
3 .1 4 C A
III
-calcination. V II . 1023. b. Calcination des os. HT. 500. 4 , b.
•Calcination du Tel marin. X IV . 92.0. b. Calcination d’anti-
anoine. I. 505. b. Calcination des-métaux. X . 429. a. vol.-VI.
•des .planches, art. Métallurgie , Calcination. Diverfes obfervations
fur cette calcination. Suppl- IV . 337. a,b. & c . Métaux
-qui fecalcinent en entrant en fonte. VII. 3-99. a. D ’où vient
Ja calcinationd’un métal fondu expofé à l’air. V I . 918. a. Le
même métal peut fe calciner & -fe réduire un grand nombre
de fois fans fe détériorer. Ibid. b. Calcination de lo r , XI. 5 a4-
«t b. de Targent, IX. 739. h. de la mine de cuiv re , IV . 342. a.
du plomb, iü l . 774. b.occ. Le zinc fe calcine dans les vaiffeaux
des mieux fermés: moyen de prévenir cet accident. V I . 918. b.
fourneaux à calciner. VH. 237. c. Produit des calcinations,
.voyez CHAUX.
C A L C IN A T O , ( Géogr. ) ville du BrelTan en Italie, remarquable
par la défaite des Impériaux, & la viéloire qu’y remporta
M. de Vendôme, le 19 avril 1706. Suppl. II. 114. b.
C A L C IO , ( je u ) jeu de ballon ufité en Italie pendant'
l ’hiver. Formalités & folemnités avec lefquelles on y joue.
II. 342. b.
C A L C U L , en quoi confiée l’art de calculer. Maniéré de
calculer de quelques peuples d’A f ie , d’A friqu e, d’Amé rique.
Calcul aux jettons. Origine du mot calcul. Ufages
que les Romains faifoient des pierres appellées calculs. Maniéré
dont les Grecs 8c les Romains donnoient leurs fuf-
îrages. Calculs qui portoient condamnation ou abfolution.
Pourquoi les calculs de condamnation étoient percés. C om - •
ment on droit les athlètes au fort dans les jeux publics par
le moyen des calculs ou bulletins. IL 345. b.
C alcul, petites pierres on coquillages dont on fe fer-
voit chez les anciens pour compter, & pour les fufïfages.
V I I I . 330. a , b. XIII. 339.b.
Calcul , ( Arithm. & Algeb. ) fcience des calculs , voye[
A rithmétique. Parallèle de nos calculs géométriques avec
.ceux des anciens. Suppl. I. 383. b. Avantages des nôtres.
386.«. CalcSls algébriques, voye^ Équation. Calcul des
accroiffemens. Suppl. I. 125. b. Calcul différentiel. IV . 983.
a , b. 8cc. Calcul exponentiel. V I . 31 1 . 4 , é. Calcul des expo-
fans des puiffances. 312. b. Calcul intégral. VII I. 805. a , b.
Suppl. HL 619. a , b. Des quantités à négliger dans le calcul.
X L 74. i . Calcul des infinis. VII I. 703. b. Ufage des interpolations
dans les calculs aftronomiques. Suppl. UI. 632. b.
8cc. Application du calcul à la phyfique. XII. 336. b. Ufage
des baguettes logarithmiques pour les calculs. Suppl, in. 760.
a , b. 8cc. D u calcul des mouvemens des planètes. Suppl. IV .
3 99. a , b. L’efprit du calcul régné p eu t-ê tre un peu trop
aujourd’hui dans la philofophie. V I . 890. b.
Calcul aftronomique, idée des premiers élémens de ce
calcul. Suppl. IL 114. b. Addition des fignes, degrés, minutes
& fécondés. Souftraétion opérée fur des quantités de
même nature. Maniéré de faire une réglé de trois fur ces
mêmes quantités. Explication d’une table qui fe trouve dans
tous les anciens livres d’aftronomie appellée tabula fexage-
naria. }bid. 1 1 5 . a. Pourquoi la méthode des décimales n’a
pas été préférée à celle qui eft aéluellement reçue en aftro-
nomie. Formule analytique très - commode & très - (impie
pour calculer la partie principale d’une éclipfe de l’oleil.
