1 6 2 CES
Suppl. II. 607. b. Sa quatrième femme. 14 7. a. Précaution
fuporllitveul'e qu’il prenoit lorfqu’il montoit en voiture. XV.
i ?7. b. Singularité de Cèfar dans fa maniéré de porter le
l.-ticlave. IX . 301. b. X V I . 746. a ,b . Cirque de Jules-Céfar.
III. 477. a. Colonne de Céfar. 653. a. Médaille quille repr
‘ ite. X V feme... 774=88.. b4.. PPliaeccee d«lee CGé'lar t a K »'"? ' S H f f î “/
Camp de Cé& rprès de.PéqmgnyeniRordje.Suppl. IV . =96.
a. Commentaires de Céfar : détails fur les Germains dans cet
U'cêfar ', Ybaïïis ) peVit-fils d’Augufte , lieu c il mourut. IX.
5 CÉSARÉE de Philippe. Obfervation fur cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. II. 300. b.
Cil.trie de Philippe, voyez PANÉAS.
Cefarée de Paleftine. Les Juifs de cette v ille , de la fa&ion
des ficaires. X V . 162 .a . . *
CeTarée d’Afriqu e, fa bibliothèque. II. 231. b. ■
CESARIENNE , Opération, ( Chirurg.) nom que les G recs
lu i donnent. 11 y a des cas où l’on peut hafarder d’ouvrir
l'abdomen de la mere pour donner partage a 1 entant, tans
que la plaie foit mortelle. Nom qu’on donne à ceux qui naif-
fent de cette maniéré. Circonftances dans lefquelles cette
opération fe pratique. II. 867. a. Caufes de l’incompatibilité
abfolue de l’accoucliement par les voies ordinaires. Faits qui
affurent la portibilité de cette opération. Cependant il faut
préférer les autres voies,lorfqu’on en peut attendre du fuccès.
Maniéré de faire l’opération de la céfarienne. Ibid. b. Soins
qui doivent la Cuivre:l’opération peut fe faire dans un lieu
de néceflité, lorfqu’on ne peut la faire dans un lieu d’éleélion.
( fynon. ) Ibid. 868. b. , . T _
Césarienne. Cas où cette operation elt neceiiaire. i. 03.
b. X. 1 xo. a. 202. a. X L 498. b. Maniéré de la pratiquer, par
laquelle on évitera le très-dangereux in convénient de blefler
les intertins. XI. 499. a. Suture après cette opération. VII .
5 21 .i.Confidérations médico-légales fur l’operation cefanenne.
Suppl. IV . 162. b. 163. a , b. S’il eft des cas où la feule vue de
Laptifer l’enfant pqiflè autorifer à foumettre la mere à cette
opératidh.-Sappl. ï . 8 b i. b. . ,
Césarienne, ( Maréch. ) cette opération pratiquée dans certains
cas pour tirer le poulain du corps de la jument. V . 362. a,b.
CESIUM , ( Antiq. ) voiture romaine. Suppl. II. i l 6. a.
CESSER , difeontinuer , finir. Différence entre ces mots.
II. 868. a.
CESSERO , ( Géogr. ) v ille de Gaule. Suppl. IV . 11 . b.
CESSIERES mines de houille dans ce lieu. V in . 323. b.
C E S S IO N , abandonnement qu’on fait de tous fes biens
en juftice à fes créanciers , &c. 11. 868. a. Conditions requifes
pour être admis au bénéfice de ceflïon. La ceflîon emporte
note d’infamie , & obligeoit à porter un bonnet verd. Comment
on doit rendre la ceflîon notoire. Maniéré de faire
ceflion , inftiruée par Céfar. Autrefois on faifoit quitter en
iufiiee la ceinture & les clés à ceux qui faifoient ceflion. A u tre
maniéré dont fe faifoit la ceflion chez les Romains & les
anciens Gaulois, en matière criminelle & en matière civile.
