélure fur la
manière dont fe forment les écailles 1 ,K'“ - H
À ble , pèche de ce poiffon avec les feinnettes. X IV . 902. b.
A B LU T IO N , ( H f l. des cérem. ) ablutions uhtees chez les
Romains.Celles que les prêtres juifs.obfervoient. Ablutions
dans l’éelife Romaine. I. 30: <1.
A blution , afperfions & ablutions des prêtres payens.
I 7 Î S. a. Ablutions établies chez les Arabes. Suppl. 1. 502. b.
A blution , ( Science hermitiq. Philofopltiefpagyrtq. ) abfter-
fion , lavement de la noirceur , tache , feuillure: de la
jnatiere par la continuation du fécond degre du teu d Egypte
, & c . Suppl. I. 29. u. , ,
A blution, ( Relig. Mahom. ) les mahometans la legar-
dent comme une condition effentiellement rcquife à la priere.
Trois fortes d’ablutions chez les mufulmans. I. 30. a.
Ablution , Lotion , ( Pharmac. ) opérations pharmaceutiques
appellées de ces noms. I. 30. b.
A B N E R , {H f l.fa c r .) fils de N e r , general des armées
de Saiil. Sa conduite après la mort de ce roi. M ort d Abner.
Suvpl. I. 29. b. Voyeç IsBOSETH.
A B O , (Géogr. ) obfervations fur cette v ille de Suede. Ibid.
A B O C H A R À N A , {Géogr. ) ville de l’Arabie heureufeoù
l'on garde le tréfor du fultan. Sa fnuation. Suppl. I. 29. b.
A B O L A , ( Boum. ) genre de plante du Canada. Sa defcription
remarque fur fa claflification. Suppl. I. 29. b.
A B O L IT IO N , ( Jurifp. ) étymologie du mot. Différence
çntre abolition & grâce. Lettres d’abolition. I. 31 . <1.
A bolition , ( Jurifp. crirnin. ) différence entre grâce , pardon
, rémiffion & abolition. Comment les lettres d’abolition
doivent être préfentées. Crimes qu’elles ne fauroient dérober
au châtiment. Réflexion fur ces lettres. Suppl. I. 30. a.
Singulière prétention de la cour de Rome de pouvoir don-
nercles lettres d’abolition dans tout le monde chrétien./&</. b.
A bolition , lettres d’abolition. V II . S03. a. IX. 414. a , b.
4 “à BOMASUS , A bomasum , A bomasium , ( Anat. comp. )
un des eflomacs des animaux ruminans. I . 31. «.
ABOM INA BT .F., D étestable, Exécrable , ( Synonym. )
différences entre ces mots. I. 3 1 .A .
A BOM IN A T IO N , ( Critiq. facr. ) fignifications 6c ulages
de ce mot dans l’écriture fainte. 1 . 31 .b.
A B O N D AM M E N T , Copieusement , Beaucoup , Bien ,
( Synon. ) différence entre ces mots. IV . 17 7. a.
A B O N D AN C E , ( Myth.) divinité des payens. Comment
on la repréfente. Etymologie du mot abondance. Ibid. b.
Abondance, (Myth. ) dieu de l’abondance. XIII. 159. a.
Corne d’abondance. IV . »49. 4. X V . 718. 4. Symboles de
l ’abondance. Ibid. b. 729. a. y$ i. a.
A bondance , ( Polit, économ. ) étymologie de ce mot.
Une paix durable dans un état policé pourroit être regardée
comme la caufe première de l’abondance ; mais ce n e
qu’autam qu’elle met les hommes en état de s occuper fans
relâche des travaux de la terre. Les deux fources uniques
de l’abondance roulent fur deux points fondamentaux j l agriculture
& la nourriture des beftiaux. De-là découlent les
iouiffances des citoyens confommateurs. Alors 1 efprit humain,
tranquille fur les moyens de fe procurer le neceflaire comme
le fuperflu , cherche à multiplier fes jouiffances par 1 mven-
tion des arts, l’étude & la culture des hautes fciences. C eft
alors que le lu x e de confommation devient véritablement
U O n drfLigue5 trois fortes de peuples : les chaffeurs, les
pafteurs, les agricoles. Les premiers ne peuvent jamais etre dans
l ’abondance ; & comme les progreflions de la population
fuivent néceffairement les moyens de fubfifter, la population
y eft néceffairement reftreinte au plus petit nombre poffible.
Le s peuples pafteurs ont befoin d’un grand pays pour fubfifter
certain nombre ; mais les chaffeurs font encore en plus
stit nombre, & forment pour v iv re une plus petite nation....
