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C olonne. (Hiß- Littér. ) Colonnes élevées par les de'fcen-
«äans de Seth. I. 494. b. Colonne funebre. VII . 368. a. C o lonne
de bronze élevée dans l ’hippodrome de Conftanti-
nople. VIII. a i 6. a -De l’ancien ufage de-graver fur des colonnes
les loix du pays. 7 7 6, b. Colonne itinéraire. VIII.
93 5.À Colonnes leugaires. IX. 445. b. Suppl. IV . 5-6. b. Des
colonnes milliaires-: celles q-u’on appelloit cippes.lll. 458. a.
Colonnes milliaires en France. Suppl. III. 939. a. A Périgueux.
Suppl. IV . 299. b. A Sacquenet, village du diocefe de Lan-
g r e s , .7.37. a. fo r l e chemin de Nîmes. X . 250. b. Colonne
milliaire au milieu de-Rome. X. 518. b. X V I I . 418. b. '-Colonnes
femblables dans les principales villes de l’Empire.
Ibid. Colonnes dont Rome eft remplie. X IV . 349. a. Colonne
roftrale. 377. a. Efcaliers dans quelques colonnes à Rome.
Suppl. II. 869. b. Colonne fépulchrale. X V . 73. b. 74. a. Celles
fnr lefquelles on plaçoit des ftatues. 501. b. Colonne fymbo-
lique. 729. b. 734. b. Colonne trajane. X V I . 523. a. Obfer-
vationsfur les mors de chevaux que nous peignent les colonnes
trajane , automne & de Théodofe. V . 5 39. a. Colonne
triomphale. X V I . 651. b. Colonnes que les Scythes érigeoient
en l’honneur de leurs dieux X V II . 720. a. Colonnes fur
lefquelles certains folitaires pafloient leur vie. X V . 5 57. a.
. Colonne automne. Defcription de cette colonne. Comment
Sixte - Quint la répara & l ’orna. Lieux où elle eft placée»
Infcriptions qu’on lit fur chaque face de la plate-forme qui
lui fert de chapiteau. Infcriptions du piedeftal. C ’eft une
erreur de l’avoir attribuée a Antonin-le-pieux. Découverte
de la véritable colonne de cet empereur. Sa defcripti'on. III.
652. b. Voyei A n t iq u it é s , vol. I des planch.
Colonne bellique. Cérémonie qui fe pratiquoit auprès. III.
653. a.
| Colonne de Cèfar.. Vénération que le peuple avoit pour elle.
Dolabella la fit -abattre. Quelques-uns prétendent qué cette
colonne fut élevée fur un ancien autel. III. 633. a.
C olonne, (BL ifon) meuble d’armoirie. Maniéré d e là
repréfenter. Signification de ce hiéroglyphe. Origine du nom
& des armes de la maifon de Colonne. Suppl. IL 507. a.
Colonne torfé. ( Archit. ) Réglés fur la . conftruélion de
cette efpece de colonnes. L eur ufage. Maniéré de les tracer.
Suppl. II. 307. b.
C olonne de Cujfy. ( Antlq. ) O n admire en Bourgogne un
des plus beaux monumens de l’antiquité , unique en France,
& peut-être dans le monde entier, c’eft la colonne de Cufïy.
