2 .3 6 C A R
Suppl. IV . 188. b, Carloman, fils de Louis le Begue. Sa mort.
Suppl. III. 674. b.
C A R LO V IN G IEN S , (HiJI. de France & de German.) obfervations
fur la durée de leur régné. Suppl. III. 794. a. L ’empire
des Carlovingiens en Franc e, en Allemagne , en Italie ,
détruit fous trois princes nommés Louis. Ibid. b.
C A R L O W IT Z , (Géogr.) bourg de Hongrie fur le Danube
, connu par le traité de paix , conclu entre lë Tu rc ,
l’empereur, le roi de Pologne, le czar & les Vénitiens en
1699. Médaille»du czar P ierre, frappée à cette otcafion.
Suppl. II. 242. b.
CARLSB AD E en Boheme : incruftations qui fe font
dans les eaux thermales de ce lieu. VIII. 658. a.
CARMACIENS , ( HiJI. ) leur expédition contre les Mec-
qunis. Suppl. 1. 76. b.
C A RM E L , ( Ordre de N. D . du Mont)Suppl. III. 719. a , h-
C A RM E N , ( Belles-lettr. ) fens de ce mot latin. Etymolog
ie de ce mot. Vigénere dérive carrnen de Carmenta, mère d’E-
vandre, parce qu’elle faifoit fes prédirions envers. II. 687. b.
Carmen , étymologie de ce mot. VII. 175. b. Pourquoi on
donnoit aux enchantemens le nom de carmïna. V .• 617. b.
C A RM E N T A L E S , tems où les Romains célébrbient
cette fête , en l’honneur de Carmenta. En mémoire de quoi
elle fut établie. Divers fentimens des auteurs fur l’origine
du nom Carmenta donné à la merc d’Evxndre. II. 687. b.
CA RM E S , ( HiJI. eccl. ) ordre religieux qui tire fori nom
du Mont-Carmel. Diverfes origines qu’on donne à ces religieux.
Perfonnages païens à qui l’on a attribué l’honneur
d’avoir été carmes. C e que raconte Phocas fur la grotte
d’Élie 8c l’origine des carmes. IL 687. b. Réglé donnéè en
•1209 , à ces folitaires. Tems où ils font venus en France.
C e t ordre mendiant s’eft rendu célébré à quelques égards:
Habit des carmes. D eu x branches de cet ordre. Ibid. 608. a.
Carmes déchaujfés, inftitués au feizieme fiecle par fainte
Thérefe. Réforme qu’elle fit de cette congrégation. Deux
congrégations de cet ordre. Nombre de leurs couvens eh
France. I l 688..«.
Carmes. Ouvrages du P. C o r ia, Efpagnol, fur les carmes.
X V I . 32.3. a. Carmes qu’on appelloit barrés. H. 93. a. défini-
teurs pour les réformés de l’ordre des carmes. IV . 74 5 .a , b.
Carmes. Compofition de l’eau des carmes. X. 3x7. b. Blanc
des carmes. IL 270. b.
C A R M I , elpece de biere des Egyptiens. IL 24$.,a.
C A RM IG N O L E , général de Vilconti ,. duc de Milan.
A£te de bravoure de ce général. Suppl. IV.-3 80. a.
■ CA RM IN , ( Peint. 6* Chym. ) laque très-fine & fort belle.
A quels ufages on l’emploie. Tro is maniérés de faire le
carmin. IL 688. a. Comment on le contrefait. Ibid. 689. a.
Carmin. Maniéré de le fa ire , X IV . 402. a. 8cde le détremper
pour les lavis. IX. 314.b.
C A R M IN A T IF , ( Médec. ) médicamens qui fervent à
expulfer les vents contenus dans l’eftomac ou les inteftins.
D ’où leur vient ce^nom. Comment on explique leur aétion.
IL 689. a. Plantes propres à produire cet effet. Ibid. b.
Carminatif Elco-faccharum carminativum. V . 499. a. Te inture
carminative de Wedelius. X V I . 33. a.
C A R N A , ( Myth. ) déeffe qui prefidoit à la farité des
parties intérieures du corps, qui écartoît les efprits folets,
&c. Sacrifices qu’on lui faifoit. IL 689. b.
