5^4 E G Y
<le garnir le fond des tranchées. O n doit nettoyer tous les
trois ans les foffés qui relient ouverts. Voyez DESSECHEMENT.
Suppl. II. 778. b.
Égoutter, terme de chapellier. V . 432. a.
Egoutter une glace. Comment on prarique cette opération.
Y . 432. a.
E G O U T TO IR . Terme de marine. C e terme eft aufli
en ufage chez les cartonniers & chez les marbreurs. V .
432. a.
EG RA , ville de Bohême. Révolutions qu’elle a effuyées.
y . 432-
Egra , ( Géogr. j v ille de Bohême. Defcription de cette
v ille & de ion territoire. Eaux minérales près d’Egra. Révolutions
qu’elle a effuyées. Suppl. II. 779 . a.
Egra , ( Geogr. ) riviere d’Allemagne & de Bohême. Suppl.
II- 779- *■
EGRAPPER , ( Jardin. ) La grappe qui féjourne dans la
cuve avec le railin, nuit à la qualité & à la quantité du vin.
Ufage de l’égrappoir. L e pépin donne aufli un mauvais goût
au vin , & la p ellicule du raifin l’affoiblit. Suppl. II. 779. b.
EGRAP POIR pour nettoyer les mines. VII. 142. b. &c.
É G R A T IG N É E , ( Maniéré ) efpece de peinture à frefque.
Polidore de Caravage s’en eft fouvent fervi. André Cofimô
eft le premier qui ait travaillé de clàir-obfcur dans la maniéré
égratignée. V . 432: b.
E G R E F IN , ( Ichthy. ) ou églefin. Defcription de ce poiffon
de mer. Lieux où il eft fréquent. Qualité de fa chair. V.
432. b.
E G R IL LO IR ,' ( Pêche) grille faite pour laiffer paffer les
eaux & retenir le poiffon. Maniéré de prendre les poiffons
d’un étang par le m oyen de cette grille. Suppl. II. 779. b.
EGRUGEOIR , inftrument employé dans le travail du
chanvre. III. 149. b.
EGRISER, en terme de diamantaire. Comment cette opération
s’exécute. Defcription & ufage de l’égrifoir. V . 43 3. a.
EGUILLE , de peintres en émail. Defcription & ufage de
deux fortes d’éguilles, V . 433. a. & d’un éguille de buis dont
ces peintres fe fervent. Ibid. b.
Eguille, voycr A iguille. V . 433. b.
EGU ILLETT ES , forte de poiffon que l’on nomme autrement
orphie. Maniéré d’en faire la pêche. V . 433. b. Voyez
O rphie.
Eguillettes , ( Marine ) différentes pièces & inftrumens
de ce nom.,.V. 433 . b.
Egu illette , nouer V (Manege') Un cheval qui ne noue
pas l’éguilletté n’ eft point propre à faire des caprioles. V .
434- a-
EGUILLETTE , nouement de V ( Magie ) Voyc{ N ouement.
E G Y P T E , ( Geogr.) contrée d’Afrique. Son étendue &
fes bornes. Diverfes obfervations" fur "ce pays. V . 434. a.
Egypte , divifion de ce pays par nômes. XI. 211. a. Il
paroît que l’endroit où. eft l'Egypte , étoit mer autrefois.
336! a. L ’Egypte appellée autrefois terre de Seriad. X V . 93.
a. Partie de la baffe Egypte appelléè Delta. Suppl. II. 691. a.
Haute-Egypte ,.voye^ T hébaide. Obfervation qui montre
q u e , vers la ville de Tanis dans la bâffe-Egypte , le rivage
de la mer n’a pçiùt changé. X V . 887. a. Çhàngemens cailles
à l’Egypte par les terres que le Nil charrie. X V I. 164. b.
Inondations du Nil. XI. 142. a. Du c l'uÆde L'Egypte. X VII.
733. b. Suppl. IV . 30. b. D e la pluie qui y tombe annuellement.
412.0. Vent qui caufe beaucoup de mal dans ce pays.
Suppl. III. iSc). b. 190. a. Ancienne fertilité de ce pays. II.