Auteurs qui en ont parlé & donné la defcription. L’auteur
de cet article rapporte ici celle qu’en a donnée M. Th o -
maflin, fameux ingénieur , habile dans' la connoiffance des
antiquités. Suppl. II. 507. b. Voye^ pl. 1 & 2 , Colonne de Cujfy ,
pl. d’antiq. du Supplément. Autres éclaircïflemens fur ce
monument tirés d’une lettre écrite en 1753 par M. Tifferand,
ancien curé de Crugé & de Savigny. Tombeaux trouvés dans
un bois voifin. Ibid. 509. b. Recherches fur le tems & l’occa-
fxon à laquelle cette colonne a été élevée. Le P. Lempereur
la met au rang des tombeaux qu’on élevoit fur les cendres
des princes. L e P . Montfaucon regarde cet édifice comme
un monument de la dévotion des Gaulois. Saumaife le con-
fidere comme un trophée élevé en mémoire de la télebre
victoire de Céfar fur les Helvétiens. Ibid. 510. a. M. Moreau
d e Mautour, favant antiquaire, penfe que ce monument a
été confirait en l’honneur de la viftoire remportée p a rT é -
'tricus , l’an 2 6 7 , fur les troupes du parti de Claude. — D i-
verfes pièces d’antiquité trouvées auprès de cette colonne,
dans deux fouilles différentes, faites en 1700 8c 1703. —
Le s médailles du Bas-Empire trouvées alors, ont donné lieu
à quelques antiquaires de fixer l’ére&ion de ce monument
fur la fin du troifieme fiecle. — Mais comme on y trouve
également des médailles des premiers empereurs & que
l ’ouvrage de la colonne eft des plus beaux jours de Rome ,
M. Thomaflin croit qu’on ne peut en retarder l’éreCtion plus
bas que Tibere , & qu’elle fut élevée par Augufte , en mémoire
de la célébré victoire remportée fur les Suiffes par
C é fa r , fon pere adoptif. — ■ Differtation qui doit encore pa-
roître fur c e monument. Ibid. b.
COLONNE de feu 6* colonne de fumée. ( Hiß. facr. ) III.
6 *3- a-
Colonne de f e u , voye^ fur ce fujet. X I. 278, b. 279. a , b.
Colonne du tabernacle. III. 633. a.
Colonne d’Hercule. Charles V fubftitua plus ultra au non plus
ultra d’Hercule. III. 653. a.
Colonne laSlaire. III. 653. a.
Colonnes légales. III. 653.0.
Colonne Moenienne. III. 653. a.
Colonnes rofirées. III, 653. a.
Colonne Trajane. Eloge de la beauté’de ce monument. Sa
defcription. Combien la gloire & les vertus de Trajan mé-
ritoient d’être célébrées par les plus fublimes efforts de l’ar-
ehite&ure. C e que firent le fénat & le peuple romain pour
les immortalifer fur cette colonne » qui fut prife de l’ordre
tofcan. Elle fubfifte entière au milieu des ruines dont Rome
eft remplie. III. 653, b. Sixte-Quint qui la releva fit placer
C O L
au-déffus la ftatue de S. Pierre. Ibid. 654. a. Voyeç A nt iq
uités , v ol. I des planch.
Obfervations fur la force des colonnes. Expériences de Muff-
çhenbroek p our éprouver cette force. Recherches du poids
que pourra fupporter un pilier de pierre de briques dont
toutes les dimenfions font données. Conféquence qu’on eu
tire pour eftimer la charge que p eut fupporter «un mur dont
les dimenfions font aulîi données. Un pilier de bois de chêne
pourra fupporter prefque davantage qu’un pilier de,pierre
de meme hauteur. On peut calculer le poids que pouvoient
fupporter les 12 7 colonnes du temple de Diane d’Ephefe.
I L U 5 4 ,* .
C olonne. ( A n milit. ) Il ne convient point à une armée
de marcher en bataille, hors le moment d’un combat. C e
qh’on entend par mettre, l’armée en colonne. La méthode
de bien diftribuer une armée fur un nombre de colonnes
convenable, eft un objet des plus importans. Ouvrage à
confulter fur c e fujet.
La colonne eft encore un corps d’infanterie ferré & fop-
preffé, rangé for un quarré long , dont le front eft beaucoup
moindre que la hauteur. Cette colonne eft celle de M. de
Folard. On a prétendu qu’à la bataille de Fontenoi les Au-
glois avolent combattu en colonne, &c. C e que les plus
habiles militaires penfent de cette colonne. Ouvrages à confulter.
IH. 654. b.
Colonne militaire , chez les Romains. III. 65 5 .a.
ÇoLONNE, marcher en , ( Marine ) III. 655. a.
