rie 176a. Raifons des partifansd e Pancien & du nouveau
fyftême. Ibid. b. Obfervations fur Tufage adopté , depuis
la paix , rie ne manoeuvrer les pièces une fois entrées en
aélion ou prêtes à y e n t re r , qu’à bras d’hommes. D e l’a
•tiefanteur des pièces de l’ancien & du nouveau fyftême.
Ibid. 6 15 . a. Quelles font celles qui méritent la préférence,
relativement à leur portée 8c à la jufteffe de leur direction.
D es épreuves faites à Douai avec une piece de quatre
longue , 8c une piece de quatre du nouveau fyftême. Ibid,
b. L ’expérience a confirmé ce qu’avoit indiqué la théorie,
qu’une piece courte , toutes conditions égales d ailleurs , a
•une moindre po rté e , -qu’une piece plus longue J rie même
■ calibre. Occafions o ù cette diminution de portée eft une
perte réelle. Faux expédiens par lefquels on a cru remédier
à cet inconvénient. Ibid. 616. a. Autres inconvéniens pro-
venans du recul des pièces courtes. Nouvelle confidération
au dèfavantage de ces p ièces : comme elles ont une moindre
portée que les pièces longues , elles frappent leur objet
fous un angle plus o u v e r t , d’où il arrive qu’il y aura plus
de polirions entre le but-en-blanc & la batterie , où l’ennemi
ne fera point frappé. Ibid. b. Selon les partifaris de
l ’ancien fyftême , on doit préférer , même la piece de
quatre lo n g u e , aux pièces de 12 & de 8 raccourcies, fui-
vant le nouveau fyftême. La direétion des pièces courtes
c ft moins jufte 8c moins sûre ; défaut qui réfuite de leur
conftruétion. Ibid. 617. a. Difficulté d’affurer le coup de
boulet à 400 toifes de diftance , même avec nos pièces
longues, fu r un petit objet ou une troupe qui marche. En
quels cas on peut tirer à cette diftance 8c même au - delà.
Ibid. -b. Dèfavantage de placer le canon fur des hauteurs
trop élevées , d’ou les coups font plongeans & incertains.
Le s batteries, pour avoir un effet décifif dans une affaire ,
doivent être fortes & fe protéger réciproquement. Ibid.
618. a. D e la rapidité de la îiicceflion des coups fuivant les
diftnnces auxquelles on rire. Obfervations fur le canon tiré
à cartouche. Ibid. b. Pourquoi cette maniéré de charger
le canon a été préférée aux boulets. Raifons les plus fortes
qui ont été alléguées en faveur de la nouvelle artillerie ,
& auxquelles il n’eft pas aifé de répondre, à moins d’attaquer
le fyftême aéiuel de Taftiqile en totalité. Ibid. 6x9. a.
La qualité de bien porter la mitraille n’eft point particulière
aux pièces courtes 3 on petit même dire que celles
qui feroient plus longues auroient la fupériorité à cet égard.
C ’eft d’ailleurs une maxime reconnue des anciens officiers ,
que les boulets caufent plus de défordre que la mitraille.
Il eft encore reconnu que les grappes de raifin 8c les boëtes
de fer blanc remplies de petits mobiles, ne font pas d’un
aufli bon ufage que les balles de munition renfermées dans
des facs d’une toile légère ; & q u e , quelle que foit l’efpece
de mitraille que l’on emploie ., On ne doit fe fervir des
pièces de canon, pour cet ufage , que lorfqu’on eft fort
près de .l’ennemi. Ibid. b. Expofition de quelques faits, qui
montrent que les coups • de canon à cartouche , à balles
roulantes , font aufli meurtriers de p rè s , qu’ils font peu
dangereux de loin. Ibid. 620. a. D ’où l ’on conclut qu’on
ne doit employer cette maniéré d’exécuter le canon qu’à
cent toifes pour la plus grande diftance, 8c entre foixanteou
quatre-vingts pour la diftance mo yenne, 8c de très-près pour
les effets décififs; que dans tous les autres c a s, les boulets
doivent être préférés aux cartouches. Ibid. b. Les parrifans
rie la nouvelle artillerie ont beaucoup fait valoir l’économie
qui réfultoit de ces nouveaux établiffemens, & ont prétendu
de plus, que les équipages d’artillerie , formés fur le
nouveau plan , dégraderoient moins les chemins que ceux
d’autrefois. Réponfe à cette objeéfion. Ibid. 621. a. Réca-,
'inflation de tout ce qui a été dit dans cet article. Ibid. b.
