SSo GUE
le régné de l’empereur Matthias & finit fous Ferdinand I I I ,
par la paix de Weftphalie, voyt[ donc les articles Matthias ,
Ferdinand I I 6’ Ferdinand III .
G uerre. ( Art milit. ) Arrangemens néceflaires pour faire
la guerre avantageufement. V I . 36'. a. Difpofition de guerre.
9nppl. II. 724. b. Sur un plan de guerre, l'oit offenfive , foit
défenfive , 8c fur la maniéré de l’exécuter , voyeç C a m p a gn
e. Soins à donner aux munitions , lorfqu’on veut faire la
guerre. X . 863. a. L ’effentiel des préparatifs de guerre fe réduit
à deux objets ; l’argent & les bons généraux. Ibid. b. D e la con-
noiffance du pays où l’on fait la guerre. XIII. 86a. a , .b.
Foyer P a y s . Paie des troupes pendant la guerre. X III. 337. a.
Des moyens de fubfiftance d’une armée en teins de guerre.
X V . 582. b. Sorte de défiance falutaire dans la guerre. 694.
b. Rufes de guerre. X IV . 440. a , b. &c. V o ie la plus sûre
d’abréger une guerre. Suppl. I. 620. b. Tous les cas qui peuvent
arriver à la guerre font déjà arrivés. X V . 694. b. Ufage
la mufique à la guerre. 741 . a , b. Importance de la tactique
dans la pratique de la guerre. 824. a. Il eft prefque toujours
avantageux de porter la guerre chez les autres , lorfqu’on
eft attaqué dans fon propre pays. IV . 1068. b. Maximes
des Romains à la guerre. Suppl. IV . 672. a. Maximes fur les
guerres maritimes. X , 122. b.
Guerres de religion. Guerres facrées chez les Grecs. XTV.
477. a. Guerres caufées par |a diverfité des cultes. IX. 599.
a. Pourquoi il n’y eut jamais de guerre de religion chez les
nations idolâtres. V II . 5.03. b. Celles qui défolerent la France
du tems des Albigeois. Suppl. III. 608. a. Ces guerres parmi
les chrétiens font l’effet du fanatifme & non point de l’efprit
du chriftianifme. III. 384. b. Foye^ C ro isad e s , F an a t ism e ,
In tolérance , &c. &c.
Guerre. Envoyer, aller à la guerre, fe dit d’un détachement
dont le général donne le commandement à un officier, pour
inveftir une place , couvrir ou attaquer un convoi , recon-
noître l’ennemi, ou faire divers autres aCies d’hoftilité particuliers.
Ordre des détachemens de guerre ; état des officiers
qui les commandent. En', quoi confident les mouvemens de
ces détachemens & les fondions du premier officier. VII.
993. b. Précautions qu’on prend quelquefois pour que rien
ne tranfpire , jufqu’au moment où l’on fait marcher le détachement.
Le général n’eft point affujetti à confier ces détachemens
aux plus anciens officiers généraux. On envoie
fouvent à la guerre de petits détachemens irréguliers , depuis
50 jufqu’à 300 hommes. Anciennement ces partis fe
donnoient à des officiers de fortune. Aujourd’hui les officiers
les plus diftingués les demandent avec ardeur. Obfervaûons
fur les petits détachemens de cette efpece , que M. le maréchal
de Saxe avoit employés dans fa favante campagne de
Courtray. Ces fortes de corps ne font jamais commandés
à l’ordre. Détails fur la maniéré dont il fe forment & fur
ce qui en accompagne la marche. Ibid. 994. a. Rien n’eft
plus effentiel pour la tranquillité d’une armée, & pour avoir
des nouvelles certaines de l’ennemi, que ces petits détachemens.