C A R N A C IE R , ( HiJI. natur. ) les pliyficiens font en dïf-
pute fur la queftion , f i l’homme eft un animal carnacier. Sentiment
des Pythagoriciens & des Bramines. Diverfes rations
qui appuient ce fentiment, tirées de là forme des dents. D e la
coftion que nous fommes obligés de donner à la v ian d e ,
de la répugnance qu’en ont les enfans,des vers qu’elle leur
ca u fe , de la conformation des i'hteftins. IL 689. b,
Carnacier. V.oye[ CARNIVORE.
C A R N A T E , ( Géogr. ) royaume des Indes. Ses bornes.
Aéles religieux des habitans de ce pays , qui confiftent à fé
mutiler eux-mêmes, 8c à mutiler les autres. Suppl. IL 242. b.
Nature du gouvernement. Cbnnoiffances de ces peuples dans
l ’aftronomie. Ibid. 243. a.
Carnate, divinité adorée dans ce royaume. IX . 3 3 3. <z.
Bijou que l’époux chez ces peuples attache au cou ae fon
■ époufe. X V . 864. a.
Carnation , ( Peinture ) l’imitation de la couleur naturelle
du corps humain eft la partie la plus importante du
coloris. L e peintre n’y parvient que très-difficilement. Carnations
du Titien^É- Obfervations fur l’art de rendre les
carnatio'ns. Suppl. H. 243 .a . Dans tous les climats, la beauté
des carnations confifte à annoncer la fanté la plus parfaite'.
— Le coloris du teint des hommes doit être dans chaque pays
d ’une demi-teinte plus foncée que celle dés belles femmes.
— L e préjugé fur la beauté des carnations doit exiger un
ton de coloris diffèrent dans chaque état. 8c condition. — Les
peintures qui ont excellé dans cette partie de leur a r t , ont
eu par-tout le premier rang. On critique les peintres de l’école
romaine, parce qu’ils Ont négligé les carnations de leurs
figures. — Caraélere des belles carnations de uos diuïats.
CAR
Obfervatloris fur la pratique à l’égard de cette partie de l’art.
Ibid. b. Peintres à imiter, 8c dont les tableaux méritent d’être
copiés pour acquérir l’art des carnations. Utilité de ce travail.
Ibid. 244. a.
C arnation, (Peinture) voycç C hair, III. n . b.
Carnation , (Blafon) en quels cas la carnation peut fe
reprèfenter dans l’art héraldique. Comment on pourrôit la-
répréfenter en gravure. Suppl. IL 244. b.
C A R N A V A L , (HiJI. mod.) Etymologie de ce mot. D u rée
du ca rnaval, comment on l’obferve. IL 690. a.
Carnaval y fête qu’on célébroit à Dijon fur la fin du carnaval.
X. 381. ap
Carnaval , ( étymologie) obfervations fur l’étymologie de
ce mot. Suppl. II. 244. b.
CA RN EAD E S de Cyrene. Principes philofophiques de ce
fondateur de la nouvelle philofophie. I. 30. b. 51. b. X ll. 751»
b. A quelle occafion il fut envoyé au fénat de Rome. Impref-
fion que fit fon difeours. X L 660. b. XII. 731. b.
Carneades , ( Myth. ) jeux 8c combats de mufique quï •
fe célébroient à Sparte 8c à Athènes. Origine du nom qujî
leur eft donné. Suppl. IL 244. b.
CA RN E LA G E , ( dixme de ) IV . 1094. a.
CARN LEN, ( Myth. ) furnont d’Apollon , nom de fêtes
inftituées à Lacédémone pour expier la mort du devin Carnut.
Caufes 8c fuites de cette mort. IL 690. b. Voy. JEUX Carniens.
C A R N IO L E , fingularité du lac Cirknitzen Carniole. IX.
130. b. Montagne remarquable de ce p a y s , appellée Loibcl.
Suppl. III. 7 7 1 . a.