"oportion dans laquelle le nombre des hommes fe trouve
dans les nations qui n e cultivent pas les terre$...Suppl.l. 31. a.
V ic e s dans lesgouvernemens qui éloignent & retreciffent cette
abondance qui feule rend les états floriffans, chez les nations
agricoles... Dangereux effets de l’exportation des denrées, lorf-
qu’elle n’eft pas reftreinte au fuperflu... L’homme ne peut fe
procurer l’abondance qu’avec des peines & des foins infinis ;
Suppl. 1.3 1 . A mais comme il peut, par fon induftrie, trouver
des moyens fors & peu difpendieux de tenir le fuperflu qu’il
poffede en réferve pour les tejps mallisiurenx, c’eft 4 rendre
1
A B O
ces précautions générales par la vo ie de la jJerfuafion, que
doit particuliérement s’appliquer une adminiftration éclairée.
Ibid. 32. a.
A bondance, ( Êcori.polit. & ruftiq.) fontaines auxquelles
on attribue la propriété de prédire l’abondance ou la fterilité;
V I I . 98. a. Moyens d ’entretenir l’abondance. IV . 556. a,b :
Abondance avec cherté eft opulence. V II . 830. Mauvaife
adminiftration, lorfque l’abondance devient un fléau: aufli
redoutable que la difette. V I I I . 278. b.
A bondance , ( Belles-lettres. ) il y a ejans le ftyle une abon4
dance qui en fait la richeffe & la beauté. Il y a aufli une abond
a - _n..; n,ie déguîloi- la AirlKtà de l’efprit par
f ofténtation des paroles : l’art de peindre en poéfie eft l ’art d e
toucher a vec e fprit, & l'abondance conftfte alors à faire beaucoup
avec peu. Suppl. I. 3 2. a. Un nouveau charme de l’abondance
, c'en l’air de négligence & de fimplicité dans celui qui
prodigue les richeffes de ftyle avec celles du génie. La paffioit
donne lieu à l’abondance du f ty le , dans les momens où l’ame
fe foulage par des plaintes ; mais lorfque le coeur eft faifi de
douleur, enflé d’orgueil, ou de co le re , laprécifion & l’énergie,
en font l’èxpreffion naturelle.
Quand le çaraélere de celui qui parle eft auftere, l’expref-'
fion doit être pleine , forte & précife. Par-tout où la philo-
fopltie eft fufceptible d’éloquence, elle permet au ftyle une
abondance ménagée. L e genre, oratoire eft celui où les richeffes
du ftyle p euvent fe répandre le plus abondamment; & c ’eft-là
fur-tout que l’on v o it des exemples d’une abondance vicieufe»
Ibid. b.
Il eft certain que les grandes vérités morales & religieufes
dont la chaire doit retentir, exigent quelquefois des déve-
loppemens; 8c c’eft-là que le ftyle doit employer fon abondance,
mais a v e c l’économie que le goût oc la raifon pref-
crivent. Exemple tiré de Manillon. L ’abondance du fenti-
ment n’eft pas fatigante comme celle de l’efprit ; aufli n’y
a-t-il que les fujets pathétiques fur lefquels il foit poflible
de parler d’abondance. Suppl. I. 33. a. Lorfque la force de
l’éloquence doit réfulter de l’ordre & de l’enthoufiafme des
idées, c’eft une imprudence de fe livrer à l’infpirarion du
moment, à moins que l’orateur n’ait lafageffe de ne point
s’écarter de la méthode preffante du raifonnement. — Il fa u t .
avouer cependant qu’il n’y a que cette façon de produire le s
glands effets de l’éloquence, & de faifir tous les avantages du
lieu , du moment, de fon émotion propre & de celle de fes
auditeurs. Le v ic e du ftyle oppofè à l’abondance eft la féche-,
reffe 8c la ftérilité. Ibid. b.
A bondance , dans le ftyle des avocats. Suppl. I. 817. a , bJ
A B O N D A N T , (Arithm. ) nombre abondant. Il eft oppofè,
au nombre défeélif. I. 32.4..
A B O N N É , (Jurifp. ) dixme abonnée. IV . 1094. a. F ie f
abonné. V I . 698. a. 712 . a. S e rf abonné. X V . 83. a. Ta ille
abonnée. 843. b.
A B O N N EM EN T , (Jurifp.) pour les dixmes. IV . 1094. al
Abonnement de fief. V II . 280. b.
