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détails des opérations du cordier, 8c l’explication de fon travail
dans toutes fes différentes circpnftances. Desfileurs. IV .
a 15s a. C e qu’on appelle fil de carrèt. D e la filerie. Rouet de
corderie. Ibid. b. _ Manoeuvres des fleurs. Ibid. 216. a. C e qu’on appelle filer a la
ceinture-, 8c filer à la filoufe ou à la quenouille. Différences
entre -ees -deux maniérés. Travail que peuvent faire onze
fileurs tons un jour. D iffé r a « « g H S W t t D « , B
f ar cette raifon à » r a i s « figes. Mamere de conferver les
tocrets cU::s ie //-M k. I Des commcttcurs. Deux efpeces de cordages, les auflieres 8c
îes orelins. Bitord 8c merlin. Pour donner par degré une idée
•«le la eorderie , on traite ici i° . de la fabrique des petites
ficelles • 20. des auffieres compofées de trois torons ; 30. des
auffieres plus compofées 34°. des grelins 8c des cables; 5°. des
•cordages en queue de r a t , 8c des cordages refaits.
I. Du-bitord. Rouet qu’on emploie clans ce travail. Opérations
du cordier. Ibid. 2x7. a. Ufage de l’inftrument appellé
le toupin. Pourquoi une corde ne fe détord pas , tandis qu’un
fil abandonné -à lui-même, perd prefque tout le tortillement
■ qu’il avoir acquis. Ibid. b.
Du merlin, qui eft compofé de trois fils : travail du cormier.
D u lufin. D u fil de voile. Des auffieres. Ibid. 218 .a.
D e s quarantenicrs. D e l’attelier des commetteurs des auffieres
à plufieurs torons. Supports des tourets. Ibid. b. Chantier à
•commettre. Les manivelles. Le quarré : trois ufages qu’on
-en tire. Ibid. 219. a. Chariot du toupin. L e chevalet. Les
manuelles , ou gâtons. Les palombes ou hélingues. Ibid. b.
Maniéré de faire un cordage en äußere à trois torons. Ibid.
220. a. D u nombre de fils néceffiiires pour une corde de
•eroffeur •donnée, 8c de la maniéré de lui donner une longueur
déterminée. Pratique des cordiers pour donner à leurs
cordes la groffeur qu’on exige : ufage de la jauge. Ibid. 211,
a. D e la longueur néçeffaire des fils, pour ourdir une corde
de longueur donnée. Suite de la main-d’oeuvre des cordes
en aufiîere à trois torons. Ibid. b. Différence entre les cordages
qu’on nomme de main torfe , Sc à Rochefort, des garo-
thoirs , 8c les auffieres ordinaires.Suite de la main-d’oeuvre.
Ibid. b. Répartition du raccourciffement. D u commettage.
Ibid. 223. a. Comment on peut connoître fi la corde fe commet
bien. Mauvaifeinduftrie des cordiers par laquelle ils facri-
fient la bonté de leur -ouvrage , afin que leur piece de cordage
ait exaélement la longueur qu’ils fe font propofée. Ibid.
223. a. Confeil à ces ouvriers par rapport à cet objet. Ibid. b.
Autre mauvaife pratique des cordiers. Opération de détacher
la piece 8c de la faire raffeoir : ce qu’on appelle rouer un
cordage : maniéré dont on s’y prend pour cela. Ibid. 22-j.a.
Maniéré de rouer à la hollandoife. Obfervations fur le tortillement
que les cordiers donnent à leurs pièces de cordage
quand elles font commifes. Ibid. b. I l eft bon de donner aux
pièces , lorfqu’ellcs feront commifes, un tortillement capable
de les raccourcir d ’une brafl'e ou deu x, pourvu qu’on ait
foin de le leur faire perdre avant que de les rouer. D u mouvement
de la manivelle du quarré. Ibid. 226. a. D e la
charge du quarré. Ibid. b. D e la force des cordes , comparée
à la fomrne des forces des fils qui les compofent. Ibid.
227. b. Le fentiment vulgaire eft que deux fils, tortillés
Tua fur l’autre font plus forts qu’étant pris féparément.