C A R N IV O R E , (HiJI. natur.) fe dit, des animaux qui
vivent de chair. Différences dans la ftruéture des animaux
carnivores 8c des frugivores : dans celle des oifeaux granivores
8c des oifeaux de proie. Comment fe fait la maftica-
rion 8c la digeftion dans les oifeaux1 qui v ivent de graines.
8c de fruits. IL 690. b.
Carnivore ou carnacier. Difpofition des dents des animaux
carnaciers. IV . 836. a. Obfervations fur leurs mâchoires 9
leur ftruéture, leur mouvement. Ibid. 8c 838. a. IX. 801. a.
D e la forme de leur tête 8c de leurs mâchoires. IV . 837. a.
Structure de leur colon. Suppl. II. 306. b. Les animaux carnaciers
s’engraiffent plus difficilement que les frugivores.
V IL 839. a. Les animaux carnaciers ne fe nourriffent point]
naturellement des chairs d’autres animaux qui v ivent des
matières animales. X V I . 834. b. Pourquoi les connoiffances
des animaux carnaciers font plus étendues que celles des frugivores.
VIII. 793. b. Animaux quadrupèdes carnaciers. XIII.
046. a y b. Importance de leur deltmïlion pour la confervation
du gibier. VII . 638. b. — Des oifeaux carnivores. XI. 433. b.
441. b. D e leureftomac. V . 1007. a. X V I I . 33. a. Ils n’ont
point de jabo t, ou l’ont foiblement marqué. Suppl. III. 489. b,
C A RN O S IT É , ( Chirnrg. ) Excroiffance dans l’uretre. Comment
on s’en affure. Caufe ordinaire des carnofités. On n’eft
point d’accord fur leur exiftence. Circonftancés 8c fuites:
fâcheufss de cette maladie. L ’exifterice des carnofités rejet-
tée par M. Dionis. II. 691. a. Méthode pratiquée par quelques
uns pour dilater le canal de l’uretre , fans y fuppofer
de carnofités. Sentiment de Bénévole fur cette maladie.
Obfervation de l’auteur : les praticiens ont erré la plupart,
en donnant pour caufe exclufive le vice que quelques obfervations
leur avoient fait appercevoir. Preuve de l’exiftencè
des carnofités, tirée de la maniéré dont M. Darari traite ces
maladies. Remede découvert par M . Goulard pour la même
maladie. Ibid. b. Conduite de l’auteur en la traitant. Livre
de Aqüapendente fur cette matière utile aux praticiens. D i-
verfite dans les traitemens félon les différentes eirconftan*
ces,; exemple digne d’être connu. Ibid. 692. a.
CarnojitéAnmment de cette maladie de l’uretre. X IV . 20 2. a.
C A R N O T O , (Nicolaus de ) greffier éivil au parlement.
Ses ouvrages. X l ï . 12. a.
C A R O B E R T , roi de Hongrie. VII I. 283. b.
C A R O L IN S , (HiJI. eccl. ) livres compofés par l’ordre de
Charlemagne pour réfuter le fécond concile de N ic é e , qui
avoit fait plufieurs décrets contre les Iconoclaftes. Erreur lur
laquelle étoit fondée l’oppofition du clergé de France aux
décrets du concile de Nicée. On a douté de la vérité & de
l’antiquité de ces livres. Cependant il eft certain qu’ils ont
été éciits du tems de Charlemagne. II. 692. b.
Carolin y code. III. 371. b.
C A R O L IN E , ( Géogr. ) obfervations hiftoriques fur le fort
de la Caroline. Suppl. III. 938. b.
C arolines , ijlés. C h e f au gouvernement dés naturels de
ces ifles. X V . 879. a. Pluie qui y tombe annuellement.
Suppl. IV . 418. b.
C A RO LU S , ( Comm. ) monnoie. Premierscarolus. Variations
de cette monnoie dans fa valeur, 8c dans fon titre. IL 692. b.
Carolùs d'or , en Angleterre, fa valeur. IL 692. b.
C A R O N , batelier d’enfer. V . 67o. b. Droit de paffage
que les ombres lui paÿolent. XI. 60. a. Voyeç Ch ARON.
