■54 sa H
& alkalines aes «rois régnés,, & dans celles (lu même régné.
Peut-être auffi trouveroit-on des différences effentielles entre
les cendres leffivées de divers végétaux. Les «are»
cendres végétales ou animales ne font pas des coips lintnl .
M d . 814. I Réflexion fur l’opinion de la B f g f l B i
& a es animaux V de leurs cendres. La terre des cendres
mdres leffivées 8c du
M l I H m B cendres dé çois' flotté rfy-To«, pas
des cendres des végétaux , le
Les cendres
éduire le
propres. Ibid. A
Cendres. Moyen <k
f el aikali fixe qu elles contiennent. VI.
de bois employées dans la cementation g pour réduire îe
fe r en a c ie r iV I . 922. a. D e la manière de leffiver les.een-
dres des plantes. I. .274- H Çendres d o s calcinés^ leur
ufage en docimafie. 111. 500. <1, b. Matière attirable par 1 aimant
, que' donnent les cendres des végétaux g diveries
N e r v a t io n s fur ce fujet. V I . 495- g ^ n d re s M S t t »
de cannes 1 fucïe. X V , H Cendres de fougères ■ leur
vfaees V II . 219. a , b. Incinération des plantes pour les
verreries. X V I I . n 8 . a. Des cendres pour les verreries.
i o î . u. 108. .1 , 4. Cendres pour la teinture. X V I . 1 0 . b.
T om la S f f iv e du, linge. S jm l . L f i & j f t , 1, R édu& ou des
cendres métalliques. XXII, 8 o t. é. I ■ ■ . H I
Cam u s $!>» font un fort bon amendement.
O n les mêle avec du fumier. O n brûle les terres maigres. II.
Cendres. Cendres charrées, leur utilité. III. 2x6. a R o u te s
les cendres font d’excellens engrais. V . 686. b. Quelles
font les plus propres à féconder la terre. b.
Cendres de houille, leur utilité. VII I. 323. a , b. &c. Cendres
de mer ou de tourbes. Ibid. a. Cendres des tourbes
d’Amiens. Ibid. . I , 1T 0 r-
Cendres, pluies d e , explication de ce phenomene. 11.014.
Cendres. Pluies de cendres caufèes par les volcans. XII.
7 9 Cendres d é l iv r é , dans le raffinage : maniéré de receyoir
cette vapeur quand elle retombe. II. 814. b. ,
Cendres gravelées, { Chymie ) .comment elles je font. i l.
824. b. Leur ufage en teinture , 8c dans la compofmou de la
pierre à cautere. Sel alkali contenu dans la cendre gravelée.
L e mot de cineres clavellati, qui fignifie cendres gravelées , eft
employé , par les chymiftes allemands, pour défigner la
potaffe. Différence entre ces deuxcliofes, Ibid. 815.0.
Cendres vertes, mine de cuivre. II. 815. a.
Cendres de roquette , plante d’Égypte & de S y r ie , appellée
f a l l , d’où l’on tire cette cendre. Comment s’en fait la récolte.
Ouvriers qui fe fervent de cette cendre. II. S i ?. /*. Sel dont
elle eft chargée : cas qu’on en faifoit autrefois. Ibid. b.
Cendres , ( Hiß. une. ) refte des corps morts brûlés.
Maniéré d’empêcher qu’elles ne fe confondiflent avec les
cendres de bûcher. T o ile d’amiante trouvée à Rome en
IVO2. II. 815. b. I | virTT
Cendres des morts , comment elles étoient recueillies. X V i l.
526 a. Ceux qui les raraaffoient : à qui elles -apparte-
noient. II. 457. b. Urnes où on les renfermoit. X V I I . 5x3 .b.
* C endres, {Mercredi des) tems de cette fête. V I . 272.
a. X. 370. a. Ufage de prendre le fac & la cendre chez
les anciens Juifs. X IV . 469. A .
Cendre. Supplice de la cendre. X V . 674. b. 676. a. D iv inations
par la cendre. X V I . 144. b.
CENDRÉE , ( Chymie & Docimafie ) cendre qu’on emploie
pour la formation des coupelles. Ufage de la grande cendree ,
St maniéré de la faire. Préparation de la petite cendrée. IL
S i c . b. Lorfqu’on a befoin de beaucoup de coupelles, on a
recours aux cendres des végétaux pour faire la cendrée.
Comment ori les prépare pour empêcher que les fels dont
eHes font' chargées, ne biffent vitrifier les coupelles. Ibid.
8 x6 . a.
CENDRIER, {Chymie) defeription. II. 816. 4.