Q u i font ceux qu’on exclut du bénéfice de ceflion. La ceflion
de biens ne libéré pas le débiteur. Voye^ C essionnaire.
Ibid. b.
Cession. Différence entre la ceflion & l e déguerpiffement.
IV . 768. b. Pierre fur laquelle les banqueroutiers à Rome
alloient faire ceflion. X IV . 741 . a , b. Bonnet verd que por-
ïoient en France ceux qui avoient fait ceflion. II. 3a î - a‘
Lettres de ceflion. IX . 417. b. Sur la maniéré dont on faifoit
ceflion anciennement , voyeç C einture. Sur la ceflion,
confulter aufîi l’article TRANSPORT.
Cejfion , ( en droit canon ) différence entre un bénéfice
"vacant par ceflion & par création. IL 869. a.
Cejfion , ( terme de Librairie ) pour avoir la même authenticité
que le p rivilège, elle doit fuivre les mêmes loix. Droit
qu’on acquiert par elle. Elle doit être imprimée à la fuite
du privilège. II. 860. a.
CESSIONN AIRE , double fignification de ce mot. Les
biens acquis par un ceflionnaire font toujours obligés à fes
créanciers. Quand il a payé fes dettes il peut être réhabilité.
•II. 869. a.
C E S T A S , ( Géogr. antiq. ) paroiffe du Bourdelois limitrophe
des landes , &c. Monumens d’antiquité découverts dans
ce iieu en 1742. Suppl. II. 30o. b.
C E S T E , grosgantelet de cuir, garni de plomb, &c. Étymologie
du mot. Defcription du cefte. Noms par lefqueis les
Grecs le défignoient. Raifon de ces différens noms. Diverfes
•fortes de certes qu’ils défignoient. IL 869. a-
Ceste. Defcription du cefte & du combat du pugilat. XIII.
'334. b. Figures des certes , voye^ A ntiquités, vol. I. des
planches.
Çefte, ( Myth. ) ceinture myftèrieufe de Vénus. Ses effets
merveilleux. Etymologie du mot ; d’où l’on a fait le mot
inccfle. IL 869. b.
C E S T IU S , pont Ceftius à Rome. XIII. 7 1 . a. Pyramide
.ce Ceftius. 395.. a , b. X V I . 399. a.
C H A
C ’E S T P O U R Q U O I , ainfi. Différence entre ces mots. II.
^^ E S T R O S PH EN D O N U S , efpece de trait fbrt femblable
à une fléché. Il fut inventé par les Macédoniens» IL 869. b.
CÉSURE , étymologie du mot. Définition. Pourquoi lie
céfure a été introduite. Divifion qu’elle fait du vers en deux
parties. C e qu’on appelle céfure en. latin. IL 869. b. Exemples
de céfures mal placées en françoïs. La grande réglé pour la
place de la céfure eft de confulter fon oreille', & de s en
rapporter à fon jugement. Place de la céfure dans les grands
v e r s , dans ceux de dix fyllabes ; céfure dans ceux de huit
& de fept fyllabes. Toutes ces réglés font accompagnées
d’exemples. Ibid, 870. a.
Césure , ( Belles-lettr. ) Il eft dit dans l’Encyclopédie qu’en
latin on donne le nom de céfure à la fyllabe après laquelle
eft le repos. Cette définition critiquée. Diverfes remarques
fur ce fujet. Suppl. IL 300. b.
Céfure , voye[ Ce qui en eft dit à l’article HÉMISTICHE.'
Céfure latine, dite enneemimeris. V . 692. b. Céfure hephthe-
mere. VII I. 138. a. Céfure trihemirneris. X V I . 642. b.
Céfure, ( Mufiq. ) efpeqe de repos dans la nautique. Elle
eft aufli plus néceflaire à la mufique qu’à la poéfie. Maniéré
de la marquer. Suppl. II. 301. a. En quel cas la céfure muficale
doit avoir lieu. — Céfures appellées relatives. Ibid. b.
C E T , cette. Obfervations fur cet adjeélif. XIII. 434. a.
