A D V 2 .Ö
tic fa vie. Obfervations fur fon cheval merveilleux. Suppl A .
" A d r e s s e , M m H »‘fi> 'M M
différences entre ces mots. 1. 146. q.
A dresse , moi.) trame A f c # f e i S ' â Æ J
r 12 I iY , , / une reauête, une remontrance. 1. i 4ö - *’•
a k » « * ce mütllJ
n lt i relief d’atlt-efle, en terme de jurifprudenee. X IV .
a b. Adreffe des lettres. X V . 698. i . Tours d adçeffe. X \ I.
46/ iDW A ( Géogr.) ancienne v ille d’Italie. N e r v a t io n s
T n c e s de fon ancienne unendeur. Suppt. *■ ‘■ "v •
A D R I A N A m , ( V H % i H a d r ‘ îf i t f f i f t a v e
A D R IAN O A SIERR A, ( Gcogr. ) montagne de la R nc a ye ,
«ne des plus hautes des Pyrénées. Chemm qu en y a taille
^ A D W A T ^ e ! » ^ ! ' C Giogr.) ou golfe de Vendra
Des principales îles de ce golfe. Des petits golfes parncuiieis
«ni 1 1 trouvent. D e plrffeurs mers ■ ,
des pays voifins, & des principales villes &, fortereffes de ce J
eolfe. Suppl. 1. i j 6 .a ,b . p
A driatique, mtr, origine de c,e nom. X. 3 5- • >
J f f o rm a M. Varron d e W un pont fur cette mer poui
1 oindre l’Italie à la Macédoine. XIII. 71 . b. I H H
1 AD R IAN ISTES ,T m % eccl. ) 1 °. hérétiques qui fortu ent,
félon T h éod o ret, de la fctle de Simon le magicien, a . beéta-
reurs d’Adrien Hamftedius , novateur qui v iv o u dans le
X V I . fiecle. Ses erreurs. I. 146- b- I R
A D R IEN I , pape. C e f t le premier pape qui pietenclit
être au rang des princes , X I. 83 5. t . & qui fe ht baifer les
P A drien IV . La ville de Rome mife à luiterdit par ce
pape. VII I. 816. u. / 1,
A drien VI. Obfervations fur ce pape. X V i l . 76l - a >
5 A drien , (Æ liu s ) f ls adoptif & fuccefleur de Trajan.
Hifioire de cet empereur. Suppl. I. |77- E . .
A drien, empereur. Sa patrie. V w K f f l
les forts de Virgile pour favoir. s il fucçèdera a Trajan. X V .
,7 8 h. Heureux prffage qu’il tira un jpur de la perte de ion
manteau. X II. 3x9. A Les Juifs punis par cet einpereur. X.
406 a , b. Suvpl. I . 885. i . Honneurs qu'il rendit a fon mignon
Antinous. XI. 333. b. Son amitié pour Verus. Dis’, ion il U
fit de l’Aquitaine. Suppl. III. 310, ATemplc qutl fe
à Athènes fous le nom de Jupiter Pnnhcllemen. XI. 817. b.
F eu de joie ordonné par Adrien. Belle nfton de a s range-
r eur. V I . 637. b. Lieu où il finit fes tours & fut enterre. AA.
802. a. Fête qu’Antonin établit fen fon honneur. V l l l . 0.2. u.
Adrien compté parmi les médecins. X. 277- W, Madon cJe
plaifance qu’il avoir fur le chemin de T iv o li a * r |i® jg
X V I I . 273. a. Suppl. II. 214. a. Mole d Adrien. X. 628.
Muraille d’Adrien dans la Grande-Bretagne. X. 866. b. X V I .
823. b. Cirque d’Adrien. Suppl. II p f f j l 476- *
Château qu’il fit pour lui fervir de tombeau. Suppl. 11. 373- b
Tombeau d’Adrien. Voyez l’article a n tiq u e s, vol. 1.. de
planches. Edit perpétuel de cet empereur. V . 139. a. b û elt
vrai qu’il inftitua des jeux circenfes. Suppl. II. 431. u.