Ibid. b.
Calcul des nombres, en méchanique & horlogerie. A r t de
calculer les nombres des roues & des pignons d’une machine
, pour leur faire faire <un nombre de révolutions dans
un tems donné. Théorie fur laquelle tout ce calcul eft fondé.
I I . 346. a. Voye[ aujji VIBRATION.
Calcul , ( Médec. ) voye^ Pierre.
C A L C U L A T E U R S , (Hift. anc.) pourçjuoi les Romains
donnoient ce nom aux maîtres d’arithmétique. Différence
entre c eu x -c i, & ceux qu’on appelle calculones. Pourquoi
Tertullien les appelle prirni mmerorum arcnariï. IL 347. a. Il
y avoit un de ces maîtres pour chaque maifon confidéra-
fcle. Titre de fa charge. Ibid. b.
C A L C U L E R , voye{ ci-dejfus Calcul. D e la maniéré ufi-
tée chez les anciens de calculer avec de petites pierres ,
noyaux , coquilles. D e l’ufage fi long-tems reçu parmi les
modernes, de faire des comptes par le moyen des jettons.
VIH . 330. a yb. 331. a. D e l’art de calculer avec de petites
pierres. XIII. 339. b. A r t de calculer par les doigts. IV . 61 1.
a. Baguettes de Néper pour les calculs. X I. 96. a , h. Machine
de Pafcal pour le même ufage, I. 681. 4 , b. Noeud de laine
dont les Américains fe fervent pour calculer. XIII. 724. b.
Sur l’art de calculer, voye^ COMPTER.
Calculer, ( Hydraul. ) chercher la force & la vîteffe
d’un je t, d’un courant, &c. Calcul du poids de l’e au , & de
fa n élévation. Calcul du contenu d’un baffin. II. 547. b.
C A LD A N 1 , {Marc-Antoine-Léopold} anatomifte. Suppl. I.
413. b. Phyfiologifte. Ibid. IV . 362. b.
C A LD E R O N de la Burcn , ( B o n i Pedro) poète efpagnol.
Suppl. IV . 434. b.
C A L D E S I , ( J. Baptifte ) anatomifte. Suppl. I . 402. a.
C A L E , ( Arçhït.) mettre une pierre fur cale. H. '347, b.
,C A L
Cale, fond d e {M a r in e ) defcription & ufage de cette
partie du vaiffeau. On le tient plus large dans les vaiffeaux
qu’on deftine pour charger à cueillette ou au quintal, &c.
On y enferme les prifonniers ou efdaves. H. 347. b.
Cale. ( Marine) Cale au vin. Suppl. I. 373. b. Maniéré
d’arranger dans la cale le left & diverfes provifions du vaiffeau.
Voye^ A rrimage.
Cale , donner la , ( Marine ) forte d’eftrapade. Cale ordinaire
& cale feche, Defcription de ce châtiment. IL 347. b.
Donner la grande cale , ou donner la cale pardeffous la
quille, punition pratiquée fur les vaiffeaux hollandois. D e fcription.
Ibid. 348. a.
Cale , terrein creufé dans un chantier de conftruâion y
pour tirer les vaiffeaux à te r re , lorfqu’on veut les radouber;
On a agité en France, fi les cales étoient plus avantageufes
que les formes. Inconvéniens des .cales. C e qu’il ' faut pour,
qu’une cale foit dans fa perfeétion. H. 348. a.
CALE BASSE , voyeç Courge. Coupe de calebaffe à l’ufage
des Negres. IV . 424. a , b. Différentes efpeces de calebaffes
dites belafchorq , Suppl. I. 847. b. bilènjchora, 894. b. caipa-
fchora , Suppl. H. 110, a , b. cavandeli. 274. b.
C ALE BÀSSIER, ( Botan. ) noms que donnent à cet arbre
les Efpagnols, les Anglois & les botaniftes. En Améri- ,
q u e , on ne peut prefque s’en paffer dans aucune habitation.
