3 ° 2 C H E C H E
fujets étoient tenus de faire à cheva l, &c. D e vo ir chevauchée
& devoir \l’o f t , félon l’ancienne coutume d’Anjou.'
Différence entre houft & chevauchée. Etymologie du mot
houfl. III. 314. a. C e que dit Fontanella de la calvacata &
d.e l’oft. Les baillis & fénéchaux convoquoient autrefois des'
chevauchées. Ordonnance de S. Louis fur .ce fujet. Exemptions
accordées d’oft & chevauchée. Privilèges accordés à
la ville d’A uxonne en 1229 ; où i l eft fait mention de ce
droit. Recueils & traités à confulter. Ibid. ' b.
Chevauchée 4 différence entre le fervice d’hoft & celui de
chevauchée. VIII. 316. b.
_ Chevauchées des commiffaires députés par la cour des mon-
noies. III. 314-b.
Chevauchées des élus. Ordonnances, édits & réglemens où
il en eft parlé. Devoirs des élus dans leurs chevauchées. III.
314. b.
C hevauchée , ( Droitde') qui étoit dû au lieu des corvées
de chevaux 6c charroi, pour le paflâge du roi. O rdonnance
de S. L ouis, 1254 , fur des chevaux qu’on doit p rendre
pour le fervice. du roi. III. 313. <*.
Chevauchée d’une jufiicc, procès - verbaux qu’on faifoit pour
reconnoître 8c conftater les limites d’une juftice. Pourquoi
ou les appelloit chevauchées. Comment fe faifoient ces pro-
cgs-verbaux. III. 3x3. a.
Chevauchées des grands-maîtres des eaux 8c forêts. Ordonnance
où il en eft parlé. III. 315. a.
Chevauchées des îieutenans criminels. Ordonnance qui en
р, aiie. A qui ce foin eft préfentement confié. III. 31p. a.
Chevauchées des maîtres des requêtes. Ordonnance qui en
parle. O bjet de ces vifites. Quels officiers les font aujourd'hui.
III. 315. b.
Chevauchées des prévôts des maréchaux. Où il en eft parlé.
Chevauchées des treforiers de France. Réglement à confulter.
UI. r i e . b. H
CH E V A U C H E U R , feront. X V . 89. a.
C H E V A U X , ( Art milit. ) cavalerie : différens corps dont
elle eft .eompofée. III.. 315. b.
CH E V A U X -L É G E R S , corps de-' cavalerie de la maifon
du roi , &c. Henri IV l ’agréa en 1570. Tous les princes 8c
feigneürs avoient de pareilles compagnies. Henri IV créa
с. ette compagnie fous le titre de chevaux-légers en 1593. III.
3,15. b. Uniforme dès chevaux-légers. Caraéteres de diftinc-
tions accordées à cette compagnie , 8c ceux qu’elle s’eft acquis
elle-même. Officiers de-cette compagnie dont le roi s’eft
toujours réfervé le titre de capitaine. Elle monte à 2x0 che-
v.aux-légers de la garde, &c. Ses quatre étendards. Il y aune
des quatre brigades détachée fur le gu e t , qui fert toujours à
la garde ordinaire du roi avec les officiers, & c.III. 416. a.
Chevaux-légers, de ce corps étoit anciennement celui des
carabins. II. 644. b. Efpece de chevaux-légers appellés carabiniers.
642. b.
C H E U C U , philofophe chinois.HI. 343.b .
CH E V E C H E , ( Omith. ) oifeau de -proie qui ne fort que
la nuit, on l’appelle auifi petite chouette , civette & jonette. D e f-
cription de cet: oifeau. Hl. 316. a.
CH E V E L , fie f en ch e f ou chevel. V I . 700. b.
CH E V E LU R E de Bérénice, conftellation , &c. O rigine du
nom donné à cette conftellation. Différente diftribution qu’en
feit Ptolomée. Comment elle eft fituée. Nom que lui donner
Bayer. III. 316. b.
C hevelure de f e u , ( Artific.) maniérés de faire cet artifice.