Colonne, marches en colonnes , des anciens Grecs. SuppU
III. 846. b. D e la colonne d’attaque. V I . 194. a -, b. 8cc. D e
la colonne de retraite. 196. a , b. Voye{ les planches Art militaire
, vol. I des planches. Comment la colonne du chevalier
de Folard doit être fraifée. V II . 276. a , b. Colonnes dans la
marche d’une armée navale. V I. 204. a , b.
C olonne du châtelet ,(Ju r ij'p .) divifion de cinquante-fix
confeillers en plufieurs fervices différens, que chaque colonne
ou divifion remplit alternativement de mois en mois.
D ’où vient ce terme de colonne.
. I. Dijlinttion des différens fervices. Anciennement il n’y en.
avoit que deux au châtelet, le civil 8c le criminel. Eniuite
il y eut trois fe rv ice s , parce qu’on ajouta celui de la con-
fervation pour les caufes de Funiverfité. Mais celtd-ci ayant
été fupprimé, celui du préfidial prit fit place , & la chambre
du confeil forma un quatrième fervice pour juger. Créations
de nouveaux officiers pour former deux femeftres'avec
les anciens. Divifion du châtelet en deux fieges, l ’ancien
8c le nouveau en 1674. C e qui s’enfuivit pour la diftribu-
tion des fervices. III. 655. a. Réunion des deux fieges en
1684.
II. Du nombre des confeillers .employés à chaque fervice.
Comment ce nombre a varié en différens tems. La chambre
de la police 11’a jamais formé une colonne particulière pour
les confeillers. Ibid. b.
III. D e la durée du tems pendant lequel les confeillers font
employés à chaque fervicç. C e qui a été pratiqué à cet égard
en différens tems jufqu’à l’édit de 1685 ,q u i réglé cet objet.
Difpofitions de cet édit. Occafions dans lefquelles les quatre
colonnes ou fervices fe réunifient. Ibid. 656. a.
C olonnes charnues, ( Anat. ) plufieurs petits mufcles des
ventricules du coeur , &c. Leur ufage dans la fyftole du coeur.
III. 656. <z.
C olonne. ( Hydrauliq. ) O n en diftingue deux fortes , celle
d’air & celle d’eau. III. 656. a. Poids de celle d’air..Ce qu’o a
entend par la colonne d’eau. Ibid. b.
C olonnes de Protée. ( Géogr. anc.) X III. 505..A
COLONNES d'Hercule. ( Géogr.anc.) VIII. 156-^z.
C olonne de treillage. ( Jardin.') X V I . 577. b.
C o lo n n e , ( Gilles) doCteur fcholaftique. X IV . 7 75 . a.
C O L O PH O N E , ( Pharm. 6* Arts méch.) préparation de
térébenthine. Ufage qu’en font les joueurs d’inftrumens à
cordes de boyau. III. 656. b.
Colophone , confidérée en métallurgie comme un réduCtif.
V I . 914. b. Poix grecque appellée colophone par les anciens.
XII. 899. b.
CO LO Q U IN T E . ( Bot. ) En quoi ce genre de plante différé
des autres cucurbitacées. III. 65 G, b.
Coloquinte à fruit rond, defcription de fes différentes parties.
Lieux où elle naît. Culture de cette plante dans nos
climats. III. 656. b.
C o lo q u in t e , ( Mat. midic. ) nature de ce purgatif auflî
ancien que la médecine. III. 656. b. Dans quelles circonftan-
c e s , & pour quels effets on le recommande. On s’en fert
dans tous les cas où il faut fe tirer d’un danger par un autre.
C ’eft à tort que quelques médecins ont voulu profcrire la
coloquinte ; il y a bien des cas où l’on peut l’employer,
pourvu'qu’on la faffe avec difeernement. Purgatifs faits par
la décoCtion & infufion de coloquinte dans l’eau ovt le vin.
