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Marques qu’il donna cTliypocrifie & de peu de piété, i c i .b.
T o r t qu’il fit à l’état en élevant des hôpitaux où tout le
inonde fut reçu. X. 331. b. Comment il abolit le paganifme.
XI. 536. a. Patrimoine qu’il donna aux papes. 834. a. Obfer-
vations fur là prétendue donation qu’il fit aux papes de la
v ille de Rome oc deplufieurs provinces d’Italie. o jo .é . XII.
180. b. Équivoque qui a fervi de fondement à cette prétendue
donation. X L '* * 833. Combien cet empereur encouragea
& protégea l'agriculture. I. 184. b. Bibliothèque qu’il fonda
à Conftantinople. II. 231- b. Conftantin loué de ce qu’il ne
travailla point à enrichir le fifc. V I. 819. b. Diftm&ions dont
il honora la ville d’Arles. Suppl. I. 559. b. 560. 4. Lettres
qu’il fit mettre fur fes armes. 319. b. A rc de triomphe de
Conftantin. I. 601.b. X IV . 350.b. X V I . 65 5. a , b. Voyeç ANTIQUITÉS
, vol. I. des planches.
Constantin le jeune , fils aîné du grand Conftantin ,
régna conjointement avec fes freres Confiance & Confiant.
Divifion entre éux à l’occafion du partage de l’empire.
Mort de Conftantin , après un regne très-court. Suppl. II.
501- a-
Constantin III. Voye{ Héraclius IL
Constantin IV , furnommé Pogonat ou le Barbu, fils 8c
fucceffeur de Confiant IL Hiftoiwe abrégée de fon regne.
Suppl. IL 561. a.
C onstantin V , fils de Léon l’Ifaurien. On le furnomma
Copronime. Principaux évènemens de fon regne. Suppl. IL
561. b.
Constantin V I , fils 8c fucceffeur de Léon IV . Précis de
fon regne. Suppl. II. 562. a.
Constantin V I I , fils de Léon Je fa g e , dit Porphyrogénète.
Hifioire abrégée de fon regne. Suppl. II. 562; a.
' Confiantin Porphyrogenete protecteur des fciences. IL 232. b.
Constantin V I I I , fils de Romain le jeune , régna conjointement
a vec fon frere Bafile. Etat de l’empire pendant leur
regne. Conftantin , après la mort de fon fr e r e , fe livre aux
plaifirs , 8c abandonne le foin du gouvernement. Suppl. II.
562. b. .
Constantin IX , furnommé Monomaque. Hifioire du regne
de cet empereur. Suppl. IL 562. b.
Constantin X , étoit de la famille des D u ca s , une des
plus illuftres de l’empire. Il fut é levé au trône de Conftantinople
après l’abdication volontaire d’Ifaac Comraene. Principaux
événemens de fon regne. Suppl. II. 563. a.
Constantin X I , dernier empereur de Conftantinople,
étoit fils de Manuel P aléologue, 8c fuccéda à Je an , fon frere
aîné. Tableau de fon regne. Prife de Conftantinpple par les
Turcs. Mort de l’empereur. Suppl. U . 563. b.
Constantin-FaulCON, {HUI. de Siam) hifioire étonnante
de cet homme né dans l’ifle de Céphalonie , fils d’un
cabaretier. Suites d’aventures par lefquelles il devient premier
miniftre du roi de Siam. Il gouverne cet empire avec gloire.
Difgrace affreufe dans laquelle il tombe après la mort du
roi. Sa fin malheureufe. Suppl. IL 564. b. Deftinée dé fa
femme 8c de fon fils. Cara&ere de Conftantin-FaUlcon. Ibid.
565. a.
C O N S T AN T IN E , ( Hifi. ram. ) fille aînée de Tibere 8c
d’Anaftafie , fut donnée en mariage à M aurice, le jour même
qu’il fut élu empereur. Eloge de cette princeffe. Fin tragique
de Maurice , de l’impératrice 8c de fes enfans. Suppl. IL
565. a.