III. 3 1 6. b. •
i CH E V E T , ( Jurifp. ) droit que les feigneürs exigeoient
des nouveaux mariés. Abolition de femblables droits. Voyez
Gulage. Autre droit de chevet dû par les nouveaux mariés
en certaines compagnies. En quoi il-confifte. III. 317. b.
C H E V E U , ce que penfoient les anciens fur la caufe des
cheveux. M. Mariotte , plus d’accord avec les anciens qu’av
e c la vérité., crut trouver que les cheveux ne croiffoient qu’à
la maniéré des ongles, où les parties anciennes avancent
devant les nouvelles. Fibres dont les cheveux font compos
és . III. 317. b. C e que penfent les modernes fur la vie Scia
nutrition des" cheveux. Obfervations faites fur la végétation
extraordinaire des cheveux- fur certains cadavres. Maladie
appellée püca en Pologne dans laquelle le fang dégoutté
par les extrémités des cheveux. Suite de l’examen des différentes
parties du cheveu. Parties dé la fête où les cheveux
blanchi lient les premiers. D ’où dépendent le diamètre , la
figure des ch e veu x, Ibid. 318. a. leur longueur 8c leur couleur.
Examen d’un poil de fouris au microfcope , d’où l’on
a inféré que le poil eft un organe de trànfpiration. Raifons
qui portent à croire qu’il en eft de même de la chevelure
de l ’homme. Ibid, b;
C heveux , (Phyfiolog. ) de la nature des cheveux ,de leur
du reté , de leur force, nourriture , accrorffement, &c. Voyez
Poils. Suppl. IV . 451. a , b. T ê te 8c pointé des cheveux.
X V I . 204. a. C iû r qui porteles cheveux: VII I. 264;. a. Pourquoi
les negres ont les cheveux crêpés. X I. 78. b. Qualités
des ch e veu x, fuivant l’â g e ,.le .fe x e , le genre de v ie , les
moeurs des pérfohnes. X II. 402. a. Différentes remarqués Tuf,
les cheveux. 863. b. 864. a. Caufe de la chute des cheveux..1:
II. 366. b. D es cheveux 8c de leur chûte dans la vieilleffe.;
VII I. 259. b.
La longue chevelure étoit chez les anciens Gaulois une?;
marque d’honneur 8c de liberté. Cas que les premiers François
faifoient des longues chevelures. L e droit de les porter
étoit commun aux rois 8c fils de rois. Rafer les cheveux y
ligne de dégradation. Origine de l’ufage de fe - couper les'
cheveux. D iv e r s degrés de longueur des cheveux , félon
les conditions. A u huitième fiecle les gens de qualité faifoient
couper^ les premiers cheveux de leurs enfans par des-
pérfonnes qu’ils honoraient. III. 318. b. Les longues chevelures
ont été principalement défendues aux ecclèfiaftiques.
Abus fur ce fujet réprimé par. plufieurs conciles. I l y eut
même des tems où les longues chevelures furent interdite»
à tous les chrétiens. Importance qu’on a donnée à l’affaire
des cheveux longs 8c des cheveux courts. Cheveux confia
dérés comme objet de commerce pour les perruques. Obfervations
fur leurs qualités, leurs couleurs 8deurs prix. Avantage
qu’il y^ auroit à ce que l’ufage des perruques de fÜ d’archal-
prévalût. Explication de différentes phrafes relatives aux
cheveux. Ibid. 319. a. Moyens de noircir les cheveux. Ibid. b.
C heveux, (Hifi.) circonftances facheufes dans lefquelles les
femmes des anciens ont donné leurs cheveux pour en faire des
cordes. IV . 208. a. Les Ifraélites portoient les cheveux fort
longs, 8c quelques-uns les poudroient de paillettes d’or. XII.
854. b. Les anciens Grecs aimoient les cheveux couleur
blonds dorés. X V I . 220. b. Ornemens des cheveux des dames
romaines. 383. a , b. Leurs aiguilles de cheveux. I. 209.
b. D e l’ufage de couper les cheveuxH voyc[ Raser.
Cheveux. ( Myth. ) Ch e veu fatal, félon les païens. XIII.
496. b. Ufage des anciens de confacrer leurs cheveux à un
fleuve. XI. 7 1 . a. A g e auquel les jeunes gens les confieraient
à un dieu. IV . 373. b.
