300 C H E
battent d u fla flc .ll. 133. b. Chatouilleux. III. 2 5 t . à. Cheval
de deux coeurs. 602. b. Cheva l qui fe coupe. IV . 351 .b . C heval
effilé, V . 408. a. efflanqué, Ibid. b. éhanché, 439- a» b.
Cheva l qui s’embarre. 550. b. C heva l qui s’emporte. 594. a , b,
Ch e v a l encapuchonné, 606. a , b. encaftelé , Ibid. b. enchev
ê t r é , 621. b. e n fe llé ,7 i3 . a. entablé, 71 y. A acculé, 716. b.
entier, 723. a , b. irréfolu. 724. a. Cheval qui s’entrecoupe, 728.
b. qui s’attrappe. Ibid. Chevaux craignant l’eau, chevauxqui s’y
couchent : moyen de les guérir. 209. a , b. 2 1 a a >b. Défauts
des épaules des chevaux. 757. b. - 762. b. Cheva l farouche.
V I . 414. b. Cheval coufu, 843. a. lunatique» 923. a. Cheva l
qui forge. VII. 170. a. Cheva l gros d’haleine. 953. a , b. Chev
aux plats. Suppl. II. 623. b. Cheva l ramingue. XIII. 785. a.
Effet de l’ivroie fur les chevaux vieieux. X V I I . 684. b. Garantie
dans la vente des chevaux. V I I . 4 81. a , b.
V . Quelques maladies des chevaux. D e l’art de guérir les
ch e va u x, voye^ Hippiatrique. VII I. 210. b. Defcription
& traitement de leurs maladies, foit externes, foit internes.
Suppl. III. 401. a., b. & c . Réflexions fur les maladies des chevaux
& les livres qui en traitent. V . 379. b. L a nature fait plus
pour la guérifon du cheval que pour celle de l’homme. V I.
74. b. Maladie des chevaux appellée les eaux. V . 210. a , b.
Autres maladies dont le principe eft le même. 212. a , b. Ecart,
accident qui furvient aux chevaux. 219. b. 220. a , b. Ebullitions.
217. b. Surdents du che va l.X V . 686. a. C heva l enelôué,
fe r r é , piqué. V . 625. b. Enflure du cheva l.'673. a. Tumeurs
du jarret. 7 51 . a , b. Maladies des épaules. 757. b. 8c c. Epauler
un cheval. 763. a. Châtrer un cheval. III. 251. b. Les autres
maladies & opérations de maréchallerie fe trouveront décrites
à leurs articles particuliers.
V I . Des chevaux par rapport à leurs différentes efpeces. Chevaux
de Barbarie. II. 7 1 . b. Suppl. III. 29 y. a. Petite efpece
nommée bidets. II. 242. b. Des chevaux arabes 8c de leurs généalogies.
I. 5 66. b. Suppl. I. y 09 .a . Efpeces de chevaux qu’il
faut dans un état militaire 8c commerçant. VIII. 42. a. Chevaux
de Theffalie. X V I . 276. b. Chevaux d’Efpagne. Suppl.
III. 29y. a.
V i l . Des chevaux par rapport à l ’équitation. Ancienneté de
l ’ufage des chevaux. Suppl. III. 373. a. Il eft difficile de fixer
le tems où les hommes ont imaginé de réduire le cheval 8c de
le maîtrifer. V . y y 8. a. Comment il eft vraifemblable qu’on
parvint inlènfiblement à emboucher les chevaux. Ibid. b. A ncienneté
de l’ufage que l’homme tire du cheval : hiftoire de
l ’art démonter à cheval. 883. b. 8cc. A rmes défenfives des chevaux
dans les anciens tems. 1. 688. b. Ch e va l bardé. Suppl. I.
808. b. D e l’exercice du cheval par rapport à lafanté. V . 894.
a , b. Suppl. II. 848. a , b. C aparaçons des chevaux. IL 62y. b.
D e la danfe des chevaux. 46. a. Courfes des chevaux, voyeç
C o ur se , É q u it a t io n .
VII I. De L’entretien du cheval. D u foin que l’on doit avoir
des chevaux. Suppl. III. 400. b. D e leur nourriture. Ibid, a , b.
D u fourrage. V II . 248. 9 .« , b, c , d. 249. a, b. V II. 39. b. 2yo. a.
