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femmes, felori diverfes löix. Les enfans adoptifs Joui fient
des droits d’agnation. I. 176. b.
A G N A T IQ U E , ,( Droit polit. ) fucceflion agnatique. III.
604. a. X V . $ 98. a. Sur quoi elle eft fondé e .. . . On examine
b ö
s’il n’ eût pas été plus avantageux de borner la fucceffion
du ftadhoudérat -à la ligne agnatique............Auteurs à
confulter. III. 604. b. ■
A G N E A U , ( Econom. rufliq. ) éducation des agneaux. Caf-
tration de ces animaux. Reinedes aux maladies qui les attaquent.
I. 17 7. a.
Agneau. D e l’éducation des agneaux. X V I . 714. a , b. OCC.
tnonnruofités dans quelques agneaux. Suppl. III. 5 $2. a. 5 53 . b.
A gneau , ( Cuiftne) différens mets compofés de diverfes
parties de cet animal.
Queftioncle jurifprudence fu r ie s agneaux. Dans les tems de
mortalité des beftiaux, on a quelquefois défendu de tuer des
agneaux. Réglemens qui fixent le têtus où ils peuvent être
vendus. I. 177. b.
A gneau, ( Mat. médic.) application de fa peau toute
chaude, pour relâcher les vaiffeaux. Ufages de quelques
autres parties où vifceres de cet animal. Q ualités diététiques
de l’agneau. Ufages de fa peau en pelleterie. 1. 178. a.
Agneaux de Perfe, agneaux de Tartarie, objets de commerce.
1 178. a.
A gneau , ( Blaf.) lignification de ce hiéroglyphe. Agneau
paféhal, terme de blafön. Suppl. L a 10.b .
AGN E L IN , ( laine d' ) IX. 197. b.
A G N IU S , {Hift. de Suède) fils d eD a g e r , roi de Suede.
Il foumet les Fmlandois ; époufe une princeffe de ce p a y s ,
l’étrangle pendant fon fommeil. Suppl. I. a ïo . b.
A G N O IT E S , ( Thèolog. ) feCte d’hérétiques qui fuivoient
l ’erreur dé Théoplirone de Cappadoce.I. 178. b.
A gnoites , feCte d’Eutychiens, qui parut au fixieme fie-
cle. Origine de leurs erreurs. Comment les théologiens catholiques
les réfutent.-L 178. b.
A G N O M E N , ufàge de l’agnomen chez les Romains. IX.
*98. b. 200. b. 201. a.
A G N U S -C A S T U S , ( Botan. Mat. rnéd.) arbrifleau. Defcrip-
tion de fa fleur. Ufages de cet arbriffeau en médecine. I. 179. a.
A gnus caflus , (Botan.) defeription de cet arbrifleau. Suppl.
I. 2 io . b. Defeription de l’agnus-caflus commun. Lieux où .
il croît. Maniéré de le cultive^ Ibid, a i I. a. & de le multiplier.
Pourquoi on lui a donné le nom de caflus. Ibid. b.
■ Agnus - caflus à feuilles digitées & dentelées'/ Contrée où
il croît. Sa defeription. Troifieme efpece de ce g enre, qui
nous vient des deux Indes. Quatrième efpece qui a été apportée
de la Chine. Maniéré de cultiver & de multiplier
ces deux dernieres. Suppl, d u . b.
Agnus-caftus , cet arbre, dit-on,caufe l’impuiffance.VIII.
632. b.
A G N U S D E I , ( Thèolog. ) pain de cire bénit par le pape,
rigine de cette cérémonie. Comment elle fe pratique. Agnus
e i , priere de la meffe. I. 179. a»
A G N U S S C Y T H IC U S , ( Botan. ) defeription de cet
arbrifleau par Scaliger. Comment il ell démontré que l’agneau
de Scythie eft une fable. Defeription du même arbrifleau par
Hans-Sloane. I. 179. a. Crédibilité d’un fait j réglés à fuivre
pour établir cette crédibilité. Ibid. 180. a.
