136 BAC
mies. X IV . 801..4. X V I . 3 10 .a. Voye^C h an so n . Troupe
bacchique. II. 5. b. T ityres de la troupe bacchique. XVI.
2 B A C CH U S , {Myth. ) celui d’Egypte 8c celui de Thebes.
Son v o ya ge aux Indes. Figure qiflon lui donne. On lui
immoloit le bouc & la pie;.la panthère lui étoit confacrée.
Bacchus, fa fécondé naiffance. XI. 786. a. Son éducation
dans l’ifle de Naxe. XI. 64. a. Ses triomphes. X V I .
6 c 2. a. Son char tiré par des tigres X V I. 3 28. a .T h y r te
de ce dieu. 312. a. Repréfentations de Bacchus. X V . 730.
a X V I 67 b. Pourquoi le lierre lui appartenoit. IA. 404.
a Pourquoi la panthère lui fut particuliérement confacrée.
XI. 826^ b. Le van confacré à Bacchus. X V I. 820. a. Coupe
dont il fe fervoît pour boire. X V II . 760. b. Monftre qu il tua
en Lybie. X V II . 686. . I T
Surnoms de Bacchus. L e beau Iao. I. 23. M Anthnis. I.
446. b. Baffareus. II. 1x9. «• Suppl. I. 824. b. Biformius.
II. 246. a. 246. a. Brifeus. 4 a > M Bromius. 434. a.
Evien Suppl. IL 907. b. Iacchus. VIII. 428. b. Sabafien.
X IV . 434. b. Tauricorne. X V . 941. b. Tauriphage. 945- *•
Thyonéen. X V I . 31 1. a - Liber. IX. 460. 4 , |
Culte de Bacchus. Fêtes en fon honneur nommées apa-
turies. I. 122. a , b. Afcolies. 73 1 . b. Bacchanales. II. 5.b.
Brumales. 430. a. Lampterics. V I . 367: a.IX. 236. a. Lenées.
IX . 284. b. Lernées. 397. a , b. Libérales! 460. b. Scieries.
Trieteries. X V I . 639. a. Tyrbées. 786. b.
X V II . 306. b. Orgies. XI. 634. a. Fêtes en
dans Lebedus. IX. 331. a. Bacchus adoré dans
e. XI. 63. a. Ses fêtes dans les illes de Chio
XIV
fon hc
l’ifle
& de Tenedos. 469. b. Bacchus honoré à Sardes. XIV.
6 c 2. b. à Sicyone. X V . 167. « Fête de ce dieu célébrée
à A lba en Arcadie , 236. b. à Elis. X V I . 307. é.-»-Des myf-
teres de Bacchus. V III. 936. b. Pourquoi ces m yfteres furent
principalement confiés aux femmes. II. 5. b. — Chanfons
en l’honneur de Bacchus, d’oit naquit la tragédie. III. 361.
a. X V I . 514. a'. Chanfons en fon honneur appellées thy-
mélies. X V I . 310. a. Ithymbes. Suppl. III. 672. a. Io
Bacchus. 643. b. D e s hymnes à ce dieu. Suppl. II. 730. b.
Poéfie dithyrambique confacrée à Bacchus. IV ; 1066. a ,
_ Son culte étoit fouvent uni à celui de Cérès. X V I .
68. a. Fêtes qu’ils avoient en commun dans l’Attique. 219.
a. — Des temples de Bacchus. X V I . 67. b. Statues qui le
repréfentoient avec des cornes. IV . 249. b. Defcription du
théâtre de Bacchus à Athenës. X V I . 234. b. — 237. b.
B A C C H Y L ID E , poète grec. IX. 57. a.
B A CH A , ( Hi fl. mod. ) gouverneur turc. II. 6. a. Le
titre de baclia eft quelquefois Amplement de politeffe. Le
o r2nd feigneur confie aux hachas la conduite des armées.
Èxa&ions des bachas dans leurs gouvernemens. Danger de
leur porte. Etymologie du mot bacha. Ibid. b.
Bacha , étymologie de ce mot. X IV . 69«. a , b. Marque
d’honneur qiie le fultan donne à lès bachas. X VI. 736. b.