Méthode de M. de Mceric fur la maniéré de les employer
dans l’attaque. Précautions que le commandant doit
prendre pour la sûreté de la retraite, Connoiffance de la langue
& du pays que le commandant doit pofféder. Il doit
fe mettre en état de rendre compte à fon retour de tout ce
qui peut faciliter ou empêcher la marche cFune armée dans
le pays qu’il aura parcouru. Il doit examiner fi l’état préfent
de fon terrein fe rapporte aux cartes de fon général, &
tâcher d’en lever un plan figûré. Il doit faire obferver une
févere difeipline 8t un grand lilence. Comment il doit inftruire
fes officiers de fes vueS & de fes motifs. D iverfes utilités de
ces petits détachemens. Ibid. b.
Guerre, homme de , celui qui fe rend propre à exécuter
avec fo r c e , adreffe, exa&itude & célérité , tous les aétes
propres à le faire combattre a vec avantage. V I I . 994. b. Soins
que prenoient les anciens pour former les jeunes gens aux
exercices du corps fi néceflaires à l’homme de g u e r r e ... C ’eft
par-là que la" Greee multiplioit fes forces, & préparoit fes
enfans à devenir intrépides dans les combats. On en v o it un
exemple frappant dans l’aélion des 300 Lacédémoniens pour
la défenfe du pas des Thermopyles. Le même art fut cultivé
chez les Romains, & leurs plus grands capitaines en donnèrent
l’exemple ; mais bientôt le, luxe & la molleffe s’intro-
duifirent, lorfque la vo ix de Caton & fon fouvenir eurent
perdu leurs droits dans la capitale du monde. Il n’eft point
de nation où les exercices du corps aient été plus long-tems
pratiqués qhe chez les François. Détails fur cette éducation
militaire qu’on donnoitaux jeunes gens. Ibid. 995. a. Comment
cette éducation dégénéra infenfiblement fous la minorité
du feu roi. Les ordonnances du roi ont remédié à cet
abus ; 8c la raifon éclairée démontre à l'homme de gu erre ,
que lorfqu’il ne fe tient pas en état de bien combattre de fa
pèrfonne , il s’expofe à devenir inutile à lui-mêmè & à fa
patrie, & à donner l’exemple de la molleffe à ceux qui font
fous fes ordres. Expofé fans ceffe à la vu e des hommes , le
véritable honneur doit auffi faire fentir à l’homme de guerre
GUE
qu’une réputation intaéle eft la première de toutes les récom-
penfes. Sentimens d’humanité qui doivent l’animer. Ibid. b.
Foyei Militaire.
Guerre. ( Droit nat. & politiq, ) Elle a régné dans tous les
fiecles fur les plus légers fondemens. Maux qu’elle a entraînés.
V I I . 995. b. raflions qui en font le principe. La guerre eft
légitimé fi elle fe fait pour des raifons évidemment juftes ;
elle eft illégitime , fi on la fait fans une raifon jufte & fuffi-
fante ; auffi les fouverains ont grand foin de répandre des
manifeftes pour juftifier la guerre qu’ils entreprennent tandis
qu’ils cachent foigneufement les vrais motifs qui les déterminent.
Dans une guerre parfaitement jufte , il faut que la
raifon juftificative fe confonde avec le m o tif, que le fouve-
rain n’entreprenne la guerre que par la néceffité de pourvoir
à fa confervation. Q uels font les cas dans lefquels on peut
regarder une guerre comme injufte. Ibid. 996. a. Quelles
font les feules vues qu’on doit fe propofer dans une guerre
jufte. Quelques auteurs politiques diftinguent encore la guerre
en offenfive & défenfive. On peut admettre cette diftinélion
pourvu qu’on ne la confonde pas avec celle qui vient d’être
établie , & qu’on ne penfe pas que toute guerre défenfive
foit jufte , & toute guerre offenfive injufte. Puifquc la guerre
entraine inévitablement une infinité, de maux on ne doit
fe porter à cette extrémité terrible , qu’après les plus mûres
confidérations. Ufage des anciens Romains , qui montre avec
quelle circonfpeétion ils fe déterminoient à faire la guerre.