Ufage de l ’eau pour les chevaux, comme boiffon ordinaire,
comme boiffon dans leurs maladies, avec préparation, comme
employée à l’extérieur de l’animal. V . 206. a , b. 8cc. Soins
qu’exigent les pieds des chevaux. IV . 373. b. Nouveau fyf-
tême lur les moyens d’avoir en Franc e, fans recourir à
l ’étranger, les meilleures efpeces de ch e vau x, pour les d ivers
ufages du royaume. VIII. 42. b. 8cc. D e l’art de perfectionner
les races 8c d’élev er les ch e vaux, voyc{ Ha r a s . D es
exercices auxquels on affujettit les chevaux. Suppl. III.
400. b.
IX . Du cheval par rapport du manege. Des mouvemens du
cheval. Suppl. III. 396. a , b. Airs du cheval. I. 239. a. Allures.
289. b. Pas. XII. n o . a. Enchaînement 8c dépendance des
diver?mouvemens de l’animal. V . 239. b. Cheval uni, XVII.
380. b. défuni, IV . 900. a. qui dévide. 909. a. Méthode à
fuivre pour donner au cheval fes premières leçons. III.
689. a. Moyens de gagner fa volonté. VII. 423. a. D e l’art de
donner de la foupleffe aux mouvemens de l’animal. V . 630. b.
Gourmer un cheval. V II . 733. b. Conduire fon cheval étroit
ou large. IIÏ. 843. b. Elargir un cheval. V . 441. b. Embraffer
un cheval. 360. b. F aire fàlquer un cheval. V I . 388. a , b.
C h e v a l , ( Agricult. ) examen de la queftion , s’il vaut
mieux fe fervir de boeufs ou de chevaux dans le labourage
V I . 329. a , b.
C h e v a l i f rencontre, ( J u r i fp r ce qu’on entend par-là dans
la coutume de Poitou. III. 307. b.
Cheval de fervice.Che v a l dû par le vaffal au feigneur féodal,
ancienne coutume qui a donné lieu à ce droit. Différence
entre le fervice du cheval 8c le cheval de fervice. Coutumes
- où il eft parlé du cheval de fervice. Diverfes maniérés
d’eftimer oc de payer ce dro it, félon les différentes coutumes.
III. 307. b. Qualités que devoit avoir anciennement le
cheval de fervice. Ouvrages à confulter. Ibid. 308. a.
Cheval traverfant, eft le cheval de fervice que le vaffal ,
qui tient a hommage plein , doit par la mutation du feigneur
féodal en certains endroits du Poitou. Il ne faut pas confondre
ce. cheval avec celui qui eft dû par la mutation du vaffal. A rti-
C H E
clés où il en eft parlé» Diverfes difpofitions de la coutume dé
Poitou, relatives à ce droit. III» 308. a.
Cheval marin, poiffon de mer. Selon A rth ed i, on l’avoit
mis au nombre des in fe&es. Pourquoi on l’a nommé cheval
marin. III. 308. a. Sa defcription. Ibid. b.
C heval , ou petit cheval, ( AJlron. ) conftellation. Son
Origine. Étoiles qu’elle contient. Lohgitude 8c latitude de la
• principale. Suppl, i l. 390. a.
Cheval, petit, conftellation. III. 308. b.
C heval de bois , cheval de fr ife , ( Art mi lit. ^ Ufage qu’on
en fait. O rigine du nom. Defcription. III. 308. b.
C heval de terre , ( Marbrier ) III. 308. b.
C h ev a l, (Zirr. Mythol. ) figure fymbolique. X V . 733. a.
Déeffe des chevaux. V IH . 2 17. a. Chevaux de plufieurs divinités.
Suppl. III. 376. b.
C heval , ( Blajon) animal qui paroît de profil dans l ’écu;
Différentes épithetes qu’on lui donne , félon la m aniéré dont
i l eft repréfenté. Eloge 8c qualités du cheval. I l eft l’iiiéroglyphe
de la valeur 8c de l ’intrépidité. Suppl. II. 390. a.
Cheval , ( B la fo n ) cheval eftaré , Suppl. H. 773» b. gai.
Suppl. III. 166. a.