CENE. O n a mis en queftion f i , dans fa derniere c en e ,
Jefus-Chrift célébra la Pâques. II. 816. b. Voye^ à cet égard
Pâques.
Cene , falle où l’on a prétendu que Jefus-Chrift avoit
célébré la cene. II. 813. a.
C É N O B IT E , {H iß . eccl.) différence entre le cénobite &
Thermite. Étymologie du mot. Différence que Caflien établit
entre couvent 8c monaßere. T rois fortes-de moines quisètoient
• retirés en Égypte , les cénobites , les anachorètes & les. fara-
baïtes. Inftitution des cénobites. Dans le code Théodofien,
ils/ont àppellés fynoditoe. II. 8x6.- b. : ;; v . .
Cénobite. Auteur de la vie cénobitique. X . 639. b. V ie
commune des cénobites, difciples de faint Pacôme. 615. b.
Foyer -Anachorette , Hermite , A scétique.
C E N O M A N S , peuples gaulois , leurs émigrations. VII.
5 28. b .1
C E N O T A PH E , tombeau vuide. X V . 75. a. X V I . 398,b.
CENS , chez les Romains : en quoi il confiftoit. Noms
qu’on donnoit aux cens des divers ordres de la république.
Signification du nom ad}, cenfus , oppofé à incenjus. Cens
qu’on doit établir dans les démocraties. Il n’y a jamais eu
de cens**général dans l’ancienne monarchie françoife. II.
817. M f
Cens. Dénombrement qui fe faifoit à Rome tous les cinq
ans. IV . 828. 4 , A L é cens & le luftre furent célébrés le plus
fouvent fans réglé. IX. 75 1 . a. D e l’ufage de faire le cens par
tribus. X V I . 624. b. 625. a. Office du magiflcr cenfûs. III. 61. a.
i x . 893. *. ; ;
C ens , ( Jurifpr. ) rente foncière due par un héritage tenu
en roture , au feigneur du fie f dont il releve. Il eft imprescriptible
8c non râcliètàble. Valeur du cens dans les premiers
tems. C ’eft la première redevance impofée par le feigneur.
Diverfes dénominations que reçoit le cens. II. 8 17. a. Amende
impofée au défaut de paiement de cens ..Ibid. b.
Cens. Pourquoi le cens ou la cenfive s’appelle quelquefois
menue-rente. X IV . 1x8. u. Loi de cens. IX. 654. b. Cens 8c
fervis. X V . 123. a. Chef-cens. III. 271 .a . Sur-cens. Ibid. X V .
685. b. Cher-cens. III. 29 7. a. Double cens. V . 73 . a , b. 74. b.
Croix de cens. IV . 510. a.
CENSA L Ou courtier. C e que lès négocians lui paient.
Cenfals dans le Levant. Maniéré de négocier avec eux. Simagrées
des cenfals dans ces négociations. II. 817. b.
Cenfal, voyez COURTIER, AGENT DE CHANGE. T o u t le
commerce de Livourne fe fait par la v o ix des cenfaux. X V .
m i ; ,
CENSEUR , ( Ht fl. anc. ) fondions de ce maj’ iftrat. D érivation
du nom de cenfeur. Premiers cenfeurs créés en 3 1 1 .
But de cette création. II. 8 17. b. Les plébéiens admis à la
cenfure en 414. Eminence de cette dignité, Durée de l’exercice
de la charge. A utorité & fonctions diverfes des cenfeurs.
Bornes de cette autorité. Cenfeurs à Lacédémone. Cette
charge eft plus héceffaire aux républiques qu’aux autres états.
La corruption des moeurs la détruifit chez les Romains. Ibid.
818.4..
Cenfeurs. AiTemblée où l’on élifoit ces magiftrats. III. 679. b.
Leurs fondions. XII. 907. a. Loi qui régloit leur pouvoir.
IX. 656- b. Q u e l étoit leur pouvoir à l’égard des fénateurs.
X V . 2. a. Revue des chevaliers par les cenfeurs. III. 31 i .b .
Leur intendance fur les chemins. X V II . 417. a. Livres des
cenfeurs. IX . 6 1 1. b.
C enseurs de livres, ( Littér. ) but de leur établiffement.
A qui appartient le droit d é ju g er des livres. II. 818. a. C elui
déjuger des livres concernant la foi a été plufieurs fois confirmé
à la faculté de théologie de Paris. Ufage qu’elle en a
fait. Augmentation du nombre des doâeurs chargés de l’examen
des livres. Abus qui réfultèrent dé eette augmentation.