C É T A C É E S , poijfons : leurs cara&eres. VIII. 4 8 3 . Chaleur
naturelle de ces poiffons. III. 39. a. Il n’y a parmi les
poiffons que les cétacées qui aient des conduits auditifs. XII.
.888. a. voye{ V L vol. des pl. Régné anim. pl. 11.
C E T E R A C , genre de plante dont les feuilles font découpées
en ondes. Ses propriétés 6c ufages en médecine. IL
870'. b.
C E T È S , ou Protée , (Hift. d’Egypte)x6id’Egypte. Tableau
de fon régné. Comment il reçut chez lui Paris 8c Hélene.
Origine de la fable qui lui attribue la faculté de prendre
toute forte de formes. Suppl. IL 30t. b. Pourquoi il fut adoré
comme dieu de la mer. Sentiment de Newton fur ce roi
d’Egypte. Ibid. 302. a.
C E TO B R IG Â , aujourd’hui Setubal. X V . 130. b.
C E T R A , petits boucliers dont les Efpagnols & les Africains
fe fervoient à la guerre. Peau dont on les couvroit.
Leur ufage. IL 870. b.
C E T R A R O , (Géogr. ) erreur dans cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. II. 302. a.
C E T T E , defcription St ufage des pontons employés au
port de Cette. XIII. 84. a , b. 8cc.
C E T Z E L , ( Jean) dominicain qui fut employé à vendre
les indulgences. XIII. 604. ai
C E V A D IL L A , graine qui croît dans la nouvelle Efpagne.
Sa defcription. Ses propriétés & ufages. II. 870. b.
C E V EN N E S , ( Géogr. anc.) Suppl. IV . 9. a.
C E U R AW A TH , feéte de benjans dans les Indes, fi infatués
de la métempfycofe, qu’ils refpeélent les moindres
infeékes. Soins de leurs prêtres pour ne nuire à aucun. Leur
doftrine & leurs moeurs & ufages. IL 871. a. Mépris que les
doéteurs Indiens ont pour eux. Ibid. b.
C E U T A , ( Géogr. ) ville forte d’A frique. Siégé de cinquante
ans qu’elle a foutenu contre les Maures. IL 871. b.
C E Y X , ( Myth. ) aventures de C e y x & d’Alcyone. Suppli
H. 302. a.
C H
C H , ( Gramm. ).obfervations fur rafpiration exprimée par
ces deux lettres dans les langues dérivées de la teutoni-
que & quelques autres, & fur celle du nom chhdevins, dont
nous avons fait Clovis. Suppl. IL 302. a.
C h , obfervations fur cette articulation. IX. 336 .b .i
C H A , ( Manufaêl. en foie ) taffetas dont les Chinois s’habillent
en été. Maniéré de travailler cette étoffe. L’ouvrage
que font les Chinois fur cette étoffe, eft une broderie que nous
pourrions imiter. III. 1. a.
C H A B A R , fauffe divinité que les Arabes adorèrent juf-
qu’au tems de Mahomet. Comment ils renoncèrent à fon
culte. III. 1. u. Conjeéture fur ce qu’étoit cette divinité.
Ibid. b. , . H
CH A B B A N , troifieme mois de l’année des Arabes.
Mofquées ouvertes en ce tems pour la priere de minuit.
m . 1. b. m gm m
CH AB LEU R , prépofé fur certaines r ivières, pour faciliter
aux bateaux le partage des endroits difficiles. Dérivation
de ce nom. Fondions des chableurs. Ordonnance de Charles
V I , en 1413 , contenant plufieurs difpofitions furies offices
des chableurs. Autre ordonnance de Louis X IV en 1672, concernant
ces officiers. III. 2. Édits & arrêts qui leur font
relatifs. Fonctions des chableurs de Paris. Ibid. b.
CH A B L IS , ou diables , ( Arbres ) arbres de haute-futaie ,
abattus par les orages. Ordonnances dans lefquelles il en eft:
parlé. Difpofitions des ordonnances fur cette matière. III. »• b.