Caractères & defcription du calebalïier. Divers noms
de fon fruit. A quoi l’on connoit que les calebaffes font
mûres. Comment qn les prépare’ pour s’en fervir à tenir
de l’eau ou d’autres liqueurs. IL 348. b. Ufages de la coque
de ce fruit. Comment on fépare une calebaffe pour en faire
deux couis. Embelliffemens que les Indiens y ajoutent. Ufages
qu’on en fait. Ufages de la pulpe , pour une infinité de
maladies & d’accidens. Ibid. 549. a. Culture du calebaffier en
Europe. Calebaflès d’herbe d'Amérique ; ce font les gourdes
européennes, dont la coque a moins de prix que la véri-,
table calebaffe dont on vient de parler. Ouvrages à conful-,
ter fur le calebalïier d’Amérique. Ibid. b.
CA LE CHE. ( Hifi. anc. ) Calèches repréfentées d’anciens
monumens. Voiture des Romains,nommées veredtim, rheduma
8c cejiurn. Suppl. II. 116. a.
Calèche, efpece de voiture. V o l. VII. desplanch. Menuife-
rie en voitures, pl. 15 & 1 6 , & vo l. IX. des planch. Sellier
Carroffier, pl. 8.
C A L E Ç O N , forte de vêtement. Différence entre caleço
n , culotte & haut-de-chauffes. Culotte de Suiffe. Caleçons
que portoient plufieurs peuples anciens. Caleçons des "Romains.
Caleçons des dames françoifes. Suppl. IL 116. 4. Les
Sauvages canadiens ont refufé de fe foumettre à cet ufage.
Effets des caleçons par rapport à la fan té. Ibid. b.
C A LE D O N IEN S , anciens peuples d’Ecoffe, voyc^ Scoti a.
C A L É F A C T IO N , ( Pharmacie ) différence entre la calé-,
faétion & la coétion. IL 3 30. a.
C A L EM A N D E , façonnée , ou à grandes fleurs. Fabrication
de cette forte d'étoffe. IX. 196. b.
C A L EM B O U R , voyez Kalembour.
CALENDER-HERREN, ( Hift. mod. ) freres des calendes;
Société de laïques & d’eccléfiaftiques établie autrefois en
Allemagne. Pourquoi ils furent appellés de ce nom. Defti-
nation de l’argent qu’ils portoient à leurs affemblées. II. 3 30. a.
C A L E N D E R S , religieux mahométans répandus dans les
Indes. Santon Calanderi fut leur fondateur. Leur habillement.
II. 530.a . Nom perfan qu’ils portent. Leur occupation eft
de prêcher dans les marches, &c. Leurs moeurs vicieufes.
Ibid. b.
C A L E N D E S , premier .jour de chaque mois. Voyez Calendrier.
Étymologie de ce mot. Comment on publioit les
calendes. La coutume de publier les jours de fêtes qu’il y
auroit dans le mois, dura jufqu’à l’an 430 de Rome. Changement
qui arriva alors. Les calendes fe comptoient dans un
ordre rétrogradé, de même que les nones 8c les ides. Ve rs
où font renfermées les réglés du comput des calendes. Maniéré
de trouver le jour des calendes qui répond à chaque
jour du mois où l’on eft. II. 3 30. b. On ignore la raifon de
cette maniéré de compter. Ufage qu’on en fait encore. C e
qu’on enténd par calendes grecques. Ibid. 331. a.
C A LE N D R E , machine qui fert à tabifer & à moirer certaines
étoffes, 8c à cacher les défauts des toiles, &c. D e f cription
de cette machine avec figures. IL 3 3 1 .4 . Ufage
de cette machine. C e qu’on entend par tabifer 8c moirer. '
Maniéré de moirer. Ibid. b. Quelle eft la caufe de la moire.
Maniéré de tabifer. Les belfamines qui font fil & foie fe ta-
bifent feulement. Pourquoi l’on met à la calendre les damas
fur fil. Camelots qui fe moirent. O n calendre les toiles à
carreaux & celles de coton. Inconvéniens de la calendre
pour les fiamoifes à fleurs & à raies, & d’autres étoffes
figurées. Les papelines ne fe preffentpoint, &c. I ln ’eft permis
qu’aux teinturiers d’avoir des calendres. Prix de ces divers
ouvrages. Obfervations fur les rouleaux dont on fe fert.