CO N S T AN T IN O P L E , ( Géog. Comm. ) pourquoi on l’appelle
la nouvelle Rome. Prife de Conftantinople par les Turcs
en 1453. D u commerce qu’y font les nations chrétiennes.
Comment s’y fait la v ente des efclaves. III. 59. a.
C onstantinople. Cette ville devenue le fiege de l’empire
, voye^ l’article Confiantin. Prife de Conftantinople par
les Turcs. Suppl. II. 563. b. Ses mofquées, établiffemens de
charité dans cette ville. X V I . 758. a. Ancienne églife 8c aujourd’hui
mofquée de fainte-Sophie dans Conftantinople. V.
422. a , b. X V . 362. b. Peinture en mofaïque de la galerie
de fainte-Sophie. X. 749. b. Bafilique des faints apôtres.
II. 1 1 7 . b. Imprimerie. VIII. 624. a. Elévation que peuv
en t avoir les maifons de Conftantinople. X . 519. b.
Fauxbourg de cette ville , appellé Tophana. X V I . 417.
a , b. Bâtiment où l ’pn peint les toiles de coton. XV II .
371. b. Halles appellées beçeflins. II. 220. a. Bibliothèques
anciennes de Conftantinople. 231. b. 232. b. Belle citerne
dans cette ville. III. 487. a. Hans de Conftantinople. VIII.
36. a. Hippodrome. VIII. 215. b. Batiment où l’on vend les
drogues 8c les toiles. 446. b. Place nommée atmeidan, Suppl.
I. 670. a. bagne. 744. b. Lieu qui fut appellé exocionium.
Suppl. U. 9 16. a. Ecueils du détroit de Conftantinople. X V .
742. a. Patriarchat de cette ville. XII. 175. a , b. Son gouverneur
turc. IL 536. a. D e tout tems elle avoit pris le
croiffant pour fymbole. IV . 508. b. Etabliffement de fon
commerce. III. 692. b. L’inoculation établie dans cette ville.
VII I. 755 . b. Conciles qui y ont été célébrés. XIII. 715. b.
III. 808. a y b. 809. a. Symbole du concile de Conftantinople.
X V . 727. b. Enfans élevés dans cette ville aux dépens du
roi de F rance. II. 240. b. Tribut que paient les chrétiens de
Conftantinople. III. 185. a.
C O N S T A N T IN O P O L IT A IN E , époque. Son rapport avec
la période julienne. IX . 56. b. XII. 361. a.
CO N S T A N T IU S , empereur, fait tourmenter plufieurs
perfonnes à l’occafion des billets qui avoient été laiffés dans le
temple de Befa. X I. 536. 4.
C O N S T E L L A T IO N , ( Aftron. ) cartes céleftes inventées
par les aftronomes , dans lefquelles ils ont partagé le firmament
en plufieurs conftellations. Raifon de cette divifion.
La divifion des cieux en conftellations paroît être auflï ancienne
que Paftronomie même. Dans toutes les planètes , on
doit vo ir de la même maniéré le ciel étoilé. Divifion du ciel
par les aftronomes en trois parties principales ; le régions
boréale 8c auftrale , 8c le zodiaque. IV . 59. b. Conftellations
reconnues par les anciens au nombre de 48. Les aftronomes
modernes en ont fait de nouvelles. Comment les étoiles font
diftinguées dans ces conftellations. Ibid. 60. a. Des fables des
poètes fur l’origine des conftellations. Réformation faite à
leurs noms par quelques modernes. Nou vel ordre de conftellations,
fait par Weigelius. Les plus favans aftronomes
n’ont jamais approuvé ces innovations. Ibid. b.
Confiellation. Obfervations de dix mille étoiles dans l’hé-
mifphere auftral, par M. de la Caille. Suppl. IL 565.4. Énumération
des quatorze conftellations formées de ces étoiles.
Lettres données par cet aftronome à chacune de ces étoiles
vifibles à la v u e fimple. Diminution de la conftellation formée
par Halley , fous le nom de chêne de Charles II. Ibid. b.