Bacha d’Egypte. XI. 733. b. Capitan - Bacha. II. 631. b.
Bacha à trois queues. X V ÎI . 333. a.
B A CH AN T E , ( Botan. ) nom de cette plante en différentes
langues. Son caraétere • générique. Defcription , culture
. patrie des deux efpeces renfermées fous ce genre.
Suppl. I. 742. a.
B A CH A R A , ( Géoor. ) ville de la grande Tartarie. Suppl.
L 742. b.
BACH ELIER , ( Hifl. mod. ) à qui ce titre étoit donné.
II. 6. b. On difoit anciennement bacheliers au lieu de bas
chevaliers. Ibid. 7 . a.
Bachelier dans les imiverfités. L e degré de bachelier a
'été introduit dans le treizième fiecle. CConditions requifes
pour obtenir le baccalaureat en théologie à Oxford , à
Camb ridg e, à Paris. Examens des étudians de l’univerfité
de Paris qui afoirent à être bacheliers. II. 7. a. On y en
diftingue deux fortes. Conditions requifes pour paffer bachelier
en droit 8c en médecine. Ceux qu’on nommoit autrefois
baccalariï curfores. Bacheliers d’églife. Origine du mot de
badielier .dans les univerfités, 8c de ce même jn o t chez
les militaires. Ibid. b.
Bachelier. Des formalités en ufage pour obtenir les degrés
d e bachelier, de licentié , de doâeur dans Tuniverfité de
Paris. IV . 763. b. Formalités pour les degrés de bachelier
8c de maître-es-arts dans les univerfités d’Angleterre. 764.
a. Sur bachelier, voyeç MAITRE - ES - A rts. — Le titre de
bachelier , dans l’hiftoire de la chevalerie , eA fynonyme à
celui de fimple chevalier. X V II . 73 6. a.
Bachelier , ( Nicolas) fculpteur. X IV . 829. a. Ses décou-
- vertes dans la peinture en cire. V . 612. a , b.
. Bacheliers , ( Commerce ) ceux qui- ont paffé par les
charges dans quelques - uns des fix corps de marchands de
■ Paris. IL 8. a.
B A CH E T de Mcçeriac. Son commentaire de Diophante finies
problèmes indéterminés. Suppl. III. 371. a.
B A C H O T E V R S , bateliers occupés fur les ports de Paris
B A G
à voiturer le public fur l ’eau. Règlemens qui les conc er-nent.
II. 8. a.
B A CH U Y S E N , ( Ludolphe ) peintre. V . 313. a.
B A C K E L B R O U N , fontaine d'eau minérale en Alface.
I. 739. b. . -L
B A C O N , (Roger) obfervations fur ce fav ant, fes découvertes
, fes ouvrages. III. 429. b. VII I. 3 31. b. X IV . 744. '^. Sa
philofophie. V I . 299. a.
Bacon , ( François) obfervations fur le chancelier Bacon
& fur fes ouvrages. I. xxjv. xx v . V . 647. a. Sur fa divi-
fion des fciences. I. lj. C e qu’il penfoit de l’ufage des caufes
finales en phyfique. II. 789. a. Sa philofophie. V I . 299.
a. Son fentiment fur la chaleur. III. 23. a. Parallèle de ce
philofophe 8c de Galilée. Suppl. III. 172. b. Obfervations
fur fon novum orgamun. Suppl. IL 931. a. Voyc^ BaCONISME.
B A C O N ISM E , hifioire du chancelier Bacon. Services
qu’il a rendus à la philofophie. II. 8. b. Son ouvrage intitulé
de Tâccroiffement 6* ae la dignité des fciences. Second
ouvrage intitulé : nouvel organe des fciences. Principaux axiomes
répandus dans ce livre qui font connoître l’étendiie des vues
de ce grand génie. Ibid. II. 9. a. ObAacles qui s’oppofoient
aux fuccès de la méthode de Bacon. Ses travaux dans la
philofophie naturelle. Ibid. b. Ses effais de morale. Son li'vre
fur la fageffe des anciens. Son hifloire de Henri V I I , roi
d’Angleterre. Ibid. II. 10. a.
B A C O T I , ( Hifl. mod.) grande magicienne du Tonquin.