dée des manoeuvres de la nouvelle artillerie. S ervice d’une
piece de bataille dû calibre de douze par huit hommes du
corps r o y a l , & fept de l’infanterie. Pondons des canonniers
& lervans, à droite de la piece. Ibid, a , b. Pofition des canonniers
& fervans, à gauche de la piece. Ibid'. 623. a. Manoeuv
res avec les chevaux pour les.-pieces des trois calibres. Ibid,
b.— Foye\ Canon de Campagne.
A R T IM O N , ( Marine ) mât du navire placé le plus près
de la poupe. Voile d’artimon. Difpofition de la vergue d’artimon.
Utilité de la v o ile d’artimon pendant la tempête. I.
745. a. -
Artimon , ( Marine') bas mât le plus en arriéré du vaif-
feau. Defcription de ce mât. Ses dimenfions. Ordre que l’on
Obferve dans le capelage du mât d’artimon. Suppl. I. 624. a.
Maniéré d’affujettir le mât. Defcription de la vergue d’artimon.
Maniéré de la fûfpendre. Ibid. b. C e qu’on entend
par artimon à corne. Voile d’artimon. D eu x efpeces de
voiles diftînguées par les noms d’artimon à là françoife &
artimon à l’angloile. Ecoute d’artimon. Maniéré de carguer
l ’artimon, Ibid. 625. a.
Artimon, pavillon qui fe place au mât d’artimon. IV . 524. a.
A R T I S A N , corps des artifans. IV . 628. a. Caufes qui
les obligent à haufler le prix de la main - d’oeuvre dans les
villes opulentes. IX. 768. b. Encouragemens qu’ on leur doit.
3. 7 17 . a. Eloge des artifans. X . 463. a , b.
A R T IS T E , les grands artiftes aufli rares chez les anciens
que parmi nous. Suppl. III. 356. a. Degré de perfection qu’ils
atteignirent chez les Grecs. Voyeç l’article de cette nation.
Pourquoi ils tombèrent dans le mépris chez les Romains.
Suppl. I. 594. a. Les talens des modernes préférés à ceux
des anciens. Ibid. b. Ame aCtive , fenfible & capable de s’in-
tèreffer que doivent avoir les artiftes. Suppl. III. 628. a , b.
Qualités & talens qu’ils doivent avoir. Suppl. I. 396. b.
Talens que fuppofe dans l’artifte l’art de faifir le caraélere
de chaque chofe. Silppl. II. 230. b. Jugement 8c fugacité que
la belle exécution fuppoife dans l’artifte. 910. b. D u talent
de l’expreflion , voye^ ce mot. Qualités que fuppofe la force
d’expreifion. Suppl. II. 920. a , b. D u coup d’oeil néceffairè
à l ’artifte. 641. a. Effets du climat fur les artiftes. Suppl. III.
ç i8 . b. Etude qu’ils doivent faire de la nature. Suppl. IV .
19. a , b. 8cc. Comment ils peuvent fe mettre en état d’exciter
l’admiration, Suppl. I. 17 1. a. D e donner de l’agrément à
leurs 'ouvrages. 2x3. b. Confeils à ceux qui afpirent à la
perfedion de leur art. 462- b. 463. a. Grand principe que
l’artifte doit fuivre dans fes compofitions. 396. b. Attention
qu’il doit avoir pour éviter les défauts choquans. Suppl. II.
400. b. Comment il acquerra la connoiflànce des proportions
que doivent avoir les parties de fon ouvrage. 908. b -, & c.
L ’étude de l’antiquité néceffaire à plufieurs artiftes. Suppl.