C heveux , ( A r t) moyen de détrnire lés cheVeux qui
viennent jùfques vers la racine du nez. V I I . 338. b. Médica-
mens qui font tomber les cheveux. IV . '861. a , b. D e la
méthode de retrouffer les cheveux de- derrière. Suppl. IL
398. a. D e la poudre à cheveux , 8c de quelques ufages fur
la maniéré de les teindre. Suppl. IV . 5 20. b. C heveux herbés ou
rendus blonds par artifice. V lI I . 149. a. M oy en de les teindre
en noir. IX. 740. b. Obfervations à- faire fur le choix- dès cheveux
pour les perruques. XII. 401. b. T o u r de cheveux. X V I .
456. a. T reffe de cheveux. 6oi.b. Aiguilles de cheveux. L 20 6.b.
Cheveux, ( Médecine) maladie qui caufe la chûte des
cheveux. 1. 293 . a. Maladie des cheveux appelléey?7ica polo-
nica. XII. 767. a , b. Sorte d’abcès dont le pus fe- change^
comme en un peloton- de cheveux. X V I I . 630. a. Cheveux
qui fe forment dans certaines tumeurs. Suppl. 1. 134.- a.
Cheveux : fupplice dans lequel en arrachoit les cheveux'
du coupable. X V . 676. b.
CH EVIL LE , morceau de bois ou de fer defliné à rem-'
plir un trou. C e qu’on appelle en menuiferie- 8c en charpente
, cheville-coulijfe, cheville-rance; divers métiers qui o nt
leurs chevilles. III. 319. b.
■ Chevilles de prejfe d’imprimerie. Defcription 8c ufagé. III.
3*9- H H ■ I
Chevilles, en vénerie , en reliure, en manufaélure en foie.
III. 320. a.
C heville, (Maréch.) cheval qui n’eft propre qu’à être
mis en cheville. III. 320. a.
C heville: ( Arts ) -Chevilles des. inftrumens à cordés. Chevilles
de fer dans la conftruétion des vaifleaux. Cheville!
ouvrière en terme de charonnage. Chevilles de pompe en
terme de marine. Cheville d’affût dans l’artilîeriè. Suppl. IL
3-93 •/*.
Cheville en terme de charpente. Suppl. IL 394. a.
Chevilles de Gagliardi, ÇAnat.) les prétendues chevilles
deftinées à tenir les lames offeufes aflùjetties les Unes aux
autres, font uniquement le fruit de l’imagination de Gagliardi,
8c n’ont été apperçues par aucun anatomifte éclairé.
Suppl. IL 394. a.
C hevilles, en terme de tonnelier. Suppl.-IL"394.a.
Gheville , Mont, ( Géogr. ) Suppl. III. 231. b:
CH E V IL L E T T E , outil dont fe fervent les couturières.
• de livres. Defcription 8c ufage. III. 3 20. a.
CH E V IL LOIR , inftrument du métier des étoffes de fcâe.
Defcription. 111.320.0.
CH Ë V IR , ( Jurifp.)trditer, compofer, capituler. Coutumes
qui en parlent. Chevir fignifie aufli Te nourrir, alimenter
fon Chef. III. 3 20. b.
CH E V R E , femelle du-bouc. Defcription de ces animaux.
Leur hiftoire naturelle. On garde les boucs plus long-rems:
que les chevres. Leur .population dans les pays du Nord.:
Caraftere courageux des boucs dé cës pays. III. 320. b.
C hevre, ( Econom. rufiiq. ) maniéré de la nourrir. Abon-i
dance de fon -lait. III. 320. b\ Caraélere d’une bonne elfe-'
v re. Obfervations pour l’entretien de cet animal. Il- porte»
C H E
ùn dommage confidérable aux arbres. Tems où les chevres
font en chaleur. "Comment on les ndurrit avant qu’elles ché-
v ro tent, & après. Tems o ù , il, faut commencer à les traire.
C e qu’il faut obferver à l’égard de c.elles qui prit des petits.
Maladies des chevres 8c leurs traiteniens. Che vre indiennes
& de Barbarie. Ibid. 321. a.