Comment elle évoque les âmes. des morts, pour favoir en
quel état elles fe trouvent. II. fo . a.
B A C O V O , ( Botan. ) efpece de bananier. Suppl. I. 782. a.
B A C Q U E T , vaiffeau. Marchands 8c artifans qui en font
ufage. II. 10. a.
Bacquet , ufienfile d’imprimerie. Defcription 8c ufage.
.B acquêt chez les marbreurs de papiers , chez les doreurs ,
en terme de chauderonnier. IL 10. b.
B A C T R E , ( Géogr. ) obfervations fur cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. 1. 742. b.
B A C T R IA N E , population de Ce pays dans les fiecles
reculés. XIII. 89. b.
B A C U , (Géogr. ) faute à corriger dans cet article de
l’Encyclopédie. Source de naphte , près de cette ville. Suppl.
I. 741. b.
B À D A W ou Badaut , pourquoi les Parifiens ont été
appellés dè ce nom. Suppl. I. 742. b.
B A D E N , ( Géogr. ) v ille capitale du marquifat de Badcn
en Souabe. Suppl. IV . 36. b.
Baden en Suiffe : dés qui fe trouvent dans fon voifinage.
X V I . 188. 4. Suppl.\l. 684. b.
B A D ER A , ( Botan.).plante du Malabar. Lieux où elle
croît. Ses djfférens noms. Suppl. I. 742. b. Sa defcription.
Qualités , culture 8c ufages de cette plante. Obfervations fur
la maniéré de la claffer. Ibid. 743. a.
B A D IA N E , ( Mat.médic. ) defcription de ce fruit. D ’où
on le tire. Defcription de l’arbre qui le produit. La femence
de badiane confidérée comme matière médicale. II. 11 . a.
Ses propriétés. Ibid. b.
B A D IR I , ( Botan. ) plante de la famille des arons. Sa
defcription. Suppl. 1. 743. a. Ses qualités 8c ufages. Maniéré
de la claffer. Ibid. b.
B A D IU S , imprimeur. V III. 625. a.
B A D U K K A , (Botan.) plante du Malabar. Ses différens
noms.Defcription. Suppl.l. 743. b. Qualités 8c ufages. E rreur
de Linnæus. Ibid. 744. a.
' B A D W E IS , (Géogr.) ville de Boheme. Faute à corriger
dans cet article de l’Encyclopédie. Suppl. I. 744. a.
B A G A C E , ( Suer. ) nom des cannes de fucre qui ont
paffé au moulin. Ufage qu’on en fait. II. 12. a.
B agace : cafés à bagaces. X V . 609. b.
B A G A G E , ( Art milit. ) fignal qu’on donnoit aux fol-
dats romains de plier bagage. III. 8x9. b. — Officier chargé
de faire atteler 8c défiler le bagage cl’une armée. X V I. 798. a.
B A G D A T , cette v ille bâtie ou réparée par Albongiafar-
Almanzor.IX. 866. a. Califes qui y régnèrent..Suppl. I.16.
a. 18. a , b. Prife par T o gru l-Be g , chef des Turcs. IX. 688. a.
B A G E , ( Géogr. ) petite ville de Breffe. Obfervations
fur les feigneurs 8c la feigneurie de Bagé. Suppl. I. 744. b.
B A G H A R G A R , ( Géogr. ) contrée de la grande T a r tarie.
Ses bornes. Suppl: I. 744. b. , Y . ,
B A G L IV I , médecin : fon fyflême fur les jours critiques.
IV . 476. b. Obfervations fur ce fav ant, confidéré comme
anatomifte.Suppl. I. 403. a.8cphyfiologifte. Suppl.IV . 334. a.
B A G N E , (A rchit.) bâtiment où l’on dent à la chaîne
les efclaves ou forçats. Origine du nom fous lequel il eft
ici défigné. Defcription du bagne de Conftantinople. Bagne
de Tu nis , de Tripoli 8c d’Alger. Defcription de la prifon
de ce nom, bâtie dans l’arfenal de la marine à Breft. Suppl.
I. 744. b. . . J.
B AGN O LO IS hérétiques du huitième fiecle ainfi nommés
de Bagnols où ils étoient en grand nombre. Ils étoient
Manichéens. Leurs erreurs. II. 1 à. b.
bagoé v
B A I
B A G O É , ( Myth. ) voyez Begoé.
