2 4 8 C A V
.de ce célebVfe rortiain.-XVI. 761 . 6. 762. m 6. Son éloqiiencô.
X L 567. />. Sa réponfe à celui qui lui demandoit pourquoi
on'ne lui avoit point encore érigé de ftatue. V . 903. a. 11
. penfoit qu’on peut guérir par des paroles les maladies lés
plus lérieufes. IX. 853. 6.
Caton d’U tique. Sentiment généreux de Caton^encore en1-
font. X V I . 785. b. Caraétere & v ie de cet illi "
X V I I . 559» a * 6. 560. a , b. Sota «
:re tracé par Lucain.
X IV . 34p. a. Trait qui marque fon
lence dans l’état. V .
'490. b. Son avidité pour la leéhire. IX. 334. a Anecdotes
Anecdotes
qui lui font relatives. VIII. 538. a. Son animé pour Athè-
nodore. XII. 354 a- Son goût pour l’exercice do la paume
zoo. b. Sa retraite des jeux floraux. V I. 875. b. 876.4. Gloire
qu’il s’acquit par fon zele envers la patrie. XII. 181. a , b.
Parallèle entre Socrate & Gaton. V . 341. b.
C A T O N IE R E , réglé, liiez C A TO N IEN E . X IV . 23. a.
C A T O P T R IQ U E , on trouve aux mots, Miroir, Réflexion,
l'ifion Lumière, Optique, les principes & les loix de la catoptrique.
Etymologie de ce mo t.. D e quoi traite cette fciencé.
^Principaux auteurs qui ont écrit fur cette matière. Eloge des
leçons d’optique d’Ifaac Barroiv.
ieélif. Cadran, télefcope catoptrique, boîte
k‘ r.... •____ __ C—
:atoptric Détails fur cette machine. Ses ditefpeces.
Maniéré de faire une caille catoptrique qui
repréfente les objets en differentes fituations. Ibid. 779. b,
Maniéré de faire une caifle catoptrique, qui repréfente les
objets qu’on y aura placés, fort multipliés, & répandus dans
un grand efpace. Appartenions conftruits fur le môme prin-
.cipe. Voyc^ les planches d’optique, volume V .
C A T O P TR OM A N C IE , divination par le moyen d’un
miroir. Etymologie du mot. H. 78®. Cette divination
employée par l’empereur Didius Julianus. Autre efpece de
catoptromancie rapportée par Paufanias. Divination appel-
lée Gaftromancie. Ibid. b.
C A T O T E R ÏQ U E 5 , remedes deftinés à purger le fo ie ,
les reins, la veille. Indication de deux de ce genre. II. 780; b.
C A T R A C A , ( Ornith. ) oifeau d’Amérique. Sa defcrip-
tion. Lieux où il fe tient. Conformité de fon cri avec fon nom.
Q ualité de fa chair. II. 780. b.
w C A T R IC O N D A , (Bo t an. ) efpece
Sa defcription. Suppl. II. 271. b. Lieu:
de larme de Job vivace,
croît cette plante.
1 des auteurs dujource
Ses ufagés. Sa claflification. Ibid. 2
. C A T h O U , ( François ) jéfu ite ,
nal de Tré vou x. Suppl. III. 659, -
C A T T E S , pays des C atte?, aujourd’hui la Thuringe. X V I .
302. a. Caraôere de feshabitans. Suppl. I-. 565.b.
C A T T U M O L A G O , ( Botan. ) nom brame d’une efpece
de poivre ainfi nommé au Malabar. Ses, autres noms. D e fcription
, culture, qualités & ufages dé cette plante. Sa claflification.
Suppl. II. 272- fl-
C A T T U -S C H IR A G AM , (B o t.) arbriffeau du Malabar.
Lieux où on le trouve. Sa defcription. II. 780. b. D iverfes
propriétés médicinales qu’on lui attribue. Ibid. 781 .b .
C A T U L AM A , (Botan.) nom brame d’une efpece de
vicrne du Malabar. Ses differens noms. Suppl. II. 272. a.
Defcription, culture, qualités & ufages de cette plante. Sa
claflification. Ibid. b.