Chevre, ( Médec. ) de l’ufage de fe. férvir de cet animal
pour nourrir les enfans. Suppl. III. 960. b. Obférvations fur
foi] .lait. IX. 2'o;i. b. .. -VJ : iGl ........ .. .
Chevres , ( JiLfifp. ) ce qu’elles ont de malfaifant..Diver-
fes précautions prifes contre elles félon .différentes .coutumes.
III. 321. a. C anon qui décide que la dîme eft due des chèvres
qui font à la 'garde du pafteûr, &c. Ibid. b.
Chevre, •(Médèc. ) on êu mange très-peu en Europe;. Sa
chair étoit plus ufité'ê chez lès anciens Grecs. Mauvaife qualité
de fa chair. Emploi du lait de chevre pour les ufages
de la table eh plüfieùrs pays. Ses propriétés médicinales fe
trouvent au mot Lait. Propriétés de fa fiente. III..321. b.
■ Chevre dit biparti. Oh prétend que les bézoards orientaux
viennent d’une chevre , mais elle eft peu connue. .Ce
que les auteurs en écrivent; IÏI.
Chevre du mufe. III. 321. bK V
Chevre fauvage d’Afrique. Sa dèfcriptiôn. Liqueur qu’elle
fouçnit. III. 3 p i .A . ;
•' Chevre de Syrie. Où fè trouvent cès animaux. Leur defcription.
III. 'p i . b.
■ -Chevres de S/cyros. X IV . 846. a. Chevres d’Àngouri. I.
466. a.
■ Chevres, poil de , poil dés chèvres d'Àngôuri. I. 466. a.
Ariftote dit qu’en Ciliciè oii t6hdp.it Lès chevres. III. 451 b.
Poil de clievre pour la. teinture. X V I . 10. b. ;De la teinture
du poil de che-vre. .26. a. 31. b.
Chevre. (M y th ô l.) III. p z . a.
C hevre , ( Afiroh. )' 1 longitïfd’é & latitude de cette, .étoile7.
Conftellation de ce nom félon quelques aftronomes, Fi&ion
des poètes fur cétte conftellàtion. III., 322.. a.
■ Chevre étoile dü cocher. Suppl. H. 566. ^. Heures de
fon paflâge an méridien. 894. a.
■ Chevredanfânlè, phénomène lumineux. Caufe de là lumière
que donnent les météores ignés. Celui dont il s’agit ic i a
befoin de vent pour fê niàriiféfter. Météores-appelés par
les anciens dés noms dé poutre , torche, fléché. O n n’eft
pas plus habile en pbyfiquè par la connbîflâuce de ces noms,
qu’avancé dans ïê" chemin de là fortune par les paroles d’un
miniftre. III. 322r à.
C hevre de guïdeàû, ( Pèche ) pie.ux fur lefquéls pn op-,
pofe les rets ôti lé fàc de. gûidèàu. Defcription de celles' qifi
fe trouvent dâhS le reflort dé l’amirauté de Touques ôc.
Div e s à la bande du" Ponant. Cés guideaux fe diftinguent en
guideaux de flot & d’ebbe. En quel nombre ils fe trouvent.
III. 322. b. ■
C hevres. ( Satinés') Defcription & ufage. Ht. 322. b',
Chevre ,p ié de: Différentes lignifications ae ces mots. X II.
364. a , b. - ; . , ' , v - A ■ ... . ^ . ...
Chevre , ( Arts rhéch. ) niâèhine ,qiii eft l’ouvrage du
charpentier, 8c qui fert aux maçons'& autres ôuvriers qui
ont des poids péfans à élever. Dèfcripdon de cette inaclii-
ne. III. 322. b. Elle eft un côiûpQfé du treuil 8c de la,poulie
, 8c réunir les avantages dé cés deux machines. Ibid-.323;. à:
Chevre, inftrûniéht à l’ufagé dès charpentiers. XIII. 69. b.
Chevre, rroiS oiïfils de cliarron appellés chevre : graiidé
chevre 8c petite çhevré. Leurs' dêfcriptions. III. 323. b.
Chevr.e, b'àrlie de (.Botan. ) IL 72. a.
CH E V R E A U , il vietit à-peu-près dans lé même tems que
l’agneau rbolMeS qualités de fa chair. Comment on le gouverne.