C e fentiment a été réfuté par l’expérience 8c le raifonne-
m en t , par MM. de Muffchenbroek 8c Duhamel. Démon-
ftration qu’a donnée ce dernier. Ibid. 228. a. Autre démonf-
tration. Ibid. 229. a. Noms 8c ufages dè différens cordages.
D e s lignes. D es quaranteniers. D es ralingues. Ibid. 230. a. C o r dages
qui fervent aux carénés du port. Pièces fervant aux
manoeuvres des vaiffeaux. III. Des äußeres à quatre , cinq &
fix torons. Ibid. b. D e la meche. Pourquoi les tôrons d’une
corde fe compriment d’autant moins les uns les autres, qu’ils
font en plus grand nombre. Ibid. 231. a. Moyen de con-
nôître la quantité du vuide qui refie entre les torons de
toutes fortes de cordages. Ibid. b. La plupart des cordiers ,
pour remédier aux défauts occafionnés par ce vuide , le
rempliffent avec un nombre de fils , qui fervent de point
d’appui aux torons, 8c fur lefquels Us fe roulent : ces fils
s’appellent Taine ou la meche de la corde. Précautions que
Ton prend pour la bien placer. Groffeur des meches. Ibid.
232. a. Maniéré de les placer. Ibid. b. Ces meches fujettes
à fe rompre. Précaution à prendre à cet égard : ne point
commettre les meches. Ibid. 233. a. Des cordages à plus
de trois torons. Comme la meche eft fujette à s’échauffer,
pourrir 8c faire pourrir les torons ; Ton examine s’il con-
viendroit de prolcrire les cordages à plus de trois torons ,
comme quelques-uns l’imaginent. D e l’ufage des auffieres à
plus de quatre torons. D e Tufage de la meche dans les cordages
à quatre, cinq 8c fix torons. Il y a des cordiers allez,
adroits pour faire des cordages à quatre torons très-bien
commis, fans le fecours des meches. Ibid. b. Moyen qui
réuffit le mieux pour cela. Objeétion contre les cordages à
quatre torons fans meche. N’y a-t-il pas lieu de craindre que
quand on chargera ces cordages de quelques poids, leurs
C O R
torons ne fe dérangent. Réponfe à cette objeétion. Ibid. 234.
a. Si Ton peut fe paffer de meches pour les cordages à
quatre torons , il ne s’enfuit pas qu’il n’en faille point pour
les cordages à cinq 8c à fix torons. Noms 8c ufages des
cordages dont on vient de parler. IV . Des grelins. Ibid. b.
Cordages appellés girmmes , cordages de fonde. Pratique des
cordiers pour faire des grelins de toute forte de groffeur.
C e qu’on entend par le mot câbler. D ivers avantages que
les grelins bnt fur les auffieres. Ibid. 235. a. O n peut faire des
grelins avec toute forte d’auffieres. Table oii Ton indiqu^^
le nombre de cordons dont on peut compofer les g r e l in s^
8c le nombre de torons qu’on peut donner à chaque cordon^
Des archigrelins, c ’eft-à-dire, des grelins compofés d’autres
grelins. Raifons pour lefquelles on ne doit pas y avoir
recours. Si Ton veut faire des grelins à douze torons, lequel
vaut mieux, de les faire avec trois cordons compofés chacun
de quatre torons-, ou de les foire-avec quatre cordons,
compofés chacun de trois torons. Ibid. b. D e la longueur 8c
du raccourciffement des fils dont on ourdit un grelin. Ibid.
236. a. Réglé pour commettre un grelin au quart. Réglé
pour commettre un grelin au cinquième. Noms 8c ufages
des grelins. Des cables. Ibid. b. Pièces en grelin. Haubans.
Tournevires. Itagues. Driffes 8c écoutes. Guindereffes. Orins.
Etais. V . Des cordages en queue de rat. Des auffieres en queue
de rat : pratique des cordiers pour cette forte de cordage.