280. a. La leprë ‘originaire d’Egypte. IX. 395. b. Maladies
des Egyptiens dont Dieu promet de garantir Ion peuple. X.
263. b. Moriumerïs & merveilles de l ’Egypte. Province où fe
trouvoient fes principales merveilles. VIII. 138. b. Le labyrinthe.
IX. .149- a , b. Le lac Moeris. X. 61 1 . a. Les pyramides.
XIII. 395. b , &c. Des canaux dont elle étoit coupée. Suppl II.
184. a. 183. a. Remarques de M. deBuffon furie canal qu’on
croit avoir été conftruit pour la communication du Nil avec
la mer Rouge. X IV . 404. a. C ’eft en Egypte que la conftruc-
tion des temples prit naiffance. X V I. 62. b. T emples rémarÎuables
dans l’ancienne Egypte. 6 3 . b. ' 66. b. 67. a. 73. a.
tes monnoies & médaillés anciennes "de ce pays. X . 233. a.
Avantages que les favans retirerôient d’un voyage' dans la
haute Egypte. X V . 713. a. Figure fymbolique de l’Egypte.
732. a. 733. b. Hifioire d’Egypte. Fables dont l’hiftoire des
Egyptiens fe trouvok chargée. VII I. 221. a. Dynafties Eg yptiennes.
V . 1 a , - b. Royaumes d’Egypte. X IV . 426'. a.
4 2 t . a. Rois qui' ont régné à Sais. 331. a. Pluies d’Egypte.
XII. 683. a , b. Comment ce royaume fut policé par Menés,
9°- b. & embelli par Sefoftris. XI. 298. Conquête qu’én
fitNabuchodonofor. IX. 28. b. Ancienne population de l’Egÿpte.
T ^ L’ES/Pte conqulfe Par Alexandre-le-grand. Suppl.
L 268. a. Ses lucceffeurs, voye^ Ptolomée , Cléopâtre.
Conquête de l’Egypte par Selim I. C e pays gouverné par
les Mammelus. Etat de l’Egypte depuis la conquête de'Selim.
X. 6. a , b. Etat de fplendeur de l’Egypte ancienne, mis en
parallèle avec fon état préfent. XII. 279. a. Chrétiens d’Egypte.
E G Y
IV . 173. a , b. Peuples Egyptiens appellés Coptes ; voyez
ce mot.
E G Y P T IA C , ( Pharm. ) nom qu’ôn donne à divers
ongüens déterfifs ou corroftfs. Compofition de l’égyptiac
finale. Ses ufages. V . 434. a.
EGYPT IEN S. ( Philo/bphie des ) Antiquité que s’attri-
buoient les Egyptiens. Myftere qiie les prêtres de ce pays
faifoient de leurs çonnoiffances. Pourquoi les traditions des
Egyptiens furent corrompues par les fables. Invention des
hiéroglyphes. Comment ils devinrent obfcurs. D ’où vient l’obft
curité répandue dans les hiftoriens de l’Egypte. L’Egypte étoit
devenue une énigme prefqu’indéchiffrable, pour l’Egyptien
même. Cependant on vint de tous les côtés du monde con?
nu chercher la fageffe en Egypte. Les feéles qui divifoienj la
Grece s’établirent fucçefnveinent dans les gymnafes de
l’Egypte , & mêlèrent leur doétrine à celle des Egyptiens. V .
434. b. Comment les prêtres conferverent leurs myfteres. Le
mélange de la philofophie orientale qui fe fit quelque tems
avant Jefus-Chrift , acheva de défigurer la doélrine égyptienne.
Le chriftianifme donna lieu à de nouveaux changemens
dans la philofophie. On négligea les livres anciens.
T h e u t , fondateur de la fageffe égyptienne. L’Herinès , fils
d Agathomédon, fuccede à Theut. Ibid. 433. a. Inventions
qu’on lui attribue. Après lu i , l’Egypte retomba dans fon ancienne
barbarie , dont elle fut tirée par Hermès trifmégifte.