C H A
C H A B O T » ( Ichthy, ) -defcription de ce poîflon de ’
riviere. IIL 3. a. Endroits où on le trouve. Pèche du chabot»
Mid. b. , ; „ . m i
Chabot , ( Blafon ) meuble d armoiries , qui repre*-
iente un petit .poiflbn. Étymologie de ce mot. Suppl. IL
^ C habot , ( Jeanne ) tont-à-la-fois proteftante déclarée
& religieufe. XI. 887. b. . . . . .
C habot , { Léonor) empêche en Bourgogne 1 exécution de
la S. Barthelèmi. Suppl. IL 369. ^.
CH A B R IA S , Athénien : fa ftatue. X V . 498. b.
C H A C A B O U T , ou Xacabout , forte de religion qui s’eft
répandue à la Chine , au Japon, &c. Doétrine de Xaca fon
■ auteur. Caufe du refpeél que ces peuples ont pour l’éléphant
blanc. Particularités fur Xaca. Son origine & le tems ou il a
vécu. Progrès que fit fa doélrine. III. y. b. .
CH A C A L , ( Zoolog, ) particularités fur cet animal. Sa
defcription. III. 4. a. . , . n
C H A C E N A Y , (Géogr.) ancienne baronnie dans le Barrois.
Suppl. I. 818. a.
C H A C O N N E , forte de piece de mufique faite pour la
danfe , &c. C e font pour l’ordinaire des chants qu’on appelle
couplets, compofés & Variés de toutes les maniérés, &c. En
quoi confifte la beauté de la chaconne. Lieux où elle a été
& où elle eft en ufage. Chaconnes les plus eftimées. III. 4. a.
Chaconne , (D a n fe ) on a porté fort loin de nos jours
cette forte de danfe. C e qu’il y a dans cette danfe-d’avantag
eu x pour nn bon danfeur. Chaconne en aétion dans le premier
aéte de Nais. III. 4. b.
Chaconne, contre-temS de , IV . 142. b.
CH A C O S , defcription de cet arbrifleau du P érou : propriété
qu’on lui attribue. III. 4. b.
CH À C R IL , écorce , voye^ C ascarille»
CH AC R E LA S , obfervations fur ces peuples» VHI.
343. b.
C H A C U N , remarque grammaticale fur ce mot. XIII.
4S,CH ÂD È Ï i:, ( Otogr. ) cxreuf dans e st article de l’En cy,
clopédie. Suppl. IL 302. b.
Chader , ’ ifle d’Àfie. X. 401. b. _
C H A G N I , (Géogr.) petite v ille du Chalonnois. Obfer-
vations fur la baronnie de ce lieu. Philippe de Maifiere,
doéleur en théologie , naquit à Chagni en 1630. Suppl. IL
332. b.
C hagni fur la Deheune ou Dehune. Suppl. IL 302» b.
CH AG R IN . Les Stoïciens condamnoient cette affe&ion de
l ’ame. La plus haute philofophie confifte, félon Épiélete , à
n’accufer -ni foi-même , ni les autres d’un mal qu on a fait.
III. 4. b. Si cette infenfibilité eft fouvent à defirer pour
notre bonheur , il faut ajouter qu’elle dépend bien peu de
nous. V e r sd e M oncrif & de Chaulieu. Ibid, y a.
Chagrin , douleur , triftejfe , affiiélion , dèfolation , peine ,
(Synon,) L 162. a. Mauvais effets des chagrins par rapport à
la fanté. VII I. 386. b. X V . 3 2. a. État de l ’ame fenfitive dans
le chagrin. X V . 42» a. Chagrin imaginaire. V I I I . 560. a.
État des cadavres de ceux qui font morts dé chagrin. Suppl. IV .
836. b. : •. - . . . .