C A R O N C U L E , ( Anat. ) caroncules lacrymales. Erreur dé
ceux qui s’utiaginoieut que la çaroqcule filtroit les larmes.;
corrigée
C A R C A R 237
corrigée par Sténon;8c Morgagni. Anatomie plus exaéle de
la caroncule donnée par l’un de ees anatomiftes. Ufages de
cette glande. IL 693 . b „ . .
Caroncule lacrymale. Suppl. IL .693. b.- Confomption de
cette partie. X IV . 2,42-: A. r, . . v.ï. . r
Caroncules myrtiformes, chez les femmes. Caufes qui les
produifent. Caroncules papillaires:j ou mamillaircs. Leur def-
cription. IL 693. b. ' • . r j r ç ’V . . . . • •: 1 i . > <y
Caroncules des véficules fcminalesi Maladies de cette partie.
XV II . 204. A . V'
C A R O T ID E , ( Anat. ) deux arteres. du cou. Leur, défi-
cription. IL 693. a. Leur divifion en carotide .externe 8c
interne. Les anciens médecins plaçoient le fiege de l’affou-
piffement dans ces arteres ; de - là vient leur nom. Ibid. b.
. Carotides, forte pulfation de-cés vaiffeaux. IV . 3x9. a.
Carotide. ( Anat. 6* Phyfiol.) Defcription très-détaillée
de cette artère,Sc de fes ramifications. Suppl. II. 244. b.
C A R O T T E , (B v t.) Caraéleres de ce genre de.plante.
Dclcription de la carotte ^égumineufe ; fa culture. Ufages en
médecine de celle qui eft appellée daucus vulgaris. Ibid. b.
C A RO U B IER , ( HiJI- ’“ lt- ) noms que donnent à cet arbre
les Botaniftes, les Arabes, les Egyptiens. Sa defcription. Lieux
oii il étoit commun autrefois. Miel qu’en tirent les^ Egyptiens
8c les Arabes. Ufages qu’ils en font. Vertu relâchante de
fon fruir. Ufages qu’on en tire dans les lieux où il eft commun.
Le marc de ce fruit fe donnoit aux porcs. Explication
du mot »£pcér/a employé dans S. Luc. xvj. 5. IL 694. »?..
Caroubier, (Botan. •) Différent noms de cét arbre. Son
çaraélere générique. On ne connoît qu’une elpece de ce
g en re , le caroubier à filique mangeable. Suppl. IL 248. b.
Lieux 011 croît cet arbre. Sa defcription. Sa culture.. Ses
ufages. Ibid. 249., a.
C A R P A , (Géogr.) obfervations fur cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. II. 249. a. •
CA RPA SUM , gomme vénéneufe connue des anciens.
X V I I . 638.
CA R P A TH IE N N E , mer. X. 363. b. .
C A R P A TH U S , mons. X. 687. b.
C A R P E , ( Anatom. ) le poignet. Defcription de fes parties.
Noms latin 8ç arabe de cette partie. Os du carpe. IL 694. b.
Carpe, os du carpe, le feaphoïde, le femi-lunaire, le cunéifo
rme,.le pififo rme ,le trâpeze, le trapézoïde, le,;grand
èc le crochu. Voye^ ces mots.
. Carpe, (Ichthy. ) poiffon fort connu. Étymologie de ce
nom. Son nom g rec St latin. Olifervations générales fur ce
poiffon. II. 694. b. Inexaélitude des figures que quelques
naturaliftes en ont données-. D e fes écailles. Ibid. 693. a.
Divifion de la carpe en quatre portions;la tê te , la poitrine
, le bas-centre, la queue- Defcription de la tête 8c de fes
parties. L e cceu*, l’abdomen , l ’anus, Ibid. b. l’eftomac, les inte-
ftins, le fo ie, la véficule du f ie l , la rate, les oeu fs , leur
quantité. Ibid. 696. a. La laite, les véficules féminales, la
veffie aérienne. Ibid. A C e qui arrive à une carpe placée
fous le récipient d’une machine pneumatique dont on pompe
l’air. Ibid. 697. a. Les reiris de la carpe : la veffie urinaire.