A B R O G A T IO N , ( Jurifp.) forte d adoption. 1. 147. b-
Adrogation , affociation d’im patricien dans 1 ordre des
Plébéiens. I. 147- d; , . .
A D V E N T IC E , ( Logiq. ) idées adventices ou qui viennent
des fens , de façon q u e , fans les impreffions faites fur nos
organes, nous ne finirions les avoir dans l’état préfent des
chofes. Suppl. I. 17 7 . b- ‘ ! . •
AnvENTlCE (Jardin.) plantes adventices, qui croiiïent
fans aWir été femées. Raiines adventices. Suppl. 1. 1 «
A D V E R B E , (Gram.) étymol. de ce mot. 1. 147. <1. L a d
v erb e a la valeur d’une prépofition avec fon complément
Il ajoute quelque modification à l’affion que le verbe exprime
& il n’a befoin lui-même d’aucun complément. Ibid. b. lo u
adverbe peut être énoncé par une prépofition & un mot qui
lui eft ajouté comme fon complément. Duierentes lortes
d’adverbes; favo ir, de tems, de lieu. Ibid. 148. d. de quantité
, de qualité , de m aniéré, d’interrogation, d affirmation ,
de négation, Ibid. b. de diminution, de doute, d’exception,
&c. Adverbes qui fervent dans les degrés de comparailon ,
à augmenter la fignification des adjeôifs. Adverbes qui fe
comparent. Adjetïïfs pris adverbialement. Expreffions adverbiales.
Ibid. 149. , . _ .
A D V E R S A T IF , (Gram. ) conjon&ion adverfimve.1. 149. a.
Différence entre ces conjonélions 8c celles qu on nomme
disjoo&ives. Ibid. b.
Advcrfatif, conjonélionadverfative. III. 873. a. X . 759. b.
Propofition adverfative. IV. 85. b.
AD V E R S IT É , ( Morale) raifons qui doivent engager
A D V
l ’homme à fupporter l’adverfité & à en profiter. Suppl. I-
177. b. Voye\ AFFLICTION.
A dversité , Voyc^ Prospérité. C ’eft dans l’adverfite
que la vertu brille de fon plus bel éclat. XVII . 178, a.
A D JU T O R , aéleur défigné par ce nom chez les Romains.
X IV . 884- a.
A D V E U 6* dénombrement, (Jurifp. féod. ) aéle de vaffalité.
Maximes de jurisprudence fur ce fujet. 1. 149. b.
A D U L A , ( Géogr. ) contrée des Alpès entre les grifons ,
les fuiffes & les valefiens. Montagnes qu’elle contient. Suppl. 1.
%77, b.
A D U L T É R A T IO N , ( Jurifp. ) aélion de dépraver & .
altérer quelque chofe qui eft pur. Diverfes peines infligées
à ceux qui adultèrent la monnoie courante. I. 150. a.
A dultération , ( P hamac. ) falfification d’un médicament.
I. 150. a.
A D U L T E R E , (Morale ) ce crime e ft, après l’homicide, le
■ plus puniffable., 1. 150. a. Maux qui réfultent de l’union paliii-
gere de deux personnes qui font fans engagement. Maux
qui retombent fur les enfaijs provenans d’adultere. La ruine
de la fécondité & l’opprobre de la fociété font les fuites
infaillibles des liaifons irrégulières. Q u el eft le célibat que
l’églife honore & autorife. Ibid. b. Première loi contre
l’aaultçre publiée par Augufte. L’adultere confidéré plutôt
comme un crime privé que comme un crime public. La loi
avoit établi en certains cas le mari juge & exécuteur en fa
propre caufe. Dans quels cas la loi Julia décernoit des peines
contre le mari, aufli bien que contre la femme. Une femme
peut pourfuivre fon mari coupable de ce crime. Singulière
punition fous Th éod o fe , d’une femme adultéré. Punition?