III. 515. a. Sur les réglés & maximes que les artiftes doivent
o b fe rv e r , voye[ encore O uvrage de l’A rt. Des
communautés entre ceux qui exercent le même art. IIÎ. 724,
a , b. Réflexions fur les artiftes qui s’appliquent aux découvertes
& approfondiffent les principes de l’art. V . 838. b.
D e l’erithoufiafine qui anime les artiftes. 719. b. Effets du
génie dans un artifte. V II . 582. a , b. Comment on pour-
roit intéreffer chaque artifte à fe rendre utile au public. IX.
914. a. Emulation qui devroit régner entre ceux qui exercent
les arts : moyens qu’on devroit employer pour en
obtenir des ouvrages propres à faire la gloire de la nation.
V I I . 103. a. Suppl. I. 59^. a. Connoiffances phyfiques &
mathématiques que la plupart d’entr’eux devroient pofféder.
I. 7 16 . a. Comment on devroit relever ceux qui exercent
les arts. 7 17 . a , b. Réflexions fur les fecrets des artiftes ,
& fùr ceux qui fe montrent peu communicatifs. I. 7 17 . <1,
b. II. 659. a. V . 647. b. Dans quel tems de fa v ie un artifte
doit écrire fur fon art. V . 334. b.
A R T O IS , ruiffeaux fouterreins en Artois. V I I . 94. a.
Etats d’A rtois. V I . 29. a. Confeil d’Artois. IV . 2. b.
A R T O R IU S , médecin. X. 280. a.
A R T O T Y R IT E S , ( Hijl. eccl. ) feCle d’hérétiques du
deuxieme fîecle. Leurs pratiques. I. 745. b.
A R V A L E S , (Hijl. a nc.) prêtres romains qui afliftoient
aux facrifices des ambarvales. Pourquoi ils furent appelles
de ce nom. College des freres arvales. Marque de leur
dignité. I. 745. b. Fondatrice de cet ordre. Origine du facri-
fice qu’ils célébroient. D u nombre de douze , qui étoit celui
de ces prê tres , 8c du nom de freres qu’ils portoienr. Ibid.
746. a.
Arvales, freres, employés pour purifier les arbres foudroyés.
X V . 548. a , b.
A R V A N , ( Conchyliol. ) efpece de coquillage , du genre
des vis. Auteurs qui en ont donné la figure. Différera
noms fous lefquels les naturaliftes l ’ont défigné. Suppl. I.
6 23. a. Lieux ou on le trouve. Defcription de là coquille
8c de l’animal. Ibid. b.
A R V IE U X , ( Laurent ) comment il s’eft illuftré. X. 158-/1.
A R U M , (Botan. ) voyeç PlÉ DE VEAU.
A R U N D E L , ( Géogrj) députés de cette v ille au parlement.
T itre de comte 8c de pair attaché à celui qui pofi
fede le château d’Arundel. Obfervations fur les marbres de
de ce nom.— Foyeç A rondel. Suppl.ï. 626. a.
A R U P A , (Botan. ) arbre commun fur les montagnes
d’Amboine , 8c de la petite ifle de C é ram, l’une des Molu-
ques. Defcription, qualités 8c ufages de cette plante. Suppl.
I. 626. a. Maniéré de la claffer. A utre efpece d’arupa. Ibid. b.
A RU SP IC E S , (Hijl. a nc.) les' Romains faifoient venir
leurs arufpices d’Etrurie. Us y envoyoient de jeunes gens
de leurs meilleures familles pour s’inftruire dans cet art.
Comment les arufpices examinoient les entrailles des victimes.
C e qu’on obferva dans ces viétimes le jour que Céfar
fut affafliné. Voye^ A ugures. I. 746. a.
Arufpices, parole de Caton fur les arufpices. V . 727. b.
Qrigine de leui» art. V I I I . 60. b. Livres des arufpices. IX.
604. a. Voye{ Haruspice , Haruspicine , 8c Extispice.
ARYTCEN OÏDES , ( Anat. ) cartilages de ce nom. SttppL
III. 707. a. Mufcles arytoenoïdiens. 708. a t b.
A S
A S , étymologie de ce mot. Différentes divifions de l’as.
Différens poids 8c valeurs qu’il a eus en divers tems de la
république.
république. Figures marquées fur cette piece de monnoie.