Ces trois grands hommes mis au rang des dieux. But de la
conftruéïion des pyramides , félon l’auteur. Ibid. b. C e s
peuples preffés entre la néceflué & l’inconvénient d’attacher
la mémoire des faits à des monumens, ne durent naturellement
penfer qu’à en conftrfiire d’affez folides pour réfifter
éternellement aux plus grandes révolutions , afin qu’ils fuf-
fent couverts un jour de la fcience politique, civile & reli—
gieufe de la contrée. D e l’inftitution des prêtres. Il n’y eut
dans l’état aucun ordre de citoyen plus ancien. Raifons qui
durent le rendre extrêmement nombreux. Ibid. 43JS. a.
Caufes de l’enrichiffement des prêtres. Il n’y avoit peut-
être fur la furface de la terre aucun fol plus favorable
à la fuperftition que l’Egypte. Maux que caufa dans l’état
1 augmentation d’im corps dont les membres étoient difpen-
fés de travailler. Ibid. b. L ’Egypte fut fuperftitieufe dans
tous les tems ; mais elle ne le fut jamais plus que fous les
derniers hiérophantes. Doélrine/, fonélions , moeurs , ufages
& habillement des prêtres. Ordre qu’ils obfervoient dans
quclqfies-unes de leurs proceflïons. Science des chantres. Ibid.
437. a. Des tireurs d’horofeopes , des feribes des chofes famées
, des ftolites ; fonélions des prophètes. Volumes oit
étoit contenue la fageffe égyptienne. Inftruélion des néophytes.
Eu quoi confiftoit chacune des fciences qu’ils cultivoienr.
Ibid. b. Leurs principes de cofmogonie., de métaphyfique.
Ibid. 438. a. Leur maxime fut de ne'rejetter aucune fuperf-
tition étrangère. Le culte qu’ils rendoient aux bêtes & à d’autres
êtres de la nature , fut une fuite affez naturelle de l’hiér
roglyphe. C e qui nous relie de la plupart des auteurs qui
ont écrit de la théologie & de la philofophie des Egyptiens
eft apocryphe. La table Ifiaque eft une des antiquités égyptiennes.
Diverfes mains par lefquelles elle a paffé. On croit
qu’elle exifte aujourd’hui parmi les antiquités du duc de Sa-
yoie. Les modernes y ont trouvé tout ce que leur imagination
a voulfi. Ibid. b.
Egyptiens. Pourquoi ils ont long-tems confervé leur caractère
national. X. 36. a* x°. De l ’antiquité des Egyptiens. V I .
221. b. Celle qu’ils s’attribuoi#nt. I. 316. a. 783.-2. III. 388.
a. Comment les annales égyptiennes peu v ent, félon M. G i-
b e r t , être réduites à notre chronologie. III. 393. a , b. La
chronologie égyptienne de Manéthon rejettée. IV . 981. a.
Obfervations qui prouvent la haute antiquité des Egyptiens.
VIII. 221. b. Pourquoi les peuplades égyptiennes & chinoifes
ont eu de très-b.onne heure plus de conformité que les autres
avec les anciens habitans de Chaldée. IX. 234. b. —
20. De la religion. Origine de l’idolâtrie & des fuperftitions
des Egyptiens. V . 360. a. VIII. 206. a. XII. 933. a , b. Origine
de l’honneur religieux qu’ils rendoient à divers animaux.
VI. 41. a. note. Différend entre les Egyptiens & les Chaldéens
furlaprimauté de leurs dieux. II. 620. a ,b . C e qu’ils penfoient
eux-mêmes du culte qu’ils rendoient aux animaux & aux
plantes. VII I. 303. a. Mythologie des Egyptiens. 913. b. An-
tiquité dé leurs fables religieufes. Suppl. III. 192. b. Leurs
tutélaires. I. 393. a. Leurs néoménies. XI. 93. b.
Différentes maniérés dont les peuples d’Egypte regardoient
les crocodiles. IV . 302. a. Leur vénération pour les éper-
viers , VIII. 203. a. pour l’efcarbot. Suppl. II. 8.69. b. Idole
des Egyptiens nommée Bcchyphon. II. 190. a , b. Leur vénération
pour Jupiter-Ammon. Suppl. I. 366. a , b. Dieu fu-
prêm e , félon leur théologie. Suppl. IL 473. E Leurs fables
fur Typhon. Suppl. III. 189. b. 190, a, Vafe qu’ils adoroient.