C heval , ( Mythol. ) animal confacré à Mars. Sa vu e
étoit un préfage de guerre. Les P er fe s , les Arméniens les
Maffagetes immoloient des chevaux au foleil. Les Sueves
nourriffoient des chevaux blancs , dont ils tiroient des pré-
fages. Suppl. II. 3 89. b.
Cheval de Troie. Hiftoire de cette machine , par le m oyen
de laquelle les Grecs prirent la v ille de Troie. Cette fiétioh,
qui nous paroît aujourd'hui fi folle , étoit appuyée fur une
vieille tradition, 8c fur la crédulité des peuples, Paufanias
croit que ce cheval étoit une efpece de. b é lie r , qu’Epéus
imagina pour battre les murs de T r o ie , 8c qu’on y fit une
large breche , par laquelle l’armée entra la nuit dans la ville»
/. II. 389. b.
HE vaux , couffts de , ( Uifl. anc. ) origine 8c progrès
des courfes de chevaux. Suppl. IL 3 90. a. L a fable en rapporte
l’origine à He rcule , l’aîné des C u re te s , qui propofa un jour
à fes freres de s’exercer à la courfe , 8c de vo ir qui d’entr’eux
remporteroit le prix. D ’autres d ifent que Jupiter, après avoir
triomphé des Titans , inftitua lui-même les exercices de la
courfe à O lym p ie , 8c qu’Apollon fut vainqueur. Il eft hors
de doute que ces premières courfes fe firent à p ié ; le cheval
n’étoit point encore alors un animal domeftique. L e premier
héros dans la Grèce qui trouva le fecret de le dompter , fut
Bellerophon, 8c il s’en fervit utilement à combattre un monftre
terrible, qu’il tua enfin à coups de fléchés. Ibid. b. Il paroît
de-là que l’ufagc de monter à cheval ne commença en
Grec e , que l’an du monde 2630, 13 ou 14 cent ans. avant
l’ere chrétienne. — Mais il eft certain , d’après l’Hiftoire
faince , qu’en Égypte on fe fervoit de chevaux long-tems
auparavant. — Les poètes ont fait Neptune créateur du
cheval ; mais les hiftoriens plus amateurs du v ra i que du
merveilleux , ont abandonné ce conte , dont on 11’a pu
trouver le fens allégorique. — L’exemple de Bellerophon
donna aux princes de la Grece le goût des chevaux 8c de
l’équitation. Les haras de l’Épire , d’Argos 8c de Mycenes
l’emporterent fur tous les autres. — Les Theffaliens, peuples
voifins de la Grec e , Ibid. 391. a. 8c parmi eux les
Lapites , excellèrent dans l’art de manier un cheval. — C e
fut à-peu-près dans ce tems que Pélops fit célébrer les jeux
olympiques en l’honneur de Jupiter, avec plus de pompe
que n’avoient fait fes prédéeefleurs j ,8c l’on peut croire ,
avec affez de fondement , qu’il y eut à ces jeux des courfes
de chevaux 8c de chars ; mais il paroît que les chevaux étoient
encore alors rares 8c précieux. — On ne peut douter qu’à
toutes les célébrations fuivantes des jeux olympiques , il n’y
eût des courfes de chevaux 8c de chars. Ibid. b. Interruption
de ces jeux depuis O xylu s , roi des Éléens. L es divers combat?
qui en formoient le fpeftac le , ne fe maintinrent dès-lors
tout-au-plus qu’aux funérailles des princes 8c des héros de
la Grece , dans lefquelles les courfes de chevaux 8c de
chars avoient été introduites dés les premiers tems. — Mais
quatre fiecles environ après la prife de T r o i e , Iphitus , un
des defeendans d’O x y lu s , rétablit les jeux olympiques. A lors
ils prirent une forme régulière , 8c on les poliça par de
bonnes loix. — Mais ce ne fut que peu-à-peu qu’on y rétablit
les différens exercices qui avoient été auparavant en ufage.
Ibid. 392. a. Et il eft certain que la courfe des chars n’y fut
ramenée qu’en la X X V e olympiade, plus de cent ans après
le rétabliffement de ces jeux. — En combien de maniérés fe
diverfifioient lès courfes de chevaux. x°. O n côuroit avec des
chevaux de felle , 20. avec des poulains montés comme des
chevaux de felle , 30. on couroit avec des jumens, dont on
montoit l’une , 8c l’on menoit l ’autre en main. - Dans toutes
ces courfes , les enfans étoient admis à difputer le prix auffi
bien que les hommes. - Avant que d’achever la carrière , il
fàlloit tourner autour d’une borne , plantée dans un endroit
fi fe rré , fi périlleux , que quiconque n’étoit pas fort adroit,
conroit rifque de tomber du cheval 8c’ de perdre la viftpire.