Carpes hermaphrodites. Plufieurs autres poiffons qui le font
auffi. D e la refpiration de la carpe. Nombre prodigieux 8t
prefque incroyable de toutes les pièces qui fervent à la refpiration
de la carpe. Maniéré dont on engraiffe les carpes
hors de Peau en Hollande. Ibid. b.
Carpe, obfervations fur les ouïes de ce poiffon. XI. 706. b.
— 708. b. Sur fes écailles. XII. 890. a. Efpece de carpe nommée
nadde. Suppl. IV . 4. b.
Carpe, ( HiJI. eccl. ) _difciple de S. Paul, &c. Suppl. IL 249. a.
C A R P É E , (HiJI. anc. ) pantomime ancienne que danfoient
les Athéniens 8c les Magnéfiens. Defcription de cette danfe
très-ancienne. Dans quel but elle fut inftituée. IL 698. b. •
Carpente, (Antïq.) charriot en ufage chez les anciens
Romains. Suppl. IL 249. a. Les Gaulois s’en'fervoient auffi.
L a figure de la carpente fe trouve fur quelques médailles.
Ouvrages à confulter. Ibid. b.
C A R P EN TR A S , -( Géogr. ) obfervations fur l’état dé cette
ville dans le moyen â g e , 8c fur quelques lieux de fes environs.
Productions de fon territoire. Trophée ancien qu’on
voit dans le palais épifcopal. Suppl. II. 249. b. Obfervations
fur les premiers tems de cette ville, Suppl. IV . 11 . b.
C A R P EN TU M , char à divers ufaces chez les Romains.
Defcription de ce char. Carpentum d’a?gent fur lequel un roi
gaulois çombattoit. IL 698. a.
C A R P I , (Jacques .Berenger) fes injeélions* anatomiques.
Suppl. III. 60 x. b.
CA R PO B A L SAM UM , (Botan. ) baie ou fruit de l’arbre
qui produit le vrai baume de Judée. Etymologie de, ce mot.
Defcription de ce fruit. Il eft rare dans les boutiques. Autres
fruits qu’on lui fubftitue. Il entre dans la thériaque, 8c le
mithridate. IL 698. b.
CA R PO B O LU S , (Bo ta n .) genre de plante. Sa, defcription.
Changement qui lui arrive par l’évaporation dé ,1a
liqueur dont fes femences font environnées. IL 698. b.
Tome 1. ' , '
C A R PO C R A T IE N S , ( HiJI. eccl. ) hérétiques du deuxieme
fiecle. Seélateurs de Carpocrate d’Alexandrie. Leur doftrîne.
II. 698. b.
. Carpocratiens , faute à corriger dans cat, article de l’Ency-
clopéaie. Suppl. IL 249. b. ■
C A R P Z O V E S , ( le sj , obÉervations fur eps hommes delettres
8c fur leurs ouvrages. IX. 380.«.......... — #
C A R R A , forte de pêche. X V I . 338........
C A R R A C H E , (Louis) peintre.- v . 323. ^. , ,
C a r r a c h e , (AuguJlinJ peintre, V . 326..;^, graveur.
V IL 867. a. Tableau hiéroglyphique de çe ^ h u r e , ^Suppl. I.
363'. «1 ‘ ■ " I
Carrache , ( Annibal) peintre- V . 3.26. 4>$es'p^yfages.
,C A R R AN Z A , (Barthelemj. ) liiftoire de ce dominicain. X.
362. i.‘ '
C A R R A R E , ( marbre de) IX. 742. a , b. 817..
G A R R A V A G È , (Michel-Ange) de la maniéré, dont ce
peintre-éclairoit fes tableaux. V . 407. a.
C A R R É , en terme de bijoutier, de corderie 8ç de mon?
noyage : carrés qui deviennent matrices. IL 699. u.
