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troupe , lorfqu’eUe eft en marche. Commentées Allemands
appellent les demi-tours à droite dans la cavalerie. C e que
doit faire l’efcadron , afin de pouvoir faire demi-tour «à
droite. IV . 813. b. Sur les moyens de faire exécuter à la cavalerie
les mêmes mouvcmens qu’à l'infanterie , voyeç les
arrangemens que propofe M. de Puyfcgur. Maniéré d’exé-
Cuter le wider-ywrouk , qui pàroîc fort firiiple ÖC fort aifée.
Ibid. 814. *.
DÉMISSION d'un bénéfice, ( Jurifpr. ) on en difhngue
deux 1'orces ; la démiffion pure 8c fuuph: , 8c celle qui fe fait
en favcur d’un autre. En quoi confifte la première. Quelle
eft la Cecoude, qu’on appelle auffi réfîgna,don en faveur. Quand
l'ufage s’en eft introduit. La première 1è fait entre les mains
•dinaire. IV . 814. <j. En quels ca;> elle fe fait entre les
mains du pape. Q uelle eft la date des provifions qu’il donne en
ce cas. Aéte' que donne l’ordinairè quand la démiffion fe fait
entre fes mains. Ibid. b.
DénùJJion de biens. Dans quelle vu e elle fe fait. Comme
cette démillîon n’eft qu’une fucceffion anticipée , elle eft
fujette aux mêmes réglés que les fucceffions. Quelle eft la
plus grande différence entre la fucceffion & la démiffion de
biens. Quelles font les provinces de France où ces ailes font
le plus fréquens. IV . 8 14. b. D e la part de qui ces clémiffions
fe pratiquent. On ne peut la regarder comme une véritable
donation entre vifs. Elle n’eft pas une .véritable donation à
caufe de moVt. O n doit la mettre dans la claffe dès contrats
innommés do ut des. Conditions nèceffaircs pour la validité
d’une démiflion. Comment doit fe faire la démiffion quand
le démettant eft taillable , &. veut fe faire décharger de la
taille qui concerne fes biens. Ibid. 813. a. La démiffion proprement
dite eft irrévocable jufqu’à la mort. L’Ecriture femble
ne pas l ’approuver. Démiifions de nature irrévocable. D é -
miflion révocable de plein droit. Effet rétroaélif de la révocation
de la démiffion. Démiffion devenue caduque à l’égard
du démettant. Les démiffionnaires peuvent renoncer à la
fucceffion. Principes fuivis en Bretagne fur cette matière.
Ouvrages à confulter. Ibid. h.
Démiffion de fo i. IV . 816. a. .
Démiffion d’un office , charge ou coinmiffion. Un officier
royal qui donne fa démiffion entre les mains de M. le chancelier
, ne peut quitter fes fondions que l'a démiffion ne foit
acceptée ; ce qui eft conforme aux ufages des Romains.
O n 11e fait point aujourd’hui de démiffion pure Sc fimple.
A qui donne fa démiffion un officier de feigneur. IV .
S 16. 4.
Démiffion de poffeffion 8c de propriété. IV . 816. a.
D EM O C E D E , médecin. X. 282. b.
D ÉM O C R A T IE , ( Droit polit. ) U paroît qu’elle eft
une des formes le# plus anciennes de gouvernement. IV.
£ 16. a. C e n’eft pas fans raifon que les démocraties fe vantent
d’ètr-è les nourrices des grands hommes. Le peuple dans
la démocratie e ft , à certains égards, fouverain ; & à d’autres,
il eft fujet. Quelles font les chofes abfolument néceffaires
pour la conftitution de ce genre de gouvernement: i° . un
lieu & certains tems réglés pour délibérer en commun ; 20.