A G O N , ( Hift. anc. ) combat pour la fupériorité dans quelque
exercice du corps ou de l ’cfprit. Remarques hifloriques
Air l’inflitution de ces jeux chez les Grecs & chez les R o mains.
Agon fe difoit, aufli d’un miniftre dans les facrifices.
I. 180. b. Voyez VICTIMAIRÈ.
A G O N A L E S , ( Hiß. anc. ) fêtes que les Romains célé-
broient en l’honneur de Janus, ou du dieu Agonius. E ty -^
inologie du mot Agonales. 1, 180. b.
Agonales , jeux publics. I. 180. b.
A G O N A U X , ( Hiß. anc. ) fêtes célébrées chez les Romains
au mois de janvier. Origine du nom qui leur fut donné.
1 . 180. b.
A G O N IE , ( Médec.) râle dans l’agonie. X III. 7 79. a. Caufe
de la fueur dans l’agonie. X V . 628. a. — Voyeç Moribond.
A G O N IS T IQ U E , (Hift. anc.) fcience des exercices du
coips ufités dans les fpeCtacles des anciens. Ouvrage fur ce
fujet. I. 181. a. ■
A gonistiques , ( Thèolog.) prédicateurs que les donatilles
envoyoient,pour répandre leur doftrine. 1 . 181. a.
Agonifliques , foins que prenoient les anciens, pour former
les jeunes gens aux exercices du corps, néceffaires à l’homme
de guerre. V I I . 995. a. Il n’ell point de nation où ces exercices
aient été plus long-tems pratiqués que chez les François.
Ibid. b. Sur l’agoniftique, voyeç GYMNASTIQUE, ATHLÉTIQUE.
A G O N O T H E T E S , ( Hiß. anc. ) magiflrats prépofés fur
les jeux publics. Leurs fonctions. I. 181. a.
Agonothetes, la fèvèrité des agonothetes extrêmement redoutée
de ceux qui fe donnoient en fpeCtacle. X . 183. b. Comment
les juges étoient placés en diftribuant les prix. V III. 336,
a. Magiflrats qui régloient les jeux chez les Romains. Ibid. b.
L ife[ l'article HelLENODICE,
A G R
A G O R A C R IT E , fculpteur. X IV . 81 fi. a.
A G O R A N OM E , ( Hift. anc.) magiflrats chez les Ath é niens.
I. 18a. b.
A G O S T A , Agoufla ou Augufla, ( Géogr. ) petite ville de
Sicile. Son fondateur. Son port. Ses révolutions & fa ruine
en 1693. Suppl. I. 212. a.
A G O S T IN I , ( Léonardo ) obfervations fur cet écrivain &
fon recueil de pierres gravées. XII. 390. b.
A G O S T IN O , ( Antonio ) obfervations fur ce favant &
fur fes ouvrages. X IV . 644. a. '
A G O U N A , (Géogr. ) petit royaume d’A frique fur la côte
d’Or. Ses bornes & fon etendue. CaraCtere des habitans. Fort
des Anglois. Suppl. I. 212. a.
A G O U T , (Géogr.) riviere du Languedoc. Son cours. Suppl.
A G O U T I , (Hift. nat.) efpece d;agouti appellé tapiti. X V .
899. b.
A G R A , ( Gèogr. ) capitale de l’Indoftan. Commerce de
cette ville. I. 181. b.
A gra , ( Géogr. ) capitale de l’empire du Mogol. Sa defeription.
C e lle du palais de l’empereur. Sa population. Moeurs
& religion des habitans. Suppl. I. 212. a.
A gra ,(H ifl. nat.) bois de fenteur qui vient de la Chine.
I. 181. b.
A G R A F E , ( Architecture) ornement de fçulpture dans les
édifices. 1. 181. b. Regies fur la compofition des ornemens
d’architeClure. Ibid. 182. a.
A grafe, (Jardin.) Agrafe , (Serntr.). I. 182. a.
A G R A H A L ID , (Botan. ) defeription de cet arbre d’Égypte
& d’Éthiopie. 1 . 182. a.