B A G R E , (icht/ty. ) poiffon du Brefil. Auteurs qui ont
donné la figure des fix efpeces connues fous ce nom. Suppl.
I. 743. à. Defcription de chacune de ces efpeces. Qualité de
leur chair. Ibid. b.
B A G U E , il parôît que l’ufage en étoit inconnu du tems
d’Homere ; mais les Egyptiens s’en fervoient du tems de
Jofeph. Noms que lui donnoient les Grecs 8c les Romains.
Origine des bagues à pierre félon la fable. Différentes forces
de bagues en ufage autrefois.II. 12. a.
Bague, quelques Romains avoient des bagues pour toutes .
les faifons. XII. 386. b. Les bagues des Romains fervoient
à cacheter. Ibid. Paffion du fénateur Nonius pour fa belle
bague. 391. b. Bagues repréfentées VII I. vo l. des planches.
Orfevre-Jouaillier , planche 3. Utilité des courfes de bagues.
.VI. 249. b. — Voye{ A nneau.
Bagues & joyaux, terme de droit ; la ftipulation des bagues
8c joyaux tient lieu de la ftipulation de préciput. IL 13. a.
Autres ufages du m ot Bague. II. 13. a.
Bagues & joyaux} voye^ Joyau x . VII I. 900. a. Obfèrva-
tion fur la loi qui décide que fi le fiancé vient à décéder
pofl ofculum, la fiancée peut retenir les bagues 8c joyaux de
fon fiancé. V I. 661. a.
B A G U E N A U D IE R , (Bo ta n.) nom de cette plante en
différentes langues. Son caraâere générique. Defcription de
fept efpeces de baguenaudiers. Lieux oîi elles croiffent naturellement.
Leur culture. Suppl. I. 748. b.
B A G U E T T E divinatoire. I l n’en eft fait aucune mention
avant l’onzieme fiecle. D ivers noms qu’elle a reçus. Comment
on s’en fert. Phénomène de cette baguette. Comment
M. Formey l ’explique. II. 13. a. Diverfes propriétés qu’on lui
attribue. Ibid. b.
Baguette divinatoire; fauffeté de fes vertus. IV . 3 24. a. A rticles
fur cette baguette. XIII. 736. b. 737 . a , b. Suppl. III.
478- b. 479.-4, b.
Baguette magique. IX. 854.4. Divination par des baguettes.
XIII. 735. b. II. 199. b.
Baguettes arithmétiques de Néper. XI. 96. a , b.
Baguettes logarithmiques. Suppl.III. 768. a , b. — 7 7 1 .a.
Baguette noire, ( huijjier de la ) en Angleterre. Sa charge.
Sa marque. II. 13. é.
Baguette , officiers à la baguette. XI. 423. b.
D iv e rs inftrumens appellés du nom de baguettes. IL 13. b.
Baguettes de fufil. I. 704. a. Suppl. III. 139. a , b.
B A G U IE R , voyez ÉCRAIN.
B A G U EW A L I . (Ich tk y .) Auteur qui a donné la figure
de ce poiffon. Suppl. I. 749. a. Lieu où il a été pêché. Sa
defcription. Maniéré de lé claffer. Ibid. b.
B A H A R E IN , ( Géogr. ) ifle d’Arabie. Suppl. I. 308. a.
B A H E L , ( Botan. ) plante annuelle du Malabar. Différens
noms que les botaniftes lui ont donnés. Lieux où elle croît.
Suppl. 1. 749. b. Sa defcription. Ses qualités 8c ufages. Erreur
de Linnæus. Ibid. 750. a.
BAHEL SCU L L I , ( Botan. ) arbriffeau épineux. Vertus de
fa racine 8c de fes feuilles. II. x 4. b.
B A H EM , ( Critiq. Jacr. ) explication de ce mot tiré du
livre des Machabées. II. 13. a.
BAHIR , illufire. Deux livres de ce nom chez les Juifs.
II. 13. 4.
B À H U , efpece de coffre. Voyez les planches du coffre-
tie r, vol. III.