la pluralité des fuffrages doit palfer pour la volonté de tous ;
30. des magillrats chargés de convoquer l’affemblée du peuple
dans les cas extraordinaires , 8c de faire exécuter les
décrets dü fouverain ; 40. Le peuple doit être divifé en de
certaines claflès. Ibid. b. Divilion du peuple d’Athenes par
Solon. Les loix qui établiffent le droit de fuffrage , font fondamentales
dans ce gouvernement. La maniéré (de donner
fon fuffrage eft une autre loi fondamentale. Suffrages qui
tiennent en même tems du fort 8c du choix. Exemple tiré
de ce que fit Solon. La lo i qui fixe la maniéré de donner fon
fuffrage , eft une troifieme loi fondamentale. D e la queftion
fi les fuffrages doivent être publics ou fecrets. Comment
ils fe donnent à Genè ve dans Fèleélion des premiers magi-
ftrats. C ’eft une quatrième loi fondamentale que le peuple
nomme fes mimftres. Le peuple .eft très-propre à faire ce
choix. Ibid. 817. a. C ’eft enfin une loi fondamentale que le
peuple foit légiflareur. Il eft fouvent à propos d’effayer une
loi avant de l’établir. Exemples tirés d’Athènes & de Rome.
D u reffon , ou principe.propre à la démocratie. C e principe ne
peut être que la vertu. En quoi elle confifte. D e l’amour de
l’égalité & de la frugalité. Les G recs firent, pour infpirer ces
vertus , des inftitutions fingulieres. L’éducation particulière
doit être extrêmement attendve à les infpirer. Ibid. b. Comment
le principe de la démocratie fe corrompt. Exemple de
cette corruption dans Athènes. D e l’efbrit d’égalité extrême.
I l eft bien rare que la démocratie puifle long-tems fe préfer-
v e r , ou de l’efprit d’inégalité qui mene à l’ariftocratie , ou de
,1’efprit d’égalité extrême qui conduit à l’ochlocratie. Ouvrages
à confulter. Ibid. 8 18. a.
Démocratie. Son origine. VII . 789. a. République démocratique.
X IV . 150. b. D e la vertu dans cette république. XIII.
87. b. X V I I . 179. a. D e l’ègalitê dans la démocratie. III.
489. b. D e s grands dans cette efpece de gouvernement. V II .
840. b. Les démocraties n’ont pas befoin de nobleffe, 8c n’en
font que plus heureufes. XI. 166. /».’Dans la démocratie, il
faut moins d’art 8c de foin que dans l’ariftocratie ou la monarchie.
IX. 358. b. Des maniérés fous ce gouvernement. X.
35. b. 36. a. Repréfentans dans les démocraties. X IV . 143^
a. La démocratie regardée comme un gouvernement pernicieux
à la fociété. XL. 381. a. La démocratie favorable à la
population. XIII. 94. a. Des féditions dans les gouvernemens
populaires. X IV . §86. b. Abus du gouvernement démocratique
, appelleochlocratic. XI. 33■ //b. Voye^Populaire, état.
D ÉM O C R IT E d’Àbderc. Sa v ie , fa philofophie. V . 431. b.
Maladie que les Abdéritains lui attribuoient. Suppl. I. 20. a.
Sa doéirine fur les atomes. I. 823. a. Athéifine de ce philofo-
phe. VIII. 391. b. Dèmocrite confidéré comme médecin. X.
283. a. Mépris qu’il fit des richeffes. X IV . 273. a. 278. b.Son
opinion fur les cometes. III. 673. b. Sa phyfiologie. Suppl. IV .
345. /j.
D èmocrite , fculpteur. X IV . 820. a.
D EM O G O R G O N , ( Myth. ) vieillard qui habitoit au feiri
de la terre. Comment il forma l’univers, IV . 8 18. a.
D EMOISELLE de Numidie , ( Omit h .) divers noms qu’on
a donnés à cet oifeau. On prétend qu’il imite les geftes qu'il
voit faire aux hommes, ce qui a donné lieu à l’invention du
moyen par lequel ou dit qu’on le prend. M. Perrault a donné
la defeription de fix demoifelles de Numidie. Sauts fort fin-
guliers qu’elles faifoient. Extrait de la defeription de M. Perrault.
I v . 818. b. Voye{ vol. V I . des planch. Régné animal,
P>- 4!- ..