: ce crime chez divers peuples. Ibid. a. Q u elles font
aujourd’hui les loix concernant l’adultere. Sentimens de
diverfes feétes chrétiennes fur l’effet de l’adultofe par rapport
au mariage. Loi des Anglois contre une femme qui abandonne
fon mari pour v iv re avec un adultéré. Ibid. b.
Adultéré, réflexions fur ce crime. VII . 188. b. Si la queftion
e l’adultere peut fe réfoudre par la reffemblance ou diffem-
blançe des enfims au pere. Suppl. III. 888. b. 889. a. Il écoit
inconnu à Sparte. IX. 156. a. Eaux de jaloufie employées
chez les Juifs pour connoître fi une femme étoit coupable
d’adultere. V . 203. b. Droit d’un mari chez les premiers
Romains fur fa femme adultéré. X. 102. a. Les femmes
romaines répudiées pour adultéré étoient obligées de prendre
[a toge des hommes. X V I . 369. a. Peine d’être tonfurée ÔC
renfermée , infligée chez les Romains & parmi nous aux
femmes adultérés. 413. b. Punition d’une femme convaincue
d’adultere chez les catholiques. I. 895. a. V I . 477. a. Peines
portées contre le même crime par l’authentique. 476. a. Sen -,
riment de S. Ambroife fur l’adultere. XII. 343. b. Peine
infligée par les loix d’Alfred à celui qui débauchoit la femme
d’un autre. X V II . 387. a. Châtiment nommé paratilme infligé
autrefois aux adultérés qui étoient pauvres. XI. 924. a. Comment
un mari fe venge en Mingrélie de l'infidélité de fa
femme. X. 547. b. Les adujteres condamnés à mort dans l’ile
de Tenedos. X V I . 134. a. Punition de ce crime félon les
loix de Gengis-kari. XV II . 664. a. D e l’adultere commis par
les fiancés. V l. 661. a. D e la femme adultéré dont il eft
parlé dans l’évangile. V I . 478. b. XV II . 758. b.
A dultéré , ( Afronom. ) éclipfes adultérés. I. 131. b.
A D U L T E R IN , (Jurifp.) enfiuis provenus d’un adultéré.
Combien les loix leurfont contraires. I. 15 1.6. Voye^ Batard.
A D V Ô C A T , (Jurifp.). étym. de ce mot. I. 15 1. b. Des
advocats chez les Romains. Il ne leur étoit. pas permis de
vendre leurs fervices. On diftinguoit deux fortes d’advocats,
les plaidans & les jurifconfultes. I. 152. a.
Advocat général. Advocat fifcal des empereurs. Advocar
confiftorial. Ibid. Advocat d’une cité ou d’une ville. Advocat
dont la fonélioii étoit de défendre les droits 8c revenus de
Féglife & des communautés relieieufes. Ibid. b.
Advocat. D u tems de la république romaine, l’emploi des
advocats étoit plus honorable que celui des jurifconfultes. IX.
7 1 . a. Leur profeflion avilie dans Athènes 8c dans Rome.
Suppl. I. 814. b. Habit des advocats romains. X V I . 369. b,
Efpece d’amulette que les advocats portoient autrefois avec
eux. III. 589. b. Tableaux dont ils fe fervoient pour toucher
les juges. X V . 805. b. Les advocats appelles Scholafiici. X IV .
770. a. Advocats du fifcchez les Romains. VII. 600.6.-Advocats
nommés.Moratorcs. IX. 20. a. Loi Cincia fur lés honoraires
des advocats. 654. b. Cara&eres ufités parmi les anciens a d v o
cats. II. 650. a.
College des advocats. M J 632. b. College des advocats au
confeil. Ibid. 8c IV . 20. b. Communauté des advocats & pro->
cureurs du parlement. III. 7x7. b. Commencement de l ’ordre
des advocats au parlement. Ibid. Les advocats ont feuls caractère
pour donner des confultations authentiques. IV . 107. b.