Ibid. 332. a. Quand les pièces ont un peu d’aunage, on les
calendre; les unes fur les autres. D iverses précautions qu’il faut
II
C AL
« r a t e îd o n lés B M W B m w j j g a
calendres. Calendres royales de.Earis. C eft iM . de Colbert
que ndus-devons lès premières calendres, O n pretendque
celle à roue vaut mieux que celle à cheval. Ibid. b. Voyeç
C alandre. BB I . . . R H H
C A LEN D R IER , définition , étymologie du mot. Calendrier
romain, tel que l’inftitua Romulüs. Il ne divifa l’année
qu’en dix mois, elle coinmençoit le premier de mars. IL
b. Sa forme par Numa qui y ajouta deux mois,janvier
8c février-, 8c fit d’autres changeniëns. Défaut de ce calendrier.
Intercalation à la maniéré des G rec s , qu’il employa
tous les deux ans pour corriger ce défaut. Nouvelle réforme
du calendrier parles foins de C é fa r , qui appella l’aftronome
Sofigenes; elle fe fit l’an 708 de Rome. Difpofition de ce
calendrier appellè julien. Correétion qu’y apporta Grégoire
XIII. Ibid. 333. a. Réformation du calendrier en 1382. En
quoi, confifte le calendrier julien des chrétiens. Erreurs par
rapport aux fêtes mobiles , réfultant de la fixation de 1 équinoxe
au 21 mars, 8c du comput fait par le nombre dor.
• Comment le pape Grégoire y remédia. En quoi confifte le
calendrier grégorien , 8c en quoi il différé du julien. O n ne
doit pas regarder abfolument fans défaut le calendrier grégorien.
Ibid. b. Calendrier réformé ou corrigé , introduit
dans les ’états d’Allemagne en 1700. Manière de conftruire
un calendrier ou un almanach. Ibid. 3 34. a. Calendrier g e« “
léen , qui eft une correétion du calendrier perfan. Calendrier
des Juifs. Calendrier des Mahométans. Maniéré de trouver
l’année juive. Maniéré de trouver le nombre des années.
O n entend auffi par calendrier le catalogue ou les faites que
l’on gardoit anciennement dans chaque égiife ; ce qu’il ne
faut pas confondre avec les martyrologes. Ibid. b. Ancien
calendrier de l’églife de R om e , qui fut fait vers le milieu
du quatrième fiêcle. Autres calendriers étrangers & anciens
qu’on a confervés. Ibid, a. _
Calendrier. Efpece de calendrier défeétueux que fuivoient
le s anciens peuples. X V I . 773. 797- b- Calendrier des anciens
Grecs , des Chaldéens, dès Egyptiens. 773. a. 774. a.
Calendrier appellé fafte chez les Romains. V I . 418. b. 4x9.
a , k 8cc. Calendrier de Numa. I. 786. b. Ufage que les
Romains faifoient dans le calendrier des huit premières
lettres de l’alphabet. XI. 284. b. Réforme du calendrier par
Jules-Céfar. X V II . 7 ( 7 . b. Defcription d’un monument ou ce
calendrier eft expliqué. Ibid. Rapport du calendrier alexandrin
avec le calendrier Julien des Romains. X . 621. a. Reforme
du calendrier par le pape Grégoire. I. 389. a. IV .
388. a 389. a. y . 34. b. D u vieux & du nouveau calendrier.
XI. 263. b. X V . 336. b. Calendrier ou martyrologe des
Grecs. X. 33 3 . h. Calendrier de la chancellerie romaine. VIII.
496. a , b. Auteur du calendrier dont les Juifs fe fervent.
343. a. Calendrier des Turqs. V . 337. b. Sur le calendrier
des Arabes & des Mahométans. Voyeç HÉGIRE. VII I. 96. a,b. ,
Calendrier des Siamois. X V . 149.b. 150.«.
Calendrier, ( Hiß. & Aftron.) explication du calendrier
romain. Suppl. II. w 6 . b. Table des douze mois de l'année,
félon le calendrier de Jules-Céfar, où fe trouvent les principales
obfervations à faire chaque jour du mois, relatives
aux ufages & à la religion des Romains. 118. a.