D emoiselle, ( Ichtyolog. ) petit poiffon de mer. Sa défi*
cription. IV . 818. b. D ifférence entre les mâles 8c les femelles
de cette efpece. L ieux où on les trouve. Q u alité de leur chair.
Ibid. 8 19. a. VoyeiPEZGALLO.
D emoiselle, ( Infeélol. ) defeription de ces mouches. En
quels endroits elles fe trouvent plus communément. D e quoi
elles vivent. On les divife en terreftres & en aquatiques. Les
premières ne font connues que des naturaliftes. Trois genres
différens de demoifelles aquatiques. IV . 8 19. a. Suite des diffé-
rens états par lefquels paffent ces infeéles aquatiques. Ibid. b.
Tems 8c maniéré dont ces demoifelles s’accouplent. Ibid. 820.
a. Dans la plupart des efpeces, les femelles ont des couleurs
différentes de celles des mâles. T ems & maniéré de la
ponte. Ibid. b.
Demoifelle. Celle du fourmilion. Comment elle fort de la
coque. E tat de la demoifelle en fortant du fourreau. Sa deferip-
tion. VU . 232.
Demoiselle , {Hifl. mod. ) voyez D amoiselle.
Demoiselle , ( Epinglier ) IV . 820. b.
D emoiselles , ( Luthe'rie) defeription de cette partie de
l’orgue. IV . 820. b.
Demoiselle, (à la Monnaie) IV . 820. b.
D ÉM O L IR , Démanteler » Raser , ( Synon. ) IV .
80«. b.
D ÉM O N , ( Hifl. anc. mod. & Bell. lett. ) d’où 8c comment
s’eft répandue l ’opinion des démons. C e que Platon entendoit
par démons. IV.8 20.b. Les difciples de Platon, pour rendre raifon
de l’origine du mal , imaginèrent les mauvais démons. Cette
nouvelle opinion n’étoit pas moins révoltante que la néceffité
du mal dans l’ordre des ehofes. L’opinion des bons 8c des
mauvais génies pafia f iie z 1 les Ifraélites par leur commerce
avec les Chaldéens. On auteur anglois a prétendu prouver
que l’origine des démons étoit une invention d’après l’idée du
meffie. Comment les Phéniciens les appelloient. Premier démon
des Egyptiens. Ibid. 821. a.
Démon. Sentimens des peres fur la nature 8c le pouvoir du
démon. XIII. 169. a , b. L e nom de ferpent donné au démon
dans. l’Ecriture. X V . 109. b. Sentimens des Juifs fur les démons.
IX. 47. d. 48. a. Examen du fentiment de Spinofa contre
leur exiftence. X V . 466. b. Doélrine des ftoïciens fiir les
démons. 528. a. 530. a. Les démons admis par les philofophes
aïens. I. 458. b. Réflexions fur leur exiftence admife par
latori 8c Pythagore. 493. a. Idée que les anciens peuples du
Nords’étpient faite du démon.IX. 680. a. Démons gardiens des
tréfors. VIII. 660. a. Démons incubes , 659. b. ocfuccubes.
X V . 607. b. Démons faunes ou fatyres. V I . 43 ç. b. Démons
gnomes, voye%_ ce mot. Defeription de la chute des mauvais
anges par Milton. X . 854. a. Connoiflances attribuées aux
démons. I. 493. b. Celles que quelques auteurs prétendent
que les démons ont communiquées aux hommes. III. 423. b.
Prétendu commerce des démons avec les femmes. III. 423.
b. V . ppaj b. V I . 436. a. VIII. 659. 'b. 660. a. XII. 348. a-
L’opération du démon comptée, par quelques mauvais philofophes
, parmi les caufes de la mélancolie. X . 309. a. Si les
démons peuvent opérer des miraples. 561. b. Obfeffion du
démon. XI. 325. b.Pofteffiohs du démon : diverfes obferva-
tions pour 8c contre. XIII. 162. a. 167. a. — 169. b. Opérations
des démons, félon Pompônace. I. 663. b. Conjuration pour
expulfer les démons. III. 885. a. D e l’exorcifine des démons.
V I . 270. b. — 272. b. Sur les démons, voyez Genies.