II. 368. b. Coutume égyptienne qui donna lieu aux dieux lares.
IX. 292. a. Ces peuples furent les premiers qui employèrent
les flatues dans la religion. X V . 498. a. La méthode de
peindre les opérations de la divinité fous des figures humaines;
E J A
maines , fort en ufage chez les Egyptiens; IX. 42. a. État
du facerdoce en Egypte. X. 261. b. Des prêtres Egyptiens.
XIII. 343- b. Pureté de leurs moeurs. Suppl. IV . 189. b.
Qualité de juges & de magiftrats qu’ils exerçoient. V I . 274.
a. Les Egyptiens attachés à leurs dieux n’ont jamais em-
braffé de cultes étrangers ; mais les nations étrangères ont
fouvent adopté leurs cultes. IV . 29. a. — 30. Du gouvernement.’
Légiflateurs des Egyptiens. IX. 70. b. Loix auxquelles les
rois étoient fournis. 648. a. Quelques lo ix des Égyptiens.
Ibid. Loix contre les fàinéans. X. 331. a. 'Loi qui régloir le
métier des voleurs. X V I I . 439. a. D e la police de l’Egypte;
XII. 905. A. Tribunal dejuftice.XVII. 72. a. Préfet que les Romains
envoyoient en Egypte. X III. 281. a. Des armees des anciens
Egyptiens. XI. 424. a. Leur cavalerie. V . 883. a. Tribut
impofé aujourd’hui en Egypte à ceux qui ne font pas mahomé-
tans. VIII. 40. b. — 40. Arts & fciences. Ancienne langue des
Egyptiens , langue cophte. IV . 177. b. Si l’ancien Egyptien
eft dérivé de l’Hébreu. Suppl. IL 391. b. Différentes fortes
d’écritures qu’ils ont eues. V . 360. b. V o y e z II. vo l. des
planches , article Caratfere. pl. 3 & 7. D e l’ufage qu’ils ont
fait des hiéroglyphes. VII I. 203. a , b. & c . Ufages hiéroglyphiques
qu’ils tiroient de l’efcarbot. Suppl. II. 869. b. 870.
a. Couronnes de nymphæa dont ils couronnoient leurs dieux,
leurs prêtres & leurs rois. X I. 92. a. D u p apier d’Egypte.
847. b. — 830. b. Maniéré de calculer des Egyptiens. VIII.
330. a. Année égyptienne. I. 389. b. L ’année folaire trouv
é e par eux. X V I . 773. a. Mois des Egyptiens.. X. 620. b.
621. a , b. Différentes eres qu’ils ont fuivies depuis la mort
d’Alexandre. V . 902. a. Origine de la géométrie en Egypte.
,VII. 629. a. Q u i turent ceux qui portèrent les premiers le grec
dans ce pays. IX. 28. b. L’anatomie née en Egypte. Suppl.
I. 393. b. Etat de la médecine & des médecins en Egypte.
X . 261. b. 262. a. D e l’aftronoinie des Egyptiens. I. 783. a,
b. Bibliothèques égyptiennes. II. 229. b. Caraitere de leur
philofophie. I. 329. b. Origine de la métempfycofe parmi eux.
330. a. Rapport de leur doélrine avec celle des O rientaux fur
la métempfycofe. Suppl. IV . 810. ^ .Comment le dogme monstrueux
de l’ame du monde paffa des Grecs aux Egyptiens. 1. 3 3 o.
b. Jours heureux&malheureux, félon les Egyptiens. VII I. 891.
b. Leur opinion fur l’état des âmes après la mort. XIII. 393. b.
L ’Egypte peu commerçante dans les premiers tems. X V I .
783. a , b. Commercé & navigation de fes peuples. XI. 34 .b.
Les Egyptiens font les premiers peuples qui ont fait ufage de
maçonnerie. IX. 804. b.. Salles égyptiennes. X IV . 374. a.— 30.