11 faut, avant que d’en venir à la v oie des armes , qu’il s’agiffe
de la chofede la plu^grande importance , que l’on ait quelque
apparence de réuffir, & qu’il y ait une neceffitè ablolue de
prendre les armes. Ibid. b. Non-feulement ce font-lâdes principes
de prudence & de religion ; mais les loix de la focia-
bilité & l’amour de la paix ne permettent pas aux hommes
de fuivre d’autres maximes. La juftice du gouvernement
oblige les fouverains à s’y conformer par une fuite de la
nature & du but de l’autorité qui leur eft confiée. En fàifant
la guerre , il faut obferver encore de ne pas pouffer les
actes d’hoftilité au-delà de leurs bornes & de leurs befoins
abfolus. Expofition des trois réglés qu’établit Grotius , Ijour
faire comprendre quelle eft l’étendue des droits de la guerre ^
& jufqu’où ils peuvent être portés légitimement. Ibid. 997.
a. Il eft certain qu’on peut tuer innocemment un ennemi
qui a les armes à la main : je dis innocemment, non-feulement
aux termes de la juftice extérieure , & qui paffe pour telle
chez toutes les nations , mais encore félon la juftice intérieure
& les loix de la confcience. Par la même raifon , il
eft permis d’endommager les biens de l’ennemi & de les
détruire. To us ces aétes d’hoftilité fubfiftent fans injuftice
jufqu’à ce qu’on foit parvenu au but légitime qu’on s'étoie
propofé ; cependant , quoique ces maximes foient vraies en
vertu du droit rigoureux, la loi de nature met néanmoins
des bornes à ce droit. Humanité refpeétée dans les loix militaires
de l’Europe. Ibid. b. Les lo ix , dit-on , doivent fe taire
parmi le bruit des armes: réponfe à cette maxime, par laquelle
on voudroit ailtorifer m ille licences infâmes , & mille fortes
de rapines & d’horreurs. Tableau des m aux infinis que caufè
ordinairement la guerre. Ibid. 998.4.
Guerre. Examen du fentiment de Hobbes , qui prétend
que les hommes font naturellement entr’eux en éfat d egüerre.
XI. 768. b. Q u el eft le cas où un homme fe trouve à l’égard
d’un autre en état de guerre. V I. 17, b. D u droit de la
guerre. V I I I . 319. a. Loix de la guerre. IX. 662. b. Loix
de la guerre chez les anciens Romains. X. 312. a , b. D u pillage
dans la g u e r r e voye^ Dé g â t , Maraude , Picorée '
Pillage. On ne fauroit trop limiter & adoucir les droits de
la guerre. V . 692. b. Notre maniéré de faire la guerre plus
contraire à la population que la maniéré des anciens. XIII. 98.
b. Tableau des miferes auxquelles la guerre expofe l’habitant
des campagnes. X V I I . 4 5 1 .4 . — Foye[ Paix.
Guerre. Commiffaire des guerres. III. 710. a. Confeil
de guerre. IV . 11 . a , b. IX. 93. b. C r i de guerre. IV . 461.
a , b. Déclaration de guerre. 692. b. Loix de la guerre. IX.
662. b. Petite guerre. XII. 360. a. Cheval de guerre. V I .
810. b.
Guerre , ( Jeu de la ) maniéré particulière de jouer au
billard plufieurs à la fois. Détail des réglés de Ce jeu. V IL
998. a.
Guerre , déeffe de la , ( Mythol.) IL 199. a.
GUERRIER , adj. Indices par lefquels on juge des qualités
guerrières d’un homme. X V . 31 1. a.
GU ESCLIN. ( Bertrand du ) Obfervations fur la v ie 8c
le caraélere de ce connétable de France. XIII. 788. b. 789.
a. Son humanité. IV . 73 1 . b. Brigands dont il délivra la
France. IX. 941. a. Voe ux finguliers de ce chevalier. X V II .
413. a.
G U E SD E R , terme de teinturier. XI., 189. a.