D émon de Socrate, ( Hifl. de la Phi lof. ) en quelle circon-
ftance C icéron raconte que Socrate fut fauve par fon»déinon.
Recherches
D EM
Recherches dès 'auteurs fui- ce dèihon. C e qug les plus fènfôs
C” S Ï Ï e § « « £ b ® s quel fais on doit entendre ce qui en
H th e n e s 4, peintre célèbre. XII. 158. M H
DEMONAX,philoTophe cynique: IV . 599.4.
D ÉM O N IA Q U E , forte de lycanthrope. IX. 772. a. bnr
les démoniaques, vov^auffi Pofidés Sc Pofifioit
D FM O N OM AN ÏE , ( Médec.) une variété de la mélancolie
En quoi confifte cette maladie. Mélancolie fanatique,
caufée par la morfure d’un chat. Huile qui , appliquée aux
tempes , caufe , dit-on , les vifions des forciers. Semence qui
rend fou. IV . 821. b. . . . <• «„ miinn-
Démonomanie. Caufe prochaine de cette efpece de melan
“ d É M Ô & R A T E U R , en anatomie. Ses fonffibns. IV .
ro4d. „ . Etabliffement fait en . 7 î 4 de cinq dèmonftratenrs. III.
3 ’ d é m o n s t r a t i f , {Beii, H r a l H H H B i
la rhétorique. IV . 8 « . b. En quoi il confifte. D ou I on tue la (
matière d is louanges & la matière dcsmv e îh ve s . Les cat lunaires
& les philippiques font de ce dernier genre. Pour louer
m. blâmer j/ftement quelqu'un , | faut H prendre en lm-
mème . & le dépouiller de fout ce qui “ eft pas lui. Le
genre démonftratif comporte toutes les nchefles & la niagm-
Sceuce de l'art oratoire. C e que dit à cct égard Ctcéron. Ibid,
822. a.
• Dérnonflraüf, genre, V I I . 595. b. X L 5 5°- * . . . _
Démonstratif, { Jurifpr. ) ce qui fert a défigner une
chofe. Comment Bartole définit la démonftration. C e qui
eft Amplement démonftratif , eft fort différent de ce
qui eft limitatif. Principes en fait de démonftration & de
claufes démonftratives. IV . 822. Autorités à confulter.
Ibid. b.‘y : n ,
Démonftratifs, termes , X V I . 158. b. . . . »
D ÉM O N S T R A T IV E , connoijjance. Pourquoi elle n a pas
toujours la même vivacité d’évidence que la connoiffance intuitive.
III. 890. b. 891. b. En quoi confifte cette connoiftance.
8ox./x. Que)s efprits font capables de l’acquérir. Ibid.
D ÉM O N S T R A T IO N , témoignage d ’amitié. L e premier de
ces mots dit moins que le fécond. Différences entre 1 un &
l ’autre. IV . 822. b. I . ■ ■ WÊÊ
Démonstration , {Philofoph.) la méthode de démonter
des mathématiciens eft la même que celle des logiciens. C e
qu’il faut pour qu’une démonftration foit parfaite. U n pour-
roit prouver qu’on ne fauroit faire une bonne démonftration
fans fu iv re exaftement les réglés du fyllogifme. Elémens de
géométrie 8c d’arithmétique, réduits à la forme lyllogiftique.
IV . 822. b. Auteurs illuftres qui ont reconnu qu’une démonftration
mathématique pour être bonne , doit être conforme
aux réglés du fyllogifme ; cependant il n’en faut pas conclure
que la forme fyllogiftique doive être toujours employée dans
la géométrie. Explication des trois parties dont un problème
eft compofé. Les philofophes de l’école d ivifent les démonftra-
tions en deux e fpeces; les unes qu’ils appellent propter quod t
8c les autres quia. Ibid. 823. a. - n i
Dérnonflration affirmative. Démonjlration apagogique. D?-
monflration géométrique. Dérnonflration méchanique. Démon-
ftrationàpriori.lVI823.Æ. . . ,
Dérnonflration à pofieriori. Exemples de démonltrations de
l’exiftence de Dieu à priori 8c à pofieriori. Quelques philosophes
rejettent les démonftrations à priori. Quelles font les
preuves de cette v érité les plus fenfibles au peuple, 8c celles
qui convainquent plus le philofophe. Il n’y a que les mathématiques
dont l’objet foit abfolument fufceptible de démonftration.