Ibid. b. On fe fert aufli du mot as pour défigner une chofe
entière ou un tout. Parties ou divifions de l’as. Ibid. 747. a.
A s romain, aufli nommé libra 8c pondo. IV . 825. b. D iv ifions
du poids de l’as. X V . 139. a. Variations de l’as en
différens tems. XIII. 637. b. L ’as fe prenoit pour la fonune
entière d’un capital. X V I I . 555. b.
A S A , ( Hijl. des Juifs.) fils 8c fucceffeur d’A bia, roi de
Juda. Tableau de fon régné. Suppl. I. 626. b.
A SAM IN TH E , ( Myth. ) efpece de fiege à Tu fag e du
pr.être de Minerve Cranea. Defcription du temple. Observations
fur le prêtre. I. 747. a.
A S A R H A D D O N , (H ijl. d’AJfyric) comment il parvint
au trône d’A ffyrie. Tableau de fon régné. Suppl. I. 626. b.
A S B E S T E , ( Oryflolog.) cette pierre eft d’un genre différent
de l’amyante. Suppl. I. 626. b. Sa defcription. Sur fon
origine , voytj A m yan te . Sept efpeces d’asbeftes. Ibid. 627. a.
Asbejle, efpece de fin incombuftible. IX. 549. a. Papier
d’asbefte. XI. 860. a. L’asbefte diftinguée de l’amyante. Suppl.
I. 377. a.
A S B IO R N , ( Hift.de Danemarck) ch e f de rebelles fous
le régné de -Canut lV . Hiftoire de la révolte qu’il conduifit.
Suppl. I. 627. a. Mort de Canut. Fin malheureufe d’Asbiorn.
Ibid. b. -
A S C A G N È , jeujx en fon honneur. X V I . 688. a , b.
A S C A R ID E S , petits vers qui le trouvent dans l’homme
8c dans quelques animaux. Leur fo rme , leur mouvement,
partie du corps qu’ils occupent. Sujets chez lefquels ils fe
trouvent plus 'communément. D ’où ils font produits. Comment
on les chaffe. I. 747. kb.
A SC A RU S ou ASCARUM , ( Mijfique des anciens ) infiniment
de pereuffion. Obfervations fur ce que différens auteurs
ont écrit de fon origine, de fa fo r c e , de fon ufage. Suppltl.
627. b.
A S C E N D A N T , ( Aftrologie ) c’eft de l’afeendant qu’on
tire l’horofcope. 1 . 748. a.
A scendant, (Aftronomie) latitude afeendante, noeud
afeendant, fignes afeendans. 1 .748. a.
A scendant, ( Anatomie) aorte afeendante, v e ine -cav e
afeendante : pourquoi plufieurs anciens anatomiftes l’ont
appellée veine-cave descendante. I. 748. b.
A scendans , ( terme de Droit ) les premiers afeendans
font feuls héritiers naturels de leurs enfans , 8cc. La plus
grande partie des coutumes leur donnent les meubles 8c
acquêts. Dans certains cas même , elles leur adjugent les
propres. Autres réglés de fiicceffion par rapport aux afeen-
rians , foit dans les pays de coutume, l'oit dans ceux de droit
.écrit. 1 . 748. b.
Afeendant, devoir des. enfans envers leurs afeendans qui
font dans l’indigençe. V . 654. b. Légitime des afeendans.
IX . 366. b. Succeffion des afeendans. X V . 597. b. 598. a.
Exhérédation des afeendans. V I . 256. b. Degrés en ligne
direéle 8c en collatérale afeendante. IV . 76.5. b. Tiers en
afeendant. X V I . 323. b.
A SCEN SION do4a feve. Mouvement de la f e v e , fuivant
M. Haies. I. 740. a.
Afcenfion de fa feye. Voye? Seve.
A scension , ( AJlronornie ) afcenfion droite. Deux étoiles
<qui ont la même afcenfion s’élèvent en même tems dans la
iphere droite. Il n’en eft pas de même dans la fphëre oblique.