Chagrin, cuir grainé : d’où on le tire. A quel ufage on
l ’emploie. D e quels animaux fe tirent ces cuirs. Comment on
les travaille. Comment on emploie le chagrin. Cho ix du
meilleur. III. 3. a. •
Chagrin. Animal d’où on tire les peaux de chagrin. I. 4^2.
a , b. Maniéré dont on les prépare à Conftantinople. XU.
2.20. b.
Chagrin, elpece de taffetas. III. 3 .b .
C H A IA , defcription de cette racine & de fa plante. Sa
préparation pour la teinture des toiles. X V I . 373. b. Efpece
<le chaïaou chaïaver des Ind e s , nommé belt-tsjira. Suppl.I.
837. a ,b .
CH A IE R , petite monnoie d’argent qui fe fabrique enPerfe.
Sa forme & fa gravure. Sa valeur. III. 3. b.
CHAINE. Defcription de la chaîne en g én éral, & de
.'diverfes efpeces de chaînes. Ouvriers qui travaillent les
petites chaînes. Defcription d’une forte appellée chaîne à la
. catalogne. D e la chaîne quarrée. HL 3. b. Chaînes en S.
Maniéré de les fabriquer. Chaînes à quatre faces*' comment
. elles fe fabriquent. Chaînes à trois faces. Chaînes à bouts renforcés.
Chaîne appellée catalogne double. IIL 6. a. Chaînes
d’Angleterre deftinées à pendre des m ontres, des étuis d’o r ,
&c. Defcription.
Commerce des chaînes. Vente des groffes de fer , des
médiocres., de celles de cu iv re , & de tout autre métal.
Petites chaînes d’Allemagne , d’un travail fi déliçat qu’on
-en peut enchaîner les plus petites infeéles. Chaînes que les
Romains portoient avec eux en guerre pour enchaîner les
prifonniers.Pour accorder la liberté on n’ouvroit pas la chaîne,
on la brifoit, &c. La chaîne, marque d’autorité chez les Gaulois
: elle eft une marque de dignité du lord-maure a Londres.
Ufage de la çhaîne dans le blafon. Ibid, b,
C H A a63
'Chaîne j 6n terme.'de jüftiçe. III. 6. b.
C haîne , ( Arpentage ) defcription dé cette rnèfùr'e. IIL M
b. Étalon auquel on a recours à Paris pour la toife. Ufage dé
la chaîne. Inconvéniens de ru.fage .de la corde. Maniéré dé
préparer une corde pour éviter ces inconvéniens. Ufage de
la chaîne dans l’arpentage. Maniéré d’enregiftrer les dimen-
fions priies avec la chaîne. Prendre a v e c la chaîne, un anglè
fur le terrein. Le v er le plan ou faire le deflin d’un lieu en fe
fervant de la chaîne-. Ibid. 7. a. Tro u v e r avec la cliaîne là
diftance entre deux objets inacceflibles l’un par rapport à
l’autre. Trou v e r la diftance d’un objet inacceflible , commela
largeur d’une riv ie re , par le m oyen de la chaîne-. Ibid. b.
CHAINE fans fin , (A r t méchaniq. ) III. 7. b.
C haînes, (Architcfl.) leur defcription. A quoi elles f e r vent.
III. 7. b.
CHAINES de fer , (Arcliited. &.Serrurerie) aflemblage dé
plufieurs barres de fer,plat, &c. O ù fe pofe cet aflemblage, l e quel
en eft l’ufage. IH. 7. b.
Chaîne de Port, ( Marine ) deftinées à en fermer' l’entrée»
III. 7. b.
Chaînes de vergues -, ( Marine ) III. 8. a-.
Chaînes de chaudière > ( Marine) III. 8. a.
Chaîne , ( Commerce ) mefure qui s’applique à diverfes.
marchandifes. Grandeur de la chaîne pour la mefure du bois
à Paris. Comment on diftingue les bois qui d oivent fe m efurer
à la chaîné. IH. 8. a.
Chaîne , (Agriculture) pour l’ufage dé la charrue. Sà
deftription & fon ufage. 111. 8. a.