Il n’y avoit autrefois que les anciens advocats qui euffent droit
de donner des connilrations. Caraâere que devroit avoir,
l’advoéat. que l ’on confulte. 108. a. Les advocats dans leurs
confultations fe qualifient de confeil. Différence «ntre a d v o o :
confuU.'-
Æ G Y
confultant& advocat au confeil. IV . x. b. Advocats généraux
du grand c&nfeil du roi. IV . 10; b. Advocats au grand
confeil. IV. n.««s A ncienneté de l’établiffement des avocats
du roi au parlement. V IL 60 x. a , b. A dvocats du r o i, advocats
généraux au parlement de Paris. XII. 19. a , b. — 22. a. L ieu
où les advocats au parlement donnent des confultations. III.
50. b. Advocat général en la chambre des comptes. III. 789. a:
Advocats généraux de la cour des aides. IV . 364. a. Advocats
du châtelet de Paris. III. 243. b. Confeiller-advocat. IV. 25. a.
Advocat-procureur. XIII. 4x8. b. Bâtonnier des advocats. II.
X45. b. Clercs d’advocats. III. 524. a. Conclufions des advocats.
820. b. Doyen des advocats. V. 04. a. Ecritures d’advocats.
370. b. Matricule des advocats. X. 206. a. Défenfe faite aux
advocats par rapport à leurs cliens. III. 53 i.é.-De leur maniéré
de plaider. Suppl. 1. 815. a , b. &c. Fauffe éloquence des anciens
advocats françois. Suppl. II. 686. b.
Advocats 8c advouès dans les caufes de duel. V . 162. a.
A D V O C A T IE , établie en certains lieux d’A llemagne. II.
750. a , b.
A D V O C A T O IR E S , lettres. IX. 4 15.6 .
A D V O U É , (Jurifp.) fignifioit anciennement l’ad vo ca t,
c ’eft-à-dire , le patron ou protecteur d’une églife , ou communauté
religiexife. Etym. du nxot. Quelques rois ont pris
la qualité d’advoués de certaines églifes. Quelles étoient les
fonctions des advoués. Origine de cet office. U y eut quelquefois
auffi des fous-advoués dans chaque monaftere. I. 15 2.
b. L e nom d’advQués donné à des perfonnes exerçant d’autres
fondions. D eux fortes d’advoués eccléfiaftiques exx Angleterre.
La qualité d’advoués donnée à quelques femmes. L e titre
d’advoué en ch e f donné au roi de France 8c au roi d’A n gleterre.
Advoués de contrées Sc de pxovinces. Godcfroi de
Bouillon après la prife de Jévufalem furies Sarrafins fut élu
advoué du faint Sépulcre. Ibid. 153. a. Voyc^ Défenseur ,
Patron.
Advoué de l’églife, qualité que prend l’empereur. IV.741 . a.
A D V O U E R 1E , ( Jurifpr. j droit de préfeater à un bénéfic
e vacant. Pourquoi on a donné au patronage le- nom
d’advouerie. L’advouerie diftinguée en perfonnelle & réelle.
I. 153. a. Comment on acquiert un patronage. Patronage
laïque 8c eccléfiaflique. En quel cas le patronage î-evient au
tol En quél cas il eft dit dormir. — Voye^ Patronage.
A D U S T E , ( Médcc. ) humeur, qui pour avoir été long-
tcnxs échauffée, eft devenue comme brûlée. On met la bile
au rang des humeurs adultes. Sang adulte ou enflammé.
Remede pour le ‘corriger. I. 153. b.
A D Y T U M , (Hift. une.) lanétuaire. Etym. du mot. fan-
étuaire des anciens Juifs. I. 153. b.
Æ B
Æ , ( Gramm. ) cette diphtongue n’a dans la prononciation
ique le l'on de IV fimple. I. 153. b. Nos anciens auteurs ont
é crit par a le foxx de IVi prononcé comme un e ouvert ; ce
qui elt plus raifonnable que la pratique de ceux qui écrivent
P ar a i, le fon de IV ouvert qu’on fait entendre en p rononçant,
françois , j ’ayois, 8cc. En latin, a 8 c ai étoient de véritables
diphtongues , où Va confer voit toujours un fon plein 8c
.entier. I. 154. a.