Ufage qu’on a fait mal-à-propos de la forme géométrique
dans des ouvrages de métaphyfique. IV . 823 .'b.
Dérnonflration. Elle n’eft exaéte qu’autant que la raifon
apperçoit par intuition fa convenance de chacune des idées
qui lient enfemble les deux extrêmes. III. 892. b. 893. a. Les
idées qui regardent les nombres 8c l’étendue , ne font pas
les feules fulceptibles de démonftration. 894. b. Les vérités
morales le font auffi. 895.a. D émonftration dont les fciences
font fufceptibles. X V I I . 70. a , b. Principes qui p euvent fervir
à démontrer les propofitions qui ont rapport à la géométrie
élémentaire. VII. 634. a , b. D e la démonftration des propofitions
converfes. VII I. 831. b. Sur les démonftrations mathéma*
tiques, voye^ M éthode. .
D émonstration , dans un aéte, ( Jurifpr. ) III. 836.- A.
837. a.
DÉMONSTRATION , ( Mcdec. ) quelques médecins prétendent
que les principes de leur fcience font fufceptibles de
démonftration. IV . 823. b. Comment M. Bouillet entreprend
de le prouver. Ibid. 824. a.
D ÉM O NTRER , P r o u v er , {Gram.Syn. Logiq.) différences
dans la flgnification 8c l’u(age de ces mots. Suppl. IL
691. b.
DÉMOSTHENES. Obfervations fur la vie , les talens &
les ouvrages de cet orateur.-XI. 561. a , b. 362: a. A quelle
Tome I.
D E N 485
occafion il fe voua à l’éloquence. 660. b. Écçons.qu il reçut
d’Euclide de Mégare. X. 304. a. Qualités qui lin donnaient
le talent de perfuader , indépendamment de fon éloquence.
XI. 363. b. La réunion de la jpfteffe 8c de l’harmonie ppro.it.
avoir été fon talent fupérieur. V . 52-5. b. Trait fiiblùnc dans,
un ferment qu’il prononça. X V . 566. é- Affaixes d’Efchine 8c;
de Démofthencs. XI. , 362, a. yJ . Marque de .çoiffidération
qu’on lui accorda dans le prytanée. X l l l , 3.36. é. V énalité de
•cet orateur. Suppl. I. 8.14. ,é. Lieu où il mourut. X V .. 170. a.
Eloge des philip])iques de DéjUofthenes. X II. ygb. a. Pourquoi
Cicéron l’emportoit fur cet.ç çatey r dans lc geppe délicat.8c
tendre. XII. 147. a. Lanterne de Démofthencs, {Antupfit. )
Suppl. I. 671. a.
D EMO UR S , ( Pierre ) anatomifte. Suppl. II. 410. a.
D EN AIN , {'Géogr.) bourg du Hainaut fia n ça s . Viéloire
qu’y remporta le maréchal de V ilk rs .en 17 12 . .Abbaye de
chanoineffes dans ce lieu. Suppl. 11. 692. a.
D É N A T E S , ( Myth. ) dieux pénates. IV . 8 24. ^. Defeription
des pénates qu’Epée emporta de T ro y e. Temple des
pénates à Rome. Pourquoi on les a appelles dînâtes , félon
► Denys d’Halicarnaffe. O n examine s’il eft vrai rque leç anciens
n’avoient point de P , comme le prétend .cet hiftorien.
Ibid. b. . .
D E N CH É , ( Blafofl ) voye^ vol. II. des planches, Blafon j
planch. 4 & 18. Croix denchée , voye^ vol. IL des planch.