Ufages. L ’hofpitalité exercée par les Egyptiens. V I I I . 313. a.
Comment ils embaumoient les corps. V . 332. a , b. 333. a.
'Suppl. II. 800. b. Jugement cju’ils prononçoient fur les morts,
I . 96. a. IX. 7. b. particulièrement fur les rois. IV . 1033. b.
Funérailles des Egyptiens. V . 333. a. 671. a. V I I . 368. a ,
b. IX. 7. b. Ufage des Egyptiens d’engager le corps de leur
pere. X V II . 791. b. Pourquoi les chats ont aujourd’hui des
hôpitaux en Egypte. X. 36. b. La rareté du bois fait que l’on
fe fert dans ces contrées de la fiente d’animaux pour chauffage.
X IV . 913. a. Obfervations fur les Egyptiens modernes. V III.
346. a. Comment ils fe peignent le corps. Suppl. 1.237.0.
Egyptiens ou plutôt Bohémiens , efpece de vagabonds..........
qui font profemon de dire la bonne aventure. V . 438. b.
Leur origine eft incertaine. Pourquoi on leur a donné le nom
d’égyptiens. Il eft peu de nations où il ne s’en trouve. D ivers
noms fous lelquels ils font connus. Equipage dans lequel
ils parurent pour la première fo is , en 1417. Leur paffage
en France & en Angleterre. Origine que leur attribue Raphaël
de Volterre. Ibid. 439. a.
E H
EHANCHÉ. (Maréch.) Cheva l dont les hanches font inégales.
Caufes de ce défaut. V . 439. a.
EHR ENB ERG, ( Géogr. ) place forte d’Allemagne dans le
T y ro l. Ses révolutions. Seigneurie dont elle eft le chef-lieu.
Suppl. IL 779. b.
EH R EN B R EIT ST EN , ( Géogr. ) fortereffe d’Allemagne
dans le cercle du bas-Rhin. Sa fituation. Palais préside ce lieu.
Cette place prifg par les François en 1632. Suppl. II.779. a.
EHU D. ( Hift. facr. ) Il délivra les Ifraélites de la tyrannie
des Moabites. Suppl. IL 194. a.
E l EJ
E l , obfervations fur cette diphtongue. IV . 1017. a. VIII.
■ 4^4- b.
EJACU L AT EU R . ( Anat. ) Mufcles éjaculateurs dans
l’homme & dans la femme. Conduits éjaculateurs. V . 439. b.
Ejaculateur, mauvais nom. On parle dans cet article de
l’Encyclopédie de l’accélérateur. Suppl. II. 780. a. V o y e z ce
mot dans l’ordre alphabétique.
Ejaculateur de Santorin , véritable dilatateur de l’uretre.
Sa defcription. Suppl. II. 780. a.
E L A 3 63
Ê J A C U L A Ï IO N . ( Pkyfiol.) Méchanifmepariequelcette
aéhon s exécute. V . 439. b.
Ejacuiation: v o y e z Semence & Coït. D es parties qui ferven
t à cet aâ e. Suppl. U. 613 *. Vaiffeaux éjaculoires de
la matrice. / ^ Efpece dimpuiffance dont la caufe dépend
de 1 éjaculation. VII I. 633. b. r
E IC ET ES , ( Hift. eccl. ) hérétiques du 7*. fiecle : iU
Croyoient qu’on ne pouvoir bien louer Dieu qu’en danfant.
V . 440. a
fttvtd ( Hubert jean Van-) peintres. V . 313. b.
EIDER , oifeau dont on tire l’édredon. V . 396. b. Comment
on ramaffe fes plumes. 397. a. Sa defcription. V I. vol.
deE?SCTERTKie -P HI
c i o p é d t e ! w ù . o7 8r r ons c e t a n k I e d e r E n c y j
FTÇRm c t u I a À 7 " ? * ) anatomifte. Suppl. I. 4 1 1 . -b.
EÏSENSCHMÏD ( Jean-Gafpard ) obfervations fur cet
auteur. X V . 740. a. Son hypothefe fur la livre romaine. IX,
8 $ b SOn tr3lté fUf U figUrC de la terre* %>ƒ>/. IV .