Ibid. 237. a. D es grelins en queue.de rat. Ibid. Ufages des
cordages en queues de rat. V I . Des cordages refaits & recouverts
: pratique des cordiers. Réflexion de l’auteur fur la
longueur de cet article. Ibid. 238. a. Ouvrage de M. D u hamel,
à confultcr. Ibid. b.
Corderie. Inftrumens Sc opérations de cordier. C h e v a le t ,
III. 310. b. ènierillon, V . 364. b. fer , V I. 304. a. fil, 789:
b. filerie, 794. b. fileurs, 796. b, frottoir, VIT. 333. a.
haloir, VIII. 31. a, b. moucher le chanvre , X. 777. a.
peignon ou ceinture du cordier , XII. 243. b. peignes, 241.
b. rouets, X IV . 398. a, b. travail des cables, II. 493. b.
touret du cordier, X V I. 473. b. meche dans le travail du
cordier, X. 226. b. voyeç Corde.
CO R D IA L . Remede co rd ial, le plus fur qu’on connoiffe.
X IIL 72 1. b. D e Tufage des cordiaux dans les cas de débilité.
IV . 631. <x, b.
CO RD IA LES. (Pharm.) Quatre eaux cordiales. Trois
fleurs cordiales. Ces eaux 8c ces fleurs rejettées comme inutiles
, du moins à titre de*cordial. C e que dit Harvé des
eaux de cette forte. IV . 238. b.
CO RD IER . Date des ftatuts de la communauté des cordiers.
Il n’y a point d’art qui en exigeât de meilleurs 8c de
plus rigoureufement preferits. Q u el eft l’objet de ceux qui v
exiftent. IV . 238. b. ..
Cordiers , faint qu’ils ont pris pour patron. Suppl. IV . 238. b.
CORDILIERES , ( Géogr. ) monta gnes du Pérou. Il y
régné des orages prefque perpétuels. Suppl. III. 103. b. Hauteur
à laquelle la neigé commence fur ces montagnes. 230. b.
Des glaces des cordilieres. 231. b. Voye? C ordelieres 8*
A ndes.
C O R D IL L A T , ( Manuf. de draps ) il fe fabrique à Cha-
beu il, 8c à Creft. Portées dont ces draps forit compofés.
Leur longueur 8c largeur. Maniéré de les auner. IV . 239. n.
C O R D O N , fens de ce mot chez différentes fortes d’ouvriers.
IV . 239. a.
Cordon de S. François : quelques-uns le portent blanc, 8c
les autres noir. Confrairie du cordon de S. François. C e
que ces confrères ont à foiré pour obtenir les indulgences
accordées à leur fociété. IV . 239. a.
Cordon jaune, ordre du, ( Hift. mod. ) cérémonies de réception
dans cet ordre. Statuts ridicules. IV . 239. a.
Cordon. ( Blafon ) Cordon dans les armes des prélats ,
archevêques, évêques, protonotaires.IV. 239.a.
Cordon, en anatomie, diverfes fortes de corcfons. IV . 239. bi
C ordon. ( Anat. ) Cordon ombilical , cordon fpermati-
q u e , voye? les articles de ces adjeétifs.
CORDON bleu, { Conchyl.) voye? vol. V I des pl. hift. nat.'
pl. 63. Defcription de ce coquillage. Sa claftification. Suppl.
II. 601. b.
Cordon, ( Archit.j IV . 239. b.-
Cordon , ( Fortifie, j fraifes fubftituées au cordon dans
certains remparts. IV . 239. b. ■ '
Cordon. ( Hydraul. ) IV . 239. b.
Cordon de chapeau. IV . 239. b. £
Cordon à la ratiere. IV . 239. b.
Cordon , en terme de boutonnier. Comment on le travaille*
IV . 239. b.
Cordon pour les galons à chainette. 'XII. 133. a. X VI.42 3. b.
Cordon de la m onnoie, voye? T r an ch e .
Cordons & frettes, terme de charron. IV . 239. b.
C ordon. ( Jardin. ) Cordon de gazon. IV. 240.arl
CORDON. ( Pelleter. ) IV . 240. a.