Blafon , p l . 4. Suppl. U. 602. a. ,
D EN D E RM O N D E , ( Géogr. ) v ille de Flandre. Obfer-
vatioris hiftoriques. Commerce de ce lieu. Tableaux remarquables
dans fon églife pkroiffiale de Notre-Dame. Suppl. II.
692. a. .
D E N D R IT E , efpece d’agathe. I. 168. a. Obfervation de
M. de la Condamine fur un changement arrivé à deux. den-
drites naturelles. 169. a. Dendrites repréfentees v ol. V I . des
planch. article Coquillesfojfiles, pl. 11 8c 12.
D EN D R OM E TR E , ( Géorn. pratiq. Mècharttq. ) moyen
facile 8c fimple que préfente cette machine pour mefurer la
hauteur, le diamètre d’un arbre 8c de fes branches, 8cfavoir
la quantité de bois qu’il contient. Diverfes, opérations du
génie 8c de l’arpentage que cet inftrument facilite. Suppl. II.
69 2. a. D efeription de cet mftrument. IbidA. Voye^ planch. 1.
de géométrie. Suppl. ~ v . , : . -.TD
EN D R O PH O R IE , {H ifl. anc. My th.) étymologie du
mot. En quels facrifices cette cérémonie fe faifoit. En quoi
confiftoit celle qui avoit lieu dans les facrifices de la mere des
dieux. Q u i étoient les dendrophores. College des dendrophores
qui fuivoient les armées. IV . 824. b . ............. .
DENEB , terme arabe qui tigmtie queue , 8c dont les ai-
tronomes fe fervent dans la dénomination de diverfes efpeces
d’étoiles fixes. C e mot n’eft plus en ufage , quoiquon en ait
confervé quelques autres de cette nation dans laltronomie.
IVD É f feG À T IO N . < lurifc. ) IV . 8î j . a. V o y e z Infcripiion
de faux.. „ I
D ÉN I de garantie. ( Jurifp. ) IV . 825. a.
Déni de juflicè ou de droit. Vaffaux abfous de la roi o£
obèiffance qu’ils dévoient à leurs feigneurs, pour raifon
d’un déni de juftice. Le déni de juftice donne lieu contre le
juge à la prife à partie. Sommations de juger faites préalablement.
IV . 825. a. Il y a des cas où le juge peut refufer
de juger. O ù doit être pourfuivi l’appel de déni de juftice
des officialités. Ouvrages à confulter. Ib f c b. .
Déni de renvoi. Les appels comme de dem de renvo i font
portés au parlement, 6*c. IV . 823. b. . „ , ttt
DENLAUD , ( Robert) hiftoriographe du roi. Suppl. 1U,
D ÉN IC A T IO N . Lettres de IX . 421. b.
DEN IER , ( Hifl. anc.) fou romain. Sa valeur. A s romani
appellé mtfüibra oupondo. Première monnoie d’argent qui parut
à Rome. Divifions du denier. L e denier fut appelle confulaire,
fa valeur. Denier impérial, fa valeur. L e d enier fuffifoit pour
entretenir par jour une perfonne. Empreinte du demer con-
■ H l Denier d’argent qn'on eut
miere race. Le denier n’eft maintenant d aucun ufage dans le
commerce comme monnoie. IV . 825. b.
Denier romain ■ ; fon rapport avec la dragme des Grecs V
T03. «t. Premiers deniers^d’argent employés a Rome X. 630.
a XIII. 642. a. Evaluation des deniers romains. X. 651. a.
D enier
denier. II. 8 ,1 . b. Chambre aux deniers. H I. s : . . . Lonl.gna
don de deniers. IV . ■ f . I H l I B l i i W l W B i B S
mer de garde. 4 9 1 .-i. Qnart-demer. X l l l . 6 7 1 . b. licrs-, Q H H de d ro it, pour leur penny. IV . 826. a.
Denier, ancienne monnoie fabriquée d or , d argent ou de
c u iv r e , félon les tems. C e qu’il étoit du tems de C.harle-
maene. Valeur numéraire de ce demer. IV . 826- a.
Denier, douzième partie d’un fol. Parties du
ne les diftingue plus que par rapport aux cenfives. IV . 826.
O b b g g g