Æ B U T IA , loi. IX. 649. 61
Æ D E S , ( Hiß. anc. ) fignificarions de ce mot chez les
Romains. I. 154. a.
Ædes fiera 3 ecdiculum. Signification de ces mots. X V L
89. b.
Æ G IBO L IUM , (Hifl\ des relig.) l’ægibolium, le taurobo-
Jium 8c le criobolium étoient des facrifices expiatoires ,
•dont U n’ell pas fait mention avant le' fécond fiecle» Suppl. L
i l 77. b. Cérémonies pratiquées dans leur célébration. A quelle
occaiion on les célébroit. Qualités qu’on exigeoit de cexix
qui fe faifoient initier aux myfteres. Les facrifices & les
auftérités du noviciat fe renouvelloient tous les vingt ans.
Pourquoi les Céfars établirent des pontifes fubalternes, en
retenant pour eux-mêmes la dignité pontificale. Premier
einpereur chrétien qui ceffa d’en remplir les fondions. Suppl.
1, 178. a.
Æ G ILO PS , ( Chir. ) ulcéré au grand angle de l’oeil. Caufe
de cette maladie. Il ne faut point la confondre avec la fiftule
lacrymale.* I. .154.
Ægilops , différence entre l’anchylops 8c l’ægilops. L
440. b.
ÆGIMIUS , médecin. X. 277. 6,
Æ G IN E T E , auteur en chirurgie. III. 352. a.
Æ G O L E TH R O N , (Bot. a n c .) plante décrite par Plint.
Elle cjroît dans la Colchide. L e mièl que les abeilles ’en tirent
rend furieux ou ivres ceux qui en mangent. I. 154. a. Funeftes
effets de ce miel fur les foldats qui retournoient d’A fic en
Grec e fous la conduite de Xéixophon. Garaéleres de la plante
nommée oegolethron. Ibid. b.
Æ G Y P T IA C , ( Mat, méd. ) inventeur de cette compofi-
Tome /.
A F F 29
tien. Formule 8c ufage de cette forte de détcrûf. Suppl. I.
178. d. 1
Æ L IA fufia, loi. IX. 649. b,
Æ lia fentia ou fextia , loi. IX. 649. 6.
Æ L IÉN , droit. V . 1 i j . a. 138. a.
Æ l ien , ( Claude) obfervations fur cet auteur 8c fes ouvrages.
XIII. 258. a.
Æ H U S , Promonts, deux médecins de ce nom. X. 277. 6.
ÆMILIA f loi. IX. 656. a. V o ie æmilienne. XVII . 419. a.
ÆMILIUS Macer, médecin. X. 277. b.
Æ R A R IUM , (Hift. anc.) lieu du tréfor public à Athènes.
XI. 508. b. Difféi-ence qu’on établiffoit à Rome entre le fife
8c le tréfor public. V I . 819. b. Tréfor renfermé à Rome
dans le temple d’Ops. XI. 516. a. Pourquoi le temple de
Saturne fut appcllé Ærarium. V. 899. b. Préfet du tréfor
public. XIII. 281. 6. Gardiens du tréfor public. 701. 6. Quatuor
vin ab oerario. 696. a. Tréfor de l’état fous les empereurs
romains. V , 899. 6. Préfets du tréfor. IV . 153. æ.
Æ R IA , ( Géogr. ) ville cle Gaule. Suppl, IV . 11. b.
A ÉRIEN. Selon les Eflèniens, l’ame eft une fubftance
aérienne. Corps aériens des conges. Démons aériens. Habitans
aeriens. 1. 155. a.
V A érienne , perfpetfive, ( àptiq. ) defeription de cette forte
d’illufion d’optique. Suppl. I. 178. a.
Aérienne,pçrtecSXxvQ aérienne. XII. 436. a.Télefeope aérien
X V I . 40. 6.
A érien s , (Hift. eccl. ) feétaires du quatrième fiecle. Leurs
dogmes. I. 155. a.