C A T U L L I , ( Botan. ) plante liliacée du Malabar. Ses diffé- ^
rentes défigriations. Suppl. II. 272. b. Defcription, culture,
qualités & ufages de cette plante. Ibid. 273. a. Caraéteres
qui la diftinguent du lunala d eCeylan. Sa claflification. Ibid. b.
C A T U L L U S , ( Caïus Valerius ) article fur ce poëte. X V II .
85. b. I l perfeétionna l’épithalame latin , V . 818. b. & les
vers fefcennins. V I . 558. b. Remarques fur une piece de
ce poëte que l’on croit être un poème féculaire. X ÎV . 881.
b. Sur fes élégies. V . 484. a. V e r s de Catulle fur la m ort d’un
moineau. VIII. 130. b.
C A T Z , ( Jacques) grand penfionnaire de Hollande,’poète
célébré. SuppL III. 430. b. 4 3 1 , a , b.
C A V A IL L O N , ( Géogr. ) état de cette v ille dans l’hiffoire
ancienne, & dans celle du moyen âge. Suppl. II. 273. b.
C a v a ïl l ON, (Géogr.) v ille de Gaule.- Suppl. IV . n . b.
C A V A L A M , (Botan.) arbre'du Malabar. Ses différentes
défignations. Sa defcription. Suppl. II. 273. b. Cu ltu re ,
qualités & ufages de cet arbre. Erreur de 'Linnæus. Claflification
du cavalam. Ibid. 274. a.
. C A V A L E de bronze, qui étoit auprès 'du temple de Jupiter
Olympien. VII I. 216. bd ■
C A V A L E R IE , ( A r t milit. ) la cavalerie françoife eft
Sivifée en compagnies d’ordonnance, & en régimens qui forment
la cavalerie, légère. Ils ont été" fubftituês à la gendar-
merie 8c aux gens dé cheval armés à la légère. La cavalerie
légère n’étoit guere eftimée, c’étoit la gendarmerie qui faifoit
la force de l’armée. II. 781. a. La cavalerie légère a été com-
pofée des eftradiots, des argoulets , des carabins.1 Détails-
fur les uns & les autres. Ibid. b. Les plus fameux carabins
du régné de Lpuisi.XIII , furent les carabins d’Arnaut. La
Srde des généraux étoit ordinairement alors de carabins,
large de général des carabins. O ù fe place la cavalerie'dans
C A V
une armée rangée en bataille. Utilité de la ca va lerie, pourvu
qu’elle ne foit pas trop nombreufe. Ibid. 782. a.
Cavalerie. Antiquité de l’ufage de la cavalerie : fon éloge.'
V . 920. a j, b. & c. Recherches hiftoriques fur cet objet. 883.
b. Premier emploi de la cavalerie. Formation de fes premiers
corps. V II . 985. b. Divers ufages auxquels on l’employa.
986. a. Efcadrons de cavalerie des anciens. Suppl. II. 868.
b. Cavalerie des Egyptiens-, V . 885. a. des G r e c s , 'voyeç
G recs ( Milice des ) , des Athéniens. VII I. 210. a. Obferva-
tions fur la cavalerie romaine. IX.3 55. a , b. Voye^ Rom a in s
(Milice des) , cette cavalerie appelléealare. I. 213. a. Cavalerie
des cataphraéles chez les Romains. II. 766. a. Poftes que
la cavalerie occupoit dans les batailles. Suppl. IL 869. a. Suppl.
IV . 175. a. Cavalerie turque. IL 685. b. X V . 42y. a. Cavalerie
de Pologne , appellée pancernes. X I. 81 x. a.
D e la proportion entre la cavalerie & l’infaiiterie. V I I I :
698. a , b. Elle eft ordinairement poftée fur les ailes de
l’armée. I. 213. a. Differens corps dont elle eft compofée.
III. 315. b. Régimens royaux ou bleus dans la cavalerie
françoife. X IV . 16. b. Corps de cavalerie, appellés chevaux-
légers. III. 315. b. Uniforme de la cavalerie. VII I. 10. b.
Moyen d’inftruire un régiment, de cavalerie à monter à
ch e v a l, III. 304. b. & de lui faire exécuter les mêmes mou-
vemens qu’à l’infanterie. IV . 814. a. Équipage des régimens
de cavalerie. V . 882. a. D es étendards &guidons. V . 7 1 1 . b.