Autres conftellations formées par les modernes. Maniéré
de connoître les confteUatiohs les unes par les autres. Ibid.
5 66. a.
Conftellations. Cartes qui aident à les connoître. Suppl. IL
253. 4 , b. Différentes maniérés dont les conftellations font
difpofées dans les cartes. Ibid. b. Alignemens obfervés entre
quelques é toiles, par lefquels on peut connoître les conftellations.
890. b. Méthode pour reconnoître les conftellations
fans les cartes. 893. b. Leur divifion en uois parties. III. 442.
4. La divifion des étoiles en conftellations eft au moins aulîi
ancienne que le livre de Job. V I. 62. a. Nouvelles conftellations
des étoiles informes. Ibid. D u nombre des étoiles qui
forment chaque conftellation. 64. b. Etoiles nouvelles observées
dans quelques conftellations. 62. b. 63. 4. Etoiles qui
ont difparu..Celles dont la lumière varie. 63. a. Voyez
ÉTOILES. v
CO N ST E LLÉ E S , figures, v o y e z T alisman. Baudriers
conftellés. II. 162. b.
C O N S T E R N A T IO N , dernier degré de la frayeur. On y
eft jetté par l’attente ou la nouvelle de quelque grand malheur.
IV . 60. b.
C O N S T IP A T IO N , ( Médec. ) caufes de cette difpofition.
IV . 60. b. Quels font les tempéramens les plus fujets à cette
incoTumodité. Elle peut être regardée comme un fymptôme
de l’affeéfion mélancolique 8c de Fhyftérique. L e mouvement
des voitures 8c du cheval y difpofe. La conftipation
n’eft pas toujours maladive. Il faut diftinguer la conftipation
habituelle ou faine , de la conftipation contre nature ou
maladive , qu’on appelle échaujfement. Premiers accidens par
lefquels elle devient incommodité. Remedes ordinaires à
employer. Ibid. 61. a. Ceu x qui tranfpirent abondamment ,
ont le ventre fec , 8c ceux à qui le ventre coule abondamment
tranfpirent peu ; cependant o a ne peut réparer une de
ces excrétions par l’autre. I l ne faut pas confondre la conftipation
avec la fuppreflion de l’excrétion inteftinale , fymptôme
prefque toujours fâcheux. Ibid. b. Voye[ SÉCHERESSE DU
VENTRE.
Conftipation. Ses différentes caufes. IV . 7 7 1 . 4. Conftipation
par échâuffement. III. 3 5. J>. Celle des femmes enceintes.
V I I . 963. 4 , b. Celle des femmes en couche. V I . 480. a. Con-,
ftipation caufée par l ’ufage du lait. IX. 205. b.
C O N S T IT U A N T , Çjurifpr. ) divers fens de ce mot. IV .
61 . b.
Conftituant. Celui qui s’obligeoit par forme de conftitut.
Rapport 8c différence entre la fidéjumon 8c le conftitut. Principes
que l’on fuivoit dans l’ancien droit romain par rapport à
cette forme d’obligation. X VII . 764. b. 765. a.
CO N S T ITU E R . Sens grammatical de ce mot. Son ufage
en jurifprudence. Conftituer en dot. Conftituer une rente.
Conftituer une fervitude fur fon bien. Conftituer procureur
ad litès. Conftituer procureur ad negotia. IV . 61. b.
Conftituer , fe , XV II . 765. b.
C O N S T IT U T , çjurifpr. ) efpece de contrat chez les Romains.
IV . 61. b. Voye^C onstituant. Conftitut parmi nous,
eft tout autre chofe que chez les Romains. C e que nous entendons
par-là. A fies dans lefquels cette claufe intervient.
Quoique l’on joigne ordinairement les termes de conftitut 8c
précaire , il ne font pas fynonymes. Deux effets que produit
cette claufe. Conditions requifes pour que la poffefiion c ivile
foit tranférée par le moyen de la claufe de conftitut 8c de
précaire. O n appofe quelquefois cette claufe dans les contrats
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* conSitution Je, rentes à prix d'argent ; mais cette claufe à
nen d’effets. Ibid. 62. a.