UfltgeS’ d'é fa'peàu. III. 323, a,
• C hevreau , ( misée. ) Obfcfvatfons fur les qualités de fk"
chair. C ’eft im affez mauvais aliment, malgré le fentiment
de plufieütà médecins. Dans quels cas elle peut devenir
utile. MefUéùre façon dé l’apprêter. IIÏ. 323. a.
C h e v r e au , ( Urbain ) obfervatiôns' fur ce lavant 8c far fes
Ouvrages. ÎX. è‘$S: b'. Suppl. IV . 468.
C hevreaux , ( Ajlron. ) dans la conftellation du cocher.
Leur origine félon la fable. C e que prêfageoit leur lever.
Suppl. II. 394. à.
CHEVRE -FEUIL LE, cara&erç de,.fa fleur. III. 323. d.
Cas qu’on en fait dans les jardins. Différentes efpeces dé
chevre - feuille dont raflemblâge fait l’agréhi'ent des jardins.
Divers ufages qu’on en’ fait pour l’ornement des jardins.
Ces arbriffeaüx croiffent promptement, font robuftes oc réuf-
nffent en toute terre. Maniérés de les multiplier- Comment
on les préferve -des pucerons.
Efpeces 6* variétés du chevre-feuille. i° . L e chevre-feuÜle
précoce. 20. Le chevre-feuille romaiu.Ces deiix eipeces ne font
pas tant eftimées que les autres. 30. Le chevre-feuille blanc
d’Angleterre. 40. L é rouge. Ibid. b. 50. Le clievre-feuille à;
feuille de chêne, 6°. Le panaché, à feuille de chêne. ^ Le
clievre-feuille blanc d’Angleterre à feuille panachée de jaune^
8°. Le chèvre-féuille d’Allémnghe : ôù il lê’trouve ’: 011 M’oit
C H I 303
lui donner la préférence fur les précédens. 90. L e rouge
tardif; c’eft l’une des plus belles efpeces , &c. xo°. L e che-
vre-feùille toujours v e r d , très-belle efpece encore , S c .
Maniéré de le multiplier. n ° . Lôchevre-feuille de Canada.
iâ V C é h ii de Candie. 130. Cefui de Virginie , l’un des plus
beaux ^rbrifleaux, &c. Ses bonnes qualités. Maniéré de lé
mïiltipliér.' I I I .'314. a. — V o y e z Suppl. I. 730. b.
Chevre-feuille, ( Botan.) .noms de cette plante en d ifférentes
langues. Son caraélere générique. Enumération, de
huit efpeces. de chevfe-feuille. Suppl. II. 294, a. Leur def-
çription. Lieux où elles croiffent. Culture 8c ufages. Nature
du fel qu’on eh tire par l ’analyfe. Ibid. b.
Chèvre-feuille, {Màt. médic.) Propriétés des feuilles,
de leu r fue-, 8c.de l’eau diftillèe des fleurs. IIÏ. 3.24. b.,
C H E V R E T T E d’Amboine , ( Injcélol, ) auteur qui en a
doniîé là’figuré. Sa defcription. Sa clamfication.6n/)p/. II. 396. a.
CH E V R E U IL , oii-en prerfflroit une fauffe- idée fi l’on
s'arrêtent a, fon nom : il reffemble plus au c ç r f qu’à la chev
re. Caraéleres de cet animal. Pays où il fe trouve. Importance
de fa chaffe. Lieux oii le veneur doitjaller en quête
félon les faifons. Soins de la chevrette pour Tes faons. Tems
où ils peuvent marcher. O n dit qu’ils ont à craindre d’être
bleffés dés vieux Iqrfqu’ils font en rut. III. 314. b. Connoif-
fançès que lès çhaffeurs doivent acquérir fur le chevreuil. D e
là cliafle de cet animal. Ibid. 323. a.
Chevreuil. On diftingue au piè les mâles des femelles. XIL
361. p.
C hevreuil , ( Mat. médip. ) éloges que divers auteurs
ont faits, de fa chair. Propriétés de la g raiffe, de fon fang,
de Ton fiël, de fes cornes. III. 323. a. x
CH E V R O N S , ( Archit. 6* Charp. ) pièces de bois qui s’élèvent
par paire fur le to it , & forment le faîte. Leurs longueur.
j largeur, épaiffeur, diftance, fixées par le parlement
a ’Angleterre. III. 323. ^.