G U E T , ( Art milit. ) corps-degarde placé fur quelque
paffage , ou compagnie de gardes qui font la patrouille. V i l .
998-b.
Guet , cohorte qui fàifoit la garde des rues à Rome. III.
608,
G U ï
6b8. b. Foyei Nocturne. Origine de l’ufage établi en cèf-
tains endroits , d’avertir de l’heure pendant la nuit. VIIÏ.
B b-
'Guet, dans la maifon du roi. Chevalier du guet. Guet à pié.
Guet à cheval. V IL 998. b.
G uet, chevalier du. IH. 313. a , b.
Guet , mot du , ( Art milit. des Romain's ) Formalités observées
chez les Romains dans la maniéré dont le tribun don-
noit le mot du guet, & le faifoit communiquer à toute l’armée
en toute sûreté. VII. 99S.b.
Guet , mot du. X . 764. a , b. Officier chez les Rom'a'ms qui
lè recevoit du tribun & le com'muniqüoit au ‘centu'rioli. X VI.
188. a.
Guet , (Jurifpr. ) droit dû à quelques feigneurs par leurs
hommes. Origine de ce droit. Il a été converti en une redevance
en argent. Explication de ce qu’on appelle guet du prévôt,
dans la coutume de Châlons, Ouvrages à confulter. V i l .
998. b.
G uet-A-RENS, ( -Jurifpr. ) embufeade faite pour affaffiner
quelqu’un rie propos délibéré. C e crime condamné dahs le
oeuteronome & par nos ordonnances. L e gùet-à-pens eft ùft
cas préfidial qui l e juge fans appel. V II . 999. a.
G U E T ART A , Menofca, ( Géogr. ) ville d’Efpagne, patrie dè
Cano (Sébaftien) , fameux navigateur. V II . 999. a.
G U E T T E U R , voyeç Garde-côte. V II . 483.#.
G U E U L E , ce terme , employé dans Tarchitefluré , dans
l’art du tofifielier, dans le métier à bas , eft fur-tout eh u fage
dans le blafon. VII . 999. à.
Gueules. ( Blajon ) Etymologie de ce mot -, tirée des
langues orientales. V II. 999. a. Autre étymologie. Comment
on exprime cette couleur dans la gravure. Signification de
cette couleur. Elle étoit chez les Romains dans une eftime
particulière. Pourquoi la teinture rouge fut adoptée dans
les armées romaines. Diftinélion particulière accordée en
tout tems à la couleur rouge. Origine du mot rubrique.
Ibid. b.
Gueules , couleur rouge. Maniéré de la repréfenter en
gravure. Signification de cette couleur. Etymologie du mot
gueules. Suppl. III. 277. a.
G U EU S E , fe r de. V I . 493. b. D e la fonte en gueufe. V II .
13 1 . a , b.
G U E U X , le s, ( Hift. mod. ) fobriquét qui fut donné aux
confédérés des Pays-Bas en 1366. Origine de cette confédération
& de ce fobriquét. Diverfes expéditions de ces
Erétendus gueux. Commencement de la république de Hol-
mde. VII . 999. b.
Gueux. Des impoftures des gueux en fait de maladies.
V I I I . 6ox. a. Ufage qu’ils font de l’herbe aux gueux. III.
320. a. 321. a. Pneumatocele artificiel que quelques gueux
le font donné pour exciter la compaffion. XII. 808. b. Foyer
Mendiant. /
G U E Z E , ( Comm. ) mefnre des longueurs en ufage chez les
Perfans. D çu x fortes de gueze en ulage en Perfe ; la gueze
lo y a le & la gueze raccourcie. Autre forte de gueze dont on fe
fert dans les Indes. V II . io oo. a.
G U G L IE LM IN I, ( Dominique ) théorie de cet auteur fur
l e mouvement des fleuves. V I . 871. a. Ses obfervations fur les
fontaines. V II . 87. a.
G U H R , cretafluida, medulla fluida, lac luna, 8cc. { Minéral.