P Conftitut, voyez fur ce fùjet. X V I I . 764. b.
CO N S T ITU T IO N . ( Jurifpr.) Conftitut ion de dot. IV . 62. a. a HH Conftituùons generales. Entre les loix de 1 eghfe , les conciles
oecuméniques font des cpnftitutions générales. En fait
de loix politiques , on peut appelle? de ce nom les Ordonnances
, édits , déclarations qui obligent tous les fujets, IV ,
62. b.
Conftituùons des papes. IV . 7 18, 4, b. ConftitutionS appellées
extravagantes. V I. 3 37. b.
Conftituùons particulières. IV . 62. b.
Conftituùons du prince. IV . 62. b.
Conftituùons des princes. Ordonnances des empereurs romains.
III. 577- b-1 ». 991. b. V . 302. 4. XL 583. b.
Conftitutions de Catalogne. X V I I . 765. b.
Conftitution de procureur. IV . 62. b.
Conftitution de nouveau procureur. IV . 63. a.
Conftitution de rente. IV . 63. a.
Conftitution de rente. Promeffe de paffer contrat de conftitution
8c de p ayer l’intérêt du principal. XIII. 445. b. Emprunt à
conftitution de rente. V . 597’ Eufidfiu®1^ 0* de rentes con-
ftituées. 708. b.
Constitution , ( Hift. mod. ) ce terme relativement à
l’empire d’Allemagne , a deux fignifications. i° . Loix générales
qui fervent, de regle à tout l’empire. a°. Etat du gouvernement
de ce vafte corps. C ’eft en ce dernier fens qu’on
en parle ici. ÏV . 63. a. Voyer auffi Allemagne.
Suite des fucceffeyrs de Charlemagne à la couronne impériale
, jufqu’à Lou is , fils d’A rn o u l, en qui finit la poftérité
mafculine de ce premier empereur. Il mourut en 912. IV .
63. 4. Co n rad ,- comte de Franconie, 8c enfuite H en r i, duc
de Saxe , furnommé l’Oifeleur, pofféderent le trône de Germanie
, fans prendre le titre d’empereur ; mais depuis O thon
I , fils de H enri, les Allemands ont toujours poffédé le titre 8c
la Couronne impériale.
De l'empereur. L’éleétion de l’empereur depuis Othon I , fe
faifoit par tous les grands de l’Allemagne. Q u i étoient ces
grands. Etat de l’empire depuis cet O th o n , jufqu’à H enri I V ,
après lequel on fit une conftitution par laquelle la vo ie d é-
leétion libre 8c volontaire fut é tablie, 8c la fucceflion s’abolit
infenfiblement. Les grandes villes avoient quelque part à
cette élection, moins par leur vo ix , que par leur approbation
; mais au milieu du treizième liecle , les principaux
Èrinces s’attribuèrent à eux feuls l’éleétion de l’empereur.
>ifférens lieux où elle s’eft faite. D u cortege des éleéteurs.
Ibid. b. L’affemblée d’éleétion prefque toujours différée.
. Etats de l'empire. I. College des élefleurs. Corps de l ’empire,
divifé en trois claffes ; les éleéteurs , les princes, les villes
impériales. D u tems où les éleéteurs fe font attribué le privilège
d’élire l’empereur. Cette efpece d’ufurpation n’eut
lin état fixe que par la bulle d’or publiée par l’empereur
Charles IV . Comment le nombre des éleéteurs , qui avoit
été fixé à fe p t , fut augmenté jufqu’à neuf. Ibid. 64. a.
De l’élefleur de Mayence. Sa dignité d’archi-çhancelier. Son
chapitre. D nomme un vice-chancelier qui réflde à Vienne.
Pourquoi la v ille de Mayence n’a plus été v ille impériale.