A G R A IR E , (Hift. anc.) énumération des principales lois
agraires. Par la loi agraire, on entend particuliérement la loi
caffia -, publiée par Sp. Caffius. Oraifons de C ic é ro n , intitulées
De lege agrariâ. I. 182. a.
Agraires , loix. IX. 630. a , b. & c.
A G R A N IE S , (M y th .) fêtes inftituées à A rg o s , en l’honneur
d’une fille de Proëtus. D efeription de ces fêtes. 1. 182.*.
A G R AU L IE S , ( Myth. ) fêtes en l’honneur de Mùierve.
1 ,18 2 .* . •
A G R É A B L E , gracieux 3 (Synon.) différences entre ces
mots I. 182. b.
Agréable, gracieux, différences entre ces mots. V IL 806. a.
Différence entre un bien honnête & un bien agréable. II. 310.
b. L’agréable n’eft point le but effentiel des beaux-arts. Suppl.
I. 587. b. 588. a , b.
A g r é a b l e : ( Beaux-arts ) l’agréable ne doit point être
regardé comme conftituant l’effence des ouvrages de l’art. L a
nature dans toutes fes productions tend conllamment à la
perfection, mais elle a foin de leur donner l’agréable pour
compagne inféparable. Il en doit être de même de chaque
ouvrage des beaux-arts. Il faut que tout ouvrage conferve
encore de l’importance, après qu’on l’aura dépouillé de l’agrément
que l’art y a fu mettre. L ’étude & l a connoiffauce exaCte
de ce qui conftitue l’agréable font donc une partie effentielle
de l’a r t , mais non pas la partie unique. Voies à fuivre pour
arriver à la connoiflanCe de l’agréable. Suppl. I. 212. b. Un
objet, pour devenir agréable, doit exciter l’aélivité de i’ame;
pour cet effet, il faut qu’il agiffe fur l’imagination, & qu’il
infpire des defirs. Ibid. 213. a.
A G R E D A , ( Géogr. ) v ille d’Efpagne, autrefois G r a o
churis. V I I . 8oo. <z.
A G R ÉM EN S , ( Pajfement. ) ornemens des robes des dames.
Defeription du métier fur lequel on les travaille , & de la
maniéré de travailler. I. 183. a.
A grÉmens , (Gramm. Syn. ) idée exaCte de la fignification
de ce mot. Différence entre grâces 8c agrémens. Suppl. I.
2 13- a- ■ ■ I m
A gremens du chant, (Mufiq.) quels font les principaux.
Suppl. I. 213. a. Voyei GOUT DU CHANT, Diél. raif. des
fcience s , & c. & S.uppl. I. 213. a.
Agrémens, nommés accent. Suppl. I. 110. a. Afpiration. Ibid.
653.a. Battement. Ibid. 828.b. Cadence. II. 513. b. Suppl. IL
96. a , b. Flatté. Ibid. III. 47. b. Martellement. Ibid. 838. b.
Port de voix. Ibid. IV . 512. *. Agrément qui. a lieu dans l’accompagnement
du clavecin. Ibid. I. 112. b. Agrément du chant
& dés in ftrumens, nommé chute. Jbid. II. 426. b. Agrément
appellé pincé, propre à certains inftrumens. Ibid. I\fc 375. a.
Efpece d’agrément nommé autrefois cicolomeçro. Ibid. IL
431-*-
A G R ÉM E N T , éonfentement, permiffion, différences entre
ces mots. IV . 32. b.
AGRÉMENT, aménité, (Beaux-arts) qualité d’un objet qui le
rend propre à donner à l’elprit un contentement doux &
tranquille. Il femble que l’agrément réfulte de ces beautés
qui fe confondent entr’e lle s , parce qu’il n’y en a aucune
qui fe diflingue fupérieurement. Suppl. I. 213. a. L ’agrément
plaît principalement aux efprits doux & tranquilles. Nul artifte
n’atteindra à cette qualité, s’il n’a reçu de la nature uneame
douce & complaifaute. Artiftes qui ont fu donner de l’agré-
A G R
ment à leurs ouvrages en poéfie & en éloquence, en peifl*
ture 8c en mufique. Ibid. b.