Calendrier perpétuel Un tel calendrier doit en renfermer
trente-cinq de ceux qui fe fuccedent annuellement. O n en
trouve un dans l ’ouvrage intitulé : L'art de vérifier les dates.
H. 333.4.
Calendrier ruftique. II. 3 3 3. à. y
C A L E N T U R E , efpece de fievre accompagnée de délire
qui attaque ceux qui voyagent dans les climats chauds.
Exemple de cette maladie dans un matelot, IL 533. 4. &
de la maniéré dont il fut guéri. Comment cette maladie doit
être traitée, félon le doéteur Shaw. Ibid. b.
C A L E R un quart de cercle, ( Aftron. ) mettre fon plan dans
une fituation exaélement verticale. Moyens à employer dans
cette opération. Suppl. IL 124. a.
CALERES , (Hift. mod.) brigands indiens, peuple libre
qui habite les lieux inacceflibles 8c les èpaiffes forêts du Tu n-
deman, province fituée entre le Tanjaour & le Madure.
Extérieur, caraétere & ufage de ce peuple. Suppl. II. 124. a.
C A L E SIAM , ( 5 or. ) arbre qui croît dans le Malabar. D e fcription
de cet arbre. Propriété de fon écorce. IL 556. 4.
C A L E T E S , ( Géogr. ) peuple de la Gaule Belgique du
tems de Céfar. Leur capitale. Pays qu’ils occupoient. Cantons
que comprenoit leur territoire. Suppl. H. 124. a.
C A L F A T , partie dû radoub d’un navire. II. 556. a. '
C alfat , opération des calfateurs dite bonnette lardée, n.
328. b. L es Chinois ne calfatent pas leurs vaiffeaux avec du
goudron , comme les Européens, X V . 329. b. X V I . 807. a.
Cal fa t ,C alfateur, officier de l’équipage, qui a foin
de .donner le radoub aux vaiffeaux qui en ont befoin. Quels
font fes devoirs iPRmétions. II. 556. 4.
C A L IB R E , il fe prend ou pour le diamètre d’un corps,
ou pour l’inftrument qui fort à en mefurer les dimenfions.
JL 556. b.
CAL
Calibre des maçons. II. 5 56. b.
C alibres des ferruriers, leurs formes, conftfuélions 8c
ufages. II. 5 5 6. A.
CALIBRE, ( Artillerie) ouverture de lapiece de canon &
de toutes-les autres armes à feu. L’inftrument dont on fe fer t
pour prendre ce diamètre, s’appelle auffi calibre. Defcription
de cet inftrument. ;II. 5 57. b.
Autre moyen de calibrer les pièces.
Table qui indique le rapport de la pefanteur dès boulets
avec l’ouverture du calibre , depuis une once , jufqu’à 14
de pefanteur. II. 557. b. Seconde table qui indique les mêmes
rapports, depuis une livre de pefanteur dans le boulet, jufqu’à
64. Ibid. 558. a.
Calibre. Obfervations fur le calibre des armes à feu. VII*
397.4. Table du calibre des canons & du diamètre des boulets.
IL 363. a. C alibre des pièces de douze , huit & quatre. Suppl.
I. 192. a. Table des dimenfions des pièces de campagne,
anciennes 8c nouvelles , des calihres de douze, huit 8c quatre
livres de balle. Suppl. IL 203',
- Calibre. Dans les manufa&ures d’armes à feu. II. 558. b.
Calibre du canon de fufil de munition. Suppl. II. 209. b.
Calibre , chez les fontainiers.il. 558. b.
Calibre, dans l’horlogerie. Defcription du calibre à pignons»'
IL 558. b.