Chaînes , mettre en , maniéré de faire fécher le chanvre & le
lin. H L 8. a,
Chaînes de foin. n i . 8. b.
C haîne , (Pêche ) comme fe fait la pêche à la chaîne. III .
8. b.
Chaînes, dans les falines. III. 8. b.
Chaîne, outil de charron. Sa defcription & fon ufage. I IL
8. b.
C haîne de montré , ( Horlog. ) fa defcription. Comment
elle fe fabrique. Invention de la chaîne attribuée à un nommé
Gruet-, genevois. III. 8. b. Voye^ Chaînette.
CHAINES d’étuis de pièces y occ. ( Metteur en oeuvre ) III. 8. bh
C haînes , dans l’ourdiffage du f i l , de la laine, du lin ,
Les chaînes varient chez les différens o u v rie rs , relativement
à la matière , à la quantité des fils , au nombre des portées *
à la longueur. Toutes ces différences influent fur la . nature
des étoftes. C e que les règlemens ont ftatué fur ce fujet. I IL
9. a. . . . . . .
Chaînes. D e l’ourdiffage , du collage , & de l’étendage des
chaînes. IX . 188. a , b. V o l. III. des planch. article Draperie*
pl. 3. Oucdiflage des chaînes des toiles de coton. IV . 312. b.
Façon de donner de l’ordre aux différens brins qui compofen«
la chaîne. V . 634. b.
Chaînes de montagnes. X. 6761 b, 8cc.
CH AIN E T IER , faifeur & vendeur de chaînes. Autres
ouvrages de ces ouvriers. C e qu’étoient anciennement leur
communauté. Comment elle a dégénéré. III. 9. b.
Chqînetier, Filiere des chaînetiers. V I . 797. b. Jauge. VTIL
472. a. Soudure dont ils fe fervent. X V . 388. b. Les chaîne-
tiers prennent à Paris la qualité de treffiiers. X V L 377» a. Voye^
les planch'. de cet a rticle, vo l. II.
CH A IN E T T E , ( Géométrie tranfeend. ) efpece de courbe»
Sa nature. Équation de cette courbe par le pere Reyneau. L e
même problème rèfolu par M. Bernoulli dans fon effai fur la
manoeuvre des yaiffeaux. III. 9. b. Inftruélion donnée pour
parvenir à l’équation dé la chaînette. Une v o û te , pour être
en équilibre , doit avoir la même figure que la chaînette»
Ibid. 10. a. . ttt
Chaînette , chez les bourreliers. Defcription & ufage. IH*
Chaînette, point d e , en terme de brodeur. Èfpece d’orne*
ment courant, qui forme une forte de lac continu. Comment
elle s’exécute, i° . au métier, HL 10. a ; 20. à l’aiguille. En
quoi confifte la beauté du point de chaînette. Matières'dont il
fe fait. Ibid, bt / ttt u
Chaînette , point de , ( Couturière ) Suppl. 111. 7 5 3 .0.
Chaînette , en terme d’éperonnier , de rubanier. 111.10 . bi
Chaînettes de montre. Leur defcription : maniéré dont on les
fabrique. X . (S9î . î , S it. W H » (» * » * “ * » chamelier .
VOl. IL ■ __ TTT 7
CH A IR viande, différence entre ces mots. IIL 10. b.
Chair , (Anatomie) cinq différentes fortes dütinguéesr
par les anciens. Les modernes n’en admettent qu’une fo r te;
cependant ils diftinguent encore la chair glanduleufe. C e
c^j’eft la chair parenchymateufe que diftinguoient les anciens»
Ch a ir , ( Hift. and. & mod. ) dourine des pythagoriciens
fur l’ufage de la chair. III. 1 1 . a. Chairs impures felon les
Hébreux. Chairs confacrées aux idoles. Ufage de la chair«
humaine chez certains peuples fauvages. Ibid. b.
Chair , dans le ftyle de l’écritnre-fainte. Plufieurs fens