A B O R D A G E , ( Marine ) fignifications de ce mo t.Suppl.h
3 3. b. I l s’emploie particuliérement pour exprimer l’aâion d’un
vaiffeau qui joint un vaiffeau ennemi à deffein de l’accrocher
& de s’en emparer, en faifant paffer fon équipage à bord de
cet ennemi. Maniéré d’exécuter cette manoeuvre. L ’abordage
eft avantageux pour le vaiffeau qui ne peut réfifter à l’artu-
lpi-le do Ton «nnoaii ; l’adreffe. 8c le courage peuvent alors
fuppléer à la force. Comment on peut d’avance dreffer l’équipage
à cette aétion hardie. Q u e l e f t , des deux vaiffeaux,
celui qui a le plus d’avantage dans cette opération militaire.
Ibid. 34. a. Armes employées des deux parts. D u combat q u i
fuit ordinairement l’abordage. Réflexion furie choix des armes
les plus convenables. Rareté de l ’abordage caufée par la forme
aéluelle des vaiffeaux, & la perfeétion de la manoeuvre. Ibid. b.
A B O R D E R , (Marine.) v e r b e employé quelquefois dans
un fens neutre , quelquefois dans un fens aétif. Suppl. I. 34. b.
Danger que courent deux vaiffeaux qui s’abordent involontairement.
Le calme peut être compté parmi les caufes qui font
aborder les vaiffeaux. Voye^ Calme. Précautions à prendrc-
lorfque cet accident eft fur le point d’arriver. Différentes
maniérés dont les vaiffeaux peuvent s’aborder. Ibid. 3 3. æ.
Aborder , maniéré dejetter les grappins à un vaiffeau qu’on
v eu t aborder. Suppl. 1. 125.a , b.
A border, avoir accès, approcher , ( Synon. ) différences
entre cés mots. 1 .69. a.
A BO R IG EN E S , ( Géogr. ) c e nom donné quelquefois aux >
habitons primitifs d’un p ays , a été le nom propre d’un certain
peuple du Latium. Pourquoi ce peuple fut appelle Aborigène.
D iv e rs fentimens fur l’étymologie de ce mo t, Sc fur l’origine
de la nation. I .3 2 . b.
A B O U L F A R A H , poète perfan. X IV . 888.A
A B O U M A N IF A , ( Hifi. des feEles relig.^fondateur d’une
des principales feéles des Sonnites. Caraélere de fa feéte. P rincipaux
événemens de fa vie. Suppl. I. 3 5fb.
A B O U T IG E , ( Géogr. ) petite v ille d’Égypte v autrefois
Abyde, Obfcrvatipns f\jr ce lieu. Suppl. I. 35. b. /
A B O Y E U R , ( Ornithol. ) différons noms de cet oifcar
Auteurs qui en ont parlé. Sa defcription. Suppl. I. 36. a. Q ua
lité de fa chair. Origine de fon nom. Ibid. b.
A B R A C A D A B R A , {M ag ie .) vertu fuppofée de cette
parole. magIque. Maniéré dont ce mot m yfterieux doit être
^cm. I. 33. b. Difpofition & ufage des caraftcres de ce m o t ,
lelon Serenus Samonicus j ancien médecin. I. 34. a. Voye\
■ A B R A H A M , de Tharè. Hifloireabrégée
tie ce patriarche. Suppl. I. 36. b.
Abraham^ recherches fur le tenis de la naiffance de ce
patriarche. III. 397. b. Q uelle a âtù (k langue. V li r . 84. b, 8e. a.
Q u e lle fut fa première religion. X IV . 453. b. — 459. a. Son
frere. Suppl. I. 513. a. Sa femme. Ibid. IV . 737. a , b. Examen
de l’expedienr qu’il employa pour préferver fa v ie , s’il étoit
■ reconnu pour mari de Sara. XII. 344. a. État d’Agar dans la
maifon d’Abraham. III. 829. b. Alliance de Dieu avec Abraham.
I. 285. a. Circoncifion qui lui fut preferite. III. 459. a.
L ’hofpitalité pratiquée par ce patriarche. VIII. 314. b. Obfer-
vation fur le lieu où Abraham reçut les anges. IX. 934 b, 9e f .
a , b. D e l’arbre fous lequel il les reçut. X V I . i <jo. b. Liturgie
établie fous Abraham. IX. 596. a. C e qu’on doit entendre par
l e fein d’Abraham, dont il eft parlé dans l’évangile. X IV . 899. b.
A braham , {Nicolas) jéfuite. X V I . 447 b
, A B R A N T E S , ( Géogr. ) v ille de Portugal.Sa defcription.
Sa population. Suppl. I. 36. b.
A B R A X A S , {Hifl. des héréfes.) ufage que les Bafilidiens
faifoient de ce mot. I. 34. a. Les anciens n’ont donné de ce
mot aucune explication fatisfaifante. Godfirid Wendelin a
trouvé dans abraxas le myftere de la Trinité & de la Rédemption.