BAHURIM , ( Géogr. facr.) village affez près de Jérufalem.
Suppl. 1. 730. b.
B A J A , (Botan.) nom brame d’une efpece de liferon.Ses
noms en différentes langues. Lieux où croît cette plante. Sa
defcription. Ses qualités 8c ufages. Suppl. I. 730. b.
B A IE , différence entre une baie 8c un golphe. V II . 732. b.
Baie , ( Archit. ) tableau de baie. X V . 806. b. Baie dans
un mur. X V II . 374. 4.
B A JE T , ( Conchyl. ) efpece d’huitre ainfi nommée par les
Nègres onalofes du Sénégal. Auteurs qui en ont donné la
figure. Lieux où on la trouve. Sa defcription. Suppl. 1. 75 1 . b.
Bajet, (Jean ) anatomifte. Suppl. I. 408. b.
BAIGN EUR. Obfer vation fur les chanfons des perfonnes
qui fervoient aux bains chez les anciens. II. 13. b.
Baigneur, Étuvifle. V o y e z vol. V II I. des planch. article
Perruquier , pl. 9 & fuivantes.
B A IGN EU X - LES - JUIFS , (Géogr. ) petite v ille de Bourgogne.
Origine de fon furnom ; perionnages difiingués dont
elle eft la patrie. Autres faits hiftoriques concernant cette
ville. Suppl. I. 731. a.
B A IG N O IR E , cuve de cuivre rouge. Sa defcription 8c
fes dimenfions. Comment les baignoires font placées dans
les bains. II. 13. b. Elles fe font quelquefois de bois. Baignoires
fixes 8c mobiles dans les thermes des anciens. Ibid
z 6. 4.
B A IL , fens de ce mot en terme de droit. Bail à fe rm e ,
bail à loyer. Durée des baux. Baux pa:devant notaire , 8c
fous feing-privé. Les Anglois en font de y iv e voix. Biens
Tome I. &
BAI 137
^°.nL.on Peu.1 ^ re fiaux- Obligation 8c droits de celui
qui fait le bail. A quoi eft engagé le fucceffeur du propriétaire.
II. 16. 4. Engagement du fermier ou locataire. C e qu’on
appelle tacite réconduftion. Bail à rente. En quoi il diffère de
l ’emphytéofe. Autres fignifications du mot bail. Ibid. b.
B a il, fens de cet axiome qui d it , que morts Sc mariages
rompent tous baux 8c louages. XI. 697. b. Re lie f de bail,
X IV . 66. b. Converfion du bail conventionnel en judiciaire.
IV . 166. b. Efpece de- bail à cens d’héritage, appellé contrat
libellaire chez les Romains. IV . 12-3. b. Bail emphytéotique.
V . 580. 4 , L.8cc. Bail à rentes qu’on appelloitprécaire. XIII.
267. b. Bail à rentes, appellé fteffe en Normandie. V I . 7 17 . 4.
Bail à ferme. V I . 309.4, b. Renouvellement d’un bail à-ferme^
XIII. 839. b. Bail à cheptel. III. 295. b. Bail à v ie. V . 3 8 1 .^
Bail ou garde d’enfans mineurs. V i l . 487. b. X IV . 66. b.
B A IL L EM E N T , rernede d’Hippocrate contre le bâillement.
Sa caufe félon l’ancien fyftême. A utre explication plus
fatisfaifante. IL 17. 4.
Bâillement : origine de l’ufage de faire le figne de la croix
fur la bouche de celui qui bâille. X. 343. b. Caufe 8c effet
du bâillement. Suppl. IV . 619. a.
Bâillement ou Hiatus, ( Gramm. ) comment on y a remédié
dans toutes les langues. L ’élifion fe pratiquoit même
en profe chez les Romains. Dans quel cas nous en faifons
ufage. II. 17 .4. Ufage des lettres euphoniques. Pourquoi nous
difons quelquefois Ton pour on. L e v des Grecs étoit quelquefois.
euphonique. Hiatus formé par les voyelles nafales ;
comment il eft corrigé. Ibid. b. L e b 8c le d font auffi des
lettres euphoniques. II. 18 .4 .