À G R IA , (Géogr.) v ille de la haute Hongrie. Ses révolutions.
Suppl. î. 213. b.
A G R 1C O L A , (J ea n ) difciple & compatriote de Luther,
VIII. 925.*. ;
A g r ic o l a , (George) obfervations fur fa v ie 8c fes ouvra-
S;. V II . 704. b. X. 435. a. Son fyftême fur la livre romaine.
.6 1 9 . a.
A G R IC U L T U R E , eftime qu’en faifoient les anciens, i .
183. b. Comment elle perdit fes premiers honneurs, & dégénéra.
C e que fait l’empereur de la Chine pour en infpirer le
goût à fes Ibid. 184. b. Protection accordée de tout tems
aux laboureurs. Combien les empereurs, & en particulier
Conftantin, eurent à coeur la tranquillité & la fureté des
laboureurs. Les empereurs n’ont pas moins veillé à ce que
l’agriculteur remplit fon devoir. Ibid. b. Les rois de France ont
également pris à coeur ces grands objets. Citation de quelques
loix données pour la fureté des campagnes.^ Préceptes généraux
fur l’agricultiire. Ibid. 18 3. a. Labours qu’il faut donner aux
terres à bled. Préceptes concernant les terres à menus grains.
Ibid. b. Animaux dont on fe fert pour le labourage. Diverfes
attentions qu’il faut avoir pour tirer du labour le meilleur
avantage, lbid. 186. a. Travaux du laboureur pour chaque
mois de l’année. Ibid. b. Expofition du nouveau, fyftême
d ’agriculture de M. T u l l , traduit par M. Duhamel. Ibid. 187.
b. 188. a , b. Jugement qu’en porte le traduéleur. Ibid. 189. a , b.
Agriculture. Hiftoire abrégée de l’agricidture françoife.
Suppl. I. 2 13. *. Ce t art cultivé par les anciens Gaulois. Ibid.
214. a. Les invafions des peuples du nord fatales à l’agricuk
ture. Ibid. b. Comment les terres furent cultivées du tems
de Charlemagne. L e régime féodal contraire aux progrès de
l ’art. Ibid. 215. a. Premières loix favorable^ aux cultivateurs*
fous Franço is I, C h a r le s IX & Henri IV . Jean Liébault, médecin
dijonnois, regardé comme l’un des principaux auteurs
du rétabliffement de l’agriculture, fous le miniftere de Sully.
Ouvrage qu’il donna, de concert avec Charles-Étienne. Ou:
Vrages d’un payfan de Saintonge, nommé Bernard Paliffy.
Ibid. 216. a. Éloge du livre d’O liv ie r deSe r res , fire de Pra-
d in e s ,fu r l’agriculture, dédié à Henri IV . Protection & en-
couragemens que Louis X IV accorda aux cultivateurs. Ibid,
b. Cependant ce n ’eft que depuis environ quinze années, que
l ’agriculture eft entièrement fortie de la langueur où elle étoit
retenue, & que le public, éclairé par d’excellens ouvrages ,
a paru revenir de fes injuftes préventions contr’elle. Ouvrage
de l ’auteur de cet article, intitulé : Principes phyfiques de
l'agriculture 6* de la végétation. Ibid. 217. a.
Ouvrages fur l ’agriculture compofés chez les autres nations.
I l manque encore à la France un corps complet d’agriculture,
réduit & approprié au climat de ce royaume. L ’auteur a tenté
cette entreprife fous le titre d'Elementa agricultures phyfico-
botaniccE. Ibid. b.
Différentes caufes qui ont décidé la nation françoife en
faveur de l’agriculture. Soins particuliers qu’on a donnés à la
confervation des animaux qui en font la bafe & le foutien.