Cordons. (Manuf. en foie) IV . 240 .a. ,
C ordon. (Hifl. turq.) Ce qu’on entend dans Thiftoiré
C O R
turtrae par mander le cordon. Offices des muets lorfqu’îls font
chargés* d’aller étrangler un homme de la part du grand fei-
cneur. Comment ils s’en acquittent. Prix delà vie des citoyens
dans une monarchie, une république. Suppl. II. 601. a. Voye?
D xltois.
CO R D O N N E R , ( Bouton. 6* Pajfement. ) cordonné de foie
ou d’or que font les boutonniers. Cordonné façonné. Travail
& ufages de ces chofes-là. IV . 240. a.
CO R D O N N E T pour les agrémens : cordonnet à broder.
XII. 1 3 3 .a, b. X V I . 424. a.
CO RD ON N IE R . Cette communauté divifée en quatre
corps. Communauté des freres cordonniers. IV . 240. a.
C ordonnier , ( Arts méchan. ) pourquoi ce métier a
été partagé en quatre corps dans les grandes villes. Explication
des différentes opérations de cet art. Suppl. II. 601. b.
<5oz. a, b. Ouvrage à confultér. Ibid, 603. b. A r t du cordonnier
bottier. Différens procédés de l’ouvrier pour faire les
bottes fortes, Ibid. 604. a , b. Maniéré de fabriquer les bottes
molles. Ouvrage à confultér. Etymologie du mot cordonnier.
Ibid. 6 05 . b. ■ . •
Cordonnier , quelques outils de fon métier : buis , II. 460.
b. compas ou mefure , III. 739. a, b. fil gros , fil de Colog
n e , v l . 789. formes, V II . 180. b, pinces, XII. 636. b.
tenailles , X V I . 124. a. tire-pié, 343. a. alênes. I. 233. b.
Travail de différentes efpeces de fouliers, Suppl. IV . 813 .b.
—— 813. b. 8l de b ottes, voye? ce mot. Préparation des aiguillées
dont fe fert le cordonnier pour les coutures lacées 8c
pour les coutures fimples, à furjet. Suppl. I. 231. b. 232. a.
Cordonniers qui vont au tableau. II. 699. a. Freres cordonniers.
VII . 300. b. Voye? les pl. du cordonnier , vo l. III.
CO R D O U E . Bibliothèque . anciennement établie à Cor-
doue. II. 236. a. L e royaume de Cordoue fioriffant dans le
dixième fiecle. IV . 867. b.
C O R D Y L E , ( Hifl. nat. ) defcription de ce lézard ; comment
il nage. Lieux où il fe trouve. TV. 240. b.
C O RÉ , (Hift. Sainte )*fils d’Ifaar, fut ch e f de la famille
des Caathites, célébré parmi les Lévites. Punition de fa rébellion.
Suppl. II. 603. b.
CORÉENS , leur papier : commerce qu’ils en fo n t , &c.
ü »
CO R L E S , ( Myth. ) addition à cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. II. 603. b.
. CO R E S IE , ( Myth. ) obfervations fur cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. IL 603, b.
CO R FO U . < _ette ifle anciennement nommée Pheeacie 8c
Corcyre : voye? ces mots. A qui elle appartient aujourd’hui.
Suppl. TV. 343. a. Elpece de golphe o u 'd e port que forme
la mer fur la.côte occidentale de cette ifle. XI. 70. b. Pourquoi
les anciens ont débité que les habitans avoient une tête
de chien. X IV . 843. b.
C O R IA , ( le Pere ) fes ouvrages fur les carmes. X V I .
* 23- .
CO RIAMBE . ( Bell, leu.) Voyc{Choriambe.
CO R IA N D R E , ( Bot. ) caraaere de ce genre de plante.
Propriétés nuifibles que les anciens lui attribuoient fans fondement.
Utilité de lafimple déification de cette femence. U fage
qu’on en fait. IV . 241. a.
■ CO R IA R IA , ( Bot. ) noms de cette plante en differentes
langues. Son caractère générique. D eu x efpeces renfermées
dans ce genre. Lieux où croît cet arbufte. Ses qualités. Sa
culture. Suppl. II. 606. a.