C H Ë
% î i h. La tavaïe de Phidolas obtint la v ifto ir e , quoique
- __p\t tombé dès le commencement de la courfe. . Jl
fon maître n v a l, étoit différent de
je le tien ou 1 on couroit a
celui où l’on couroit en char. L e ft»'
à p ié, 8c fans doute étoit moins long que 1 hippodrome qui
ièrvoit pour les courfes de chevaux. Ibid J 9 3 . a.
Chevaux de cirque. Honneurs qu’on faifoit aux chevaux qui
avoient couru dans le cirque. Dans certaines inscriptions ; les
différentes couleurs de ces chevaux font marquées; On trouve
dans d’autres le nom de leur patrie; Suppl II. 393. a.
C h e v a u x du fo le il, ( Mythol. ) lignification des noms que
les poètes leur ont donnés, Suppl. IL 3931 a.
Chevaux de Mars. Servius les nomme emos 8cphobos. Suppl.
II. 393'- * . » \ TT
; Chevaux, de Laomedon. Ceux que ce prince promit a Hercule.
Suppl IL 393. a. , ■ _ , . ,
Chevaux d’Énée. Comment Anchife fe procura de la race de
«eux que Jupiter avoit donnés à Tros , lorfqu’il lui enleva fon
fils G anymede. Suppl. IL 393. b.
Chevaux d'A chille ; balios 8c xante. Ils étoient immortels.
Suppl. IL 393. b. . . ... „ ,
CH E V A L EM E N T , efpece d’e ta i, compofe d une ou de
■ plufieurs pièces de bois. Defcription 8c ufage» 111. 308. b.
Chevalement, tête de , X V I . 203.a:
C H E V A L E R , ( Manege) III. 308.b-. I . WM
■ Chevaler. Ufage de ce verbe dans prefque tous les arts ou
l ’on fe fert de chevalet. III. 308. b.
CH EVALER IE. Diverfes fignifications de ce mot. Q uatre
fortes de chevaleries. Chevalerie militaire ; d’où vient le nom
de chevaliers dorés. Cette chevalerie n’eft point héréditaire :
elle s’obtient, 8c ne peut être révoquée. Chevalerie régulière.
Chevalerie honoraire. Chevalerie fociale-. Auteurs qui ont traite
de la chevalerie» III. 309. a. C e que dit M. de Montefquieu
fur ï’origiûe de la chevalerie. Naiffance de la galanterie.
Ibid. b. _ H „ . .
Chevalerie. Romans de Chevalerie. T em s , de 1 origine
de la chevalerie. XIV» 342. b. Suppl. I. 363. b. Origine de
l’infiitution de divers ordres de chevalerie. 111. 312. a. Des
ordres de chevalerie» XI. 602. a , b. - 603. b. La chevalerie
•étoit autrefois le premier degré d’honneur dans les armées»
III. 312» a. Différentes cailles qui firent naître le fpn t de
chevalerie» X IV . 343. a. Accolade dans la chevalerie. L 73.
b. Nobleffe de chevalerie. XI. 172. a. Voe ux de chevalerie.
X V IL 414. b. V . 679. a , b. Liqueurs que fervoient les
écuyers dans les feftins de chevalerie; V in du coucher. XII.
C h e v a le r ie , ( Jurifpr. ) cas de chevalerie. A ide de eheva*
lerie. III. 309. b.
C h e v a le r ie , terme de coutumes. III. 309. b. _
CHEVALET» Chevalet ordinaire. Sa defcription. III»
309. b. . . . » ■ » ,
C hevalet, ( Hijl.anc. ) forte de torture-pour tirer la
Vérité des coupables» Pourquoi «e fupplice a été aboli; Il ne
s’employoit d’abord que pour des efclaves. En quoi il con-
fiftoit. O n s’en eft fervi contre les chrétiens. III; 309. bi
C e t inftrument employé en Angleterre par le duc d Exeter ,
gouverneur de la tour fous le régné de Henri V I . III. 310. a.