Chevron de cheron , chevron de croupe , ( Charp. ) III. 3 2 3. a.
Chevrons de sa fo n , ( Jard. ) III. 323. b.
CfiÈv r o n , \Comm.) forte de laine qui vient du levant.
IÏI..223.
Chevron, maniguette , menue guildre 011 gil.dre 3 toutes
fortes dé petits poiffbns défignés par ces termes. Defcrip-
tions dè deux fortes d’inftrumens dé pêche pour ces pou-
fons, dont l’ufage eft défendu. III. 325. b.
C hevron, ( B la fon ) Sens de ce mot joint à divers adje-
élifs qui eii indiquent la figure, la fituation, 6*c. III. 323. b.
C hevron , ( Blafon) une des fept pièces honorables.
Maniéré de pofer les chevrons dans l’é c u , explication des
épithètes par lefquelles on défigne les différentes maniérés
dé les repréfenter. Signification de cette figure fymbolique.
Suppl. II. 390. b.
Chevron-, piece honorable-, Suppl. IV . 3>67. a. deux che-
vrpns , ibid. b. trois chevrons , 368, a. Chevron contre-
pdihté. IV . 140. b.
CH E VR O N N É , ( Blafon ) éçu.diyifé en fix parties dans
le feus des chevrons des deux émaux alternés. Prcu»ortions.
Etyihoiogié des termes chevron & chevronné. Suppl. II. 396. b.
CHEV R O T IN , ( Hifi. nat. ) nom impropre donné à deux
genres d’animaux de la famille des gazelles, particuliers à
l’Afrique. Obfervations fur ces animaux.. Suppt ’H. 397. a.
Chevrotin, animal décrit vol. V I. des pl. régné anim. pl. 3.
C H E V R O T T E R , ) en quoi confifte le chevrotteinènt
dans le Chant : quelle- en eft la caufe méchanique.
Suppl. II. ).97- a-
CH EYNI. ( George ) Phyfiqlogifte. Suppl. IV . 3 3 3. y .
CHEZÉ-, ( Jurifp. ) en quoi il confifte. Coutumes où il en
eft parlé. I l eft appelîé aufli le v o l du cliapon. Obfervation
fur la maniéré de lir e , d’écrire 8c de prononcer ce mot.
HL 326. a. faoyé^ V o l . , .
CH IA , furnom de Diane. Son origine. O n croyoit que
fa ftatue règardoit avec féyérité ceux qui entroient dans loti
temple , 8ç avec fatisfaélion ceux qui en fortoient. III. 326. a.
CH IA B R E R A , (Gabriel ) poète italien. X IV , 722. b. _
C H IA O Ü S , h'uiflier de la cour du grand .Seigneur. :Sens
propre de ce mot. Armes du clüaoùs, fa .marque de dignit^
Prifonniers qu’on lui confie. C ’eft du nombre des çhiaous qu il
tire fes ambaffadeürs. C e s Officiers font regarde? comme
de mauvais augure. Officier qui les commande. 111. 326.a .
^ô y^ TCHÏAOÛSGH-BACHr. . , - • M H
CH IÀ R V A T A R , ( Comm. ) Officier de douane en Per fe*
Gêc. Droit d’entrée que chaque perfonne paie en quelques
villes dé Perfe. III. 3?6.. b^. . . u , .
CH IB R A TH , mefure de diftance chez les Hebreux; la
loi ne leur permettoit pas de faire plus de deux chibratbs
un jour de fabbat. III. 326,b.. .„ .. . . , . ;
C H IC A N E ,{A r tm ilit.) pofte de.chicane. II. 132.. a. _
CH ICO R É E , (B o t .) caraélere de ce genre de plantes.
III. 3 27. b. „ , , . , i . i
Chicorée fauvage, {Mat. méd:) elle eft de l’ordre.'des
plantes extraélives, ameres & laiteufes, ou très-légéreip.ent
refinèules. Ses vertus médicinales. Maladies dans lefquelles