V I . 40. b. Armes de notre cavalerie. I. 689. b. Efpece de
fufil qui lui conviendroit. Suppl. III. 162. b:Son emplacement
dans le camp. Suppl. II. 150. à. 15 1. a. Moyen de lui faire
paffer une riviere , à l’aide des peaux de bouc. 846. a. D e s
moyens de fubfiftance pour la cavalerie en tems de guerre.
X V . 582. b. Détachement de cavalerie. IV . 900. a. Détail des
principales évolutions de la cavalerie. V I . 196; b__ 201. b:
Des exercices qui lui font propres. 241. b. Voyeç la defcription
figurée des exercices & évolutions de la cavalerie dans le
vol. I dès planches , article Art militaire. Ordre de bataille des
efcadrons. V . 924. a, b. Feu de la cavalerie. V I . 629.4, b. 630.6.
Brigadier-de cavalerie. IL 419. a , b. Commiflaire-général
de la cavalerie. III , 710. a. Chefs de la cavalerie. VII. 5 5^5. b.
Maître de cavalerie en Angleterre. IX. 894. a. Salut de la cavalerie.
X IV . 587. a.
C A V A L IE R ou maître , (Artmilitaire) fbldat qui combat
à cheval. Étymologie du mot. Caraéleres d’un bon cavalier.
Cavalier qui v a au fourrage ; ce qu’il doitobferver. IL 782. b.
Cavalier. Armes ,.des cavaliers dans les premiers tems-. I :
687. a. Armure des cavaliers romains. IX. 355. a. X. 508'. a;
Cavaliers turcs appellés gindi. V IL 662. a. Cheval de cavalier*
V I . 8 11. a. Habillement du cavalier. VIII. 7. b. Son équipement.
8. a. Son armement. Ibid. b. Sa beface. 10. a. Talons du
cavalier. X V . 869. b. Cavaliers dits gendarmes. V II . 547. a , 6*
Comment le cavalier doit accoutumer fon cheval au feu. V I
636.4.
C a v a l ie r , ( Fortification ) lieux où ils fe conftruifent:
Figure &.fituation du cavalier. Lorfqu’une place fe trouve
commandée , l’on y éleve quelquefois des cavajiers. Avantages
qu’pn tire des cavaliers. IL 782. b.
Cavalier de tranchée , dans l’attaque des places. Defcription
d e cet ouvrage. A vantage qu’il procure. II. 782. b. Commentil
doit être protégé. Ibid. 783. a.
C A V A L L E R IU S , (Bon aventure) fa géométrie des indi-
vifibles. V IL 631. a , b. V III. 686. a. Suppl. III. 174.6 17 5 .4 .
Sa dïffertatibn fur les marées. V I. 908.6.
C A V A L L O ,' monte , X. 683. à. ' .
C A V A N D E L I , (Botan.) nom brame , d’une efoéce de
calebafle du Malabar. Ses differens noms. Sa culture &
fes qualités. Maniéré de"clafler cette plante. Suppl. IL 274. 6:
C A V A T IN E , (M ufiq .) forte d'air à chanter. Effet admirable
qu’il produit dans les grandes expreflions. Suppl. IL 275.4.*
C A U C A S E , (Géogr. Myth.) chaîne de montagnes en Afie.
Fable de Prométhée enchaîné fur le Caucafe. Pratiqués des
habitans de cette contrée. Ils fe réjouiffoient aux funérailles de
leurs enfans. Il n’y a point de chrétien qui ne dût imiter l’habitant
du Caucafe. IL 783.4.
Caucafe. Peuples du Caucafe , voifins de l’Imirette. V I I I :
566: 6.
C A U CH EM A R , incommodité nommée èphialtes , .ou
incubus , par les médecins. IL 783. a. En quoi il confifte. Ses
caufes. D e quelles maladies il eft le pronoftic dans les jeunes’
gens & dans les vieillards. Ibid. b.
. Cauchemar. C e que les anciens penfoient de cette incommo-'
dité. V III. 210, a. '
C A U C A U B A R D IT E S , ( Hifi. eccl. ) hérétiques du V I0,
fiécle. Pourquoi- ainfi nommés. Leurs erreurs. w m m m
C A U D A T A IR E , ( Hifi, mod. ) XIII. 1 42. a.