EISE TERIES, voye^ Eiscteries.
E L
1 . „ j-n-i , v. sooian. ) noms de cetic
plante en differentes langues. Son caraélere générique. Enumération
de trois efpeces qui lui appartiennent. Suppl. IL
700. a. Leur defcription , culture ; ufage qu’on en peut tirer
pouf les bofoüets. Ibid. b.
E L AG A B A L E , dieu qu’on adoroit à Emefe en Syrie
&c. fous la figure d’un cône de pierre. Honneur que lui rendu
1 empereur Ehogabale. Statue de la déeffe célefte ave'c
laquelle il le maria. Sort de ce mariage après la mort de
1 empereur. V. 440. b. Voye^ Céleste.
I r ’ I B T a1llï . E l a g u e r ; H B Em o n d ïr ;
Utilité de lélagage. Suppl. I. 321 .b. 1
E L AN , ( Hijt. nat: ) animal quadrupède du genre des
ruminans Sa defcription. V . 440. b. Contrées que les élans
habitent. Particularités ffir cet animal. Propriété, contre l’é-
pilepfie qu’on attribue à fon pied. Ibid. 441. a.
Elan II paroît que l’animal appellé alcé eft le même que
1 élan. I. 248.a . Defcription de l’élan. V I vo l. des pl. Régné
animal, pl. 6. - °
Elan. (M a t. méd. ) Ufage qu’on faifôit autrefois de la
corne de fon pied contre l’épilepfie. On eft aujourd’hui revenu
de cette erreur. V . 441. a.
Elan. ( Chamoifeur ) Ufage & préparation de fa peau. V :
a fL A PH E B O L IE S , fête des Phocéens. Son origine. Les
Athéniens en âVoient de ce nom. Comment ils la célé-
broient. V . 441. b.
E L A PH E B O L IO N , neuvième mois des Athéniens. O rigine
de ce nom. V . 441. b.
ELARG IR un cheval, le contraindre à embraffer un plus
grand efpace de terrein. C e t efpace ne peut être limité O n
peut attribuer une grande partie des défenfes des chevaux
au peu de foin qu’on a de les travailler large & de les empêcher
de fe rétrécir ; comme lorfqu’en trottant un poulain
à la longe , on n’a pas attention de Téloigner du piqueur qui
la tient ; lorfqu on le monte par le droit dans un efpace trop
court & trop rétré ci, . . . . & c . 11 importe donc effentielle-
ment de le conftamment élargir. L ’obfervation de ce principe
ne doit pas êtrè moins rigoureufe à l’égard des chevaux
que nous entreprenons & qui ont acquis toutes leurs for-
c e s .. . . . V . 441. L II en eft en qui le derrière eft trop foi-
ble. D e - la les defordres de l’animal, qu’on ne prévient
qu’en l’élargiffant. Autres fortes de chevaux qu’on doit toujours
élargir. T o u t cheval peut fe rétrécir & mettre le cavalier
dans la néceffité de l’élargir , foit qu'il exécute des chan-'
gemens de main larges ou étroits. C e qu’on doit obferver
dans tous ces différens cas. Ibid. 442. a. Obligation & importance
de varier les leçons 8c la place où on les donne*
Ibid. b. C e qu’il faut faire par rapport à ceux qui préviennent
la volonté & l’aélion , qui tournent fans y être
invités j à l’égard des chevaux ramingues , & de ceux-
dont les croupes font légères ou fauffes, &c. la méthode
indiquée eft préférable à celle de n’employer que les châ-
timens. Ibid. 443. a.
Elargir : cette expreflîort eft encore en ufage en parlant
de la pofition des jambes de l’animal en aélion. L e derrière
ne peut être rétréci, que le devant ne s’élargiffe, & réciproquement.
V . 443. a.
Elargir. Cheval qui fe ferre on qui s’élargit-trop. XV*
ELARGISSEMENT d’un prifonnier. ( Jurifp. ) Elargiffe-
ment définitif ou provifoire. V . 443. a. Défenfe d’élargi? un
prifonnier fans lettres patentes, &c. D e l’élargiffement des
D D D d d d d