) différentes efpeces de terres métalliques que l’on rencontre
quelquefois, même à la furface de la ter re , dans des
fentes de rochers , & des montagnes qui contiennent des
mines. Les minéralogiftes regardent les guhrs comme un indice
de la pféfence d’une mine métallique, 8c croient qu’elles
font un ligne que la nature a été troublée dans l’opération par
laquelle elle vouloit encore produire des métaux. Différentes
fortes de mines qu’ils annoncent félon leur couleur. Walle-
rius diftingue deux efpeces de guhrs ; l’un crétacé & l’autre
métallique. VII. 1000. a.
GU I. ( Botan. ) Cette plante paffoit autrefois pour une
panacée ; elle n’eft plus pour nous qu’une plante parafite 8c
nuifible aux arbres. V i l . 1000. a. Cependant elle n’en eft
pas moins un végétal fingulier , digne de l’attention du physicien.
Carafleres & defeription du gui. I l n’y a qu’une efpece de
gui. Ce tte plante ne vient jamais à terre , mais fur tous les
arbres. Defeription du gui de chine. Ibid. b. C ’eft un phénomène
affez rare de voir des chênes qui portent du gui. Des femen-
ces du gui 6* de leur germination. Sentiment de Théophrafte &
de Pline fur cette femence. Ray a vu germer les femences
du gui dans l ’écorce même du chêne. Succès avec lequel on
a femé du gui fur un pommier. Dans les expériences de M.
D uhamel, les graines du gui ont germé fur tous les arbres,
excepté fur le figuier. Autres matières fur lefquelles ce phy-
ficien a fait germer le gui ; par où l’on voit que l’humidité
fuffit pour cette germination. Ibid. 1001. a. Quels font les
arbres fur lefquels il réuffit le mieux. Les femences mifes fur I
des arbres en fé vr ier , commencent à germer à la fin du juin. I
Phénomènes de cette germination. Defeription des radicules I
du gui. De la formation 6* du progrès des racines du gui. Reffour- I
Tome 1. ■ *
G Ü I 88 ï
| ces que ïe güi trouve pour fubfifter, quand fes racines font
engagées dans le bois jufqu’à un certain point. Ibid. b. Comment
ces reffources lui manquent quelquefois. Pour que le
gm coupe les viv res à l ’extrémité de la b ranche, fur laquelle
U elt em é , il faut que la force avec laquelle il tire la feve
ion luperieure à celle que la branche avoit pour fe la pro- HB ?“ BU I «S».* B Ce» 'progrès d'année en année. Les vieilles feuilles Jauniflent & to a b è n r , fans" o u ït
en vienne de nouvelles à la plaefc .Chaque bouton de gui
contient prefque toujours le germe de trois branches qtfon
peut appercevoir par la diffeSion. Les branches du g Æ „ t
potnt cette affeSatton à monter vers le c ie l, hui e l propÏÏ
S B Ü I B I H Ü B l l gui garde fes fendles pendant
les hivers les plus rudes. 1 tu . tooa. V-icorci , du bois
Diffinaion ■ H de cettè plante eiî M- Duhamel prétend que les pifs de gui
de «MKrens faces Oui chacun un port affez différetu pour
q u on les puiffe diilinguer indépendamment de leüïs fruits
& de leurs fleurs. En quoi confifte cette différence. Defeription
des boutons mâles & de leurs fleurs. Ibid, b Defcri
P ™ deSrb0“ o nS à qui ne fe trouvent que fflr les
individus femelles i celle de leurs fleurs & de hlufs fruit?
Emurs <Es une,ms fur U gui: Malpighf s’efl bien gafdé dé
tomber dans aucune dè ces erreurs. C e t admirable obferva-
' f “ r * I H H H la femence du gui i fa germina-
non & fes racines. Ibid. 1003. a. °
Gui de chêne. Cérémonies à cette occafion. L îcyi.b Vernis
que les druides attribuoient à cette plante. III. 286. b. UfageS
auxquels elle eft encofe employée. Sa_rareté. Ibid. Maniéré
■ %P.ror t e W m H 945- e. Efpece de gui du Japon.