Expériences faites à Trianon fous les y eu x du Roi. Autres
encouragemens fournis par ce monarque. Charrue du fieur
Delpommiers. Ibid. 218. a. Loix qui ont permis l’exportation
des grains. Réflexions fur cet objet. Avantages qui réfulteroient
de l’exportation des farines. Nouvelle méthode pour la mouture
des grains plus économique que les anciennes. Méthode
qu’obfervoient à cet égard les Romains. Ibid. b. Mefures
prifes par le miniftere pour faire répandre dans les provinces
la nouvelle maniéré de moudre les grains. Expofé d’un ouvrage
intitulé : Traité de la mouture par économie. Ibid. 219. a. Eflais
faits pour conftater’ le rapport entre une certaine quantité de
bled & le poids du pain qui en eft le produit. Ouvrages publiés
fur les bleds ergotès. Ibid. b. Moyens employés pour faire
périr les mulots qui dévorent les femences. Ibid. 220. a. Notice
des ouvrages d’agriculture qui ont contribué à la perfection
de cet art en France. Ibid. b. Sociétés littéraires 8c académies
qui fe font occupées de cet objet. Ibid. 221. a. Sociétés an-
gloifes. Ibid. b. Moyens d’encouragemens pour l’agriculture,
employés en Allemagne, en Suiffe, en Italie, en Suede, en
Danemarck, en Nonvege & en Efpagne. Origine de la p remière
fociété d’agriculture établie en France. Ibid. 222. a.
Autres établiffemens femblables fondés en différentes provinces
du royaume. Il eft à fouhaiter que le patriotifme procure
un jour à ces fociétés, des terres, des fonds, des avances
, pour faire des expériences, & pour mettre ces corps
refpeclables en état de donner des leçons publiques & gratuites
d’agriculture & d’économie. École d’agriculture fondée
dans la terre d’Annel, près Compiegne, fous la direélion de
M. de Sarcy de Sutieres. Ibid. b. Combien il importeroit de
perfectionner en France l’art de cultiver la vigne , & celui
de faire les vins & les eaux-de-vie. Ouvrages publiés*fur cet
objet. Projet d’un ouvrage fous le titre d'Hiftoire naturelle de
la vigne 6» des vins. Moyens employés pour lui donner toute
Ja perfection dont il eft fufceptible. Ibid. 213.4.
A G R
matières premieres pour les autres. V I . 812. a. Éloge de cet
art 8c de ceux qui l’exercent. 328. b. Combien il étoit en honneur
chez les Romains. IX. 147. a. XIII. 96. b. C hez les Carthaginois.
XI. 959. *. L ’agriculture honorée à la Chine: avan-
tages qui en réfultent. XIII. 96. b. Voyez l’article C hine.
Exhortation à l’étude de l’agriculture, & fur-tout aux expériences
qui font le plus for moyen de fe perfectionner dans
cet art. IV . 5^4. a. R ichefles végétales que l ’homme auroit pu
le procurer, s’il eût fu tirer parti de la prodigieufe fécondité
de la nature. Suppl. IV . 968. b. Réflexions fur la nécef-
iitè & la manière de le faire fleurir dans un état. IX. 148. * , b.
M o y en d’en favorifer les diverfes branches, felon le befoin
que le peuple en a. IV . 360. b. D e s inftitutions, fociétés,
écoles dagncultHre. Suppl. IR. H a> b. Projet d’une fo-
c \été d agriculture^Suppl. IV , 969. b. 8cc. État d’imperfeCtion
ou eue a été laiffée. Combien il importe de perfectionner
cet art. VII I. 227. a. r
II. D e lé ta t de l ’agriculture en France. V I . 329. a , b. 8ccé
Etat de l’agriculture dans le comté de N o r fo lk , 8t de la méthode
qu’on y fuit. IV . 364, a , b. & c.
L’agriculture envifagée fous un point de vu e politique..,’
Elle eft la bafe du commerce. IV . 332 .b. & c. Elle eft une
fource d abondance. Suppl. I. 30. b. Effets du luxe par rapport
a 1 agriculture. IX. 764, a. X III. 101. a. L ’établiffement des ma-
nufaClures de luxe , contraire en France à l’agriculture. Ibid, b.
VII . 206. a. Caufes du dépériffement de l’agriculture en Italie
fous les premiers empereurs. IX. 766. b. Les impôrs exceflifs
ruinent 1 agriculture. X III. 96. a , b. D e la néceflïté des richefles
pour la culture des grains. V II . 829. b. En quel cas l’argent
peut être deftruCteur de l’agriculture. VII I. 823. b.