L e pere Hardouin a fuivi à-peu-près la même explication.
S elon M. Bafnage, ce mot tire fon origine des Eg yptiens,
puifque l’on v o it , dit-il, un grand nombre d’amulettes
fur lefquels eft un Harpocrate a vec le mot abraxas. Il ajoute
que ce mot barbare ne fignifie r ien, & qu’il ne fert à exprimer
que des nombres. Ibid. b. Mais cette derniere affertion a été
réfutée par M. de Beaufobre, qui montre par l’étymologie
grecque de ce m o t , qu’il fignifie à la le ttre , le beau, le magnifique
fauveur, celui qui guérit les maux & qui en préferve3 & que
le fauveur n’étoit autre que le foleil. I. 3 5. <z.
• A braxas , ( H f l. nat. ) pierres de ce nom. VII I. 206. b.
■ A B R É G É , ( Littér.) félon quelques critiques, les abrégés
font un des premiers fruits de l’ignorance & de la fainéantife
où la barbarie a fait tomber les fiecles qui ont fuivi la décadence
de l’empire. S ix différentes fortes d’abrégés. I. 31. a. L es abrégés
ont caufé des pertes irréparables à la république des
lettres. Utilités qu’ils ont procurées. Maniéré dont ils doivent
être compofés pour être utiles. Ibid. b.
Abrégé, différence entre un abrégé & u n extrait. V I . 334. a.
Abrégés chronologiques. III. 400. a.
A brège ou A bréviation , ( Tachéograph. littér. ) lettres
notes, caraéleres d’abréviation.I. 36 a. 3
A brégé, {partie de l ’orgue.) affemblage de plufieurs rouleaux
par le moyen defquels on répand & l’on tranfmet l’action
des touches dans une plus grande étendue. D efcription de
r e p a r t i e de l ’orgue. I. 3 6. a. Voyeç aufli X I. 636. a.
c ’ ( Jur‘fP-) abrégement de f ie f ; abréger
un M y L 698- ü b. — 704. b. V IL 280. b.
1 ■ ^BRÉy I'fT E Ü R , i" , àiifeür d'im abrig i ; s ”, officier de
la chancellerie romaine. I. 37. a.
Abréviateur, on reproche aux abréviateurs d’avoir fouvent
donné lieu à la perte des originaux. V . 820. b.
A B R É V IA T IO N , ( Littér. ) les rabbins font ceux qui emploient
le plus d’abréviations. O u vrag e où fc trouve la plus
ample colleétion des abréviations romaines. I. 37. a.
• Abréviation, explication d e la plupart des abréviations numéraires
qui fe trouvent dans les auteurs,fur lesmonumens,
inferiptions & médailles, & de plufieurs autres dont l’intelligence
eft également utile & néceffaire. Suppl. I. 36. b.
Abréviation, en quel tenis les abréviations des Hébreux
forent inventées. X V . 8 15. b. x°. D e s abréviations employées
dans le droit. Explication de celles dont on fe fort lorfqu’on
^ i f l ®n ni?tiere droit, foit c iv i l, foit canon. III. 485. a.
Abréviations employées en citant le digefte. IV . 997. b. O bfervations
fur Y et catera ufité dans le ftyle judiciaire. V I . 39.Æ, b.
Caractères ufités parmi les anciens avocats. Ü. 6<o. a. Les
f a n o n s dans les aéies publics, défendues par Juftinien.
,•^°- D es abréviations en ufage dans les inferiptions & les
médaillés. 11. 650. a. Explication de quelques-unes employées
fo r les tombeaux. X. 697. b. 698. a. Abréviations ufitées dans
les inferiptions romaines, X V . 817 .a. dans les tableaux appellés
ex voto. XVII . 413. à. Lettres initiales ou figles qù’on em-
plo you dans quelques abréviations. X V . 183. a. Celles qu’on
voitdans quelques inferiptions de médailles. VIII. 778. à, 779. a.
■ f °-D,es abréviations en pharmacie & en médecine. IL 649! b.
Ce s abréviations employées du tems de Ménécrate. X . 288. a.