Divifion entre les membres de la faculté. Lettres-patentes
accordées au dofteur D u v a l 8c à trois de fès confrères, qui
leur attribuent le droit de cenfure, &c. Efforts de la faculté
contre lui. Sa démiflion volontaire. Ibid. b. Il paroît par diffé-
rens décrets que la faculté recommença enfuite à charger les
dofteurs de l’examen des livres. Irrégularités commifes dans
les approbations des livres auxquels les difputes fur la grâce,
avoient donné lieu. Création de quatre cenfeurs pour remédier
à ces abus. Leur nombre augmenté dans la fuite. Ils rendent
compte à M. le chancelier. Etat des auteurs qui attendent
l’approbation, femblable à celui des âmes qui attendent le
moment de traverfer le Styx. Ibid. 819. a.
C E N S iE R , feigneur cenfier défigné fous le nom de chef
d’hoflifes: XII. 271. b. Juftice d f cenfier. IX. 93. b. Juftice
cenfiere. Ibid. 8t. 94. a , b.
C E N S IT A IR E , vaffal qui poffede en roture quelques
héritages à la charge du cens. Permillïon accordée au cenfi-
taire de vendre l’héritage chargé de cens, &c. II. 819. a.
CENSIVE , étendue du fie f d’un feigneur : droit de percevoir
le cens. Origine des cenfives. II. 819. a.
C E N SO R IN , {Hifl.rom.) un des plus grands capitaines
de fon tems, fut un des trente tyrans qui envahirent l’empire
fous les régné de Valerien oc de Gallien. Surnom qu’il
reçut. Sa mort. Son épitaphe gravée fur fon tombeau. Suppl.
II. 287. b.
C E N SU E L , commife cenfuelle. III. 703. a. F ie f cenfuel.
V I . 700. b. Déclaration cenfuelle. IV . 692. a. Juftice cenfuelle.
IX. 93. b. 94. a , b. Rente cenfuelle. X IV . 116. a.
CENSURES eccléfiafliques. Trois fortes de peines exprimées
par ce mo t; l’excommunication, la fufpenfe, l’interdit. Sou-
miffion des anciens rois d’Angleterre à ces cenfures, dont les
François ont toujours été exempts. Comment ils fe font maintenus
tels. Cenfures de droit, cenfiires de fait. Celles qu’on
appelle lata fententia, 8c celles qu’on nomme ferenda fententia.
A qui appartient lé droit de porter des cenfures. II. 819. b. •
Cenfures eccléfiafliques : ordonnance d’Orléans, 8c lettres de
Charles I X , fur ces cenfures. IX. 77. b. j
C ensures de livres ou de proportions. La note d'héréfie eft
la plus infamante de toutes : livres notés comme feulant l ’hir
réfie. II. 819. b. Il y a beaucoup d’analogie entre ce qui fent
CEN
HlSràfic & ce qui eft captieux. Propofition mal f im m K J M
là foi moins coupable que celle qui fent 1 heréfie. C,e qu oiï
appelle epiaion H B H U B Q H J I
Différence entre les proportions que I églile cenfure ot celles
’elle défend. Ibid. 820. a.
C ensure, critique, {Synon.) IV . 490..
mer ce. Ibid. b. , . .
C E N T A IN E S , divifion des comtes angloifes en centaines.
XV II . 587. b.
C E N T A U R É E , {grande ) carafteres de ce genre de plante.
Propriétés de fa racine. Origine de fon nom. Petite centaurée.
Sa defeription. Ses propriétés & ufages. D ’où lui vient fa
vertu fébrifuge. Maniéré de la donner dans les fievres. Ufage
de fon infùfion contre la migraine. II. 821. a.
CEN TAU RES , explication donnée communément à la
fable des centaures. Quelques-uns p rétendent qu’il en a exifté
dans la nature. Comment ils naquirent d’Ixion 8c de la nuée.
Diverfes explications de cette fable. Etymologie du mot
centaure. II. 8 20. b.
Centaures, voye^ T hessaliens 8c H ip po c en tau re s . D iverfes
obfervations critiques fur la fable des centaures. V ,
892. a, b. Tableaux de centaures dans Hèrculanum. Suppl.
IU. 356. b. 357. u , A Lieu du tombeau des centaures. Ibid.
983.a . ’
CENTENIERS chez les francs. VII I. 279. a.
CENTIEME denier, ce qu’on entend par là en France.
II. 821. A ^ . .
Centième, impofition levée en certains tems par les rois de
France. III. 457. a. Décime centième. IV . 679. à.
CENTOBRI.GUES, ( Géogr. anc.) ancienne v ille des C el-
tibériens. Maniéré dont Métellus la prit. Générofité des
deux parts. II. 821. b.