Bâillement, hiatus : en quoi ilcon fifte .il. 310.4. Cicéron
blâme Théopompe , pour avoir porté jufqu’à l’excès le foin
d’éviter le concours des voyelles. V . 323. 4. Obfervations
fur les bâillemens dans notre profe. V . 309. b. Voyeç HlATUS.
VII I. 19 8 .4 , £. — 200. 4.
B A IL L E T , ( Adrien ) Suppl. IV . 36. b. 366. a.
BAILLEUL , différence du chirurgien au bailleul dans la
maniéré de juger de certaines maladies. IV . 434. b.
B A IL L I , ( Hifl. mod. & Jurifp. ) officier chargé de rendre
la juftice dans un bailliage. Etymologie de ce mot. Origine
des baillis. Offices en Angleterre, qui répondent à ceux des
baillis. Prérogatives que les anciens baillis poffédoient. C elles
qui leur reftent à prélent. II. 18. a. Baillis feigneuriaux. Ibid, b-
Bailli ou Baillif. Origine 8c premier établiffement des
baillifs en France. IX. 304. a. XII. 909. b. Hifloire de l’office
des baillifs 8c fénéchaux. X V . 12. a. D ivers baillifs qui
avoient leurs lieutenans. LX. 304. b. Création de quatre baillifs
royaux. Augmentation de ce nombre. Baillifs établis par
les feigneurs. IX. 16. a. Les baillifs royaux faifoient autrefois
les fondions de procureurs du r o i , dans les affaires de
leur territoire. XII. 22. b. Anciennement les baillifs 8c fénéchaux
venoient rendre leurs comptes en la chambre des
comptes, 8c elle nommoit à leurs offices. III. 784. a. Les
baillifs 8c fénéchaux qui avoient féance 8c v o ix délibérative
au parlement, furent privés de la v o ix délibérative, comme
il paroît par une ordonnance de 1291. XII. 3. b. 6. a. Les
baillifs 8c fénéchaux étoient révocables autrefois. IV . 898. a.
Les baillifs 8c fénéchaux font des officiers d’épé e , 8c doivent
être nobles. V I . 27. a. Contrôleur des baillifs 8c fénéchaux.
IV . 131. b. Leurs elefes. III. 324. a. Baillifs du palais.
803. b. 806.4. Obfervations fur cette charge ancienne. Suppl.
IV . 663. b.
Bailli , ( Hifl. mod. ) grade ou dignité dans l’ordre de
Malthe. Baillis conventuels , 8c baillis capitulaires. II. 18. b.
B A IL L IA G E , origine de la diftinâion des grands,petits
8c moyens bailliages. XII. 909. b. Rôle des bailliages 8c féné-
chauffées au parlement de Paris. 26. a.
BAILL IAGERES ,juflices. IX. 93\ b.
B A IL L O N , ( Jurifp. crimin. ) ufage que la juftice en fait
à l’égard de quelques criminels. Réflexions contre cet ufage.
Suppl. I. 73 1 . 4.
BAINS. ( Architecture ) Bains naturels, bains artificiels. II.
18. b. Ancien ufage des bains publics. Bains chauds connus du
tems d’Homere. Defcription de ces bains parVitruve. Ceu x
qui étoient joints aux gymnafes ou paleftres. Ceux qui en
étoient féparés. A rrangement ou diljpofîtion des divers appar-
temehs des bains. Ibid. 19. a. Les anciens fe baignoient avant
le fouper. Us fè faifoient frotter d’h u ile , 6>c. au fortir du
bain. Bains des Romains. Heure de leur ouverture. Prix
qu’on payoit pour y entrer. Les bains des femmes étoient
entièrement féparés de ceux des hommes. Changemens arrivés
à cet égard dans la fuite. Soins des magiftrats 8c des empereurs
, pour remédier aux défordres qui fe commettoient
dans les bains. Ibid. b. Bains particuliers des anciens Romains.
C e que font chez nous les bains publics fur la riviere. C e
que nous appelions bains domeftiques. Appartement qui leur
eft deftiné. On y place deux baignoires 8c deux lits, 8c ils
doivent avoir un petit jardin particulier. Décorations de ces
appartemens. Ibid. 20. 4.
Ba in , (Hifl. anc.) balneum. Bain que chaque particulier
M m