CO RIN E , ( Quadrup. ) efpece de chamois. Sa defcription
& fes moeurs. Suppl. II. 606. a. Caraéteres qui diftinguent
la corine du chamois. Ibid. b.
CO R IN N E , femme poëte qui v ivo it du tems de Pindare.
X V . 880. b. 881. * . •
C O R IN TH E , (Géogr.) L’ancienne Grece a eu peu de
villes plus importantes ; IV . 241. a. 8c peu de villes ont
éprouvé autant de viciffitudes. C e qu’elle eft aujourd'hui. Ibid. b.
Corinthe. Erreur à corriger dans cet article de l’Encyc lopédie.
Suppl. II. 6q6. b.
. Corinthe. Obfervation.fur fa fituation. IX. 332. a. Suppl. I.
*$3- ? > é- Lac du pays de Corinthe, Suppl. I. 262. a. Révolutions
dans fon gouvernement. Suppl. U. 672. b. Royaume
des Héraclides à Corinthe. X IV . 420., b. Q u el fut fon commerce.
III. 692. D e la naturalifation des étrangers à C o rinthe.
XI. 39. b. Pillage de cette v ille par les romains. VII .
0x6. a. D e l’ifthme de Corinthe. VII I. 930. a. Muraille
bâtie fur cet iftlime par l’empereur Emmanuel. V I . 213. b.
VIII. 197. a. Cuivre de Corinthe. I. 237. b. IV . 347. a, b.
Pourquoi ce cuivre ne fut jamais employé dans les .mon-
poics. X. 243. a , b. Raifins de Corinthe. XIII. 767. b. yyo.
a- TJ\. a, b.
CORIN THIEN , ordre de ce nom en architefture. XI.
6xp. b. Chapiteau corinthien. III. 179. a. C ’eft le plus bel
ornement, oc en même tems peut-être le moins fenfé. Suppl.
I. 386. b. Ornement du fuft corinthien. III. 632. é. Salles co-
ruithicmnes. X IV . 347 a. Modifions de la corniche de cet
C O R 409
ord^e. X . 602. a. L’ordre corinthien très-commun à Palmyre* Suppl. IV . 223. ,
Corinthiens. ( Epitres de S. Paul aux ) Obfervations fur I.
Connth. 1. f . 20. X V ; 623. a. Sur I.Corinth. IV . ÿ . 4. 13.
XII. 379. a. Sur I. Corinth. X. f . 11 . V . 367. a. S u r i. Co-
rinth. XI. ÿr. 10. X V I I . 423. b. Sur I. Corinth. XII. ÿ . x 1 .
IV . 1030,,a. Sur I. Corinth.' X V . jlr. 30. II. 63. b.
C O R IO L A N , furnom donné à Caïus Mardus. XI. 201. a.
CORIS , (Jardin.) D iv erfes vefees de cette efpece. IV .
241.' b.
Coris, (Comm.) coquille qui fert. de monnoie dans plufieurs
contrées de TAfie 8c de l’Afrique. Commerce qu’en
font les hollandois. Les negres ne s’en fervent plus que comme
ornement. Evaluation de cette monnoie. IV . 241. b,
CO R IUM montanum , (Hifl. nat.) efpece de minéral. Suppl.
i-
, ( Ornith.) Defcription de cet oifeau. IV.-
241. b. On a trouvé dans l’éftomac de quelques-uns de ces
oifeaux des coquilles , des pierres , des grenouilles. C ’eft de
tous les animaux le meilleur à manger. Ibid.’ 242. a. Voye?
Courli. J
Corlieu. (petit ) Ou fe trouve cet oifeau. Quelques-uns de
fes caraâeres. Il eft très-bon à manger. IV . 242. a.
^ C O R M E , ( Mat. rnéd. ) fruit du cormier. Ses propriétés.
C O R M É , ( Econ. ruftiq. ) boiffon faite avec de l’eau 8c
des cormes. L e froid 8c le chaud la gâtent. Récolte, des cormes.
Façon finguliere dont on é lev e le cormier de femence. Maniéré
de foire le corrné. IV . 242. a.