CAU DICA IRES , (Hifi. anc. ) bateliers des Romains pour"
la navigation du Tibre. Étym. du mot. Caudicaires qui franf-
portoient les grains d’Oftie à Rome. IL 783. 6. j
C A U D R E T T E , ( Pèche) vol. VIII. des planch. Pèche ;
planch. 4. . .
Ç A V E , (Phyfique) de la chaleur apparente des caves en
hiver
c a v
l l » e r ,& d e fen t ftaiehenr cai. été. II. 783. I . Ràifcn qu'en
donneM.Mnflchembtôeck » ^ .7 8 4 .« .
Cave Pourquoi les caves nous parodient fraîches en ete oC
chaudes en hiver. VII . 321. 6. Caves de l’obfervatoire. XI.
3 C a v e , ( Anatomie) nom de deux groffes veines. C a v e en
général. Veine-cave amendante & defeendante , ou inférieure
Ht fupérieute. Defcription de ces veines & de leuf trajet. IL
784. a. Veines qui le rendent dans l’afcendante. Ibid. 6. —
Voyer V eine.
Cave , veine. Sa defcription. Suppl. IL 614. fl. Suppl. III.
78. a. Effet du diaphragme & de la refpiration fur ce vaifleau.
Suppl. IL 7 17. a. Suppl. III. 80. 4.
Cave , veine , ( Maréchall. ) celle du cheval. Suppl. III,
^ C a v e , (parmi les Confijeurs) forte de cailfe de fer-blanc
portative. Sa defcription. Son ufage. Coffret qui porte le même
nom. IL 784.6. , . , „
C A V E A , trois Lignifications de ce mo t, relatives a 1 amphithéâtre
, chez les Romains. II. 784.6.
C A V E A U , crypta, voûte fouterreine deftinée à la fépul-
ture. Étymologie du mot. Caveaux ou catacombes de S. André,
de Si Paul. D ivers fens du mot crypta. De-là eft venu crypto-
porticus, lieu fouterrein Voûté. II. 784. 6.
C A V E Ç O N , ( Manege ) efpece de bride, fon ufage. D e fcription
des eaveçons. IL 784. 6.. *
Cavecon. D u caveçon brifé. D u caveçon fait pour arrêter &
, maintenir un cheval dans les piliers. V . 933. a. Pourquoi nous
me nous fervons plus de caveçon. Ibid. b. Caveçon appelle
figuette. X V . iç>0, a.
C A V E D O N E , ( Jacques) peintre. Son talent propre. Sa fin
malheureufe. V I . 340.6. XI. 275. 6.
C A V E L A N , ( Géogr.) obfervations fur cet article de l’En-
cyelop-èdie. Suppl. IL 275. fl,
C A V E L IE R , ( Louife ) de R ouen.Suppl. IV . 683. a.
C A V E L ÏN , (Commerce) c’eft à Amfterdam ce que nous'
appelions un/or. I l y a certaines marchandifes dont le vendeur
fait les cavelins aufli grands ou aufli petits qu il le juge à
propos. Il y en a d’autres dont les cavelins font réglés. Marchandifes
de l’une & de l’autre forte. Comment ces cavelins
fe règlent. IL 785. fl. . . . , ^ ..
CA V E N TE N IE R , ( Cordene) petite corde. Gomment e lle
fe fabrique. II. 785. a. . .
C A V E R , ( Efcrime) le contraire d oppofer. Defcription de
ce mouvement.II.785. a.
C A V E R N E , ( Hifi: anc.) lieux ou les cavernes fe trouvent.
Comment elles fe forment. Diverfes cavernes nommées.