Calibre , chez les horlogers. Plaque de laiton ou de carton,
fur laquelle les grandeurs des roues 8c leurs fituations ref-
peétives font marquées. Il feroit fort difficile de donner des
r-egles générales pour la conftruétion d’u*n calibre. V o ici
quelques-unes des principales, pour le calibre des montres.
i° . Q u e la difpofition des roues , les unes par rapport aux
autres, foit telle , que les engrenages changent le moins qu’il
eft poffible par l’ufure de trous, &c. IL 5 58. b. '
20. Q u e les roues & pignons fo ien r , autant qu’il eft poffible
, dans le milieu! de leurs tiges, ou à une égale diftance de
leurspivots. i l . 559. a.
30. Q u e les roues d’une horloge Ou d’une pendule foient
fituées de façon que les pignons, dans lefquels elles engrènent
, foient placés dans les points de leur circonférence ,
tels , qu’il en réfulte le moins de frottement poffible fur les
• points de ces roues.
40. Q u ’on tienne les barillets grands dans les montres, pour
avoir de plus grands refforts. n . 559. a.
Calibre, en marine, en orfèvrerie. II. 559, 4.
Calibres d’arquebufier. Calibres de bo is , calibres d’acier, le j
uns doubles , les autres fimples ; leurs ufages. II. 55 7.4.
Calibres du potier d’étain. V . 5 97. a.
C A L IC E , ( Théolog.) quel é to it , félon Bede , celui dont
fe fervit J. C . Matières dont les calices ont été. faits en diffé-
rens tems. Poids de quelques-uns. Anciens calices très-finguliers.
Hérétiques qui prétendoient l’ufage du calice néceffaire au
peuple. II. 559.b. Voyeç Calixtins.
Calice repréfenté dans les planches d’orfè vre rie , vol. V I I I .
Calice , ( Botan. ) du calice des fleurs. V I . 853. b. 854. b.
Partie de la fleur que Pline a appellée calice. 8 5 2. b. D ifférence
entre le calice 8c l’empalement des fleurs. V . 572. b. Formation
du calice. X V I. 961. b.
C A L IC U T , royaume & v ille des Indes. Remarques fur le
roi de Calicut. Moeu rs, religion, commerce des habitans de
ce royaume. II. 5 5 9. b.
C alicut. Sur le roi de Ca licu t, voyez Samorin. X IV .
598. 4. Naires ou nobles de Calicut. VIII. 345. b. O n les
diftingue parla grandeur des oreilles. Longueur des oreilles de
la reine & des dames de fa cour. XII. 292. b.
C A L ID IU S , ( Marcus) obfervations fur cet orateur. XI»
369. 4', b. •
C A L ID U C S , canaux dont les anciens fe fervoient pour
communiquer la chaleur d’un fo y er aux appartemens les plus
éloignés. IL 5 59. b. , , .
CA L IF E , titre des fucceffeurs de Mahomet. Etymologie
de ce mot. II. 559. b. Abo ubekre, fucceffeur de Mahomet,
le prit le premier. Changement que fit Omar à ce titre.
Autorité des premiers califes. Race des Ommiades 8c des-
Abbaffides. Multiplication des califes, à mefure des progrès des
Sarrafins. Abolition du nom de calife. Ibid. 560. a.
Calife , (Hift. des Arabes) fignification de ce nom donné
aux fucceffeurs de Mahomet. L e calife étoit un pontife r o i ,
& re jio it i dans la même W e, & 1 f S e? n '
des califes. Suppl II. M B ^ M D H f l B l
12« 4 b Othrnan. Ibid. 126. a. Califes Ommiades. A li. Ibid. b.
Affan ’ibid. 127. b. Moavie I. Y é fid I. Ibid. 128. a. M oavie II.
Mervan I. Abdalmalec. Ibid. b. Valid I. Soliman. Ibid. 129.4.
Omar II. Yéfid II. Ibid. b. Heshan. Valid II. Y é fid III. Ibrahim.
Mervan II. Califes Abajfides. Abbas. - - Les arts & les
fciences cultivés parmi les Arabes. Ibid. 130. a. Leur ardeur
pour la guerre. L’empire en devenant plus éclairé , devient
plus redoutable. D ix-huit princes Abbaffides régnent fucceffi-
v em ent, avec autant de gloire pour eux , que pour la félicité
de leurs peuples. Décadence de leur empire. Mothavakel,
calife abruti dans les débauches. Sa mort. Les gouverneurs