A E R O M A N T IE , ( Divin. Hift. anc. ) divination par le
moyen de l’air. Ses différentes efpeces. I. 155. b.
A E R S C H O T , ( Géogr. ) v ille forte du Brabant. Ses révolutions.
Suppl. I. 178. b.
Æ R U M N A , origine de ce mot. X V I . 701. b.
Æ S , Æfculanus , Æres , ( My tl. ) divinité qui préfidoit à
la fabrication des monnoies de cuivre. I. 155. 6.
ÆS ufturn, ou cuivre brûlé, (Chym. Médec.) maniéré de
faire la préparation qui porte ce nom. Ufage de ce remede.
I. 155. 6. Voye^ IV . 545. 6.
Æ S CH R IO N , médecin. X. 278. a.
Æ S CU L AN U S , ( Myth. ) Voye^ ÉScü lanu s ;
Æ S O N , rajeuniffement d’Æfon par Médée. XIII. 762.
à , b.
Æ SO PU S , richcffc qu’acquit cet aéleur. X V . 447. a.
Æ TH IOP S martial, (Chym.) fa préparation. X. 152. b.
Æthiops minéral. 374. b.
A E T IEN S , ( Hift. eccl.) hérétiques du quatrième fiecle.
Hiftoire d’Aetius leur chef. Leurs erreurs. Ils furent encore
nommés Eunoméens , Hétéroufiens , Anoméens, Exouconliens ,
Troglytes ou Troglodytes , Exocionites , 6* purs Ariens. Voyeç
ces mots fous leur? titres. I. 156. a.
Æ T IO N , peintre grec. XII. 254. 6.
A E T IU S , ( Hift. de Ternp. d'Orienta ) gouverneur des
Gaule s , l’un dès plus grands capitaines de fon tems. Fléau
d’Attila. Son o rigine.Principaux événeinens de fa vie. Suppl.ï.
iy8. b. Voyc% A ttila.
Æ T IU S , trois médecins de ce nom. X. 278. a. Doéirine
de l’un d’eux fur la Alignée. X IV . 502. 6. Amidaù Æ tiï
opéra. III. 352. à.
A F
A F F A B IL IT É , civilité, politejfe ; différences 8c rapports
entre ces expreflions. III. 497. a. Réflexions fur l’affabilité.
X V I I . 752. b.
A F FAB LE j civil, p o li, honnête, gracieux ^ différences
entre ces mots. XII. 904. a.
A ffable, (Gramm.) relation entre les qualités affable,
honnête j c iv i l,p o li 8c gracieux. Suppl. I. 179. b.
A F FAIR E , ( Droit nat. ) obligation que nous conrraélons
envers un homme qui gere utilement nos affaires à notre
infu. & fans ordre de notre part. Cette obligation, appellée
quafi-côntrat par les jurifconfultes Romains. Confîdérarions
lur lefquelles elle eft fondée. Suppl. I. 179. b.
AF FAISSEM ENT ( Médcc. ) affai/Tenlent de vaiffeaux.
Boerhaave diftingue trois branches de cette maladie. I. 156. b.
A F F A L E R , ( Marine) pefer ou faire effort fur une chofe
pour vaincre le frottement qui la retient. O11 eft prefque
toujours obligé d’affalûr les cargue-fonds des v o ile s , lorf-
qu’elles font cajguées, 8c qu’on veut les orienter. Manière
de les affaler. C e qu’on entend par un matelot qui s’affale
avec une manoeuvre, ou le long d’une manoeuvre; Suppl, I.
l8t>. a.
A ffaler, ( Y ) (M a r in e ) s’approcher trop d’une côte
dont on court rifque de ne pouvoir enfiute s’éloigner. Précautions
à prendre pour ne point s’affaler. Moyens à employer
lorfque la force du v en t ou des courans ont fait affaler
un vaiffeau .malgré lui. Suppl. I. 180. a.
A F F E C T A T IO N , ( Morale) définition de cette maniéré
H