Extrait de coloquinte en forme de pilule. Sous quelque forme
que ce foit., elle eft rarement employée feule. Tempéra*
mens qui la fupportent. \\ faut fe garder de la donner aux
femmes
C O L
femmes enceintes. Son ufage dans les maladies chroniques.
Son' éloge & celui de la feammonée. Ibid. 6 57. a. Différentes
correftions de la coloquinte propofées par plufieurs auteurs.
Correétion en ulàge dans les boutiques. Trochifques
alhandal. Analyfe de la coloquinte. Différentes dofes de coloquinte
qu’on doit donner félon la forme fous laquelle on
l’adminiftre ; dofe de l’extrait. Ibid. b. D o fe de la colo-
3uinte en fubftance , des trochifques ou de la poudre : dofe
e la coloquinte en décoCtion. Diverfes préparations dans
lefquelles-. elle entre. Compofition de l’éleCtuaire de coloquinte
: maniéré d’employer ce puiffant hydragogue. Ibid.
658. a.
C O L O R , ( Ichthy. ) poiffon des ifles Molùques. Sa def-
çription. Lieux qu’U frequente. Sa claflification. Suppl. II.
51 h a’
C O L O R A T IO N , ( Pharm. ) dans quel but on colore en
pharmacie. Pourquoi l’on a fait entrer le cinnabre dans la
poudre tempérante de Sthal. Pourquoi l’on colore l’huile ou
l’onguent rofat. Comment fe fait la coloration des matières
feches Sc des matières liquides. III. 658. a.
CO LO R E R les vins : procédés par lefquels on remplit cèt
objet. X V I I . 295. a , b. 297. b.
C O L O R IS , ( Peint. ) différence entre la couleur & le
coloris. La partie du coloris qui comprend auflî celle du
çlair-obfcur, , eft une des plus eflentielles de la peinture.
Quoique le terme de colorié s’étende fur tous-les objets, on
l ’emploie plus généralement fur les carnations. Le coloris
étoit connu & pratiqué avant Homere. Sa defcription du
Bouclier d’Achille. III. 6 58. b.
Coloris, fi la peinture n’avoit qu’une couleur pour tous
les objets, elle feroit fans doute privée d’une partie confi--
dérable de fa beauté. C ’eft l’illufion qui produit le plus haut
degré d’énergie: or il n’y a point d’illufion où la vérité n’eft
pas parfaitement repréfentée,-& par conféquent en fait d’objets
vifibles, la perfeétion du coloris eft un article très-
eflentiel pour atteindre au grand but de l ’art. Suppl. II. 5 x x. a.
Mais en quoi çonfifte cette perfection du co lo ris, & par
quelle v o ie , par quelle étude le peintre parvient-il à la pofle-
d e r? C ’eft p eu t-ê tre là le problème le plus difficile de
l ’art. — Pour s’accoutumer à féntir la beauté du coloris,
c ’eft à l’école de la nature que l’artifte doit -recourir. Il y
v e r r a , fous toutes les formes poflibles, les plus parfaits modèles
dans tous les genres du beau. Ibid. b. Et d’après des
obfervations fouvent répétées, il comprendra qu’une des
principales caiifes des beautés du coloris, eft le ton gracieux
d’une lumière adoucie, foit qu’elle vienne immédiatement
du foleil, foit que refléchie par un ciel ferein, elle répande
fur les ombres une douceur agréable & variée. - Il apprendra
de plus qu’un objet paroît dans fa plus grande beauté,
lorfque la lumière incidente le divife en deux grandes maffes
bien proportionnées, l’une claire & l’autre o b fcu re ._
L ’artifte paffera enfuite de la contemplation de la nature à
celle de l’art, — Ibid. 512. a. Et enfin il fe fervira de ce
double fecours pour apprendre l’art difficile de colorier. -
I l recherchera comment ce qu’on nomme l’effet eft produit
uniquement au moyen des jours & des ombres. Il obfervera
en général les modifications & la dégradation des couleurs
à mefure que l’oeil s’en éloigne davantage. — Comment l’artifte
acquerra la connoiffance des çaufes qui produifent l’harmonie
des couleurs,& celle de l’affoibliflement fucceffif des
couleurs propres de chaque objet, depuis le point le plus
éclairé jufqu’à Fombre la plus forte. — Voye^ l’article Demi-
teintes. — Etude des reflets. Ibid. b. — Celle des carnations.