Premier archevêque de Mayence déclaré éleéteur. D e qui
l’archevêque reçoit l’inveftiture pour le temporel. Ses charges
& pouvoirs. Ibid. b. Lieu de fa réfidence.
. De l'élefleur de Trêves. Archi-chancelier pour les Gaules. Son
chapitre. Ses privilèges. Villes qu’il poffede. Premier a rchevêque
de T re v es déclaré éleéteur.
De l'archevêque de Cologne. Sa réfidence. Son chapitre. Il
eft archi-chancelier pour l’Italie. Les princes eccléiiaftiques
de la maifon de B avière font en poffefiion de cet éleétorat,
auquel fouvent on a joint fur la meme tête , d’autres évêchés
de conféquence. Ibid. 65. a.
*Du roi de Bohême. Dans les premiers tems ce royaume
n’avoit que le titre de duché. L a maifon d’Autriche le poffede
aujourd’hui. D u duché de Siléfie. D u comté de Luface. Du
marquifat de Moravie. Les droits dû roi de Bohême dans
l ’empire augmentés depuis 1708.
De Télé fleur de Saxe. Tems où la maifon de Saxe fut in-
veftie du duché éleétoral. Jean Frédéric mis au ban de
l’empire par Charles-Quint, ^ la dignité élcétorale donnée à
fon coufiri le prince Maurice. Religion reçue dans l’éleétorat.
Celle de l’électeur. Privileges de ce prince. Etats qu’il poffede
comme éleéteur. Ibid. b.
De l'élefleur de Bavière. D epuis quel tems la branche cadette
de la maifon palatine poffede l’éleétorat. Ancienneté de cette
maifon. Elle a produit des rois 8c des empereurs. Comment
la branche aînée , ou Rodolphine de Bavière , fut privée du
droit alternatif qu’elle avoit à l’éleétorat avec la branche cadette
, ou Guillelmine. Grands hommes que ces deux branches
ont produits. Ibid. 66. a.
Dé l'élefleur de Brandebourg. Ce tte maifon, quoiqu’ancienne,
n’eft parvenue au point de grandeur où nous la v o yon s, que
peu-à-peu. Ses grands domaines. Commentla juftice'eft rendue
dans fes états. Religion de l ’éleéteur. Branches de cette maifon*
Berlin , féjour de l ’éleéteur.
De l’élefleur Palatin. Sa religion, C elle de l’éleétorat. G rands ■
hommes qui ont appartenu à cette branche de la maifon palatine.
Voye{ Palatin.
De l’élefleur de Hannovre. Zele de cette maifon pour les
intérêts de la maifon d’Autriche. Son origine. Gomment elle-
s’eft diftinguée dans l’empire. Ibid. b. George I , deuxieme
éleéteur de Hannovre, parvénu au trône d’Ang lete rre , &c.
Autres titres 8c charges héréditaires, qu’on nomme charges
de Vempire , poffédés par les éleéteurs. La plupart de ces
offices tiennent quelque chofe de l’ancienne doirtfcfticité des
feigneurs qui étoient auprès des empereurs de la race de
Charlemagne. Pourquoi l’on qualifie ces charges des éleéteurs
du titre $ archi-chancelier , archi-échanfton , &c. Ibid. 67. a.
Comment les éleéteurs font remplacés, lorfqu’ils ne peuvent
affûter aux cérémonies impériales. A qui appartient le vicariat
de l’empire. Pouvoirs attachés à ce vicariat. Prétentions mu-»
tuelles à cette dignité de la part de l’éleéteur Palatin 8c de
celui de Bavière.
II. Des princes de l’empire , divifés en eccléfiaftiques 8c en
féculiers , de même que les éleéteurs. Détails lur chacun
d’eux. Ibid. 67. b. L ’archevêque de Saltzbourg ; Bamberg ,
premier évêque de l’empire ; l’évêque de Wirtzbourg , duc
de Franconie. Cérémonie ridicule qu’il faut fouffrir pour
entrer dans fon chapitre. L’évêque de Worms : celui de Spire.