IA . ly s . b. ryye^ CHENE. r
G u i. ( Mêdec. & Mat. tnédic. ) Les vertus que là fuperftir
non lai attnbuoit, ne font plus reconnues aujourd’hui. Propriétés
que quelques auteurs continuent de lui affigner. VII-
1003. a. Auteur anglqjs qui attribue à cette plante leâ
vertus les plus merveilleufes ; cependant fon inutilité n’en
elt pas moins conftatée par l’expérience. Il y a même du danger1
a craindre dans 1 ufage de fes baies, Remede à employer ,
lôrfque , par imprudence , on en auroit fait ufage inférieurement.
Ibid. b.
G u i ou G uy , ( Marine) VII. 1003-. b.
G u i , concurrent d’Amou l à l’empire d’Occident. Suppl I .
3 6 4 .4 ^ . ^
a . 8 U M C A N A ' ) Caraâeres de Cet arbre.
Miller en compte trois efpeces. Les Aoglois cultivent celui de
Virginie. V IL 1003. b.
Gujacnna, efpece de Ce genre nommée bancas.Suppl.l. 7 8 7'
a. Foyer GuAIACANA. ' '
Ç.VIAGE , Gvw aÔË OU GVIONÀ&È , {Jurifpr.) droit
du en Languedoc par ceux qui habitent les côtes de la mer.
L e droit long-tems négligé, a été reriouvellé en 1672. Autre
dfoit de guiage que les comtes de Touloufe levoient autrefois.
VU. 1003 . b. 1
« 1 1 Z ° oloS' ) quadrupède d’Amérique;
ba defeription. Ce t animal a la vue perçante, & une extrême
agilité. Ufages que les Indiens font de fa peau. V I I
1004. a. r *
GU IAN Ë. ( Géogr. ) Etendue de Ce pays. Oh peut le diviforen
Gmane portugaife, françoife, hollandoife & efpagnole.
Defeription de chacun de ces pays. Nom que les Efpaenols
leur donnèrent dans les premiers tems dé la découverte de
1 Amérique. VII. 1004sa-
Guiane. Defeription des habitans de ce pâvs. V I I I 247 A
Foyei Guyane. J“*/- •
GUIARE, ( Géogr.) voyei Guriare & lifez G u i ARE.
GU IB , animal repréfenté vol. V I . des plan ch. Régné ani-
ih a l, pl. 4. °
G U IC C IA R D IN I , ( Francifeo ) V I . 877. A.
J^ G U ICH E , ( Philibert de la ) feigneur de Chaumont. Suppl.
G U ICH E N O N , ( Samuel) hiftorien. IX. 837.4.
G U ID A U X , guidalés , quiriates, quidiates, hauts étaliers :
(PecAe) efpece de filet. Sa defeription. Maniéré de l’établir.
Details fur cette forte de pêche. Les bafehes ne font autre
chofe que des guidaux à bas étaliers. L a bafehe eft encore une
efpece de bout de quievre. Sa defeription & fon ufage. VII ,
1004. b.
Guidaux, voyer CHEVRE de guidaux. III. 322. A. Guidaux
repréfentés vol. VIII. desplanch. Pêche, pl. 2 & 9.
GU IDE. { Art milit.) On forme dans les armées des com-.
pagnies de guides. C e que ditMoiltecuculli fur ces compagnies.
L ’emploi de capitaine de guides demande beaucoup d’habileté
8c de pénétration. V I I . 1003. a.
G uide , ( Mufiq. ) première partie qui entre dans urte fugii*
& qui annonce le fujet. VII. 1005. a.
G uide. {Bourrelier) Deux fortes de guides; les grandes &
les petites. VII . 1003. a.
Guide. D e l’arrangement & de la divifion des guides. V ,
706» b.
O O O Q O 0 0 0 0 0