C E N T O N , ( poéfie ) ce mot fignifie à la lettre un manteau
fait de pièces rapportées. Etymologie du mot. Ufage
que les Romains faifoient à la guerre des cernons proprement
dits. Réglés & exemple qu’Aufone a donnés fur la compofition
des centons en poéfie. V ie de Jéfus-Chrift, écrite en centons
tirés de Virgile. Exemple.de ces centons dans l’adoration des
mages. II. 821. A
Centon ; qui porte le nom de fextus ou fexttus. X l l l . 625. a.
C E N TO N A IR E S , ( Hifl. anc. ) officiers qui fourniffoient
les étoffes qu’on appelloit centons. V ég ec e en parle, liv. iv.
II. 821. b. D e m ême que Jules-Céfar clans fes commentaires,
8c dans le livre de la guerre civile. Ouvriers fuivans l’armée
auxquels les centonaires étoient joints. Ibid. 822. a.
C E N T R A L , forces centrales: explication de ces forces: .
elles fe divifent en centrifugés 8c centripètes. Loix des forces
centrales, découvertes par Huyghens , démontrées par
Newton. Mémoire de M. le marquis de l’Hôpital fur cette
matière. i° . U enfeigne la maniéré de comparer la force centrale
avec la pefanteur. IL 822.4. 20.C e tte théorie établie,
il eft aifé d’en conclure que fi deux corps de poids égal décrivent
des circonférences de cercles inégaux dans des tems
ég a u x , leurs forces centrales feront comme les diamètres.
30. La force centrale d’un corps qui fe meut dans une circonférence
de c e r c le , eft comme le quarré de l’arc infiniment
petit divifé par le diamètre. 40. Si deux corps décrivent par
un mouvement uniforme différentes circonférences, leurs
forces centrales fefont en raifon compofée de la doublée de
leur v iteffe , 8c d e là réciproque de leur diamètre, 6*c. 50. Si
deux corps qui fe meuvent dans des circonférences inégales
font animés par des forces centrales • égales, les diamètres
des cercles feront en raifon doublée d .s tems. Ibid. b. 6°. Si
les tems de la révolution totale font comme les diamètres des
cerclps, les forces centrales feront comme ces mêmes diamètres.
70. Maniéré de connoître quelle doit être la force
centrifuge 8c la viteffe d’un corps attaché à un f il, pour
qu’il ne rompe point ce fil en circulant horizontalement.
8°. Si un grave fe meut uniformément avec la v iteffe acquife
en tombant d’une hauteur égale à la moitié du rayo n, la
force centrale fera égale à la g ravité. 90. io ° . 1 1°. iV . Suite
des différentes loix déduites de la théorie expofée dans l’article
premier. 130. Méthode pour comparer les forces centrales
fur des courbes autres que des cercles. Ibid. 823. a.
140. Démonftration de cette l o i , que les aires comprifes entre
deux rayons font proportionnelles aux tems employés à les
parcourir. 15".Méthode pour comparer entr’elles les forces
centrales dans des cercles, quelque différentes qu’elles foient.
i6°. 17". Lorfquc la force par laquelle un corps eft follicité
vers un point, n’eft pas par-tout la même, alors le mobile
décrit différentes courbes plus ou moins compofées; comme
l’ellipfe, la parabole, l’hyperbole. Regle centrale découverte
par Thomas B a ke r , géomètre anglois. Ibid. b. Elle eft p référab
le, félon fon inventeur, aux méthodes de Defcaftes ,
pour conftruire les équations. Ibid. 824. a. "V . ‘
Central, détails fur les forces centrales. V II . 118. A 119. a.
Démonftration des forces centrales, V II . 874. a. Application
CEN ï 5î
de la tliéorié des rayons des développées à celle des force»
centrales. IV . 908. a. Expériences fur les mouvemens elliptiques
8ç circulaires, X V II. 613. A
Central, feu. V I . 6x2. A &c.
C E N T R E , étymologie du mot. Centre d’un Cercle. L’angle
au centre eft doublé de l’angle à la circonférence. Centre
d’une feélion conique, Centre d’une courbe d’un genre plus
élevé. Centre général félon Newton. Centre général d’une
courbe félon l’abbé de Gua. Méthodes dé M. l ’abbé de G u a ,
II. 824.4. & de M . Cramer, pour déterminer les centfés généraux.
Ibid. b.
C entre de prejflon dans les fluides j ( Phyflq. ) définition»
Loi du centre de preffion. Suppl. II. 288. a.