A r c de l’afeenfion droite. Méthode pour avoir l’afcenfion
droite du foleil. Afcenfion oblique. 1. 749. a. Différence
afcenfionnelle. T rou v e r l’afcenfion oblique du foleil. A rc
d’afeenfion oblique. Table de l’afcenfion droite de vingt
principales étoiles pour les années 1742 8c 1750.
A scension, ( Aflron.) fruité à corriger dans cet article
de l’Encyclopédie. Suppl. I. 627. b.
Afcenfion droite. La détermination de l’afcenfion drôite du
foleil 8c de celle d’une étoile fix e , eft la bafe de toute l’af-
tronomie. On ne peut déterminer celle d’une étoile que par
çelle du fo le il, oc celle -c i que par le moyen de fa décli-
naifon, qui fe conclut de la hauteur méridienne. Comment,
au moyen de ces données, on çonooît l’afcenfion droite
du fo le il, 8c enfuite celle de l’étoile. Afcenfion droite de
Syrius 8c de la Ly re. Comment par l’»fcenfion droite d’une
feule étoile on peut trouver aifément toutes les autres. Suppl.
1. 628. a. Afcenfion droite du milieu du ciel. Ibid. b.
Afcenfion. Cercles d’afeenfion droite 8c d’afeenfion oblique.
IL 836. a. Différence entre l’afcenfion droite 8c l’afcenfion
oblique. Différence d’afeenfion droite entre deux affres.
Moyen de connoître celle d’une planete en la comparant à
•une étoile connue. Suppl. IL 720. b. Mouvement des étoiles
en afcenfion droite. Voye^ Précession. Mouvement de
l’afcenfion droite moyenne du pôle' boréal de l’équateur.
Suppl. IV . 890. a. Méthode pour trouver l’afcenfion droite
.des étoiles fixes. V I . 64. b. Suppl. IV . 249. b. Inftrument
pour obferver les afeenfions droites. XII. 1 15. a , b. 116.
a > •>. Ufage du réticule pour cette observation. Suppl. IV .
023. b. 624. a. Se&eur aftronomique deftiné à prendre .Jia
différence d afcenfion droite de deux affres éloignés. X IV .
877. a , b. Réfraction d’afeenfion. XIII. 900. a. D e l ’aberration
des étoiles en afcenfion droite. Voye^ A berration.
Effet de la nutation fur l’afcenfion droite des aftres. Foyer
Nutation. Equation du mouvement annuel des étoiles en
afcenfion droite , caufée par la diminution de l’obliquité de
l’écliptique. Suppl. IV . 919. a. Tables de l’afcenfion droite
8c de la déclinaifon pour les différens degrés de longitude
8c de latitude céleftes. 924. a.
A scension , ( Géom. & Hydroft.) mouvement d’un corps
pouffé de bas en haut. I. 62, a. Loix de l ’afcenfion des
corps fur un plan incliné. XII. 694. b. Afcenfion tauto-
çhrone. X V . 945. b. DePafcenfion de l ’eau dans les pompes :
quelle en eft la caufe. I. 228. b. Suppl. IV . 319. b. Comment
les anciens l’expliquoient. VIII. 312. b. Sentiment de
Galilée fur la caufe de ce phénomène. Suppl. III. 175. b.
Afcenfion de l’eau dans les tubes capillaires. II. 627. b. Dans
les tubes qiû communiquent enfemble, un même fluide s’y
élévera à la même hauteur. VI. 882. b. D e l’afcenfion des
folides. dans un fluide fpécifiquement plus pefant. V . 565.
a. V I . 882. a. X V . 444. b. Loix çle cette afcenfion, X IV .
176. 'b. Foyei l’article Elévation. V . 505. 4 , b. 8c A spiration.
Afcenfion de Jefus-Chrift. Tertullien fait une énumération
des différentes erreurs que l’on a avancées fur l’afcenfion
du fauveur. Celles des Appellites, des Séleuciens, 8c des
Hermiens. Fête de l ’afcenfion. I. 749. b.
A scension , ( Hijl. eccl. fi* Jurifpr.j prières 8c procédions
avant la fête de l’alcenfipn. X IV . 319. a , b. Parlement de
l’afcenfion. X II. 41. a.
A scension , ( Ifie de V ) pourquoi l’on ne s’y eft pas établi.