C O RM IE R , ( B6tan. Jard.) Lieux où il croît. Defcription
de cet arbre , IV . 242. a. de fa feu ille , de fes fleurs ,
de fon fruit. Comment ce fruit acquiert fa maturité. L ’arbre
eft plus eftimé à caufe de fon bois que pour fon fruit. Lenteur
de fon accroiffement. I l ne rapporte fon premier fruit
qu apres trente ans. Ce t arbre eft extrêmement robufte. Hauteur
8c épaiffeur qu’il peut acquérir. Qualités du terrein 8c de
l ’expofition qui lui conviennent le mieux. L e m oyen le plus
sûr qu’on puiffe employer pour la multiplication du cormier ,
c’eft de l’élever de femence. Précautions à prendre pourcon-,
ferver la femence. Tems de femer. Progrès de chaque année.
Ibid. b. Comme le cormier réuffit à la tranfplantation
peut-être mieux qu’aucune autre efpece , le plus court moyen
de s’en procurer quelques plants fera d’en foire arradier dans
les bois. On peut les tranfplanter quoique fort gros. Tems où
ils donnent leur fruit apres la tranfplantation. Demi-culture
qu’il faut leur donner. Arbres fur lefquels on peut les g reffer.
Ceu x auxquels il peut fervir de fujet pour la greffe.
Utilité du fruit. Qualité 8c ufage du bois. Différentes efpeces
ou variétés connues de cet arbre. Ibid. 243. a. D u cormier
fauvage, ou des oifeleurs. Cara&eres qui le diftinguent
de tous les autres cormiers , dans fa grandeur , fes progrès
d’accroiffement , fes feuilles , fes fleurs 8c fon fruit. 11 réfifte
dans les climats froids 8c vient dans prefque tous les ter-
reins. Agrémens de cet arbre. Maniéré de le multiplier. Hauteur
8c groffeur qu’il peut acquérir. Ufage de fon bois. La
plupart des auteurs ont fouvent donné au cormier le nom
de forbier. C e dernier nom devroit être réfervé pour cette
derniere. efpece dont on vient de parler. Ibid. b%
Cormier. Cara&eres qui le diftinguent du forbxer fauvage.
Suppl. II. 481. a.
Cormier. ( Thomas 3 1 2 3 3
CO RM O RAN. ( Omith. ) Defcription de cet oifeau aquatique.
Lieux où il niche. D u petit cormoran. Caractères qui
le diftinguent du grand. Ufage que les Chinois font du cormoran
pour la pêche. IV . 244. a.
Cormoran. Voye? VI vol. des pl. hift. nat. pl. 4p. Claffifica-
tion de cet oifeau. En quoi il différé da pélican 8c du booby
des Anglois. Suppl. II. 606. b.
Cormoran. Jabot de cet oifeau. VII I. 426. b. Obfervations
fur fes pieds. XII. 357. a.
C O R N A C ,- conducteur d’éléphant. IV . 244. a.
CO R N A CH IN E , poudre. XIII. 188. *. .
C O R N A G E , ( Jurtfp. ) en quoi confifte ce droit qui f e
paie principalement dans le Berri. IV . 244. a. Droit de Cor-
nefage dont il eft parlé dans une lettre de Hugues , v icomte
de Châteaudun, de Tan 1168. Il paroît être différent du d roit
de cornage, appellé dans les anciens titres boagium, bova-
giurn , garbagium. Divers endroits où ce droit fe paie de
différentes maniérés. Divers noms qu’on lui donne. C e que
fignifie, tenir du roi par cornage. Ibid. b.
CORNALINE. ( Minéralog. ) Caraétere diftinétif de cette
pierre. Différence entre le rouge d’agate 8c de jafpe , 8c celui
de cornaline. Caraétere des plus parfaites cornalines. O n
prétend qu’elles fe trouvoient en P e r fe , 8c qu’on n’en con-
noîi: plus les carrières. IV . 244. b. La netteté de la couleur
fuppofe toujours dans les pierres une pâte fine ; 8c celle de
la cornaline ne différé guere de celle de l’agate que par la couleur.
Cornalines dont la teinte tient le .milieu entre le rouge
de la cornaline 8c l’oraneé de la Sardoine. Défaut dans la.
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