CENTRE d'un cadran. Centre de gravitation OU d’attraélion,
II. 824. A
C entre de gravité, {Méchan.) la gravité totale peut être
con çu e , réunie au cefttre de grayité. Diamètres dé g ravité,
plan de g ravité. Dans quel cas le centre de figure eft le même
que le centré de gravité. Centre commun de gravité "de
deux corps. Loix du centre de gravité. i° . Si on joint les
centres dè gravité de deux corps par une droite, leurs diG
tances du centre commun dé gravité feront entr’elles en raifon
réciproque des poids. II. 824. A 20. Moyen de déterminer
le centre de gravité de plufieurs corps donnés. 30. Deux
corps étant fufpendus par une ligne qui ne paffe point par
leur centre commun de g ra v ité , trouver lequel dés deux
corps doit emporter l’aittre. 40. Soient glufieurs corps fufpendus
par une droite qui ne paffe point par leur centre de
g rav ité, on propofe de déterminer de quel côté' fera la'
prépondérance, & quelle en fera la quantité. 50. Un nombre
de poids fufpendus par une ligne qui ne paffe point par lé
centre commun de g rav ité , oc la prépondérance étant vers
la droite, déterminer un point où la fomme.de tous les poids
étant fufpendue, la prépondérance conrinueroit à être la
même que dans la première fituation. Ibid. 825:a. 6°. Trou*
v e r le centre de gravité d’un parallélogramme 8c d’un paral-
lélipipede ; 7 0. d’un cône 8c d’une pyramide ; 8°. d’un triangle j
90. d’une portion de parabole. io °. C entre de gravité d’un arC
- 8c d’un fetteur de cercle. Ibid. b. n ° . Déterminer mèchani-
quement le centre de gravité d’un corps. 12°. To ute figure
niperficielle ou folide, produite par le mouvement d’une
ligne ou d’une fu rface , eft égale au produit dé la quantité
qui l’engendre, par la ligne que décrit fon centre de gravitéi
Ibid. 826. 4.
Centre de gravité, propriété du centre de grav ité , démontrée
par M. Varignon. II. 83,0. a . .
■ Centre de mouvement. II. 826. a.
Centre cTofcillation. Loix du centre d’ofcillation. H. 826. À
Foyeç ce dernier mot.
Centre de percujjion dans un mobile. Loix du centre de per-
euffion. II. 826. A Voyci Percussion.
Centre de converfion , en méchanique. II. 826. A
Centre fpontané de rotation. C e terme eft employé par M.
J. Bernoulli dans le recueil de fes oeuvres. Théorèmes fur
ce fujet. II. 827. 4. ' 7 - , • .
Centre des corps pefans. Gomme la terre eft un fphéroïde ap-
plati vers les pôles, les corps pefans ne fauroient tendre vers
un même point; il n’y a donc point à la rigueur de centre
des corps pefans. II. 827. A
Centre d’équilibre, dans lefyftême des corps. Principe d’équilibre
trouvé par M. le marquis de Courrivron. II. 827 .A
Centre de l'équant, dans laftronomie ancienne.II.827. A
Centre phonique , phonocamptique. II. 828. 4.
Centre d‘un baflion, d’un bataillon. II. 828.4.
C entre , ovale, ( Anat. ) II. 828. a.
Centre ovale: M. de Vieuffens en fait le fiege des- fondions
de l’ame. I. 341. a.
CENTRE de prejflon dans les fluides , ( Phyflq. ) défixiition.'
Loi du centre de preffion. Suppl. II. 288. 4.
Centre tendineux, il. 828.4.
C entre , demi-circulaire ,{A n a t.) cordon médullaire qui fuit
l’intervalle du corps cannelé, 8c de la couché du ne rf optique
, 8c qui preffe contre le corps cannelé une veine principale
dè ce corps. Obfervations fur le nom de centre demi-
circulaire donné à ce cordon. Sa defeription. S W . II. 288. a.
CEN TR ER un verre, {Lunetier) méthode à fuivre pour
cela. Sur quoi elle efl fondée. Néceffué de bien centrer lés
verres des lunettes. II. 828. a. _
Ceritrer un verre. Différentes maniérés de connoître fi un
verre eft bien centré, de remédier au défaut d’un verre
mal centré. Supfl. II. 288. a.
Centrer : comment on reconnoit ii un objectit elt bien centré.
XI. jo i . A « ,1 •
CE N TR IFU G E , ( Méchan. ) tout mouvement eft par lui-
même reftiligne. Pour qu’un corps fe meuve dans une courbé,
il faut qu’il reçoive à chaque inftant u ne . nouvelle impul-
fion, 8c dans une direftion différente. Un corps obligé à décrire
un ce rcle , le décrit le plus grand qu’il peut. Il en eft des
autres courbes, comme des cercles... Dans une même courbe