Coutumes qu’obfervent les voyageurs qui y paflënt. 1. 749. b.
Voyei VII I. 922. a. Terrein brûlé de cette ifle. XV II . 446. a.
ASCEN SION NEL , ( Aflron. ) différence afcenfionnelle ,
celle qui/ eft entre l’afcenfion oblique 8c l’afcenfion droite
d’un aftre. Si on réduit en tems la différence afcenfionnelle,
on connoît de combien les jours de l’année auxquels elle
répon d, diffexent du jour de l’équinoxe. Dans les fignes
feptentrionaux, les afeenfions droites des degrés de l’écliptique
font plus grandes que leurs afeenfions obliques, ,8cc.
Méthode pour trouver la différence afcenfionnelle, par la
latitude du lieu 8c de la déclinaifon du foleil. 1. 750. a.
A S C E T E S , fens littéral de ce mot. A qui ce nom convient.
On l’a donné dans l’orient aux moines 8c religieufes.
1. 750. a. Cependant on obfervoit autrefois des différences
entre les afeetes 8c les moines. Ibid. b.
Afcite s, moines de ce nom. X. 615. a, Foyeç ANACHORETE
, CÉNOBITE , HERMITE.
A S C É T IQ U E . Livres afcétiques. V ie afcétique. I. 750. b.
A S CH AM , ( Roger ) X V I I . 673. /z.
A S CH A R IO U N S , difciples d’Afchari, doéleur Muful-
man. Paffages de l’alcpran fur lefquels les Afchariens éta-
bliffent leur fyftême fur la liberté 8c le mérite des oeuv re s ,
oppofé à celui des Montazales. I. 750. b. En quoi confifte ce
fyftême. Matières fur lefquelles les chrétiens devroient fe
fupporter paifiblement lorfqu’ils font d’un fentiment différent.
Ibid. 7 5 1 . a.
A S C IA , explication de ce mot qui fe voit fur quelques
tombeaux. X V . 561. a.
A S C IEN S , ( Géogr. ) peuples qui en certains tems n’ont
point d’ombre. 1. 75 1 . a.
Afciens , peuples appellés de ce nom en Géographie. XI.
464. b.
A S C IO R , A fo r , A fur ou Hafur , ( Mufique infirumentale
des Hébreux) inftrument qui a v o it-d ix cordes. Sentiment
de D . Calmet 8c de Kirker fur cet inftrument. C e dernier
préféré. Suppl. 1. 628. b.
A S C IT Ê , ( Médecine ) fymptomes de cette hydropifie.
Comment on peut la' diftinguer de la groffeffe. Suppl. I.
628. b. Différence entre l’hydropifie enkyftée du bas-ventre
8c la vraie afeite. Hydatides qui accompagnent fouvent la
première. Hydropifie du péritoine. Qualité 8c quantité des
eaux qu’on tire des hydropiques. Ibid. 629, a. Caufes de
l’afcite. Prognoftics. Ibid. b. Défordres internes qui accompagnent
cette maladie ; l’hydropifie du péritoine, 8c l’h y-
dropifie enkyftée. Ibid. 630. a. Traitement de l’afcite. Ibid.
b. En quels cas on peu,t avoir recours à la paracentefe ou
ponétion. Précautions à prendre pour rendre l’opération fruc-
tueufe. Ibid. 63 t. a.
Afeite. Foyei Hydropisie. Hydropifie abdominale caufée
par un dépôt laiteux. Suppl. I I. 702. b. Comment l’afcite fe
diftingue de la groffeffe. Suppl. III. 2 71. b.
A scite , ( Maréch. ) maladie du cheval. Suppl. III. 421. b.
Ascites , hérétiques de la feéte des montaniftes. Pourquoi
on les appelloit de ce m o t , qui fignifie outre ou fac. 1 .7 5 1. b.
ASCLEPIAD ES , ( Hijl. de la médec. ancienne ) defeen-
dans dEfculape. Suppl. I. 631. /z. Us furent appellés médecins
cliniques. Remedes qu’on employoit avant eux. Révolution
qu’ils cauferent dans la médecine. Pythagore regardé comme