Defcription d’une caverne dans la province de D arb y en
Angleterre. II. 785. a. Énumération de quelques autres. Origine
des cavernes qui donnent iffue à des ruiffeaux. Defcription
de la fameufe caverne d’Antiparos. Ibid. 6. Caverne de
Trophohius dans la Livadie. Contrées où il y a le plus de
cavernes : elles ne font pas toujours uniquement l’ouvrage
de la nature : fouvent les hommes y ont travaillé. T e l eft le
fameux labyrinthe de l’ifle de Candie ; telle eft une carrière
de Maftricht. Defcription de cette carrière. Telles font encore
les mines de fel en Pologne. Les caufes qui prOduifent des
cavernes , produifent fouvent dés précipices. Montagne de
Cajetan, féparée par un tremblement de terre. Éboulemens
de montagnes produits par les mêmes caufes. Ce lu i d’une
partie de la montagne de Diableret en Valais , arrivé en
Ï7 1 4 . Ibid.ySô. a. Celui de quelques collines de la province
de K en t , en Angleterre. L a v ille de P leurs en Suiffe, enterrée
en 1618. Inondation en Gafcogne, caufée en 16 78 , par l’affaif-
fement de quelques montagnes des Pyrénées. Pareil événement
en Irlande , en 1680. Caufes de ces effets. Ibid. 6.
Caverne. Obfervations fur les cavernes. V I I . 624. a. Rochers
dans certaines cavernes , q u i , par leurs ouvertures ,
afpirent & expirent l’air alternativement. V IL 101. a. Peuples
qui vivoient dans les cavernes. X V I . 686. 6. Les cavernes
favorables aux oracles. XI. 533. 6. 534. a. La plupart des
cavernes qu’on a obfervées font à fec. V II . 84. 6. Cavernes
fulfureufes de l’ifle d’Ifchia. VII I. 9x1. a. Caverne des nymphes
fphragitides. XI. 29 2.6. Caverne de la fontaine de Vauclufe.
X V I . 859. a. Cavernes de l ’ifle de France , ou Mafcareigne.
Suppl. III. 668. 6. Sur les cavernes, confultef encore l’article
Grotte.
C A V E R N E U X , (Anatom.) deux corps de ce nom. N ature
de leur fubftance. Defcription de deux corps caverneux, &
d’un troifieme appellé corps caverneux de l ’uretre. IL 786. 6.
Corps caverneux du clitoris : leur defcription. Sinus caverneux
de là dure-mere , ou finus latéraux de l’os fphénoïde.
Ibid. 787. a.
Caverneux , corps : defcription du corps caverneux du
pénis & de l’uretre. Suppl. IV . 278. a , 6. 279. b. Leur dilatation
dans l’éreélion. Suppl. I I . .854. a. Artere caverneufe.
Suppl. III. 486.6. V eine caverneufe. 487. a.
C A V E T , (Archit.) moulure concave. Où elle convient le
mieux. Maniéré de lui donner fa profondeur. II. 787. a.
C A U *49
C A V IA R , ( Àntiq. ) loilge de cheval qu’on offroit tous les
cinq ans pour le college des prêtres. Sacrifice pareil qu’on
offroit tous les ans au dieu Mars. Rit de ce facrifice. IL
787. «•
C A V IA R I S K A R I , préparation d’oeufs d’efturgeon , qui fe
fait en Rutile. Comment elle fe fait. Les Italiens l’eftiment
beaucoup. II. 787. a.
C A V IL L O N E , (Ichthy .) voye^SURMULET.
C A V IN , ( Fortification ) ceux qui fe trouvent auprès
d’une place afliégée,- font tres-avantageux aux affiégeans. IL
B H H Ü
C A U L ICO LE S , (Archit. ) ornement d’architeéhire. X V II .
7 6 1 .4 .6 .
C A U M O N T de la Force > ( Charlotte^Rofe ) de l’académie
de Ricovrifti de Padoue. Suppl. II. 257. b.
C A U SA , (Logiq. ) non caufia, pro eau fa , forte de fophifme»
X V . 363. 6.
C A U S A L E , propofition. IV . 85.6.
C A U S A L IT É , I. i 76 .a.
C A U SA T IV E S , conjonèlions. X . 760. à.
CAU SE . Comment on acquiert l’idée de caufe & d’effet:
Caüfe efficiente. Caufes p hyfiques, morales, inftrumentales,
occafionnelles.
Examen de la maniéré dont l’ame agit fur le corps. Éxpofé
du fyftême de l ’influence phyfique , remis en honneur par les
Anglois. II. 787. 6. Examen critique de ce fyftême. Défenfe
du lÿftême des caufês occafionnelles de Mallebranche. Ibid.
788. a. Autres diftinélions admifes par rapport aux caufes.
Caufes matérielles , formelles , exemplaires, finales. Ibid. 6.