—- D e la manipulation des coideurs. L’étude du coloris
exige tant d’obfervations & de tra va il, que c’eft ici où la
maxime d’Apelle , nul la dies fine lineâ, eft plus indifpenfable
que par-tout ailleurs, & où Fart eft le plus inépuifable.—
D ivers carafteres par lefquels les' grands peintres fe font
diftingués dans leur coloris. Ibid. 513. a.
. Cobris, examen de la queftion fi le mérite du coloris
1 emporte for celui du deflin & de l’expreffion. V . 331. a.
Effet du coloris : écueil où tombent la plupart des artiftes à
1 égard du coloris : de Fart de favorifer l’effet de la couleur
par la dupohtion des lumières. 406. b. 407. a. Quelle eft
une des meilleures études de coloris qu’un éleve doive faire.
V I . 859. b. Iraxté du coloris par le Blond. VII . 899. a.
y oyez. Couleurs & Carnation.
C oloris. (Jardin.) Maniéré de faire prendre aux fruits
des couleurs vives. 1L1. 658. b.
C o l °R IS , (Belies-lett.)' du coforfs du ftyle de l’épopée.
-V 830. A Brillant colons. Suppl, n . 53. Propriété du
colons. Suppl. IV. 5.39. b. Du coloris dans l’expreflion. oç-i b
COLOSSAL. Des figures coloffales dans la peinture.ïll.’
678. a , b. XIII. 154. b. Statue coloffale. X V . 407. b. Co lonne
coloffale. III. 652. a.
CO LO S SE , ( Archit. ) étymologie du mot. Deux fortes
a ouvrages défignés par ce nom. III. 65,9. a.
Colojfe de Rhodes. Dimenfions de cette ftatue. Occafion
fjiti donna fieu à fon élévation. Sa cfiùte foixame-fix ans
.Tome I,
C O M 349
après par l’èffet d’un trémblemént de tèfrè. Q u ête que
firent les Rhodiens pour réparer le dommage que cet accident
leur avoit caufé. Combien elle fut avantageufe. III.
659. a. Vente qui fut faite du co lo fle , Fan de J. C . 672 à*
un marchand Juif. Autres ftatues coloffales connues dans
l’iiiftoire. Ibid. b. Voyer R hodes.
Colojfe, article très-etendu for ce colofle. X IV . 256. b. 6-c.
Autres obfervations fur le même fujet. 8x8. b. Comment
ce colofle peut avoir été fait. II. 442. b. Colofle qu’on
v ° y o ù près de T h e b es , en Egypte. X V . 773. b.
CO LO S SIEN S , ce nom donné aux Rhodiens par quelques
auteurs. XIV. 258. a.
CO LPO RTEU RS , ce qu’ils étoient anciennement. C e
que nous entendons aujourd’hui par ce nom. III. 6 ïq . b.
C o lpo r teu r s ( / „ r i/ p .jü s font mis dans la claffé des
menu-feneftners, & les uns & les autres étoient exempts de
certaines impofmöhs. Defenfes qui les concernent en tems
de contagion. Pxece de cuivre que portent à leur habit les
colporteurs de livres pour annoncer leur état. Défenfes qui
les concernent. III. 660. a. . H
• 5 ( / S ™ - ) chou fauvage.... dont la graine fournit
de 1 huile. ( Voye{ N a v e t t e . ) Q uelle eft la meilleure
pour le moulin. Son prix le plus ordinaire. Il en faut une
livre pour ferner un cent de terre. Choix du terrein qu’on
veut .enfemencer. Comment oh le prépare. Terre deftinée
à planter. Tems & maniéré de la préparer.. Tems de ferner
& de planter. Maniéré de tranfplanter. Autres obfervations
fo r la culture du collât. III. 660. b. Tems & maniéré da
, re "L r^c °ù e- L e colfat repôfe ordinairement jufqu’après
la moiflon. Obfervations for tout ce qui concerne l ’opération
de battre. Quand tout eft b attu, on nettoie par le mo yen
dun puroir. La graine purifiée eft portée dans des facs au
grenier. Q u el doit être le plancher du grenier. Cette graine
doit être promptement vendue. C e qu’on fait de la paille &
des tiges battues. Ibid. 661. a. Produit que donnent en huile
vingt rafieres de graine. Ufage du marc d’huile. Tourteaux
qu’on fait avec ce marc. Ibid. b.