P U L’agriculture ne pëut avoir des fuccès étendus que par
la multiplication des beftiaux. V I . 313. a. T o u t ce qui tend à
décourager fur l’entretien des troupeaux eft nuifible à l’agriculture.
V I I . 366. a. Examen très-détaillé de la queftion, s’il
vaut mieux employer en agriculture les boeufs que les chevaux.
V I . 529. a , b. & c. Q u e lle devroit être la régie de l’agri-
culture .pour augmenter autant qu’il eft poflible les profits fur
les beftiaux.. V I . 333. a , b. & c . Il importe pour l’agriculture
que les bleds fe maintiennent à un prix uniforme. 334. a.
L agriculture profpere plus par le fermier que par le métayer.
S33. *. État de la grande culture des grains. VII. 813. a , b.
État de la petite culture. 814. b. & c . État d’une bonne culture.
816. b. & c . Obfervations fur les avantages de la culture des
grains. 820. a , b. & c . L ’agriculture ne profpere que lorfque
les terres ont été partagées entre un grand nombre de poffef-
feurs. XIII. 97. a. Combien de petites obfervations & qui
paroîtroient minutieufes, peuvent devenir utiles à l’agricul-
ture. I. 3 86. b. Motifs qui auroient dû engager les cultivateurs
philofophes à confulter les fermiers 8c ceux qui font exercés
à la pratique de l’grt. V I . 328. a , b.
V . Differens genres de connoiflancès avec lefquelles l ’agriculture
a,de? relations. Suppl. H. 31. b. La connoiflànce d e là
nature du terrein .& de la température du climat eft le premier
principe de l’agriculture. II. 343. a. Obfervations for la
terre. X V I . 17 7. b. Réflexions fur la meilleure culture des
terres. 66q. b. Ufages des canaux d’arrofement & de defle-
chement. 184. b. 183. a , b. — ï'92, b. ' Sur l’emploi des eaux
dans l’agriculture, voye^ Eaux. Alternative dans la culture des
terres. Voye^ A lterner. Réflexions contre l’ufage de mettre
les'terres en jachere. Suppl. III.. 490. a. Légère efquiffe des
diverfes méthodes de l’agriculture angloife. IV . 360. b. D e
l’engrais des terres. V . 684. b. Train commun pour la culture,
après que les terres ont été fumées. V . 683. é. Sur les opérations
de l’agriculture. Voyeç Labour &• Labourage. Des
mauvaifes herbes des champs & des moyens de les extirper.
VIII. 148. b. Vents nuifiblès dans l’agriculture. X V II . 23. b.
Obfervations fur l’influence des aftres relativement à l’agriculture.
VII I. 736. a. Confidérations for les deux principaux
objets de l’agriculture.qui font la multiplication 8c la perfection
des plantes. II. 343, b. Directions d’agriculture. Voye[ les
articles Bled , Culture, Germination, T erre. Voyez les
planches d ’Agriculture, vol. I- 8c Suppl.
A griculture , (Myth. ) divinités païennes qui proté-
geoient l’agriculture, v l l l . 398. b. X IV . 320. b. Fête que les
Romains avoient inftituée en l’honneur des dieux qui pré-
fidoient à l’agriculture. Suppl. III. 222. a.
A G R IG E N T E , ( Géogr. ) v ille de S ic ile, fondée par les ha*
bitans de G é la , 379 ans avant J. C . Elle s’appelloit en grec
Acragas, à caufe de la bonté de fon terroir. Ses productions
& fa fertilité. Luxe & magnificence des agrigentins. Parole
de Platon fur ces peuples. Magnifique triomphe d’E xenete,
vainqueur dans les jeux olympiques. Suppl. I. 223. b. Noces
fplendides de la fille d’Antifthene. Trait qui montre la mol-
lefle des agrigentins. Bel ufage que Gélias faifoit de fes richef-
fes. Son hoipitalité. Autorité que le philofophe Empedocle
avoit acquife fur le coeur de fes concitoyens. Son mérite