Carré de cuir, ( tanneur) il contient- jufte ce qu’il faut;
pour une paire de fouliers, 8c s’appelle auffi tableau. Cordonniers
qui .vont au tabiea m H H ■
Carré , ( Louis ) obfervations lur la vie 8c les ouvrages
de cct. académicien. XI. tx.ya,
C A R R E A U , ( Archit. ) terre moulée de différentes formes
8c grandeurs, 8c cuite comme la brique. L e carreau prend
diftérens noms : grands 8c petits carreaux à f ix , pans: leurs
ufages .'carreaux (à tro is, à quatre pans; cajrreaux en forme
dç. cubes : ufage des carreaux de faïance : ca,rreaux mi-partis
.de différentes couleurs. Soixante-quatre com b in io n s de deux
carreaux mi-partis IL 699. a. qui fe réduifent.à ^rente-deux ;
ces trente-deux peuvent fe réduire à d ix , 8c même, ces dix
peuvent fe réduire à quatre,, Ibid. b. Deffins 8c cpmpartimens
qu’on peut former par les différens affemblages ,des carreaux
mi-partis. Inftruétions fur la maniéré de former trente deffins
différens, Ibid. 700. a.
Carreaux mi-partis: leurs combinations. III. 663, b. Com-j
partimens formés de différentes fortes de carreaux, vol. V des
planches,, article Marbrerie.
Carreau, en architeélure., marine, jardinage,.manege,
mejiU'fqrie., ancien monnoyage. IL yoji. b.
Carreau, partie du métier des étoffes de foie ; poids que
les carreaux d oivent avoir. IL 701. b.
CARREAU, ( Serrurerie) groffe lime de fer. Il y a auffi le
demi-carreau. IL 701 . b
CARREAU, ( Tailleur & BlanchiJJeufe ) defcription de cet
infiniment. Il y en a de deux elpeçes chez les tailleurs 8c les
blanchiffeufes. IL 702. a.
Carreau de tailleur d’habits : maniéré de s’en fervir. Suppl.
IV . 923. a , b. .
Carreau, terme de vitrier, i l . 702. a.
Carrea U , (fra n c -) forte de jeu dont M. de, Buffon a
donné le calcul en 1733. Extrait de {on mémoire fut ce fujet.
II. 702. a. ./
Carreaux , ( Art milit. ) efpece de fléchés .anciennes*
Suppl. III. 49. a.
Carreaux, forte de flèche autrefois en ufage en France. V I .
8 36, a. ;
C A R R E AW ,, ( Ichthy. ) poiffon des Moluques. Sa defcription.
Suppl. IL 249. b. Ses moeurs. Maniéré de le daller,
Ibid. 23b a.
C A R R E FO U R , (Jardinage) rencontre de quatre allées
dans une forêt. O n peut les faire circidaires ou quarré.es. IL
702. b.
Carrefourj l’image des dieux viaies étoit élevée dans les
carrefours. O n y plaçoitauffi les ftatues d’Hentiès.VIII. 168. a.
C A R R E L É , ( Manufacture en jo ie ) efpece d’étoffe. Maniéré
de fabriquer le carrelé 8c le cannelé. IL 702,. b: Démonftra;ioi^
de l'armure d’un cannelé. Comment on fait les carrelés à la
marche 8c à la tire. Ibid.-y03. a. Démonftration de l’armure
d’un carrelé à la marche. Carrelés dont lé- poil eft compofé
d’un fil d’or ou d’argent. Ibid. b. , . ’-., .« .,1 , •
C A R R E L E R , paver .une chambre avec des carreaux. Ma-;
niere dont ce travail fe fait. II. 702. b. f^oye^-jCarreleur.
C A R R E L E T , (Ichthy.) poiffon de mer de la claffe des
poiffons plats. On examine fi la plie 8c le carrelet font de
même efpece. D ’où vient le nom de carrelet. Qualité de fa
chair.. Lieux où on le pêche. IL 703. ^ , . ,,t •
C arrelet, infiniment dont fe fervent les apothicaires^
Sa defcription. IL 703. 4 ..
Carrelet, aiguille de fe llie r, cordonnier , fyc, IL 703. M
Carrelet, inurument de chapelier. II. 704. a.
Carrelet, efpece d,e filet pour la pêcheî defcription de
ce filet : maniéré de s’en fervir. II. 704. % ■
C A RRE LEU R, (A r ch it.) cônfeil à ceux qui emploient
cesouvriers,Planches fur l ’artdu carreleur,.vqyeç Architeélure,
vol. I des. planches.
Ô 0 o