C O L T IE , ( Archit. navale ) voyer COLTIS.
CO L T IS , ( Archit. navale ) voyer C o lt îe. C ’eft le premier
couple de Favant du vaiffeau. D e la coupe & de fa pofition.
Suppl. II. 5x3.0.
C O L O M B O , ( Ichthy. ) nom que les habitans d’Amboine
donnent à un poiffon décrit dans cet article. Lieux qu’il fréquente.
Qualité de fa chair. Sa claflification. ' Suppl. IL
513. b.
CO LUM B A R IA , (H iß . anc. ) trous pratiqués aux nayires
pour y paffer les rames. Maufolées des familles de diftinétion.
III. 661. ~b...
Columbaria , niches fépulcrales. X V . 74. a. X V I I . 489. b.
CO LUM ELL E , ( Marc ) foins qu’il prit en Efpagne pour
améliorer & augmenter les laines du pays. IX. 179. a , b.
C O L U M N A , ( Géogr. ) lieu ancien dans l ’Orléanois. Suppl\
IV . 704. a, b.
C o lum n a , ( Fabius ) obfervations fur fa méthode botanique.
Suppl. IV . 404. b. ,
CO LU PPA , ( Botan. ) plante du Malabar. Ses différentes
défignations. Sa defcription. Suppl. II. 513.- Sa culture. Q ualités
qu’on lui remarque. Ufages que les Malabares en tirent. Sa
claflification. Ibid. 514. a.
C o lu p p a , (Ichthy.) efpece de ce genre de poiffon nommé
coipa. Suppl. II. 499. a.
C O LU R E , (Géogr. & Aflr. ) defcription & ufages des cer-;
clés de ce nom dans la fphere. III. 6 6 x. b. .
C o lu r e ou Coloure, ( Géogr. ) mines de diamans de Colure;
IV . 938. a , b.
C O L Y B E S , ( Hiß. eccl. ) offrande que font les Grecs:
Comment elle fe compofe. Formule qu’ils ont pour la
bénédiction des colybes.. Origine de cette cérémonie. Les
Grecs donnent à cet ufage des interprétations myftiques,
III. 6.62. a.
Colybes. Correction à faire dans, cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. II. 514. a.
C O L Y T O S , fameux quartier d’Athenes. XI. 960. a.
C O M , particule prépofitiveen françois. XII. 101. a.
C O M A , ( Médec. ) les anciens ont fubdiyifé cette maladie
en coma yigil & coma fomnolentum. Différens degrés de cette
même maladie. III. 662. a. Voye£ So por euse & A s soupissement.
Coma. Différence entre le carus & le coma. II. 733. b. Fievre
comateufé. VI. 728. a. Coma vigil. X V I . 781. b.
COMANE. Cinq villes anciennes de ce nom. Noms modernes
de quelques-unes. III. 662. b.
COM A T I , (Botan. ) nom brame d’un arbre-du Malabar;
Ses autres noms. Defcription , culture , qualités & ufages de
cet arbre. Maniéré de le claffer. Suppl. IL 514. b.
C O M B A D A X I , chef des bonzes philofophes du Japon. II.
329. b.
COM B A T . Différence entre bataille & combat. Combat
nayal, III, 662, b,
Î T T t t
I