Celles qui font en ulage dans les auteurs anciens pour défigner
Vespouls & les mefures. X II, 854. a. Celles par lefquelles on
A B R 7
dMgné les différentes mefures ufitées en tnédecine & en
1 nannaae. X. 4a] . l . C e que fiznffie l’abréviation ma ou m.
formules S H I H tormules. VU. 187. a. Celles deis a pmotih?ieccaiinrse s. XII. SS SBl. lel>u. rs
4 ’ “ ! abréviations en ufage dans les autres arts, expliquées
aux articles de ces arts ou dans les volumes des p lancW
5s \ r " " “ f par abréviations. II. 391. i . 647. i . XI. 148
■ B X T S 2. ^ B r a c b y g r AC
f KACTERf,s' Ç n trouve aufli à l'article particulier
de l alpbabet, fes fignifications & ufagesf
dabrévianons dans les parties réparées ; maisTen^^eft a S r e !
ParA B R r o v m HH t ^ T h e l i a n ' d o ^ T “ H H B H B B H HH d augmenter les produits des prés. O r dit l’i r ,W
m E j m “ s fourrages 1a plus abonda..te. L e premier obier
Z t f r Pr0CBr.“ t e oaux à la portée du cultivateur D é S
fur les fi nés (pu peuvent diriger dans la recherche deS eaux
Ibid. à. Signes extérieurs des bonnes eaux Ouelles font-IaJ M H 47- - Maniéré HH— M %
t Moy e«s de rendre utiles certaines eaux vicieufes
1 medl0.cre C °mment on purge & on garantit
conduSe des e a ^ fu r une prSrU. r ’ J “
rations neceffaires pour cette conduite. Prairies „ !
:tre arrofées en ménageant. dans les enA™.*..__ . Peuve.nc
^ r e c e v o ir les eaux. / k i T M ”ÿe°n de 'dftrtiire ’le^au p e s*
D eu x fortes de canaux d’irrigatioi ; les uns appellés L f i j f e
1ac 'Æfâm. H Uüllte des étangs. Ibid. b. Maniéré de HHHHH B wBBÊÊ a 1 o u v r ir , oc à le fermer lorfqu’il eft plein. Ibid, a â r J ’
W B I B i i S a 1 “ H entrant dans l’im ng ne 1e,
édüfes C “ Pf e uaion des b â ta rd ea u l& des
R e ë £ f c i !™ n qs ,• f l i m s Ê E R B ü I i i £ t
■ m B darroftr. Réglés fur la maniéré de prati^
d employer les divers canaux deffinés à porterP& à
répandre les eaux fu r lete rrem . IUJ. ' z . a. Eaux eraffe. & .
acadenteUesqu. lavent les grands chendns ou l é s a i s ou q S
découlent des fumiers. Réglés fur leur ufage. D e la maniera
de recuetllir les eanx à rems & <l’e „ fa ir ! ufage. I r f ï ï S
,erre f»™ dont la pente efl médilcre. c ï ï tu r e
d i Ce“ C f0rtnde ‘ %rün- W ^ d o n des prés de terra
■ I dp” h P“ “ '»Pide. I IU . b. Culture d’une terra
l ï f « 1 penî e‘ Irr,g a“ >n des prés d o i t ia terre eft
Æ Z L j - P‘ ? te ,do11? ° " rapWe' Des 'erre* n artcageufes.'
I M I I M M B i Suppl. IU. 80;. i. — 809.U. Abreuv er les chevaux. f e y t rE x u :
(M oe tg t .) mauvaife qualité, qu’acquierem les eaux d L l e f -
&Jesord“rK d“ » ^ -
h o m d ïS g T j lp ï Ÿ 'T b vicie“ ft &
c a n i f™ . I V ’ HH caule que la gebyure. I. 3 8. déVfoi"y»ez d c»e m“ rotf.a * qui a la même S A b r e u v o ir , ( Chajfe.) maniéré de prendre les oileaux à'
pîanche î i r' * ^ ' a ' V Y o 1 , 11 1 article Chajfe f
A B R E U V O IR S , {Maçonnerie) I. 38. b.
A B R E X , {Infcript.) mot q u i f e t r o u f e dans une inferip-f
non trouvée àLangres en 1 5 7 , , & qui a fait penfer à M . jv£-
hudel que BeUorix, dont il eft parlé dans cette infeription,
etoit un homme d autorité chez le sL an g ro is , & même au’ j
avoit été un de leurs rois. I. 38.b. ^ '
A B R E Y E R , {Marine) mettre à l’abri. L ’ûTage de c e iflo ç
pd t P/ f cIuelcIues exempfos. Suppl. I. 53. àT
A B R I , ( Agncult.) Utilité d'un abri dans les jardins. C omment
on abrite un terrem contre les vents deftrufteurs. L’abri-
d un m u r , favorable aux poiriers de haute tige greffés fur
coignaflier. Lorfqu’il y a quelque foffe à l ’abri dans les bois :
S t f/y /T 5° rdinairement compter d’y prçndrç des béc^ffe^