L ’évêque d’Augsbourg : celui de Confiance. L’évêque de
Paderborn. Ibid. 68. a. L’évêque de Hildesheim. L’évêque
de Ratisbonne. L’évêque d’Omabruk. L ’évêque de Munfter.
Ceu x d’A ichftet 8c de Strasbourg. Celui de Liege, Ibid, b.
Les évêques de Frifinghe 8c de Paffau dans le cercle de Bavière.
Ceu x de Bâle , de C o i r e , de Trente , de Brixen.
L ’évêque de Lubeck. Autres principautés eccléfiaftiques qui
font aujourd’hui fécularifées, 8c poffédées par d ivers eleéteurs
8c autres princes de l’empire. Etats q u i, quoique qualifiés de
princes de l’empire, n’ont plus ni vo ix ni fèance. Il faut
compter , parmi les princes eccléfiaftiques , le grand-maître
de l’ordre teutonique , le grand-prieur de Malthe. L’abbé
de Fulde. Ibid. 69. a. Autres abbés de l’empire. Les autres
prélats , auffi bien que les abbeffes , repréfontés par leurs
députés , n’ont qu’une v o ix unis enfemble. Les princes féculiers
n’ont féance qu’après les eccléfiaftiques. Q uels ils
font. Les comtes immédiats de l’empire diyifés en quatre
claffes.
I I I . Des villes impériales. Elles fe divifent en" deux bancs ;
celui du R hin 8c celui de Souabe. Toutes n’ont pas le même
crédit. Obfervations fur la vo ix de ces villes.
Des cercles de l’empire. Outre les dietes ou affemblées générales
, il s’en tient encore de particulières dans les cercles.
C e que font ces cercles. Comment ils ont été établis. Cha-
¥ie cercle a fes direéteurs 8c un colonel. Leurs fonctions.
axe impofée aux états de chaque cercle. Enumération des
cercles 8c des états que chacun d’eux contient. Ibid. b. Cercle
d’Autriche. Celui de Bavière. Celui de Souabe. Celui de Franconie.
C elui de haute-Saxe. Ibid. 70. a. Celui de baffe-Saxe. C e lui
de W eftphalie. L e cercle électoral 8c du bas-Rhin. C elui du
haut-Rhin. Ibid. b. Le cercle de Bourgogne eft aujourd’hui indépendant
de l’empire.
Des loix de l’empire. Elles fe divifent en' deux claffes : les
lo ix qui regardent le s états du corps germanique en général;
celles qui regardent les affaires des particuliers.
i° . D e la bulle d’o r , qui eft la première des loix générales
de l ’empire, publiée en 1336 par Charles IV . But de cette loi.
Contraventions qui y ont été faites.
20. Des capitulations impériales : leur origine. Nature de
Cette loi. Ibid. b.
3°. Troifieme l o i , celle de la paix publique , connue fous
le nom de paix profane, civile ou publique. Son origine. Son
renouvellement par M aximilien 1, 6v.
40. Quatrième loi , appellée paix religieufe. Origine 8c
but de cette convention, qui fe fit à Paffau en 1552. Ceflion
de évêchés de Metz , T o u l 8c Ve rd u n, à Henri I I , roi de
France.
50. Cinquième l o i , le traité de Weftphalie en 1648 , par
lequel on rétablit la liberté du corps germanique. lb:d. b.
Autres traités p p lefquels cette liberté a depuis été con-
6°. Les dernieres loix font les recès de l’empire.
O n n’a pas parlé ici de plufieurs loix anciennes, parce
qu’elles fervent moins pour le droit public de l’empire , que
pour fon hiftoire.
Obfervations fur la fécondé clajfc des loix germaniques,
celles qui regardent les affaires des particuliers.
Peines impofèes aux membres de l'empire. A qui appartient le
droit de condamner au ban de l’empire. D eux exemples notables
de ce ban. Ibid. 72. a. D e la dépofition de l’empereur.
Exemples dans la perlonne d’Adolfe de Naffau en 1 2 9 8 ,8c
dans celle de Wence flas , fils de Charles IV .