Chevalet, fupplice. X V . 676. b.
C h e v a le t au peintre, ( AJlron. ) conftellation méridionale.
Suppl.ll- 393. b. ■
C h e v a l e t , outil d’arquebufier» Defcription 8c ufage. 111.
310. a. ■ .
C h e v a le t , terme de paffemehtier4 >outonmer. Delcnptioh
& ufage. III. 310. a.
C h e v a le t , en terme de ca rdeur, de ehamoifeur ; en
charpenterie , III. 3101 a. en termes de ehauderonnier , de
corderie , de co r ro y cu r , de couv reur, de doreurs fur bois,
en terme d’hydraulique. Ibidï b. . -
Chevalet. Travail du ehamoifeur fur le chevalet. III. 7 1 . a.
C he v a le t du tympan, en terme d’imprimerie. III. 310. b.
C h e v a le t , dans les inftrumens de mufique. III. 3 1 1 . a.
C h e v a le t dont fe fervent les tanneurs, mégiffiers, pelletiers
, &c. III. 3 1 1 .« . .
C h e v a l e t , ( Peinture) defcription de cet inftrument. Maniéré
de l’employer. III. 311. a. Voye[ vol. V I ll; des planeh.
Peinture, pl. 4 , < , 6.
C h e v a l e t , (Rubann. ) III. 3i l . a.
C h e v a le t , ou machine à forer, ( Serruri ) defcription 8t
ufage. III. 3x1- a.
C he v a le t , terme de tonnelier. III» 31 1. b.
CH EVA LIER , ( Hifl- anc. ) fécond ordre de la république
romaine. C e qu’étoient lès chevaliers dans les premiers
tems. Dans les derniers tems , ils devinrent. publicains,
fermiers des impôts. Marque de leur ordre. Boiffeaux d’an-
jjeaux de chevaliers, recueillis par Annibal. Pierres gravées
de ces anneaux que conservent les antiquaires. Revue que
les cenfeurs fiiifoient des chevaliers à chaque luftre. Caiifes
qui les faifoient exclure de cet ojthe. Son aviliffement fous les
empereurs. III. 3 u , b.
Tome I,
C H E m
ÇheValIers romains. Leur origine'. 333'. a. Suppl. IV i
672. b. Anneau des chevaliers. I. 480. a. Tuniquè des chevaliers.
VII I. 13. fi'. Gomment céux qui avoient exercé une
jjiâgiftrature cürule ; donnoieht leur fufftage dans le fénat.
Suppl. II. 303. b. Compte que rendoient ceux qui avoient
fervi. Comment ils s’exempterettt dans la fuite du fervice.
Suppl. IV ; 672. b\ .
C h e v a l ie r , (ZTi/?. mod. ) une perfonnë élevée ou par
dignité , où par attribution ; au-deflùs du rang de fimple
gentilhomme. La chevalerie étoit autrefois le premier degré
d’honneur dans les armées. C e qu’on èntendolt par adouber
un chevalier. Cérémonies pratiquées autrefois pohr la création
d’un chevalier. Manteaux qu’ils portoierit. Chevaliers en
I. ôix qui s’introdUifirerit en Franck vfers lé quinzième fiecle.
Comment on les diftinguoit des autres. Il fàlloit être chevalier
pour armer un chevalier. Maniéré dont on fait un
chevalier en Angleterre. Cérémonies polir la dégradation
d’un chevalier; Aviliffement de là qualité de chevalier par
le grand nombre qu’on en fit. Origine de l’inftitutioh de nouveaux
ordres de chevalerie. III.. 312. a. Chevalier s’entend aufli
d’une perfonne admit e dans quelque o rdre, foit militaire , foit
religieux! Ibid. b.
Chevaliers. Comment ils étoieht diftingués dès écuyers. V .
386. b. Comment on en acquéroit le titre : leur folde. Ibid»
Comment l’échyèr paffoit la veille du jour où il devoit être
armé chevalier. X V . 422. a. ; b. X V I . 874! b. Le titre de
bachelier fynonymè à Celui de fimple Chevalier. X V II . 756.
a. En quoi confiftoit la diftinétioii des fiinples chevaliers: Ibid.
Les bacheliers formoient le plus bas ordre des chevaliers.