Caufe : définition de ce mot. I. 575. a. O rigine des idées de
caufe & d’effet. X IV . 62. a. Examen fi l’effet eft proportionnel
à fa caufe. ï. 62. 6. Relation de caufe & d’effet : ce qù’ori
entend par ces d eux mots : fens de l’axiome, rien ne fe fa it fans
caufe. V . 405. 6. Il faut s’aflùrer de l ’exiftenee des effets,
avant d’en chercher les caufes. Ibid. Il faut enfuite s’aflùrer
des indices convaincans que cette caufe exifte dans la nature.
Pourquoi nous prenons fi aifément le change , en recherchant
la caufe d’un effet. 406. a. D e la recherche des caufes
en phyfique. Suppl. IV . 319. 6 , & c . D eux maniérés de-remon-
ter d’un effet à fa caufe. V l . 267. a. Examen d ecet axiome de
"Spinofa, que la connoiffance de l’effet dépend de la connoif*
fance de la caufe , & la renferme néceffairement, X V . 471 .
а. & de cet au tre , que dans les chofes qui n’ont rien de
commun entr’e lle s , l’une ne peut être la caufe de l’autre.
Ibid. b. Réflexions contre l’enchaînement infini des caufes &
des effets. X V . 473. a. IV . 978. 6. Enchaînement des caufes
qui produifent tous les effets du monde moral. V I . 422. 6. —
Voye[ Effet.
C ause , ( Méchan. & Phyfiq. ) loi générale de l ’inertie des,
corps. D eux fortes de caufes capables de p roduire ou d’altérer
le mouvement dans les corps. IL 789.6. L’impiilfion à laquelle
fe rapporte la traction , & la force encore inconnue, qui
produit la pefanteur, Sc retient les planètes dans leurs orbites.
Les caufes de la première efpece ont des loix très-connues.
Il n’en eft pas de même de celles de la fécondé èfpece. O n
démontre ici qu’il fe trouve des cas où l ’on ne fauroit fou-
tenïr l’axiome , que les effets font proportionnels à leur caufe.
Ibid. 790. a. Les caufes métaphyfiques du mouvement nous
font inconnues. On ne peut dire que les effets font proportionnels
à leurs caufes , fi l’on entend par-là des caiifes
métaphyfiques. Paralogifmés‘ où peut entraîner l’ufage de cet
axiome. Ibid. b. Voye^ F o r c e A c c é l ér a t r ic e , M o t r ic e ,
R e ta r d a t io n .
CAUSE procataretique , ( Médec. ) étymologie du mot.
Exemples qui rendent fenfible la définition qu’on en -donne.il.'
790.6.
Caufe continente. C aufe continente de la fuppreflïon d’urine.
Fievre continente.il. 791 . a.
C ause , ( Pratique') caufe d’appel. II. 791 . a.
C ause , ( Jurifpr. ) w y e r P ro cès , P l a ider , Pl a id o y e r .
Communication de caufes. III. 729. 6. Conteftation en caufe.
IV . n z . b. Jonction &disjon£tion de caufes. IV. 1036. 6. Fait
& caufe. V I . 384.6. Réflexions contre l’iifage de folliciter les
juges d’une caufe. SuppL IV . 8o6.- 6. * - • ;
C ause , ( Rhét. ) caufe pour effet, forte de figure. X . 466#
б. Effet pour caufe. 4 67 .6 . r , a
C auses finales. C e mot a été fort en ufage dans la philo-
■ fophie ancienne. Le chancelier Bacon ne paroît pas faire
grand cas de l’ufage des caufes finales dans la phyfique.
Defcartes a foivi la même route ; cependant Leibnitz a
effavé de reflufeiter les caufes finales , & il- donne un effai
de cette maniéré de phHofopher , en déterminant les loix
que fuit la lumière. M . de Fermât avoit raifonné fur le même
principe. IL 789. a. O n démontre ici que ce principe eft
en défaut fur la réflexion des miroirs con cav es , & fur la
réfraétion ; cependant il peut être utile de faire vo ir comment
le principe des caufes- finales s’accorde avec les loix
des phénomènes, déterminées auparavant par des principes
y de méchanique clairs & inconteftables. C ’eft ce;-qù’a faitM .