II. 7 , a. Des lances des chevaliers. IX. 236. -b. 237!a , b.
Manteau d’honneur du chevalier. X. 55. a. Epées remarquables
des anciens chevaliers. Suppl. II. 814. a. Noms qu’ils
leur donnoient. 816. a. Engagemens des anciens chevaliers
dans leurs entreprifes d’armes. V . 679. a , b. Voe ux des
chevaliers. Ibid. of. XV II . 414 .b . Leurs Hits extraordinaires.
V» 763,. b.- Q uêté des chevaliers. XIII. 705. b. Combats dès
chevaliers dans les joutes 8c. tournois. V I I I . 898. b. X V I .
486. b. Affociation entre deux chevaliers. V I I . 290. a , b.
Chevaliers freres. d’armes» XV II . 796. a ; b: Chevaliers de
la table ronde. X V . 800; b. Chevaliers appellés milites adobati.
I. 142; b. . Comment les chevaliers françois réuflirent à
fe rendre prefqu’invulnérables. I. 687. b: Leur armure. 688.
a; Comment cette dignité étoit conférée. II. 7: a. Chevalier^
dorés. Origine de ce nom. II. 7. a. III. 309. a. A quelles
perfonnes cet honneur eft conféré. V . 55. b. Origine des
chevaliers en loix 8c des chevaliers d’armes» VI» 27; a. XII.
ix . a. Chevaliers d’honneur. VII I. 291. a» Chevaliers pour-
fuivans d’amour. XIII. 249. b. Chevaliers de Maithe, appelléS
fervans d’armes. X V . 120.b . Chevaliers de différens ordres
dans l’iiifteire moderne. XI. 602. a , b. — 603. b»
Chevalier errant. La bravoure roiiianefque. des aiieiens
chevaliers étoit la chimère dés Efpagnols. Le due d’Albô
attaqué de cette manie. But du roman de dom Quichotte.
C e qu’é to ie iit, dans leur origine, les chevaliers errans. Brigandage
des gentilshommes’/dans les provinces. III. 312. .b:
Voye1 Pa l aDLN»
Chevalier-maréchal, èh Angleterre. III: 3x2. bi
Chevaliers de la province ou du parlement ; gentilshommes
anglois, élus par une province, pour être fes repréfentatifs
en parlement. Il fàlloit autrefois que ces chevaliers fùffenc
milites gladio cinHi. Chaque theValiet de province doit avoit
au moins 300 liv. fterling de rente. III. 312. b.
Chevalier du bain, ordre militaire én Angleterre. On eii
ignore l’origine. Tems où .il fut en honneur. I l fut reffufeité
par le roi Georges I. C e que fit ce roi pour le hxettre exl
honneur. III; 313.fi.
Chevalier baronet, claffe entré les barons. 8c les fimples
chevaliers en Angleterre. Création dé cet ordre par .Jacques
L Leur titre 8c celui de leurs femmes : leur placé à l’armée:
foldats qu’ils doivent entretenir en Hollande. Quittance èn-
doffée à leurs lettres-patentes de 1093 liv; fterling. 111.313;
a. Voyc{ Sire» . .
. CHEVALIER, ( Jurifp.) chevalier du guet:pourquoi On le
nommoit protfeElus vigilum. Celui de Paris fupprime , de
même qu’en plufieurs autres villes. III. 313. aÇÇhevàlier d honneur.
Chevalier de juftice» Chevalier-is-loix : divers chevaliers
de cette forte rapportés ici. Ouvrage à confulter. Ibid. b.
Chevalier. F ie f de chevalier; V I . 700. b. Sergent chevalief;
X V . 89. a. W Ê Ê Ë K Ê Ê È H M H M
Chevalier ; ( Omith. ) oifeàu aquatique : la delcription.
On l’a aufli nommé chevalier aux pieds verts. Autre nommé
chevalier aux pieds rouges. III. 3 x 3 .^ . : -
C hevalier , calidris, ( Omith. ) pourquoi ainfi nommé»
On diftingue le rouge & le noif\ Defcription du rouge.
Lieux où on le trouve ; il eft excellent à manger. Defcription
du noir. Willughby foupçônne qu’ils font l’un & l’antre
mâle 8t femelle de la même , efpece. I IL 314. a.
C H E V A N T , fie f chevant 8c levant. V I ; 700. b.
' CH E V A V C H É E , {Jurifp.) fervice qne. les vaffaux &
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